Vinceyoungbarbe

Bonjour, Une histoire aussi longue mérite au moins quelques commentaires. D'abord je ne suis pas du tout écrivain ou même étudiant en littérature (si toi tu es un "écrivain du dimanche", en comparaison je suis du "dimanche" tout court lol) donc je te donne quelque avis en tant que simple lecteur. Quelques remarques en vrac : D'abord au niveau du style : rien à dire c'est très bon. C'est un style efficace un peu à l'anglo-saxonne. Attention toutefois à certaines parties qui sont moins bonne que d'autres (genre milieu du chap 3. Et à la fin ton style ce délite un peu. (Avec des phrases qui tombent comme des cheveux sur la soupe et qui ne sont pas évidente à comprendre)). Les références terrestres à notre culture cassent un peu le récit jusqu'a que tu les expliques dans le cas du dynaste (et du coup cela donne un perso franchement génial). Mais les autres je ne pense pas qu’elles soient à leur place (genre le commandant Shépard!! à proscrire). Peut-être d'ailleurs que j'ai loupé un épisode (ou que j'ai mal lu) mais je ne comprends pas ce que vient faire le mini récit avec les impériaux ? Au niveau de la narration et de l'histoire. Il y a juste un truc qui m'a beaucoup embêter, c’est le fait qu'à chaque coupure dans le texte tu repartes sur une page d'envolé lyric ou de réflexion métaphysique cela casse le rythme de la narration. Je m'explique : généralement on suit le fil de l'histoire puis il y a une coupure dans le récit. A ce point on a envie de connaitre la suite de l'histoire, mais dans ton récit à la place on lit une page de réflexion et/ ou envolé lyric et on se demande ou tu veux nous emmener. C'est d'autant plus préjudiciable car généralement après cette page tu ouvres un autre fil d'histoire (qui va se reconnecter bien plus tard au fil principal). Bref cela ne rend pas ton récit fluide. Et cela saute d'autant plus aux yeux que tu as tout regroupés dans un seul fichier. Cela aurait été atténué si tu avais posté en plusieurs morceaux ton récit. Voilà sinon j’ai beaucoup aimé. Je ne connaissais pas le fluff nécron mais grâce à ton récit j’ai beaucoup appris. Mention spécial a la partie avec Anatael et surtout la fin de cette dernières qui est génialissime (c’est mon côté adorateur de Slaanesh qui ressort !). Au plaisir de te lire une prochaine fois.

Très sympas. Je me suis bidonné plusieurs fois avec les noms d'orc (j'imagine entre autre très bien un orc avec une tête de Bogdanoff (et vice versa)). Je t'encourage vivement à poursuivre leur historique ! Bonne continuation

Sympas le chapitre. Très détaillé on sent que ta bossé sur leur background. Au niveau du chapitre en lui-même, je les trouve, AMHA, un peu très/trop "nive guy" (évidement ce point de vu n'engage que moi). Et sinon il me semble qu'une petite rivalité avec les Red Corsaire chaotique est tout indiquée !! Imagine un petit combat épique entre Ludwig Von Luttich et Huron Sombre Coeur sur une planète/Space Hulk/Vaisseau en flamme cela pourrait être sympas a raconté. Voila Désolé si ce poste ne sert pas à grand-chose. Bonne continuation.

[i]Bonjour à tous. Cela fait au moins cinq ans que je n’avais pas posté ici. A l’époque j’avais rédigé un texte sur le capitaine d’un chapitre chaoteux qui s’appelait Rold. J’avais aussi écrit le début d’un autre récit sur le même personnage mais je ne l’avais pas fini. Ba finalement je l’ai repris récemment pour le terminer. Attention le récit est plutôt gore et brutal. Je vous prie d’excuser, par avance, le style et l’orthographe parfois approximatifs. Un peu pour résumer : dans les précédents récits, je racontais l’histoire de Rold, un officier des Emperor’s Children qui se rebella contre la légion après l’hérésie d’Horus. Il fut battu à plat de couture et contraint à l’exil après avoir tenté d’aborder la barge de bataille de Fulgrim. Puis il revint quelques millénaires plus tard pour participer à la 3eme et 4eme croisade noire sous les couleurs de la Black Legion. Il fut alors trahi par ses supérieurs, puis aidé par les Emperor’s Children. Après cette aventure il décida de fonder son propre chapitre renégat : les Pure Bitterness. Rold fut sauvé à plusieurs reprises grâce aux faveurs de Slaanesh. On le retrouve quelques millénaires plus tard alors que le Chapitre des Pure Bitterness est au sommet de sa forme. Bonne lecture.[/i] Première Partie : Un voyageur. La porte tourna sur ses gonds et une forme humaine passa son seuil, portant une cape noire la silhouette semblait longue et décharnée. Devant elle se trouvait la salle où siégeait Rold, le commandant des Pure Bitterness. Assit sur son trône de cristal aux reflets violacés, il regardait la silhouette s'avancer. Au passage de cette dernière, des milliers d’yeux incrustés dans les colonnes et sur les murs de l'imposante salle s'ouvraient pour scruter le visiteur. La silhouette ne se laissa pas distraire et savait bien que le vrai danger ne venait pas de ces yeux décoratifs mais des gardes cachés dans l'ombre attendant le moindre faux pas de sa part pour se précipiter sur lui. Une voix se fit entendre, émanant du corps assit sur le trône, mais les traits fin et délicat de Rold ne bougèrent pas : c'était un raffinement qui lui tenait à cœur. -Qui es-tu visiteur ? Et pourquoi es-tu-la ? L'inconnu ne répondit pas. Il s'avança jusqu'au pied du trône et retira son capuchon révélant ainsi ses traits anguleux et sa peau sombre d'Eldar noir. -Je me nomme Lastigüé de la Cabale Sanglante et si je suis ici c'est pour vous proposer un marché. Il laissa un silence s'installer et attendit que Rold lui fasse un signe de la main pour continuer. -En réalité ce n'est pas un marché..., Lastigüé fit une pause pour choisir avec soin ses prochains mots, c'est plutôt une dette que votre légion nous a contracté. -Ma légion ? Rétorqua Rold en bougeant la tête mais pas les lèvres. -Les Emperor’s Children, oui … Rold partie d'un rire sonore contrastant avec la passivité de ses traits qui ne bougeaient toujours pas figeant son visage dans du marbre, lui procurant une beauté digne des plus grandes sculptures de l'histoire. Quand son rire s'éteint, il tourna la tête sur l'ambassadeur Eldar le transperçant de se yeux noir d'où flamboyait une flamme qui ne s'était pas rallumé depuis des siècles. -Et pourquoi faire appel à moi, je ne fais plus partie de la légion, je l'aie quitté il y a longtemps... -Nous somme allés voir les Emperor’s Children mais ils nous ont ri au nez, ils étaient tellement arrogants et égoïstes, ils nous ont juste dit que certain chapitre dissident comme les Pure Bitterness pouvait peut être répondre à notre appel. -Soit...Quand la dette a-t-elle été contractée ? Comment peut-elle être effacée et qu'a notre chapitre à gagner en retour ? -Il y a fort longtemps, après l'hérésie d'Horus dans votre fuite vers l'œil de la terreur, certains de votre légion nous ont demandé des psychers de notre cabale pour vous repérer dans le Warp environnant. Nous ne les avons jamais revues. Pour le sang de nos frères, nous vous demandons des esclaves ainsi qu'un artefact qui nous a été volé lors d’une défaite, il y a de cela huit mois. Nous avons retrouvé sa trace et voulons le récupérer, mais notre armée et encore trop faible. Il est à bord d'un vaisseau de l'Astartes. Je suppose que si vous réussissez à l'abordez sans trop l'endommager vous pourrez conserver ce croiseur d'attaque. Un croiseur d'attaque Space Marine. La récompense était grande d'autant plus que sa propre flotte était en mauvaise état. -Et si je refuse ? -Nous irons voir d'autres chapitres prêt à le faire : nous ne sommes actuellement pas en mesure de proférer des menaces à votre encontre mais sachez que les Eldars noirs ont la mémoire longue. -Parfait, relança Rold et faisant un signe de main pour que sa garde cachée dans l'ombre de la salle écoute ce qu'il avait à dire, en ce jours moi Rold et les Pure Bitterness vont payer cette dette. Pas au nom de la légion, mais en mon nom car à cette époque je faisais partie de leur rang. Deuxième Partie : Les Impériaux. Rold était au commandement de son vaisseau amiral, un croiseur lourd de classe Styx, répondant au doux de noms de Frightening. Ce croiseur avait jadis était beau : un glorieux ancêtre de la grande croisade, tout peint en vert sombre et recouvert de dorure, il était sorti des usines de Jupiter pendant l'Hérésie d'Horus et fut capturé juste avant son premier vol lors de la fuite d'Abbadon vers l'œil de la terreur. Certain dirons qu'il était encore plus beau lorsque qu'il fut repeint en noir d'obsidienne aux écussons de la Black Legion. Mais peu après, il perdit dans une bataille, comme il y a tant dans l'univers, qui le contraint à la déroute. De là il fut récupérer par un ferrailleur qu'il le revendit d'occasion à un maitre de guerre fauché. Ce dernier le mis au placard en attente de réparation durant presque six millénaires. Et quand Rold le racheta il sentit dans le Frightening une rage de la bataille, ce vaisseau avait été déshonoré dans son amour propre et à présent il voulait se racheter, c'est ce qui plut à Rold. Depuis lors les flamboyantes couleurs du Frightening ne purent pas être restaurées car Rold était un chef de guerre très exigeant avec les autres et surtout avec son matériel, il ne prenait jamais la peine de repeindre son vaisseau. Il était toujours au combat et les moments de repos était rare. Jusqu'à présent sa fortune ne l'avait pas abandonné et c'est encore une fois en infériorité numérique qu'il allait combattre l'ennemie. Ils devaient affronter un croiseur d'attaque rapide Space Marine (rien que cela était déjà considérer pour certain comme de la folie) escorté par deux croiseur de la flotte Impérial : un de classe Lunar et un de classe Dictator. Avec un vieux Styx tout cabossé et un Murder sortie tout récemment d’une longue réparation, le combat allez être inégal. Le Frightening fut le premier à sortir du Warp. Il se dirigea vers la cible, hurlant comme le veut la tradition des obscénités sur tous les canaux de communication. Les trois vaisseaux ennemis réagir instantanément et les deux croiseurs Impériaux rompirent la formation, laissant derrière eux le croiseur Space Marine en orbite autour d'une petite lune. Rold observait sur ces écrans les données défiler, il était directement connecté à l'interface du vaisseau à l'aide d'un énorme câble électrique branché dans sa nuque, devant lui le poste de commandement était en effervescence, il pouvait voir les serviteurs s'affairer aux taches qui les incombaient, derrière lui se trouvait le pilote, complétement avachi, les yeux clos, branché au vaisseau à l'aide d'une multitude de câble sortant de son corps et finissant dans le siège. Son équipage était fidèle et bien entrainé. Rold ne fut pas étonné de voir avec quelle rapidité les voyants passèrent au vert signifiant que les équipes étaient prêtes pour le combat. Seule une partie du flanc bâbord restait obstinément rouge sur ses moniteurs. Ce soucis technique était dût au dernier affrontement ou une partie des ponts d'amarrages bâbord avait été détruit et déchiqueté dans l'espace suite à un tir d'artillerie loyaliste. Le tir avait ouvert une brèche dans la coque laissant une longue cicatrice verticale. Mais Rold savait transformer une faiblesse en force... Lorsque les deux vaisseaux furent a porté de vue des censeurs optiques, il ordonna un tir d'artillerie. Les projectiles giclèrent dans l'espace à des vitesses incroyables, des faisceaux d'énergie jaillir dans le noir du cosmos brillant de mille feux et éclairant la grosse balafre du Frightening. Un défaut structurel dans la coque d'un vaisseau était une denrée rare que tout bon commandant savait et devait repérer. Le tir de Rold était bien ajuster et visait l'arrière du Lunar. Ce dernier pour diminuer l'impact accéléra et se rua en avant pour intercepter le Frightening. Le capitaine du Lunar vira au maximum pour être sur le côté bâbord et ainsi pouvoir exploiter la structure affaiblie. Mais ce faisant il prit une grande avance sur son coéquipier. Il essuya un nouveau tir du Frightning, cette fois un peu plus sévère mais pas suffisamment ; les boucliers du Lunar encaissèrent la décharge. Il arriva comme un boulet de canon sur le flanc du Styx et Rold pouvait voir la dérivation de l'énergie des moteurs du Lunar se répartir sur les armes offensives. L'impact allait être violent. Le Lunar déchargea ses armes presque à bout portant. Rold serra les dents, les boucliers s'effondrèrent suite à la violence du tir mais ils avaient essuyé la majeure partie de l'impulsion et la structure du vaisseau ne fut pas atteinte de façon sérieuse. Il ordonna le verrouillage de la cible. Il n’avait plus beaucoup de temps, car la prochaine salve du croiseur ennemi leur serait fatale. Rold était toujours à la pointe des combats et connaissait la différence entre la témérité et l'excès de confiance. L'Impérium était faible et inexpérimenté pensa-t-il. Un petit point noir sur son écran l'avertie de la sortie du Warp de son croiseur de classe Murder juste à côté de lui, à sept heures, au moment même où le Lunar arrivait à hauteur du Frightening. Le vaisseau Impérial se retrouva au milieu des deux croiseurs et son avance sur le Dictator empêchait tout soutient de sa part. Alors même qu'ils se croisaient, Rold ordonna un tir à bout portant, cette fois-ci la salve détruisit les derniers boucliers encore levés du Lunar. Le croiseur Impérial était servi sur un plateau d’argent. Le vaisseau tout entier était pris de panique, la réponse offensive fut maigre et sans violence, Il continua sa course, mue par son énergie cinétique et se rapprocha de plus en plus du deuxième croiseur des Pure Biterness. Rold regardait dans son écran le Lunar en prise avec sa panique, il se délectait de la peur qui émanait des personnes qui allaient mourir, il pouvait presque voir l'épée de Damoclès au-dessus du croiseur tandis que ce dernier se préparait à l'impact. Sur son autre moniteur il voyait l'énergie s’accumuler lentement dans les armes du Murder. A l'échelle d'une bataille spatial la distance qui séparait les deux croiseurs pouvait être comparée à un corps à corps tellement ils étaient proches. Rold ressentit de la jouissance lorsqu'un torrent de flammes, de projectiles en fusion et d'énergies crépitant jaillirent du Murder pour venir envelopper la coque du Lunar dans un brasier ardent et infernal. Le tir était soutenu et parut durer des heures et lorsque enfin les senseurs désaturèrent, le croiseur Impérial n'était plus qu'une coque noircit agitée de spasme et d'explosion continuant sa course dans l'infinie du cosmos comme une étoile incandescente qui aurait brulée trop rapidement. Rold félicita l'équipage du Murder, ils venaient juste de reprendre du service. Ils étaient jeunes et inexpérimentés mais avaient pourtant fait un travail remarquable. Il reporta son attention sur le champ de bataille cosmique. Le second croiseur impérial qui contournait initialement le Frightening par le flanc tribord piquait droit sur eux, mais le plus inquiétant était le Croiseur Space Marine d'attaque : en effet il venait de décrocher de sa position pour venir au combat. Il ordonna au Murder et à deux escadrilles de bombardier de s'occuper du Dictator. Il savait que cela n'allait pas être une mince à faire pour son nouvel équipage mais il ne pouvait pas affaiblir d'avantage ces propres moyens d'attaques, en effet il tourna violemment à bâbord et ordonna l'ordre de foncer sur les Spaces Marine. Troisièmes partie : les Space Marine Le Styx est le croiseur d’attaque Space Marine était à présent face à face. Rold ordonna de tirer une salve de torpilles juste sur le flanc droit de l'ennemi. Les torpilles étaient vraiment considérées comme arriéré au XXXXIeme millénaire, néanmoins elles avaient toujours un impact psychologique sur l'adversaire. En tirant à droite il souhaitait que l'ennemi les évite en tournant à droite. Mais les Space Marine se méfièrent et pensèrent à un nouveau piège. Ils prirent donc le risque de tourner à gauche coupant la trajectoire des projectiles. Les torpilles passèrent et ne firent pas de dégât. Les Spaces Marines sont si prévisible ! A présent, les deux vaisseaux se faisaient face mais légèrement décalés si bien que le Styx montrait à son adversaire son flanc tribord : celui sans égratignure. Les Space Marines étaient tombé dans le panneau. Rold profita de la portée accru des armes du Styx pour attaquer le premier. Son tir de batterie et d’artillerie naval ne fit pas grand dommage mais il profita de cet instant pour envoyer des chasseurs et des bombardiers. Des milliers de petit vaisseau furent vomis des baies d’embarquement. Parmi eux une escadrille de vaisseaux Eldar noir, qui mirent rapidement en route leur camouflage, si bien que perdus dans le cosmos personne ne pouvait les voir. Cependant la bataille n’était pas encore gagnée et la phase la plus dangereuse ne faisait que commencer. Le Croiseur d’attaque était à porté de tir et riposta. L’impact fut violent, les boucliers furent parcourus de zébrures vertes et violettes avant de céder sous l’énorme énergie qu’ils devaient encaisser. Mais le pire était ce qui venait après, l’arme tant redoutée des ennemis des Space marine : le canon de bombardement. Trois bombes à magma lancées à des vitesses relativistes vinrent cribler la structure métallique du Frightning. Rold sentit les vibrations dut à l’impact et aux explosions parcourir la coque du vaisseau. Lorsque le poste de commandement s’arrêta de trembler, Rold demanda les rapports d’avaries. La moitié du vaisseau était dépressurisé tandis que la plupart des armes à tribord étaient hors service. Rold sourit intérieurement car son plan pouvait continuer. Il reporta son attention sur la carte du champ bataille et déchanta assez rapidement, en effet le croiseur d’attaque Space Marine était en train de changer de cap, ce dernier s’éloignait du point de rencontre initial. C’est maudit Space Marine veulent utiliser leur mobilité accrue pour nous contourner, pensa Rold. Il ordonna immédiatement de recalculer une trajectoire d’interception, mais au même moment l’escadrille de chasseur et de bombardier entamèrent le combat sur le croiseur Astartes. Parmi eux les vaisseaux Eldar noir s’approchèrent furtivement et accrochèrent sur la coque la bombe IEM, qu’ils déclenchèrent immédiatement après. Le pulse initial déchira le Warp et l’espace normal, la bombe était si puissante qu’une partie des instruments du Frightening furent touchés. Lorsque les capteurs furent réalimentés en courant, Rold put voir les moteurs du croiseur Space marine éteins. Son vecteur d’accélération était nul. L’ordinateur clignota en vert : il venait de trouver une trajectoire d’interception. Les moteurs du Styx se mirent en marche pour fondre sur son adversaire. Rold ressentit une jubilation malsaine à l’approche de la cible. La bombe IEM était une bombe pulsée qui dégageait une détonation toute les microsecondes. Au fur et à mesure, les pulses étaient de moins en moins puissant, mais l’effet approximatif était estimé à 15 minutes, durant lesquelles l’esprit de la machine et les courants électriques étaient perturbés. Rold commença l’approche final, les pulses n’avaient presque plus de puissances, mais les moteurs du croiseur d’attaque n’avaient toujours pas redémarrés. Il ordonna la téléportation de ces escouades de terminators, tandis que des immenses tentacules, qui avaient depuis longtemps remplacées les grappins d’abordage, parcoururent le vide spatial pour s’accrocher et prendre prise sur le vaisseau ennemi. Les deux bâtiments de guerre étaient à présent tête bêche, et le vide entre les deux appareilles fut rapidement saturé d’aéronefs. Des barges d’abordage, des chasseurs et des Tunderhawk se battaient férocement dans le but de mettre un pied sur le vaisseau ennemi. C’est alors que l’impossible se produisit, les moteurs du Croiseur d’attaque se remirent en route entrainant les deux monstres de métal toujours attachés l’un à l’autre dans un tourbillon macabre. Un bruit effrayant et énorme de tôle tordu parcourut le poste du commandement. Rold était pétrifié, toute sa vie défila devant ces yeux. La structure du Styx, affaiblit par tous les combats, ne supporterait pas plus d’effort. Il allait mourir enchainé dans cette cage de métal. Un flash blanc vint inonder le poste de commandement. Le bruit s’arrêta alors que ces yeux recommençaient en envoyer une image net de la scène. Au travers de la vitre Rold pu voir une flamme, sortie des moteurs du vaisseau Space marine, venir noircir la pointe avant de la coque du Styx. Les deux vaisseaux étaient toujours enlacés l’un l’autre tournoyant dans le vide stellaire, mais les moteurs c’étaient arrêtés. Rold demanda un rapport : l’escouade cinq et neuf de terminator du chaos, qui c’étaient téléportés au début de la bataille, avaient réussi à faire exploser les moteurs au péril de leur vie. Rold regarda droit devant lui, il pouvait voir à l’œil nu l’arrête dorsal principale du Styx faussée d’au moins sept degrés ! Le vaisseau avait plié sous l’énorme contrainte qui lui était appliquée. Il se déconnecta et partit en silence du poste de commandement, il enfila son armure terminator, alors que sa suite au nombre de cinq vint le rejoindre. Ils partirent en direction du pont d’abordage. Ils rencontrèrent une porte de métal avec un servant tripatouillant les boutons sur le côté, ce dernier leur expliqua qu’il essayait de pressurisé le sas derrière la porte mais que les réparations allez durer un peu de temps, Rold ne l’écouta pas et fit un signe de tête a un de ces gardes, ce dernier défonça la porte de métal avec son poing tronçonneurs, Rold et sa suite passèrent par l’embouchure tandis que derrière eux les yeux du servant commençait a sortir de leur orbite alors qu’il mourait de suffocation à cause de la dépressurisation. Ils arrivèrent au pont de lancement, ce dernier avait extrêmement souffert et les baies d’abordage pouvaient s’apparenter d’avantage à des plaies béantes sur l’abime. De là où il était, Rold pouvait voir le no-man-land parcourut par des milliers d’appareil et par des milliers de projectile ou d’explosion. Le hangar était entièrement dépressurisé et gérer par des Spaces marines du chaos en armure énergétique. Le Thunderhawk noir de Rold arriva sur l’une des catapultes encore en service. Une énorme poutrelle d’acier avait perforé le cockpit tuant le pilote sur le coup. Le terminator avec son poing tronçonneur vint dégager les gravats. Il arracha le cockpit et balança au loin le corps sans vie. Il fit signe alors à un des Space marine sur le pont de prendre la place du pilote, pendant que Rold et ses terminators s’installèrent dans la soute du Thunderhawk. Quelque minute après, le Space Marine noir déclara le départ. La catapulte balança l’aéronef avec une poussé de cinquante g. Le corps et l’armure encaissa facilement le choc qui aurait tué depuis longtemps n’importe qu’elle humain. Une fois dans la tranché séparant les deux croiseurs, le Thunderhawk partit dans des manœuvres d’évitements incroyables avant de venir s’écraser à près de deux cent mètres par seconde dans la coque du croiseur d’attaque Space Marine. La violence de l’impact ouvrit une brèche qui leur permit d’atteindre l’intérieur du vaisseau ennemi. Le vol n’avait durait que six secondes, suffisant pour parcourir les un virgule deux kilomètre les séparant du Styx. Le pilote, sans cockpit, était mort sur le coup. Rold et sa suite sortirent du véhicule alors qu’approchaient les premiers Space Marine loyaliste. C’est seulement à ce moment que Rold s’aperçut qu’il était encore en vie malgré tout ce qu’il venait de subir. L’adrénaline du combat explosa dans ces veines et il partit d’un rire sonore et dément, qui fit froid dans le dos à ces ennemis. Mais intérieurement Rold défiait une fois de plus les Dieux du Warp de prendre sa vie même s’il savait, après ce qu’il venait de vivre, que cela ne se produirait pas aujourd’hui. Après quelques combats acharnés, Rold et sa suite de terminator arrivèrent au poste de commandement. Ils défoncèrent la porte et arrosèrent généreusement la salle avec leurs bolters jumelés, les têtes des servants giclaient dans une gerbe de sang après avoir reçût un bolt. Il ne resta bientôt plus que le capitaine Astartes, qui sortit son épée énergétique. Mais Rold utilisa la voix de Slaanesh pour le soumettre à sa volonté. Le Space Marine arrêta son geste et Rold l’ordonna d’annoncer la retraite à ses troupes. Ce dernier sous l’emprise de Rold demanda au Space Marine de fuir par les modules de sauvetage. Comprenant son geste il reprit connaissance. Rold lui parla alors avec une voie mielleuse : -Et toi capitaine que vas-tu faire ? Mourir ou te rendre ? -Je… Je suis un Space Marine un guerrier de l’Empereur, la fuite n’est pas une option, la fuite est réservé au hérétique. Au même moment un des terminator qui c’était connecté au terminal confirma a Rold que les capsules de survit commençaient à se remplir de Spaces Marines tentant de fuir. -Surtout ne les laissent pas s’enfuir et bloque la procédure d’évacuation, ordonna Rold. Puis il poursuivit à l’intention du capitaine, après tout, comme l’a si bien dit notre chère ami ceux qui essayent de fuirent sont des hérétique, je suis sûr qu’avec un peu d’entrainement ils feront de bon Space Marine du chaos, n’est-ce pas ? Le capitaine fou de rage attaqua alors, brandissant sont arme énergétique, mais Rold dans son armure terminator était plus rapide et plus fort que son adversaire. Il le mit au sol avant de lui asséner des coups de poing avec toute la colère qu’il avait en lui. Au bout d’une vingtaine de coup l’armure énergique commença à se fissurer et à se craquer, cela faisait quelque temps maintenant que le capitaine ne pouvait plus se défendre. Rold continua jusqu’à arracher le plastron tordu du Space Marine. Ce dernier respirait encore mais toute sa cage thoracique c’était affaissait sous la violence des coups. Il ne bougeait plus. Rold enfonça son arme combiné bolter/lance-flammes dans le torse du capitaine. Une giclée de sang sortit de la bouche de l’Astardes tandis qu’il essaya désespérément de crier. Rold savoura se moment, il rechargea son arme alors même qu’elle était encore dans la chair de son ennemi. Il prit une autre recharge de combustible et l’inséra dans l’orifice prévu à cet effet, quand elle fut en place elle émit un cliquetis sonore. Rold attendit encore quelques secondes avant de presser la détente, le capitaine Space Marine brula vif. Rold se releva et regarda autour de lui. Le poste de commandement était couvert de sang. Couvert du sang de ces ennemis… Ce n’était pas encore aujourd’hui qu’il allait mourir. [i]Merci d'avoir lu.[/i] [color="#006400"][b]EDIT Celt : Merci de ne pas mettre le texte en italique, ça gêne la lecture [/b][/color]

Rien à dire c'est du tout bon ! L'ambiance ork est très bien retranscrit (même si je suis pas un spécialiste dans ce domaine) et les prises de paroles sont vraiment bonnes : on comprend tout et pourtant sa reste ork. Au niveau du style : t'as un style plus proche de l'héroic fantasy que de la science fiction, mais c'est absolument pas pour nous déplaire. Alors continue j'attends la suite avec impatience...

-Bon, alors chef on va tuer qui au nom de l'empereur aujourd'hui ? -Les Purebiterness... -C'est qui ces types ? -Mais putain, Yves, ta pas lu tes ordres de mission ? Il y a l'historique de leur chapitre, et de son leader Rold ici : Récit d'un chapitre chaoteux (en cours d'écriture) -Easy on va leur montrer qu'on n'est pas des mauviettes. Bon je vous suggère d'envoyer toutes nos troupes sur l'ennemis, pendant que, tout les deux on va se boire un café, dans ce bunker sur-protégé et gardé par les meilleurs gardes Imp.... Une alarme retentit, dans la pièce somptueusement décoré du stratégium. Yves déglutit fortement. Ils étaient attaqués...

N'oublions pas une chose, au début de l'année on se ne savait pas qu'un nouveau codex du chaos allait sortir et il était même pas officiellement à l'étude !!! Autant dire que GW n'a eu que peu de temps pour nous concocter ce codex, alors certes il y a quelque règle pas très équilibrer (qui a dit PD de slaanesh avec fouet de soumission ??? ) mais on ne peut pas dire qu'il est franchement nul !!! Non vraiment pour le peu de temps qu'ils ont eu je ne peux que admirer leur travail. Le codex est clair et simple (un peu trop peut-être ??) mais tout à fait jouable par tous que ce soit par le gro-bill, en passant par le kevin, ou bien le vétéran qui joue pour le fluff. Je pense que l'on peut affirmer que ce codex est une réussite (pas vrai non ??) PS : un seigneur qui a le choix entre une armure totor, une arme démon, une arme combiné etc.... çà ressemblerait pas à un arsenal ??? Bon certes très limité et surtout sans don démoniaque, mais quand même il y a quelque combinaison pour personnalisé ses QG contrairement à ce que certain pense...

D'un coté c'est vrai, d'un coté c'est faux. Je m'explique d'un coté ont perd tout l'arsenal (qui faisait le charme de l'ancien dex...), d'un autre coté on perd aussi toute les restrictions, donc la diversité est accrue... AMHA pour trouver de la diversité il nous suffit pas de lire le codex 1 fois.... Petite réflexion personnelle : il faut peut être attendre un peu pour voir apparaître les subtilité du codex smc.

Bravo... Je trouve ce genre de récit vraiment intéressant et en plus le tient été vraiment bien (surtout la partie avec les Shark...). C'est je pense ce qui manque un peu à cette partie du forum des rapports de batailles détaillé comme celui-la et qui donne vraiment envie au autre personne de joué a BFG... car comme beaucoup d'autre je pense avoir adhéré à ce jeux à cause de son fluff et de son coté spectaculaire...Des énormes amas de ferrailles qui se tordent, s'embrasent et au milieu de tout ça des millier d'hommes seul et ne pouvant rien faire d'autre que de mourir dans c'est cerceuille géant... C'est des récit comme cela qui captive et passionne les gens...

Salut, déjà je voulais vous dire que je suis nouveau a BFG avec une s'tchi armé de marine... .... Et que si j'ai décidé de débourser 100 euro dans les BFG c'est grâce à vous car vous êtes super sympas et très drôle... Ensuite j'aimerais vous poser l'éternelle question que tout les joueurs marines se posent et qui (apparemment) séparent en 2 groupes tout les joueurs de marine c'est l'histoire de la barge de bataille ou des 3 Strike Cruiser. Faut-il mieux prendre 3 strike cruiser ou une barge de bataille ?? Pour essayer d'apporter une réponse j'ai fait une partie avec mon pote (PS : c'était notre première partie) et comme je n'ai qu'une seul armée on a partagé mais marine en 2 force ^^.....et évidement il y avait une barge de bataille d'un coté et 3 Stike Cruiser en face. Ça c'est fini avec la barge de bataille tomber a 0 Point de structure et pour ce qui est des Strike Cruiser il en resté 1 en entier et un autre ne pouvant plus tourné et réduit a la moitié de ces point de vie. Cependant j'ajoute un bémol c'est que l'on a honteusement oublié de faire un jet de dommage catastrophique lorsque le premier Strike cruiser c'est fait terrassé. Donc voila finalement on en est toujours au même point. alors qu'est-ce que vous en pensé ? PS : je dois avouer avoir une petite préférence pour la barge de bataille ...

Salut Sa dépend ta question porte à ambiguïter... En effet tu demandes la liste particulière de chaques Vaisseaux-Mondes (Biel-Tan, Ultwé etc....) OU simplement la liste des vaisseaus-mondes en générale (des eldars quoi). Si c'est le premier choix sache qu'il y a aucun différence en therme de règle pour chaque vaisseaux-mondes et que toutes les règles et vaisseaux concernant les Eldars se trouve P129 à 134 de BFG-complet ET P52 à 54 de BFG-armada.

Sinon peut être qu'ils sont reliés biologiquement à leur armure. Que les ingénieurs Tau crée de nouveaux tissues organiques ou alors semi-organique et les greffent sur les malheureux shas'ui. Ainsi des muscles hyper-développés rattachent le shas'ui à son armure, comme ça le pilote fait juste un petit mouvement et la combinaison réagit vite et fort. Enfet le pilote garde la taille et la carrure d'un tau, sauf que des muscles lui sortent des avant bras ou des mollets. L'inconvénient c'est que le conducteur d'éxo restera toute sa vie conducteur d'éxo et que cela ne colle pas trop avec la mentalité des Tau... Mais enfin au niveau de la biologie les tau sont quand même bien avancé puique l'Impérium soupçonne qu'ils ont accélérés leur développement...

Bonjour, Voila j'aimerais faire un texte mettant en scène des exo-armures crisis XV8 Tau, et j'aimerais savoir comment vous voyez l'intérieur de ces machines ?? Est-ce que le sha-sui y est assis derrière un écran de contrôle, est-il debout dans un polymère plastique qui le maintient dans de bonnes conditions, est-il relié par des cables accrochés à son cerveau ..... ???? Si vous avez des idées n'hésitez pas à les poster. Et n'hésitez pas à être le plus précis possible. Et faîtes marcher votre imagination. PS : j'espère être dans la bonne section du forum. Edit de yohannlb36: tu vas servir d'exemple, désolé, mais j'ai mis en gras les fautes d'orthographe (et de grammaire, même si pour le coup, je pinaille) que j'ai corrigées, donc, SVP, je vous en supplie, arrêtez de massacrer notre belle langue de Molière, même si tu es loin d'être le pire, j'en conviens... Merci d'avance...