Aller au contenu
Warhammer Forum

Waz

Membres
  • Compteur de contenus

    89
  • Inscription

  • Dernière visite

Contact Methods

  • Website URL
    http://
  1. Waz

    Concours Croisé Inter-sections

    Allez, soyons fous, je participe, j'espère que le délai englobera les vacances de Noël
  2. J'en suis Tout de même, il faut que je défende mon titre
  3. Eh ben... Premier... J'en suis tout ému Merci et bravo à tous, très beau concours que cette édition, et si je l'ai remportée, ça n'est que d'un cheveu (coupé dans le sens de la longueur : 1 seul petit point sur Celt, désolé à lui). Bref, je vais essayer d'en être digne en pondant un petit thème mignon comme tout. (relativement en accord avec celui-ci pour le côté saga si possible ) Hmm sinon pour le groumpf du Celt, je suis pas entièrement d'accord. C'est justement ce que je préfère, lire ce que pensent les autres de mon texte, et d'autant plus s'ils ne pensent pas ce que je voulais faire passer. Par exemple, la lecture de Fandalg est assez différente de la mienne, mais j'ai été surpris en constatant qu'elle pourrait très bien être meilleure que celle d'origine. Enfin, en tout cas c'est quelque chose qui me plaît beaucoup. Même si je peux comprendre que lorsqu'on a peaufiné un texte (ce qu'il me semble, tu avais dit que tu faisais beaucoup, en particulier pour les concours) c'est difficile de voir qu'on a peaufiné dans le vide. En général mes textes sont tous des premiers jets, donc je n'ai pas ce genre de problème . Mais bon, je m'égare, encore bravo et merci pour cette première place !
  4. Si je peux me permettre une remarque, il me paraît extrêmement difficile de commenter les textes en saga, puisque la plupart n'ont pas de fin, même provisoire. Difficile de juger un texte sans en avoir la finalité et les aboutissants. Tout au plus peut-on avoir un aperçu de la façon dont c'est mené et du style. Enfin, il va bien falloir faire avec, mais j'espère que ça ne pénalisera pas ceux qui font l'effort de s'engager sur la durée Voilà, c'est tout, à plus tard et bonne lecture P.S. : 'tention Inxi le dernier texte n'est pas complet (ou alors l'auteur a pris la notion d'épisodes en saga un peu au pied de la lettre )
  5. Je sors de mon cercueil pour prévenir que j'essaierai de pondre un petit quelque chose si je trouve le temps et l'inspiration. Je ne suis pas encore mort, je guette A+
  6. Waz

    Les Couloirs de Khaine

    J'ai toujours eu un faible pour le freestyle, mais là je suis plus que conquis. Si le contenu est inégal - cela reste du freestyle - c'est une telle performance niveau style (je ne pas pourquoi, mais le tien me laisse pantois, j'accroche à chaque fois et me laisse mener en bateau sans y trouver rien à redire). Alors certes, c'est loin d'être parfait, mais je ne pense pas que ce soit le but recherché. Et puis la partie sans voyelle est juste horrible. Un moyen de consommer des caractères. On pourrait aussi être lassé par les petites touches d'auto-apitoiement qui ont un arrière goût assez désagréable de fausse modestie. Mais bon sang ! que c'est agréable à lire. On en redemanderait tous les jours. Ton style, on peut ne pas l'aimer, moi j'en suis juste dingue. Je peux que plussoyer avec un enthousiasme sans bornes tout ce qui est se trouve au-dessus (et sans doute au-dessous; qui sait?) Waz, en passant...
  7. Waz

    Les Couloirs de Khaine

    Décidément, j'accroche vraiment à ce que tu nous ponds en ce moment. Le laïus sur la structure est bigrement bien foutu, quoique facilement contrable (tiens, le hasard à une structure? et pour reprendre un de tes arguments, il n'y a pas que les gaz rares qui soient déstructurés ; tous les gaz le sont et volent au gré du hasard - encore lui). Ah, aussi : Hum, et pourquoi serait-il devenu ermite s'il n'avait pas eu de raison de le faire? et pourquoi aurait-il eu une raison de le faire s'il n'y avait pas societé? Enfin, j'ai l'impression que c'est davantage un exercice de style qu'une démonstration sérieuse et là, c'est plutôt réussi. Ca se lit très facilement, c'est fluide, ça flatte l'oreille, bref, j'aime ton style. Seul bémol (deux, en fait) : l'usage des mots thanatie, nécrie etc... (et surtout l'ajout de traduction) me gène. Ca fait fait vraiment trop pompeux, "maître de la langue". Prétentieux en quelque sorte. Enfin, peut-être est-ce parce que je n'ai fait ni latin ni grec. Le deuxième : Très stylé mais revient au même. Ou alors il faut changer la première partie pour la comprendre telle que tu veux qu'on la comprenne ( rien n'a pas de structure), auquel cas il faut aussi changer la deuxième
  8. Après enlèvement, soulèvement? Dis-moi, l'inspiration ne te ferait-elle pas défaut ces temps-ci? Bon, va falloir réfléchir à un truc potable (comprendre hors-sujet) là-dessus, autant s'y mettre tout de suite... J'ai toutefois l'impression que c'est un brin orienté, tout ça, les neurones vont devoir trimer. Sinon, trêve de mécontentement, ça s'annonce passionnant. Bonne chance à tous
  9. Hem, le sujet est pour quand, ô grand modo vénéré? Parce que là, la pression commence à monter tout doucement M'enfin, ne te presse pas non plus si attendre est nécessaire à un sujet de rêve qui convient à tout le monde... (Le mieux serait de combiner les deux, bien sûr )
  10. Waz

    La Machine infernale

    Quelques réponses en vrac : Concernant la séparation des parties, c'est le problème de poster les textes en plusieurs fois. En général, le découpage correspond à celui des posts, et il est dur de le préciser très clairement (autrement que par un "attention, nouvelle partie" assez moche à mon goût ). J'imagine que quand je remettrai le texte en un seul morceau, tout cela sera bien plus cohérent. D'ailleurs, c'est c'est qui entraine le "flou rhétorique" (en dehors d'un abus de ma part bien sûr...), puisque ce morceau est une partie à part entière suivie du tout début d'une autre. M'enfin, je vais tenter d'éclaircir. Ah, sinon : Elle est surtout volontaire Moi j'aime bien, mais je vais surement enlever. Autant pour moi, je suis parti dans un joli délire qui a échappé à mon semblant de relecture Je corrige de suite. Edit : Quoiqu'en y regardant bien, ç'aurait bien pu être ça, en accordant avec les "pistes". Hem.. non? bon tant pis, je corrige quand même ... Merci de vos commentaires, quoiqu'il en soit
  11. Waz

    Le Médaillon des Quatre

    Si je peux me permettre une petite intrusion, moi qui n'ai pas eu le courage d'aller jusqu'au bout jusqu'ici (j'y vais petit à petit, malheureusement, mais je ne désespère pas d'arriver à la fin), je ne t'encouragerai pas à continuer éternellement. Certes, sur ce que j'en ai lu jusqu'ici, cette saga est bien agréable, et il est presque logique d'en demander toujours plus. Mais à mon avis tu gagnerais à la terminer sans trop faire traîner. Pourquoi? il y a plusieurs raisons à ça : tout d'abord, il y a le risque que tout cela s'essouffle et qu'on ait plus envie de lire pour l'intrigue mais parce qu'il serait dommage d'avoir lu un pavé comme ça sans avoir la fin. (Ca n'est pas le cas, mais bon, sait-on jamais...). Ensuite, parce que finir un texte de façon satisfaisante est à mon sens extrêmement difficile, et que poursuivre un texte consiste en quelque sorte à une lâcheté (soyons fous, lâchons les grands mots ) devant une échéance qui risque de ne pas contenter les lecteurs. Bon, je grossis le trait, heing, mais j'imagine que l'idée est passée Alors, oui à une fin, que tu es libre bien sûr de faire ouverte pour éventuellement revenir sur le thème un peu plus tard Maintenant que j'ai mis mon grain de sable, je retourne à ma lecture
  12. Waz

    La Machine infernale

    Après une absence si longue que je ne m'autoriserais même pas une excuse, voici venir la suite (toujours aussi courte, on ne se refait pas). Juste une ou deux remarques - une - avant de passer au gros du message : Moi aussi, pour le coup. Mea culpa Bonne lecture Tout allait pour le mieux, c’est le moins que l’on puisse dire. La perfection, cette idée utopique qui fascine depuis la nuit des temps, semblait lui sourire et accorder un aperçu de son infinie complexité. Oh, bien sûr, ça n’était pas vraiment elle non plus. Quiconque s’attarderait un peu sur les détails de la situation remarquerait bien vite les infimes défauts inhérents à toute entreprise un tant soit peu audacieuse. Mais si l’on savait faire abstraction, encore une fois, et ce quelques minutes durant, de son pragmatisme forcené – dicté par quelque ineptie cérébrale, inévitablement -, la beauté du moment se révélerait avec sa douceur éthérée reconnaissable, pareille à nulle autre. S’ensuivraient alors ces moments inoubliables, qui se déposent au fond de notre mémoire comme des sédiments incrustés d’argent et resurgissent parfois en une pluie d’étoiles scintillantes. Magnifique, non ? Je sens votre attention décliner, toutefois, et au risque de vous arracher à l’un de ces instants magiques, je me dois de recentrer et de vous hisser vers la surface, sans quoi les hauts-fonds auront beau jeu de vous noyer, avec toutes les irrémédiables conséquences que cela entraînerait. A moins qu’un séjour en enfer ne vous tente, maintenant que vous connaissez toutes ses merveilles ? Ne serait-ce pas une belle expérience que de tenter vous aussi le voyage vers les profondeurs ? Non ? Ah, je vois, le pragmatisme revient à la charge ; j’avoue m’y être attendu. Vous voulez en savoir plus, bien sûr. N’ai-je pas déjà dit que la pulsion première en cas de danger est d’en connaître la nature ? Soit, je m’incline ; j’imagine que je n’obtiendrai pas de repos avant d’en avoir terminé avec Naïf et ses pérégrinations. Poursuivons. Le diablotin se trouvait perché près de la rosace, hors de vue de la foule bruissante assise en dessous. Nonchalamment adossé contre la paroi de pierre massive, il laissait son regard divaguer le long de la nef, s’autorisant quelques accrocs aux niveaux de l’autel ou des ailes. Le service ne devrait plus tarder ; le prêtre laissait d’ailleurs entrevoir un pan de sa soutane dans l’entrebâillement d’une petite porte, au fond de l’église. Un sourire fit frissonner le visage de Naïf à la pensée de la messe à venir. Sûrement un joli spectacle que ce service. Il ne serait pas de tout repos. On pouvait déjà sentir des ondes de fureur glisser et se propager parmi les fidèles, explosant ci et là sous forme de vociférations incontrôlées. Plus encore, au-delà de la colère, on sentait une inquiétude palpable, sous-jacente, qui minait les fondements et la raison de la foule étalée sur le sol marbré. A chaque instant, quelqu’un lançait un regard désespéré, une supplique plaintive ou je ne sais quel cri de détresse vers le ciel, dans le fol espoir qu’une divinité de passage daigne se pencher sur l’infime poussière qu’il était. Eh bien non, tout ces débordements ne parvenaient qu’à une paire d’oreilles doublée de cornes, et Naïf se targuait de cette confiance vacillante avec l’un des ses plus beaux sourires démoniaques. « Hommes de peu de foi, pensait-il, où donc est votre belle assurance d’hier ? perdue dans les profondeurs abyssales d’un bénitier ? ». Bonne question, ceci dit, en laissant de côté les railleries. Il n’était pas évident d’y répondre, en tout cas, bien que quelques pistes, telles le loup des contes pour enfant, laissaient entrevoir l’extrémité de leur queue. Et en sachant y regarder à deux fois, celle-ci ne laissait aucun doute quant à son origine, toute bordée de pointes et de piquants qu’elle était. Oh bien, sûr… « Damned ! C’est parti !». Avec une belle démonstration de courage, le prêtre se hissa sur l’estrade supportant l’autel. Difficile de faire mine d’ignorer le grondement d’une bonne centaine de personnes lorsque celui-ci recouvre jusqu’aux accords barbares de l’orgue – pourtant joué à plein volume par un organiste des plus enthousiastes. On sentait l’ecclésiastique sur le point de craquer, sur ce simple geste accompli de si nombreuses fois ; sur le point d’abandonner la sienne pour prendre ses jambes à son cou. Toutefois, Naïf dut lui reconnaître un certain sens – si ce n’est un sens certain – du devoir, puisque le prêtre armé d’un missel et sans se démonter outre mesure, entonna son sermon habituel.
  13. Raah prem's! Après mes deux défections successives sur les dernières éditions, j'espère bien y arriver ce coup-ci ! Vivement le sujet ( puisse ma muse le trouver à son goût) Edit : ben merde, deuz en fait... Tu me le paieras Hex' Sur ce, Waz, a++
  14. Waz

    Les Couloirs de Khaine

    Ca faisait un bout de temps que je m'étais promis de le lire, ce texte-ci. Eh bien, pour le coup je n'ai pas été déçu. Si le fond très SoKien ne m'a pas cloué sur ma place, c'est suffisamment SoKien, justement, pour être captivant, et le tout est servi par un style (SoKien, encore, nondidiou) auquel j'accroche tout à fait Excepté les références mythologiques qui m'ont gêné ( trop poétique en un sens) par leur trop grand nombre, j'ai lu tout ça sans m'en apercevoir, et, arrivé à la fin, j'en demandais encore. Pas des tonnes, mais j'en demandais. Donc oui, j'aime, et oui, j'en veux d'autres, même si oui, fais gaffe au too much par endroits. Sur ce, Waz, a+
  15. Waz

    La Machine infernale

    Rebonjour à tous, Encore et toujours du retard (je ne me donne même plus la peine de trouver une excuse, tiens, d'ailleurs je n'en ai pas plus que Celt lorsqu'il s'occupe de l'A-M). Ca n'est toujours pas bien long, mais bon, comme dirait Noiraud, "Trop est l'ennemi de bien". Bonne lecture Il dut bien reconnaître que les premiers plis lui passèrent totalement au-dessus de la tête. Ni le cœur ni l'esprit n'y étaient, et, sans nier l'annihilation totale de son jeu, il appelait à sa défense quelque maigre excuse sensée lui sauver la mise. Difficile en effet de se concentrer sur une tâche aussi exigeante qu'une partie de carte perdue d'avance alors que le cerveau - encore lui, décidément rien ne l'arrête - refuse de coopérer. Il préférait en l'occurrence divaguer sur la raison de sa présence en ces lieux infâmes, à savoir l'espoir tout juste justifié de voir son projet agréé par l'Oracle. Un projet audacieux, mais qui avait réussi à séduire les hautes autorités de l'enfer. D'aucuns le qualifiaient de fou, en reconnaissant toutefois qu'il avait pour lui son originalité et, dans le cas peu probable où il aboutirait, une efficacité certaine. Et voilà qu'il sapait tout cela par une nonchalance boudeuse, il repoussait la chance de sa vie à cause d'une puérile aversion pour les jeux de cartes. Il était mal parti, autant le dire tout de suite, les plis s'enchaînaient sans qu'il ne parvînt à arracher aucun point. L'agaçante manie des deux vieux de deviner son jeu empêchait tout coup bas, toute subtile sournoiserie à même de renverser le cours des choses, et alors que les défaites successives s'acheminaient doucement vers une issue pour le moins fatale, Noiraud vint à sa rescousse. Tel Platon prodiguant ses absolues vérités à son auditoire béat, il rompit le silence concentré d'un éclat de sa fragile voix : - Moult dépenser, rien gagner ni acquérir, fait l'homme en son pain guérir ! En lieu et place du silence ébahi devant en toute légitimé s'installer en de telles situations, ses deux comparses renchérirent de plus belle : - De toute évidence ! - Mais oui, mon petit ! - Où il n'y a pas de blé, il n'y a pas de pain ! - Bien évidemment ! Et les trois vieux de s'exclamer dans la même veine pendant près d'une minute, minute que Naïf mit à profit pour rafler une demi-douzaine de plis sans que ses adversaires ne bronchassent. De son côté, Noiraud prenait le large et dominait tout le monde par une frénésie inexplicable que personne ne semblait en mesure de stopper : - Qui ne tente rien n'a rien ! Oncques tripière n'aima haranguère ! Méchante femme fait mauvais ménage ! Qui vole un œuf vole un boeuf ! - Très certainement. - Qui dort, dîne ! Qui sème le vent récoltera la tempête ! Au royaume des aveugles les borgnes sont rois ! Et ainsi de suite, sans interruption aucune, pendant plusieurs dizaines de secondes. Naïf se lassa assez vite de cette avalanche, toute salutaire qu'elle fût, et se permit un léger toussotement exprimant plus d'ennui que n'importe quelle interruption. Il allait à l'instant de mettre un terme à la partie en remportant l'ultime pli synonyme de victoire. - Hé ! messieurs... hem, excusez-moi, mais pourriez-vous prêter un moment attention à cette partie? Il me semble que nous en arrivons à son dénouement. Ordinarius et l'Affirmateur - appelons-le ainsi, "le troisième frère" étant à la longue un peu lassant - cessèrent immédiatement leurs exclamations enthousiastes. Ils scrutèrent les cartes d'un œil méfiant, soupçonneux, et toisèrent Naïf d'un air qui ne trompait pas sur leurs pensées. Si ce retournement de situation n'avait rien de très orthodoxe, il n'était pas non plus charitable de le dévisager avec une l'intention peu louable de l'asperger de goudron et de plumes. Après tout, Naïf n'y était pour rien, si quelqu'un devait être à blâmer, Noiraud constituait la cible la plus évidente. Pas de blague, hein, il n'y était pour rien. Il pouvait l'assurer, preuve à l'appui. C'est pas moi, m'sieur. - Bien. Finissons-en, alors, mon petit. L'air sinistre d'Ordinarius ne disait lui rien qui vaille. Il sentait venir le coup tordu, venu des tréfonds de sa prescience, suffisamment vicieux et alimenté par la rancœur pour renverser une fois de plus la situation - à son désavantage, cela va de soi. Ordinarius leva sa carte d'un geste théâtral, et je ne peux que conjecturer ce qui se passa alors. Son geste manqua sans doute de retenue, d'une maîtrise perdue dans les bas-fonds de sa rancune, mais il déclencha quelque chose d'inattendu. Peut-être avait-il coupé une corde du Destin avec le tranchant de la carte ; peut-être que cela avait à voir, sait-on jamais, avec un quelconque caprice de la Fortune ; peut-être que je subodore à côté de la plaque ; je n'en sais rien. Toujours est-il qu'à la place de l'as de Pique indispensable à sa victoire, Ordinarius joua un vulgaire deux de carreau, laissant par là la victoire à un Naïf au moins aussi surpris que lui. L'Affirmateur blanchit à vue d'œil en contemplant la carte barbouillée de deux tâches rougeâtres. Il ouvrit la bouche une ou deux fois sans rien dire, avant de lâcher comme par inadvertance : - De toute évidence... Sur ce, Waz, a+
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.