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Warhammer Forum

histoire d'ork


bembp

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waaaa en voila des commentaires qui font plaisir

tout d'abord je voulais m'excuser aupres des personnes qui aprécient mes textes mais mon état de santé ne m'a pas permis de répondre ni de continuer.

cela dit, je voudrais remercier ceux qui m'ont envoyé des idées je devrais me remettre écrire sous peu.

enfin, sunvador je te remercie . k'un zobbyiste veuille s'inspirer de mes histoire pour faire un bout d'armée c'est un honneur. et vu que je n'ai pas le temps ni l'argent de le faire ( et oui j'ai voulu aussi ) ça me parait une tres bonne idée. a suivre de pres donc ça risque d'etre interessant

a bientot

bembp : yéti épuisé masi qui mords encore

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  • 2 semaines après...

HAAAAAAAAAAA patapééé patapéé!!

oui je sai sje prends du retard.. et ma saleté d'effet dramatique tombe a l'eau.. si j'étais moisn ork j'en aurai quelques chose a faire.. certainement..

mais bon en tant qu'objet d'idolâtrie je dois a mes fans de leur donner des écritures sacrées pour qu'ils prechent la parole de l'ork de part le monde ( je vais me raboter les cheville et je reviens j'arrive plus a marcher la)

donc , disais-je (rolala la formule .. faut que je la note) en voyant ton post, ser raukoras, je me suis dit qu'il fallait que je m'y remette ( puis je me sui répondu que c'était pas sérieu , que j'avais du boulot toussa toussa mais heureusement je ne me suis pas écouté) et c'est gaiement que je me suis mis a griffonner dans mon "cahier a idées bordeliques" .. et manque de bol... je suis tombé sur "La Vaginocratie d’Esperanza"... et entre le boulot minimum que je dois fournir et la lecture j'ai juste eu le temps de créer le prochain épisode.. maitenant il faut que je l'écrive proprement et que je le relise une paire de fois..

en gros ça arrive vite !! ^_^

bembp: yéti .. et alors?

PS: juré la prochaine fois pour dire aussi peu de choses intéressantes je ferais un post monolo.. moloni.. avec une seule ligne.

Modifié par bembp
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Waaaa.. ça devient dur de poster sur ce fofo.. ya des ptits problemes techniques??

bon bah voila .. comme promis : la suite!!

bon l'histoire avance pas d'un iota mais je me sui bien fendu la gueule a l'écrire

j'espere que ça vous plaira.

bonne lecture

PARTIE VI : Waaaa… cé haut !

Le froid mordant de la nuit est rapidement chassé par les rayons de l’écrasant soleil du désert rocailleux. La journée s’annonce superbe. Le chant des squigs flotte sur la brise légère qui a remplacé la tempête de la veille. Ces stridulations, tantôt aigues, tantôt rocailleuses, donneraient la migraine a n’importe quelle créature douée de raison. Mais la nature a ses raisons dont les orks se moquent totalement… Ces « chants » rappellent aux peaux-vertes l’immense vide intérieur que les membres de leur race ressentent le matin. Au niveau de l’estomac surtout.

Ghrimrok est de bonne humeur. Le butin est a portée de main. Il le sent. Sortant de ses pensées, ses yeux parcourent le campement ou les boyz se réveillent. Ils rotent, pètent, mangent, se battent et se grattent les coudes comme tous les matins. Le boss, satisfait de voir que sa bande sera bientôt prête à affronter une autre journée de voyage, se dirige à grand pas vers les trukks.

Un pauvre snotling, minuscule orkoïde, a la malchance de croiser le chemin de l’énorme chef, qui profite de sa présence pour entretenir ses bottes d’un grand coup de pied. La graisse de snot il n’y a rien de meilleur pour solidifier le cuir et empêcher le métal de rouiller trop. Laissant une petite flaque visqueuse derrière lui, Ghrimrok atteint le trukk du jeune et motivé brikolo de sa bande.

Le trouvant endormi sur son établi, un marteau derrière l’oreille, il se met à beugler :

-« Alors fégnass’ ! Elle é ou ma solussion ? »

De surprise, Korb tombe de son tabouret et s’étale dans les copeaux et les morceaux de tôle qui tapissent le sol de son véhicule.

-« Heing ? Aïe ! Heuu… Ha oui ! Zan faite pas boss, jé trouvé ski fau fer.

- Mouais… Vômieu…

- Mé sa va prendr’ un peu de temps… Ptet jusk’au casse dalle. Pi y m’fodré les boyz aussi.

- Oké ! Mé bouj té fess’ ! » Conclut le boss.

Quelques minutes et, encore une fois, une flopée de coups de pieds aux fesses plus tard, tous les boys sont réunis et très attentifs. En effet, Korb a juré de faire exploser la réserve de bière si il n’est pas écouté. Profitant de cette attention, quasi impossible chez les orks, le mékano prends la parole :

-« Y’m fo plin de squigs ! Alor vou zallé en chercher plin !

- Mé on a plin de koi manjé. Réponds un ork, peu motivé à l’idée de la corvée.

- Sé pas pour manjé. On va déssendre dans le trou avec lé squigs.

- Huh ? Mé koman on …

- Assé jacassé ! Le coupe Korb. Boujé vou ! »

Bien que peu motivés au début, les boys se trouvent vite une passion pour la chasse au squig, qui en soi n’a rien de très compliquée. Il leur suffit de courir quelques mètres après les stupides créatures puis de leur sauter dessus avant de les ramener au camp et enfin les jeter dans un enclos construit a la va vite. De nombreux squigs atterrissent entiers, mais il manque a certains des morceaux de chair plus ou moins importants, selon l’appétit et le goût du chasseur.

Ghrimrok regarde le ballet désordonné de ses boyz et se rappelle l’époque ou, avec d’autres mioch’, il courait apres les grots pour les martyriser. Il se rappelle même du premier qu’il a démembré. Le boss, assis sur sa moto de guerre, se fend d’un large sourire avant de finir son premier godet de bière de champignon, en regardant ses sous-fifres travailler.

Vers la fin de la matinée, un troupeau immense et hétéroclite de squig est rassemblé dans le petit enclos dont les murs de tôle menacent de céder. Il y a la de nombreuses variétés de squigs : des squigs coureurs aux longues pattes musculeuses, des squigs manj’fass aux immenses mâchoires garnies de crocs, des squigs baul, de forme sphériques, qui ont une peau solide et élastique qui leur permet de rebondir, des squigs bronzett’ qui passent leur vie au soleil, des squigourd’ (le rêve de tout ork perdu dans le désert) et leur bosse qui sert de poche a eau, etcetera…

-« Cé bien lé ga ! Dis Korb à la bande rassemblée devant l’enclos. Mintnan vou m’lé chté tous dans le trou.

- Hin ? Mé… pourkoi on fré sa ? demande un guerrier.

- Paskeu j’vou l’di.

- Moi j’veu po chter d’la bouffe ! » Conclut un boy, déclenchant un concert de protestations, et une bagarre.

Ghrimrok, bien qu’il ne comprenne toujours pas ce que veut faire le jeune ork, intervient pour couper court a d’autres protestations.

-« Fermé la band’de tripes de snot ! Ya Baguk le boiteu ki se planke dans lé kayou en ba. Alors on va lui balansser cé squigs dans la fass’ ! »

Le chef est un fin psychologue, du moins pour un ork et envers les orks, car les boyz se suffisent de cette mauvaise excuse et commencent à jeter joyeusement les animaux dans le vide. Il fau dire que martyriser le vieil ork ivrogne et boiteux est un des attraits de la ville. L’infirme s’est rendu célèbre car il « offre » régulièrement toutes ses dents aux jeunes guerriers veinards qui le rencontrent quand ses crocs ont repoussé. Il se fait même martyriser par des bandes de snot et a ainsi atteint le fond de la hiérarchie sociale des orks.

Mais au bout de quelques minutes, les orks ont oublié Baguk et jouent a des jeux divers comme envoyer un squig le plus loin possible, ou faire faire le plus grand nombre de rebonds a un squig baul’ (jeu qui tourne en général a la bagarre, un ork sachant rarement compter au delà de un). Et en moins d’une heure le fond du canyon est tapissé des corps des créatures.

Ghrimrok s’approche de Korb et lui pose fermement une main sur la nuque :

-« Et maintnan’ ? »

Sentant sa vie dans la main droite de son caractériel de chef, le brikolo s’empresse de répondre :

-« Rgardé chef ! »

Vivement, il s’empare d’un grot et le jette dans le vide. Au bout de quelques instants, la frêle créature atterrit mollement sur le tapis de chair, puis se relève en titubant. Il s’effondre quelques instants plus tard dans l’indifférence générale, foudroyé par une attaque cardiaque. La peur a été trop forte.

Les orks sont excités à l’idée de se jeter dans le vide mais encore circonspects quand à l’efficacité du tapis protecteur. Seul un des boyz, surmotivé, ou pas encore débourré de la veille, prend son élan et se jette dans le vide, les bras en croix. Il décrit une ellipse parfaite dans l’air chaud et sec sous les « hooo… » et les « haaaa… » de ses camarades. Enfin des rires gras s’élèvent lorsque le plongeur touche le sol. Son poids élevé et sa vitesse le font traverser la fine couche de chair des squigs…

Le corps brisé, l’ork s’éteint, le sourire aux lèvres, avec la certitude d’avoir vécu la meilleure expérience de sa vie.

-« hey ! Boss ! Chkroi ke Gharbriel il é mor’.

- Oué jé vu. Et y’en a un ki va prendr’ dé baffes si y’m di pas kekchoze de bien rapidement ! Répond Ghrimrok en regardant Korb. Cété koi s’truc ? Reprends le chef ork, furieux. Koman tu veu k’on fass’ déssendre lé trukks ?

-Heuu … Ha oué. Cé pa faux ske vous ditt’ chef. Mai zan fèt pas. Jé une autre idée. Le brikolo se tourne vers un des boyz et reprends : Hé ! Toi ! Ramèn’ moi kelkes foireuz’ !

- Huh ? Cé koi dé foireuz’ ?

- Dé foireuz’, espèce de snot boiteux ! Des squig qui gratt’ koi !

-Haaa oké… Cé dé foreuz’.

- Me repran pas effrontré ! Et va me lé chercher ! » Conclut le brikolo en baffant copieusement l’ork qu’il avait pris soin de choisir plus petit que lui.

Une foreuz’ est un squig de la taille d’un poing de jeune ork, pourvu de sept courtes et musculeuses pattes griffues réparties autour de son œil unique, sur le devant de son corps. Ces animaux font partie des plus stupides de la branche squigoïde, pourtant déjà peu dotée par la nature, et ne savent faire qu’une seule chose : creuser en ligne droite. Ils sont généralement utilisés dans des concours ou des grots sont enfermés dans barils sur lesquels on pose une foreuz’. Le dernier grot en vie a gagné le droit de concourir la manche suivante et fait gagner beaucoup de dents a ceux qui ont parié sur lui.

Mais Ghrimrok se demande encore ce que le brikolo veut en faire.

Pendant que le boy va chercher les squigs, Korb rejoint son trukk et en ramène une caisse remplie de matériel hétéroclite. Enfin, les créatures lui sont apportées, un capuchon sur leur œil unique pour les endormir, sinon elles creuseraient leurs cages.

Le brikolo en sélectionne une demi-douzaine selon un critère précis : « seu ki son aud’su », puis, a l’aide de lanières de cuir,de chaînettes, de ficelle ou de boyaux de grot séchés, leur attache des cylindres de métal a peine moins gros qu’elles.

Une fois tous les squigs équipés de leurs charges, qu’ils traînent quelques dizaines de centimètres derrière eux, le jeune ork les dépose délicatement au sol, à quelques mètres les uns des autres et leur enlève leurs capuchons. Aussitôt les stupides animaux se mettent à creuser, droit dans le sol, emportant leur étrange attirail avec eux. Korb, lui, se tient au milieu des trous dans le sol, les mains sur les hanches et l’air fier du travail accompli gravé sur le visage.

Ghrimrok ne comprends, encore une fois, pas ou veut en venir son subalterne, et commence d’ailleurs à en avoir assez… Surtout que la perte de ces foreuz’ va considérablement réduire l’intérêt de la prochaine séance de paris.

-« Bon ! Et kess kon fai maintnan !

- Heuuu… Réponds le brikolo, tiré de sa rêverie. On s’en va.

- Koi ? Rugit le boss.

- Et vit’ ! Allé tou le mond’ dan les trukks ! Fau se kasser ! » Crie Korb, visiblement paniqué.

Pour faire peur à un ork, il en faut beaucoup. Un brikolo est un ork a moitié psychopathe qui est insensible a la peur de voir ses créations lui exploser a la face.

Donc les boyz, voyant que Korb a peur, se mettent à courir. Et vite.

******************************************

A quelques centaines de mètres de la falaise, les orks s’arrêtent. Ils sentent qu’un événement est en train d’arriver. En regardant la plate-forme, percée de trous, qu’ils avaient quittée une poignée de secondes auparavant, ils peuvent voir une demi-douzaine de fins jets de flammes qui s’élèvent vers le ciel. Puis, comme sous l’effet d’une magie titanesque, le sol commence à soulever, faiblement, puis très nettement alors que des fissures courent sur la pierre dans toutes les directions.

Dans un fracas épouvantable, les explosifs on raison de la pression appliquée par les mètres de pierre au dessus d’eux, et la roche se morcelle et est projetée dans toutes les directions. L’à-pic qui posait un problème aux orks est maintenant transformé en un gigantesque amas de poussière et de gravats qui va leur permettre de rouler jusqu’en bas du canyon.

Les boyz sont bouche bée. Un objet capable de produire autant de bruit ne peut être que l’œuvre d’un génie.

Enfin Korb brise le silence des ork :

-« Bon bah voila ! Ya pu ka essplozé quelque kaillass’ a la rokett’ pendan la descente. Et on y sra en moin d’deu. »

voila .. bon bah tapez moi dessus si ya kkechose qui vous ennie .. mais pas trop fort alors ^^

@+

bembp : yéti qu'a lutté pour arriver a poster

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Quel Bonheur de voir que tu as enfin décidé de continuer, je pensais ne plus avoir de nouvelle de cette Bande d' Orks. Comme D'hab, le texte se lit très facilement, un très bon style.

Ce "chapitre" ne m'a pas autant plu que les autres, peut être parce qu'il n'y a pas de véritable avancée dans l'histoire, mais il est quand même tordant.

Mouahah, LA SUITE LA SUITE LA [...]

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Je trouve ton texte géniale; et cette partie encore plus que les autres! :angry:

...

Pasiphaé, non, j'ai rien à dire de plus[encouragement inside pour qque tu continues espèce de flemmard!]

Si quand même : tu as joué combien de temps à Gork Morka heing?

Modifié par Pasiphaé
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Invité Acereth Na Psorn

C'est super! :angry:

J'adore l'idée de Korb!! Faire placer des charges explosive dans le sol par des squigs!!

"Un objet capable de produire autant de bruit ne peut être que l'oeuvre d'un génie." :wink:

J'étais pété de rire devant mon ordi! Les orks sont décidément si comiques! Et si nos amis verts cassaient la tête d'autre chose que des mecs verts? Ca amènerait une peu plus d'originalité.

Reviens viiiite!! Je suis déjà en manque!

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rhaaa .. la petite dose d'endorphine qui fuse dans les veines quand on lit ce genre de com'.. c'est trop bon!!

pour répondre au questions..

Gorkamorka , pour etre franc , je n'y ai jamasi vraiment joué. mais j'ai découvert alors que j'étais pas tres grand, donc bien influençable, et j'ai tout lu ^^. et depuis je fais peur a mes géniteurs, je pousse des cris bizarres , je me peinds la face en vert quand je vais a des soirées déguisées...

pour ce qui est de la diversification des adversaires.... ça fait parties de mes idées pour l'évolution de l'histoire... mais j'hésite encore... j'en ai parlé un peu autour de moi et j'aimerai garder la fraicheur et l'originalité que j'ai dans cet univers gorkamorka-like... plutot que de tombé dans la sur-vue-et-revue WAAGH ork qui traverse l'espace et va bouffer zom ou du marineboy... a voir j'y réfléchis pas mal.. parce selon l'évolution ça peut arriver assez vite...

valaa .... bonne journée

bembp : Yéti.. le taff... rhaa si y'avais pas le loyer...

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Invité Mister-Tau

Yop mickey c zouzou

jkiif trop ton histoire elle et over mega bien

c tres bien les parole pour les okrs ac les mots qui sorte ...

tres bien trouver :P

bon aller jver finir de la lire

a PLus :)

Voila je vien de finir l'histoire j'ai vrement adorer ct over mega kill

Mdr

:wink:

jespere quil y ora une suite :P:d

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Oh mister Tau, fait quand même attention à ton orthographe, on est pas sur MSN là...

C'est marrant quand même, cette section est le temple de l'écriture correcte du fofo, et un gugus vient y écrire en chat-speak...

Quand à l'histoire, j'adore toujours autant !

Un peu de lyrisme, histoire de bien décaler par rapport à la psychologie, est une super-bonne idée, et donne un goût inimitable à l'histoire !

J'attend la suite.

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  • 2 semaines après...

Et bien voila!! sorti de mon mutisme je vous ponds une petite suite. ^^

mais je suis tout triste, personne n'a trouvé ma répférence biblique du précédent épisode...

"Bah koua? Garhbriel ki fé le so de l'anj' sa fé l'okhanj' Garhbriel non?"

bon d'accord j'arrete.

pour ce qui est du texte qui suit, je suis moins satisfait de cet épisode que des précédents.. mais c'est plus compliqué de faire avancer l'histoire en racontant des anecdotes orkoïdes que de ne raconter que les anries qu'ils font a longueur de journée. donc , encore une fois, besoin de avis..

PARTIE VII : Murs de pierre.

Le grondement des gravillons projetés avec force contre la tôle des garde boue s’ajoute aux bruits habituels du voyage : le hurlement rauque de moteurs, et ceux, a peine moins rauques, des boyz, les ordres des chefs d’équipe, les couinements des grots, les bruits étranges qui sortent du « mékatrukk »,…. Les véhicules descendent a toute vitesse la pente pierreuse crée a grand bruit par Korb quelques minutes plus tôt. Les orks, recherchant a ressentir, même infimement, la sensation de béatitude ressentie alors, tirent a la rokett’ sur tous les rochers pouvant représenter une gêne pour la circulation des trukks.

Une pluie de morceaux de roches brûlants et de cailloux tombe sur les passagers des transports, arrachant les chairs et cassants les os, pour le plus grand plaisir de Maghuz qui prépare ses outils, une lueur mauvais dans les yeux, et s’approche de ses patients. Qu’ils soient consentants ou non.

Mais les orks étant ce qu’ils sont, de nombreuses rokettes ratent leurs cibles ou ne partent même pas de leurs lanceurs. Cela force les pilotes, ô combien consentants, a effectuer de dangereuses manœuvres. Dérapages plus moins contrôlés, crissement de pneus et courses improvisées se succèdent, offrant aux conducteurs des engins brinquebalants la dose d’adrénaline qui leur manque depuis leur entrée dans les rochers.

En quelques minutes a peine, les orks sont au fond du ravin, grisés par la vitesse et abrutis par les vibrations que le mauvais terrain leur a fait subir. Le « tapp’ku » comme ils l’appellent.

Ghrimrok n’a pas à se poser la question de savoir quelle direction prendre. En effet, la chute de centaines de tonnes de roche a complètement comblé le canyon. Une seule voie s’offre a lui. Et il en est très satisfait ! Le gros ork accélère encore, la bouche entrouverte par un large sourire permis par l’absence de poussière, le vent étant bloqué par l’éboulement.

Au fond du ravin, l’air est immobile entre les hautes parois de pierre. Le silence n’est brisé que par l’éclat soudain du bruit d’un automatik’ manipulé par un boy motivé. Tous les sons sont étouffés, paraissent comme absorbés. L’atmosphère semble avoir une consistance particulièrement lourde.

Mais cela n’effrite même pas le moral de la bande. Les boys ont encore les veines gorgées de l’adrénaline générée grâce aux explosions et à la vitesse. De plus ils s’amusent beaucoup à observer les « soins » que prodigue le médiko, une activité bruyante, aléatoire, et sanglante. Typiquement ork en fait. Seuls les « patients » ne partagent pas l’hilarité générale…

Korb quand a lui profite de sa toute nouvelle notoriété. Aux yeux de ses congénères, il est passé de l’état de « fou dangereux » a celui de « génie particulièrement dangereux ». Et c’est avec un entrain renouvelé qu’il met au point de nouveaux explosifs qu’il pourra revendre une fortune en dents, une fois rentré à la ville.

****************************************************

Jusqu’au soir, les roches rouges ne laissent place qu’a d’autres roches rouges. Et les boys, a qui Ghrimrok a promis des montagnes de butin, commencent a se poser des questions. Le fameux vaisseau n’est-il qu’une légende ? Le boss se serait-il trompé ?

Un boy, certainement moins futé que les autres, a même commencé à poser des questions sur le but de la vie. Les quolibets et coups de bottes de ses camarades le ramènent vite à la raison. Tous les orks savent que si ils vivent, c’est pour avoir la possibilité de mourir dans une bonne bataille. Si possible ivre et dans un véhicule lancé a grande vitesse.

La baisse rapide de la luminosité annonce la fin de la journée, et de l’étape. Le boss ordonne de dresser le camp et les boyz, finalement sensibles au coté oppressant du lieu, s’exécutent avec un enthousiasme relatif. Même les baffes que distribue Ghrimrok pour rappeler « ki sé eul’chef », ou les dernières prescriptions prodigués par Maghuz semblent sans entrain…

Après une soirée rapidement bouclée et sans les festivités habituelles, le silence tombe enfin sur le campement alors qu’un sommeil agité s’empare des peaux vertes. Le froid glacial de la nuit du désert descends sur le groupe de tentes et une rosée étincelante se forme sur les pans de cuir qui les compose.

---------------------------------------------------

Ghrimrok saute sur ses pieds, réveillé par des bruits de combats. Son gro’kikoup’ déjà en main, le gros ork sort de sa tente. Mais dans la nuit sans lune du fond de la crevasse, il n’aperçoit que des ombres mouvantes dans le camp. Et les flashs produits par les sporadiques tirs de fling’ lui laissent des images gravées sur la rétine. Avoir à se battre contre un ennemi inconnu ne le tente pas du tout.

Soudain, une violente explosion retentit, éblouissant le boss. Un trukk vient d’exploser. La lumière du feu éclaire les assaillants. Des mutants !

Les mutants. Des dizaines de mutants. Quelle qu’ai été leur forme originelle ont subi des transformation aussi diverses qu’impressionnantes. Et ceux la possèdent une force et une rapidité impressionnante. Ils jettent leurs pattes griffues vers les boyz de toute la puissance de leurs muscles hypertrophiés, et creusent des sillons sanglants dans les chairs a la peau verte.

Un frisson d’inquiétude parcourt Ghrimrok. Ses boys ont été pris par surprise. La plupart sont encore a moitié endormis. Presque aucun n’a eu le temps de prendre son équipement tant l’attaque a été soudaine. Et ils se battent contre des créatures au faciès déformés et suppurants. Certains ont même des moignons ressemblant a des orteils au milieu du ventre.. L’odeur de la peur commence doucement a se mêler a celles de la poudre et du sang. Les mutants le sentent et, tels des animaux sauvages, sont excités face a cette proie. Ils sentent que rien ne pourra les empêcher de manger ce soir. Les combats gagnent en intensité…

Les orks commencent à perdre pied.

Le boss ne peut y croire.

Il ne veut pas y croire ! SA bande ne peut pas plier face à un ramassis de tas de chairs ambulants !

Ses boyz sont dépassés. Ils vont se faire déborder. Il ne peut pas les laisser faire. Il n’est pas le chef d’une bande de minables. Et il a bien l’intention de le prouver.

Tel une incarnation de la fureur de Gork et Mork, il se jette au milieu des ennemis, taillants de tous les cotés, ses yeux rouges luisants dans la pénombre.. Le rugissement de sa hache tronçonneuse en mouvement continuel sonne dans l’air comme un chant de guerre. Il hurle de toute la puissance ses poumons :

-« WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGH !!! »

Le cri du guerre de leur terrible commandant leur parvient juste a temps. L’ardeur combative naturelle des orks reprends le dessus et le front se stabilise, les combattants répliquant a chaque coup reçu. Puis, un par un, les boyz se joignent au cri de bataille du boss. Toute la bande hurle maintenant sa rage et sa soif de combat. Malheureusement, de nouvelles bandes de mutants arrivent encore, marchant presque sur leurs congénères pour pouvoir se battre. Les espoirs de victoire des orks s’envolent au rythme de l’arrivée des créatures.

Soudain, les créatures décérébrées s’arrêtent, totalement subjugués par Tark. Le jeune ork flotte à une dizaine de centimètres au dessus du sol, des fines lignes d’énergie courant sur sa peau, des éclairs verts partant du bout de ses doigts et les yeux comme deux puits de lumière verte.

Le temps reste suspendu quelques secondes.

D’un coup, son aura, telle une nova silencieuse, explose en un nuage de lumière vert pale. Cette atmosphère englobe toute la bande.

Les secondes s’envolent dans le silence général.

Tous les orks l’ont senti. La soif de se battre et de gagner de toute leur race parcours leurs veines. Un sentiment plus fort que tout ce qu’ils ont pu ressentir auparavant. Les boyz ramassent tous ce qui leur tombe sous la main : fling’, kikoups, pierres, membre d’un ennemi, chaussure, grot,… Dans une communion parfaite, alors qu’aucun ordre n’a été donné, les peaux-vertes se ruent sur leurs assaillants encore accaparés par la beauté primale des lumières en poussant un magistral : « WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGH !!! »

Les boyz furieux sont comme une avalanche de lames, de plombs et de coups. Même les grots, entraînés dans la frénésie du combat, mordent, griffent et mettent leurs doigts dans les yeux de ceux de leurs ennemis qui en ont. Les mutants l’ont senti. Malgré leur nombre, ils ne sont plus les prédateurs. Dorénavant, ils se battent pour leurs vies. Utilisant cette énergie du désespoir, les grotesques créatures deviennent frénétiques et répondent a la cascade se métal et de pierre par une cataracte d’ivoire. Les griffes et les dents fusent contre les orks. Mais elles se brisent sur les plaques de métal qui garnissent les habits des orks, les pierres et les kikoups’. Ce n’est plus une bataille mais un carnage. N’importe quel combat mené dans l’obscurité ambiante et la vive lueur des flammes aurait vu les combattants frapper leurs amis par erreur. Mais les boyz, grâce au pouvoir de la waaagh, ressentent leurs compagnons auprès d’eux comme ils sentent leurs membres et font ainsi preuve d’une redoutable efficacité. Ils s’enfoncent rapidement au cœur du groupe de mutants, faisant voler chairs sang et tripes dans une frénésie mortelle que Tark entretient de son aura, plus puissante que jamais.

Quelques minutes de carnage plus tard, les orks sont calmés. La lueur des flammes se réfléchit sur le sang dont ils sont couverts et projette des ombres pourpres sur les murs de pierre. Ghrimrok qui reprend ses esprits rapidement commence à donner des ordres. Le temps que le cœur du boss retrouve un rythme normal, des orks reviennent avec les informations qu’il a demandées. Deux de ses boyz on compris le sens de la vie a leurs dépends, un trukk a été détruit, et brûle encore, Tark est inconscient et quelques caisses de nourriture trempent dans le sang des mutés, et sont donc inutilisables, même pour des peaux-vertes.

Le boss est plus énervé de s’être fait prendre par surprise que des pertes qui sont, au final, bien faibles. En revanche, la jeunot débile s’est avérée être un bizzarboy, et un qui ne meurt pas a la première utilisation en plus. Décidément, il a eu de la chance avec ses nouvelles recrues.

Ghrimrok doit se passer les nerfs sur quelque chose, et tuer un de ses boys n’arrangera pas leur situation. Il ne lui reste qu’une chose a faire : trouver le repaire des mutants. Et vite !

-« Allé les boyz ! On remballe tout et on s’kass’ ! On va trouvé lé mutos et on va leur fair’ leur fèt’ » crie le boss en essuyant la selle de son énorme moto de guerre éclaboussée de sang. Quelques instants plus tard, Korb a installé des nouveaux projecteurs sur les véhicules et tout le matériel est prêt à être emporté. Les boys s’installent a bord des transports, un peu plus a l’étroit que dans la journée mais, grâce aux trukks volés aux mékaboyz, ils ont encore suffisamment de place.

Lorsque les véhicules redémarrent, l’envie d’en découdre des orks est palpable. Zagor et son trukk prennent la tête de la file et foncent dans la nuit. Il s’en va en éclaireur. Maintenant qu’il est équipé correctement il espère vraiment tomber sur une autre meute de mutants. Les autres véhicules avancent plus lentement. Les projecteurs mobiles lancent leurs faisceaux de lumière qui viennent lécher les parois, à la recherche d’un quelconque ennemi. Les boyz se tiennent prêts, les kikoups a demi sortis de leurs fourreaux, et leurs armes prêtes à tirer.

Quelques sombres instants plus tard, le ronflement du moteur du véhicule du jeune boy se fait entendre. Sautant du véhicule en marche, le boy s’approche de son chef :

-« Boss ! Enkor kek’ virages et on arriv’ dan zun gran truc… Sa brille bizar’ au miyeu. Doit être eud’la qui viennent lé mutos.

- Oké. Allé lé boyz ! Reprends-t-il en hurlant. On va dans’gran truc et on lé latte ! Et apré on va cherché s’vésso et on sra riche ! »

Ghrimrok ponctue la fin de sa phrase du « tac ! » caractéristique de sa poignée des gaz arrivant en butée. La moto de guerre s’élance entre les falaises dans un cri digne des plus grands prédateurs ! Les boyz, soulagés a l’idée d’avoir enfin une baston digne de ce nom a mener, retrouvent leur gouaille habituelle et profitent du temps de route qui leur est offert pour boire, hurler des obscénités et en écouter l’écho, et tester la résistance à la friction d’un grot sur la route pierreuse. Très faible résistance d’ailleurs.

Comme annoncé, quelques circonvolutions du canyon plus loin la bande arrive dans le « gran truc ». En fait, un cirque naturel, dont les limites sont d’immenses parois de roche rouge, et le fond une cuvette a la pente douce. Le centre de la cuvette est occupé par une fosse d’où émane une lumière sinistre aux pulsations inquiétantes. Des cris et des bruits, dont il vaut mieux cacher l’origine, sortent de ce cloaque fumant. C’est l’antre des mutants. Mais les orks sont captivés par autre chose.

La taille du cirque permet à la lumière de la lune d’atteindre le sol. Or, a l’opposé de la position de la bande, cette lumière miroite sur de nombreuses arêtes et se réfléchis sur tout autant de surfaces. Du métal. Et vu la taille de l’objet ça ne peut expliquer qu’une chose. Ils ont trouvé leur vaisseau.

Ghrimrok affiche un sourire ravi. Mais il est chef. Et il se doit d’avoir l’air irascible en toute occasion.

-« Sa va chier ! Non seulman y m’empech’ de digéré mon squig pèpère, mé en pluss’ y s’installent a coté de MON matoss ! »

Tous les êtres vivants présents le sentent. La fosse sera bientôt remplie du sang de ses occupants.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

voualaaaaa..

a vos clavier ! je suis a peu pres certain que cet épisode la ya des trucs a dire dessus.

Petit ajout , destiné a ceux qui me lisent et qui seraient dessinateurs ===>lisez ceci SVP

a bientot (hem.. ) pour la suite

bembp: yéti quand meme content de lui

Modifié par bembp
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Et bien voila!! sorti de mon mutisme je vous ponds une petite suite. ^^

Deux récit, Raukoras et bempt...D'un coup...Vous voulez que mon pauvre petit coeur flanche c'est sa heing?

Je vous mets au défit de me tuer par bonne nouvelle interposé (si sa peut vous insiter à sortir de votre mutisme :whistling: ).

mais je suis tout triste, personne n'a trouvé ma répférence biblique du précédent épisode...

Pu***! Je me disais bien que yavais un truck bizard! :wink:

La preuve est faite : je suis un boulet! :)

(comment sa vous aviez pas besoin de preuves? :wub: ).

pour ce qui est du texte qui suit, je suis moins satisfait de cet épisode que des précédents..

Pas vraiment d'accord. En fait si ya le tout premier pargraphe de 4 lignes que je trouve moyen. Disons que une de tes forces c'est que tu as de bonnes entrées. Sur beaucoup d'auteur du fofo, faut (fofofo! :) ...Hum pardon) relire un peu la fin pour renter dans le début, et ceux même quand ils ont visiblement essayé de faire un début accrocheur...Toi non, et ceux même quand tu n'essaye pas. Bah là, l'entrée est moyenne. Le passage au milieu avec les lutant mutans(heu...), qui est plus sérieux, ne gêne pas à l'athmospère générale, qui est plus a la grosse poilade(d'ou je sors cette expression moi?).

Faudrait un début plus percutant, avec du drôle dedans, pour que l'on est déjà le sourrire au lèvre pour préparer le vraie rire qui viendra ensuite.

Par contre la partie sérieuse du milieu à beau être sérieuse, elle est excellente : sa ressemble à un deus ex machina quand le bizard boyz commense son action qui sauve la bande...Mais grâce à une suite plus calme qui donne le temps de digérer le temps fort, on se retrouve à comprendre que c'était au contraire une suite logique, inévitable...Très très bon donc.

De façon générale, ton récit est un peu plus "sérieux"(mais toujours aussi sérieux, tu m'suis? :clap:), mais tout en gardant l'esprit ork...Et c'est un choix qui se défend. Faut juste prendre garde à ne pas trop partir dans le mode "Gaskull" (heu, je sais plus comment sa s'écrit...'fin bon l'ork trop sérieux avec un cerveau en adamentium).

Pasiphaé, je commente, je commente, parce que tu n'es pas satisfait, donc j'essaye d'aider (c'est sa qui est bien quand on sort pas ce que l'on écrit et qu'on fait que commenter :nuke: )...Mais en fait c'est toujours très bon!C'est juste un peu plus dure à sortir,sa arrive!

Courage mon ours blanc! (à si seulement tu était un taureau :) ).

Modifié par Pasiphaé
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apres tant d'attente je m'atendai a trouver une foule en délire.. mais je ne plais plus.. c'est un fait

faut que je me fasse un lifting une coloration et un clip avec lpleinn de danseuses légerement vétues ^^

bon y faudrait vraiment que j'arrete mes aneries je vais finir par me faire modérationner..

plus sérieusement. Avec ta remarque pasi c'est la que je vois que le texte suit vraiment mon état d'esprit. j'ai eu un mel de chien a me relancer dans l'écriture. ça doit etre pour ça que le début rame un peu.

et encore je l'ai retouché apres a voir fini!!

pour le coté sérieu de l'histoire... c'est difficile , meme pour des orks , de pas etre sérieu quand on est au fond d'un canyon sombre et glauque et qu'on se fait racler la couenne apr des mutos de tous poils..

pour le coté grosghazkullbillesque je pense que ça n'est pas pour tout de suite... Ghrimrok n'est encore qu'un boss de bande( qui promet , mais kan meme) ça veu dire une petite trentaine de billous débiles et bornées...

et meme si dans la fosse ya beauuuuuuuuucoup de mutants il va trouvé une solution pas du grosghazkullbillesque ( c'est fou ce que j'aime cette expression ) avec l'aide de son vieu potot Garh'Zed qu'on a pas vu depuis longtemps .. Ho .. oups .. j'ai donné quelques détails de la suite.. quel maladroit.... Mais qu'est-ce donc que cette idée géniale ( bon ça reste ork quand meme ..)

bembp : Yéti qui aurai pas du faire 2 nuits blanches alcoolisées d'affilée

PS: oui je sui un ours.. donc respecte ma pu..ain d'autorité de grosse bete poilue qui pue qui tue et qui sent muvais entre les dents.

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Cette partie m'a laissé mi-figue, mi-raisin.

On y retrouve ton style, ton humour, mais la ficelle du "on nous attaque, on les poutre, et on les poursuit pour remarque qu'ils habitent sur l'objectif"....ben, ça le fait pôô :sorcerer:

D'un autre coté, t'as fais avancer l'histoire, et tu pourras recomencer les orkeries dès que le vaiseau sera récupéré.

Hein, dis le, dis le qu'ils vont recommencer à faire n'importe quoi nos orks préférés !

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oui je te comprends bien..

mais 300 pages ou des orks font des couennerie en haut d'une falaise... c'est pas pour le lecteur que c'est dur.. c'est pour l'auteur.. :sorcerer:

et oui il faut bien que je fasse avancer l'histoire

et (oui encore et) si toute labande meurt .. bennn ça veu dire la fin de l'histoire aussi... tiens?? fau que jme souvienne de ça moi

et derniere précision , j'ai enfin réussi dans cet épisode a mettre des roles a tous ceux que j'ai nommés. maintenant que je suis déchagés de ça ( et que j'ai un bizarboy sous la main) je vais pouvoir faire avancer ma bande de billous dans leur destin ki déchir'. avec plin de coeunneries au milieu bien sur :sorcerer:

valaaa mais merci raukoras.. mon prmier com' véritablement négatif... RHAAAA.. ça fait du bien.. :sorcerer:

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Invité Acereth Na Psorn

Même si le rythme était un peu plus poussif que dans les précédentes parties, j'ai quand même bien aimé.

"Un bizarboyz qui explose pas à la première utilisation" :sorcerer: Ca me rappelle une vieille figouze collector avec deux orks en train de tirer avec un bizarboyz ligoté!

Un mediko, un mek, un bizarboyz et un boss, la bande a tout ce qu'il faut maintenant, ça sent des nouvelles théories des magos de Mars sur la mutation spontanée des orks en groupe... Bien intéressant en tous cas...

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Invité Acereth Na Psorn

On y retrouve ton style, ton humour, mais la ficelle du "on nous attaque, on les poutre, et on les poursuit pour remarque qu'ils habitent sur l'objectif"....ben, ça le fait pôô :whistling:

Peut-être que c'est flex mais au moins ça fait bien ork...

Au fait, c'est un vaisseau quoi? Impérial? Eldar? Chaoteux? Ou encore autre chose de plussss mystérioux???

T'aurais peut-être dû détailler un peu plus le mettage sur la tronche avec les mutants, parce que là, par rapport aux autres poutrages de nos orks, ça fait un peu pauvre, et pis le boss qui se sent flasque contre dix, quinze mecs tout verts avec trois orteils sur le nombril, c'est moyennemnt crédible après l'avoir vu marraver le mekaboss...

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arf maintenant j'ai trouvé pourquoi ça me plaisait que moyennement...

je n'ai pas assez bien rendu l'effet: " les orks on la tete dans le ... , ils n'ont pas leur matoss, le boss il a que son kikoup' , kifouett' est dans sa cage, et ya beauuuuuuuucoup de bêbête avec 3 orteils sur le nombril... "

j'hasite a reprendre ce chapitre.. je suis déja sur la suite... bon bah ça sera ça la surprise.. leretravail ou la suite

bonne journée

EDIT: 1000 lecteurs déja.. Knif kniiiiff.. merki

EDIT 2 : en fait j'ai eu le courage de reprendre un peu le texte, maintenant que j'ai vu le gros probleme. j'ai surtout repris la scene du combat , le scénar restant le meme, car oui, je trouve ça tres ork d'aller tabasser ceux qui nous ont sauté dessus pendant la digestion. :whistling:

Modifié par bembp
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Invité Acereth Na Psorn

Je viens de relire ton dernier chapitre, et ben là, là c'est tout bon!

On retrouve la tension et le rythme trépident des autres chapitres. Au moins on a aussi des vrais mutants balèzes....

Avec des orteils dans le nombril.... :)

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Invité Bloodyguard

Bon un peu en retard moi,

je viens de lire tes deux derniers texte et ..............J'AIME! :P

Il y a un ou deux truc qui m'ont un peu dérangé mais le texte est toujours aussi bon et donc ça passe

Le grondement des gravillons projetés avec force contre la tôle des garde boue

C'est un peu lourd et j'aurais pas parler de grondement.

la pente pierreuse crée a grand bruit par Korb

Pente pierreuse je trouve que ça le fait pas trop, abrupte peut être?

recherchant a ressentir, même infimement, la sensation de béatitude ressentie alors,

Là je dois avouer que j'ai pas compris grand choses!

Comme tu vois c'est pas grand choses.

Ensuite le reste notamment vers le combats avec les mutants tu changes un peu de style mais ça reste agréable à lire et captivant donc c'est bon non?

Sinon j'allais oublier... ON VEUT LA SUITE !

Bloodyguard, qui veut condamner le yéti à l'écriture à perpétuité!

Edit : bon si tu le dis mais l'idée me tentais bien moi ^^

sinon pour la béatitude ce qui me dérange c'est que tel que je comprend la phrase il cherche à ressentir ce qu'ils ressentent...

Modifié par Bloodyguard
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Invité Acereth Na Psorn

Fais gaffe! il paraît que c'est ce qui est arrivé à Gavin, qui, enchaîné à sa chaise avec un stylo greffé entre les doigts, tente vainement d'appeler à l'aide en écrivant des inepties dans l'espoir qu'un zobbyiste averti viendra à son secours! Faudrait pas qu'il arrive ça à notre yéti préféré!

le truc de la sensation de béatitude, ça veut dire que les orks veulent sentir à fond à fond à fond l'ivresse de la vitesse!! cependant il est vrai que dans cette phrase tu répètes le verbe "ressentir", et deux fois en une phrase, c'est trotro!

edit: c'est vrai, s'ils veulent ressentir ce qu'ils ressentent, alors c'est encore mieux, car là, ils sont AWAAARE! Ils peuvent compresser autour de leur enveloppe les sensations pour ensuite les amoinsdrir, ainsi ils ont le brain qui enmagasine avec intensité d'autres sensations car elles passent de l'environnement de leur enveloppe à l'intérieur de leur brain, et ça, c'est a very strong feeling! aware, vous dis-je, aware....

Modifié par Acereth Na Psorn
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hmm?? hein?? QUOUA?? une récapépétitation??? RHAAAAAAAAAA

dire que je leur fait la chasse est un faible mot alors que j'oublie celle la , qui est quand meme grosse... bon bah y me reste plus qu'a aller faire des bizoux a un squig mange face....

pour l'écriture perpétuelle.. heuu.. molo la .. j'ai réussi a recommencer a avoir une vie sociale j'aimerais assez continuer....

(et vgdc qui me relance dans mes penchants tordus de vouloir me faire une nouvelle sur un eversor... )

bon sur ce petites nouvelles du front. mon prochain épisode sera plutot long et (n'en déplaises aux adorateurs de l'épisode en haut de la montagne) fera avancer l'histoire. donc je le travaille beaucoup et ça va prendre un peu de temps. Et vu qu'a chaque fois que je le retravaille je rajoute des couenneries vous allez pas vous plaindre non plus.. Non mais ho! ça va quoi!! je suis pas une machine!! Ni un Gaouine ( quoique il y ai quelques similitudes ^^)

enfin derniere nouvelle , le travail d'écriture devrait aller plus vite car.....

J'AI RECU MON EEEPC! WAIIIII \o/

oui je sais je fais de la pub mais je l'aimheu.. pi je pourrais ecrire dans le bus maintenant. :P

a peluche

Bembp : Yéti qui pour une fois regrette d'avoir des gros doigts.... c'est petit un clavier de eeepc

Modifié par bembp
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