Jump to content

[jeu] l'arbre poétique


Petimuel

Recommended Posts

Bonjour les gens! Afin d'améliorer la participation de cette section et sa convivialité, et de resserer peut-être les liens entre ses membres, je propose un jeu.

Voici le principe : j'écris un quatrain. Après quoi vous devez prendre un vers de mon quatrain et vous en inspirer pour faire un quatrain à votre tour (le vers dont vous vous inspirez devient donc le titre de votre quatrain). Après quoi le joueur suivant écrire à son tour un quatrain, soit à partir d'un autre vers de mon quatrain initial, soit à partir d'un vers de n'importe-quel quatrain qui en a découlé.

Quelques règles :

-on n'écrit que sur un vers qui n'a pas encore été choisi

-on fait précéder son quatrain du vers, en gras, dont on s'est inspiré, avec éventuellement le pseudo de son auteur entre parenthèses.

Le but du jeu n'est pas nécéssairement de faire de superbes quatrains ciselés -même s'il faut quand même écrire de jolies choses-, mais avant tout de partager et de s'amuser!

Voici mon quatrain :

S'ouvrir au temps perdu, éclairer le néant,

Offrir ses bras aux nues, crier des mots muets!

J'effeuille Marguerite, et je vois que le temps

Vole de lèvre à lèvre en un charme désuet.

Bon jeu!

(la liste et la règle des jeux sont ici)

Edited by Petimuel
Link to comment
Share on other sites

Rendons honneur à notre pseudonyme dans sa plus grande acception du terme de palouf

S'ouvrir au temps perdu, éclairer le néant,

Confie toi à la lampe et éclaire tes pas,

Si ce n'est dans Yahvé que tu place ta foi:

Le souffle de Shaddaï brisera tes espoirs,

Et tout autour de toi t'étouffera le noir.

Note : Shaddaï est un ancien nom de Yahvé

Allez en paix mes frères, que la droite de Dieu soit sur vous.

:innocent: Lord Paladin :devil:

Link to comment
Share on other sites

Offrir ses bras aux nues, crier des mots muets

Je marche lentement l'oeil blanc, le bras raidi,

Et sa voix qui murmure au creux de mon oreille

Me trompe ou bien me ment, mais pour moi c'est pareil :

Possédé et parjure, sur des sentiers maudits.

PS : les vers de nos quatrains ne facilitent peut-être pas la reprise... :clap:

Link to comment
Share on other sites

Et sa voix qui murmure au creux de mon oreille

Doutes et questions, torpeur; toujours la même

Au creux du soir tombant l'on sent les mots glisser

Et l'esprit fend le monde; en vergue : le passé...

Entendre dire -oh! joie!- dans un souffle "je t'aime"!

Link to comment
Share on other sites

Et tout autour de toi t'étouffera le noir

Chimères de la nuit enveloppée de craintes,

Je sens d'un souffle froid la malicieuse étreinte;

Je sens des doigts de songe hurler en s'en allant...

Je sombre dans le noir et soudain tout est blanc.

Link to comment
Share on other sites

  • 5 months later...

Je sombre dans le noir et soudain tout est blanc.

Car dans le malin j'ai enfin pu trouver Dieu

Qui de sa main bienveillante me cachait les yeux

Ô Être Suprême, pourquoi donc m'avoir choisi!

Moi qui suis aveugle, n'ai je donc rien compris?

Link to comment
Share on other sites

Car dans le malin j’ai enfin pu trouver Dieu

Ce n’est qu’après avoir de toute ma haine sauvage

Participé à de grandes exterminations

Que j’ai pu voir les hommes bâtir un nouvel âge.

Le Paradis est pavé de mauvaises intentions.

Link to comment
Share on other sites

Car dans le malin j'ai enfin pu trouver Dieu

O stupres malicieux de fautes enrobés !

Feuillages éclatants aux branches recourbées,

Le noir de la forêt cache un cœur de la nuit

Il chante dans mon âme un cantique – et il jouit.

Bienvenue à toi, Carn'flex!

Edited by Petimuel
Link to comment
Share on other sites

Allez en paix mes frères, que la droite de Dieu soit sur vous.

En pluf fa fait mal... Ve vais faire fans les dents maintenant...

Désolé je n'ai pas pu m'empêcher.

Bon courage à tous. Je participerai peut-être.

Link to comment
Share on other sites

fa fait mal... Ve vais faire fans les dents maintenant...

La douleur m'infupporte, eh! Ve fuis bien verni!

Un feveu fur la langue et ma langue qui fourfe!

Fon oreille n'a pas ouï fe que v'avais dit

Dieu m'a puni avant que j'euffe pu dire "ouf!"

Link to comment
Share on other sites

La douleur m'infupporte, eh! Ve fuis bien verni!

Mais hélas je ne suis, à mon très grand dam

Qu'une simple figurine, impuissante et pi!

Oh venez à mon secours, je vous en supplie,

Me délivrer prestement de ce sentiment.

Hihihi, c'est morrant.

Edited by Crilest
Link to comment
Share on other sites

Qu'une simple figurine, impuissante et pi!

De la main de ce Dieu, j'avançais de 6 pas

Tirer, courir, je dois continuer le combat

Pour mourir aux mains de l'adversité complice

Ma vie de plastique n'est qu'un long sacrifice

Pffiou j'ai l'impression de faire de la rime de pacotille à coté de vous... :wub:

Link to comment
Share on other sites

  • 4 weeks later...

Ma vie de plastique n'est qu'un long sacrifice

mon maitre fait la guerre avec des soldats gris

quelle honte pour nous, joie pour les ennemis:

courir sur la table, ombre sans nul destin

heureusement vint le jour ou je fut enfin peint.

hommage à un ami qui n'a peint que quelques kroots. :unsure:

Link to comment
Share on other sites

mon maitre fait la guerre avec des soldats gris

Elle criera ton nom, cette armée d'ectoplasmes

Dont le vent portera l'echo des longues brumes

Quand elles créeront la lumière et ses miasmes

Pour la voir s'engloutir dans la houle et l'écume

Link to comment
Share on other sites

1er essai en poesie avec l'aide de mon coupain Ptimuel.

courir sur la table, ombre sans nul destin

D'un échiquier la pièce anonyme et sans âge

Envoûté mais maudit, je dois tourner la page

Des désillusions qui ne sont plus les miennes.

Ma vie l'était jusqu'à ce qu'elle devînt tienne.

Snooo !

Edited by snorri
Link to comment
Share on other sites

Ma vie l'était jusqu'à ce qu'elle devînt tienne.

Tenant en son sein, une botte, un couffin

Deux bouquets de bryuère et trois morceaux de pain

Sa marche majestueuse magnifie le couchant

Boréale elle s'en va, me laisse sans firmament

Tedeoume

Super Souris, c'est la soirée !

Link to comment
Share on other sites

Ca ne veut rien dire , mais je veux jouer :unsure:

Sa marche majestueuse magnifie le couchant

Aux confins d'un chemin , au seuil d'un nouveau ,

Suffit les médisances ! Abolis tes sanglots

Quand arrive le couchant , tu me fais miroiter

Ton petit cul bougant avec alacrité .

Link to comment
Share on other sites

Ton petit cul bougant avec alacrité .

Au bordel on s'amuse

La monnaie paye une couche

Où l'on trouve une muse

Que l'on sert qu'on attouche

:blink: c'est la faute à oeildenuit !!!

Link to comment
Share on other sites

Ton petit cul bougant avec alacrité

Je sens monter en moi la houle au goût salé

Qui éveille le mousse et invite à l'effort;

Et l'ouragan vertueux de mon âme avalée

Voit ma hampe dressée servir de sémaphore

Link to comment
Share on other sites

Oh non, hé, ça devient dégueulasse ! :lol: Heureusement que je suis là pour rectifier le tir (quoiqu'un poème un poil érotique (ah, ah :blink: ) ne me messiérait pas...)

Je sens monter en moi la houle au goût salé

Qui m'invite à voguer vers l'océan Indien,

À tout lui sacrifier, pour un fragile navire

Sur lequel m'embarquer, sans avenir certain...

Mais qu'importe, après tout, puisque je vais partir !

Ou bien :

Au bordel on s'amuse

Les filles sont jolies,

On choisit celle qu'on veut

Sans lui faire un aveu...

Mais on paye le lit.

Link to comment
Share on other sites

À tout lui sacrifier, pour un fragile navire

Il est fier mon navire, il est beau mon bâteau... bon ce n'est pas de moi

Quitter foyer

Femmes et enfant

Tout sacrifier

Pour ce grément*

*pas sûr de l'orthographe...

Link to comment
Share on other sites

rien que pour embêter Khorgrim

Tout sacrifier

Souffrance, torture et plaisir

Pour Slaanesh et Khaine, l'avenir

Se résume à sacrifier, tuer,

Assassiner puis b***er

c'est bien grément.

Edited by un vil gueux
Link to comment
Share on other sites

Pour Slaanesh et Khaine, l'avenir

L'avenir est incertain

Bien que les Dieux au lendemain

L'auraient écrit et puis soudain

L'auraient caché pour rire enfin

Link to comment
Share on other sites

Bien que les Dieux au lendemain

Que sont les dieux sans les hommes ?

j'ai longtemps cherché la réponse.

J'ai anéanti les Schkat-gonss ;

Leur dieux n'étaient rien, en somme.

Je sais j'ai un peu triché.

Link to comment
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.
Note: Your post will require moderator approval before it will be visible.

Guest
Reply to this topic...

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...

Important Information

By using this site, you agree to our Terms of Use.