Thomov Le Poussiéreux

Diable! Voilà qui est terriblement rationnel... Si ça fonctionne pour toi tant mieux mais je sais que de mon côté j'ai besoin de bricoler un peu en cours de route et faire avec ce qui me tombe sous la main. Un peu de fantaisie dans tout cela en somme

Fonce, on te couvre Toujours preneur de nouveaux tuto et de nouvelles sources d'inspiration. J'avais commencé des plaques modulaires pour Mordheim entièrement plâtrée à une époque; les photos sont toujours visibles en section Mordheim. C'est un sacré boulot mais le rendu est terrible Hâte de voir ton travail

Salut et merci à vous deux pour les commentaires. /> Pour te répondre, Von Carstein, la porte qui donnera dans la montagne sera située à l'arrière (bien à l'abri d'éventuels tireurs ennemis). Ce n'est pas franchement évident mais je vais essayer de te montrer ça avec une photo: [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0625.jpg[/img]" /> Bien entendu, il faut imaginer le reste puisque je n'ai encore aucun moyen de le faire tenir tant que je n'aurai pas construit le reste de la montagne... />

Merci pour ces commentaires aimables et constructifs Il se trouve que je me suis posé ce genre de questions sur ce bon Ulrich von Beckdorf et que j'y ai partiellement répondu, en plus d'en garder quelques unes en réserves pour mes vieux jours... Le texte est bien avancé depuis tout ce temps, vous trouverez sans doute des réponses à certaines de vos interrogations et j'espère que le rythme particulier que j'essaie d'entretenir vous sera agréable. Si c'est le cas, je ne peux que vous encourager à lire "Le Chien de Guerre" de Michael Moorcock dont je tire mon inspiration Concernant les origines d'Ulrich, je peux déjà vous dire qu'il est d'extraction noble quoique né énième fils d'une importante fratrie, ce qui explique qu'il ai choisi de courir les routes plutôt que de rester dans l'ombre de ses frères. C'est dans cet esprit que j'ai imaginé mon personnage et donc sa façon singulière de s'adresser aux autres; vestiges d'une éducation tenace. Voici d'ailleurs la suite, chers lecteurs, je vous laisse au texte: Deux jours plus tard, ma route croisa une véritable et large voie pavée que je décidai de suivre par le Sud. La route semblait en bon état mais je ne rencontrai cependant personne avant la tombée de la nuit. Comme je venais de descendre de selle pour trouver un endroit où passer la nuit, j’entendis que l’on chantait un peu derrière moi. Quelques instants plus tard apparu un homme solide, portant sur l’épaule une lourde hache de bûcheron. -La bonne soirée, étranger ! me dit-il. -La bonne soirée à vous aussi, l’ami. Savez-vous où mène cette route ? Je l’ai prise au hasard après m’être égaré. -Si fait, elle vous mènera jusqu’à la prochaine ville qu’est encore à deux jours de cheval d’ici. Mais vous auriez bien tort de demeurer là pour la nuit. Sigmar seul sait c’qui rôde dans ces bois et y s’trouve une auberge-relais à moins d’une heure de marche. Après avoir remercié le bûcheron, je repris ma route vers l’auberge dont il parlait. Il n’avait plus plu depuis que j’étais passé par ce village, et une fine pluie froide se mit à tomber. J’avais dans l’idée de passer un jour ou deux dans cette auberge si elle était suffisamment confortable. Ensuite, mon plan était de rallier le Talabec et de longer son court vers le sud-ouest. J’arrivai bien vite en vue de la bâtisse. Un muret de vieilles pierres faisait office d’enceinte tout autour de l’auberge. Il n’était pas bien haut mais il aurait fallu quelque effort à des bandits pour passer par-dessus. L’auberge était ancienne et je distinguai à travers les gouttes de pluie une enseigne sur laquelle étaient peints une plume et une chandelle. Je passai le portail ouvert et jugeai du regard les lourdes portes de bois qui seraient bientôt refermées pour la nuit. Personne ne vint à ma rencontre dans la cour et je dû appeler pour que le garçon d’écurie vienne chercher ma monture. -Le bonsoir, mon garçon, quel est ton nom ? -On m’appelle Gerhart, messire. Je suis garçon d’écurie dans cette auberge depuis trois années pleines. -Fort bien ; prend soin de mon cheval, et tu auras une autre pièce pour ta peine, dis-je en lui lançant un cliquet. Y a-t-il du monde à l’intérieur ? -Une diligence est arrivée il y a quelques heures, elle transporte quatre bourgeois qui voyagent ensemble. Deux voyageurs portant l’épée au côté sont venus à pied dans l’après-midi et un cavalier étranger est là depuis quatre jours à se saouler. Ce soir il boit avec les cochers. -Merci Gerhart. Mène mon cheval à l’écurie et soignes-le bien. L’intérieur de l’auberge était très loin des tavernes enfumées et crasseuses des grandes villes. Le mobilier était vieux et usé mais on voyait tout de suite que le ménage était bien fait. Parmi les clients, je reconnus ceux que m’avait dépeint le garçon d’écurie. Les quatre bourgeois étaient à une longue table près du feu et mangeaient avec appétit et je vis aussi les deux voyageurs, discutant autour d’une bière ; mais ce fut l’étranger qui retint mon attention. Il était occupé à boire avec l’un des deux cochers. Le second s’était écroulé sur l’épaisse table de bois, ivre-mort. A en juger par son air hagard, son ami ne tarderait pas à suivre la même voie. Quant à l’étranger, il semblait ne pas sentir les effets de tout cet alcool et riait à gorge déployée du sort de ses compagnons de beuverie. Il était jeune et portait des habits colorés bleu à bords blancs typiques des gens du Nord. Il s’agissait à coup sûr d’un kossard Kislévite, venu dans le sud pour louer la lame courbe de son sabre à quelque riche Impérial. Quand il me vit, il se leva. Il avait reconnu à ma mise un de ses semblables ; un routier, un homme de guerre au service du plus offrant. Il semblait d’humeur joyeuse et me héla bruyamment. -Bienvenue, capitaine ! Venez donc prendre un verre avec mon ami et moi. A ces mots, il donna un grand coup dans le dos du cocher qui en tomba à la renverse. Je n’avais nullement l’intention de m’enivrer, mais un verre ne serait pas de trop après une journée passée sur les routes. Je le rejoignis donc et il me versa une bonne rasade du solide alcool de son pays. -Goûtez-moi ça, capitaine ! C’est autre chose que ce que vous avez coutume de boire ici dans le sud. C’était un rude breuvage qui me laissa une traînée de feu dans la gorge. Un soldat apprend vite à boire, et j’arpentais les champs de batailles depuis assez longtemps pour ne pas être le moins fort à ce petit jeu. Malgré tout, je dû faire quelque effort pour refouler les larmes qui me montèrent aux yeux tant la boisson était corsée. Voyant bien que je ne résistais pas sans peine, le jeune Kislévite se mit à rire de plus belle. Ce n’était pas de la moquerie, mais un rire presque enfantin et je n’en pris point ombrage. Tentant de ne pas avoir la voix trop rauque, je décidai d’entamer la conversation. -Comment t’appelles-tu, mon garçon ? -Je me nomme Igor Nevedev Sedenkevich, capitaine. Je viens du Nord, près de la cité de Praag. Je suis descendu dans la région pour rencontrer un riche du cru qui aurait besoin de quelques lames à louer et des bras qui vont avec. Cela fait quatre jours pleins que j’attends ce drôle qui devra régler ma note avant de me mettre au travail ! Et vous, capitaine, quel est donc votre nom ? -Je suis Ulrich Von Beckdorf, mon garçon. Et je suis routier ; comme toi je loue mon bras et je voyage. Je ne suis que de passage dans la région, je projette de descendre plus au sud, par chez moi et de retrouver quelques compagnons. Je partirai dans quelques jours et je longerai le fleuve. -Ha ! Par mes ancêtres, je me serais bien joint à vous pour ce voyage. Quatre jours sans monter à cheval est plus qu’un honnête homme des steppes peut supporter ! Mais j’ai donné ma parole d’attendre ici sept jours et sept nuits que mon employeur arrive… -Et quel est donc ce travail qui vaut que tu viennes de si loin et attende si longtemps ? -A ce que j’en sais, mon patron serait un homme d’église de votre Empereur-Dieu Sigmar qui chasserait des hérétiques et aurait besoin d’assistance. Bien qu’il ne soit pas mon dieu, l’idée de combattre des infidèles me plaît beaucoup. Chez nous dans les steppes, nous devons souvent lutter contre les mauvais hommes qui viennent du nord et leurs fidèles cachés parmi les nôtres. Nous autres Kislévites rendons grâce aux ancêtres et aux esprits qui veillent sur notre peuple. L’esprit qui me protège est le Petit-Père Benteski. Qui priez-vous, capitaine ? Je lui montrai mon médaillon en forme de tête de loup et lui dit que je priais Ulrich, dieu des batailles, des loups et de l’hiver. Il ne connaissait visiblement pas très bien le panthéon impérial et mon dieu sembla beaucoup lui plaire. D’après ce que je savais de son peuple, cela ne me surprenait guère. Nous passâmes un certain temps à deviser et finalement, je m’en allai coucher plus saoul que je ne l’avais voulu.

Salut mes petits lapins! /> Je reviens vers vous pour vous faire part de l'avancée de l'aire de décollage. Voici où j'en suis (je précise qu'à l'exception du bloc contenant la porte, tout est déjà collé): Une vue aérienne (c'est fort à propos, il me semble) [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0619.jpg[/img]" /> La passerelle est suspendue [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0620.jpg[/img]" /> [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0621.jpg[/img]" /> Pour le moment, la structure est en plusieurs parties, mais elles seront collées à terme (sauf peut-être la passerelle pour pouvoir figurer sa destruction... /> ): [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0624.jpg[/img]" /> En espérant que cela vous plaise

Voici la première partie d'un texte que j'ai débuté aux alentours de 2009 (ça ne nous rajeunit pas...). Il met en scène un homme entre deux âges, encore vigoureux mais aussi expérimenté. Guerrier, mercenaire quand l’occasion se présente. Voyage beaucoup et ne reste pas dans une compagnie quand les circonstances deviennent mauvaises. Pas vraiment mauvais lui-même mais soldat avant tout et donc lié à de nombreux crimes de guerre. Largement inspiré du « Chien de Guerre » de Michael Moorckock et tentant humblement d’en recréer partiellement l’atmosphère très spéciale tout en la conciliant avec l’univers de Warhammer et du Vieux Monde. Ceux qui sont inscrits sur un forum racial auront peut-être déjà lu cette histoire puisque je la poste également chez les Comtes Vampires, en Athel Loren et sur le Conseil Impérial. Bonne lecture J’étais ce matin-là en route depuis plus d’une semaine. Le temps avait été à la pluie par intermittence, ne me laissant jamais sécher vraiment. J’avais dormis ces dernières nuits dans les ravines longeant la route et l’écoulement de l’eau avait tout transformé en boue. Ma pèlerine était brune de terre et j’avais en fait un aspect global plutôt misérable en ce début d’automne. Ces derniers jours de froidure ne m’avaient pas poussés à me tremper dans l’eau d’une rivière et je devais empester au moins autant que ma monture. Celle-ci était un cheval assez robuste sans pouvoir toutefois être qualifiée de destrier. Mais elle me portait avec mon armure sans râlerie et couvrait une bonne portion de route chaque jour sans faiblir. Au combat, elle ne s’effrayait pas trop vite et pouvait me porter sur mes ennemis ou loin d’eux avec assez de bien de vitesse. Le mauvais temps semblait cependant l’affecter autant que moi et son allure se faisait plus lente avec chaque averse. Je tressautais légèrement à chacun de ses pas, faisant tinter doucement mon médaillon d’ulricien contre le plastron de ma cuirasse. Je traversais une forêt dans laquelle j’avais pénétré la veille sans trop savoir vers où je me dirigeais. Ma dernière embauche était au sein d’une compagnie irrégulière sous les ordres d’un vétéran middenheimer. Il me trouvait sympathique et était content d’avoir trouvé un compagnon de foi parmi « toute cette bande de mauviettes sigmarites ». Un conflit opposait deux grands nobles impériaux, bien que je ne su jamais en quoi, et sa troupe s’était mise en campagne. Des pertes récentes avaient poussé ce vieux capitaine à recruter de nouveaux soldats de fortune pour son unité. J’étais resté quelques semaines, livrant quatre batailles. En fait, il s’agissait de petits affrontements secondaires, pas de batailles à proprement parler. On nous annonça qu’un combat plus large aurait lieu prochainement quand nous tenterions de prendre la bourgade de Helnisburg le mois suivant. Le capitaine semblait ravi de cette nouvelle et nous nous mîmes en marche au plus tôt afin de rejoindre le gros des forces de notre employeur. Quand le jour de la bataille arriva et que nous fûmes déployés, il devint évident que l’affrontement serait une victoire. La petite ville était mal défendue et son enceinte de bois présentait déjà de larges brèches. Notre compagnie était comprise dans la seconde vague d’assaut, celle qui brisa la ligne de bataille des défenseurs, nous permettant d’effectuer une percée derrière les murs. Très vite, l’armée entière nous suivi. Les dernières poches de résistance succombaient quand un homme interpella bruyamment notre capitaine de derrière une barricade. Il menait un groupe de défenseurs et entendait bien faire payer chèrement chaque pas concédé à l’ennemi. L’affrontement s’engageait alors que les deux chefs d’unité croisaient le fer en tête à tête. Le capitaine se battait bien, mais l’inconnu trompa sa garde et lui fendit le ventre sur un pied de longueur. Enragés, les hommes de la troupe finirent le massacre et se mirent à piller à tout va, dans l’indifférence générale. Moi-même je pris part aux atrocités. Meurtres, viols, torture,… Nous n’étions plus humains ce jour-là. La frontière entre un soldat de fortune et un pillard est souvent bien ténue. Ce n’était pas la première fois. Ce ne serait probablement pas la dernière. Mais certaines choses que nous fîmes ce jour-là dépassèrent toutes les limites de ce qu’il m’avait été donné de voir ou de faire. Ulric est le dieu des batailles et il ne se soucie pas tant de ce qui peut arriver aux vaincus. Je n’avais pas offensé mon dieu, mais ma conscience était brisée. Je ne regrettais rien pourtant. Après ces évènements, j’ai repris ma route. Il m’était devenu pénible de côtoyer ces hommes et ma compagnie maussade ne les enchantait guère d’avantage. Ils ne tentèrent rien pour me retenir. Je n’avais pas d’idée quant à la direction à choisir. La guerre était partout, je n’aurais rien d’autre à faire que vagabonder en attendant mon prochain travail. Je chevauchais paisiblement, laissant à mon cheval le libre choix de la route quand nous arrivions à un croisement. C’est ainsi que je suis entré dans cette forêt dont je vous parle. Tout à mes souvenirs, je n’avais pas remarqué que les arbres s’éclaircissaient lentement et je fus assez surpris quand la lourde et sombre forêt fit place à un sous-bois plutôt agréable. Un peu plus loin, j’aperçu un groupe d’habitations et décidai de les rejoindre. Un peu de compagnie ne serait pas de trop après ces jours de solitude et je n’aurais pas craché sur un bon repas chaud. En m’approchant, je pu constater que les chaumières étaient de bel aspect et de belle taille. Un village épargné par les ravages de la guerre qui semblait pourtant avoir embrasé le Vieux Monde tout entier. A cette heure de la journée, les habitants devaient être aux champs, à l’atelier ou à la ville et je traversais la bourgade sans rencontrer personne. De la fumée s’échappait paresseusement de l’une des cheminées et j’en déduisis qu’il devait bien s’y trouver quelqu’un. Le temps de faire halte, une femme rondelette était dans l’encadrement de la porte pour venir aux nouvelles. -Bien le bonjour à vous cavalier, qu’est-ce donc qui vous amène et d’où venez-vous de la sorte ? Je regardai un instant mon interlocutrice avant de lui répondre. Ses habits étaient en bon état et relativement propre, ce qui me confortait à croire que les habitants du cru devaient êtres assez prospères. Elle-même devait avoir dans les trente ans bien fait et gardait une mine avenante ; elle ne semblait pas craindre de faire mauvaise rencontre. -Et bien je viens de la route de la forêt, dis-je en me tournant pour lui indiquer la direction dans le grincement du cuir de ma selle. Je suis en route depuis quelques jours et je reviens d’une petite ville appelée Helnisburg, dans l’Ostermark. Sommes-nous toujours dans la province ? -Oui, mais à la frontière ou presque. Elle est par l’ouest à quelques lieues d’ici. -Fort bien. Auriez-vous un repas et une paillasse à céder à un voyageur las des errances de la route ? J’ai de quoi payer. -J’ai une soupe sur le feu, une miche de pain et même un lièvre que mon homme à tiré dans les bois. On a de quoi vous faire dormir au sec et au chaud, vous semblez en avoir besoin. -Par Ulric, vous dites vrai ! Toutes ces promesses m’ont ouvert l’appétit, montrez-moi donc cette nourriture sans plus tarder ! Elle me fit assoir à une solide table de bois et m’apporta le repas. Je mangeai la soupe avec le pain pendant que le lièvre cuisait, puis je fis un sort à une bonne partie de la bête. Je voyais bien qu’elle jugeait du regard ce qu’il leur resterait de viande pour leur souper. Une fois que j’eus terminé, je rotai bruyamment avant de jeter négligemment une pièce d’argent dans mon bol. Elle se leva immédiatement et me remercia de nombreuses fois pour ma grande générosité. Elle me montra ensuite la paillasse et, comme elle était penchée pour arranger quelque peu l’endroit, je lui glissai une main sous les jupes. Loin de s’effaroucher, elle dénoua adroitement son corsage et m’offrit sa lourde poitrine. Me disant qu’après tout le sommeil pouvait bien attendre encore quelques instants, je commençai à me dévêtir. Je dormis profondément pendant quelques heures. Cette paillasse était ce que j’avais connu de mieux en terme de literie depuis trop longtemps, et rien ne garantissait que je connaitrais quoi que ce soit de comparable avant plusieurs semaines.

Yop! Désolé de répondre un peu tard, j'espère que ce ne sera pas considéré comme de la nécromancie... Juste pour dire que je trouve que pour une première tentative c'est franchement réussit Bien sûr tout cela aurait mérité d'être plus longuement travaillé, mais la brièveté n'est pas toujours un défaut Et puis, j'adore plonger dans les rituels barbares des hommes du nord et je trouve qu'on ne se focalise en général pas assez sur les maraudeurs. C'est juste assez gore, brutal et désespéré; bref, j'aime beaucoup

Cela me semble partir du bon pied (en même temps, l'inverse m'aurait beaucoup surpris venant de toi ). J'apprécie moins que le médiéval-fantastique mais la qualité semble une fois encore au rendez-vous

Merci, cher Lapin Rouge; je suis bien aise que ma "modeste" construction te plaise Travailler à grande échelle, c'est le pied quand même

Salut à tous, je suis de retour avec une avancée certaine dans La Porte de la Montagne /> J'ai commencé par ajouter une épaisseur à la section centrale et j'ai amorcé la déclivité qui nous ramènera au niveau de la porte à proprement parler (mais on en est encore assez loin malgré tout...). [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0611.jpg[/img]" /> [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0612.jpg[/img]" /> Comme vous pouvez le voir sur la photo précédente, j'ai également un peu avancé du côté de l'accès à la seconde tour d'angle. J'ai ajouté deux portes de taille plus réduite que pour la première tour, juste histoire de changer un peu /> [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0613.jpg[/img]" /> [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0614.jpg[/img]" /> Dans la foulée, je me suis lancé dans le remplacement des plaques de roches superposées de ma première section de muraille que je remplacerai par un seul bloc (comme pour la seconde section de muraille). Mais plus important, j'ai commencé la conception de ma plate-forme de décollage pour Gyrocoptère qui se trouvera à l'arrière de la structure principale: [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0616.jpg[/img]" /> J'attends vos remarques, idées et commentaires avec impatience /> PS: merci pour ce commentaire, Von Carstein, ça fait toujours plaisir à lire. Pour le coins et recoins j'avais quelques idées mais finalement je me suis laissé emporter par la répétitivité de la taille de la montagne... Il n'est peut-être pas tout à fait trop tard; je songe à une caverne discrète qui abriterait le refuge temporaire d'un tueur. L'occupant ne serait pas forcément présent, mais on y trouverait assez d'indices indiquant la nature de sa profession.

Une belle réalisation de plus Je dois dire que je suis très admiratif de la finesse de la réalisation

Salut Morgoth et merci pour le commentaire. Je ne suis pas sûr de bien comprendre ce que tu veux dire pour la tour de gauche... Tu l'aurais vue plus éloignée de la Porte centrale? Un petit balcon fortifié n'est pas une mauvaise idée, mais ça va être difficile à intégrer maintenant que la face est pratiquement terminée... Concernant la pente pour arriver jusqu'à la porte, je pense en effet faire quelque chose dans ce goût là; un genre de socle avec un creux pour accueillir l'épaisseur de la porte quand elle est ouverte et faire la jonction avec une portion d'une ancienne route naine. C'est encore un peu abstrait dans ma tête, mais j'y pense... Il sera encore temps de se décider quand j'aurai terminé la structure en elle-même.

Ou alors de l'acheter à plusieurs. Franchement, le prix est ce qu'il est, mais c'est de la sacrée qualité. Si tu prends soin de tes moules ils tiendront des années sans bouger. Du coup, vu que tu n'en as pas l'usage tout le temps, le mieux est encore de se cotiser à quelques uns. Enfin, c'est mon avis personnel (ce qui ne m'empêche nullement d'en posséder personnellement une bonne vingtaine )

Si ça peut vous aider il existe des revendeurs en Europe; je n'ai pas fait la comparaison des prix mais il est possible que cela revienne moins cher. [url="http://www.hirstarts.com/links/links.html"]Mon lien[/url]

Hello mes petits bouchons! />/>/>/> Je suis de retour avec une belle progression (pour une fois). J'ai collé quelques morceaux supplémentaires à ma seconde tour et j'ai rassemblé tout le bastringue pour vous donner une idée de ce que ça donne. Vous me direz ce que vous en pensez [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0511.jpg[/img]" /> J'ai ajouté une épaisseur à la section centrale, il ne restera plus qu'à faire les raccords avec les pièces latérales. Le côté de la nouvelle tour: [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0512.jpg[/img]" /> Allez, un gros plan de chaque côté; je ne pense pas que les photos rendent justice à mon travail sur la texture et la profondeur du truc, mais il faudra s'en contenter... Ca devrait aller mieux quand on attaquera la peinture />/>/>/> [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0515.jpg[/img]" /> [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0514.jpg[/img]" /> Une petite vue des coulisses: pas très élégant, mais ça ne se verra pas />/>/>/> [img]<a href=[/img][img]http://i39.servimg.com/u/f39/13/80/28/95/dscn0517.jpg[/img]" /> Comme je l'ai sans doute déjà dit, je ne peux pas mettre toutes les photos sur ce forum, mais les plus curieux peuvent toujours aller faire une tour sur [url="http://whcv.forumactif.com/t5671-la-porte-de-la-montagne"]le forum des Comtes Vampires[/url] pour plus de tof'

Bah, dans des tons assez neutres ça passe partout non? L'avantage de l'échelle est de ne pas prendre de place sur le rempart, mais sur un autre forum (Karak Draka pour ne pas le citer) on m'a suggéré de faire une porte amovible comme si les Nains devaient passer par l'intérieur de la forteresse pour passer du rempart à la plateforme de la tour. Je médite encore sur les possibilités que cette idée offre...

Salut à tous, c'est le retour de Thomov le Bâtisseur! Les choses progressent! La seconde tour est bien avancée, comme vous pourrez en juger par vous-même sur les photos suivantes: J'ai finalement opté pour un motif plus simple et du coup plus gros que sur l'autre tour [img]<a href=[/img][img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/80/28/95/dscn0517.jpg[/img]" /> [img]<a href=[/img][img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/80/28/95/dscn0518.jpg[/img]" /> Comme vous le voyez, j'ai terminé de monter les murs et la plaque centrale est déjà fixée (elle sèche en ce moment même ). Un petit coup d’œil à l'intérieur: [img]<a href=[/img][img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/80/28/95/dscn0519.jpg[/img]" /> Une fois que la colle sera sèche, je pourrai commencer à intégrer cette tour à la montagne Je pense également avoir trouvé mon bonheur en matière d'échelle/escalier pour joindre les tours et les sections de remparts. Un escalier en pierre aurait définitivement prit trop de place, j'ai donc opté pour une échelle en bois issue du superbe moule d'accessoires de taverne Hirst Arts [img]<a href=[/img][img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/80/28/95/dscn0520.jpg[/img]" /> [img]<a href=[/img][img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/80/28/95/dscn0521.jpg[/img]" /> Simple, petit et amovible; que de bonheur! J'espère que ça vous plaira et j'attends vos avis et commentaires avec impatience

Salut mes petits lapins! De retour avec un avancement minime malheureusement (du moins, d'un point de vue visuel) puisque j'ai passé mon temps à passer de l'enduit de rebouchage sur les jointures entre les différentes plaques de poly assemblées jusqu'à maintenant (et je n'ai toujours pas terminé; c'est vachement long à faire et pas très funky...). Mais le tout a quand même légèrement changé d'allure puisque j'ai utilisé des restes de coulées de plâtre pour lisser un peu le casque et les côtés du visage de l'Ancêtre. Voici ce que ça donne rapidement: [img]<a href=[/img][img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/80/28/95/dscn0510.jpg[/img]" /> [img]<a href=[/img][img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/80/28/95/dscn0511.jpg[/img]" /> La différence n'est peut-être pas flagrante sur les photos, mais je vous assure qu'en live ça change /> Bon, je me suis aussi lancé dans la conception de la seconde tour de flanc, qui sera sensiblement identique que la première: Comme pour son aînée, je vais graver un motif sur la plaque de sol; ce qui implique naturellement un quadrillage: [img]<a href=[/img][img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/80/28/95/dscn0514.jpg[/img]" /> Concernant le motif en lui-même, je voudrais changer de la première tour mais je n'ai pas encore trouvé mon bonheur alors si vous avez des idées (réalisables de préférence /> ), c'est le moment ou jamais! En bonus, je vous mets un échantillon de photos de La Porte de la Montagne lors de sa partie-test du week-end dernier: LeNickson défendait sa demeure séculaire de Krak-Le-Roy face à l'envahisseur Elfe Noir. Un allié de dernière minute devait se porter à sa rescousse (joué par votre serviteur) et nous avions convenu que je tirerais mon armée au sort parmi celles dont je dispose juste avant la bataille. Le sort décida que ce seraient mes Comtes Vampires, menés par Thomov Le Poussiéreux en personne, qui seraient joués! [img]<a href=[/img][img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/80/28/95/dscn0515.jpg[/img]" /> [img]<a href=[/img][img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/80/28/95/dscn0516.jpg[/img]" /> Je sais que ce n'est pas grand chose, mais je ferai un rapport de bataille détaillé dans les [url=http://whcv.forumactif.com/t2184-les-errances-de-thomov-lepoussiereux]les Errances de Thomov Le Poussiéreux[/url] plus tard avec un autre lien dans ce sujet.

La grande classe Je ne regarderai plus jamais mes Chamans du même œil Ha oui, je trouvais aussi que "L'Hiver Vient" faisait un peu trop... Trône de Fer?

Salut. Pour ton problème, je pense en effet qu'un Guerrier du Chaos est un peu court. N'importe quelle figurine un peu balaise pourrait faire l'affaire. Un Dragon-Ogre par exemple. Une fois peint couleur pierre, tout passe pour une statue Cela dit, rendre une figurine "normale" plus chaotique est relativement simple: tu lui colle une paire de cornes, des ailes ou des tentacules en rab', une ou deux paires de bras en plus et le tour est joué!

Un travail tout à fait remarquable; je trouve que l'eau marécageuse est tout simplement parfaite Le niveau de détails est à couper le souffle et le rendu des arbres est superbe. Si je devais formuler une critique négative, ce serait juste sur la forme de la Pierre des Hardes: je trouve qu'elle fait trop "glace sur un bâtonnet" Cela dit, la lumière qui change doit avoir de la gueule. Un lien vers une petite vidéo pour nous en mettre plein la vue, peut-être? Quoi qu'il en soit, c'est du sacrément bon travail!

[quote name='tueur nain' timestamp='1400011679' post='2569973'] Ah ma bonne dame, rendez vous compte qu'au 21eme siècle en France on est obligé de travailler au lieu de pouvoir pratiquer son hobby à plein temps, quelle honte! [/quote] En Belgique aussi, hélas... Pour l'aire d'atterrissage, je pensais la faire en retrait, qu'elle ne soit pas visible depuis l'avant de la montagne. Pas la peine de faire décoller les appareils sous le feu ennemi alors qu'on a toute la place derrière les fortifications Pour les meurtrières dans les yeux, c'est en effet un peu tard... Pas impossible mais beaucoup de boulot et je ne suis pas sûr que le résultat me plaise beaucoup. Bref, oublions ça Merci pour le com'

Pourquoi pas, pourquoi pas... Faudra voir avec le côté gauche, vu que le droit est déjà plus ou moins terminé en façade, mais ça pourrait le faire. Cela dit, les tours latérales permettront déjà de disposer quelques machines de guerre et les remparts seront sûrement bien garnis en Arquebusiers et Arbalétriers. J'ai un moment pensé faire une aire de décollage pour Gyrocoptère, plus en arrière dans la structure. Qu'est-ce que vous en dites?

Bonne chance et bon courage. Je ne suis pas trop 40k mais je jette toujours un oeil sur les décors en cours (ça donne des idées en général). Je trouve que tes collines de coin sont déjà fort hautes et étagées; tu comptes adoucir les angles au risque de ne plus pouvoir poser de fig' dessus? C'est toujours un choix difficile...

Merci beaucoup pour ces commentaires encourageants, ça fait plaisir. L'Apotre Noir, je ne vois pas ce que tu veux dire; tu peux expliquer? Lapin Rouge, c'est trop d'honneur; je suis un très grand fan de ton travail sur les châteaux forts Je ne compte pas vraiment faire l'intérieur; j'imaginais plutôt cela comme un bastion avancé menant à la véritable Porte de la Citadelle. Je n'ai donc pas prévu de la creuser. Adilas, on voit en effet trop peu de sujet ambitieux dédiés aux Nains et c'est extrêmement dommage; c'est peut-être la race pour laquelle l'inspiration me vient le plus facilement (c'est tout en lignes droites ).