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Warhammer Forum

Le Viebbal


Hexeoclann

Messages recommandés

C'est quoi ces dragons de la taille de chien ?
tes dragons sont pas bien grands

1,50 mètres de muscles et de crocs, j'aimerais t-y voir. OK, c'est pas un grand dragon elfe de Warhammer.

il perd sa compagne à sa place ( il devait se ressembler alors )

Je rappelle à tous (et j'explique à ceux qui n'auraient pas compris(Non, je ne parle pas de toi Inxi :) )) que "Viebbal" est un nom d'éspèce de dragons. D'où le "le Viebbal" à chaque fois que je le mentionne. Personnelement, je ne differancie pas deux lézards. Surtout lorsque j'ai vu le premier dans le feu du combat :lol: .

puis il va manger ( a croire qu'il fait que ca )

Les animaux sont en permanence à chasser, à dormir et à manger. Je n'ai pas trouvé d'autres occupations pour le Viebbal :( .

Hexeoclann, en esperant qu'Inxi ne va pas me dire que je reponds à tout le monde :wink: .

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Aha, on joue avec le lecteur, hein ? Ben franchement, bravo. Rares sont les auteurs à réussir ça sans intégrer de petits commentaires malvenus.

'fectivement, les dragons ne sont pas aussi gigantesques que je l'imaginais. Enfin bon, petit dragon deviendra grand... comment ? non ? Ben non.

Là je sens bien le venue de l'Inquisiteur Chasseur de Dragons puritain, avec ses Deathwatch et... comment ? encore non ? Ben non, tant pis.

SoK, la suiteuh

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Ben je me suis fait avoir...

Joli coup, vraiment bien trouvé le coup de la compagne dragon...

Quant à la taille du dragon, ça ne me dérange pas plus que ça qu'ils ne soient pas si grand. Ca change des gigantesques machines à tuer habituelles, que seuls des stackhanovistes de la guerre arrivent à trucider (ah, ce grand héros surpuissant qui trucide un dragon qui fait 6 fois sa taille à lui tout seul, et tant pis si le lézard crache du feu).

Ca permet un peu plus de "réalisme" fantastiquement parlant, couplé à un suspens plus facile à trouver (généralement, un dragon est capable d'anéantir une compagnie, là, on aura peut-être droit à une traque où les rôles que l'on connaît sont inversés).

Suite :wink:

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Salut :innocent: .

Merci pour les comentaires, c'est sympa.

Là je sens bien le venue de l'Inquisiteur Chasseur de Dragons puritain, avec ses Deathwatch
Je voyais pas ça comme ça... Si mes textes semblent futuristes, vous me le dites et je pars en section science fiction, hein :D .

Bon, voilà, je poste la suite.

Bonne lecture :wink: .

Chapitre 8

Le Viebbal marchait dans la forêt en quête d'un point d'eau lorsqu'il entendit des voix. Sur ses gardes, il avança vers la lisière du bois en se cachant derrière les buissons. Un groupe d’une douzaine de bipèdes marchaient tranquillement, deux d'entre eux poussant une étrange construction de bois. Ils étaient plongé dans une conversation concernant la chasse au dragon. Certains disaient que ce serait un jeu d'enfant, contredits par d'autres, plus prudents. Régulièrement, les deux hommes qui poussaient la chose de bois étaient relayés par deux autres. La petite troupe se dirigeait vers le village. Chacun se servait d’une lance comme d’un bâton pour s’aider à marcher et portait dans son dos un petit bouclier rond. Le Viebbal observa longuement cet étrange cortège puis, d’un seul coup, poussa puissamment le sol de ses pattes arrières et s’éleva sans effort dans les airs, produisant un bruit étouffé. Les bipèdes levèrent la tête et aperçurent en l’espace d’un instant leur cible.

La petite troupe arriva dans le village, accueillie avec joie par les paysans. Le curé entraîna les soldats envoyés par le seigneur dans l’église en passant près d’une petite maison de torchis collée à celle-ci. Il s’assit sur un banc et invita les hommes à l’imiter. Un soldat prit la parole, au nom de la troupe :

-Bonjour mon père, le seigneur de Montaugure nous envoie pour chasser le dragon.

-Bonjour, le seigneur m’a, en effet, garanti des hommes pour tuer la bête. Mais j’ai remarqué une machine de guerre, qu’est ce donc ?

-Ce n’est pas vraiment une machine de guerre, c’est un maraglen.

-Un quoi ?

-Un maraglen, c’est une petite baliste.

-Je vois que le seigneur de Montaugure prend l’affaire très au sérieux. Très bien, mes ami, je ne peut vous indiquer l’endroit où se terre la bête mais vous trouverez des pistes, j’en suis sûr. Sur ce, messieurs, je vous envoie. Partez chasser le dragon !

Les hommes avançaient lentement, traînant derrière eux le maraglen. Ce dernier les ralentissait très fortement mais les rassurait. Souvent, il était trop large pour passer entre deux arbres et devait emprunter un chemin plus long. La troupe se montra efficace et toute piste, tout signe et toute trace du dragon furent repérés. Au milieu de la journée, les soldats firent une halte dans une petite clairière et mangèrent du pain rassis et du fromage. Le bois se faisait de plus en plus obscur et la végétation de plus en plus dense au fur et à mesure que les hommes avançaient. Ils longeaient maintenant un cours d’eau pour ne pas s’égarer. Les lances se coinçaient dans les branches et le maraglen étaient difficilement maniable. Aussi les soldats décidèrent d’un commun accord de rebrousser chemin jusqu’à la clairière où ils s’étaient arrêtés.

Ils découvrirent deux cadavres de biches au même endroit. Les mouches tournoyaient autour avant de venir goûter à la charogne. Des traces de griffures étaient visibles malgré le flot noir d’insectes. Les soldats évaluèrent la mort des deux animaux à cinq jours auparavant. Il marchèrent encore un peu le long du ruisseau avant que l’homme qui ouvrait la marche fit signe au autres de ne pas faire de bruit. Il désigna ensuite l’autre rive de la rivière. Tous les regards se tournèrent. En face, un peu en aval, un fière créature rouge sang buvait au ruisseau, les ailes membraneuse repliées sur son dos. Les hommes s’affairèrent silencieusement pour mettre en place le maraglen. Un des soldat sortit un long carreau et l’encocha sur la corde de l’arme. Le maraglen était près à tirer et un homme se pencha pour l’actionner. Le soleil, filtrant à travers le feuillage dévia par un heureux hasard un reflet du casque du soldat vers l’œil du dragon qui, ébloui, recula d’un pas. Ce geste le sauva car le carreau se ficha dans une branche sèche, la fendant en deux, là où se trouvait la tête du dragon un seconde avant. Les soldats, déçus et effrayés par ce premier échec saisirent leurs lances et formèrent un barrage de fer devant la créature. Le Viebbal, pour les intimider, se dressa sur ses deux pattes arrières et balança lentement sa lourde queue hérissée de pointes devant lui avant de faire voler en éclat une branche d’un seul coup de cette masse caudale. Les hommes, intimidés par cette démonstration, affichèrent des expressions effarées et serrèrent à tel point leurs armes que leurs articulations blanchirent. Le Viebbal avança un peu, remarquant le changement de comportement. La rivière séparait les deux camps mais deux battement d’ailes suffiraient à transporter le dragon de l’autre côté. La créature rouge, se remémorant la profonde entaille laissée dans sa joue par une épée, préféra s’envoler plutôt que de se frotter au mur de fers de lance. Les hommes, soulagés de voir leur adversaire battre en retraite, se remirent en marche.

Le Viebbal planait. Il vola encore un peu pour traverser le cours d’eau et passer derrière les bipèdes. Perdant de l’altitude, il battit frénétiquement des ailes pour atterrir sans bruit malgré le feuillage. Avançant entre les arbres, il cherchait du regard la troupe, les sens aux aguets. Après plusieurs minutes, il entendit des voix. Suivant le bruit et faisant attention à ne pas faire en faire lui même, il s’approcha de la rivière et déboucha sur un bois plus clairsemé. Il aperçut les bipèdes en file indienne, l’étrange chose en bois poussée par deux d’entre eux se traînant à l’arrière. Depuis qu’il avait découvert le village, son territoire était constamment arpenté par les étrangers. Cela devait cesser. Sans aucun bruit, le dragon, emplit de rage, rampa furtivement jusqu’à la troupe d’une douzaine d’ennemis. Une fois juste derrière les bipèdes poussant la chose de bois, le Viebbal leva sa queue meurtrière qui avait déjà ôté la vie à deux semblables de cette race envahissante.

Bon bah, voilà.

Hexeoclann.

Modifié par Hexeoclann
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Invité chaos rulez

la suite la suite!!!!! :innocent:

que vas t'il se passer selon moi la mort de la troup ou peut-être qu'un des hommes vas survivre

et après aller courir quérir l'aide de son seigneurs

il vas se pointer avec sa deatwatch :D

lol vivement la suite :wink:

donc ciao from quebec city B) B)

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Suivant le bruit et faisant attention à ne pas faire de bruit

"à ne pas en faire lui même"? La répétition alourdit quelque peu la phrase...

sa lourde queue hérissée de pointes devant lui avant de faire voler en éclat une branche d’un seul coup de queue

"d'un seul coup" tout court, devrait suffire à mon avis

Sans aucun bruits

"bruit" sans le s. T'as des problèmes avec ce mot hein^^.

Voilà pour les quelques trucs qui m'ont gênés.

J'aime toujours autant, vivement la suite!

(Avec une chasse aux hommes style Predator, Schwarzy en moins :wink: ?).

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Mais pourquoi ils veulent pas le laisser tranquille ce gentil dragounet :P ?

Bon toujours aussi court mais aussi agréable à lire. Essayes de bien faire attention de bien distingué quand on suit les humains que quand on suit le dragon parce que ca se suit quand même pas mal là. Bon il a échappé à la mort une fois de plus notre cheval cracheur de feu ( :wub: ) et c'est tant mieux ! C'est mon chouchou :wink:

@+

-= Inxi =-

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notre cheval cracheur de feu

Je crois avoir précisé que "notre cheval" ne crachait pas de feu :P . De plus, je dirais plutôt "notre lézard".

Essayes de bien faire attention de bien distingué quand on suit les humains que quand on suit le dragon
parce que ca se suit quand même pas mal là
Faudrai savoir!!! J'avoue que la, j'ai pas tout compris :wink: .

Hexeoclann, promi, après ça, j'arrête de flooder :wub: .

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Salut frérot!

Bon, alors il lui en arrive des choses à notre dragon préféré! Dire qu'au départ tu le destinais à uniquement combattre le Queneros (euh c'est bien ça, non?)!

Continue, ton histoire est super, et j'aimerais bien connaitre la fin même si je connais déjà un peu la suite. et non, les autres, je ne vous dévoilerais pas la moindre parcelle du scénario (d'ailleurs, je pense que j'ai juste un chapitre d'avance).

O'mor'tyr, je te laisse une surprise vu que je n'ai pas cours...

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A mon toureuh :unsure:

Tout d'abord, la forme (pour ne pas changer une recette qui marche)

Quelques imprécisions/tournures bizarres

et toute piste, tout signe et toute trace du dragon furent repérés

Je vois pas le rapport avec la phrase d'avant, et je trouve l'accumulation assez incongrue ici

Bonjours, le seigneur m’a, en effet, garantit des hommes pour tuer la bête

Outre les deux jolies fautes, je trouve la phrase un peu abrupte pour commencer une discussion. Ca fait un peu "Bon qu'est ce que vous avez pour moi? Ah oui au fait, bonjour " ^_^

Y en a une ou deux autres, mais rien de méchant

Niveau fond maintenant :

Outre l'aspect "Bonjour, à bientot" du dialogue, deja énoncé plus tôt, un ou deux trucs m'ont gêné.

Je trouve les chasseurs bien peu méfiant pour des gens qui viennent d'agresser un dragon, selon moi ils auraient du être aux aguets, se doutant que la bestiole n'allait pas en rester là.

Sinon, le coup du reflet-kitu, pourquoi pas meme si c'est peu probable dans une forêt, mais étant donné que c'est un phénomène somme toute peu courant, je l'aurais mieux vu introduit par quelque chose de plus substantiel que

Le soleil, filtrant à travers le feuillage dévia par un heureux hasard un reflet du casque du soldat vers l’œil du dragon qui, ébloui, recula d’un pas

La, on a l'impression que c'est quelque chose de tout a fait normal. (d'ailleurs, c'est le casque et non le soleil qui dévie)

Enfin, sur le plan général c'est pas mal du tout, ca commence à s'étoffer et à prendre de la profondeur :(

Sur ce, Waz, la suite

Modifié par Waz
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Content de voir que tu as bossé pendant mon absence. Et content de voir que je n'ai pas pour autant dix pages de retard sur les autres :unsure:

Cela dit, je passe quand même en dernier, et j'ai bien l'impression que personne ne m'a laissé une petite faute ou bizarrerie à me mettre sous la dent... z'êtes pas zentils.

Vivement la suite, si tu as le temps d'écrire pendant les fêtes bien entendu.

SoK, je lance une pétition pour militer en faveur de l'apparition d'une équipe d'extermination ou pas, finnalement ?

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  • 3 semaines après...

Bon, alors, je poste de plus en plus court à intervales de plus en plus long, va falloir y remedier. :devil:

Sinon, le coup du reflet-kitu, pourquoi pas meme si c'est peu probable dans une forêt, mais étant donné que c'est un phénomène somme toute peu courant, je l'aurais mieux vu introduit par quelque chose de plus substantiel que
Le soleil, filtrant à travers le feuillage dévia par un heureux hasard un reflet du casque du soldat vers l’œil du dragon qui, ébloui, recula d’un pas

La, on a l'impression que c'est quelque chose de tout a fait normal. (d'ailleurs, c'est le casque et non le soleil qui dévie)

Tu l'as bien fais dans Les trois destins, non ?

J'ai pas réussit à développer le dialogue.

Voilà quand même la suite.

Bonne lecture :clap: .

Chapitre 9

Le Viebbal profita de sa domination pendant quelques secondes avant d’abattre brutalement sa masse caudale sur le flanc d’un des hommes. Celui-ci chuta dans la rivière que le groupe longeait en hurlant de terreur et en emportant un de ses camarades dans sa course. Les autres hommes se retournèrent et dévisagèrent le dragon rouge. Etant donné que les soldats tombés à l’eau étaient ceux qui poussaient la chose de bois, celle-ci se trouvait entre les hommes et le Viebbal. L’œil vert de la créature étincelait et ce qui semblait être un sourire se dessina sur la face balafré. Les soldats prirent peur mais furent rappelés à l’ordre par leur chef qui leur dicta de former le mur de lance. Le sourire du dragon ne s’effaça pas. Sans que les hommes ne comprennent quoi que ce soit, la queue reptilienne fouetta l’air, le maraglen vola en éclats et deux hommes furent projetés quelques mètres en arrière, une poutrelle plantée dans la poitrine. Après cette offensive foudroyante, le Viebbal s’éleva dans les airs et disparut derrière la voûte de feuillage. Lorsque les hommes eurent repris leur souffle, ils constatèrent que les deux tombés à l’eau s’étaient noyés. Ils n’étaient plus que huit dans le groupe et le maraglen était détruit.

Le chef de la troupe, à l’aide d’un bâton, replaçait dans le feu de bois les cendres qui s’en étaient éloignées. Son regard était vide, morne, lugubre et las. Il était assis sur un tronc tombé au sol, les avants-bras posés sur ses genoux et le corps penché en avant. Il ne disait rien. Les autres membres de la troupe étaient dans le même état que lui. De temps en temps, un soupir interminable perçait le silence. Le soleil était couché depuis une heure. L’atmosphère était lourde et le chef de groupe sentait la cause de la mort des quatre hommes peser sur ses épaules. Il aurait dut être plus prudent. Il contemplait les flammes, le regard vague. Il rompit le silence, hésitant :

-Les gars, il va falloir être plus prudent…

-Il serait pt’être temps, grommela un homme.

-Bon, on va faire des tours de garde la nuit et être plus attentif à tout ce qui serait susceptible d’être un dragon. Il va vraiment falloir s’organiser parce qu’à huit, ça va être rude.

-On pourrait pt’être faire la garde à deux, proposa un soldat.

-D’accord, en attendant, Wilgen, Halser, allez chercher du bois.

Les deux hommes se levèrent, ramassèrent deux bâtons et mirent le feu à l’une des extrémités de chacun à l’aide d’une poudre spéciale. Ils s’enfoncèrent ensuite dans le bois, munis de ces torches. Le chef de troupe désigna un autre homme pour monter la garde avec lui et les quatre autres soldats se couchèrent dans un long soupir de fatigue.

Le Viebbal était posé sur un grand rocher. Entre ses serres se trouvait un lièvre mort. Il mangeait, déchirant des morceaux de viande puis agitant son long cou pour les faire glisser tout entiers le long de sa gorge lorsqu’un bruit se fit entendre, non loin. Il releva la tête. Il regarda tout autour de lui, balayant du regard la forêt endormie en quête d’un éventuel ennemi. Rien. Rassuré, il finit de dévorer son repas. Brusquement, dans un bruit mat et étouffé, il décolla et vola jusqu’à sa caverne. Une fois là-bas, il se roula en boule et, les ailes étendues sur le sol de pierre, ferma ses yeux d’émeraude.

Voilà. 0'mor'tyr n'as plus d'avance.

Hexeoclann.

Modifié par Hexeoclann
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Coucou

Tu l'as bien fais dans Les trois destins, non ?

Certes, mais j'ai un peu plus developpé :devil:

Pour ce coup-ci, une autre petite baston(rancunier comme dragon hmm :clap: )

Niveau forme, j'ai pas fait attention aux fautes ( aucune ne m'a vraiment choqué en tout cas), par contre une ou deux choses qui me gênent

L’œil vert de la créature étincelait et ce qui semblait être un sourire se dessina sur le visage balafré.

Sourire et dragon, ca ne passe pas, ca me fait bizarre de voir un animal exprimer ce genre d'émotion ( ca rend la bestiole plus attachante mais bon). Pareil pour visage, mais je vois pas trop comment remplacer... face est peut-être un poil mieux.

Son regard était vide, morne, lugubre et lasse.

Las est mieux je pense :clap:

L’atmosphère était lourde et le chef de groupe sentait la cause de la mort des quatre hommes peser sur ses épaules

Bizarre comme tournure, je vois à peu près ce que tu veux dire mais je suis pas trop sûr...

Niveau fond, ca avance pas des masses, on sait juste que le dragon peut être un vrai bourrin-mais-rusé quand il le veut (sans connotation péjorative), mais j'ai du mal à deviner si on va peu à peu passer jusqu'au point de vue des humains ou rester avec le dragon.

Sur ce, Waz, A+

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Tiens, d'abord une faute sans chercher du tout:

Lorsque les hommes reprenaient

Soit "tandis que les hommes reprenaient" , soit "lorsque les hommes eurent repris".

Sinon, ce texte, même court, ajoute une nouvelle dimension à ton texte. Que tu te places du point de vue de l'humain est très réussi. Parce que tu te plaçais déjà du point de vue des chevaliers, mais tu n'as pas réussi à les rendre sympathiques. Là, on est plus touché par ce qu'on lit. Le chef est triste d'avoir perdu des hommes, on le sent, et c'est bien.

Suite.

0'mor'tyr.

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Hop, une petite guerilla ou le dragon va se débarasser de ce qui était suceptible de lui faire le plus mal ! Bon j'ai pas vu de fautes dans ce paragraphe, a vrai dire, c'est aussi parce qu'il est court ! Hesite pas à poster un peu plus ! Pour ce qui est du reste, c'est pas trop mal. Peut etre accentué le malaise du chef autour du feu, les gardes paraissent un peu absent aussi ( à part celui qui fait la réfléxion ) !

Bon allez suite !

@+

-= Inxi =-

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  • 1 mois après...

Salut.

Alors, pour le sourire, c'est pour cela que j'ai mis "ce qui semblait être un sourire".

bon, voila la suite.

Bonne lecture :P .

Chapitre 10

Le chef de la troupe s’était levé de bonne heure. Assit sur le même tronc que la veille au soir, il réfléchissait sur la journée à venir. Il pensa d’abord à réparer le maraglen mais une grande partie était tombée dans la rivière. Il dut donc y renoncer. Il était attiré par la possibilité de rentrer au village mais, après quelques minutes, il en conclut que les villageois seraient terrorisés si ils apprenaient que les soldats renonçaient. Il essaya de trouver un moyen de rentrer au château en faisant croire au villageois que le dragon était mort mais celui-ci pouvait réapparaître d’un moment à l’autre. Non, décidément, pas moyen de se dérober. Il fallait abattre la bête. Il regarda ses hommes s’affairer et se préparer. A gauche, un soldat mangeait un bout de fromage, discutant avec un autre qui aiguisait la pointe de sa lance. Un peu en retrait, l’homme qui avait manifesté sa colère la veille se rasait avec un couteau, veillant ne parler à personne. A droite, un groupe d’hommes bavardait d’un ton calme. Soudain, le chef eut une idée. Il se leva d’un bond. Tout le monde se tourna vers lui. Embarrassé, il se retourna et ferma son sac. Il ne voulait surtout pas alarmer ses hommes avec un plan dangereux.

Le Viebbal se réveilla dans sa grotte. Il se leva, fit sa toilette puis se rendit à l’entrée de la caverne. Il contempla son territoire. La grande lande s’étalait à perte de vue. Une longue rivière la perçait de ses méandres, du Nord au Sud. Sa grotte se trouvait sur une pente raide d’une colline. Il prit son élan puis déploya ses grandes ailes membraneuses et s’envola. Il partait chasser. Il volait déjà depuis longtemps lorsqu’il aperçu un mouvement infime dans le feuillage en contrebas. Prudent, il atterrit doucement à une dizaine de foulées de la chose. Balayant du regard le sol, il ne vit rien et se reporta aux branches. Il découvrit alors un grand ours noir qui tentait d’extraire sa patte d’une ruche, ignorant les insectes furieux qui tournoyaient autour de lui. Un ennemi. Le Viebbal, dans la intention de défendre ses terres sauta sur l’animal avec une forte poussée sur une branche. L’ours parvint à se décoincer la patte et sauta à terre, accompagné par les abeilles, évitant le coup. Le Viebbal atterrit sur le sol tapissé de feuilles mortes. Il paraissait frêle par rapport à son énorme adversaire, malgré sa lourde queue qui oscillait derrière lui. Debout, l’ours balançait ses pattes griffues en grondant. Le dragon riposta en crachant et en poussant un hurlement puissant et, soudain, il attaqua. La bête noire lui attribua un gigantesque coup du revers de la patte dans le flanc, le projetant à quelques mètres. Chancelant, le dragon rouge se releva et grogna en montrant les crocs. L’ours retomba à quatre pattes et s’approcha lentement du Viebbal. Celui-ci attendit. L’animal noir marchait droit et avec détermination. Lorsqu’il fut assez proche, le reptile fit un brusque mouvement pour frapper l’ours de sa queue. Le coup ébranla le robuste animal sans réellement le déstabiliser. Mais le Viebbal enchaîna, mordant son adversaire là où les piques l’avait déjà blessé. L’ours noir hurla, sa fourrure rougissant au niveau du bras gauche. Pour se débarrasser du dragon, il le frappa de sa patte libre. A nouveau propulsé, le Viebbal eut du mal à se relever. Il sentait une intense douleur au niveau des côtes sans pour autant que le sang coule. La bête boita vers le dragon, déterminée. Lorsqu’il fut proche de son adversaire, le Viebbal battit des ailes pour passer au dessus de celui-ci puis lui sauta au cou, toutes dents dehors. L’ours, le dragon pendu à sa nuque, se débattit férocement pendant plusieurs minutes avant de s’étaler par terre, mort. Le vainqueur se pencha sur le cadavre pour se nourrir. Une fois repu, il s’envola tant bien que mal en direction de sa caverne dans le but de se reposer.

Arrivé devant sa grotte, il atterrit et entra. Une étrange odeur flottait dans l’air. Il renifla bruyamment l’air, ses narines se dilatant à chaque inspiration. Il avança prudemment vers le fond de son antre. Plus il s’y enfonçait, plus l’odeur se faisait forte. Il la reconnut. C’était celle des bipèdes. Soudain alarmé, il balaya la roche nue du regard. Ne voyant rien, il avança d’un pas. Un hoquet de frayeur se fit entendre. Se tournant vers l’origine du bruit, le dragon gronda. Le grognement resta en suspend dans l’air, résonnant dans l’espace restreint. Le Viebbal perçut des respirations saccadées. Il tendit l’oreille. Il entendit alors, sans en comprendre une bribe, un murmure presque imperceptible qui faisait :

-Attendez encore un peu… Attendez…

Dans un coin humide de la caverne, quatre hommes effrayés étaient agglutinés contre la roche froide et collés les uns aux autres. Le chef chuchotait des paroles réconfortantes à ses hommes terrorisés. Des gouttes de sueurs coulaient sur les joues des soldats tandis que le chef murmurait :

-Regardez, il est terrifié…Tout va bien…On l’auras cette fois…

Les hommes serraient si fort leurs lances que celles-ci leur faisaient mal. Un bref raclement se fit entendre lorsque que le manche d’une arme toucha malencontreusement le sol. Le Viebbal tourna brusquement la tête. Réprimant un frisson, le chef ordonna silencieusement à ses hommes d’attendre encore.

D’un coup, le dragon prit peur. Il se retourna brusquement vers la sortie. Un sifflement se fit entendre dans le fond de la grotte et plusieurs silhouettes noires apparurent à l’entrée de la caverne, se découpant dans la lumière blanche du soleil. Chacune était armée d’une lance. La retraite était coupée. Il rugit. Derrière lui, des bruits de pas précipités résonnèrent. Il était pris au piège. Il balança sa queue derrière lui pour maintenir ses adversaires à distance tout en montrant les crocs devant lui. La caverne avait une forme de tunnel, ce qui l’empêchait de voler mais interdisait aux bipèdes de le contourner. Epuisé par son combat contre l’ours, il n’avait pas la force de se battre face à tant d’adversaires. Il rugit le plus fort possible pour effrayer les bipèdes. Profitant du moment d’hésitation créé, il galopa vers ceux qui bloquaient la sortie, tête baissée, cornes en avant. Ses opposants reculèrent d’un pas, mais, entendant rugir leur chef, au fond, ils reformèrent la ligne et serrèrent leur lances. Le dragon repoussa trois lances d’un coup de cornes mais la quatrième lui taillada le flanc. Ignorant la douleur et serrant les dents, le reptile s’envola en emportant entre ses serres un malheureux bipède. Tout en volant, il lacera sa proie de ses griffes avant de la laisser choir vers la canopée. L’idée de dormir à la cime d’un arbre le répugnait mais retourner à la grotte serait mortel. Il vola donc longtemps, tenant à s'éloigner des bipèdes. Il longea la rivière, dépassa un grand rocher et arriva près d'un lac artificiel formé par des castors. Il se posa doucement sur une haute branche et commença à lécher la plaie qui lui barrait le côté.

Voilà. Dites, il ne commence pas à être vraiment un bourrin là, mon dragon ? Parce que si oui, je modère, hein.

Hexeoclann.

EDIT : Inxi, j'ai un poil allongé la fin.

Modifié par Hexeoclann
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es narine se dilatant à chaque inspiration. Il avança prudemment vers le fond de son antre. Plus il s’y enfonçait, plus l’odeur se faisait forte. Il la reconnue.
fié…Tout va bien…On l’auras cette fois…

Ca c'est pour les petites fautes ! Le truc qui me gène dans le passage :

nt de la laisser choir vers la canopée. L’idée de dormir à la cime d’un arbre le répugnait mais retourner à la grotte serait mortel. Il se posa donc sur une haute branche et commença à lécher la plaie qui lui barrait le côté.

Ca va un peu vite, on a l'impression qu'il dort dans un arbre devant la grotte ! Sinon c'est bien mais si long a venir ! Allez la suite :P

@+

-= Inxi =-

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D'abord deux fautes:

Il leva

Il se leva, je penses.

entendant rugire leur chef

rugir.

Et sinon... C'est bien. J'ai eu peur pour notre ami sauromorphe (pas pu résister). Mais il s'en est tiré avec la manière. Sinon j'ai remarqué un truc: tout tes combats se soldent par une victoire relative du viebbal, mais il est blessé à chaque fois. Ca m'étonne donc qu'il s'en sorte toujours aussi bien. C'est sous ce coté là qu'il est bourrin: il se remet trop bien. Dans les combats pas de problème, mais sa collection de blessures fairait palir d'envie le plus couturé des vétérans.

Voila, ca c'était pour être c*****. Sinon, tu nous fait une nouvelle démonstration du format réduit de ton dragon. En fait, c'est parceque ton univers est peuplé de beaucoup de dragons. Mais vraiment beaucoup. Ce ne sont donc pas les crétures légendaires et magiques de beaucoup d'autre univers. Et donc il sont plus petits.

O'mor'tyr, moi aussi je fais du grec.

Edit: grillé par notre modo lycanomor... Non! Pas taper!

Modifié par 0'mor'tyr
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des castors

On va devenir copains ^^...

J'aime beaucoup ton idée de raconter l'histoire d'un dragon ! :P

Sérieusement, un être si petit est une honte pour les nobles dragons... mais il est vrai que si il faisait une dizaine de mètres et crachait le feu... eh bien il ne fuirait pas devant 8 hommes ^^

Par contre, je doute un coup d'épée ou de lance perce si facilement des écailles de dragon, même de petit petit dragon...

C'était super ! Bonne continuation !

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Salut.

C'est vrai 0'mor'tyr pour le coup des blessures mais j'ai du mal à accentuer le fait qu'elles le font souffrir.

Zoulaf, je doute que la joue et le flanc soit des endroits couverts d'écailles.

Bon, alors, pour fêter mon 100 ème message, je poste ça :woot: .

Bonne lecture 8-s .

Chapitre 11

Le chef de la troupe était assis sur une pierre, cette fois, dans le fond de la caverne. Il contemplait les flammes jaunes s’élever gracieusement vers le plafond, s’échappant par une cheminée naturelle. Il leva la tête puis la tourna brusquement vers ses chaussures : cette fois, ses hommes le fixaient d’un regard noir, leurs yeux jetant des éclairs. Après avoir mangé un repas frugal, il grommela quelques mots et s’allongea. Il s’endormit.

En se réveillant le lendemain, il se rendit compte que le feu était éteint. Il se leva pour le ranimer lorsque il s’aperçut qu’il était seul dans la grotte. Ses hommes étaient partis. La vérité le frappa comme une gifle. Ses soldats l’avaient abandonné car il n’avait pas été capable de protéger leurs camarades, car il avait envoyé à la mort cinq hommes, car il avait été un mauvais chef…Ses compagnons étaient maintenant probablement rentrés au village ou au château. La rage l’envahit. Il frappa une grosse pierre de son pied et, ignorant la douleur, prit sa lance et son sac et sortit de la caverne.

Le Viebbal se réveilla en sentant une douleur au flanc. Il descendit de son arbre pour faire sa toilette. Ensuite, il marcha jusqu’à la rivière pour se nourrir. Il s’envola et atterrit au milieu du lac des castors, sur une hutte. Il détruit le toit à coup de dents et de serres. Lorsque l’intérieur fut découvert, le dragon s’aperçut qu’il était vide. Des ondes s’élargissaient à la surface de l’eau, dans l’entrée immergée. Il grogna et s’élança, déployant ses ailes, se dirigeant vers une autre hutte.

A la sortie de la grotte, l’ancien chef de troupe contempla un instant le paysage qui s’étendait autour de lui avant d’entreprendre une marche vers la forêt. Il chemina longtemps entre les arbres, se servant de sa lance comme bâton de marche, dans l’espoir de trouver un signe prouvant la proximité du dragon. Il devait tuer ce monstre qui avait détruit sa carrière, tué ses hommes et salit son nom. Tout en marchant, il sortit de son sac un morceau de pain qu’il avala. Soudain, après une heure de marche, il s’arrêta. Il se baissa et observa le sol. Une trace fraîche se dessinait sur le sol boueux. Elle était accompagnée par d’autres identiques. Elles étaient grandes, les doigts étaient longs et, à leurs extrémités, de longes griffes étaient profondément enfoncés dans la terre. Elles alternaient avec de petites empreintes formées uniquement d’une courte griffe, manifestement rattachée au poignet d’une aile. Des traces de dragon. Elles se dirigeaient tout droit vers le lac. Le chef de troupe les suivit. Arrivé au point d’eau,, il constata avec irritation que le reptile s’était envolé, les empreintes ayant soudain disparu. Il leva les yeux et découvrit alors le dragon dévorant un malheureux castor sur le toit défoncé d’une hutte de bois, au milieu d’un champ de constructions identiques démolies. Un sourire meurtrier se dessina sur son visage. Il contourna l’eau pour se rapprocher le plus possible de son adversaire. Il ne savait pas nager. Il disposa sur un rocher du rivage un morceau de viande conservée au sel qu’il avait gardé dans un bocal pour le jour ou lui et ses compagnons tueraient enfin le dragon rouge. Il se positionna à la lisière du bois, posa son sac derrière un buisson puis se cacha derrière l’arbuste. Il empoigna sa lance et attendit avec espoir que le dragon revienne sur la rive.

Quand il eut terminé son repas, le Viebbal remarqua une odeur de viande qu’il reconnaissait. De la viande de bête blanche. Il se souvint du goût délicieux qu’avait cette nourriture et balaya la côte du regard. Il remarqua la tranche de viande rouge posée sur le rocher. Il s’envola. Lorsqu’il arriva au niveau de la nourriture, il atterrit et avala la viande en une seule bouuchée. Il sentit soudain un violent coup sur son dos. Il se retourna. Un bipède se tenait maintenant face à lui, bâton en main. Le coup qu’il lui avait donné avait rebondit sur les épaisses écailles de son dos. Il évita un nouveau coup et rugit.

Voilà.

Zoulaf, on est toujours copains après ce carnage parmi les castors ?

Le Grand Poney va-t-il m'envoyer des hordes de lapins démoniaques pour me faire mourir dans d'atroces souffrances ? :huh:

Je vous laisse un peu en suspend et c'est très court mais le chapitre n'est pas fini.

Hexeoclann.

Modifié par Hexeoclann
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l détruit le toit à coup de dents et de serres

On dirait mes fautes ça :woot: C'est du présent ta phrase là :huh:

Arrivé au point d’eau,, il constata avec irritation que le reptile s’était envolé

Ben c'est pas mal ! Dommage pour les castors ! Moi je t'en veux personnellement sauf si l'humain se fait tuer mais je suis presque sûr que ca se terminera par une déroute du dragon ! Alors souite ! ( En fait, tu as une idée de la taille totale de ton texte ? )

@+

-= Inxi =-

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Pov'castor... Tu seras vengé !!!

Jolie suite, un peu courte... mais on garde nos personnages et c'est bien, allez captain, tu vas l'avoir ton dragon tueur de castors !

Le Grand Poney est déjà occupé avec l'histoire du gueux, mais tu verras...

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  • 2 semaines après...

Bon, je viens de me taper 40 minutes de lecture ! Alors qu'en penser ?

Eh bien j'aime bien (étonnant, n'est-ce pas ? :wink: )

Sérieusement, le fait que tu ne saches pas vraiement où tu vas (c'est en tous cas l'impression que j'ai) avec ton récit nous maintient en haleine. On a envie de savoir la suite, car on est incapable de la deviner ! :wink:

Pour ma part, je pense qu'il est temps de que ce dragon de pacotille se fasse capturer et punir pour être aussi petit :P:)

Ou alors qu'il fasse ami-ami avec l'humain, qui sait ? (Humain qui mériterait d'avoir un nom, par ailleurs, non(jeu de mots...) ?

Une toute légère remarque : Tu pars en expéditipon dans la forêt, et tu emportes un bocal contenant de la viande ? Y'a pas plus simple à trimballer dans un sac à dos ? X-/

Sur ce, la suite !

*Celt :P *

PS : Ne refais plus jamais, JAMAIS, le coup du chapitre 6 (sinon je meurs de tristesse :(:P )

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  • 3 mois après...

Salut tout le monde :D .

après une absence prolongée (fallait bien que j'invente le sénario :wink: ), je poste enfin la suite de l'aventure de notre ami dragon. Alors, voilà le texte (c'est cours mais c'est parce que c'est la suite du chapitre 11)

Et bonne lecture :P .

Le Viebbal sauta en avant, lacérant l’air des griffes de ses ailes. Le bipède fit un pas en arrière, puis, tenant fermement son bâton dans ses deux mains, en agita l’extrémité devant la gueule du dragon par petits coups secs et réguliers. Le reptile hésita puis fit un bond tout en déployant ses ailes, passant au dessus de son rival. Le bâton manqua de peu la membrane fragile. Atterrissant sur le sol de galets, le Viebbal, vif comme l’éclair, écarta l’arme du bipède avec ses cornes et porta un coup de griffe à son adversaire.

La douleur lui arracha un cri. Il se toucha le bras, tâtant sa blessure puis releva la tête vers le dragon. Le sang coulait le long de son bras. Il tenait fermement sa lance pointée vers son adversaire. Celui-ci était plus fort mais lui avait l’intelligence de son côté. Il devait trouver un plan pour pouvoir vaincre son rival. Tandis qu’il réfléchissait, le dragon passa à l’attaque. Le reptile sauta en avant et, se soulevant d’un battement d’ailes, fit basculer son corps en avant de façon à pointer ses serres vers lui. L’homme balaya l’air de sa lance, frappant son adversaire au pattes postérieures. Le dragon, surpris, atterrit sur le dos. L'ancien chef de troupe saisit sa chance, empoigna son arme et dans un hurlement, en abattit le fer vers le reptile. Mais ce dernier fut trop rapide et, dans un mouvement vif, se retourna, bondit sur ses pattes et attrapa le manche de la lance dans ses mâchoires.

Le Viebbal tira d’un coup sec. Le bipède, grinçant des dents, fut emporté d’un pas en avant mais ne lâcha pas prise. Le dragon était plus fort et ses crocs était fichés dans le bois tandis que les mains moites de son adversaire glissaient le long du bâton. Cependant, le bipède s’accrochait avec l’énergie du désespoir à son arme. Le Viebbal tira encore et, soudain, exerça une poussée contre le sol et décolla. Le bipède lâcha son bâton, abasourdi par la puissance de l’envol. Le dragon rouge lança le bâton au loin puis atterrit.

Il était maintenant désarmé. Le dragon avançait vers lui, sa balafre lui déformant la face. Il jeta un regard derrière lui. Du coin de l’œil, il aperçut son sac. Il se souvint soudain qu’il avait laissé son couteau dedans. Il devait reculer lentement jusque là-bas. Il évalua la distance. Environ dix foulées le séparait de son but. Le dragon avançait toujours, ses épaules roulant à chaque pas. L’homme fit un pas en arrière, cherchant son équilibre sur le sol rocailleux. Il ne devait pas faire de gestes brusques. Par conséquent, il reculait lentement et le dragon se rapprochait toujours de lui. Lorsqu’il fut suffisamment proche de son sac, il se retourna rapidement et fit un bond vers celui-ci. Le dragon s’élança au même moment. L’homme n’était plus qu’a quelques foulées de son but. Soudain, il trébucha sur un rocher et s’étala de tout son long sur le sol.

Le Viebbal s’arrêta. Le bipède se retourna vers lui. En un bond, le dragon pourrait sauter sur son adversaire, mais il préféra marcher lentement vers lui.

L’homme était assis sur le sol, fixant le dragon qui s’avançait vers lui d’un pas décidé. Il ne pouvait atteindre son couteau. Le monstre allait le déchiqueter. Il était perdu. Le dragon fit encore un pas puis se dressa sur ses pattes arrières pour dominer l’homme de toute sa hauteur.

Suspens... :)

Hex'

Modifié par Hexeoclann
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Ah, ça faisait longtemps, tiens.

A peu près toujours dans la même veine, c'est à dire bien.

Attention quand même, dans le second paragraphe, 5ème et 6ème lignes, répétition de homme et surtout une partie de phrase zappée ("atterit sur le dos, mais.")

Essaye de trouver quelques minutes pour lister tous les synonymes possibles de "l'homme", parce que ça revient un peu torp souvent à mon goût.

SoK, la fuite, la fuite... non, pas la débandade, la fuite, avec un f comme dans fantaftique

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