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Le réveil de la lune


Invité Algarion

Messages recommandés

Depuis le temps qu'on l'attendant cette suite qui ne se faisait que trop tardée...et bien, tu as eu raison de nous faire attendre parce qu'elle est superbe!

Tu tiens compte des conseils qu'on te donne: l'orthographe va nettement mieux (mais persiste encore), le style est plus mature, plus travaillé, à la limite du poètique parfois et des descriptions de décors et de sentiments magnifiques.

Je suis content de voir que tu es arrivé à redonner un côté sensible à ton personnage, il doute, il aime, il savoure. De plus, tu le recadre bien dans un rôle d'elfe normal mais ayant une bénédiction divine qui peu malgré tout être blessé voir même mourrir.

Plus qu'en adepte, j'adhère! Continue, c'est très très bon :good: . Prend ton temps si ça te permet de faire des articles de ce genre.

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Invité Algarion

Tiens je me demandait si tu repasserais un de ces jours! :crying: Ca me fais plaisir de voir que tu continue à lire sur mon post. ^_^ J'apprécie, il est vrais que j'ai pris mon temps mais, je ne sentais plus l'inspiration et, je ne me force jamais à écrire quand je n'ais pas d'inspiration, ça gache tous. :lol:

Quand à mon perso j'èspère pouvoir faire évolué ses sentiments encore d'un cran, le rendre plus mature, lui faire vivre des expérience plus dur, mais surtout, ne pas en faire un héros divin invulnérable!

Je veux qu'il reste un elfe, pas en faire un demi dieux!

J'èspère pouvoir abordé un jour un aspect plus psychologique avec se perso. :good:

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Effectivement, un beau passage.

Bon, je ne m'éterniserais pas sur les fautes d'ortho et de grammaire... Mais une petite relecture, tout de même.

En fait, tout mon commentaire peut se résumer par cette phrase:

garde à l’esprit, que tu n’ais pas un dieu, mais un elfe élus comme champion.

Car deux choses en ressortent. D'abord que tu veux en effet faire de ton élu un elfe normal, ce qui est très appréciable, et ensuite que la conjugaison du verbe être à l'indicatif présent semble t'échapper...

Bref, fais attention aux fautes (mieux? un peu, oui, mais il reste du prgrès à faire, courage!) et continue ainsi, tu es sur la bonne voix.

Sur ce, Imperator, qui apprécie la soeur.

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  • 2 semaines après...

Et bien, cette soeur est gentille, affectueuse, un peu naïve, comme un fantôme amoureux...

C'est un peu mon côté sentimental et poète, mais j'aime bien cette image d'une fille qui attend son frère, puis pleure un peu à son départ. Vu que l'on s'attache à ton personnage, on ressent un peu cette chaleureuse présence, et l'on la sent vraiment proche.

De plus, c'est uniquement spirituel, ce qui n'a que des avantages.

Bref, je la vois comme:

- tendre

- chaleureuse

- dévouée

- fragile

Un rêve de gentillesse.

Sur ce, Imperator, qui ne fait que rêver, mais qui est tout de même conscient des réalités de la vie (rassurez-vous)

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Hello à tous, c'est long je sais mais je fais de mon mieux.

J'ai finni la suite je reli encore une fois et je vous la donne.

Bon j'ai décidé de coupé en deux sinon c'est rop long, beaucoup trop long. Ici c'est justa avant le début des hostilité apparition de deux perso important.

Alors évidemment elle est pas aussi captivante que la partie avant mais, c'est nécessair.

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Après avoir traversé Ulthuan pour rejoindre la province de Chrace, Algarion rencontre dans la forêt blanche un elfe mortellement blessé qui succombe dans les bras du jeune champion. Il le ramène au village et participe au obsèque. Mais il est maintenant temps pour lui de repartir…

Algarion était assit sur une petite colline au pied d’un grand pin isolé, à proximité du village.

L’image du corps de l’elfe, froid, sans vie repassait sans cesse dans son esprit, il ne pouvait pas, c’était impossible, le visage blanc et crispé par la douleur du rôdeur, en plein délire, et ensuite la mort de l’elfe dans ses bras. C’est yeux vide, pupille dilatée. C’était la première fois qu’un elfe mourait devant lui.

Bien que pourtant prévisible cette mort l’avait effrayée.

Il se surprit à verser une larme en pensant à cet elfe qu’il n’avait jamais connu.

« Serais-je mois aussi destiné à mourir ainsi ? Oh Lileath, je ne suis pas digne de toi, le doute m’étreint et ne me quitte plus. Je ne veux pas finir comme cet elfe. »

Alors à toi mon fils, d’être vigilant, à toi de ne pas risquer ta vie de façon inconsidérée… Algarion, n’oublie pas que tu es mon champion, alors relève la tête et surmonte cette épreuve… La peur, l’angoisse, le doute, autant de sentiment qui t’accompagneront à chaque combat, à chaque nouveaux défis… A toi fils de la lune de surmonter ces épreuves…

« C’était la première fois que tu voyais un de tes frères mourir sous tes yeux ? »

L’elfe avait surgit de nul part. Il se tenait à côté d’Algarion, droit, le visage fier. Algarion distinguait sans peine les trait émacié de son visage, ses cheveux gris témoignaient de son grand âge, ce qui lui donnait une apparence plus impressionnante encore. Il était revêtu d’une longue toge rouge marquée par le sceau du lion. Une forte aura magique flottait autour de lui, Algarion ne doutait pas qu’il s’agissait d’un puissant mage.

Il tourna la tête vers Algarion et plongea ses yeux dans les siens :

« Alors c’est toi le jeune elfe qui a si souvent visité mes songes, ta venue n'a rien de réjouissante, tu amènes la mort avec toi fils de la lune, par respect pour la déesse d’argent je vais te donner ce qu’elle demande, mais, je ne le fais qu’à contre cœur… »

« Je ne suis pas responsable des évènements, je suis la pour essayer d’arrêter l’ombre qui s’étend peu à peu sur cette contrée. Je n’exige pas d’être reçus en sauveur, mais dites-vous bien que je risque ma vie, pour vous, et pour ma race. »

« Tu te prétendrais peut-être le sauveur d’Ulthuan ? »

Un sourire déformé par la colère se dessina, sur le visage d’Algarion, il était prêt à exploser quand, les paroles du maître Aethar de la tour blanche résonnèrent en lui…

« La colère tous comme la peur, est le véritable ennemi du guerrier, si se sont des émotions naturelles, elles peuvent te coûter la vie, tu dois apprendre à canaliser tes émotions, cela je ne peux te l’apprendre…Tu dois apprendre, c’est trop important, plus tu as peur ou plus tu doutes, plus la haine t’envahi, plus ton esprit devient aveugle, tu ne peux plus te concentrer jusqu’à ce qu’elle te paralyse ou se transforme en une rage aveugle qui te conduit assurément à ta perte. Apprend à les maîtriser et tu en ferra une arme redoutable. »

Algarion inspira profondément et tenta de canaliser sa colère, petit à petit, la haine le quitta, et, redressant la tête il regarda son interlocuteur avec tristesse…

« Je suis désolé d’être le messager de tant de tristesse…Vous avez dû souffrir énormément. Je ne peux rien vous garantir, je ne suis ni Tyrion, ni Teclis. Je ne possède pas leur talent, leur prestance ou leur sagesse. Et c’est pourquoi je ne me présente pas comme le sauveur d’Ulthuan. Mais comme l’élu de la déesse venu apaiser votre tourment… »

Le sage sembla soudain fatigué, il n’y avait plus aucune colère ni aucune haine sur le visage du vieil elfe, celui-ci redressa la tête et sourit au jeune champion…

« Je constate avec soulagement que, malgré ton jeune âge tu agis posément et sagement. Ce sont là deux qualités qui te seront nécessaire pour accomplir ta mission. »

Son regard balaya la plaine puis les hauts bouleaux de la forêt blanche et s’arrêta sur le l’obélisque. Noire rocher dont la cime déchirait le ciel bleu Azur d’Ulthuan. Le pic semblait avoir été taillé dans les profondeurs même de la terre, cette montagne le fascinait et lui faisait peur à la fois…Il n’avait jamais osé l’escalader, aucune elfe sensé ne l’auraient fais.

A nouveaux les yeux du vieux sage fixèrent ceux d’Algarion.

« Jamais personne n’a grimpé ce pique et sais-tu pourquoi ? »

« Je l’ignore…Sans doute cela représente-il un trop grand risque, quel risque…je n’en sais rien… »

« Je ne peux te laisser partir sans te donner la raison exacte. L’obélisque n’est pas une simple montagne, il s’agit d’un immense aimant qui attire tous les courants magiques brutes qui viennent du large, il agit ensuite comme un filtre et purifie ces courants pour les rendrent moins dangereux. Ensuite ces courants suive leur voie à travers Ulthuan. Cette montagne est très importante car sans elle les courants serraient incontrôlables et les flots de magies brutes rendraient la vie impossible dans notre contrée. Mais pire nos mages ne pourraient plus les utiliser. Il existe quatre pics comme celui-ci en Ulthuan, mais c’est celui là est le plus grand et le plus important. Si notre ennemi sans empare, les grands courants seront directement perturbés. »

Loin de le rassurer se discours l’avait plus encore effrayé, il ne serrait jamais capable de supporté une telle pression. Bien que cette ombre ne s’étend que sur Chrace, il avait entre ses mains l’avenir d’une des plus grandes provinces.

(Bien trop de chose dépende de mes actes, serais-je seulement capable de grimper jusqu’au sommet…)

Algarion fut tiré de ses sombres pensées par le sage qui c’était remis à parler.

« Tu sembles être un excellent guerrier malgré ton jeune âge. Mais tu sais aussi bien que moi que tous seul tu ne pourras rien faire, comme la déesse la exigé je t’ai choisi le meilleur guerrier mais aussi le meilleur alpiniste et éclaireur. Et le meilleur mage… ou plutôt la meilleure magicienne. »

Algarion gardait les yeux rivés sur la puissante obélisque dont les nuages gris voilaient le sommet.

« A présent va te reposer car demain tu commenceras la longue ascension du pic et tu auras besoin de toute tes forces… »

Sa voix s’estompa à nouveau, comme un soupir. Se retournant il se dirigea vers le village. Algarion resta, seul ne pouvant détacher ses yeux du pic. Fasciné, il ne sentit même pas le froid venir avec la nuit et ne vit pas la lune presque pleine briller d’une étrange lueur bleutée comme si, la déesse elle-même bénissait son champion.

Se ne fut qu’à l’aube qu’il parvint à détacher son regard de l’obélisque.

Plus que jamais plongé dans le doute, il se dirigea vers le village pour se préparer à partir.

Algarion s’arrêta un instant, il savait que le sage et ses futurs compagnons l’attendaient dans la demeure qui servait apparemment de mairie au village.

Trouvée cette mairie serrait une autre histoire, bien que petit le village était très étendu.

Il n’y avait pas un chat et il ne savait où aller. C’est alors que sortit d’une des ruelles, une jeune elfe, enserrer par un épais manteau de fourrure qui posa immédiatement le regard sur Algarion.

Celui-ci ne put s’empêcher d’admirer le visage de la jeune elfe, sa beauté était troublante, il avait l’impression de connaître ce visage fin et lisse, cette longue cascade de cheveux descendant jusqu'à son bassin, il se rappela soudain frappé par la stupéfaction. Elle avait la même silhouette que la statue de cristal du temple. Le visage d’Algarion rougit sous sa cape sans que celui-ci puisse véritablement dire pourquoi. Comme lorsqu’il avait observé la statue il ne put en détacher ses yeux !

Elle se dirigea vers lui en souriant…

« Bonjour, vous êtes nouveau ici ? Je ne vous ais jamais vu… »

« Je euh… je ne suis pas d’ici. Je suis la pour accomplir une mission. »

La jeune elfe le dévisagea un instant. Puis sourit.

« Enchanté champion de Lileat. J’avoue ne pas t’avoir reconnu tous de suite, pourtant cela fait longtemps que tu visite mes songes. »

« Vous seriez l’un de mes deux compagnons ? »

« Exactement, je suis Nadia. Daignerez-vous décliner votre identité noble champion ? »

Elle c’était penchée vers lui frôlant presque son nez. Ce qui fit instantanément rougir Algarion.

N’ayant pas remarqué le trouble qui agitait Algarion la jeune fille lui sourit et passant à côté de lui dit :

« Venez je vais vous conduire à la maison de Bellendil, c’est la que nous attend mon frère. »

« C’est votre frère qui nous accompagnera ? »

« Oui, c’est le meilleur guerrier du village. C’est aussi un excellent alpiniste. Il veut devenir un Lion Blanc. »

« Les lions Blancs sont des guerriers remarquables ! Teclis m’en a beaucoup parlé. »

La jeune Nadia s’arrêta, étonné d’entendre le nom du Grand Maître du savoir.

« Tu connaîtrais le maître de la tour blanche ? »

Plus qu’étonnée elle était fascinée, elle murmura comme pour elle-même,

« Serait-il si important ? »

Algarion sentit à nouveau la pression peser sur ses épaules. Le doute s’empara à nouveau de lui. Soucieux son regard se posa à nouveau sur l’obélisque.

Il resta soucieux, laissant peser le silence entre eux. Ce n’est que lorsqu’il arrivèrent devant la mairie.

« C’est la mairie du village mais c’est aussi la maison de Bellendil. »

Son seul sourire redonnait espoir à Algarion.

Korelion était assit dans le salon avec Bellendil et sirotait négligemment une tasse de thé. Il attendait sa sœur et le prétendu champion que Bellendil lui avait demandé d’escorté.

Escalader l’obélisque était un défi colossal, au fond de lui même il avait toujours rêver de le relever, mais cette perspective l’effrayait, depuis peu, une ombre anormal planait sur l’obélisque et il craignait de ne trouver que la mort au sommet de ce pic.

Il fut troublé dans ses pensées par la venue de sa sœur qui entra sourire au lèvre, comme à son habitude elle souriait.

Korelion, remarqua le regard furtif que sa sœur lanca à l’étranger qui venait d’entrer à sa suite. Un regard inhabituel chez elle, empreint de respect et de fascination.

L’étranger resta un instant debout au centre de la pièce pendant que sa sœur s’asseyait. Il enleva sa cape lentement dévoilant d’abord son visage, il était pâle, comme malade. Ses longs cheveux gris/argenté tombant dans son dos. Ses yeux bleus miroitant à la lueur au soleil.

Nadia n’avait pas encore vu son visage il était resté sous cape jusqu’à maintenant. Elle devait admettre qu’il dégageait un certain mystère comme une aura qui flottait autour de lui.

Elle le trouvait plus fascinant encore.

Algarion regarda le jeune elfe assit dans le fauteuil, sa carrure était bien plus imposante que celle d’un elfe normal. Plus musclé et lus grand que lui cet elfe était une véritable force de la nature parmi son peuple. Algarion n’avait aucun mal à comprendre qu’il se prédestinait à devenir Lion Blanc.

Bellendil se leva et regarda tour à tour les membres de l’assemblé.

« Vous savez tous pourquoi vous êtes là. L’ascension du pic serra difficile, personne ne l’a jamais tenté. Mais c’est nécessaire, le danger est trop grand. Il faut intervenir au plus vite. Et c’est vous qui avez été choisi accompagner le champion. C’est la déesse elle-même qui nous le demande. »

Un long soupir accompagna la fin de ces paroles.

Algarion était pensif, il n’avait pas écouté le sage parlé, trop occupé à remué ses sombres pensée, plus l’heure approchait, plus l’incertitude le gagnait et, malgré tous ses efforts il n’arrivait pas à pensé à autre chose.

Relevant la tête il regarda ses deux compagnons et Bellendil, qui c’était tu et regardait Algarion :

« Nous n’avons plus le temps de discuter je sens l’ombre grandir de minute en minute. Nous devons partir, maintenant. »

Sans ajouté mot, Bellendil se dirigea vers la porte.

« Il a raison, nous n’avons plus de temps à perdre. »

Bellendil fournit à Algarion le matériel nécessaire pour l’escalade. Puis les guida vers le pic.

Algarion se trouvait à présent au pied du pic. Il n’était même pas sûr d’arriver au sommet.

Nadia tourna ses yeux vers Algarion, celui-ci croisa son regard et sentit le doute le quitter.

Elle avait sur lui un pouvoir étonnant et la sentir à ces côtés le rassura… De nouveau il observa le pic, mais à présent il ne portait plus son fardeau seul.

Modifié par Algarion
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Ben ou que vou êtes? Bouhou je suis tous seul... :ermm:

Bon sinon, je vous livres la fin de la fin (si,si c'est la dernière) demain.

La c'est les hostilité qui comence et on découvre le véritable pouvoir d'algarion.

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C'est la soeur qui va être jalouse...

Bon, je dois dire que j'ai remarqué quelques détails qui mériteraient peut-être des retouches, mais avant j'ai un service à te demander:

Je ne veux plus voir dans ce texte au moins la moitié des fautes qui le jonchent... Rien qu'au début:

Algarion était assit sur une petite colline au pied d’un grands pins isolé, à proximité du village.

L’image du corps de l’elfe, froid, sans vie, repassait sans cesse dans son esprit il ne pouvait pas, c’était impossible, le visage blanc et crispé par la douleur du rôdeur, en plein délire, et puis, et puis la mort de l’elfe dans ses bras. C’est yeux vides, pupilles dilatées. C’était la première fois qu’un elfe mourait devant lui.

Voilà... Ce qui est en bleu, c'est ce que j'ai rajouté et qui manquait, en rouge ce sont des fautes et en orange, c'est une partie étrange...

Quand au "et puis", c'est plus une question de style... Je peux me le permettra dans "jeunesse, etc..." mais ici, ce n'est pas un enfant qui parle... Bref.

Sinon:

Ben ou que vou êtes? Bouhou je suis tous seul... 

Un peu de patience, jeune padawann... Tout vient à point à qui sait attendre!

La c'est les hostilité qui comence et on découvre le véritable pouvoir d'algarion.

Un grand pouvoir? Étonnant... Tout ton texte (enfin, ce passage en tout cas) est une annonce d'anti-bourrinisme... Tu appuie sans arrêt sur le fait que ce n'est qu'un elfe béni, qu'il n'est pas Tyrion, etc... Donc pas de folies. (au passage, tu appuies peut-être un peu trop, mais j'aurais du mal à juger comme cela, à froid).

Sur ce, Impe, qui essaie de suivre, mais qui a une foule de choses à faire... (ou plutôt à penser...)

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ta venue na rien
tu amène
Noire rocher
gris/argenté
ce pique
Le pic

Avant ces deux là, ce sont que des fautes ! La j'ai quoter les deux dernières, c'est pour montrer que tu ne fais pas attention du tout ! Comment fais tu pour écrire un coup la bonne orthographe et le coup d'après pas correctement ! Moi, je dis, il y a trop de fautes ! Mais le problème, c'est que je suis sur et certain que tu pourrais les eviter ! Juste verifier les accords et ce genre de choses ! C'est important et ces fautes ponctuent le texte a environ 1 faute pour 5 mot :ermm:

Le plus dommage c'est que le fond est très bien. Tu as de bonnes idées et les exploitent bien, tu explore tous les côtés du problème ! Ce cote là, j'ai rien à dire, tu sais ou tu vas donc tout est bon ! Maintenant il faut soigner : LA FORME !

@+

-= Inxi =-

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Un peu de paptience jeune padawann...tout vient à point qui sait attendre.

Ouai, je sais...Mais je dois dire que je n'ai jamais vu le temp passer aussi lentement ces dernier temp.

Sinon je vais tenté de corriger les plus grosse faute et les passages étrange.

Pour le pouvoir c'est diffèrent, se sont des pouvoir limité bien que certain aspect soit permanent.

Je pense que tu avais participer à la création du profil de se perso? Et bien tu te souviendras peut-être d'une particularité qui n'est pas encore présente.

Edit: J'ai comencé à corriger les fautes de ce topic. Mais je continuerai demain (jurré, sur mon honneur).

Algarion qui espère pouvoir vous livrer la suite se soir.

Modifié par Algarion
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Bon, je suis désolé, je n'ai pas le temps de tout lire.

Alors, je n'ai lu que les 30 premières lignes du passage.

Je me suis arrêté à l'endroit où il se souvient des paroles du maitre de la tour Blanche.

Voilà pour situer le fondement de ma critique...

Je ne sais pas si c'est la phase de dialogue qui te pose des problèmes ou si tu as écris dans l'urgence, ou sans en avoir vraiment envie, mais....

J'ai le regret de dire que les quelques lignes que j'ai parcourue m'ont...un petit peu déçues... :D

Oui, en fait ce n'est pas que c'est mal écrit, mais de ta part et au vue de l'avant-dernière partie...eh bien, je m'attendais à mieux, voilà tout.

Mais bon, il faut relativiser: le "moins" du début de ce passage (il faut tenir compte que je n'ai pas tout lu) tient à quelques broutilles:

-des lourdeurs, à mon goût, dans les dialogues.

-des fautes d'orthographe (assez) nombreuses.

-une mauvaise mise en place des propositions dans le premier paragraphe (il me semble, du moins).

-Dans l'ensemble, je trouve que l'ona du mal à pénétrer la scène... :ermm:

Voilà.

Plus tard, je relirai ce passage en entier cette fois. Peut-être mon impression en sera modifiée, mais en attendant, je préfère te confier cet avis.

J'espère que cela pourra t'être utile...sinon, bah lis les autres. ^_^

@+

Le Warza...(still busy)

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Oui, tu m'aides là, parcque, j'ai du le relire et...Ben je me suis démoli moi même.

Bon, passage à revoir.

Honnêtement c'est si mauvais que ça?

Modifié par Algarion
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Alors pour ma part, je suis toujours fan même si cette partie est un peu plus lente que les autres: il ne se passe pas grand chose mais c'est un passage obligé donc ce n'est pas une critique.Il faut laisser l'action passé et reprendre son souffle avant de repartir.

Toujours ce problème d'orthographe qui gache un peu le fond de qualité. Je rajouterai même un autre point négative, qu'on ne retrouvais pas auparavant: la typographie. C'est bien de faire des paragraphes, sauter des lignes pour aérer le texte mais ils sont mal découpés, toes paragraphes ne sont pas toujours des plus pertients ou nécessaires, il faudrait revoir ça aussi, ça aiderait plus à la claireté et à la comprehension parfois. Autre conseil: met des guillemets pour les discours de la déesse ou alors détache ses propos en les mettant en italique.

Voilà, je suis triste que cette aventure se termine :ermm: mais il faut une fin à toutes chose. En espérant que tu écrives d'autres textes par la suite.

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Voilà...Tout d'abord bonsoir à tous, je vous livres la dernière partie de ce chapitre des Chroniques, je veux avant tous vous remercier d'avoir répondu présent à chaque nouvel partie.

Merci de tous coeur!

Sinon pour la suite, je vous préviens, elle est très longue (trop surement :hat: ). D'ailleur je pense que je decrai revoir certain passage mais je l'aimes bien dans l'ensemble.

Vous allé découvrir la véritable apparence d'Algarion, mais chuut et bonne lecture (j'èspère).

J'ose èspèrer qu'il n'y est pas trop de faute d'ortho.(ou moins :wink: )

Le réveil de la lune

Partie 9 : L’ultime pouvoir

Algarion posa la main sur une protubérance rocheuse et, regarda après une prise ou poser son pied. Il trouva un endroit plus creux ou son pied prenait parfaitement appuis. En bonne position il se hissa jusqu'à Nadia qui, se trouvait juste devant lui :

« Tu t’améliore, quand on sait que tu n’as jamais fais d’alpinisme ou d’escalade. »

« Je suis encore loin de votre niveau. »

Nadia sourit, Algarion savait parfaitement qu’elle ralentissait pour ne pas le laisser seul derrière. Et étrangement il en était particulièrement heureux.

Il regarda Korelion bien plus avancé qu’eux, il était parti devant et traçait la voix à suivre pour Algarion et Nadia, bien qu’il se doute que c’était surtout pour lui.

Après deux jours d’ascension, et très peu d’heure de sommeil, il commençait à avoir mal un peu partout, ses muscles était dure comme de la roche et il n’osait pas s’arrêter de peur d’être terrasser par des crampes. De plus l’air commençait à se raréfier et Algarion avait du mal à respirer correctement.

Après avoir grimpé une centaine de mètre encore, Korelion s’arrêta et regarda en bas, il ne put s’empêcher de jeté un regard mauvais à Algarion. Décidément, c’était un piètre alpiniste. Il fallait reconnaître qu’il n’était pas de forte constitution. Par contre il supportait bien mieux le froid que lui et sa sœur, emmitouflé dans des manteaux de fourrures tendit que lui ne portait q’une cape.

« Bon sang, il est d’une lenteur insupportable. Je me demande pourquoi Nadia tient tant à l’accompagner. C’est une véritable plaie ! »

Algarion et Nadia arrivèrent enfin à hauteur de Korelion. Celui-ci sourit à sa sœur et ne prit même pas la peine de regarder Algarion.

« Nous monterons encore une centaine de mètres et là nous pourrons marcher normalement, j’ai remarqué que le sol commentait à être moins en pente, nous devons être proches du sommet. »

Algarion soupira regardant ses mains toutes écorchées. Il eut cru que cette ascension ne s’arrêterait jamais…

« Dépêchons, la nuit va tomber. »

Il reprirent l’ascension et continuèrent encore de grimper pendant plus d’une heure, jusqu’à ce qu’effectivement la pente devienne plus douce et qu’il puisse marcher.

Sur le sol commença à apparaître quelques touffes de verdure, puis bientôt des arbres qui tous doucement commencèrent à se muer en bosquet et finalement c’est tous un boit s’étendant à perte de vue qui s’offrit à leur regard.

Un petit vent frais soufflait et de gros nuage s’amoncelait, ils les priveraient bientôt de la lumière éventuel de la lune. Le bois était très sombre, on ne distinguait pas grand chose mais, ils parvinrent à dénicher une petite clairière ou ils s’installèrent. Les branches étendaient leur feuillage de façon à ce qu’on ne voie plus le ciel ce qui les protégeaient d’un éventuel orage.

Il dressèrent le campement au moment ou la lune commençait apparaître. Korelion distribua les tours de garde entre lui et Algarion, étonnement Algarion avait un tour de garde bien plus long que celui de Korelion. Il accepta néanmoins sans protester ne voulant créer de tension dans le groupe.

Il se tourna encore vers Algarion et lui dit sur un ton sec,

« Il faudrait faire un feu, sinon à cette altitude nous mourrons de froid, vas chercher du bois. »

Algarion se plia une nouvelle fois au exigence de Korelion voulant à tout pris éviter de diviser le groupe à cause de querelle inutile.

Nadia regarda Algarion s’enfoncer dans les sombres profondeurs des sous bois et jugent qu’il était assez loin se tourna vers son frère.

« Idiot, sais-tu seulement qui il est ! Sais-tu ce qu’il représente ? Teclis lui-même la reconnu cela ne te suffit-il pas comme preuve. »

Korelion sourit, décidément il ne comprenait pas ce qu’on lui trouvait à ce petit champion.

« Pour moi ça ne veut rien dire. Nous aurions très bien pus nous débrouiller sans lui, il nous retarde et je ne pense pas qu’il pourra nous apporter beaucoup en combat, il ne fait que nous gêner. »

« Tu es de mauvaise fois ! Il n’a jamais grimpé une montagne de sa vie ! Tu ne peux pas lui demander d’arriver à ton niveau en deux jours alors que tu grimpes depuis l’âge de cent cinquante ans ! »

« Et qu'est ce qu’il a vraiment de plus que moi ? Rien, je suis plus vieux que lui ! Pourquoi confier une telle responsabilité à un jeune morveux comme lui ! »

Nadia parut surprise, comme si elle venait de comprendre quelque chose :

« Tu es jaloux… Honte à toi, tu veux devenir un grand guerrier, et tu te laisses dominer par des sentiments aussi primitifs. Je ne l’aurais jamais cru ! »

Elle lui tourna le dos et s’enfonça dans les sous bois à son tour à la recherche d’Algarion.

Algarion observa le village qu’il pouvait encore distinguer. Il était à l’orée du bois, d’ici on pouvait apercevoir toute les lumières des foyers, elles illuminaient la vallée, qui semblait alors refléter le ciel couvert d’étoile qui s’intillait même malgré les nuages. La lune était à présent masquer mais, lorsqu’il était arrivé tous à l’heure, sa couleur l’avait frappé. Elle était rougie, comme si, on y avait mis le feux. Algarion voyait là un avertissement de sa déesse. Il allait devoir être sur ces gardes l’heure du combat approchait…

A cet instant sans trop savoir pourquoi ses pensées se tournèrent vers sa sœur.

Nadia rejoignît enfin Algarion à l’orée du bois. Il fixait le ciel comme s’il tentait de lire dans les étoiles.

« Qu’est-ce qui te captive tant ? »

Algarion sursauta et se retourna, en disant :

« Nasha ! »

Nadia surprise, répondit :

« Non, désolé ce n’est que moi…Tu m’as déjà oublier »

Algarion éclata de rire, c’était la première fois qu’elle le voyait rire, il était doux, cristallin et Nadia ne put s’empêcher de sourire.

« Désolé, mais tu as la même voit que Nasha. »

« Et comment est ma voix ? »

« Douce, apaisante, comme une berceuse. Elle redonne espoir. Ou, à moi elle me redonne espoir. »

Nadia sentit ses joues s’embraser et Algarion se retourna, ne comprenant pas comment avait-il osé…

Le silence pesa un instant avant que Nadia ne demande :

« Qui est Nasha ? Ta fiancée ? »

Algarion sourit.

« Non, c’est ma sœur. Elle est la femme qui, avec ma mère, occupe toujours mes pensées. »

Sans vraiment savoir pourquoi Nadia fut soulagée de cette réponse.

« Tu sais, je viens de me disputer avec mon frère. Il est jaloux de ton statut. »

« S’il savait. Combien de souffrance et de peine j’ai endurer ! Bien sûr je ne donnerais ma place pour rien au monde, mais être champion d’une déesse est un lourd fardeau. »

La lune réapparut et au même instant le vent se mit à souffler. Ce n’étaient pas un vent normal, Algarion avait un très mauvais pressentiment.

Se tournant vers Nadia il dit :

« Retournons au campement, ton frère est en danger. »

Sans perdre un instant de plus, Algarion s’élança dans les bois en direction du campement Nadia sur ses talons.

Korelion ruminait sa colère seule dans le noir. Relevant la tête il maugréa entre ses lèvres sécher par le froid :

« Mais qu’est ce qu’il fiche ! Il fait un froid insupportable. »

Trop occuper à se lamenter Korelion ne remarqua pas les ombres qui se profilaient devant lui.

Ce n’est que lorsqu’il entrèrent dans la clairière, que Korelion les vît. Des hommes, d’une carrure exceptionnelle tenant des haches de combat et muni d’un bouclier il était environ une dizaine.

Il tentèrent de lui dirent quelque chose mais Korelion ne comprit pas. Perdant patience il le chargèrent en hurlant leur cri de guerre tribal.

Algarion n’était plus qu’à une centaine de mettre du campement et c’est alors qu’il entendit les bruits de combat, ponctué par des cris d’agonies ou de rages.

« Pourvu que nous n’arrivions pas trop tard. »

Korelion trancha la tête d’un des barbares d’un revers de hache. C’était déjà le cinquième qu’il abattait et il commençait à sentir la fatigue du aux effort le ralentir. Un plus imposant encore que les autres se présenta à lui, levant sa hache Korelion s’apprêta à le frapper mais reçu un violent coup de derrière, un autre barbares c’était glissé derrière, trop sûr de lui Korelion ne l’avait pas vu arriver. A moitié assommer, il s’écroula à terre. Le barbare le saisissant par les cheveux s’apprêta à le décapiter. Korelion regarda la hache se lever et ferma les yeux attendant le coup. Mais il les rouvrit au bout de quelque seconde constatant qu’il était toujours vivant.

Il n’en croyait pas ses yeux, l’homme qui allait le tué un instant auparavant, était debout toujours dans la même position mais sa tête roulait à ses pieds. Après un dernier spasme le corps, inerte, s’effondra, quant au nordique qui l’avait assommé il gisait à terre gorge trancher.

Ce fut Nadia qui vint le relevé et constatant qu’il allait bien, tourna la tête en même tant que lui vers les derniers barbares au prise avec une ombre bleu, qui combattait les trois derniers survivants, sautant, virevoltant et tentant tant bien que mal de parer tous les coups.

Nadia se releva, elle entonna une incantation bientôt des pentacles se dessinèrent en dessous des guerriers, peu à peu des flammes blanches, entourèrent les maraudeurs, qui, en quelques secondes ne furent plus qu’un petit tas de cendre.

Nadia, courba un instant l’échine, des gouttelettes de sueur coulant le long de ses joues.

« C’est une incantation compliquée et qui demande beaucoup de concentration. Je suis encore loin du niveau d’Archimage. »

Algarion paraissait tendu, le visage crispé à l’affût du moindre sont.

Un léger craquement retenti à leur droite. Algarion l’air alarmé regarda Korelion et dit :

« En voilà d’autre… »

Bientôt les craquements se firent plus nombreux et, peu à peu, les silhouettes de guerriers plus grand et plus massifs encore se dessinèrent dans les fourrés.

A présent ils pouvaient parfaitement les distinguer n’étant plus qu’à quelques mètres d’eux.

Contrairement au précédent, ils portaient une massive armure noire, leurs ceintures étaient ornées de macabres trophées.

Leur haches était aussi imposante que celle de Korelion. Plus massive encore, et leurs boucliers étaient aussi grands qu’Algarion.

On ne distinguait rien en dessous de leur casques. Pourtant Algarion aurait cru percevoir un sourire, un sourire qui exprimait parfaitement la rage qui semblait contenue dans chacun d’eux. Sans même posé une seule question, ne retenant plus leur soif de combat, il se jetèrent sur eux. Une douzaine de masses sombres fonçant droit sur eux hurlents leur haine et leur soif de sang.

Une énorme vague d’énergie blanche frappa les guerriers, certain, furent purement et simplement réduit en poussière et d’autre, projeter dans les airs, le reste continuant sa charge.

Algarion évita une hache, en bloquant une autre et transperça la garde d’un guerrier trop confiant. Sa lame transperça armure chair et os sans aucune distinction, il fit à nouveau un écart afin d’éviter un violent coup de masse d’arme dont son propriétaire se vit ôter la tête.

Ils se jetèrent à deux sur lui pour tenter de l’arrêter, Algarion évita une hache au prix d’un violent effort, déstabiliser, il ne put éviter le poing du deuxième qui s’abattit comme une masse sur le crane d’Algarion, la dernière image qu’il vit était celle de Korelion, qui se vidait de son sang au pied de trois des chaotiques, tandis que Nadia tombait inconsciente au pied d’un de ces barbares.

Les yeux d’Algarion s’ouvrirent lentement, il n’y croyait pas, il était toujours vivant. Comment…Ou pourquoi !

Il était retenu par des cordes accrochées à un rocher, à coté de lui Nadia dormait toujours inconsciente.

Un énorme guerrier, portant une armure plus noire encore que les autres et bardé de runes démoniaques s’avança. Et parla à Algarion de sa voix caverneuse dans la langue des humains.

« Enfin réveillé, bien, nous allons pouvoir savoir ce que tu fais ici ? »

Pour toute réponse le chaotique ne récoltât qu’un sourire méprisant de la part d’Algarion.

Le chaotique qui jusque là avait une mine satisfaite, changea d’expression. Son visage était déformé par la colère.

« Ecoute-moi bien petit malin, je ne suis pas d’humeur à plaisanter, toi et tes compagnons avez tué six de mais meilleurs guerriers sans compter les nordiques qui étaient en patrouille, si tu ne veux pas avoir de mort lente et douloureuse dit moi qui ta envoyer ici et pourquoi. Sont-il au courant de notre présence.

« Parce Que nous devons nous débarrasser des pourritures comme vous, avant qu’elle ne souille trop nos belle contrée. »

Un coup de poing d’une force inouïe frappa Algarion.

« Chien tu n’es pas en position de m’insulter. Tu choisis donc la mort ? Comme tu veux ! Tu vas souffrir… »

« Que m’importe de mourir ! »

Le chaotique parut désarçonné devant tant de volonté…Jamais aucun être vivant sensé ne l’avait défié ainsi.

C’est alors que son regard se posa sur la jeune fille.

Algarion changea de visage, de la haine il passa à la peur.

Le chaotique venait de trouvé son poing faible, il le lisait sur son visage.

Il coupa les liens qui l’attachait au rocher la saisit par le coup.

« Parle ou je la jette dans le vide, crois moi nous sommes sur le flanc le plus escarpé du pic. Et elle n’a aucune chance de survivre. »

Non, il ne devait pas parler. S’il le faisait, les activités du culte de la lune serraient dévoilé au grand jour, et sa mère, sa sœur, son père serrait mis en danger. Il savait que la déesse du savoir était connue, ne fussent que pour avoir donné à Teclis certain de ces artefact qui avait, il y a bien longtemps, aider Teclis jeune mage alors, à sauvé son frère, ce qui, avait entraîné plus tard la défaite du chaos, alors allié aux elfes noirs. Il regarda tristement le corps de Nadia pendu dans le vide et détourna le regard. Une larme coula lentement sur la joue du champion qui pour la première fois regretta de l’avoir rencontré.

« Alors, elle mourra… »

Et, il lâcha le corps inerte de la jeune elfe qui entama sa longue chute.

Algarion déchirer, regarda le ciel, écumant de rage et de haine et baissa la tête résigner.

Un rayon de lune vint bercé le visage du champion.

Le chaotique regarda avec délectation le visage dépité, de l’elfe, empoignant le menton, il voulut plongé ses yeux dans les siens, voulant savourer un peu plus sa victoire, mais, aussitôt, il le lâcha…

Ses yeux étaient devenu blanc, ses pupilles avaient complètement disparue. Les rayons de lune enveloppèrent le corps de l’elfe, les liens qui l’encraient au rocher se rompirent cinglant l’air comme des fouets. Le corps d’Algarion irradier de la divine lumière de l’astre d’argent s’éleva dans les airs comme une plume emporté par le vent. La lumière s’intensifia plus encore et, le corps ne fut plus qu’un mince filet de vapeur argenté, scintillant.

Algarion ouvrit les yeux. Il tombait lui aussi dans le vide. Le corps de Nadia toujours inerte malgré l’air glacé qui fouettait leur visage, n’était qu’a quelques centimètre de lui.

Algarion tendit le bras et le passa autour de la taille de la jeune femme, puis, fît de même avec l’autre bras, enlaçant Nadia. Le corps d’Algarion se remit à briller, mais, la lumière émanait de lui-même à présent, un halo bleuté se forma autour des deux elfes si bien, que l’on ne distingua bientôt plus leur frêle silhouette.

Les yeux rouges du seigneur chaotique scrutèrent un instant les environ, un léger sourire se dessina sur son visage.

« Pauvre fou… »

Il se retourna en ricanant et se dirigea vers sa tente, quand, un de ses guerriers lui cria quelques chose, ne comprenant pas ce qu’il disait, il se retourna…

Il dut fermé les yeux pour éviter d’être aveugler tant la lumière était intense, la même lumière bleutée qui avait fait disparaître le corps de l’elfe, plus intense encore !

Ses guerriers qui n’avaient pu fermer les yeux avant, furent aveuglé par la pureté de cette lumière, qui les brûla jusqu’à la rétine les plongeants à jamais dans l’obscurité. Il gisait, à terre, cherchant à tâtons leur armes pour se défendre contre cet ennemi invisible qui dépassait, pour eux toute compréhension.

Le seigneur ne pu contenir sa surprise lorsqu’il rouvrit les yeux.

La lumière s’apaisa, le visage de l’elfe se détacha du halo lumineux, il était, aussi pale qu’un mort, ses traits étaient dur et froid et ses lèvres était pincer en un sourire haineux qui aurait effrayé n’importe quels autre guerrier.

Ses cheveux étaient blanc comme la neige et ses yeux gris, miroitait comme de l’argent à la pâle lueur d’une lune d’hiver.

Dans son dos, se dessinèrent peu à peu des ailes au plumage blanc miroitant dont les plumes était bercé par le vent, aussi pur que celle de la colombe, aussi grande que celle de l’aigle géant. Elle fendirent l’air d’un bruit sec pour venir posé leur maître sur le sol qui, gela sous ses pieds ou, il déposa le corps de la jeune elfe qu’il avait jeté quelques instant auparavant dans le vide. Il fit quelques pas vers lui, ses alors qu’il le reconnut, c’était l’elfe qui avait quelques minutes avant, disparu sous ses yeux.

Tendant les bras en croix, il ouvrit ses paumes, une tente s’illumina de l’intérieur et sortirent, deux lame qui sifflèrent un instant dans l’air avant de venir se poser délicatement dans les mains d’Algarion.

Aucun des deux n’avait encore parlé, il n’y avait en vérité plus de place pour les paroles, l’heure n’était plus au dialogue, tous avait déjà été dis.

Les deux guerriers se regardèrent un instant, puis empoignant chacun fermement ses armes, se ruèrent l’un sur l’autre rompant le silence de la nuit par le fracas de leur armes.

Le monde autour d’eux n’existait plus, l’un et l’autre était complètement absorbé par leur combat, l’un poussé par la haine, l’autre, pour l’honneur et la gloire des Dieux qu’ils vénéraient tant.

Algarion enchaînait parade et coup à une vitesse effroyable, laissant à peine à son adversaire le temps de riposter, bon nombre de ses coups atteignait leur but mais, ils étaient sans cesse repoussé par la sombre armure du seigneur ténébreux.

Il savait qu’il ne tiendrait pas longtemps à se rythme là, mais il devait en finir au plus vite. Peu à peu les coups de l’elfe diminuèrent d’intensité, les contres attaques se firent plus nombreuse, Algarion ne se contentait plus que de parer. Son adversaire ne mit pas longtemps à le comprendre, sa hache transperça la garde de l’elfe et vint frappé pour la première fois son armure. La pierre qui était incrusté dedans brillât dressant un champ de force invisible qui calqua le corps d’Algarion.

Il était bien protéger, mais le seigneur était confiant, il l’avait à sa merci.

Exécutant un arc de cercle il voulut frappé à la taille mais cet essai fut repoussé. Algarion riposta, attaquant de taille puis d’estoc, les deux lames furent-elle aussi repoussé.

Algarion épuisé ne savait plus quoi faire, s’il continuait ainsi il se ferait tué, la hache du seigneur ténébreux s’éleva à nouveau, Algarion compris qu’il tenait là son unique occasion.

La hache fendit l’air et… Rencontra la roche dur du sol, Algarion avait effectuer un écart à gauche grâce à ses ailes, tournant la tête, il croisa le regard du céleste qui abattit sa lame d’un geste fluide tranchant le coup musclé de son adversaire.

Algarion posa pied à terre et regarda avec dédain la tête du guerrier roulé à terre.

Les guerriers du chaos à présent aveugle cherchaient toujours leur adversaire, il avait, réussi à se rapprocher d’Algarion grâce au bruit du combat. Celui-ci, pris de pitié pour ce pauvre bétail, à présent priver de son guide, se mit en devoir de mettre fin à leur jour.

Cette sombre besogne achevé, il vint se penché sur le corps de Nadia, il fut soudain ému par la beauté de la jeune elfe, ses traits était à présent serein, comme si, malgré son sommeil elle sentait la présence d’Algarion.

Se relevant, il regarda autour de lui, il sentait une présence magique, une présence maléfique, au sombre pouvoir, une puissante magie était à l’œuvre, il ne l’avait remarqué que maintenant trop absorbé par son combat auparavant.

Observant attentivement les alentour, il remarqua, qu’a une centaine de mètre environ, un épais brouillard, comme si un nuage c’était accroché au sommet, l’empêchait de voir plus loin. Il sentait que ce brouillard n’avait rein de normal.

S’élevant dans les air, il comprit alors ce qui, était l’objet tant convoité des puissances ténébreuses, il était au sommet, celui-ci était aussi large que le cratère d’un volcan, dissimulant en son centre un puissant Gromlechs.

Les pierres semblaient avoir été taillés à la main par des géants, chacune d’entrent elles était recouverte de rune doré, s’approchant, il remarqua alors que certaine d’entrent elles étaient devenue mauves et suintaient la magie noir. S’approchant encore, il comprit enfin qu’elle était cette présence maléfique qu’il avait ressentit ! Cinq sorciers en armures portant de lourd bâtons ornés de runes noirs récitaient de sombre incantation, il remarqua alors une des runes doré se ternirent et devenir de plus en plus sombre. Maintenant qu’il y faisait attention la plus part des runes étaient devenue mauves.

Algarion sourit, il était arrivé à temps, se posant, il adressa la parole aux sorciers.

« Arrêter immédiatement ! Vous ne pouvez plus rien, vos compagnon sons mort, vous êtes seul, vous n’avez aucune chance. »

D’abord aucun d’entre eux ne réagit, puis l’un d’entre eux, sortant de sa transe se retourna lentement, découvrant son visage balafré et ravagé par les affres du chaos.

« Qui es-tu insolant ! Comment oses-tu intervenir dans nos affaires ! »

Le sorcier se massa la tempes et se concentra, ses pensées déferlèrent dans l’esprit d’Algarion.

« Valga ! Viens ici, un jeune elfe a réussi à pénétrer jusqu’au cercle de pierre, dépêche-toi incapable ! »

Algarion sourit:

« Si c’est du seigneur qui commandait les guerriers dont tu parles, cela ne sert à rien. Je l’ais tué, il y a quelques minutes… »

Le visage du sorcier vira au rouge et se déforma dans une horrible grimace de colère.

« Idiot, tu n’aurais jamais du te mêler de cela. »

Le sorcier leva la main et un éclair d’énergie bleuâtre fusa vers Algarion, celui-ci voulu s’envoler mais l’éclair allait le frapper de plein fouet.

Algarion n’en croyait pas ses yeux, l’éclair c’était dissipé avant même qu’il ne l’ai atteint.

Le sorcier ne lui laissa aucun répits et lança un éclair plus puissant encore, mais Algarion sur ses garde cette fois l’évita de justesse. Fatigué par son combat précédent, il ne possédait plus ses réflexes habituelle.

Le ciel nocturne ne tarda pas à être coloré par les puissant sort du mage qui tentait tant bien que mal d’atteindre Algarion, mais voyait ses tentative dissiper ou éviter par l’archange qui virevoltait au-dessus du sol.

Il ne parvenait néanmoins pas à approché du sorcier…

Celui-ci, exécuta alors une incantation plus longue, Algarion profita de l’occasion pour fondre sur son adversaire, mais le sort jailli du bout des doigts noueux du sorcier frappa Algarion à la poitrine, le souffle coupé, il fut projeté dans les airs et atterri une centaine de mètres plus loin.

Algarion transpirait pris de nausée, tout son torse était en feu, il sentait le sang coulé le long de son ventre, le sort avait transpercer l’armure qui avait pourtant absorbé la plus grande partie du choc, l’élément qui lui protégeait le torse était complètement enfoncé et l’enpèchait de respirer.

Algarion rompit les liens qui attachait son armure et retira sa cotte de maille devenue trop douloureuse à porter.

Il était complètement désarmé face au sorcier…

C’est alors que se mit à briller entre ses ailes une forme bleu et vert jade gravé entre ses omoplates et descendant dans le bas du dos, l’image de la vierge de cristal entouré par le croissant de lune et enrouler autour de son bras le serpent vert, son symbole animale scintillait dans son dos !

Les yeux d’Algarion se vidèrent, se relevant, il tendit la main au-dessus de lui, une énergie blanche aussi lumineuse que la lune entoura sa main, bientôt un cristal gris se forma dans sa paumes, tendant la main vers le sorcier, il projeta le cristal par une simple pulsion magique vers le sorcier, d’autre cristal surgirent de nulle part, des millier de flèche d’argent projeté dans les airs avec une force incroyable.

Le sorcier tenta de dissiper le sot qui les animait, mais cette énergie dépassait l’entendement des mortelles, il ne put rien faire pour arrêter les cristaux qui, déchirèrent sa chère, répandant son sang et traversant son corps. Ses yeux s’obscurcir, le froid s’empara de chacun de ses membres tendis que sa vie s’écoulait sur la roche imperméable du pic.

Algarion, tomba à genoux, épuiser, l’énergie qui venait de déferler en lui était trop grande, elle l’avait vidé de toute ses forces.

Relevant la tête il constata que les cristaux avait également touché les autres sorciers qui avaient subit le même sort que le premier.

Algarion sourit :

« La déesse ne fait jamais les choses à moitié ! »

Il se releva, et remis sa cotte de maille avec une grimace de douleur, pris les deux plaques toute bosselé et les attacha à sa ceinture, s’envolant, il revint près du corps de Nadia.

Elle était encore à moitié inconsciente et malgré son changement d’apparence elle le reconnu immédiatement, c’était toujours cette même aura qui lui redonnait confiance.

Ses yeux était néanmoins inquiet, elle demanda à Algarion :

« Mon…Mon frère ? »

Algarion ferma les yeux ne trouvant les mots pour lui annoncer son décès…

Nadia venait de comprendre, les larmes qui coulèrent n’était alors que la pâle expression d’une blessure bien plus profonde encore.

Algarion, sentit l’émotion monté en lui, non pas, de la tristesse, encore moins de la pitié, mais bien de l’amour, une affection qu’il portait en lui depuis leur rencontre, un amour qui ne demandait qu’à la consoler, alors il la prit dans ses bras et déposa sur ses lèvres un baiser.

Elle entoura son coup de ses bras et les joues humidifier par ses larmes, posa sa tête contre la sienne.

« Algarion…Merci…Je… »

Déposant un doigt sur ses lèvres il sourit et dit :

« Tous est fini… »

Algarion déploya ses ailes et s’envola Nadia dans les bras, il était temps à présent de rentrer…Maintenant, tous s'achève.

Modifié par Algarion
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Bon !

Alors les deuc cotés opposés de ton perso sont, d'abord un être qui ressemble beaucoup à un dieu capable d'invoquer ce qu'il veut et griller n'importe qui sur place juste en le pensant :wink:

De l'autre, le personnage du début, encore naif et faible qui se contente de subir. Bien que ce derniere remarque ait tendance a legerement disparaitre car on voir le heros plus sur de lui !

Donc ces deux cotés font à la fois parraitre ton texte bourrin et de l'autre pas du tout. Ce qui donne un effet spécial ! Mais dans l'ensemble k'ai bien aimé ! Et puis tu as le mérites de l'avoir fini !

Ma dernière remarque concerne l'hortograsfe ! Bah c'est toujours aussi bourré de fautes pour rester gentil ! Il y en a de partout ! LEs accords, les fautes d'hortos, etc etc .. Enfin il reste un énorme effort à faire la dessus !

@+

-= Inxi :hat: =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Bon, vous m'excuserez mais je ne peux pas me retenir, c'est peut-être fait exprès, mais ça s'écrit ORTHOgraphe, Aaaahhh, ça fait du bien.

(je le vois dans plein de post alors a force ça m'énerve)

Modifié par Roujio
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Bon, vous m'excuserez mais je ne peux pas me retenir, c'est peut-être fait exprès, mais ça s'écrit ORTHOgraphe, Aaaahhh, ça fait du bien.

Tu comprendras un jour que c'est une faute volontaire :hat: .

Sinon et bien une fin pour le moins étonnante, je ne m'attendais pas à ça du tout.

C'est pas mal bien que j'ai trouvé le combat avec le seigneur chaotique un peu dure à suivre, c'est confus. Mais j'aime bien. Tu aurais pu faire beaucoup mieux cependant. Le style semble différent de celui utilisé dans les autres chapitres, c'est dommage parce que c'est ça qui qui te rendais original (ainsi que ton talent).

Alynerion, reste un peu sur sa faim.

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Tu restes sur ta faim (mince je savais que j'aurais du choisir une entrée plus consistante...)

Sinon oui je dois m'excuser je n'ai paut-être pas été asser clair, le pouvoir dont-il a fait usage (je parle du combat contre le sorcier) n'est pas le sien, c'est un pouvoir divin,qu'il ne peut invoqué qu'à ses risques et périles... De plus seulement lorsque son tatouage est exposé au rayon lunair.

Mais c'est normal que vous n'ayez pas compris, c'est ma fautes.

J'en profiterai, pour vous rappeler le véritable titre: Les Chroniques d'Algarion.

Ceci n'est qu'un début, je ne compte pas en faire un roman, mais il y en aura d'autre. De plus ces textes serront retravailler et représenter, mais se serra dans bien longtemps. :hat:

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  • 4 semaines après...

Et bien, je ne suis pas fâché de l'avoir terminé...

Malheureusement, je suis un peu trop fatigué pour en fair eune longue critique sur le moment, et me contenterais de détails:

- aucune relecture et des fautes horribles d'orthographe (fôte orib' d'haurtôgraf?) qui gâchent réellement la lecture

- une fin très belle, qui dégage, à mon avis, bien le sentiment d'amour

- certains passages assez étranges, durs à suivre comme, entre autre, la chute de Nadia (bon, ce peut aussi, accessoirement, être dû à tout ce que j'ai bu cette nuit, mais je me permets de douter).

- dans l'ensemble une jolie fin avec une divinisation du héros sans non plus aller trop loin (l'armure finit par flancher (si l'on me permet l'expression) mais la déesse vient à son secours).

Bref, c'est joli, mais ça demande effectivement à être retravaillé. Donc en deux mots: au boulot!

Sur ce, Impe, qui regrette de ne pas avoir plus de temps de concentration à t'offrir ce matin (mais c'est déjà dur de faire un message sans trop de fautes...).

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Bon, j'avais commencé ce récit cet été et je m'étais promis de le finir un jour où l'autre.

que dire si ce n'est que tu laisses une très bonne impression après la lecture de ton récit.

ton histoire se tient et la fin à la escaflowne, même si elle rend ton perso assez bourrin, est assez jolie. Elle est juste, mal introduite à mon goût (encore ton problème de confusion).

j'aurais presque vue une partie suplémentaire pour introduire ces pouvoirs divins, mais bon...

enfin je sais qu'on te l'a dit plusieurs fois mais l'orthographe est désastreuse ainsi que la grammaire d'ailleurs. pour ta défense, je dirai juste que tu as fait des progrès au cours de tes posts (c'est dire le niveau au début).

c'est dommage car celà gâche toute l'ambiance de ton texte.

En conclusion, une très belle histoire qui me fait dire qu'avec un peu de travail, tu pourras nous créer des récits encore plus fabuleux et... sans faute cette fois-ci!!!

allez au boulot

Erdraug

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