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Jorgar Heise

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Tout ce qui a été posté par Jorgar Heise

  1. Jorgar Heise

    [40K] bunker hexagonal

    Avec l'impact de la balle, le casque vole en éclats, et ca gicle partout. D'ailleurs tu devrais peut-être dechiqueter le casque à l'arrière, ca serait bien trash et bien réaliste... Jorgar Heise, je suis d'accord pour le cobaye, je veux bien participer aux frais de munitions.
  2. Jorgar Heise

    [40K] bunker hexagonal

    Le sang est un peu trop rose à mon avis. De même le marine fait un peu flashy, je sais pas si c'est la schéma de couleur de ton armée, mais là c'est un peu dommage. Il se peut aussi que ce soit la photo.
  3. Jorgar Heise

    Dernier regard

    Ton explication sur la sensiblité des vampires me semble assez bonne, tu trouves une solution assez satisfaisante au problème je trouve...non sincérement je n'y avais pas songé de cette manière, et je dois dire que vu comme ça ça me semble même trés logique! On a de toute façon, en tant que lecteur, un peu trop tendance à oublier que Joshua est un vampire "jeune"...C'est pourtant l'un des interêts majeurs de ton texte: présenter l'evolution d'un vampire depuis sa transformation et les reminiscences de son passé jusqu'à l'oubli de celui ci . D'ailleurs on devrait réentendre parler du passé de Joshua dans un futur plus ou moins proche, me trompe-je? Il serait en tout cas domage de laisser tomber toute la problèmatique que tu avais initiée par exemple avec les rêves, le médaillon, etc. Mais je te fais confiance... En ce qui concerne le Stryge, à mon avis l'impression de fin bâclée que j'ai eue est due à ceci:L'explosion induit une rupture totale de la trame du combat: tout le monde est éparpillé, tout le monde récupère peu à peu, puis reprend. Aprés l'explosion c'est donc un autre genre de combat qui débute: les gargouilles sont moins nombreuses, Léa est légérement HS, etc. On aurait un plan de ce type: I---> Combat II ---> Explosion et rupture du I III ---> Nouvelle donne des combattants et donc nouveau combat Tout ceci se fait de facon plus ou moins inconsciente pour le lecteur, mais c'est ce qui donne à mon avis ce sentiment de fin précipitée qui accompagne la mort du Stryge. Cette impression est d'autant plus exacerbée qu'aprés l'explosion c'est le seul moment ou tu te concentre trés spécifiquement sur le Stryge. Auparavant ce dernier est noyé dans la masse des affrontements secondaires; or là encore il y a la rupture de l'explosion. En effet, aprés on se focalise plus sur le Stryge, et c'est à peine effectif que tu le fait mourir...D'ou une impression de rapidité, peu en accord avec le déroulement (au demeurant excellent, je me répète) précédent du combat, mais que la structure de narration de ce dernier crée néanmoins. Pas besoin non plus d'en écrire tout un paragraphe, franchement quelques passes supplémentaires et ce sera bon. Attendons également l'avis des autres, ma critique n'est en rien parole d'évangile... Jorgar Heise, qui se balade tard parce qu'il a lui aussi posté une suite à son histoire, mais en section fantastique (avis aux amateurs non médiéval-fantastico-maniaques ...). PS: c'est gentil de penser à moi! Le reste s'est mieux passé que la philo, mais bon ce n'était pas non plus la panacée...Merci en tout cas
  4. Jorgar Heise

    Dernier regard

    EXCELLENT!! Tu ne me croiras peut-être pas mais je me doutais aussi qu'il s'agissait d'un Stryge! Le combat est une merveille, on perd un peu le fil parfois mais cela est dû à la masse des copmbattants, et je dois dire que tu t'en sors trés bien puisque tu réussit dans l'ensemble à nous faire comprendre tout son déroulement.Tu ne sombres ni dans le bourrinisme, ni l'illogisme, ni dans la confusion et cela est vraiment trés bien! Vraiment là on te retrouve totalement, ton style fait merveille. La description du Stryge est à tomber par terre, et est fluffiquement trés bonne, de même que son attitude envers les Von Carstein et vice-versa. Vrailent félicitations! On a droit ici à une petite pause dans l'intrigue, mais ca vaut vraiment le coup! Un passage trés bon à mon avis... ...mais il faut essayer d'être constructif ... donc, pour la forme, je n'ai relevé qu'une seule chose: entrée Ce qui m'a la plus dérangé, ce sont les passages ou tu exprimes la douleur des vampires, du style Je sais pas mais j'ai du mal à imaginer les vampires ressentant une douleur quelconque...Je conçois qu'ils puissent etre sonnés par l'explosion, mais à mon avis une épaule fracturée ne doit pas trop les déranger... C'est assez problèmatique en fait, parce que ne pas leur faire ressentir la douleur rend malaisé d'eviter le bourrinisme (ce que tu as trés bien réussit), mais je ne suis pas sûr que ce soit trés en accord non plus avec leur condition que de leur conférer ainsi des sensations tout à fait humaines. A mon avis leurs corps ne ressentent rien, non? Ceci dit attendons d'avoir l'avis des autres pour trancher, j'avoue ne pas trop savoir quelle solution serait ka mailleure... Et pour finir tu devrais peut-être un peu plus développer la mort du Stryge. Le combat dans son ensemble est long, mais tu "executes" un peu vite à mon avis le descendant d'Ushoran.Nul besoin d'en faire des tonnes, mais rajoute encore quelques passes d'armes, le réalisme en sera grandi, là on a un peu l'impression qu'une fois ses gargouilles mortes il ne vaut plus rien...ce qui n'est pas le cas, même si je conçois, cher collègue Von Carstein, qu'il est difficile pour nous autres vampires éduqués de l'admettre... Enfin l'ensemble est de trés haut niveau, bravo! Et continue... Jorgar Heise, triste comme tout pour Léa...
  5. Jorgar Heise

    Atterissage

    J'en ai fini avec mon concours, et chose promise chose due, voici donc une petite suite: ------------------------------------------------------------------------------------------------------ Les yeux du sergent s'ouvrirent d'un seul coup, comme si ce dernier venait d'être piqué par une aiguille ou un quelconque insecte. Nulle trace de sommeil n'embuait son regard, et, sans effort apparent, il se leva silencieusement, son imposante armure ne laissant échapper aucune plainte. Il tourna la tête vers les Frères, qui, comme lui, se redressaient sans un mot. - "Frère Azérus, nous y allons. On va voir s'il est possible de raisonner ce damné gradé. Tenez vos armes prêtes. - A vos ordres" A la suite du sergent, les Frères sortirent des bois. Le soleil qui se levait découpait la cité montagneuse sur le ciel qui rosissait, leur permettant de détailler la myraide de toits qui s'étagaient le long du pic. Rapidement, le groupe arriva de nouveau sous la porte fermée. Le sergent leva la tête et cria: - "Le jour est déjà haut, et rien ne peut retarder le service de l'Empereur. Ouvrez nous!" Nulle réponse ne vint du haut de la muraille. - Frère-Sergent, il se peut...et bien il se peut qu'ils n'entendent pas. Peut-être dorment ils encore? - Si leurs sentinelles dorment, je me chargerais de rendre compte personnellement au commandant de cette cité!" Le sergent porta sa main au côté de son casque, et tourna une sorte de disque en relief. Puis il réitera sa demande, d'une voix beaucoup plus forte qu'auparavant: - "Ouvrez nous les portes! Le jour est levé!" Un mouvement se fit sur les remparts, et enfin une réponse parvint aux Frères. - "Euh...qui êtes-vous?" Le sergent répondit aussitôt, sur un ton agacé: - "Vous moquez vous de nous? Si cette porte n'est pas ouverte dans l'instant, je vous garanti que je la fais sauter!" Aprés une longue hésitation la voix redescendit: - "Bougez pas d'là, je vais chercher le sénéchal." De concert, le frère Azérus et le Sergent se tournèrent l'un vers l'autre. - "Il a dit "sénéchal"? Je ne connais aucun grade impérial qui porte cette dénomination. - Moi non plus. Je commence à me demander si cette cité est vraiment sous le contrôle de l'Impérium, en tout cas sous son contrôle officiel. - Les techno-capteurs sont touours muets Frère-Sergent, on ne risque en tout cas rien dans l'immédiat." Le concilabule entre les deux Frères fut interrompu par le voix déja entendue la veille: - "Vous êtes encore là? Je ne vous ouvrirais pas tant que je n'aurais pas vu vos têtes!" Le sergent mit du temps à réagir. Puis il donna un ordre, et ensemble les Frères otèrent leurs lourds casques. - "Par Ulric! Ce ...ce sont bien des hommes...mais comment...coment pouvez vous porter une si grosse armure?" La stupéfaction s'inscrivit sur le visage des Frères. Le sergent remit son casque et répondit: - "Vous vous moquez de moi? Vous n'avez jamais vu de Marines? - de...de quoi? Comment avez vous dit? - Quel est le nom de cette cité? Dans quel système sommes nous? Qui êtes vous? Quel est votre grade, votre unité? Vous voulez me faire avaler que les attributs du Bras de l'Empereur vous sont inconnus? - Je...ici c'est Middenheim, capitale du Culte d'Ulric. Je suis le sénéchal Gruber, et je suis un fidèle serviteur de l'Empereur. Mais je ne vous avait jamais vu...Je...qu'est ce qu'un système?" La surprise figea les traits des Frères. Le sergent ôta son casque. - "Frère-Sergent, ils n'ont jamais vu de Marines, ni même entendu parler... - Je...Mais où sommes nous? Il ne sait pas ce qu'est un système planètaire!" Remettant son casque, le sergent s'adressa de nouveau au sénéchal: - "Il faut que nous entrions. Si vous servez l'Empereur comme nous, il faut que vous ouvriez. Je ne sais pas ce que vous sembliez craindre hier soir, mais la mention de Son nom devrait suffire à vous rassurer! Un long silence ponctua ces paroles. Puis, hésitante; la voix du sénéchal se fit à nouveau entendre. - Je...je vais vous ouvrir...Oui, patientez, je vais vous ouvrir." Le sergent fit un signe àux Frères, qui se rapprochèrent de lui. Ils se tinrent immobiles, attendant l'ouverture. Au bout de longs instants, un cliquetis se fit entendre, et les lourds battants commencèrent à s'écarter dans un concert de grincements et de bruits de chaînes, dévoilant peu à peu une route dont la perspective se continuait sur le viaduc qui montait vers le pic. Au centre de l'ouverture qui peu à peu s'élargissait, des formes touours plus nombreuses se massaient, toutes plus ou moins semblables à celles rencontrées par les Frères précédemment. Le sergent demanda: - "Frère-Azérus, les techno-capteurs...? - Toujours rien, Frère-Sergent". Le sergent avanca alors vers l'ouverture, suivit de l'ensemble de son groupe. Passant la porte, ils s'arrètèrent devant le comité d'acceuil qui s'était constitué derrière les remparts.Les portes s'immoblisèrent dans un dernier grincement, et un lourd silence s'abattit. Le sergent prit les devants: - "Qui est le...sénéchal?" Il dévisagea les visages de ceux qui se tenaient en face de lui. Il y décela sans mal les stigmates de la peur, une peur panique qui marquait les faces et en faisaient même transpirer certaines à grosses gouttes. Certains hommes tenaient à la main le même genre d'arme allongée que celle déja vue dans le village, et beaucoup de vêtements renvoyaient des reflets metalliques, de même que certains couvre-chefs. Un des hommes finit cependant par se détacher de la masse, s'avancant lentement vers les Frères. -"Je suis le sénéchal. Je vous avertit que vous ne pourrez rien tenter ici, les hommes de la garnison sont suffisamment nombreux pour vous en remontrer!" Le sergent ôta son casque, et tira une sorte de fil de son armure, qu'il tînt devant ses lèvres tandis qu'il répondait: - "Cessez donc de trembler. Nous servons le même maître." Le visage du sénéchal parut se détendre. D'un signe, le sergent fit enlever leurs casques aux Frères. - "Mais...Qui êtes-vous? D'ou venez vous? - Je vous l'ai dit. Nous sommes venus en éclaireurs depuis la barge Achérona, en orbite basse depuis cinq cycles. Notre transport a eut quelques avaries en se posant, et nous aurions besoin de votre aide pour réparer...et nous dire exactement ou nous sommes. Vous-mêmes, qui êtes vous? De quel secteur relève cette planète? - Euh je...qu'est ce qu'une planète? De quoi parlez vous? Qui est cet Achérona? Vous entrez dans Middenheim, ville souveraine de l'Empire et l'un de ses joyaux, protégés par les enfants de l'Empereur depuis l'avénement même de Sigmar. Venez vous...venez vous du nord? Etes vous des chevaliers?" Le sergent mis du temps à encaisser le choc. Il se tourna vers le Frère Azérus, qui comme lui manifestait une stupeur totale. - "Vous...vous ne savez pas qui nous sommes? Vous ne connaissez rien de l'Adeptus Astartes? - Non...est ce votre ordre?" Sans comprendre, le sergent fixa le sénéchal, qu'il dépassait d'une bonne quarantaine de centimètres. Puis lentement il parla à nouveau - "Et...vous prétendez servir l'Empereur? - Mais bien sur que oui! Qui êtes vous donc pour en douter? Ecoutez, j'aimerais comprendre! D'ou venez vous avec de telles armures, avec ces drôles de casques? Pourquoi êtes vous si grands? Y'at'il là quelque magie? - Quelque quoi? - Magie. Vous ne savez pas ce qu'est la magie?" Se tournant à nouveau vers les Frères, le sergent vit dans leurs visages la même incompréhension que celle qu'il ressentait à présent. Il devenait de plus en plus nerveux, et sentait son esprit s'affoler face à une situation que rien ne lui avait apprit à appréhender. -"Non, je ne sais pas. Je...qui commande cette place? - Mais...c'est le Comte Todbringer, bien entendu! Peut-être serait-il souhaitable que vous vous entreteniez avec lui...Si vous voulez me suivre?" Visiblement abattus, le sergent et les Frères suivirent le sénéchal qui s'était lancé à l'assaut du viaduc. Ils n'échangèrent aucune parole tandis que lentement ils montaient vers la cité, ils ne parlèrent pas lorsqu'ils franchirent de nouvelles portes, pas plus qu'en croisant toujours plus d'hommes, tous ridiculement petite comparés à eux. Au fur et à mesure de leur ascenscion dans la cité, un cortège de gens toujous plus important se mit à les suivre, dans un silence que le sergent nota être empreint de peur. Ils finirent par arriver devant une bâtisse plus importante que les autres, plus décorée aussi. Le sénéchal les fit entrer, puis les guida dans une dédale de salles voûtées, hautes de plafond et décorées de dizaines de morceaux d'étoffes colorés. L'homme finit par s'arrêter devant une porte métallique, gardée par quatre formes qui semblaient enrobées de métal. Sans un mot le sénéchal écarta les battants, révélant une salle longue au bout de laquelle un homme, plus grand que tous les autres jusqu'ici aperçus, était penché sur une table. A l'entrée du groupe il se redressa, et sembla surpris de l'intrusion. Le sénéchal se dirigea vers lui, et s'entretint un long moment avec. Puis l'homme tourna son visage vers les Frères. Lui aussi semblait enrobé de métal, un métal qui luisait faiblement dans la pauvre lumière de la salle. Il s'approcha des Frères, et le sergent ne décela aucune peur dans les paroles qui fusèrent. - "Ainsi vous prétendez servir l'Empereur. Vous portez certes un Aigle sur la poitrine, mais cela ne veut rien dire pour moi. D'ou venez vous? Quels sont ces mots étranges que vous employez sans cesse? Le sergent prit à nouveau le fil de son armure. - Nous sommes de la 4éme Compagnie du chapitre des Norges of Inacalm. Notre navette s'est écrasée et nous avons un besoin urgent de matériel...et d'informations. - Navette? Qu'est ce donc? Et ce nom...appartenez vous à un ordre de chevaliers? - Chevaliers? Nous sommes les guerriers de l'Empereur, et cela vaut tous les titres! Par Son Nom, allez vous enfin me dire où nous sommes? - Le sénéchal vous l'a dit. Ne seraient-ce vos ...armures et votre taille, je vous croirais volontiers dérangés, mes amis." Le sergent eut visiblement du mal à se contenir. Il fut frappé de la sureté du ton employé pas l'homme.Il se retourna vers le Frère Azérus. - "La date? - Voila Frère-Sergent. Le dernier pointage fait sur l'Achérona donnait 6/2520 M41 A nouveau le sergent fixa l'homme. - Depuis quand avez vous perdu conact avec l'Impérium? - Impérium? comment cela? J'ai du mal à vous suivre...vous voulez savoir la date, c'est cela? Le sergent soupira. - Si ca peut nous mettre d'accord... - Nous sommes au miliieu du troisième millénaire de Sigmarzeit. En 2530 exactement, vingt-huitième année du règne de Karl Franz". ------------------------------------------------------------------------------------------------------- Ca avance ca avance, la difficulté de l'écriture réside toujours dans ce qu'il faut expliciter sans cesse les découvertes des Marines, et parfois c'est pas évident du tout. L'intrigue se développe elle aussi plus lentement, mais c'est parce que je veux eviter de faire du grosbilisme et de sombrer dans le manichéise le plus total, ce qui je pense ne serait ni trés interessant (si vous voulez ce genre de trucs faites une petite partie 1500 pts de SM contre 30000 d'Empire ), ni une réponse, je le crois, trés appropriée à ce que vous semblez attendre de ce texte. Une dernière chose aussi: dans ce passage on perd un peu le coté militaire des SM, surtout au niveau des dialogues (ordres, etc). Pas de panique, c'est lié à la situation, on le retrouvera par la suite! Ici les pauvres gars sont de plus en plus perdus, ce qui explique aussi les erreurs fluffiques SM au niveau du comportement des gars que j'ai pu commettre. A ce sujet d'ailleurs, si il y a une erreur flagrante merci de la signaler! C'est valable tant pour 40k que pour batttle, par exemple je suis pas un expert de l'organisation politque de Middenheim Que dire d'autre? A oui, à vos commentaires!! Jorgar Heise
  6. Jorgar Heise

    Dernier regard

    Trés bon! Je me doutais que ce serait des gargouilles! Trés bon passage, les descriptions sont de retour et c'est tant mieux. par contre le suspens est toujours entier...On se demande bien ce que les gargouilles leurs veulent...Donc la suite!! Juste pour la forme: Celle-là m'a étonné de ta part! "Quelques secondes s'écoulèrent sans qu'aucune réponse ne vînt". Mieux non ? "précédant", c'est un participe présent Trés bien en tout cas. La suiiiiiiiiiiite..... Jorgar Heise, qui a fini son concours.
  7. Jorgar Heise

    Dernier regard

    Aprés une nuit de repos et en y repensant, je dois admettre que la phrase "s'il s'agissait [...]" ne me choque plus tant que ca. Je crois que j'ai mieux compris le sens de la phrase, et en effet l'inversion des propositions ne me semble plus aussi dérangeante qu'auparavant...mes excuses donc, mais je maintien le fait qu'un grammairien nous serait utile dans ce topic sur certains points Jorgar Heise, et puis d'abord c'est de la faute de Wilheim, s'il faisait de grosses erreurs de style on serait pas obligés de chercher la petite bête...
  8. Jorgar Heise

    Dernier regard

    Trés bon!!! On se rapproche de quelque chose, je le sens! J'ai hâte de savoir ce que sont ces créatures... Quelques remarques de forme: Pas de s à rocher. naturelles répétition de semblait. Sinon pas d'autres faute choquantes, du moins à première vue. Et puis de toute facon j'en ai un peu marre de passer pour le chieur de service . Une remarque cependant: tes vampires prennent un tour de plus en plus humain, je ne sais pas si c'est voulu mais c'est assez bizarre...Par exemple pour ma part j'imagine mal un vampire en train de blaguer avec son pote en montant la garde, c'est plus une attitude de trouffion de caserne, en plus d'être en décalage avec l'ambiance de la scène. C'est sans doute lié au fait qu'ils se trouvent dans une situation assez peu commune pour leur race, mais on perd un peude vue que ce sont des aristocrates raffinés. Enfin c'est assez peu prégnant, mais je voudrais juste savoir si c'est voulu ou si c'est inconscient. Mais en tout cas rien qui ne nécéssite une quelconque correction... Un bon passage propédeutique à une action future qui promet d'être...instructive!! Jorgar Heise
  9. Jorgar Heise

    Dernier regard

    Je viens de soumettre la question du "si" lors du dîner familial... Et comme moi tout le monde est plus ou moins choqué par cette phrase. En fait je crois que le si n'a pas la meme valeur dans la phrase que dans: Dans la première il n'a pas de dimension interrogative de type "Est ce que" ou "S'agissait-il", alors que c'est ce pourtant vers quoi tend ta phrase; d'ou ma "gêne.En revanche dans la deuxième cette valeur est bien présente. L'inversion de termes de la phrase ne conserve pas forcément la valeur des conjonctions. Qu'en pense mon bon Korélion ? Je suis ouvert à tout eclaircissement de mon éventuelle ignorance, mais je te promet que cette phrase me gêne. Jorgar Heise, vampire mais pas grammairien, et qui doit donner l'impression de chercher la petite bête à chacune de ses interventions.
  10. Jorgar Heise

    Dernier regard

    Je reste persuadé du bien fondé de ma critique sur Si tu retournes la phrase c'est bon, mais dans ce sens la c'est faux...Je n'ai pas de règle de grammaire precise à convoquer ici, mais je suis à peu prés sûr d'avoir raison. Je t'assures que lorsque on la lit, ta phrase choque... Un grammairien pourrait-il venir à mon aide??je n'arrive pas à m'expliquer sur ce point là... Jorgar Heise, si si il a peut raté sa philo, et même méchamment.
  11. Jorgar Heise

    Dernier regard

    Aaaaahh enfin... Bien commencons par quelques remarques de formeen plus de celle de Korélion: Je pense qu'il y a une faute...Tu devrais plutot dire: "Est-ce qu'il s'agissait de gobelins..." Je pense que le "le" est superflu...une faute de frappe je suppose . Je crois que c'est tout en ce qui concerne la forme, ca reste une de tes qualités, tu ne tortures pas le sens grammatico-orthographique de tes lecteurs et c'est trés positif . Passons au fond: Le passage est court certes, cependant on sent qu'il est important, pour deux raisons: - les vampires rentrent dans Middenheim,on sent qu'ils se rapprochent, sinon de leur but, du moins d'un nouvel élément qui va relancer leur quête ; - tu ouvres une seconde intrigue, sans doute plus secondaire, avec la créature de la fin, ce qui a pour effet de redynamiser ton récit (je ne veux pas dire qu'il était terne auparavant!!). Ici tu étoffe encore un peu ton intrigue: quel est le rapport avec les vampires? Y'en a t'il un d'ailleurs? Quelle est cette créature??Pourquoi va t'elle à droite alors que les vampires vont à gauche? Soit dit en passant, c'est une grande réussite sur la plan du suspens et de la stimulation de l'interêt du lecteur: tu commences par lier la créature aux vampires en faisant coincider son "reveil" et leur passage, et tout de suite aprés tu détruis cette association en la faisant aller dans la direction inverse de notre charmant petit groupe. Le lecteur est donc perdu: on comprend que la créature va avoir un lien avec l'histoire générale, et en même temps tu suscite le doute: si elle à à voir avec les vampires, pourquoi va t'elle en sens inverse...Un passage bien mener vraiment! Bref on veut des réponses!!! Et donc une suite... Pour terminer; n'y a t'il pas contradiction entre et ?? Je cherche la ptite bête (pas autant que Korélion, mais quand meme ), mais c'est que ca devient dur d'être constructif a force de féliciter ... Jorgar Heise, qui passe aussi son concours et qui a raté sa philo... Faut aller dodo, c'est pas encore fini!
  12. Pas forcément, il se peut que cela se produise aprés le cac, non relaté ici. Immunité à la psychologie n'est pas immunité au tests de Moral . Ou alors oui, il y a bug... Jorgar Heise
  13. Jorgar Heise

    Dernier regard

    Mmh je ne crois pas qu'il y ait incohérence... Le sentiment de peur éprouvée face aux chevaliers en armure noire est une réminiscence de la peur qu'a épouvé le fondateur du groupe des Von Carstein dans lequel est intégré Joshua, Jean, en combattant celui qui lui a par la suite donnée le baiser de sang. Le Dragon de Sang est et son ancêtre vampirique, et ce que tout le groupe abhorre le plus au monde, la cause de sa damnation. Il est donc normal que Joshua ait les souvenirs de son ancêtre, qui a éprouvé tant de peur et de haine face à ce chevalier noir qui l'a damné. Ou alors, l'incohérence vient d'autre chose: Dans ce cas, pourquoi les Von Carstein n'ont pas les souvenirs dudit Dragon de Sang fondateur de leur groupe?Si "l'Esprit des premier-nés" demeure dans chacun de leurs rejetons, le fait que Jean ait évolué en Von Carstein est pour le moins...étrange, non?C'est peut-être ce que voulais souligner Korélion, mais je suis pas sur d'avoir saisi son raisonnement, d'ou un possible égarement de ma part... Jorgar Heise, vampire perdu. PS: Wilheim, ne t'endort pas! On veut la suite!
  14. Jorgar Heise

    Atterissage

    Une chtite suite...? Bon on y avance pas beaucoup, mais c'est qu'il me faut du temps pour établir une action cohérente, et ca passe par une légitimisation constante, à leurs yeux, des incohérences auxquelles sont confrontés nos Marines...Bon c'est compliqué, mais en gros l'avance est lente parce que je suis obligé d'y aller petit à petit, en montrant que tout dérange nos héros dans ce monde... Bon je sais pas si vous avez compris, il se fait tard... ----------------------------------------------------------------------------------------------------- -" La seconde analyse me donne également la même traduction, Frère-Sergent. - Mais enfin...Pourquoi nous fuiraient-ils si ce sont des membres de l'Impérium? Ce ne sont pas des renégats, puisqu'il L'ont invoqué... - Peut-être n'ont-ils jamais vu de Marines, Frère-Sergent. - C'est absurde! Nous portons l'Aigle sur la poitrine, si ces créatures prétendent se battre pour l'Empereur, elles en connaissent fatalement le Symbole!" Le silence se fit entre les Frères. D'un geste rageur le sergent remit son lourd casque. -"Frère Azérus, point topographique. - Effectué, Frère-Sergent. Il y a une autre concentration de bâtiments à 5 kilomètres, en suivant la route. De trés grande importance apparement, en tout cas par rapport à ce que nous avons rrencontré jusqu'ici.Localisée sur un massif rocheux, à première vue. - Aucune nouvelle de l'Achérona? - Aucune Frère-Sergent, la balise de la navette reste muette. Nos Frères ont dû activer les recherches maintenant, et ils ne devraient pas tarder à nous localiser étant donné que nous sommes les seuls îlots technologiques du secteur. La voix de Frère Eron vint couper celle de Frère Azérus. - Frère-Sergent, inspection terminée. Tout le monde a fui, il ne reste que des productrices agricoles. Bien, tachons de nous rapprocher du prochain conglomérat autochtone avant la nuit. Armes parées. J'aimerais bien avoir quelques réponses avant de devoir encore abattre des dizaines de ces humanoïdes. - On peut parler d'humains, Frère-Sergent. Des humains d'un archaïsme inconcevable, à l'architecture quasi orkoïde, mais que leur foi en L'Empereur nous oblige à considérer en tant que membres de l'Impérium. Le sergent se tut, et reflechit un moment. - Vous avez raison, Frère Azérus. Bolters parés, mais pas d'engagement sans mon ordre. On reste groupés, contact intérieur radio en cas de détection de techno-marqueur. - A vos ordres." De nouveau les Frères retrouvèrent la route et la suivirent. La pénombre commenca rapidement à leur tenir compagnie, ce qui ne sembla pas ralentir leur progression outre mesure. Au détour d'un coude, le groupe émergea de la forêt, se retrouvant soudain à découvert. -"Et bien..." Les Frères levèrent de concert la tête vers le grandiose paysage qui s'offrait à eux. La route continuait dans une nouvelle clairière, barrée sur toute sa largeur par une forte muraille. Au-delà, un pont s'élancait au-dessus du vide pour monter vers un énorme pic rocheux, couvert de constructions diverses, d'édifices et de tours gracieuses, de bâtisses trapues que découpaitle soleil couchant, le tout ceint dans un rempart plus haut et plus puissant encore que celui barrant la plaine. -"Et bien... - Frère-Sergent, aucun techno-signal. - Alors on continue. Comment ont-ils pu construire tout ca sans aide technologique? Vu ce que nous avons vu jusqu'ici, je ne m'attendais pas à ça! - D'un autre côté ca ne ressemble pas trop à ce que font d'ordinaire les architectes dans une colonie, Frère-Sergent. - On va bien voir. Armes parées." Prudemment le groupe reprit sa marche, voyant le mur et le pic croîtrent à mesure qu'il s'en rapprochaient. - "C'est imposant! - Frère-Sergent, on dirait qu'il y a une ouverture dans la muraille devant nous, elle semble fermée. Contact autochtone sur les murs." Levant la tête, le sergent pu voir les indigènes qui s'affairaient sur le rempart, le contour de leurs silhouettes souligné en vert sur sa visière. Manifestement, ils étaient repérés, à en juger par le nombre toujours plus important de formes qui prenaient place au-dessus de la porte.Continuant leur approche, les Frères finirent par stopper à une dizaine de mètres de l'ouverture dans la muraille, effectivement solidement close par de massifs battants de bois. Un lourd silence se fit, qu'une voix, tombée du mur, rompit. Le sergent sentit au ton qu'il s'agissait 'une question. - "Frère-Sergent, je vous envoie le fichier des Archives Linguistiques. Mettez-le en audio et vocal simultané, nous allons pouvoir lui parler et le comprendre." Le sergent vit en un eclair le transfert s'inscrire et s'accomplir sur sa visière. Il effectua quelques manipulations avec l'oeil, puis parla. Il eut du mal à reconnaitre le son qui sortait de son casque comme étant sa prorpre voix. -"Qui y a t'il? - Je vous ai demandé ce que vous esperiez, vermines! Vous comptez sans doute prendre notre cité aussi facilement que vous avez pris le village de Felsen?" L'incompréhension le disputa à la colère dans l'esprit du sergent, qui se contint néanmoins et répondit à son tour. -" Je ne crois pas que nous ayons mérité un tel qualificatif. Ouvrez nous les portes, nous avons besoin d'assistance. Un rire narquois descendit des murailles. - Me prenez vous pour un benêt? Vous faire entrer dans la ville, alors que la nuit tombe?Pour que vous y livriez vos rituels et accomplissiez vos horreurs habituelles? - Horreurs? Rituels? Que voulez-vous dire par là? - Je n'invoquerais pas ici le nom de tes maîtres, vermine! Sache que nous avons dans nos murs de quoi t'abattre, toi et plus d'un de tes semblables! - Je ne comprend rien à vos paroles! Par l'Empereur, ouvrez nous cette porte, avant que nous ne la fassions sauter nous-mêmes!" Un brouhaha acceuillit ces dernières paroles. La voix reprit, moins assurée qu'auparavant: - Qu'as tu dis la? - Je vous ai dit de m'ouvrir! Vous ne pouvez ainsi vous opposer à un représentant de l'Empereur! Nous sommes Son bras, ouvrez! - L'Empereur? Mais ...Qui êtes vous? - Sergent Aezechien, Marines Azen, Eron et Azérus, 3éme peloton de la 4éme Compagnie du chapitre des Norges of Inacalm! Nous portons l'Aigle, ouvrez!" Une nouvelle pagaille s'empara du rempart. Aprés un long moment, une autre voix répondit: - Quoi qu'il en soit, vous ne pouvez pas entrer dans la ville, la nuit est tombée. Attendez demain, et nous verrons. Et n'insistez pas, les remparts resterons gardés cette nuit! - Vous ne pouvez pas refuser l'entrée à une force impériale! Notre statut vous oblige à nous fournir toute l'aide dont nous pourrions avoir besoin. Ouvrez! - Impériaux ou pas, vous resterez dehors cette nuit! C'est la règle! Je tiens à la sécurité de ma cité, et à ma place!" Le sergent baissa la tête en jurant. - "Frère Azérus? - Frère-Sergent, je pense qu'il est inutile de lui faire entendre raison. C'est au moins un signe rassurant, il a tout a fait le style d'un gradé commandant un poste de la Garde Impériale.Borné mais inflexible. Et tant que nous ne savons pas exactement ce qui se passe ici, ni où nous sommes, il vaut mieux éviter de déclencher un bain de sang...Je vous rappelle qu'ils sont Ses sujets, tout comme nous! - Bien, repli dans la forêt." A sa suite, les Frères rebroussèrent chemin, et rentrèrent sous le couverts des arbres. Ils établirent rapidement un campement, plantant dans le sol une sorte de pieu qui se mit à éméttre de la chaleur et de la lumère, éclairant comme dix lanternes. - "Frère Azen, tour de garde. Frère Azérus, qu'est ce que vous pensez de tout ca? - C'est vraiment étrange...Ils semblent et croire à l'Empereur, et ne pas savoir qui nous sommes...Je ne sais pas quoi penser. Surtout que cette absence de techno-marqueurs est troublante. Vous avez vu leurs fortifications? Elles seraient bien incapables de resister à une attaque xénos... Non vraiment, des choses m'échappent. Quand à savoir où nous sommes... - Verifiez la balise de la navette, et prévenez moi dés qu'il y a du neuf. - A vois ordres." Le sergent accrocha son arme à son armure, puis il ota son casque, et, imité par les Frères Azérus et Eron, il se mit à genoux, et ferma les yeux, ses lèvres remuant en silence comme pour réciter une méloppée. Le silence se fit dans toute la forêt, et la nuit s'installa pour de bon. --------------------------------------------------------------------------------------------------- Voila, c'est tout! Pas trés long, je sais, mais j'ai du boulot... La suite dans au mieux une semaine et-demie, il faut que je trouve de l'inspiration...et que je passe mon concours! Je suis toujours ok pour écouter vos suggestions! En attendant, j'attend vos commentaires! Je suis conscient qu'on reste un peu sur sa faim, mais je ne peux pas faire débarquer les Marines dans le salon de Karl Franz sans un minimum de développement...
  15. Il y a un tuto dans le WD n° 96, Avril 2002, celui de la re-sortie du Rhino. Il a l'air pas trop mal fait, à voir. Jorgar Heise
  16. Jorgar Heise

    slaaneshi , oh oui

    Ca semble bien se continuer tout ca! Tu est toujours fidèle à ton schéma, c'est bien, et tu continue à l'appliquer avec talent. Bon pour le moment ya pas grand chose de neuf, mais je te fais confiance! Ton armée prend réellement de l'allure, ce devrait cracher sur le champ de bataille! Mention aux socles vraiment, j'adore la façon dont tu les traites! Un peit truc, évites les photos en prenant tes figs en trois-quart haut, on voit mal. De même il me semble que certaines sont un peu trop surexposées non? En tout cas continue, c'est du trés bon boulot!! Jorgar Heise, qui révise aussi, mais la qui va au dodo.
  17. Jorgar Heise

    Atterissage

    Encore un peu? Vos avis sont les bienvenus, encore une fois, même si l'histoire semble ne pas attirer grand-monde... ----------------------------------------------------------------------------------------------------- Le sergent fit doucement peser sa main sur le battant de bois, qui grinça et acheva de devoiler l'entrée de la masure. Consultant sa visière, le sergent vit que rien ne le menacait dans la pièce, et il franchit le seuil d'un pas assuré. L'intérieur était faiblement éclairé par deux misérables fenêtres, mal bouchées par une sorte de papier, à première vue couvert d'une sorte de corps gras. Une table branlante occupait le centre de la pièce, encadrée par deux bancs peu engageants. Sur la table se trouvaient un certain nombre d'ustensiles inconnus; intrigué, le sergent s'en approcha. Il y avait une sorte de tube, évasé à la base, avec une sorte de poignée sur le coté;une pile de disques blanchâtres, couverts d'une saleté que les capteurs révélérent être d'origine organique. Venaient ensuite des gobelets; le sergent voulut en prendre un, mais ce dernier explosa sous la force de sa main. -"De la terre..." Le sergent reporta son regard sur la pièce. Dans le fond se trouvaient deux paillasses. Puis son regard fut attiré par un éclat de couleur: dans une niche du mur étaient placés deux végétaux, l'un rouge et l'autre bleu, dont les tiges baignaient dans un gobelet. Ecartant ce dernier, le sergent découvrit une petite statue, qu'il sortit précautioneusement et se mit à détailler à la lumière d'une lampe allumée sur son armure. Intrigué, il détailla un guerrier, à en juger par la posture du sujet et par l'épée qu'il tenait, assez grossièrement taillé. Le sergent reposa la statue et ressortit, se voûtant pour passer sous le chambranle. Une fois dehors, il ôta son casque, dévoilant une mine pensive. -"Frère-Sergent? Le sergent tourna la tête. C'était Frère Azérus; il tenait dans ses bras une forme indéfinissable, ensanglantée, inerte. - Inspection terminée. Je vous ramène le moins abîmé des trois, les deux autres ont explosé sous les impacts." Sans un mot, le serent se rapprocha de la forme que le Frère venait de poser au sol. -"Individu féminin, Frère-Sergent. Elle possède toutes les caractéristiques humaines, mis à part paut-être une plus petite taille." Le sergent attarda son regard sur la forme torturée à ses pieds. Hormis la tête, tout n'était qu'un amas de chairs sanguinolentes et d'os brisés.Il se pencha et dégagea le visage. -"Elle m'a en effet tout l'air d'être humaine. Ceci renforce mes convictions; nous devrions trouver une enclave ou un poste avancé d'ici peu. - Pourquoi ont-ils fuit si ce sont des humains?" Le sergent regarda pensivement Frère Eron. - "Je n'en sais rien..." Il repensa comme dans un éclair à la statuette, et eut un choc. -"J'espère en tout cas que nous ne sommes pas tombés sur une planète renégate ou sur des cultistes... Il remis son casque. - Nous allons reprendre la route. Armes parées, procédure standard en cas d'engagement. - Il y a une trouée dans la forêt plus au nord de la clairière, interrompit Frère Azérus, et il y a un chemin qui en part et qui rejoint une route,plus large que la précédente.Je vous envoie les données." Une carte en relief s'imprima devant les yeux du sergent. -"Reçu. Contact intérieur radio.On y va. - Frère-Sergent? - Frère Azérus? - Je n'ai pas détecté la structure que nous venons de visiter parce qu'elle n'a pas de marqueur technologique captable... - Et alors? - Et bien malgré tout elle apparaissait sur la carte, mais sans techno-marqueur c'est à peine différent d'une forêt...Seules les lignes droites permettent d'établir une distinction.Et nous allons...attendez, je vous fait suivre." Une nouvelle carte, en deux dimensions, apparut devant les yeux du sergent. - "Frère-Sergent, voici notre position, en rouge. Vous voyez la route que nous allons prendre? Suivez-la jusqu'au bout. Vous voyez? - Oui et bien? Elle rentre dans un nouveau massif ? - Regardez, si j'aggrandis. Vous voyez? Des lignes droites...Il s'agit en fait d'un ensemble de structures, similaires ou plus grosses que celle-ci, mais je suis formel." Le sergent s'absorba dans la carte. - "Et en ce qui concerne les ...autochtones? - Je n'ai aucun moyen de savoir, Frère-Sergent. Vous l'avez vu: les indigènes sont visibles à la jumelle laser, mais n'émettent pas les bios-signaus habituels...Et c'est pareil pour les autres créatures." Les deux Frères tournèrent la tête vers un proche enclos, où paissaient quelques quadrupèdes. -" On dirait vraiment des productrices agricoles, reprit Frère Azérus.Mais ce n'est pas possible que nous soyons dans un agri-monde, cette parcelle de terrain est ridicule! Ou alors ce sont des gens vivant à part, mais c'est peu probable." Le sergent repensa à la statuette, mais chassa vite la vision. -"Assez perdu de temps, nous repartons." Le groupe reprit sa marche vers la lisière de la forêt, et ne tarda pas à marcher à nouveau sous d'épaisses frondaisons. Comme le Frère Azérus l'avait remarqué, la petite saignée forestière qui' ils suivaient se raccorda à une route plus large, en meilleur état, sur laquelle les Frères s'engagèrent aprés un bref temps d'obseration En certains endroits, la route était empiérrée, des amas de cailloux grossiers bouchant de profondes ornières. La petite troupe progressait rapidement, seul le raclement de leurs bottes sur les pierres troublant le silence de leur avance. Ils marchèrent ainsi longtemps, jusqu'à ce que, la main levée, le sergent ordonne un arrêt. - "Frère Azérus, point topographique. Le Frère Azérus resta un moment silencieux, puis répondit: - Nous ne sommes plus qu'à quelques kilomètres du rassemblement de structures. Aucune trace de vie humaine ou xénos, en tout cas selon les capteurs. - Merci. Nous repartons, prenez les distances, contact radio avant engagement." En silence, les Frères reprirent une formation éclatée, le sergent prenant la tête, et l'avance continua. Au bout d'une petite heure, la voix de Frère Azérus se fit entendre dans le casque du sergent: - "Contact avec les structures dans deux kilomètres. Dans environ 500 mètres, la route débouche sur une autre clairière. Les structures sont au centre. - Reçu. On quitte la route." Toujours en ordre dispersé, les Frères s'enfoncèrent dans les bois, marchant en parallèle de l'axe de la route. - "Armes parées." Aprés un temps assez court, le sergent stoppa. Il se trouvait juste à la lisière d'une nouvelle clairière; sortant le petit pavé noir, il scruta les alentours. -"Autochtones repérés. Il y en a beaucoup...Les structures sont organisées autour d'une sorte de place centrale, et sont entourées d'une sorte d'enceinte de pieux taillés.Tiens..." Le sergent se tut pendant quelques minutes. -"Je crois qu'ils sont en train de...commercer, ou quelque chose comme ca, c'est bizarre, je n'ai rien vu de tel, il y a une absence totale de technologie! - On y va, Frère-Sergent? - On va y aller. Indice de danger nul, armes parées. Essayons de ne pas tirer de suite, j'espère qu'ils ne vont pas fuir comme les autres..." - A vos ordres." Le groupe quitta le couvert des arbres et se dirigea vers les constructions.Soudain, un bruit aigu et cristallin se fit entendre. - "Frère-Sergent, à gauche!" Le sergent tourna la tête. En haut d'une éspèce de tour en bois, un être frappait de toutes ses forces avec un marteau sur une cloche. Reportant son attention sur les constructions, le sergent vit que le bruit avait déclenché une grande effervescence; partout, on s'affairait, nombre d'êtres rentrant dans les constructions pendant que quelques autres en sortaient et se rassemblaient au milieu de la place. -"Frère-Sergent, attention!" Le sergent tourna la tête, pas assez vite pour éviter une longue tige de bois qui vint rebondir contre son casque avec un bruit métallique. Un concert de détonations retentit, et l'être sur la tour fut projeté au sol.Le sergent ramassa la tige de bois; elle était terminée par un triangle en métal, affûté, alors que l'autre extremité était garnie de plumes.Frère Azen, qui s'était approché, remarqua: -"On dirait une arme...Mais comment peuvent ils espérer... - Attention!" Une nuée de tiges similaires à celle que le sergent tenait dans les mains s'abattit sur les Frères, et toutes rebondirent sur les enormes armures. -"Sergent, on dirait qu'ils nous attaquent? - J'aimerais bien savoir ce qu'il espèrent avec leurs morceaux de bois...ceci dit une politesse en vaut une autre. Frère Azen, Frère Azérus, visez moi la place et defoncez moi un peu ces pieux. Objectif 150 mètres, feu!" Le crépitement des armes assourdit tout durant un bref instant. Lorsqu'il se tut, la place était dégagée, et son sol couvert de formes inertes. -"En avant, et au pas de charge!" Les quatres Frères se mirent a courir vers l'ensemble de constructions, et arrivèrent rapidement au centre de la place. Celle-ci était jonchée de cadavres éclatés, de membres épars. Nombre de murs portaient les traces des tirs de Frère Azen et de Frère Azérus. -"Les autres se sont repliés dans les bâtiments.Frère Eron, avec moi, Frère Azérus et Frère Azen, en couverture." Le sergent, suivit du Frère, se dirigea vers la plus proche et la plus massive des constructions. D'un coup de sa lourde botte, il fit voler en éclats le panneau de bois qui obstruait la plus large des ouvertures. Un concert de hurlements accompagna son entrée dans la sombre pièce. Le sergent distingua une masse de créatures, tapies contre le mur le plus éloigné, devant laquelle se tenaient trois autres êtres, porteurs de versions allongées et plus grosses des tiges de bois qui avaient précedemment assailli les Frères. L'un d'entre eux éructa un long cri articulé, que ses deux acolytes reprirent en hurlant avant de se mettre à foncer vers le sergent. Celui-ci leva son arme, accompagné de frère Eron, et le tonnerre s'abattit dans la pièce. Le sergent sortit du bâtiment, son armure couverte de traces rouges. Il arracha de son arme une sorte d'épais rectangle, qu'il laissa tomber au sol avant d'en prendre un similaire à sa ceinture et de l'enclencher à la place du précédent. Puis il se tourna vers Frère Azérus, dans le même temps que Frère Eron sortait à son tour. -"Il y avait une quinzaine d'autochtones, trois nous ont agressé avec des sortes de lances. Nous avons fait le ménage. - Frère-Segent, étaient-ce des armes énérgétiques? - Pas du tout; on aurait dit des lances, je vous l'ai dit, mais aucune technologie la-dedans! - Frère-Sergent, quand vous êtes entrés, il y a un des indigénes qui a crié quelque chose... - Oui? - Et bien, pendant que vous tiriez, j'ai passé son cri dans le décodeur.Ma base interne indique que la référence provient des Archives Linguistiques de l'Impérium. Il s'est exprimé dans une version archaïque de l'ancien langage humain standard. - Bien, cela prouve que cette planète a connu et connait sans doute encore une présence de l'Impérium. Par contre ces renégats-là sont étranges... -Et bien justement, Frère-Sergent... - Quoi? - Selon le décodeur, l'être que vous avez attaqué...et bien quand il s'est jeté sur vous, il a crié une devise, comme un cri de guerre... - Et qu'a t-il crié? - Pour l'Empereur..." -------------------------------------------------------------------------------------------------
  18. Jorgar Heise

    Atterissage

    Bien, j'ai essayé d'amorcer une suite, dites moi ce que vous en pensez (c'est assez court, mais je n'ai pas tout mon temps en ce moment, cause pas mal de boulot): ------------------------------------------------------------------------------------------------- -"Non, il n'y a aucune ville, aucun système, aucune planète qui ne porte l'un de ces noms" Le Sergent maugréa. -"Bien. Et les chiffres? - Les chiffres...Et bien en fait il y a aussi un problème de ce coté là...L'Esprit me refuse la transmission des données, elles sont protégées par un code, et il y a même un scellé de l'Ordo Méchanicus. Et d'aprés le type du code demandé, il s'agit de données antérieure au Moyen-Age technologique. - Le...le Moyen Age? Mais comment se fait-il que...Nous sommes sur un monde a priori non-répértorié, et pourtant nous y trouvons des références au pré-Moyen-Age? - Affirmatif. Ni le chapelain ni l'archiviste ne pourraient même y accéder. De nouveau, le Sergent eut un rictus. - Et l'Achérona? - Aucune nouvelle, Frère-Sergent. Impossible d'établir la communication. Les transmetteurs marchent, mais c'est comme si les messages ne partaient pas. C'est trés étrange, je n'ai jamais vu de panne de ce type... - Merci, Frère Azérus" Le Sergent se releva, sortant le buste de la trappe. - "Rassemblez tout ce que vous pouvez porter comme armes et munitions, nous allons essayer de trouver un quelconque point de communication. La voix de frère Azérus s'éleva: - Mais Frère-Sergent, les cartes n'indiquent rien! Apparement il n'y a aucune emprise technologique à des kilomètres à la ronde! - Peut-être, mais nous n'allons pas rester la à attendre sans rien faire que l' Achérona nous contacte. Frère Azérus, vous prenez le relais transpondeur avec vous, nous partons. Et je ne crois pas que nous risquions grand chose dans l'immédiat, puisque selon vous, Frère Azérus la zone est vide. - A vos ordres." Rapidement, les Frères rassemblèrent un grand nombre de pièces d'equipement, se bardant de lourdes bandes métalliques et de sacs qu'il fixèrent à des aspérités surgies de nulle part sur leurs armures. Puis le sergent prit la tête de la colonne, et, cntourant à nouveau le transport, la petite troupe s'engagea de nouveau sous les frondaisons. Rapidement, le groupe se retrouva sur le chemin boueux, devant le panneau porteur des étranges symboles. - "A mon avis Frère-Sergent, on peut supposer qu'il s'agit de noms de lieux, un peu comme les balises que la Garde Impériale utilise dans ses campements provisoires pour indiquer les lieux névralgiques. En tout cas selon moi nous ne perdrions rien à suivre la direction indiquée par la pointe du panneau. Le Sergent réfléchit durant un instant, puis répondit: - C'est une direction comme une autre. Déverouillez vos bolters et prenez vos distances, a partir de maintenant soyez discret. Contact radio au premier signe des capteurs. - A vos ordres." Les quatres Frères s'espacèrent de quelques mètres, le Sergent marchant sur la route, flanqué sur les cotés des frères Eron et Azen, le frère Azérus fermant la marche une dizaine de mètres plus en arrière. Le groupe progressa longtemps sur le chemin, les lourdes bottes s'enfonçant plus d'une fois dans une quelconque mare ou petite fondrière, obstacles dont les Frères se sortirent avec une agilité déconcertante. Au bout d'un certain temps, le chemin se rétrécit, ne devenat guère plus qu'un sentier; les frondaisons commencèrent à s'eclaircir, les arbres à se clairsemmer; et soudain au détour d'un gros bosquet d'epineux, la troupe déboucha hors de la forêt. Devant eux s'étendait une vaste clairière, au milieu de laquelle s'élevait une petite fumée blanche tremblotante. Les Frères se regoupèrent, et le sergent ressortit la longue petite boite noire. Aprés un long moment d'bservation, il l'ôta de devant sa visière, et la tendit au Frère Azen. A son tour, ce dernier scruta l'etendue herbeuse au moyen du petit pavé, puis il redonna l'engin au sergent. -"Alors? -C'est...tout à fait singulier, Frère-Sergent. A première vue, on dirait des humains, mais...quel taudis et quelle crasse! A mon avis ce sont plus des humanoïdes dégénerés, comme ceux que nous avons vu sur Alectud Tertius. - Au moins cette planète semble, au moins, avoir connu une occupation humaine! A mon avis nous devrions trouver une colonie, ou quelque chose d'approchant, d'ou il nous sera possible d'établir la liaison avec l'Achérona." Le Sergent tourna la tête vers la fumée. -"En tout cas l'indice de danger est nul. On va aller voir. Il se tourna vers les frères Azérus et Eron: -L'objectif est une...enfin, un...une...une sorte de construction rectangulaire.Trois formes humanoïdes repérées.Indice de danger nul.Tenez quand même vos bolters prêts, on ne sait jamais, mais ne tirez pas sans mon ordre. Contact intérieur radio. Distances!" S'eloignant rapidement les uns des autres, les Frères reprirent leur marche en direction de la fumée. Assez vite, ils se retouvèrent immergés jusqu'à mi corps dans un grand champ de blé, les lourdes armures traçant de larges sillons dans la mer blonde. Le silence à l'intérieur du casque du sergent fut soudain rompu par la voix de Frère Azen, qui marchait en avant. -"Frère-Sergent, je detecte d'autres formes vivantes, une vingtaine à peu prés. Certaines ressembles à des productrices de monde agricole, mais en bien plsu petit. Il y en a beaucoup que je ne parviens pas à identifier. - Merci, terminé." La progression continua. Le groupe se rapprochait toujours plus du centre e la clairière, et bientôit la source de la fumée fut visible. Elle sortait du toit d'une misérable masure qui trônait au centre d'un jardinet envahit d'herbes folles.La voix d'Azen se fit à bouveau entendre: -"Contact visue l!" Le sergent aussi avait vu. Une des trois formes précédemment repérées, la plus petite, se tenait devant la construction, le regard dirigé vers les Frères, tout proches maintenant. Il l'entendit emettre un son, qu'il ne comprit pas, et aussitot les deux autres êtres sortirent de la maison. La terreur était distinctment perceptible dans les cris que les trois crétures poussèrent avant de se mettre à courir vers la forêt a l'opposée des Frères, l'une d'elle prenant dans ses bras la plus petite des trois formes. Aussitôt le sergent leva son arme, et une rafale de détonations retentit. Les trois formes furent projetés à plusieurs mètres comme les projectiles tirés par l'arme les atteignaient; puis le silence se fit à nouveau. ------------------------------------------------------------------------------------------------ Voila, j'attends vos commentaires, n'hésitez pas à me souligner les erreurs de fluff SM, je suis pas spécialiste. Au passage, si certains ont envie de me donner des idées pour pourquoi pas poursuivre l'histoire (si elle plait, bien sur ), vous pouvez le faire, mais par mp, ca évitera du surcharger ce post. Jorgar Heise
  19. Jorgar Heise

    Les archives impériales

    Nom:Base de données archaïque, accés refusé. Race: Humanoïde, sous-groupe des suceurs de sang (Ref Ordo Malleus 18547B2). Méfaits: A commis le texte "Aterrissage", en complète violation des règles de vraisemblance et des coutumes en vogue dans la section concernée. Maxime:La mort est la plus belle des récompenses.
  20. Jorgar Heise

    Atterissage

    Pour un seul texte??? Les archives, c'est pas pour les auteurs, disons...a succés? Sinon, vous venez de me donner quelques idées...A creuser donc.
  21. Jorgar Heise

    Atterissage

    En fait une suite c'est pas évident, il y a deux eceuils majeurs à eviter: le grosbillisme ( du genre 3 marines qui tapent 320000 Brettoniens, réaliste mais pas interessant) ou alors le ridiclue (du genre les marines qui décident d'aller tabasser les vilains chaotiques pour le bien d'un univers qui n'est pas le leur, quelle abnégation!) Donc une suite oui, mais il faut réfléchir (aille c'est pas gagné) pour pondre quelque chose de plaisant, réaliste et original ( encore pas évident tout ca... ) En tout cas ravi que ca plaise, meme si deux commentaires seulement c'est pas énorme pour se faire une idée précise du succés/echec d'un ecrit... Jorgar Heise
  22. Jorgar Heise

    Atterissage

    Les Marines dans le vieux monde ca vient directment de ce topic ci: Le topic en question En le lisant j'ai tout de suite eut envie d'ecrire une petite histoire sur le sujet... Jorgar Heise, une suite, pourquoi pas...
  23. Jorgar Heise

    Atterissage

    Le panneau émit un chuintement, hésita un moment, puis consentit à glisser doucement sur le coté. Une vapeur blanche discrète sortit aussitôt du trou ainsi dévoilé, se dissipant rapidement. Pesamment, une forme commenca à remuer, des raclements, crissements et autres couinements acompagnant chacun de ses mouvements. Une lourde main armurée se posa sur le rebord de la trappe, puis l'ensemble de la forme s'extirpa du trou, sautant avec une étonnante agilité sur le sol. Les lourdes bottes pénétrérent profondément dans la terre meuble, et la forme marqua un temps d'arrêt. Puis elle sez retourna vers le trou, et une voix se fit entendre: - "Alors tas de larves, il faut que je vienne vous chercher?" Des profondeurs de la trappe répondirent un concert de grognements, puis une réponse claire: - "Nous arrivon, Frère-Sergent" L'imposante forme fit quelques pas, dégageant le passage à trois autres masses, armurées comme elle,qui se rangèrent derrière lui. - "Bien frère Azérus, faites moi penser à demander à votre intention une mise à niveau de pilotage." Les trois formes gloussèrent. - "En attendant, il s'agit d'évaluer les dégâts. Sortes vos armes et vos paquetages, Frère Azérus, établissez moi la liaison avec l'Achérona. - A vos ordres Frère-Sergent." Les trois formes replongèrent dans la trappe, et un concert de raclement et de jurons ne tarda pas à se faire entendre.Celui que les autres nommaient sergent se retourna et ota son lourd casque, dégageant une cascade de cheveux bruns. - "Au moins ici, on peut réspirer à l'aise! De la trappe derrière lui monta une voix: - Et profitez en à plein, les capteurs indiquent un quasi-absence de polution!" Le sergent inspira à pleins poumons, et un sourire éclaira son visage. L'air pur l'emplissait tout entier, lui procurant un plaisir étrange, mélange de satisfaction et de découverte.Son regard se posa à l'horizon, barré par les forêts. Une chance d'avoir trouvé cette vaste clairière, sans cela...Le sergent ammena l'une de ses énormes mains à hauteur de la ceinture, et appuya fermement sur son flanc. Une petite trappe s'ouvrit, et il en dégagea une boite longue et étroite qu'il porta à ses yeux, lui faisant balayer l'horizon dans toute sa circonférence. Puis il rabaissa la boite, un air rassénéré éclairant son visage. - Frère sergent?" C'était la voix du dénommé Azérus. - "Je crois qu'il y a un problème avec la transmission. La sergent se rembrunit. - Comment cela? - Oui, je n'arrive pas à établir la liaison. Je pense que cela est du à notre atterissage, ou peut-être à la tempête. En tout cas rien ne marche! - L'Esprit de la Machine non plus? - Affirmatif. Je n'ai aucun moyen de joindre l' Achérona." Le sergent se redresse, un rictus déformant ses levres. La mission se compliquait. - "Et en ce qui concerne les dégats dus à vos exceptionnelles capacités d'aterrisage? - Et bien...Il nous faudrait trouver un quelconque poste avancé, ou toute autre source de pièces détachées potentielles, je crains que le blos moteur n'ait souffert. Le sergent maugréa ostensiblement. Un poste avancé... - "Qu'indiquent les Atlas? - Et bien Frère-Sergent, aussi incroyable que cela puisse paraitre, cette planète n'est pas explicitement répértoriée...Selon les données sensorielles transmises par l' Esprit, je dirais que nous sommes sur un monde agricole, au vu du taux exceptionnellement bas d'agents polluants et des relevés cartographiques effectués en orbite haute par l' Achérona. - Pas d'agglomération? - Et bien... c'est assez étrange. l'Esprit perçoit des rassemblement et des concentrations de sujets vivants d'assez grande importance, mais il ne capte rien qui puisse faire penser à une colonie humaine. Un tic fit frémir le visage du sergent. - Des Xénos? - Non plus, c'est assez...étrange. C'est comme si l' Esprit ne captait aucine trace de technlogie." De nouveau, le sergent maugréa. - "Bien, sortez de la, et en vitesse." Une à une les trois formes sortirent à nouveau, cette fois chargées d'un monceau d'équipement divers. - Posez moi tout ca. Frère Azen, frère Eron, avec moi. Vous prenez vos armes et des munitions. Frère Azérus, vous restez ici, nous restons en liaison. Tachez de m'obtenir l'Achérona, le plut tôt sera le mieux. Et tachez d'obtenir de l'Esprit quelque chose de censé... - A vos ordres" Les Fréres Azen et Eron se délestèrent prestement de leur fardeau, ne gardant que des sortes de grosse masses reliées à leur armure massive par un fil épais. Puis il emboitèrent le pas au sergent, qui contourna le transport, franchit la tranchée creusée par son aterrissage, et se dirigea vers une trouée, visible dans la masse forestière à l'orée de la clairière. Le Sergent s'arreta, et porta la main à son épaulière, ôtant la branche qui venait d'y tomber. Son regard s'arreta sur l'insigne que son geste venait de dégager. Quel drôle de hasard, il fallait que ce soit justement une force des Norges of Inacalm qui tombe sur un monde inconnu...Il caressa l'insigne, dans un geste emprunt de ferveur et de respect. Une lumière vint le tirer de ses pensées; sur l'ecran de son casque, Frère Eron demandait une communication. Le Sergent l'enclencha d'un geste sec - "Frère Eron? - Frère-Sergent, mes capteurs détectent un mouvement, je vous transmet les coordonnées." Une mini carte s'inscrit devant les yeux du Sergent, un point rouge clignotant indiquant la localisation du mouvement sur la carte en trois dimensions. -"Faites une reconnaissance rapide. - A vos ordres. Le Sergent fit un bref mouvement du regard, et une autre conversation s'enclencha - Frére Azen? - Sergent? - Appuyez Frère Eron. Il est sur votre gauche. - A vos ordres." Le Sergent fit baculer une petite gachette sur le coté de la masse noire qui prolongeait son énorme main. Soudain une rafale de petites explosions retentit, trés brèves, dans le même temps que la voix de Frère Eron retentissait dans tout son casque: - "Contact!!!!!" Le Sergent bondit dans la direction du bruit, portant la masse noire à sa hanche. - "Frère-Sergent? - Frère Eron? - Engagement terminé. Je crois...je crois que vous devriez venir voir ça." Le Sergent continua sa course, et déboula d'un fourré sur une sorte de chemin boueux, parcouru de longues trainées rectilignes.Frères Eron et Azen se tenaient au milieu, ce dernier était penché sur une masse verte, que le sergent reconnu aussitôt. "- C'est un Ork?" Le Frère Azen se releva. -"Et bien...on dirait, mais regardez son armement, sa carrure...C'est étonnant non?" Le Sergent porta son regard sur le corps de la créature. - "Il possède les traits caractéristiques, mais il est beaucoup moins massif, reprit Frère Azen. Et pourquoi porte-il cette espèce de lame ébréchée? Et ces ...bijoux?Regardes aussi son accoutrement..." - "C'est sans doute un sous-Ork, rejeté par les siens. En tout cas c'est assez grave, j'espère que nous ne sommes pas tombés dans une colonie Peau-Verte...J'envoie les données à Frère Azérus." -" Frère Sergent, venez voir!" C'état la voix de Frère Eron. Délaissanr le cadavre, le Sergent le rejoignit en courant. -" Regardez..." Ils se trouvaient devant un poteau de bois, portant en travers une planche vermoullue, terminée triangulairement. Des inscriptions, comme des runes, en recouvraient la surface, à moitié éffacées.Le Sergent connecta son décripteur. Les messages apparurent en vert devant ses yeux: Décodage en cours... Langage archaïque inconnu. Recherches probatoires commencées... Connexion à la base de données interne... Traduction effectuée. La traduction se surimposa aux autres messages en clignotant: ------- Middenheim 45 lieues ---- Altdorf 125 lieues Voilà j'espère que cela vous a plut, ce n'est pas trés long mais je voulait écrire un petit récit, inspiré par une discussion dans WFB-Background. J'ai hésité à le poster dans la section Fantastique, mais je pense que l'effet de surprise aurait été gaché... Le manque de références explicites à l'equipement SM (cf les "masses") est voulu, j'ai essayé de rendre les SM aussi étranges et décalés que possible, tout en faisant en sorte que le lecteur comprenne qui ils sont (ce qui se fait par le biais des dialogues), comme si c'était un habitant du monde de Warhammer qui les observait. J'attend vos commentaires, étant joueur de Battle il se peut que j'ai fait des erreurs dans mon histoire, n'hésitez pas à me corriger sur ce point (sur les autres aussi d'ailleurs...). J'espère avoir réussit la chute, si ce n'est pas le cas toutes les critiiques sont les bienvenues!
  24. N'importe laquelle, en fait est ce que les adversaires acceptent bien la présence de ce monstre?Trouvent-ils les règles exagérées, pas assez puissantes...etc?
  25. Est ce qu'il serait possible que ceux qui ont essayé Aborash nous fassent part des impressions de leurs adversaires? toutes mauvaise foi due à la défaite mise à part, comment jugent ils le bestiau? Jorgar Heise, longue vie à mon vénéré maître
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