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Warhammer Forum

Le réveil de la lune


Invité Algarion

Messages recommandés

Merci, pour vos conseille(critique). Je remarque que dans l'ensemble vous aimez moins cette partie. :D

Pour tous vous dire, mois aussi! :'( j'aurais du aprofondir plus le combat contre le spectre, bien que j'avais une idée en tête pour ce combat.

Pour répondre plus haut, la créature démoniaque est la par la volonté d'une entité supérieur. Mais si j'avais été plus clair cette question n'aurait pas été posé.

Et quand à la prêtresse vous comprendrez plus-tard pourquoi elle est resté si longtemp hors de son temple. :lol:

J'ajoute que lorsque j'aurais finni, je reprendrai tous les texte un par un et je les retravaillerai. Mas pour le moment j'ai pas le temps (j'ai tous juste le temps d'écrire les texte à intervalle régulier...) :angry:

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l'idée générale se précise mais j'ai l'impression que tu t'embrouille tout seul

personnellement, c'est plutot le dialogue avec la mère qui me gène car je le trouve très confus.

pour le combat, ce n'est pas si mal et ça demande une suite

par contre, fait attention à la grammaire et à l'orthographe. tu avais fait des progrès et tu retombes. c'est dommage, ça gache le plaisir.

voilà, continue tes efforts car ton scénario les mérite vraiment

Erdraug

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Bon, j'avance dans la partie suivante assé lentement (mais surement), j'aimerais pas la foiré avec des dialogues confus ou par d'innonbrable faute d'orthographe.

Par contre je crois que je suis plus inspiré pour la partie qui va suivre que pour celle-ci.

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salut

je viens de lire toute l'histoire d'un coup c'est très long :P mais je trouve mon cher ami que tu as un beau style d'écriture tres plaisant a lire ça c'est le moins qu'on puisse dire!! enfin pour moi ms évidemment le problème qui frappe tt le monde y a rien a faire c'est cette fameuse orthographe même le plus mauvais orque en orthographe ferait encore mieux!!! ^_^ (la j'y vais quand même un peu fort!!!) mais on note quand même une très bonne amélioration!!

continue comme ça et ds quelques temps tu sortiras ton premier roman qui fera un carton ^^

allez bon courage

PS:petite paranthèse, il n'y peut rien deja a l'école ses redaction fesaient partie des meilleurs mais il parvenait tjs a avoir 0/10 pour l'orthographe :rolleyes:

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Sinon juste une question,le forum aurait-il été fermé à un moment donné?

Vu qu'il s'agit de ton sujet, je me permets de répondre:

Oui, il a "fermé un moment", mais ça a été très court. Rien de grave en somme.

Bon, et cette suite?

Sur ce, Imperator, qui s'est aussi fait tiré les oreilles pour son orthographe bien trop aléatoire... (si, je vous jure!)

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Bonjour à tous! Sa fais une baill un?

Bon je sais que je vous fais attendre longtemps mais, si ça ne tenais que à moi je serrais sur le forum. Seulement voilà, des autorité supérieure trop attentive à la facture de téléphone -_- et des études scolaires que je me dois de suivre attentivement :lol: m'empêche d'agir selon mon bon plaisir :D .

Alors en espèrant que vous aimerez la suite et que tous le monde n'est pas partit, voici la partie suivante! :)

Je vous demandrai seulement de m'excuser pour l'ortho qui doit être en dessous de tous, mais j'ai plus le temp de relire de façon à ce que le texte soit acceptable (c'est à dire une bonne dizaine de fois). Mais comme j'adore écrire je continue dans la mesure du possible.

Modifié par Algarion
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Le réveil de la lune.

Partie 7

Korelion se réveilla en sursaut, quelques gouttes de sueur perlèrent un instant sur son fond avant de disparaître sur le visage fin et élégant du jeune elfe.

Cela faisait déjà plusieurs nuit qu’il ne dormait que très peu, ses étranges rêves, troublant son sommeil d’ordinaire si paisible.

Chaque nuit les même visions envahissait ses songes.

A l’aube d’une superbe matinée, un étranger sortait du sentier traversant les bois sombre bordant le village, et se dirigeait vers la demeure de Bellendil, mage et chef du village. Il entrait sans frapper dans la maison de pierre blanche et sans laisser mot dire au sage, demandait l’aide d’un guide, le meilleur guerrier, qui connaisse parfaitement les montagnes et d’un mage, suffisamment doué pour entrevoir les moindres changements anormaux des vents magiques et qui puissent identifier n’importe quelle magie à vue d’œil.

Il exigeait qu’on lui donne sur-le-champ, sans poser de question, ce qu’il demandait. Car disait-il, il était pressé et n‘avait pas de temps à perdre en bavardage inutile !

C’est ainsi qu’il se faisait embarquer dans voyage à travers les montagnes avec cet inconnu dont il ignorait même le nom accompagné de sa sœur que Bellendil avait désigné pour accomplir le rôle du mage.

Pour qu’elle raison, était-il partit, le rêve n’en laissait rien deviner.

Pensif, Korelion tenta de se remémorer l’étranger tel qu’il l’apercevait dans ses rêves.

Ce qui l’avait frappé outre la cape sale et déchirer qu’il portait par-dessus lui, c’était son visage. Les traits fin et caractéristique de sa race était chez lui, souligné par la pâleur de sa peau, tous à fait inhabituel chez un elfe. Plus intrigant encore, ses longs cheveux gris teintés d’une lueur argentée qui se reflétait lorsque les rayons du soleil venaient les gratifier de leur bienfaisante lumière et qui s’accordait parfaitement à ses yeux verts, brillant comme deux émeraudes.

Il était clair à présent que se rêve était bien plus qu’un simple rêve. Bellendil en était même allé jusqu’à penser qu’il s’agissait peut-être d’un rêve prémonitoire.

Korelion, commençait à s’inquiéter. D’autant plus que ces rêves coïncidaient étrangement avec de mystérieux évènement.

6 chasseurs avaient disparu lors d’une chasse aux gibiers récemment.

A quoi pouvaient bien rimer tous ça ! Korelion tourna ses yeux vers la lune, implorant la déesse de la sagesse de l’aider.

Bien au-delà de la noble contrée de Chrace, dans les profondeurs d’une forêt d’Annulii ou se dresse en plein cœur un majestueux édifice de pierre mîntes fois millénaires, une légende va naître, la fin d’un guerrier et la naissance d’un champion…

Algarion gisait par terre, n’ayant plus la force de bouger un seul de ses membres. Les dernières images du combat défilaient sans cesse dans l’esprit d’Algarion. Tous c ‘était passé si vite…

La lame fendait les airs, plongeant droit vers son cœur… Puis avec la force du désespoir, il avait bloqué net la lame entre les deux paumes, de ses mains sans touché le tranchant, comme lui avait appris le maître Aethar !

Ne laissant pas le temps au spectre de réaliser, il lui arracha la lame des mains d’un coup sec et, l’empoignant fermement, se retourna vers le spectre.

A sa grande surprise, il peut lire la peur dans les yeux du spectre, ce genre d’émotion n’était pas commun aux créatures comme lui. Et pourtant, elle était là, la peur, comme le rongeant de l’intérieur.

Algarion se surpris à avoir pitié de cette pauvre créature. Elle avait dû tellement souffrir. Mais, il savait parfaitement que s’il ne la tuait pas, c’est lui qui en mourrait ! Alors il bondit vers le spectre qui, à sa grande surprise se jeta sur lui sans aucune retenue, ne prenant pas la même pas la peine de se protéger.

Algarion abattit sa lame sur le spectre qui fût trancher en deux d’un seul coup ! Il passa à travers l’une des moitiés, et retomba lourdement sur le sol.

Il comprit, mais c’était trop tard. Le spectre avait tenté de traverser Algarion, car traversé le corps fantomatique de cette créature, laissait une impression de froid perpétuel, comme si la victime gelait de l’intérieur.

Algarion serra le manche du glaive qu’il avait subtiliser au spectre.

Il faisait froid, vraiment trop froid.

« Non ! Je n’ai pas fais tout ce chemin pour mourir ici ! J’irai jusqu’au bout. »

Algarion se releva s’appuyant sur la lame de son épée.

« Montrez-vous, déesse de la lune, maîtresse de mon destin. C’est ton serviteur qui t’implore. L’heure des combats est révolue, celle de parler est arriver. Montrez-vous ! »

Ses paroles résonnèrent dans la salle puis s’évanouir laissent Algarion dans le silence.

Puis après quelques minutes d’attente, le mur qui lui faisait face, s’enfonça peu à peu dans le sol, découvrant derrière lui le plus grand et le plus beau de tous les autels qu'il lui ai été donné de voir ! Une statue de femme couronnée du symbole de la lune, lui faisait à présente face. Elle brillait comme un diamant éclairé par la lumière de la lune. Dont les nuages c’était dispersé après la mort du spectre !

Son visage lisse et cristallin étai figé dans une expression de sagesse qui inspirait confiance à Algarion.

Les longs cheveux qui encadraient son visage tombaient en cascade le long de son corps imprimant les courbes sinueuses et divines de la statue, cachant les parties du corps les plus intimes sur lesquels aucun vivant ne pouvait jamais posé les yeux sous peine d’en mourir tant la beauté de l’être divin dans toute sa parfaite nudité était grande.

Beauté fatale empreinte de sagesse et de puissance, tel était représenté la déesse de la lune.

Algarion pleurait car comme tous les elfes il avait un sens inné de la beauté et savait qu’il se trouvait devant l’une des formes de l’absolu, du sublime. Qu’elle Hauts Elfe digne de ce nom n’a jamais rêvé de contempler la perfection faite femme !

« Algarion, mon enfant, mon fils, mon tout petit. Je vois que tu as découvert l’insondable beauté de la vierge de cristal ! »

Ellanna sa mère, venait de pénétrer dans la salle.

« Mais ne contemple pas trop longtemps cette statue ou tu risquerai de ne plus pouvoir détaché tes yeux de cette œuvre majestueuse. Certain on dépérit en la contemplent. »

« Algarion, mon fils je suis fier de toi. Tu as passé l’épreuve. »

« Pourtant la déesse n’apparaît pas ! »

Algarion avait toujours aussi froid mais il était déterminer à tenir debout jusqu’à ce que tous soit terminer.

« Dépose le glaive dans les mains de la statue, c’est la preuve de ta réussite et seulement lorsque tu lui auras donné cette preuve elle se manifestera. »

Sa mère parlait d’un ton calme mais et rassurant, ce qui redonna confiance à Algarion.

Il s’approcha de la statue tendant le glaive pour le déposer dans ces mains et l’ayant déposé recula de quelques pat.

Il avait accompli l’acte sans regarder la statue car, il savait que s’il la regardait ne fusse q’une minute de plus il ne pourrait plus en détacher ses yeux.

Fermant les yeux il attendit la manifestation de la déesse.

« Algarion, mon prince, mon fils, enfin te voilà ! Tu as traversé toutes les épreuves sans exception, tu as bravé tous les dangers et tu n’as jamais baissé les bras. Tu avais fois en moi alors même que tu ne savais encore rien des épreuves qui t’attendait, tu tes mis en route pour me rejoindre et jamais tu n’a douté de moi. Il n’y a pas plus belle preuve de bravoure et de fidélité. Se serra toi Algarion fils de la lune, messager de l’astre d’argent, qui deviendra mon champion ! »

Plus elle parlait et plus Algarion sentait le froid s’évanouir et ses forces revenir. Elle avait une voix entouré de mystère, comme un murmure ou une brise glacé par un matin d’hiver.

Elle reprit, toujours de cette voix Angélique, qui donnait tant confiance à Algarion…

« A genoux à présent. »

Algarion s’exécuta.

« Algarion fils d’Edwin et d’Ellanna, acceptes-tu de ton plein gré, les liens divin qui te lierons à moi et qui feront de toi mon champion et messager ? »

« Oui, mon âme vous appartiens ! »

« Acceptes-tu de me servir et, jures-tu fidélité à ta déesse et à sa grande prêtresse ? »

« Je le jure, sur mon honneur ! »

« Es-tu prêt à protéger et à guider ceux qui me serve et ceux qui me serviront ? »

« Oui, je donnerai ma vie pour eux ! »

« Alors, relève-toi, fils de la lune, et que soit signé le pacte qui unira ta vie à ma cause… »

Algarion sentit un souffle d’énergie déferler en lui. Il que l’énergie se concentrait dans son dos. Elle se mit à le brûler atrocement, il ne se retint de crier qu’au prix d’un énorme effort. Puis, subitement la douleur s’arrêta !

« A présent Algarion, tu deviens mon champion et mon messager. Tu deviens le Haut prince de la lune, tu guideras ceux qui mon rejoint et ceux qui me rejoindront. Sois bénit à présent champion de Lileath. »

« Je ne vis que pour vous servir ma déesse. »

« Ton destin est donc scellé mon enfant. »

« Qu’importe, il était déjà au moment même ou je suis entré dans ce temple. »

Algarion se sentait heureux, comme jamais il ne l’avait été. Depuis qu’il était partit, il avait fait tellement de chemin. Apprit tant de chose. Franchi tant d'épreuve. Et aujourd’hui, il avait enfin trouvé sa voix.

« Je n’ai plus qu’a te remettre en gage de ton statut et comme preuve de ta foi, les artefacts auquel j’ai accordé ma bénédiction et qui te protègeront. »

Un rayon d’une intensité aveuglante enroba le corps fin de l’elfe, qui fut soulevé du sol, peu à peu une armure finement ciselée et d’une couleur bleutée se matérialisa au sur son corps, par-dessus sa cotte de maille, au centre scintillait une pierre qui émettait un doux champ protecteur.

Deux superbes lame d’argent brillaient à ses pieds, sur chaque lame, brillait, gravé, un majestueux serpent qui s’enrobait autour de l’épée bénite. Leurs fourreaux de, étaient fabriqué dans un cuir blanc et doux, dessus le croissant de lune brillaient comme de l’or au soleil.

Il était difficile à croire que tant de finesse étaie destinée à se battre…Mais, s’en était malheureusement la fonction.

Algarion sentit la présence de la déesse disparaître et il se tourna vers sa mère, qui lui sourit gentiment. La déesse ne lui avait pas confié de mission comme il s’y attendait. Comme si sa mère lisait dans ses pensé, elle lui dit :

« Rentrons maintenant, la déesse ne t’appellera pas avant l’hiver. Viens, ta sœur t’attend. »

Nasha ! Comme il avait envie de la revoir, de lui conté ses aventures, ses exploits. Comme aimerait à nouveau la serrer dans ses bras et déverser en elle tout l’amour fraternel qu’il lui vouait !

« Oui, rentrons…Nasha m’attend ! »

Il sortir du temple et descendis les marches, en bas une silhouette les attendait. S’approchant de plus prêt il put reconnaître un des majestueux grands aigles, qui peuplaient encore en petit nombre les pics rocheux d’Annulii.

Il fit grimper sa mère sur le dos du noble rapace, grimpa à son tour et l’aigle prit majestueusement son envole. Chez lui, il rentrait chez lui !

Nasha sourit, elle pouvait ressentir les émotions de son frère où qu’il soit. Et elle s’avait, qu’il avait emprunté la voix des Dieux à présent. Sa mère lui avait tout expliqué sur ce qui attendait son frère. Il rentrerait bientôt elle le sentait.

Mais, son visage s’assombrit. Les forces des ténèbres se faisaient plus menaçante de jour en jour ! Ce n’était qu’une question de temps pour que son frère reparte pour accomplir sa première mission…

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Bien !

On a encore c'est sensation de rapidité qui pourrais etre diminué par un arrete plus long sur les evenements ! :D Plus de description etc

Ensuite au niveau du scenar, ca se tient -_- Donc continues, c'est original mais fais attention que ton heros ne devienne pas trop bourrin !

@+

-= Inxi =-

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Aussi étonnant que cela puisse paraître, je suis arrivé à la fin et j'ai cherché pendant un coura moment pourquoi je ne trouvais plus la suite... Ce fut vraiment accrochant...

On a enfin l'arrivée des artefacts et on sent l'ultime intrigue arriver. Toute la partie de la statue est vraiment superbe,

Pour les fautes:

Les traits fin et caractéristique de sa race était chez lui, souligné par la pâleur de sa peau,

Pleins de "s" qui manquent et un verbe mal conjugué...

Pour ce qui est de la fin, je n'ai vraiment pas pris le temps de faire attention à l'orthographe...

En tout cas, continue vite, car mes yeux en veulent plus, et mon esprit aussi...

Sur ce, Imperator, impatient.

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Voilà que tu renoue avec les bonnes habitudes...tu nous refais du bon récit!

Cette partie est superbe,bien qu'elle manque légèrement de descriptions à certains moments,d'autres passages comme la statue compense un tant soit peu.

Encore quelques fautes d'orthographes et de temps mais auxquels on ne prete plus attention tellement le texte nous pousse à passer outre et à continuer la lecture.

Fais juste attention à ne pas faire de ton héros un etre extraordinaire qui egalerait les dieu eux-même.

Continue encore,quitte à nous faire attendre pour nous donnez des textes pareils que celui-ci !

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Nondidju! Expliquer moi donc ce que mon héros a de si bourrin! Ce spctre était loin d'être bourrin.

Et j'ai particulièrement souligné son manque de méfiance (et donc d'expérience) en le faisant traversé le spectre. Si il est bourrin maintenant contre se petit spectre qu'est-ce que se serra contre des démons!

Jusque maintenant j'ai toujours fait attention à lui donné des adversair pas trop bourrin et de son niveau, ce qu'il a acompli jusque maintenant (subtiliser la lame au spectre, ou tuer la vouivre comme il la fait) n'est pas exeptionnel. Un seigneur digne de ce nom (adapté dans un récit évidement) doi en être capable avec peut-être un peu plus de difficulté.

C'est quand même un champion divin!

Sinon vous aurez remarquer (pour ceux qui on suivi mon post dans création et dévelopement) que j'ai enlevé la cape qui devait lui donner une résistance à la magie! Je la remplacerai, vous verrez par quoi prochainement.

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Nondidju! Expliquer moi donc ce que mon héros a de si bourrin! Ce spctre était loin d'être bourrin.

On ne s'en fait pas pour le spectre...

Laisse-moi t'expliquer l'un des aspects du bourrinisme:

Premièrement, être bourrin, c'est tout vaincre sans effort. Là, il en a fait, même si une vouivre, c'est pas si mal. Mais ce n'est rien...

L'ennui, c'est que, maintenant, c'est justement le serviteur d'un dieu. Il faut comprendre que le lecteur a besoin de s'identifier au héros de ton histoire, de le ressentir, de vibrer au travers de ses émotions...

Comment veux-tu que l'on s'identifie à un héros divin? Ce que je te propose, personnellement (même si le problème est ardu), c'est de faire de ton histoire celle de son accession à ce rang, sans nous le montrer en tant que héros divin, mais futur héros divin, avec toutes les péripéties qu'il peut rencontrer sur son chemin.

Je sous-entend par là qu'il est plus intéressant de voir quelqu'un gagner par la ruse que par la force, même si c'est une force subtile et grâcieuse.

Maintenant, tu n'es pas ce qu'il y a de plus bourrin et, au fond, ce n'est pas un reproche que j'aurais tendance à te faire, et je ne vois pas d'un mauvais oeil que tu continue ainsi. Essaie, au pire, de faire plus de sentiments sur ton héros, même si, en ce qui me concerne, je le trouve déjà bien développé à ce niveau là...

Sur ce, Imperator, qui a fait bien pire en bourrinisme!

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Un texte agréable, je le répète! :unsure:

C'est très bien, mais cela pourrait être mieux.

Car il y a des bémols: l'orthographe, la grammaire et les fautes de frappes...Où ça? Il y en a temps, que j'ai la flemme de les citer.

Relis toi, bon sang!!! C'est insupportable de voir un si beau scénario se retrouver ainsi entravé... :blink:

Pour les points positifs: Eh bien: l'ambiance générale, les personnages: en gros: le fond.

Conseil: Essaye d'ajouter plus de descriptions! Cela rend toujours mieux. Si tu veux imerger ton lecteur, alors met un peu plus de messages sensoriels dans ton texte...Pour exemple au niveau description, et au vu des commentaires qui ont été fait, je te recommande ce texte assez court: Guerrier du clan

:lol: Bon, j'ai un peu honte, parce que c'est un texte de moi et que ca ressemble beaucoup à de la pub de faire ça... :lol:

enfin, pour un autre exemple d'ajouts qui pourraient améliorer ton texte, regarde dans les livres que tu as lu et choisis un passage au pif, puis étudie le en répondant à cette question: quels renseignements nous donne l'auteur: sentiments, temps, météo, paysages, etc...Tu t'apercevras vite que la quantité de renseignements que nous donne toujours l'écrivain narrateur est importante: fais pareil pour ton texte. :clap:

Bon pour les sentiments du personnage, c'était quand même pas mal...Mais les contours restent flous...Enfin, je trouve...

Allez, courage!

Modifié par Warzazatt
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Ton personnage n'a rien de bourrin mais justement ne tombe pas dans le piege de faire de ton héros un surhomme (sur-elfe :unsure: ) sous pretexte qu'il a la benediction de la déesse.Pour l'instant,ça va très bien mais attention à ne pas voir trop grand,trop vite.Il prend en experience et en maitrise mais il faut pas qu'il tue un buveur de sang (exemple exagéré) la prochaine fois.C'est une remarque constructive pour que tu continues ce superbe récit encore longtemps.

Brode plus sur la description des lieux,le cadre,les emotions des personnages et sur le pourquoi lui et pas un autre comme champion (idée à creuser pour un futur passage :lol: ).

Améliore encore ton orthographe et ta grammaire.

Je suis avec toi :lol:

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Ah on m'éclaire enfin un passages qui demeurait obscure jusque là!

Merci de m'avoir répondu. Alors histoire de vous guidez un peu. Le héros est devenu champion mais! reste un elfe. En d'autres thermes ce qu'il affrontera restera, des adversaires à ça porté.

Je ne veux justement pas le faire devenir un champion demi dieux, dont la déesse placerai en lui tous c'est pouvoir capable d'affronter à lui seul 2 démon majeur.

Il gagnera en expérience et en maturité, avec d'ailleur prochainement l'ajout d'autre perso. Un peu plus d'action dans la prochaine partie aussi!

Sinon je dois vous prévenir! Cette partie(sans doute plus longue) cloturera le premier chapitre des Chroniques d'Algarion càd Le réveil de la lune. :)

Le chapitre 2 (pour lequelle je n'ai d'ailleur pas encore trouvé de titre!) viendra plus tard après la révision ultime du Réveil de la lune que je vous représenterez d'ailleur dans le même poste que le chapitre 2.

En attendant ce Chapitre 2, je vous présenterez un autre héros une autre histoire dans un registre diffèrent et... pas en Ulthuan.

Sinon aux niveau du style et des déscription ect... Ais-je fais des progrès (et dans quel domaine)? :'(

Modifié par Algarion
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Invité Erdraug

bonjour tout le monde (je sais je commence souvent mes posts comme ça et ça vous saoule...)

enfin bon, cette partie est très intéressante et j'aime bien le passage sur la statue d'une beauté parfaite. même si la situation est un peu confuse, la description des sentiments est très bien.

pour la suite, pour une fois, je ne suis pas d'accord avec imperator et je trouverais intéressant que tu décrives ton héros en tant que messager divin.

mais attention, j'ai parlé de messager, pas de guerrier divin. je pense que montrer son rôle de relation entre les elfes et la déesse, comment les autres le regarde et ce qui change chez ton perso pourraient être intéressant.

en gros, beaucoup de travail sur le social et les sentiments qui auront de plus l'avantage de débouriniser l'affaire si tu fais un combat magistral qui s'ensuit.

voilà, j'espère t'aider, dis moi ce que tu en penses

Erdraug

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Invité Algarion

Ben en gros c'est un peu mon idée. Je veux pas en faire un monstre de corps à corps.

Mais y a quelques indication suplémentaires qu'y me seront utile.

Modifié par Algarion
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Invité Algarion

Je suis désolé, je tiens à m'excuser de se si long délai, mais scolarité oblge je nesuis pas en mesure d' avancer aussi rapidement que d'habitude.

J'èspère que votre patience n'est pas à bout.

J'implore votre pardon, mais voilà... Je ne suis pas aussi libre que je le voudrais.

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  • 2 semaines après...
Invité Algarion

Salut, salut, ça fait un bail...

Bon quelques nouvelles concernant la progression de l'histoire.

J'ai parlé un peu trop vite... La dernière partie est si longue que j'ai du la coupé en 2 et je ne l'ai pas finni, j'ai peur que ça devienne trop long... :blink:

Donc y risque d'y avoir encore 2 autre partie.

En attendant suite, pas d'action la, tous viens après.

Modifié par Algarion
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Invité Algarion

Le Réveil de la Lune.

Partie 8 : Première et Dernière

Plusieurs mois déjà que l’aigle les avaient déposés, sa mère et lui, devant la haute porte de chêne de leur demeure.

A peine l’aigle envolé, Nasha avait ouvert la porte et c’était avancé vers son frère, qui l’avait pris dans ses bras la serrant contre son cœur débordant d’affection.

Ils avaient passé la plus grande partie de la nuit a parlé, lui-a raconté, elle a écouté, bercé par le mouvement du grand chêne qui s’élevait fièrement dans le magnifique jardin bordé de rose de leur maison.

Elle l’avait écouté sans l’interrompre, puis lui avait dit tendrement et pleine de compassion :

« Comme tu as du souffrir ! »

Souriant heureux de ce geste d’affection il lui avait répondu :

« Ma seule souffrance fut d’être loin de toi ! »

Elle se mit à rire, des larmes de joie apparurent aux coins de ses yeux verts et coulèrent lentement le long de ses joues.

Elle écarta délicatement une mèche de ces cheveux bruns, qui était venu obstruer son visage, dont la peau blanche miroitait à la lumière de la lune.

« Tu m’as tant manqué. »

Ils y avaient eu bien d’autre soirée depuis. Mais… Ce soir, il sentait que la déesse allait reprendre contact avec lui. Le tant du repos était fini, l’hiver était arrivé et avec le froid avait apporté l’ombre. Nasha, lui avait confié qu’elle sentait le mal de plus en plus proche.

Et, ce soir Algarion sentait qu’il était temps pour lui de se préparer.

« Alors tu t’en vas, encore un fois. » Nasha était apparue dans l’entrebâillement de la porte sans que Algarion s’en aperçoive.

Ses affaires étaient posées aux pieds de son lit.

« Oui, mais, je reviendrais. Avec d’autre histoire à te raconter. » Il sourit, déchirer de devoir se séparer à nouveaux de sa sœur qui souriait tristement.

Elle se retourna et lui souhaita bonne nuit. Avant de disparaître dans la pénombre du couloir.

Algarion s’assit sur son lit. Puis réfléchît, qu’exigerait la déesse de son champion à présent. A cela, le sommeil me répondra dit-il. Il se coucha et ferma doucement les yeux se laissant doucement envahir par le sommeil.

« Algarion, tu m’avais sentit venir n’est ce pas ? »

« En effet, j’ai sentit votre présence. »

« Tu sais pourquoi je suis là ? »

« Oui, je suis appeler à l’accomplissement d’une tache. »

« Oui, je dois malheureusement te rappeler à moi. Ecoute moi maintenant fils de la lune.

Tu vas te diriger vers les montagnes de Chrace, vers le l’obélisque, une montagne de la chaîne Astra. La tu traverseras la forêt blanche, et tu arriveras à un petit village, vas chez le chef de ce village, et demande-lui, l’aide, de celui qui connaît le mieux les montagnes, du meilleur guerrier et du plus puissant mage ! Ils t’aideront dans ta mission mon enfant. Protèges les, car sans eux tu n‘as aucune chance ! Cette mission, tu ne peux l’accomplir seul. Et garde à l’esprit, que tu n’ais pas un dieu, mais un elfe élus comme champion. N’oublie pas que ceci n’est qu’un titre ! Ta vie tu la défendras à chaque combat. Je peux t’apporter la guérison d’une blessure ou d’une maladie, mais je ne peux t’empêcher de mourir lors d’un combat. »

Elle n’avait pas laissé le temps à Algarion de poser la moindre question. Elle avait parlé calmement, sereinement et avait gravé en lui chacun de ces mots.

Algarion réfléchi un instant, la Crhace était bien loin de sa contrée ! Le chemin serrait donc plus long qu’il ne l’avait pensé.

« Quand dois-je partir ? »

« Le plus vite serra le mieux, le temps presse ! L’ombre s’étant déjà. Alors hâte-toi ! »

« Je partirai dès demain. Cela fait longtemps que j’attends votre signale! Je suis prêt ! »

« Je suis heureuse de voir que ta volonté est restée intacte car, tu en auras besoin. »

La voie s’estompa…

Algarion inspira avec plaisir l’air frais du matin, il faisait froid, l’hiver était bien là ! On ne tarderait pas à voir les premières chutes de neiges.

Il passa sur ses épaules la longue cape de fourrure que lui avait confectionnée Nasha pour un anniversaire qui remontait déjà loin.

Avec ce manteau, il aurait l’impression que Nasha serrait avec lui.

Il sourit, comme il pouvait être pitoyable parfois.

Il sella son cheval et s’apprêta l’enfourcher quand, une voix légère et douce résonna à ses oreilles.

« Tu pars sans me dire au revoir ? »

« Nasha ! Bien sûr que non… Mais tu dormais si bien. »

Sa sœur sourit, son frère n’avait jamais osé la réveiller. Il lui avait dis un jour qu’il n’oserait jamais troublé un si beau sommeil.

« Je sais que la ou tu vas, tu devras affronter le froid. Alors, prend ceci. Il t’en protègera. »

Elle lui tendit une petite chaîne en argent au bout de laquelle pendait un croissant de lune en ithilmar entouré d’un serpent en émeraude.

Il sourit, tous les cadeaux qu’elle lui avait déjà offerts avaient toujours été fais à la main et pour la plus part, était superbe. Mais celui-là…Etait sublime. Dès qu’il le mit autour de son cou il sentit une chaleur douce et apaisante envahir son corps !

« Une fois encore tu as fais des merveilles ! Tu es une magicienne hors pair. Je crois que tu devrais songer sérieusement à partir pour la tour blanche. »

« Non une autre destinée m’attend ! »

Algarion sourit. Décidément sa sœur avait de nombreux pouvoir, entre apercevoir l’avenir était un don exceptionnel, même pour un elfe !

Algarion monta à cheval.

« Je dois y aller. Mais je tacherai de revenir vite. »

Il adressa un dernier regard affectueux à sa sœur, puis, sortit de l’écurie et élança sa monture sur le sentier humide et boueux qui traversait le village.

Cette fois il était en route !

Le paysage d’automne commençait à se teinter de blanc, les premières chutes de neige avaient eu lieu cette nuit. Le peu qui était tombé donnait déjà un petit aperçu de la beauté hivernale d'Ulthuan lorsqu'elle recouvrait son manteau blanc.

Il avait toujours préféré l’hiver à l’été. Sans doute parce que l’hiver était placé sous le signe de la lune et l’été sous le signe du soleil…

Si Algarion avançait vite il prenait le temps de regarder défiler le paysage, le contraste de l’herbe encore verte avec la neige qui s’étendait de plus en plus, jour après jour, jusqu’au pied des arbres qui laissait encore entrevoir le tapis multicolore formé par les feuilles tombé quelques mois plutôt en automne.

Le contraste étai saisissant. Mais au fur et à mesure qu’il avançait vers Chrace, les paysages multicolores laissaient petit à petite place a un paysage plus austère et de plus en plus parsemé de rocher, vallon et crevasse tandis que les immenses piques esseulés et les chaînes de montagnes se profilaient déjà à l’horizon.

La forêt ne daignait pas encore pointer le bout de ses branches à la vue du jeune elfe qui certes appréciait les voyages mais qui n’étant pas un cavalier émérite commençait à sentir les effets d’un voyage à longs thermes, à dos de cheval.

Ce n’est qu’après un long mois de voyage qu’il aperçut enfin au loin les grands bouleaux de la forêt blanche, soulager de constater que son voyage touchait bientôt au but, il installa son campement à la lisière des grands arbres.

Il faisait déjà nuit et Algarion se laissait bercé par le doux chant du vent qui soufflait doucement dans les fines branches des arbres. La lumière de la lune se reflétait agréablement dans l’écorce blanche des bouleaux, la présence des arbres l’apaisait au point qu’il ne tarda pas à s’endormir, bercer par les chants nocturnes d’une nuit étoilée…

La forêt était encore plus impressionnante de jour que de nuit, le silence n’était troublé que de cour instante par le gazouillis des quelques oiseaux bagarreurs se disputant un repas difficile à trouver en cette époque de l’année, mais très vite il se taisait comme inviter à nouveaux au silence par un esprit invisible.

Algarion prenait plaisir à observer la vie qui malgré la saison s’activait peu à peu dans la fraîcheur du petit matin.

C'était sans aucun doute la plus agréable partie de son voyage.

Il ne put résister à l’envie de s’arrêter dans une petite clairière pour si reposer un instant. Baigné par un doux soleil d’hiver, il ne put résister à l’appel du sommeil et ferma les yeux « juste quelques minutes se dit-il…

Elendil titubait à travers les fourré, mortellement blesser, tentant de regagner son village.

Une plaie béante entaillait le flanc du rôdeur qui, savait qu’il ne lui restait que peu de temps à vivre.

Jamais il n’atteindrait son village avant de mourir, il ne se faisait plus d’illusion. Par Isha, si seulement il pouvait parler le langage des arbres, il pourrait leur dire ce qu’il avait découvert…Oui il fallait faire ça, la forêt avertirait les elfes du village.

Algarion se réveilla tirer de ses songes par la voix fiévreuse de quelqu’un. La voix était sourde comme affaiblie, malade.

Il ne put s’empêcher de porter la main à la bouche en découvrant le spectacle navrant d’un elfe à moitié mort couché au milieu des arbres et parlant à haute voix. Son flanc était percé très profondément au niveau des intestins, la blessure était horriblement infecter, le sang épais à présent coulait lentement, preuve qu’il avait du déjà en perdre une grande partie.

Il distinguait presque les boyaux du malheureux. A cette vue Algarion fut pris de nausée et, se retint à grande peine d’envoyer valser son maigre déjeuner à ses pieds.

Malgré sa répugnance, il s’agenouilla au pied du malheureux qui en plein délire ne l’avait même pas aperçut.

« Pauvre ami, tu dois souffrir énormément. »

Lorsqu’il parla, une lueur de raison s’alluma au fond de ses yeux, il prit la main d’Algarion et commença à lui parler, Algarion, les larmes aux yeux et voyant qu’il n’y avait plus rien à faire saisit son poignard et s’apprêta à mettre fin aux souffrances de ce pauvre diable mais, s’arrêta net en entendant celui-ci parler de certaines créatures qui rodait au alentour.

« …Elle mon pris par surprise, c’était de véritable colosse, une dizaine environ, des humains recouverts de peau de bête et armé de hache… »

Il parlait vite comme pressé de délivrer son secret.

« …Ils ne m’ont laissé aucune chance. Se sont les fils du…du…»

La terreur se lisait dans les yeux du malheureux encore choqué par la violence dont avait fait preuve ses adversaires. Il ne termina jamais cette phrase, il mourut parcouru d’un dernier spasme et mettant fin sans aucun doute à une longue et lente agonie.

Algarion n’avait pas besoin dans savoir plus, il savait ce qu’il allait devoir combattre et rien, ne pouvait l’inquiéter plus que cet ennemi là !

La nuit tombait lorsqu’il sortit de la forêt et se présenta à l’entrée du village. Porteur du corps froid de l’elfe qu’il avait trouvé au fond des bois.

Il se tourna un instant vers la forêt, lui qui l’avait trouvé si belle, elle lui semblait tellement sombre à présent.

Pour la première fois depuis longtemps Algarion sentit le doute mais, pire encore la peur à l’idée du terrible ennemi qu’il allait devoir combattre.

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d’autre soirée

Au pluriel, non ?

le l’obélisque

Inatention

Le contraste étai saisissant

Conjugaison

thermes

MDR :blink:

« juste quelques minutes se dit-il…

Il manque un « !

Voilà sinon le fond pas grand chose à redire, tu nous fais changer de cote :blink: Donc pas d'incoherence ni de problèmes de bourrinisme :blink:

Bon une suite ! Et tu gagnerai a rajouter un petit résumé a chaque fois ! Je sais je le dit a tout le monde mais je vous jure que c'est appreciable !

@+

-= Inxi =-

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Beau travail, Algarion!

J'apprécie vraiment les efforts que tu as fait sur les descriptions des sentiments et sur la nature.

Cela forme une écriture poétique qui va bien à des hauts-elfes.

Continues dans cette voie: ton texte s'améliore! :blink:

P.S: N'oublies pas de te relire, tous les défauts de ce passage peuvent être corrigés par tes yeux attentifs.

Modifié par Warzazatt
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Invité Algarion

Ok, j'avais peur que vous n'aimiez pas cette partie (si j'écris pour moi, j'écrisausii pour les autres!) justement à cause des déscription. Perso j'aime beaucoup cette partie.

J'ai pas trop haché certain passage?

C'est quand m^me mieux l'ortho non?

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