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criomega

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Tout ce qui a été posté par criomega

  1. Bonsoir à tous, On continue avec le Shadowsword et son freehand: Il est loin d'être fini A bientôt, Crio
  2. Bonsoir à tous, L'archiviste aux couleurs des Imperial Fist terminé: A bientôt, Crio
  3. criomega

    [40k] Barge de Bataille

    Bonsoir à tous, Toutes mes excuses pour le délai entre mes posts, mais la vraie vie passe avant les maquettes, malheureusement. Quelques réponses: Merci @marell le fou ! C'est vrai que c'est gros, mais ça passera bien une fois le tout monté. Il manque d'ailleurs la partie basse, qui est aussi biseautée. J'ai préparé les morceaux, mais le système de fixation est en cours, donc pas encore de photo. Salut @ZibZee, oui, je compte garnir toutes les pièces de la partie centrale dans un premier temps. Vu les volumes que j'ai à l'avant et à l'arrière, il y aura également des choses à ajouter par la suite. J'ai déjà en tête la salle des générateurs du vaisseau ainsi qu'un hangar pour les chasseurs Merci @Shooter, ça fait plaisir. Et question folie, entre un vaisseau spatial sur lequel je m'éclate, et le Chapitre complet sur lequel je me suis aussi bien amusé, je sais que j'en tire une couche Pour répondre à ta question, ce devrait être jouable même si ce n'est pas l'objectif premier. Et pour ne pas revenir les mains vides, quelques photos du rez de chaussée de la salle de commandement: La cloison en plexiglas est collée sur la partie inférieure, et j'en ai un second morceau qui viendra se loger dans les rails une fois que le plancher de l'étage (en plexi également) sera posé (et pas collé). Et si vous connaissez le moyen d'avoir des toutes petites images type videosurveillance, ça me permettrait de remplir ce meuble: Pour la suite, j'espère avancer sur le rez de chaussée de l'infirmerie, mais je n'arrive pas à trouver du temps... A bientôt, Crio
  4. Bonjour à tous, Les bullgryns sont terminés : A venir un Shadowsword! A bientôt Crio
  5. Bonjour à tous, Les bullgryns sont terminés : A venir un Shadowsword! A bientôt Crio
  6. Bonjour à tous, On reprend avec 3 Bullgryns en WIP: A bientôt, Crio
  7. Bonjour à tous, On reprend avec 3 Bullgryns en WIP: A bientôt, Crio
  8. Bonjour à tous, Voici le Ghulam terminé: Une fig vraiment plaisante à faire Le prochain sera un archiviste space marine, en espérant réussir à pas mettre trop de temps pour le faire A plus Crio
  9. Bonsoir à tous, Le Ghulam avance, reste encore tous les métaux, la hampe de la hallebarde, les fourreaux des armes, l'épaulière à améliorer, le socle... Y'a encore du travail! A bientôt Crio
  10. Bonjour à tous, Retour de vacances et j'ai attaqué le Ghulam: Pour l'instant, je me suis concentré sur la fourrure, le reste n'est pas du tout commencé Et sa tête toute mignonne: J'ai repris la pupille sur le côté gauche, qui fait un peu petite par rapport à l'autre. Il n'y a rien à faire, j'adore ces figurines. Je vais très probablement me prendre l'ensemble de la gamme ? A bientôt, Crio
  11. Salut Marell, J'étais complètement passé à côté de ton sujet pour le coup, et pourtant ça en jette grave! Je me suis d'abord dit que c'était cool et que ça rendait bien, bonne restitution de l'univers des orks et gobelins ( et pourtant, je suis pas hyper fan de la gamme) et puis, j'ai vu que tu faisais tout ça en 10mm. ? Comme quoi, on est tous les deux des fous, chacun à notre échelle Pour ton accroche dans les piliers: les aimants ça peut être pas mal, mais ça t'oblige à bien tous les mettre dans le même sens pour ne pas te prendre le choux lors de la pose des cabanons. Du coup, je me suis dit: pourquoi ne pas les tiger? Après, c'est peut être pas si simple, surtout s'il faut mettre 2 bouts de trombone pour pas que les cabanes se retrouvent à l'envers (rotation autour de la tige, toussa...) En tout cas, vivement la suite, j'ai hâte de voir ta ville à flanc de piliers! Crio
  12. Bonjour à tous, Même si plus de 2 ans se sont écoulés depuis mon dernier post sur ce récit, je n'ai jamais abandonné l'idée d'en arriver au bout! J'espère réussir à avancer plus régulièrement à partir de maintenant (un chapitre par mois serait une bonne moyenne pour se relancer) Je vais également essayer de poster un récapitulatif des personnages et de leurs armées d'appartenance (un peu comme dans les romans de l'Hérésie d'Horus) Voici donc la suite avec le chapitre 3: III Cela faisait plusieurs mois qu’ils avaient émis leur message, véritable bouteille lancée au milieu de flots déchainés. Mais personne ne s’était manifesté. Irvin et ses compagnons avaient réenclenché un certain nombre de systèmes du bunker impérial, mais l’attente leur était insupportable. Ils étaient des soldats de carrière et leur confiance dans cet Imperium que Jehan ne connaissait pas encore était inébranlable. A chaque fois que le jeune homme avait douté, l’un des gardes impériaux lui expliquait qui était l’Empereur, ce pour quoi luttaient Ses armées et l’avenir grandiose qui attendait l’Humanité toute entière. L’espoir revenait alors habiter le cœur de Jehan. Mais cela faisait trois nuits qu’il avait du mal à dormir. Ses rêves s’étaient transformés en cauchemars. Il voyait des choses abominables, et avaient parfois la désagréable sensation de sentir le toucher des créatures qui peuplaient ses nuits. Faif l’avait pris sous son aile et lui enseignait jour après jour aussi bien les croyances de l’Imperium que le combat à main nue, en passant par le maniement du fusil laser armé d’une baïonnette. L’espoir avait lentement fait place à la déception et à la résignation. Personne ne s’était manifesté. L’air était frais, le vent balayait les plaines de Ryzza, et les hautes herbes se couchaient sous les rafales. Jehan se redressa sur sa couche, enfila ses bottes de cuir usé et sortit de la cahute qui leur servait désormais de demeure. Le jeune homme ferma les yeux alors qu’une douce brise lui caressait le visage avant de les rouvrir et de contempler le ciel empli d’étoiles. Il avait enseigné à ses compagnons à se repérer à l’aide des astres de la nuit. Il avait appris très jeune à ne pas se perdre dans les campagnes jouxtant la cité et il avait mémorisé les constellations qui émaillaient la voute céleste au gré des saisons. Bien que relativement discret, il était loin d’avoir le niveau de furtivité de Lœss. Ce dernier avait reçu une formation d’éclaireur au sein d’un régiment que le soldat avait appelé le Premier de Tanith. Lœss lui avait expliqué les rudiments du camouflage et du déplacement silencieux, mais il lui avait confié que les hommes du régiment de Tanith étaient considérés comme les meilleurs dans ce domaine. Jehan se les imaginait comme des spectres glissant sur l’herbe, sans bruit, et frappant d’imaginaires adversaires de leurs membres éthérés. Mais il savait que la réalité devait être toute autre. Son regard s’égara sur le râtelier d’arme situé à l’entrée de la maisonnette. Des fusils laser y étaient alignés, leurs cellules d’énergie vides depuis longtemps. Les soldats impériaux, s’ils étaient de farouches combattants, ne savaient pas manier l’arc, et avaient donc usé de leurs armes pour chasser. Cette tâche lui était désormais dévolue. Il aurait bientôt seize ans, et il rêvait toujours de voyager à travers les étoiles. Mais pour l’heure, l’horizon constituait le point le plus éloigné qu’il pourrait jamais atteindre. Ils avaient raccompagné Gontran il y avait de cela quelques lunes, et avaient quitté la ville par la suite. Ils étaient tout d’abord retournés au bunker qu’ils avaient découvert, mais l’attente leur était devenue par trop insupportable. Décision avait été prise de quitter l’endroit et de s’établir plus loin, d’abord dans une anfractuosité de colline puis dans un abri de fortune qu’ils avaient patiemment amélioré. Jehan s’assit dans l’herbe fraiche, perdu dans sa contemplation du paysage et les heures succédèrent aux minutes. Les premiers rayons du soleil embrasèrent l’horizon ; noyant la plaine de leur lumière cramoisie et le jeune homme repensa à ce que lui avait dit Faif la semaine d’avant. Tout était parti d’une simple question posée par le vétéran. -Jehan, en quoi crois-tu ? Cette interrogation l’avait tout autant surpris que décontenancé. Des religions, il y en avait beaucoup sur Ryzza. Certaines peuplades adoraient un panthéon d’esprits incarnant toutes les choses de la planète. Cela allait des montagnes aux ruisseaux en passant par les animaux et les plantes. D’autres voyaient des dieux dans le feu et les orages, d’autres encore croyaient à des divinités sanguinaires réclamant des sacrifices réguliers. Son ancienne cité vénérait un dieu unique qui devait apporter la paix et la prospérité à ses habitants. Plusieurs temples s’élevaient au sein des murailles, leurs autels croulant sous des offrandes de blé et de seigle. Les plus anciennes civilisations se référaient à un dieu humain dont les représentants avaient disparu de Ryzza quelques siècles plus tôt. Des rumeurs faisaient état de cultes aux traditions horrifiques, mais rien n’était jamais venu accréditer ces hypothèses. L’esprit aime à se faire peur pour se prouver qu’il peut triompher de ses plus profondes ténèbres. Mais tous les autochtones de Ryzza s’unissaient pour célébrer un culte venu d’ailleurs, apporté par des étrangers il y avait des générations de cela. Ce n’était pas vraiment une religion au sens propre ; pas de divinité à glorifier ou à craindre, pas d’offrande particulière à faire. Un unique but leur avait été spécifié par les premiers fidèles : atteindre l’Unicité et dédier leurs vies à une cause supérieure : le bien commun. « Le Bien Suprême » se reprit Jehan. Si la philosophie était juste, sa mise en application relevait de l’utopie. Après de longues soirées d’introspection, l’adolescent en était finalement arrivé à la conclusion qu’il n’avait jamais cru qu’en lui-même et en l’avenir. Il n’y avait rien de très divin dans tout cela. Peut-être se trouvait-il quelque chose digne d’être révéré par-delà les étoiles mais Jehan en doutait. Il avait vu ce que les hommes pouvaient faire au nom d’une prétendue religion. Car en effet, dès lors que la foi ou le divin était invoqué, tout devenait licite, toute morale disparaissait. Guerres, meurtres, viols, massacres et tout autre fléau trouvaient là une justification qui ne souffrait aucune contestation. Si croire revenait à abandonner tout sens commun, alors Jehan était heureux de ne pas avoir la foi. Mais ses compagnons, eux, croyaient. Et jusqu’à présent, ils n’avaient jamais invoqué une quelconque foi ou autre mysticisme pour justifier leurs actes, même lorsque l’occasion s’était présentée. Ainsi, alors qu’ils travaillaient ensemble à labourer et ensemencer un champ jouxtant leur village d’adoption, une troupe de malandrins avait fait irruption. Les habitants étaient réunis pour célébrer l’office religieux et les soudards y avaient vu une opportunité de rapine facile. Schern, qui se désaltérait les avait repérés au nuage de poussière qu’ils soulevaient. Il avait saisi la carabine laser qu’ils emportaient avec eux pour faire face à ces éventuelles situations, et l’avait pointée vers la meute d’assaillants. Ces derniers couraient en vociférant, traversant le village renversant tout sur leur passage. Alertés par les cris, les habitants fuyaient la célébration, en proie à la panique la plus totale. L’impérial s’était agenouillé à la lisière du terrain et avait calmement épaulé son arme. Trois rafales scintillantes plus tard, cinq brigands gisaient au sol, leurs ventres éclatés répandant un flot d’ichor et de viscères dans la poussière. Une dizaine d’autres regardaient, hébétés, les trous grésillants qui parsemaient leurs chairs. La bande avait alors prestement tourné les talons, trainant ses blessés et abandonnant ses morts. La suite des évènements était restée gravée dans la mémoire de Jehan. Le clerc du village leva les bras au ciel en remerciant ses dieux tutélaires de les avoir protégés. -Laissez les dieux en dehors de ça, lui avait lancé Schern. Seul l’Empereur protège. Le religieux en était resté bouche bée. La débandade des habitants s’était arrêtée aux premiers tirs de laser, et ils regardaient l’impérial avec étonnement. Schern les balaya lentement du regard avant de reprendre la parole. -Cessez de croire que des esprits vous protégeront. Croyez en vous-mêmes. C’est là que réside votre force ; pas dans les cieux. C’était la première fois que l’un d’entre eux utilisait son arme en public, même si la confusion ambiante n’avait pas attiré trop de regards. Six semaines s’étaient écoulées depuis. D’autres pensées se bousculaient dans l’esprit de Jehan, réminiscences de son ancienne vie en tant que garde de la cité, fragments de son enfance perdue, espoirs d’un futur radieux. L’ensemble se fondait en supernovæ mentales avant d’éclater en floraisons de lumière puis de se reformer en billes scintillantes. -Bonjour Jehan. La voix d’Irvin interrompit le flot de ses rêveries, et le jeune homme mit quelques instants à se replonger dans le présent. Il leva les yeux vers son interlocuteur qui souriait à la vue du soleil qui s’élevait sur l’horizon, énorme sphère orangée dardant ses doux rayons sur les plaines. Le vétéran contempla le spectacle du jour naissant quelques instants avant de murmurer. -Magnifique…Si calme, si paisible… Les deux hommes fixaient désormais l’horizon, les yeux brillants. Le temps sembla se figer, chaque seconde se transformant en une éternité. Les battements de leurs cœurs résonnaient dans leurs poitrines, percussions assourdissantes dans le silence cotonneux de l’aube. Le sang leur battait les tempes, torrents tumultueux serpentant dans la quiétude du matin. Ils se tenaient debout, l’un à côté de l’autre, silhouettes immobiles au cœur des brumes matinales. Les grains du sablier du temps continuaient de s’écouler paresseusement, l’air frais du jour nouveau s’égayant du chant des oiseaux et du bruissement de la brise dans l’herbe haute. -Si chaque jour pouvait être semblable à celui-ci, reprit Irvin dans un souffle. Au cours de la demi-heure qui suivit, Lœss, Schern et Faif les rejoignirent. Les soldats avaient troqué leurs treillis pour des pantalons de jute et des chemises de laine grossière. Ils avaient appris le patois local et s’étaient rapidement fondus dans la masse des habitants. Les couteaux arborant l’aigle impérial demeuraient le seul lien d’avec leur précédente vie. Leur force physique et leur endurance leurs avaient permis d’intégrer les rangs des travailleurs agricoles. La culture du blé, des cucurbitacées et des tubercules était exigeante. Il leur arrivait fréquemment de rentrer chez eux perclus de crampes, les muscles en feu et la respiration sifflante. Mais cette vie leur convenait désormais, sans combats, sans amis à enterrer. Les premiers temps avaient été difficiles, bien sûr. L’espoir de voir de l’aide arriver s’était lentement étiolé, se désagrégeant dans les travaux des champs et dans l’apprentissage de la langue. Il arrivait que les quatre hommes se laissassent emporter par la mélancolie, replongeant dans leur passé. Alors, la colère refaisait surface, rapidement engloutie dans les tréfonds de leurs âmes, noyée dans le flot de la bière locale. Lœss fut pris d’une quinte de toux qui les tira de leur contemplation matinale. Ils empoignèrent leurs outils, rajustèrent leurs vêtements et descendirent se joindre au flot des paysans qui s’en allaient travailler aux champs. Très loin au-dessus de leurs têtes, un vaisseau spatial anguleux se mettait pesamment en orbite. Les immenses panneaux de ses baies d’envol s’ouvrirent paresseusement des champs de force déployant leurs bulles protectrices autour de sa masse de métal. Une voix claire résonna dans la superstructure du bâtiment, couvrant le bruit des couloirs et résonnant dans les vastes salles du pont d’embarquement. -Détachement, départ imminent. Trois douzaines de guerriers s’alignèrent, encadrant un groupe plus petit constitué de plénipotentiaires, puis montèrent dans les deux navettes de transport qui leur étaient assignées. S’éloignant rapidement de leur vaisseau mère, les navettes filaient vers la planète, le scintillement de leurs moteurs se perdant dans l’arrière fond étoilé. Elles franchirent les hautes couches de l’atmosphère au son des bangs supersoniques marquant leur décélération, leurs coques rougeoyant de chaleur et vibrant sous les forces de friction qu’elles affrontaient. -Altitude, quatre-vingt kilomètres, vitesse, vingt-cinq mille kilomètres heure, mise à feu des rétrofusées dans soixante secondes, annonça la voix du pilote. La structure des appareils tremblait désormais intensément. Leurs occupants étaient chahutés sans ménagement, ballotés de droite et de gauche, les stabilisateurs inertiels peinant à compenser les variations subites de vitesse. Une déflagration salua l’allumage des rétro-fusées, la force de décélération comprimant les passagers dans leurs harnais de maintien. Tout comme l’ensemble des travailleurs, Jehan regardait les trainées de feu qui déchiraient le bleu du ciel. Des lances de vapeur blanche suivaient les deux comètes rubis qui fendaient les cieux, des anneaux se formant à mesure que le son rattrapait les appareils. La trajectoire des navettes s’arrondissait, leur chute verticale se transformait en un vol horizontal maîtrisé. -Altitude cinq mille mètres, vitesse, huit cent cinquante cents kilomètres heure. En approche du site d’atterrissage. Les villageoises appelaient leurs enfants, les enjoignant à se mettre à l’abri, qui dans les caves, qui dans les greniers. D’autres encore couraient vers la lisière des bois, espérant que la voute végétale suffirait à les dissimuler au regard des dieux. -Qu’est-ce que vous en pensez ? Imperium ? questionna Lœss en s’adressant à Irvin. -Difficile à dire, mais le son des moteurs ne m’est pas familier. -Peut-être de nouveaux modèles commandant, répliqua Schern. -Espérons-le, lui répondit le pilote. Les travailleurs s’étaient rassemblés en petits groupes et devisaient en murmurant, commentant l’apparition des engins volants, spéculant sur leur origine. Certains y voyaient le diable, évoquant des yeux faits de charbons ardents, un corps serpentin et vaporeux se terminant par une queue fourchue. D’autres y voyaient une sorte d’ange, annonciateur de l’Apocalypse ou d’un temps de bonheur, désignant les traînées comme étant ses ailes. Tous s’accordaient à reconnaître un signe de changement. Les conversations se turent progressivement alors que la voix du prêtre s’élevait au-dessus des champs de blé, déclamant hystériquement le contenu de son livre saint. -Alors Il illuminera le Ciel de Ses bienfaits, apportant l’unicité à ceux qui marchent sur les Mondes Elus ! Ses enfants seront innombrables et tous Le glorifieront. Ses glorieux émissaires apporteront Sa parole, libérant les masses de leurs incertitudes pour les élever dans Sa lumière ! Réjouissez-vous car voici que s’accomplissent les écritures ! Voici que Ses anges ignés descendent des Cieux pour nous guider ! Réjouissez-vous car Il vient sauver nos âmes, réjouissez-vous peuple élu ! Voici venir l’ère du Bien Suprême !! Les villageois qui s’étaient élancés vers les bois revenaient désormais sur leurs pas, écoutant les paroles du religieux. Leurs expressions trahissaient leur inquiétude, et le dévot leur semblait être une source de réconfort proche et aisée à atteindre. Les aboiements des chiens et les chants des oiseaux remplaçaient peu à peu le silence provoqué par le passage des deux météores, certains paysans reprenaient déjà leur labeur. Le prêtre faisait désormais face à une petite quinzaine d’hommes et il continuait à déclamer ses textes sacrés en criant. Jehan en faisait partie. Le jeune homme était intrigué par cette religion qui ne semblait s’intéresser qu’au bonheur de ses pratiquants. Mais certaines paroles le laissaient confus. Prêcher l’ordre commun et le bonheur de tous était certes du bon sens, mais les appels à la violence sous-entendus, et qui devaient permettre d’atteindre ces idéaux, lui paraissaient aller à l’encontre de ces mêmes principes. -Jehan, tu peux me filer la gourde de flotte ? lui lança Lœss. Perdu dans ses réflexions, le jeune homme n’entendit pas immédiatement l’impérial. -Jehan ? le relança le vétéran d’une voix un peu plus forte. -Uh, quoi ? -L’eau s’il te plaît. -Tiens, attrape, lui répondit Jehan en lançant la gourde à Lœss. Le jeune homme épongea la sueur qui lui coulait sur le front d’un revers de manche puis reprit sa place auprès de ses camarades de travail. Le prédicateur s’était remis à marcher le long des champs, sa voix résonnait dans l’air surchauffé de cette journée d’été. Le paysage filait sous les ventres de leurs appareils, mélange flou d’or et de vert alors que champs et forêts se mêlaient. La plupart des occupants portaient des armures complètes de couleur ocre. Les diodes rouges de leurs casques de combat éclairaient faiblement le sol grillagé des navettes. Le commandant du détachement arborait quant à lui une armure d’un blanc laiteux. Tenant son casque de sa main droite, il écoutait avec déférence celui qui lui faisait face dans le compartiment blindé. Son fusil thermique était pour l’heure fermement maintenu dans le rail magnétique au-dessus de lui. -Pensez-vous que nous allions au-devant d’ennuis, Commandant ? -Cela fait dix-huit cycles depuis la dernière fois que nous sommes venus sur ce monde. Je n’ai aucune certitude quant à l’attitude de la population autochtone vis-à-vis de notre retour. -Dix-huit cycles sont plus que suffisants pour transmettre la Parole, ne croyez-vous pas ? -Sur un monde proche de l’Empire, sans aucun doute Vénérable. C’est la première fois que nous nous aventurons aussi loin de nos frontières. Qui sait combien d’indigènes se sont convertis et quelle est la réalité de leur Foi. -Vos paroles résonnent du tintement de la vérité Commandant. Le Vénérable leva les yeux vers l’arme allongée, ses yeux rétrécirent imperceptiblement et son visage se durcit. Le commandant ne pouvait pas manquer de noter ce changement d’attitude. -J’espère que nous n’aurons pas à en arriver à de telles extrémités, Vénérable. Les yeux d’un bleu de nuit de son interlocuteur quittèrent le fusil et se plongèrent dans les siens. -L’espoir est un luxe que nous n’avons plus les moyens de nous offrir Commandant. Ceux qui croient nous rejoindrons, quant aux autres… Un mouvement lent et ample du bras du Vénérable pointa les armes du groupe. -Pour le Bien Suprême, murmura le commandant dans un souffle tout en inclinant la tête. -Pour le Bien Suprême, reprit l’Ethéré en bénissant de ses mains son interlocuteur. Aun’Va sentit le faible déplacement d’air provoqué par le mouvement de l’Ethéré. Instantanément sa résolution s’en trouva renforcée, la certitude de la justesse de leur cause emplit son esprit, aussi dure que du diamant, aussi pure que du cristal. Son avant-bras attira alors son regard, un clignotement orangé discret venait d’y apparaître. Aun’Va accepta le flot de données entrant, et déporta la visualisation sur le projecteur holographique de la navette. Des informations de vitesse se superposèrent aux trajectoires d’approches. Un balayage rougeoyant scintillait, balayant les angles de tirs des armes du transport. Le commandant appuya sur l’une des touches de son armure, et les données de l’autre transport apparurent. Tous les voyants étaient au vert, aucune menace détectée. Il désactiva l’affichage, referma son canon d’avant-bras, et observa les autres occupants de sa navette. Son escouade de combat occupait les sièges près de la sortie, parée à défendre les plénipotentiaires. Certains de ses membres avaient déjà empoigné leurs armes, qui vérifiant leurs sécurités, qui vérifiant le parfait alignement des organes de visée. Tous portaient leurs casques. El’TahSar’On, Ethéré estimé du Sept Vior’La, était désormais absorbé dans sa communication avec le Guide de la caste de l’Eau présent dans le second véhicule. Ce dernier menait le petit groupe de diplomates qu’escortait Aun’Va et ses hommes. Dans le ronronnement sourd de leurs plaques anti-gravitiques, les navettes se posèrent sur l’esplanade centrale de la cité état de Drur. Leurs larges patins métalliques produisirent un léger crissement puis leurs rampes de débarquement basculèrent. Immédiatement, une vingtaine de silhouettes armurées émergèrent des transports et s’alignèrent de part et d’autre des appareils. Un être élancé s’avança alors lentement, un guerrier portant son casque à la main à ses côtés. Leur peau bleutée contrastait avec le blanc de leurs toges et armures. Une demi-douzaine de leurs semblables descendait derrière eux. Un parterre de nobles autochtones s’était rassemblé en hâte afin d’accueillir leurs prestigieux visiteurs. Les dignitaires s’agenouillèrent alors que l’Ethéré gravissait les quelques marches menant à la tribune de l’esplanade. La population de la cité se trouvant derrière en fit de même. Interrompant sa marche, son regard balaya les rangs des hauts fonctionnaires avant de se figer sur Tobias Fedun, Haut-Prêtre de Drur. -Porteur de la Parole, le salua-t-il. -Père des Croyants, lui répondit Tobias en courbant la tête, Votre Verbe est mon ordre. El’TahSar’On s’appuya sur son sceptre et dévisagea la foule d’humains qui se tenait face à lui, silencieuse et leva lentement la main. Un murmure se propagea à travers la multitude. Il écarta alors largement les bras comme pour étreindre les centaines de personnes lui faisant face. Le silence se fit instantanément, plein de tension. -Drur, Je suis de retour. Une clameur assourdissante, manifestation d’une joie et d’une adoration véritable emplit alors l’air, éclatant tel un coup de tonnerre. Un sourire fugace transparut sur le visage de l’Ethéré. Bien à vous, Crio
  13. criomega

    [40k] Barge de Bataille

    Bonsoir à tous, Pour les décors, ceux en MDF et certains kit résine viennent de chez http://www.decorsminiatures.fr/ partie Space Opera, Base secrète (peut être d'autres, mais il y a tellement de choix que je ne me souviens pas de tout ) Pour les gros conteneurs ça vient de MiniSocle: Conteneurs Merci pour vos encouragements, ça me garde motivé pour la suite. Et suite il y a! La zone de fret terminée: (comprendre que j'ai peints les conteneurs et la passerelle ) Et j'ai attaqué le gros oeuvre de la partie avant: Les "cubes" de bois servent à maintenir les plaques de poly séparant le centre de l'avant, qui elles mêmes soutiennent le "toit". Le toit en question est relié aux autres éléments via des tourillons: Tout comme la grande plaque avant dans le support en bois: (les découpes "carrés" à la base sont pour "avaler" les vis de maintien visible sur la photo ci dessus) Il y a masse de place pour pouvoir aménager l'intérieur par la suite (pas prévu dans un premier temps). Également, je pense découper le "toit" pour pouvoir, d'une part y passer mes mains pleines de doigts pour pouvoir tout bien fixer, d'autre part y mettre du plexi pour voir l'intérieur. Ici, principalement de gros morceaux de poly, mais la partie inférieure va nécessiter une bonne réflexion pour l'assemblage. Reste aussi à combler le trou entre les deux morceaux qui séparent l'avant de la partie centrale, sur le dessous: L'intégration des grands panneaux latéraux se fera après, mais ça, je ne me fais pas trop de soucis, ça va bien se fixer quelque part sur une des nombreuses plaques de bois Je me tâte pour faire un raccord biseauté entre l'existant et les futurs panneaux latéraux, je le ferai si ça ne me complique pas trop la vie au niveau fixation.Ce dont je suis content c'est qu'au final, la partie avant ne devrait pas peser trop lourd, et c'est une bonne chose parce qu'il y a quand même un porte à faux d'environ 40 cm entre la fin de la planche à repasser et l'extrémité avant! A vos caillasses ? Crio
  14. Bonjour à tous, Chapelain Lemartes des Blood Angel terminé: Pour la suite, je me concentre sur ma barge de bataille, et côté piéton, ce sera le 2ème chaton Khaliman que je possède: un Ghulam A bientôt, Crio
  15. criomega

    [40k] Barge de Bataille

    Bonjour à tous, Le prochain n'est pas encore planifié, et il faudra que je déménage pour l'entreposer ? Pour les modifs, oui, ce n'est jamais agréable de devoir revenir sur quelque chose qu'on pensait avoir fini, mais c'était une galère sans nom à assembler sans lesdites modifs. J'aime beaucoup les meubles en MDF, et ils devraient tous pouvoir rentrer dans les compartiments! C'est pas bête, j'avais pas du tout pensé à comment charger le bazar dans le vaisseau. Du coup, j'imagine une grue coulissante 2 axes fixée au plafond, avec un système pour la faire se retourner et attraper les paquets à l'extérieur. Je dois réfléchir pour intégrer le tout, mais ça doit pouvoir se faire. Voici le niveau supérieur de l'infirmerie et du poste de commandement: Les espaces sont séparés par une plaque de plexi, non visible sur les photos, dont les montants sont à peu près au milieu, liés au séparateur en carton plume (en noir pour l'instant). Je dois bien évidemment retirer les films protecteurs pour qu'on puisse voir au travers Les containers de la zone de fret sont terminés, je devrais pouvoir attaquer le mobilier de l'infirmerie et du poste de commandement très prochainement. A bientôt, Crio
  16. Très jolie fig, d'autant plus pour une reprise. Pour ton décalco qui est à l'envers, si tu t'en sens le courage tu peux tenter de le retourner. Je m'explique: le principe du décalco, c'est qu'il se décolle de la planche de transfert en mettant de l'eau. Même si déjà transféré sur le plastique (peint ou pas) c'est pareil. Faut bien humidifier, et avec un pinceau propre, réussir à le glisser sous une extrémité du décalco. Là, soit tu es confiant et petit à petit, tu humidifies partout sous le décalco et tu le retournes directement sur la fig (mais vu la zone ça me paraît tendu); soit tu le remets sur un morceau vierge d'une planche de transfert et tu refais la manip normale.. Si tu as déjà vernis, là, je pense que c'est foutu, la couche de vernis imperméabilisant le tout. Je le redis, faut s'en sentir le courage, prendre son temps et ne pas s'énerver si le décalco ne vient pas d'un coup. Vivement la prochaine, Crio
  17. Bonsoir à tous, J'aurai été beaucoup plus vite que ce que j'imaginais, mais le voilà! Méhariste Khaliman du jeu Alkemy: Un vrai plaisir à peindre, une fois les teintes de la fourrure déterminée Chapelain Blood Angel à suivre! A vos cailloux, Crio
  18. Pour de la résine bi-composant facile d'utilisation, tu as la Résine Crystal de chez Gedeo (résine d'inclusion, donc brillante) à voir s'il n'y a pas des équivalents plus mat. Une dose de durcisseur A pour deux doses de résine B et tu touilles. C'est de la résine epoxy transparente, qui ne sent vraiment pas fort contrairement à la résine polyester qui pue (mais qui est moins cher). Si tu l'étales au pinceau derrière, le pinceau sera mort, car la résine une fois sèche, c'est hyper dur, et c'est une misère à nettoyer avant. Par contre, concernant la fluidité, c'est relativement épais, donc à voir avec ton plâtre pour que ça puisse pénétrer. Mes deux sous Crio
  19. criomega

    [40k] Barge de Bataille

    Bonsoir à tous, Très pris par la vie, j'ai dû mettre en stand by ce chantier. Commençons par quelques réponses: Alors, ce n'est pas faux, je pourrais, mais dans tous les cas il faut que j'en commande quelques unes pour pouvoir faire le moule. Ensuite, je ne suis pas certain de réussir à obtenir des résultats qui me conviennent compte tenu des détails présents sur les pièces. Enfin, je visualise à peu près le poids que font ces pièces en résine, mais n'ai aucune idée de ce que pèseraient des moulages. Et vu que le critère poids est quand même super important, je préfère partir sur des bases que je maîtrise. Le critère "prix" est moindre, compte tenu de l'envergure du projet et de sa durée Merci @The frenchy. Disons que les différences de texture peuvent passer prises séparément, mais il est vrai qu'une fois tout rassemblé, ça fait un peu disparate. Mais c'est pas grave, c'est le premier que je fais Merci pour tous les compliments, ça fait chaud à mon petit coeur ? Pour focaliser sur le poly: même si ça harmoniserait et consoliderait le tout, non, je ne me sens pas de tout reprendre. Donc pour l'instant je garde en l'état, je reviendrai peut être dessus (beaucoup) plus tard Pour parler de la bête maintenant: Au delà des aspects vie réelle qui m'ont contraint à ralentir, j'ai dû reprendre pas mal de chose au niveau assemblage, en particulier redécouper les zones de plancher avant et arrière qui me gênaient vraiment pour fixer les linteaux. Beaucoup de reprises de continuité également, évoquées dans mon post précédent: épaisseur de la peinture, coup de lime à passer ici et là. Et finalement, on arrive à un truc qui tient la route : On peut voir sur la gauche de l'image un ajout de longueur qui me permettra de fixer la zone avant. (également visible, une baguette qui sert à maintenir en contrainte les planche de contreplaqué entre elles (c'est clair dans ma tête, peut être pas dans mes écrits) ). Avec cet ajout et la plaque de contreplaqué visible sur la droite de la photo (au sol), le vaisseau atteint sa longueur définitive: 185 cm d'un bout à l'autre Il sera peut être encore plus long en fonction de comment je fera l'arrière, mais ce n'est normalement pas prévu. Les pièces d'ameublement des zones de commandement et l'infirmerie sont en cours de choix et d'assemblage: Et voici à quoi ressemblera la zone arrière qui est une zone de "fret": Sans la passerelle de jonction avec les niveaux supérieurs: Et avec: Pour la suite: finir le choix et le montage des meubles, faire le plancher en plexi du poste de commandement et de l'infirmerie, et bien sûr, peindre tout ça! A vos cailloux, Crio
  20. Bonsoir à tous, J'aurais mis un temps fou à le finir, mais le voici: Capitaine Dark Angel (edition Games Day, je ne sais plus l'année): J'aime beaucoup les nouvelles teintes dorées, je n'en utilisais qu'une auparavant (Gehenna Gold) et ça change pas mal. Le prochain à passer sur le billard est un méhariste Khaliman du jeu Alkemy; en espérant mettre moins de temps pour le faire que le capitaine... A bientôt, Crio
  21. Bonjour à tous, La commande de Garde Impériale est terminée: Célestine et les sœurs terminées: Les figs sont superbes, j'ai adoré peindre les sœurs, mais Célestine m'a donné du fil à retordre, certaines zones sont difficiles d'accès une fois le tout assemblé. 2 Manticore: 1 Leman Russ commandé par Pask, avec option pour la tourelle principale: Toutes les armes sont détachables (les canons de la tourelles centrales et les tourelles latérales sont en plus aimantées) A bientôt, Crio
  22. Bonjour à tous, La commande de Garde Impériale se termine sur les 3 chars suivants: 2 Manticore: 1 Leman Russ commandé par Pask, avec option pour la tourelle principale: Toutes les armes sont détachables (les canons de la tourelles centrales et les tourelles latérales sont en plus aimantées) A bientôt, Crio
  23. Bonsoir à tous, Content que ça te plaise @Xiven Ça demande du temps, une main qui ne tremble pas trop, et encore du temps. Les photos de Célestine et des sœurs terminées: Les figs sont superbes, j'ai adoré peindre les sœurs, mais Célestine m'a donné du fil à retordre, certaines zones sont difficiles d'accès une fois le tout assemblé. A bientôt, Crio
  24. Bonsoir à tous, Suite au MP de @Pimouss, je poste ici la procédure que j'utilise depuis Flickr: Dans ma galerie ou album Flickr: - Je clique sur l'image que je veux partager - Je clique sur la "flèche arrondie" qui propose les modes de partage - Je sélectionne BBCode en choisissant la taille (en général je prends "Originale", pour respecter le format que j'ai sur mon PC) - Je copie le code, du genre et le colle dans la fenêtre de réponse du forum (sans passer par "Ajouter un lien") [url=https://flic.kr/p/LmHoYu][img=https://farm2.staticflickr.com/1761/29114104588_ba4a512067_b.jpg][/url][url=https://flic.kr/p/LmHoYu]P1030869(1)[/url] by [url=https://www.flickr.com/photos/162595597@N06/]Christophe Luthaud[/url], sur Flickr - Je supprime les morceaux inutiles: [url=https://flic.kr/p/LmHoYu][img=https://farm2.staticflickr.com/1761/29114104588_ba4a512067_b.jpg][/url] Et c'est tout. Je suis parfois obligé de recharger la page du Warfo et de recommencer mon message, du coup je copie colle dans Notepad avant de valider. J'utilise Firefox, mais je ne pense pas que ça joue trop. Cela a permis à @Pimouss de solutionner son souci, donc j'espère que ça pourra en aider d'autres Crio
  25. Yop, Par contre, l'eau artificielle c'est clairement pas fait pour obtenir ce genre d'effet. Il vaut mieux t'orienter vers la résine d'inclusion transparente (Gedeo en fait une très bien). Pour la "barrière", je plussoie @xain-phax une feuille de plastique un minimum rigide (genre transparent pour imprimante), de quoi bien imperméabiliser au niveau de la jonction (du joint pour salle de bain transparent fait l'affaire, faut le laisser sécher avant de couler pour limiter les risques) et c'est bon. Un coup de scotch pour maintenir ta "barrière" plastique, tu coules et tu laisses sécher (perso j'attends 24h avant de retirer les protections. J'ai pas eu besoin de vaseline pour faciliter le détachement de mes barrières, la résine ayant tendant à se rétracter lors du séchage (un peu, tu vas pas avoir des rainures de 10 cm ) Mes deux sous Crio
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