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DwarfKeeper

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Tout ce qui a été posté par DwarfKeeper

  1. Bofin entra enfin dans la tour, suivis de près par des marteliers enragés, qui ne désiraient qu'une chose : faire payer leurs ennemis pour la mort de tant de leurs frères. Le seigneur nain chercha du regard un adversaire à sa mesure. Une horreur lui bondit dessus, et c'est nonchalament qu'il la renvoya dans le warp d'un revers de son arme. Ses marteliers semèrent la mot dans les rangs mouvants des guerriers du nord, mais ceux-ci, habitués depuis leur prime enfance à des massacres d'une telle ampleur, ne rompirent pas le combat. Au contraire, ils se jetèrent avec fureur sur les nains, certains s'empalant délibérément sur les pointes des marteaux nains pour que leurs compagnons puissent passer la garde de l'élite de l'armée naine. Soudain, un immense hurlement retentit dans la tour lorsque le plus gros orque noir que Bofin ait vu durant sa déjà longue vie entra dans la pièce centrale, entouré de ses gardes du corps. Le dernier acte se joue mainteant pensa le nain... Zarack hurla de rage lorsque le char percuta les courageux guerriers qui s'étaient interposés entre eux et l'enclume. Plus de la moitié de ces fiers nains gisaient au sol, et les autres furent fauchés par les chars en furie. Pas un n'en réchappa. Il était le prochain... Un éclair s'abattit sur les orques, transformant trois d'entre eux en torches vivantes. Du coup, Gisgit estima qu'il était plus prudent de rentrer dans la tour... on ne sait jamais. Dès qu'il mit le pied à l'intérieur de celle-ci, le chamane gobelin regretta immédiatement son geste courageux. (ou inconscient, c'est selon!) Le sol était couvert de corps démembrés. De véritables fleuves de sang coulaient entre les jambes des guerriers encore debout, dont le nombre décroissant témoignait de la férocité du combat. L'élite des trois armées s'affrontait dans un ballet mortel, où chaque acteur exécutait les pas rituels de cette danse morbide qu'est la guerre. Chaque coup, chaque riposte brisait une vie, emprisonnait une arme. Tel était le prix de la vallée. Mais ces guerriers se souvenaient ils de l'objet de leur quête? Car seule la haine d'autrui se lisait sur leurs visages, et non la promesse d'une vie éternelle et paisible. Gisigit secoua la tête. Que c'était-il passé? D'où lui étaient venus ces term... ces mo... ces choses qu'il avit dit dans sa tête? Peu importait. Rassembalnt ses pouvoirs, il tenat de terrasser un nain à la brabe particulièrement impressionante, mais le chaos de la pièce le déconcentra. Alors qu'il s'appretait à opérer un repli startégique, il vit son Big Boss défier celui qui sembalit être le chef des nains... Bofin para et riposta. Déjà, l'orque avait réussi à passer sa garde par deux fois. Du sang coulait dans son armre là où l'impressionant hachoir de son adversaire avait percé son armure runique. Lui même avait touché le colosse noir, qui souffrait de multiples blessures. Mais cette monstruosité ne semblait pas faiblir. Le vieux nain aperçu cependant une faille dans la garde de l'orque. Se déplaçant avec toute l'adresse dont les nains savent faire preuve, Bofin esquiva une attaque de son adversaire et se porta sur sa droite. Lorsque l'orque se replaça vers son opposant, Bofin passa sous la garde de l'orque noir, s'appretant à asséner un énorme coup à son opposant. Hélas, le vieux nain glissa dans une flaque de sang, et chuta au sol. Il tenta désespérément de se remettre debout, mais enchassé dans sa lourde armure, c'était impossible. Tranquillement, dans un rictus mortel, l'orque noir posa son pied sur le poitrail de son adversaire. Une seconde s'écoulla, pui il abattit son immonde hachoir. Bofin trouva la situation assez intriguante. Comment pouvait-il voir son corps et l'orque noir de la là où il était. Et où était sa tête? un voile noir lui recouvrit les yeux, quelques secondes après sa mort... Zarack ressentit au plus profond de lui la mort de son frère. Les larmes ne coulèrent pas le long de ses yeux. Il n'avait que trop pleuré. Déjà, les chars tant maudits se redirigeaient vers lui. Peu lui importait. Car ils n'arriveraient jamais à lui. Il abattit son marteau sur l'enclume, et une éruption de terre jaillit sous l'un d'eux, le renversant dans sa course et tuant ses passagers. Dans le même mouvement, il forgea la rune de feu sur l'enclume. Au dernier moment, il retint son bras... quelques secondes s'écoullèrent, et le char fonçait vers lui à toute allure. Ses deux aides se plaçèrent devant lui, jetant des regards inquiets par dessus leurs épaules. Zarack repensa à Bofin, son frère, son ami. S'il ne pouvait pas abattre le responsable de sa mort, au moins il ferait payer tout ceux qui se dresseraient devant lui. au moment où le char aller percuter l'enclume, Zarack Battlehammer abaissa son marteau. Seules quelques flammèches vinrent lécher les armures finement ciselées des gardes de l'enclume. Le char n'était plus.
  2. Tout est dans le titre. Vu le temps passé depuis nos derniers travaux sur la matière, il serait pertinent de dépoussiérer nos dernières interventions. Pour ma part je m'étais attaqué aux bannières d'honneur et de déshonneur et au système magique (bien que ce dernier était pratiquement terminé grâce à la collaboration de... enfin du gars qui a une tête d'orque en avatar). DwarfKeeper, nain avec une amnésie passagère.
  3. DwarfKeeper

    Les Exilés

    Rassures toi mon bon Feunard, la fin est déjà prévue dans les grandes lignes! Mais je ne compte rien révéler pour le moment. Alors plutôt que de patauger dans la boue de mes élucubrations écrites, profittes donc du récit pour passer par l'auberge du Cochon joyeux, et commande donc une bière aux épices d'Orient, ou alors de la liqueur de cerise, et prends ton mal en patience assis au coin du feu, à écouter le chant des troubadours. (si le gros Wilfried daignes te laisser en paix) Car bien que j'aime les nains, ceux-ci sont bien évidemment malchanceux. Et leur périple est loin de prendre fin, tout comme leurs tracas!
  4. DwarfKeeper

    Les Exilés

    Merci merci pour ces encouragements! Ca fait chaud à mon petit coeur de nain. Feunard, pour répondre à ta question, je n'ai qu'une source de connaissace pour les nains : mon incroyable imagination. B) Denethorn se frotta les yeux. Depuis le début de sa garde, il avait eu bien du mal à garder les yeux ouverts. Ce n’était après tout qu’un nanillon de quarante ans, tout comme son frère jumeau. Et ce voyage l’avait épuisé. Cela faisait maintenant deux semaines qu’ils avaient quitté Nuln, et le cœur du jeune nain était empli de chagrin. Certes, jamais il n’accepterait de revenir demander pardon à ses aînés (qui de toute façon se trompaient ! C’était lui et ses deux frères qui avaient raison, comme d’habitude !). Mai pourtant, sa demeure lui manquait. Ici, ce n’était que pluie et grisaille. Et cette forêt dans laquelle il campait ne le rassurait absolument pas. S’étirant les jambes, il se remémora la dispute de cet après-midi entre Franz et les convoyeurs de chariot. Ceux-ci avaient refusé de faire un pas de plus tant que Franz ne les aurait pas payés. Celui-ci était devenu furieux, hurlant qu’ils allaient avancer de gré ou de force pour quitter cette maudite forêt, puis qu’ensuite ils aviseraient. Mais la pluie s’était mise de la partie, et avait détrempé la route. Nombre de chariots s’étaient embourbés, et les convoyeurs avaient refusé de les sortir de là. Franz dut céder au bout d’une heure mais il était trop tard, et la nuit arriva, bloquant les chariots dans une prison de boue, au milieu d’arbres tous plus inquiétants les uns que les autres. Denethorn n’aimait pas les arbres. Il n’aimait pas non plus les bruits de la forêt. Zamiel aurait voulu prendre la garde de son jeune frère, mais celui-ci avait refusé. Par Grungni, j’ai ma fierté pensa t-il en souriant. De loin en loin, il voyait les autres gardes du convoi. Ceux-ci aussi semblaient fatigués, mais Denethorn reconnu quand même que les humains avaient une certaine discipline. Du moins les hommes de Franz. Les autres humains, les convoyeurs, les marchands, n’étaient qu’un ramassis de racaille ne cherchant que la première occasion pour ‘enfuir les poches pleines d’or. Le nain ricana en imaginant la surprise qu’aurait l’un de ces humains s’il tentait de les voler. Soudain, un battement d’aile fit se retourner Denethorn. Il scruta les ténèbres, le cœur battant, son marteau à la main. Quelques secondes passèrent, qui lui semblaient des heures. Puis il vit une chouette s’envoler, poussant de gutturaux hululements. Le nain soupira. Maudite forêt. Maudits arbres. Maudite pluie. Maudite chouette. Alors qu’il allait se rasseoir, les premiers cris éclatèrent. * * * Franz était furieux. Assis dans un chariot, avec ses lieutenants, il consultait une carte à l’aide d’une lampe à huile qui émettait plus de fumée que de lumière. « Nous avons plus de deux jours de retard constata l’un des hommes. Franz hocha lentement la tête. Dimitri, qui était le plus jeune du groupe, ne faisait que dire tout haut ce que les autres pensaient tout bas. - Combien de temps encore pour sortir de cet endroit demanda un grand balafré sur la droite ? - Encore une demi-journée en temps normal. Avec cette route détrempée, seul Sigmar le sait. Au pire, deux jours. Franz était furieux. Lui qui était l’un des maîtres de l’arnaque et de l’embrouille, il s’était fait avoir comme un jeune morveux par ces maudits convoyeurs. Il savait qu’il serait obligé de les payer (encore !) s’il voulait que le convoi reparte. Mais cela allait lui revenir cher. Il commença à réfléchir à un moyen de soutirer plus d’or aux nains lorsque Dimitri reprit la parole. - Certains des chariots ont vu leur cargaison pourrir Franz. Peut-être faudrait-il la jeter pour mieux répartir la charge des autres chariots. Ainsi on sortira plus facilement de ce guêpier. - Dimitri, jeune imbécile lança le balafré qui répondait au doux nom de Gueule en biais, même si c’est pourri, on peut le vendre. Caché au milieu des autres sacs, ces abrutis de Middenheim ne verront pas qu’on leur sert de la merde. La pluie cessa soudain, et seules quelques gouttes éparses chutaient de temps à autre sur la toile du chariot. Tous à l’intérieur soupirèrent de soulagement. - Ne les sous-estime pas dit Franz. Ces abrutis comme tu dis sont plus malin que vous tous réunis. Mais il est vrai que l’on pourrait vendre cette nourriture. Il y a beaucoup de fous qui se flagellent sur les routes. On pourrait la leur vendre. Il n’y verrait que du feu. - Les flagellants ? Mais ils n’ont rien s’insurgea Dimitri ! - Si. Des icônes. En bon or. Et ça, ça peut se revendre. Franz se mit à réfléchir à son idée. Ce n’était pas mal. Et s’il n’avait rien, il pourrait toujours les encourager à attaquer un village voisin en les accusant d’hérésie contre de la nourriture. Après, ils n’auraient plus qu’à se servir. Soudain, Dimitri bascula en avant dans un râle, l’empennage d’une flèche dépassant de son dos. Noir et rouge. Une flèche gobeline. * * * Au cri de leur frère, Kelethorn et Zamiel bondirent sur leurs armes. Karl, a moitié éveillé, tâtonnait dans l’obscurité à la recherche de la lampe à huile. Zamiel vérifia que son arquebuse était bien chargée, et jaillit de la bâche du chariot pour tomber à côté de son frère. Celui-ci se tenait le bras, le visage crispé par la douleur. Une flèche était plantée dans son épaule. La facture de la flèche et les cris des assaillants ne faisaient aucun doute : des gobelins sur loups. Les hurlements de ces terribles montures et de leurs misérables cavaliers semaient la panique dans le camp. Alors que la garde tentait désespérément de se rassembler, nombre de convoyeurs s’enfuirent dans les bois, pris d’une folle panique. Zamiel ne prêta pas plus d’attention à ces imbéciles : ceux-ci venaient eux-mêmes de signer leurs arrêts de mort. Epaulant son arme, Zamiel tenta de percer l’obscurité ambiante. Pour un nain, habitué aux profondeurs, cela relevait d’un jeu d’enfant. Mais pour un nain des cités, cela était plus dur. Une ombre rapide passa devant lui et Zamiel appuya sur la détente. La détonation qui suivit fut accompagné par un hoquet de surprise et la bruit d’un corps qui tombait au sol. « Un de moins hurla Zamiel ! » Une double détonation se fit entendre au-dessus de sa tête alors que Kelethorn vidait ses pistolets sur d’autres ombres, avec moins de succès que son grand frère. Une nouvelle volée de flèches s’abattit sur le convoi. Il semblait que c’était l’avant qui était attaqué. Les gardes se rassemblèrent en plus en moins bon ordre, et se dirigèrent à grand pas vers le dit avant du convoi. Hélas, la boue gênait leur progression, et la pluie qui se remit à tomber obligea Zamiel à délaisser son arquebuse. La poudre allait mouiller, rendant son utilisation trop incertaine. « Karl ! Aide Denethorn à remonter ! - Je vais bien mon frère ! Je peux me battre ! Le jeune nain tenta de se relever, mais la douleur le figea sur place. - Je le sais bien frère dit Zamiel diplomate, mais il faut quelqu’un pour protéger l’humain » Les nains sourirent au détriment de l’humain, qui prit cependant bien la chose. Au milieu des hurlements des loups, des cris des gobelins et des jurons des nains, Karl remonta Denethorn dans le chariot, avant de saisir l’arquebuse de ce dernier. A l’intérieur du chariot, la poudre ne risquait rien… L’assaut des gobelins était chaotique : ceux-ci s’avançaient rapidement sur leurs loups jusqu’à portée des chariots, lâchaient une volée de flèches avant de se replier. Les arbalètes des humains ripostaient, mais l’obscurité les empêchaient de viser, tout comme les assaillants. Seule la chance faisait qu’un trait atteignait parfois un humain. Mais l’escorte du convoi, dans l’affolement le plus général ne se rendait pas compte de ceci, et tirait au jugé. Les agresseurs arrivaient par vague, un coup à droite, puis immédiatement par la gauche. Les rares carreaux tirés se perdaient dans la forêt, sous les rires moqueurs des gobelins. Soudain, la puissante voix de Franz jaillit. « En formation ! Sergent, reformez vos groupes ! Aux arbalétriers : groupe un, visez à droite, groupe deux visez à gauche ! A mon commandement, feu ! » Immédiatement, la discipline des hommes de Franz reprit le dessus. Par groupe de dix, les hommes de mirent en position de combat. Les arbalétriers firent feu à l’unisson, sans toucher quoique ce soit. Mais ce tir ordonné effaça toute trace de panique dans les rangs des hommes. Les nains pour leur part étaient interloqués. Pourquoi les gobelins se concentraient-ils à l’avant du chariot, là où la résistance était la plus dure ? Ce n’était pas dans l’habitude de ces créatures, plus lâches que laides… et Grimnir savait qu’elles étaient laides ! Soudain Kelethorn hurla : « C’est l’arrière ! C’est l’arrière du convoi leur objectif ! » Ceux qui l’entendirent se retournèrent. Au milieu de l’obscurité, ils finirent par apercevoir des silhouettes difformes s’éloigner du convoi, chargés de sacs et de coffres, le fruit de leur butin. Au même instant, l’assaut cessa, et les gobelins s’évanouirent dans la forêt. « C’est fini, ils sont partis demanda l’un des rares convoyeurs qui n’avait pas fui l’attaque ? - Non répondit Franz morose. Cela ne fait juste que commencer… »
  5. DwarfKeeper

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    Quelques instants plus tard, Karl rejoignit la queue du convoi, sa monture à bout de souffle. Lui-même paraissait passablement épuisé. Bien évidemment, Franz fut le premier à accueillir l’humain. « Mais qui voilà ! Notre jeune ingénieur ! Comment allez-vous donc mon cher ami ? - Bien bien… un peu fatigué… - Je suppose que votre présence ici, aussi loin de l’école d’ingénieurs, signifie que vous désirez sûrement vous adjoindre à notre petit voyage ? - Euh.. En fait oui. Disons qu’il faut que j’aille rendre visite à mon frère. Des affaires urgentes vous voyez ? - Oui je m’en doute Humain, lança Zamiel hilare lorsqu’il rejoignit les deux hommes, aussi urgent que de mettre de la distance entre vous et Nuln, je me trompe ? - Zamiel ! Content de te voir ! Et bien disons que l’air frais de la campagne ne peut me faire que du bien. - Maître nain, amenez donc ce passager de dernière minute avec-vous, pour que nous puissions reprendre votre route. - Suis-moi Karl. Attaches ta monture au chariot. J’espère que tu as faim mon ami. Nous avons du pain de roc. - Et bien merci pour l’invitation Zamiel, mais j’ai ma propre nourriture. Mais allons, il est vrai que je suis épuisé. - Maître nain, n’oubliez-vous pas quelque chose ? - Qu’oublierais-je humain répondis Zamiel interloqué ? - Cela fait QUATRE passagers répondis Franz dans un sourire. » Zamiel blêmit… * * * Le convoi reparti sur ordre du capitaine marchand. Lentement, la longue file de chariot reprit son chemin, sur un sol cahoteux. Le paysage se mit à défiler avec une langueur monotone au goût de Kelethorn. A l’arrière, ses deux frères et le jeune ingénieur se restauraient. Karl avala un morceau de lard, avant de le tendre à Delethorn. Celui-ci le remercia d’un hochement de tête. « Merci Zamiel. Je n’aurai jamais pu payer sans toi. - Grmmbll, grommela le nain. - Vu le prix dis Delethorn, tu nous dois au moins une explication. - Et bien… oui je vous dois au moins cela. L’humain semblait gêné. Il avala une longue gorgée de bière, avant de tendre de nouveau la choppe à Zamiel, qui la re remplit à la manière naine. A ras bord, sans en perdre une goutte. - Voilà, cela fait quelques temps que je courtise une jeune femme. Elle se prénomme Eleanore. Je l’ai rencontré au cochon joyeux, et il est vrai que je ne la laissais pas indifférente. - C’était cette humaine avec qui tu es souvent parti le soir, pour la raccompagner. - Oui. Enfin pas vraiment pour la raccompagner. - Ah ? Tu la laissais dehors alors demanda Kelethorn qui avait une oreille qui traînait ? - Pas vraiment non… Devant l’air d’incompréhension des jumeaux, et celui hilare de Zamiel, Karl préféra continuer. Et bien il y a trois jours, nous nous sommes retrouvés dans les jardins du quartier de la guilde. La lune venait de se lever, et elle resplendissait d’une lueur magique. On aurait dit une déesse. Karl s’interrompit quelques secondes, rêver, avant de reprendre. - Je l’ai entraîné derrière les saules, près du petit lac, pour que nous puissions échapper à la foule du soir. Ce fut des instants magiques. Mais hélas elle semblait gênée. Je lui ai demandé pourquoi, mais Eleanore refusait de me répondre. J’allais mettre cela de côté, mais malheureusement une voix retentit derrière moi. - « Alors ma fille, voici le fieffé malotru qui vous a mis dans cette situation ? » - Lorsque je me retournais, je vis horreur suprême… le patriarche de l’école de magie de la ville. Marius Flamme-vive. J’en tombais à terre, juste à côté de la mare. - « Je crains jeune homme que vous n’ayez mis ma fille dans une situation fort embarrassante. Et l’embarras à tendance à me faire perdre mon sang froid. » - A oui je me souviens dit Kelethorn, c’est lui qui a été responsable de l’incendie du siège de la guilde des ingénieurs il y quatre ans ! Un jeune ingénieur lui avait manqué de politesse. Il ne s’était pas découvert. - Oui, c’est lui. Bref j’étais totalement paniqué. Je lui ai demandé pourquoi, qu’est ce que j’avais fait de mal. Et là il me répondit : - « Mais jeune imbécile, ma fille attend un enfant. » - Comment demanda Kelethorn ? Mais quel est le rapport avec toi ? Karl regarda Kelethorn avec dépit, avant de continuer. - Je reculais au bord du petit lac en lui disant que ce n’était pas ma faute. J’étais totalement paniqué. - « Il ne vous reste que deux solutions : soit vous épousez ma fille, soit vous mourez. Choisissez. » - Qu’as tu fais demanda Zamiel qui réprimait son fou rire avec grande peine ! - En fait, je lui ai lancé de la boue au visage avant de me jeter dans le lac. C’est d’ailleurs ça qui m’a sauvé la vie, car il a réduit la moitié du jardin en cendre. J’ai réussi à gagner l’autre rive à la nage et à m’enfuir à toute vitesse. J’ai pu rejoindre la guilde et là j’ai pris quelques affaires et un cheval, avant de m’enfuir à toute vitesse. Ce fut d’ailleurs juste car au moment où je sortais, ce maudit magicien arrivait devant les portes de la guilde. J’ai réussi à éviter ses projectiles mais malheureusement, il a juré de me retrouver et de me faire payer. Et je crains qu’il ne tienne promesse. » Zamiel n’en pouvait plus. Il était près à exploser, et s’étouffait de rire. Delethorn et Kelethorn, les jeunes jumeaux eux aussi riaient, bien que ne comprenant pas parfaitement tous les tenants de l’affaire. Finalement, Zamiel leva bien haut sa choppe. « A ta santé Karl ! Pour la peine, je m’estime quitte de notre « petite dette ». Tu m’as bien fait rire. Mais que comptes-tu faire ? - Et bien pour le moment je pense aller chez mon frère quelques temps. Juste histoire que tout cela se calme. » Zamiel vida sa choppe d’un trait avant de se resservir. Hélas, cahot plus gros qu’un autre lui fit renverser une partie du précieux liquide. Et reprenant ses bonnes vieilles habitudes, il se mit à grommeler. Ce fut au tour de Karl de rire.
  6. DwarfKeeper

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    « Et allons bon… » Zamiel se releva, légèrement frustré. Il s’épousseta les épaules avant de secouer Denethorn et Kelethorn, les jumeaux. « C’est bon, relevez-vous… » Les jeunes nains levèrent prudemment la tête et regardèrent le chantier autours d’eux. Leur dernière expérience avait échoué. Ou plutôt avait explosé. Denethorn toussa bruyamment en se remettant sur pieds, tandis que Kelethorn examinait les restes de la machine. Une fois de plus, leur tentative de créer un nouveau chariot de guerre entièrement mécanisé s’était révélé infructueux. Cela ne les dérangeait pas outre mesure car ce n’était pas la première fois que leurs expériences échouaient de la sorte. Mais là, l’explosion avait ouvert une immense brèche dans le plafond de l’atelier… juste au-dessus de la chambre de leurs parents… Et ça, c’était déjà un peu plus gênant… * * * Bofin l’obstiné tapotait des doigts sur la table de la grande salle. Cela faisait maintenant une demi-heure que les trois jeunes nains responsables des dégâts dans SA demeure se tenaient devant lui. Tout le clan s’était réuni pour l’occasion, près de trois cents nains. Zamiel connaissait tous ses parents, et il sut qu’aucun (hormis ceux qui étaient en ce moment même à Altdorf) ne manquait à l’appel. Kelethorn se dandinait d’une jambe sur l’autre, tentant désespérément de cacher sa nervosité. En revanche Delethorn était d’un calme impassible. Le fait qu’il avait reçu un morceau de pierre sur la tête devait sans doute y être pour quelque chose. Zamiel ne put s’empêcher de sourire. Tous les membres du clan Ironfoot avaient un jour ou l’autre commis un impair, et plus spécifiquement avait désobéi au chef du clan pour poursuivre des expériences interdites, ou fabriquer des machines nouvelles. C’est d’ailleurs pour cela que son clan avait dû s’installer à Nuln depuis près d’un siècle et demi. Pour avoir désobéi à la guilde des ingénieurs de Karak Norn et fabriqué des machines à vapeur révolutionnaires. S’était d’ailleurs Bofin qui fut à l’origine de ce bannissement. Bizarrement, Zamiel savait que ce dernier ne tiendrait pas compte de ce facteur là… Il voulut prendre la parole : « Ecoutez mon oncle je… - Te rends tu seulement compte de ce que tu as fait ? - Non mais laissez moi vous expliquer ce n’était qu’un acc… - C’EST TOUJOURS UN ACCIDENT ! C’est la seconde fois que tu me désobéis ! Je t’avais interdit de construire cette machine. Je t’avais interdit de côtoyer ces fous d’ingénieurs humains qui ne savent pas distinguer le plâtre de la poudre ! - Mais mon oncle si on arrivait à construire une telle machine les humains nous… - SILENCE ! Les humains ne feront rien du tout ! Ce n’est pas en désobéissant aux ordres que tu feras quoi que ce soit ! - Mais vous vous avez bien… - MOI C’EST MOI ! FAIS CE QUE JE DIS, NE FAIS PAS CE QUE JE FAIS ! » L’assemblée était silencieuse. Bofin faisait maintenant les cent pas, grommelant dans sa barbe. Tous craignaient la colère du vieux nain. Tous savaient que personne ne pouvait lui tenir tête. Et encore moins gagner. Zamiel chercha du regard un appui dans l’assemblée. Sa cousine Durgrinne, son oncle Zarack, son cousin Dietrich (nommé ainsi pour faciliter le commerce avec les humains), tous le regardaient d’un air accusateur et visiblement énervé. Zamiel sut alors que lui et ses deux frères étaient allés bien trop loin. « La tradition de mon clan reprit Bofin, veut que l’élaboration des machineries revienne au clan des Frappe-marteaux. Ton clan, Zamiel Ironfoot se doit de conserver les secrets de fabrication de la poudre, comme il en est depuis toujours. - Mon oncle, vous savez pertinemment que ces secrets sont depuis longtemps connus de tous. Tous les nains du clan savent fabriquer de la poudre. Les ingénieurs humains aussi. Karl dit que nous devrions… - Un Humain n’a pas son mot à dire ici ! Surtout un Umbaraki ! - Mon oncle… - Silence Zamiel… je t’ordonne pour ton bien de garder le silence… Toi et tes frères allez jurer de ne plus jamais faire d’expériences contraire à la tradition. Vous allez jurer de ne plus revoir cet humain. Et vous allez jurer de ne plus jamais contrevenir aux traditions. Et tu rembourseras tous les frais de réparation. - … jamais… Vous ne pouvez pas m’obliger à jurer cela. Vous ne pouvez pas, je refuse. - Très bien. Je t’exile de ma demeure. Tu devras partir avant ce soir. » Longtemps après, Zamiel, Denethorn et Kelethorn étaient toujours dans la pièce vide. Et ils étaient seuls. Des exilés au milieu d’autres exilés… * * * « Et alors vous êtes partis ? » Les humains posaient décidément des questions stupides. « Bien sûr que nous sommes partis. Que voulais-tu que l’on fasse ? Que nous jetions Bofin dehors ? » A cette idée, Denethorn pouffa dans sa barbe. Depuis leur bannissement, de la veille, le trio de nain s’était réfugié dans l’auberge du Cochon joyeux, le repaire habituel des jeunes ingénieurs de la ville. A cette heure-ci, la taverne était comble, et le brouhaha des voix couvrait sans difficulté la musique des troubadours. Le tenancier se prénommait Gros Wilfried, ce qui était plutôt étonnant au vu de l’apparence rachitique de cet homme. Mais sous ses dehors de sac d’os, c’était un homme affable et de bonne compagnie. Surtout qu’il lui arrivait d’offrir des tournées gratuites aux trois nains, ceux-ci faisant parti de ses meilleurs clients. « Le pire dans tout cela, c’est que Bofin se trompe, assura Kenethorn en reposant son Brock de bière et en faisant signe à Gros Wilfried de lui re-remplir. Cette machine aurait été le clou de notre artisanat! Mais il est trop têtu pour le reconnaître. - Peut-être n’a t’il pas tout à fait tort… avança Wilfried - Non ! Il a tort, mais il est trop têtu pour le reconnaître. - Et si vous lui demandiez pardon ? - JAMAIS ! Hurlèrent Denetorn et Kelethorn à l’unisson, avant d’exploser de rire. » Wilfried s’éloigna du duo pour servir d’autres clients. En lui-même, l’homme souriait en pensant qu’il n’y avait pas plus têtu et plus fier qu’un nain… L’ambiance dans la taverne était des plus chaleureuse. Ce n’était pas un coupe-gorge comme au sud de la ville, ni un bar de la garnison où les rixes entre soldats étaient fréquentes mais bien une taverne de luxe, réservée à une clientèle triée sur le volet. Trois humains en tenue écarlate s’occupait de la sécurité, en empêchant les badauds quelconques et la racaille populaire de rentrer. En fait, la clientèle était surtout constituée de jeunes nobles désabusés, dont certains membres des pistoliers, ce dont ils se vantaient auprès de la gente féminine. Il y avait aussi une très forte proportion de jeunes ingénieurs, venus dépenser leurs pistoles dans ce lieu d’amusement et parfois pour les plus chanceux de plaisir. Parfois quelques nains venaient dépenser leur or, mais cela était assez rare, et seul Zamiel et les jumeaux faisaient exception à la règle. Ce soir là, les reflets de l’âtre illuminaient la scène ou une paire de musiciens tentait désespérément de se faire entendre. Quelques marchands discutaient affaire avec de jeunes nobles pour leur vendre des produits censés être exotiques, et un nobliau de bas étage tentait de recruter quelques jeunes gens pour les éjecter de l’endroit. Un peu plus sur la droite, deux hommes et un nain étaient en âpre discussion. Delethorn remarqua que Zamiel semblait passablement énervé par ce que les deux humains racontaient. A son avis, cela devait porter sur le prix. Au bout de quelques instants, les deux humains échangèrent une poignée de mains, avant que Zamiel ne revienne au comptoir avec le plus petit et le plus maigre des deux. Karl, de son surnom, se prénommait en réalité Dietrich Von Steppendorf, fils d’un noble d’Altdorf. Karl était apprenti ingénieur à l’Académie des sciences de Nuln. C’était un bon camarade, mais un étudiant assez médiocre. Pas parce qu’il n’était pas intelligent, loin de là, mais surtout parce qu’il était passablement fainéant et volage. Plus que les autres humains, il avait beaucoup de mal à rester concentré sur une chose, et encore pire, parce qu’il préférait courir les jupons que de s’appliquer à la tâche. Karl était de petite taille et assez sec. Son visage était osseux, et ses cheveux poivre et sel toujours en pétard. Il était loin d’être beau garçon selon les standards humain, et il ne brillait pas non plus par son courage. Mais il avait quelque chose en lui qui attirait la sympathie des hommes et qui séduisait les femmes. Il savait trouver le mot juste. Et il le savait. « Franz accepte de vous prendre dans le convois qui part après demain. Il fera un petit détour par SchtendenBurg avant de reprendre la direction du Nord pour MiddenHeim. Il vous laissera donc là-bas chez mon frère, qui vous y accueillera. - Tu es sûr qu’il acceptera de nous recevoir comme cela. - J’en suis sûr. Il sait qu’il n’a pas le choix s’il veut rentrer à Altdorf. J’ai les grâces de mon père. Lui pas. S’il veut que je lui glisse un mot, il devra se montrer… coopératif. - Ce n’est pas très gentil tout ça, dit Kenethorn en riant. - Mais si vous voulez faire tout le chemin à pied et dormir à la belle étoile jeune nain, c’est vous que cela regarde ! Je peux très bien dire à Franz qu’il n’y a que trois passager pour… - La peste t’étouffe Karl ! Bois donc et tais-toi ! » La petite compagnie éclata de rire tandis que le gros Wilfried les resservait pour l’énième fois. - Mais combien devra t’on payer, s’inquiéta Denethorn ? - Et bien… commença le jeune apprenti, le capitaine du convois refuse de faire ce détour à moins de 300 couronnes. - COMBIEN ? hurlèrent les jumeaux à l’unisson. - 300. Mais si vous amenez vos armes et que vous participez à l’escorte, le capitaine à bien voulu faire baisser le prix à 200 couronnes… payables à l’avance bien sûr. » Les nains grommelèrent en chœur. Zamiel en oublia même de terminer sa choppe. Il s’apprêta à parler mais l’humain le coupa : « Soyez heureux qu’il accepte. Cela allonge son trajet de près d’une semaine, et les routes sont très peu sûre par les temps qui courent. Et sa cargaison est très précieuse. Imaginez que la nourriture qu’il transporte soit la proie des bandits ou des gobelins. Tout cet or qu’il perdra. Aucun autre capitaine n’accepterait de faire cela. - Oui mais quand même. C’est énormément cher, et nous ne sommes pas très riches. - Mais bien sûr ! J’oubliai que les nains n’ont pas le même sens du mot richesse. Vous en avez dix fois plus, et c’est peu cher payer. Mais surtout, ce capitaine à un énorme avantage. - Lequel ? - Il n’essayera pas de vous égorger avant la mi-chemin. » D’autres bûches furent jeter dans l’âtre, tandis qu’une chanteuse entrait en scène et captait l’attention du public. Le voyage risquait d’être assez mouvementé. * * * Les deux jours suivants furent des jours d’intenses activités pour les trois exilés. Nombre de préparatifs étaient nécessaires, au nombre desquels la récupération de leurs biens. Le trio avait en effet dû se faire violence pour retourner dans leur ancienne demeure pour récupérer leur or et leurs affaires. Du moins celles qu’ils n’avaient pas encore prises précédemment. La rencontre inévitable qui s’en suivit avec Bofin fut sur le point de dégénérer, et Zamiel remarqua à quel point les siens étaient furieux contre lui et ses frères. Mais tous trois avaient pris leur décision. Ils ne s’excuseraient pas, et partiraient de Nuln. Peut-être à jamais. Kelethorn avait proposé de demander asile à leurs frères des montagnes noirs, mais Zamiel et Denethorn ne purent se résoudre à une telle honte. Des exilés au sein d’autres exilés demandant asile… . Ils avaient donc envisagé de rester quelques temps à Schtendenburg chez le frère de Karl, avant d’aviser. Ils s’étaient au moins mis d’accord sur une chose : se débrouiller pour faire baisser le prix de leur voyage. La veille du départ, le trio se rendit au lieu de rendez-vous du convoi, à la porte sud de la ville, affin de rencontrer ce Franz, et de le payer… perspective désagréable s’il en est. Ce fut sans problèmes qu’ils trouvèrent le lieu de rassemblement des chariots. Le convoi de Franz BeckenDorf était le seul en partance ce jour là… preuve supplémentaire de l’état financier du pays. Nuln était une ville marchande, située sur la Reik. Le spectacle habituel en cette période était celui des flottilles de navires marchands qui couvraient entièrement le fleuve et des multitudes de caravane qui encombraient les ponts menant à la ville. Mais depuis quelques mois, le commerce s’était tari. Les raids d’hommes bêtes et de gobelins et les embuscades de pillards humains rendaient le voyage quasiment fatal à tous ceux qui l’intentaient, sans parler du fait que les cargaisons pourrissaient souvent dans le voyage. Et si celles-ci survivaient miraculeusement au voyage, encore fallait-il trouver acheteur avant que le baron ou le comte local ne réquisitionne les marchandises. Autant dire que le commerce en était dès lors réduit à sa plus simple expression. Mais cette situation catastrophique, certains téméraires en tiraient profit. Capitaines et marchands sans peur, aventuriers et roublards pouvaient se créer des fortunes en osant ce que les autres n’osaient pas. Et Franz BeckenDorf était de ceux-là. Ayant presque atteint la quarantaine, cet homme robuste à la barbe broussailleuse en avait vu pas mal tout au long de sa vie comme il se plaisait à le dire. Il avait bourlingué par monts et par vaux des riches terres de la Bretonnie jusqu’aux royaumes montagneux des nains, et s’était taillé une réputation à la hauteur de l’homme. Ainsi n’avait-il pas hésité à briser l’encerclement d’un siège orque de Zhufbar pour aller porter ses précieuses marchandises à ses clients assiégés avant de reprendre le même chemin en sens inverse, ses chariots remplis des merveilles de l’artisanat nain. C’est lui aussi qui en Estalie, mit le feu au palais d’un quelconque prince ayant refusé de payer ses marchandises, avant de l’abattre en place publique, sous les ovations d’une foule en délire. (Surtout du fait des possibilités de pillage des résidences secondaires du défunt) En revanche, il était aussi célèbre pour avoir abandonné ses passagers en plein hiver dans le col du feu Noir pour s’assurer de la survie de ses gars, mais aussi pour avoir été l’un des présumés pillard d’un couvent de sœurs sigmarites. Même si rien ne put être prouvé à son encontre, tous savaient qu’il était le premier coupable de l’affaire. C’est ce mélange d’aventurier et de coquin qui avait fait la fortune de Franz. Il serait prêt à aller livrer ses marchandises au chœur même des désolations du chaos. Pour peu qu’il soit payé. Et c’est avec ceci en tête que le trio de nain rencontrèrent l’homme. En fait, les nains l’entendirent avant de le voir. Hurlant des ordres à l’encontre des conducteurs de chariots, ordonnant à ses lieutenants de vérifier l’état des marchandises, s’assurant du bon état de ses saufs-conduit. Lorsque ce dernier aperçu les trois nains, il ordonna à l’un de ses hommes de continuer à sa place, avant de ses diriger vers eux. « Le bonjour à vous, maîtres nains ! En temps et en heure ! Je suis heureux de vous accueillir par mis nous. - De nous accueillir-nous ? Ou notre or ? Rétorqua Zamiel. - Allons allons maître Zamiel Ironfoot, ne vous fâchez pas déjà. Nous aurons tout le temps du voyage pour nous chercher querelle. Mais il est vrai que notre accord prévoyait une somme à payer pour le transport. - En effet grommela Denethorn. Voici votre or. » Le jeune nain tendit une bourse au capitaine marchand, qui la soupesa. Apparemment satisfait du poids, de la bourse, il sourit. « Bien votre passage et payé jeune maître nain. Maintenant, qu’en est-il pour vos deux compagnons ? - Pardon ? - En effet, je ne vois là que le prix de transport pour UN passager. - UMBARAKI ! Nous n’avons jamais prévu cela hurla Zamiel, rouge de colère. Vous avez dit 300 couronnes, 200 si l’on apportait nos armes pour participer à la défense du convoi ! - Maître Zamiel, il me semble que vous étiez seul lorsque nous avons conclu ce marché. Celui-ci ne tenait donc que pour vous. Estimez-vous heureux que j’accepte deux passagers supplémentaires… pour le même prix. » Hors d’eux, les trois s’apprêtèrent à faire payer l’humain, mais Kelethorn posa ses mains sur les bras de ses frères pour leurs intimer l’ordre de laisser leurs haches à leur place. Une demi-douzaine d’arbalètes pointait dans leur direction. « Alors maîtres nains ? J’attends vos réponses dit l’humain en souriant. Mais dépêchez-vous car plus vous attendrez, plus cela vous coûtera cher de participer à MON convoi. J’ai des frais vous savez. - Vous avez gagné, siffla Zamiel rouge de colère. Pour le moment. Mais vous payerez cela. Très cher. - Je n’en doute pas maître nain. Je n’en doute pas. » * * * Le cri de départ se répercuta tout le long du convoi. La cinquantaine de chariots se mit en branle avec son escorte. De sa place, Denethorn voyait ce maudit Franz chevaucher vers l’arrière du convoi… leur place. « Bien le bonjour maître nain ! Je suis heureux de vous savoir déjà en position pour ce long voyage. - Pas autant que moi, Umbaraki. - Mais dites-moi, c’est une bien belle arquebuse que vous avez là. De fabrication de l’école d’ingénieur non ? - CESSEZ CELA ! Ne nous poussez pas à bout humain, vous pourriez le regretter. Cette arquebuse, de ma propre fabrication (Qui se fierait à ces pétoires humaines ?) Pourrait bien vous donner un aperçu de ce que mon peuple peut réaliser. - Ne te fatigues pas frère, intervint Kelethorn. Cet Umbaraki se délecte de notre fureur. - En effet jeunes nains, en effet. Mais pas pour les raisons que vous croyez. Lorsque les problèmes surviendront, j’espère bien que toute cette rage que vous avez à mon encontre se reportera sur nos adversaires. » Sur ce, Franz tourna bride et reparti à l’avant de la caravane. Là où se trouvait un bon tiers de l’escorte. Celle-ci était constituée d’une quarantaine d’hallebardiers, et d’une vingtaine d’arbalétriers. Mais il faudrait plus que cela pour protéger l’humain de la colère des nains lorsqu’ils seraient arrivés à destination… * * * Une semaine s’écoula, monotone. Partout où ils passaient, les membres de la caravane ne voyaient que misère et désolation à mesure qu’ils s’éloignaient de Nuln. Certaines nuit, l’alerte avait été donnée, et l’escorte du convoi dispersait quelques bandes de malheureux affamés qui cherchaient un peu de nourriture. Un arbalétrier tua un homme lors d’une de ces nuits, pour s’entraîner. Il fut abandonné par la caravane après avoir été rossé. Ces hommes, aussi durs fussent-ils n’appréciaient pas la cruauté pure. Même si la colère des nains ne diminuait pas à l’encontre du capitaine marchand, ceux-ci reconnaissaient à contre chœur qu’il savait diriger ses hommes de main de maître. Et ceux-ci lui étaient totalement fidèles. Et ceci forçait l’admiration de tous y compris de nains. Cependant, un événement imprévu survint au matin du septième jour. Alors que le convoi venait de reprendre la route, l’alerte fut donnée par l’arrière garde. Un cavalier semblait rattraper la longue suite de chariots à bride abattue. Voyant cela, Franz ordonna que l’escorte se tienne prête. Seul un fou ou un bandit chevaucherait ainsi seul, en pleine campagne. Le branle-bas fut donné et les hommes prirent leurs positions. Denethorn se saisit de sa longue vue, et observa le cavalier solitaire. Lorsque ses frères lui demandèrent ce qu’il voyait, le nain se contenta de sourire avant de dire un unique mot : « Karl. »
  7. Heureux d'être de retour à la maison! DwarfKeeper, nain casanier!
  8. Bon plusieurs petites remarques : - bataille à combien? - les listes d'armées (de plus, c'est autorisé Slaneesh et Tzeentch? ) - Frédérick est une marque déposée de Tzeentch! Ouh le vilain! Bon ok, je sors - Sinon continu comme ça, c'est très bien pour un début! (entre débutants, on se comprend!) DwarfKeeper, nain qui passait par là!
  9. qu'est ce qui m'arrive! Je vais être généreux avec un elfe? Deux fois de suite dans la journée (n'est ce pas Khaela? ) je vais être malade! Ghisgit attrapa une fois de plus ses robes à deux mains, et détala. Décidément, ce n'était pas son jour! Ce n'était pas sa faute si ses sorts rataient les uns après les autres. C'était de la faute de RatKik, qui faisait rien que l'embêter. Une fois hors de portée de ses pairs, le chamane gobelin jeta un coup d'oeil sur ce qui se passait. La pluie qui constituait désormais un rideau infranchissable l'empechait de voir grand chose, mais les bruits de combats lui indiquèrent qu'il ne devait (malheureusement) pas se trouver très loin du coeur des combats. Au bout de quelques pas (qu'il estimait aller dans la direction opposée à ces dits combats) il percuta un mur de pierre. Un gros mur de pierre. Avec énormément de peaux vertes autours en train de se battre. L'influx de magie Waaagh qui en résulta tourna la tête du chamane. Il ouvrit les yeux et un rai d'énergie verte en jaillit immédiatement, transformant une paire de... quelque chose en cendre. (vraisemblement, deux choses multicolores un soupçon aggressives.) Son homologue orque retroussa ses babines en voyant la réussite de son adversaire à la petite taille! Et un gobelin ne peut égaler un orque! Dans sa colère, le chamane orque accumula trop d'énergie avant de lancer son sort. C'était ce qu'attendait Ghisgit. Une rapide prière à Mork et Gork (dans cet ordre) et l'accumulation d'énergie dans la tête de l'orque fit tout simplement exploser celle-ci. Ghisgit était satisfait. Il le fut nettement moins en voyant une rangée de guerriers nains aux armures étincellantes s'approcher de la tour. Gribdil frappa le géant de toutes ses forces. Ce dernier le relacha au milieu de ses pairs. Le jeune nain avait eu chaud. Ce n'était pas les cas de Kadrin et de Meldrik qui avaient été piétinés par les sauts répétés du géant, tout comme une demi-douzaine d'autres guerriers. Mais le géant était à bout. La pluie, la fatigue, la faim, et ces horribles petites choses qui lui déchiraient la peau avec leurs armes ridicules.... C'en était trop. L'immense colose fit un pas en arrière, mais trébucha, et chutta de toute sa masse. Même si Harduin Large-Hache fut écrasé sous le monstre, ses frères de combat se ruèrent sur la créature et le découpèrent vif, vengeant leurs morts. Gribdil regarda à côté de lui. Les autres guerriers et brise fers étaient de nouveau prêts à reprendre leur progression vers la tour, les chars du chaos les ayant délaissés pour un autre objectif. La quarantaine de guerriers encore debout reprirent leur route. encore un effort, et la tour serait à eux. Frédérick transforma les dernières longues barbes en horreur. Leur chef sembla vouloir résister un moment, mais la transformation n'en fut que plus amusante. Le serviteur du grand architecte décida de laisser à l'horreur la barbe du nain. Ainsi, tous sauraient quel est le destin qui attend ceux qui osent s'opposer à ses plans. Les maraudeurs qui venaient encore de le rejoindre lui permettaient d'asseoir sa supériorité numérique dans la tour. Pourtant cela ne s'avérait pas suffisant, car il y avait encore des orques pour lui disputer sa domination. Le sorcier se concentra, avant de voir ses efforts être réduits à néant par un nain des plus tétu. Frédérick commençait à en avoir assez de lui. Ce fut d'ailleurs ce moment que choisis Bofin pour pénétrer dans la tour avec ses gardes du corps. Oh oui! Frédérick commençait à en avoir assez... La suite sera écrite lorsque je serai sûr que le forum est sauf de l'hébergeur. (écrire tout et devoir le refaire n'est pas une perspective agréable!)
  10. Jerôme hurla de douleur. L'imposante arme du seigneur orque noir lui trancha net le bras gauche. Cette monstruosité de muscles et de nerfs semblait inarrétable. Mais le fier seigneur du chaos ne voulait pas perdre. Il ne DEVAIT pas perdre. Il était trop près de la gloire, de la réussite. Le monde allait lui appartenir! Des visions de sont futur se bousculèrent devant ses yeux. Il vit des milliers de soldats hurlant son nom à pleine gorge. Il vit l'Empire à feu et à sang! Il se vit maître d'un Empire qui devait durer pour des siècles et des siècles. Ces visions ne le quittèrent même pas lorsque ses compagnons s'enfuirent, et que les orques noirs se mirent à le déchiqueter. Ainsi s'acheva la saga de Jerôme le traitre. Quelque part sur un autre plan, le grand architecte souria... Bofin regarda autours de lui. Il vit un autre groupe de maraudeurs pénétrer dans la tour. Mais hormis ceux-ci, il ne semblait plus n'y avoir qu'un autre groupe de guerriers du Nord. Mais ils semblaient empêtrés dans un combat qui ne semblait guère être à leur avantage. Le seigneur nain décida donc d'entrer lui même dans la tour, et de la réclamer au nom du peuple nain. A l'intérieur de la tour, la mélée était extrêmemnt confuse. Nains, horreurs, guerriers du chaos, orques et orques noirs s'affrontaient dans le chaos le plus total. n orque éventra un démon, avant d'être lui-même abattu par une longue-barbe. Mais ce dernier ne put esquiver un coup d'hallebarde qui le décapita. Le gurrier du chaos tenata de frapper un autre anin, mais un orque noir le jeta au sol. Au centre de la mélée, Frédérick déchainait tous ses pouvoirs. La puissance de la tour courrait dans ses veines, et chacun de ses sortilèges prélevait sur ses adversaires un énorme coût en vies. Mais il sentait que ses efforts étaient contrés par une puissante magie, une magie runique. Mentalement, il ordonna à ses chars de régler le problème...
  11. Ouf je me sens mieux! Allez, vous êtes pardonnés!
  12. Jêrome contra l'attaque de l'énorme orque, et lui enfonça son épée dans le ventre. La créature ne sembal pas s'en rendre compte, jusqu'uà ce qu'elle glisse à terre. L'arme magique qu'elle portait s'était révélée nefficace face à son bouclier. Autour de lui, il ne restait cependant que quatre de ses hommes. Les autres étaient tombés face à la fureur de la cavalerie adverse. Mais même malgré cela, les orques s'enfuirent. D'un geste sec, Jerôme intima à ses hommes de garder leurs position. Il avait éventer la ruse des peaux-vertes : un régiment d'orque les attendait à côté de la tour, pour les prendre de flanc. Au lieu de cela, il leurs fit face. Derrière lui, il entendit soudain un cris d'agonie. Il se retourna sur sa selle, pour voir le régiment de cavalier de Khorne se faire piétiner par la magie des peaux vertes. quatres cavaliers avaient été jetés à terre, et il ne restait plus donc que le serviteur de cette violente divinité, couvert autant du sang de ses ennemis que de ces alliés. Mais cela ne semblait que peu lui importer. Frédérick changea encore une paire de peaux-vertes en horreur, mais il y en avit trop. Deux autres de ses gardes du corps s'effondrèrent en sang, transpercés par les armes brutales de ses adversaires. Le sorcier entendit un nouveau bruit de verre brisé, juste derrière lui. Alors qu'il s'attendait à sentir la morsure d'une lame, il fut dépassé par une demi-douzaine de gueriers torses-nus, à la peau couverte de tatouage, qui se jettèrent férocement sur les orques. Les Nordiques étaient enfin arrivés, et offraient un répit inespéré à ses hommes. Pourtant, les peaux-vertes tinrent bon, et certains d'entre ces monstres commencèrent meêm à démollir les murs pour permettre aux leurs encore dehors d'entrer dans la bâtisse. Drok Brise-Portes commençait à s'énerver. Les longues-barbes devant lui s'étaient immobilisées. S'ils n'avançaient pas plus vite, jamais ils n'atteindraient la tour! Le jeune nain tenta de regarder par le côté lorsqu'il sentit la terre trembler sous ses pieds. Il fut parcouru de sueurs froides, et lentement il tourna la tête. Il hurla de terreur! Un géant jaillit d'on ne sait ou et à travers un rideau de pluie, vint les percuter. Le géant leur sauta dessus en riant à gorge déployée. Brok et Dofur, Gidli et Snorri, tous moururent, et bien d'autres encore. Alors qu'il tentait de fuir, Drok sentit une violente douleur dans tout son corps. Il était déjà mort lorsque le géant percuta les brise-fer. Zarak n'en croyait pas ses yeux! Malgré toute la noble magie de son enclume, le géant avait massacré une dizaine de ses frères. Les yeux embués de larmes le seigneur des runes se rendit compte que la magie de son enclume était presque épuisée. Les vents de magie brute qui tourbillonaient au-dessus de la plaine avaient atteint une masse critique. Et l'enclume ne pouvait absorber cette magie brute. Au bord de l'épuisement, le vieux nain s'entêta tout de même aider ses frères. En vain. Bofin se retourna, fou de rage. Il n'y avait plus qu'une dizain de longue-barbes et ses marteliers qui pouvaient s'attaquer à cette fichue tour. Il serra les dans et ordonna la charge. Il était plus que temps. Il percuta les hommes du nord uqi se tenaient encore hors de la tour et les balays. Les longues barbes entrèrent immédiatement dans la tour et se joignirent à la mélée. Bofin reprenait espoir lorsque des cris d'agonie lui rappelèrent que les chars du chaos étaient encore là... combiende ses frères allaient encore mourir?
  13. Voilà, je procède à quelques rajouts et modification. Mais ce n'est pas aisé. Bannière de honte : - la honte de mes ancêtre : le régiment portant cette bannière a quitté le champs de bataille de la manière la plus ignominieuse qui soit. Sans avoir combattu, et sans avoir versé le sang. Les guerriers de ce régiment sont remplies de honte et ne désire qu'une seule chose, la mort. Coût : 25 pts. Le régiment est immunisé à la psychologie. Si le régiment vient à fuir pour une raison ou une autre, le régiment est automatiquement détruit, tous ses membres se faisant seppuku. Le régiment compte comme entièrement détruit et rapporte le double en points de victoire, et la bannière comme capturée. - le courroux des dame soleil : les porteurs de cette bannière ont juré devant Dame Soleil d'accomplir un serment vieux de plusieurs millénaires, mais ils ont échoué. Pour eux, c'est la fin. Ils doivent mourir pour laver leur honneur dans le sang. Coût : 30 pts : Désignez un personnage adverse. Le régiment est atteint par la frénésie (sauf qu'il se dirige toujours vers ce personnage) et se DOIT de le tuer. Si il vient à échouer (personnage toujours en vie ou décès naturellemnt violent d'une autre cause) alors le régiment compte comme étant détruit et rapporte le double en points de victoire à l'adversaire. - L'humiliation est mon fardeau : les samourais sous cette bannière ont été humiliés par leur daymio. Ce dernier leur a refusé l'insigne honneur de se faire Seppuku pour laver leurs fautes. Les Samourais on donc perdu leur honneur, leur nom et leur famille. Ce ne sont plus que des Ronins. Et ils ne veulent que mourir. Coût : 45 pts. Le régiment de Samourai portant cette bannière est déchu. Ils comptent comme des Ronins, mais pour un choix d'unité de base. Toutes les règles des Ronins s'appliquent. En outre, l'unité est immunisé à la psychologie du fait de leur volonté de mourir. Aucun personnage ne peut rejoindre ce régiment, sous peine de devenir un Ronin. Tout régiment dans un rayon de 6ps subit un malus de 1 au commandement du fait de la proximité de ces déchus. Enfin, le comptage de points de victoires est inversé : si le régiment survit, l'adversaire des Nippons gagnera les points de victoire de ce régiment. A l'inverse si le régiment est détruit, l'adversaire n'obtient pas ces points de victoire. Bannière d'honneur : - La gloire de nos ancêtres : les ancêtres des porteurs de la bannière se sont sacrifiés pour l'empereur sauvant la vie de celui-ci. Dès lors, ils ont prettés serment de protéger leur chef jusqu'à leur mort. Et ils le feront. Coût : 50 pts. Le régiment est indémoralisable tant que le personnage qu'il doivent protéger est en vie. si celui-ci vient à décéder, le régiment devient sujet à la haine contre l'auteur de ce meurtre. La bataille suivante, sera régiment sera "décoré" de la bannière du courroux de Dame soleil. - La quête de soi-même : les membres de l'unité portant cette bannière ont découvert la voie de leur Chi. Ils sont en paix avec eux-mêmes et sont dès lors capables de prouesses fantastiques lorsqu'il sont en accord avec leur Chi intérieur. Coût : 35 pts. A chaque tour de corps à corps, faites un jet de commandement. En cas de succés, les membres du régiment découvrent les voies du futur. Leur force intérieure leurs permet d'éviter le pire, et de survivre à la mort elle même. Les membres du régiment disposent d'une sauvegarde invulnérable de 6+.
  14. Très simple en terme de jeu : une incroyable collection de 1 et de 2 au toucher. Je n'ai que rarement vu ça chez mes adversaires. (c'est plus fréquent déjà sur mes sauvegardes d'armures) La seule touche qu'il a fait sur sa charge irrésistible s'est transformée en blessure. (5, même pas coup fatal) Moi ce fut l'inverse! 4 touches, 4 blessures, une seule sauvegarde démoniaque réussie. Et hop, un test d'instabilité démoniqaue raté avec un magnifique 11, bye bye le buveur de sang. Bonjour un fou rire du côté nain et orque. Par contre côté chaos ça grommelait un peu beaucoup. (j'ai vu un espèce de livre des rancunes en peau de nain pas très loin!) Bon je poursuis (2d6-1) un petit peu, j'ai une revanche avec le chaos à 3000pts tout à l'heure. Les orques noirs se jettèrent de l'avant lorsqu'il aperçurent enfin quelques adversaires à leur niveau. Des gros Zom du Nord bien costaud. Mais pas assez pour eux. Dans un beuglement effroyable, les orques noirs s'engouffrèrent dans la tour. A l'intérieur de celle-ci, les guerriers de Tzeentch renversèrent tables et chaises pour briser l'assaut de leurs opposants, mais ce fut peine perdue, car dans leur furie destructrice, l'élite de l'armée orque balaya tout sur son passage. Frédérick vit un énorme orque Noir porter la grande bannière de l'armée ennemie se diriger vers lui. Levant sa masse d'arme en signe de défi, le sorcier du chaos se fraya un chemin dans la mélée pour atteindre son adversaire. Autour de lui, la méle était furieuse. Les guerriers du chaos tombaient par poignées, mais aucun d'entre eux ne céda un pouce de terrain, entrainant leurs adversaires avec eux dans la mort. Un orque particulièrement laid tenta de s'interposer entre Frédérick et son rival. Le sorcier transforma cet impudent en horreur, ainsi qu'une demi-douzaine de ses congénères. Le chef orque noir ne se laissa pas impressioner et s'avança face à son adversaire. Celui-ci ne lui laissa aucune chance et défonça le crâne de l'orque d'un unique coup de sa masse. L'orque noir mort à ses pied, Frédérick scruta la mélée. Les orques noirs fuyaient la b^tisse, directement sur les nains. Mais il ne lui restait plus qu'une dizaine de guerrier. Il fallait que les renforts se dépèchent. Et vite. C'est alors que les fenètres sur sa gauche volèrent en éclat. D'autres orques arrivaient... "Boucliers.... Baissés!" Les brise-fer reçurent de plein fouet la charge combinée des deux chars. Les bruits d'agonie et de métal froissé glaçèrent le sang de Bofin, mais Daek lui fit signe de continuer vers la tour. Il fallait à tout prix s'en emparer. Le seigneur hocha gravement la tête et détourna son regard des corps démembrés des brise-fer que leur armure n'avait pu protéger. Hélas pour les nains, les chars fuirent pour se regrouper un peu plus loin, prêts à se lancer de nouveau à l'assaut des lignes naines. Maudite pluie! Et maudits canons! Où étaient ces ingénieurs quand on avait besoin d'eux. Gisgit déchaina de nouveau ses pouvoirs sur les nains, mais une violente douleur dans ce qui lui servait de cerveau le cloua au sol. Lorsqu'il se releva, il se rendi compte qu'il ne savait plus appeller ses dieux pour qu'il viennent piétiner ces nabots de malheur. A cause d'eux, deux d'es fanatqiues étaient revenus percuter don régiment, et Gluddog était mort. Il lui devait quatre champignons! Maudits nains! Il aperçut proche de lui des nains à la barbe blanche se préparer à l'attaquer. Le gobelin blêmit, ce qui lui donna une teinte jaunâtre écoeurante. D'un geste, il ordonna à ses gars de fuir la menace naine. Les gobelins se débandèrent sous les insultes et les quolibets des orques alentours. Ceux-ci se préparèrent à attaquer les anciens nains. Le sang allait encore couller. Bofin pour sa part, ordona la charge dans les rangs des orques noirs en déroute. Ceux-ci s'enfuirent de plus belle en direction des lignes du chaos, et d'un régiment de maraudeur... engagé par un fou furieux à la barbe orange...
  15. Jêrome éperonna de plus belle sa monture et parvint à éviter l'immonde pied vert qui jetta à bas deux des siens. Les cavaliers de la tribu des Kulls, des humains ordinaires, se jetèrent sur les gobelins de la nuit. Ceux-ci, sans surprises, lâchèrent leurs fanatiques. Bien évidemment, les cavaliers furent tous déchiquetés, mais cela lui laissait le champs libre. Déjà à sa droite, les cavaliers de Khorne chargeaient les orques sur sangliers. Ceux-ci furent exterminés dans une orgie de sang et de métal froissé. Les guerriers en armure sang et or hurlaient leur rage et leur plaisir, chacun de leur coup décapitant un orque. Leur chef répandait la mort, sa bannière luisant de puissance, et déchainait sa colère sur tout ce qui vivait encore alentour. Jêrome lui même se plaça de manière à recevoir l'assaut des autres chevaucheurs... Ceux-ci allaient périr de sa lame. Frédérik se tenait la tête à deux mains et crchait du sang. Tzeentch ne supportait pas l'échec, et le rappellait à son humble serviteur. Déjà, le seigneur des runes avait enfin réussi à le priver d'une partie de son pouvoir, mais cette fois c'était le grand architecte qui venait le punir en personne. difficilement, Frédérick se remit debout. L'entrée de la tour était juste devant lui. Mais à travers la pluie battant et le bruit de l'orage, le sorcier aperçut des ombres massives apporter une sorte de gros madrier. Les orques étaient déjà là et s'attaquaient à la porte d'entrée. D'un hochement rapide de la tête, Frédérick enjoignit ses hommes à charger. Les guerriers de Tzeentch percutèrent les peaux-vertes, tranchant têtes et membres dans un indescriptible mélée. Mais les peaux-vertes ne se laissèrent pas impressionner et ripostèrent. Et même si leurs coups ne firent qu'effleurer les armures bleutées, la vermine verte ne céda pas un pouce de terrain. Khazuk! Khazuk! Khazuk! Unkbhâr se jeta au mileiu de la masse des maraudeurs, chacun de ses coups prélevant une vie. Les sauvages guerriers de Norsca tentèrent vainement de jeter à terre ce démon à barbe et crête rouge, mais celui-ci se déplaçait à une vitesse hallucinante. Les rares coups qui touchaient ne semblaient pas affecter le nain. Unkbhâr était au bord de la folie, car il ne pouvait accomplir son serment. Un nouveau coup et le chef des maraudeurs tomba à ses pied. du coin de l'oeil, il vit certains de ses adversaire tenter de le déborder. Les choses s'annonçaient amusantes. Zarack fulmianit. Ses runes s'avéraient impuissantes face à la magie verte, bien plus brutale que la sienne. Il grommela un vague "maudit elfes grmmblll..." et abattit une nouvelle fois son marteau sur l'antique enclume. cette fois-ci le pouvoir des runes lui répondit, et la magie s'enfonça dans le sol, pour jaillir sous les pieds du géant. Celui-ci hurla et sautilla sur une jambe en tenat son pied dans ses mains. Bien pensa le maitre des runes. Bofin s'empressa de faire avancer ses gars, pendant que le fanatqiue qui avait abattu plusieurs de ses hommes s'étranglait lui-même. Il voyait déja la base de la tour. encore quelques pas et il... "Par l'enfer". Au milieu des débris de la porte et des corps démembrés d'orques, Bofin aperçut des guerriers à l'armure bleutée pénetrer dans la bâtisse. Mais le pir, c'étaitt que de massifs orques noirs semblaient sur le point d'atteindre eux aussi le bâtiment. " Ca va être dur pensa le vieux nain. Très dur"
  16. Frédérick regardait le champs de bataille. Sur sa droite, Jérôme, ce parvenu, s'élançait déjà en quête de gloire, à peine conscient du pouvoir que contenait la tour. Il fut tenté d'abattre cet impudent dans le dos, mais se ravisa. Seul le grand architecte avait droit de vie et de mort sur ce pantin. Il dirigea son regard vers les lignes naines qui se dessinaient au travers de la pluie. Ceux-ci avançaient résolument malgré la boue et leurs lourdes armures. Frédérick decida de déchainer sa puissance sur ces misérables adversaires. Dessinant queques arabesques dans les airs, plus pour impressioner la piétaille des maraudeurs que par nécessité, Frédérick déchaina sa puissance, un éclair multicolore s'échappant de ses douze doigts. Selui-ci vola vers la ligne de bataille des nains, mais s'évapora au contact de l'antique bannière des brise-fers. Frédérick fronça les sourcils. Sans attendre, il déchaina de nouveau ses pouvoirs, sans prendre le temps d'effectuer des passes inutiles. Cette fois-ci l'éclair sembla contenir toute la puissance du sorcier. Frédérick sourrait lorsqu'un'une douleur insoutenable lui vrilla le cerveau! Quelquechose tentait d'absorber son pouvoir, de lui faire perdre la connaissance de ses sorts! Mais le sorcier ne se laissa pas abattre. Rassemblant toutes ses forces mentales, il repoussa l'agression psychique. Rapidement, il découvrit l'origine de sa douleur... un nain à la barbe particulièrement longue et blanche. Il fallait s'occuper de lui rapidement, le faire payer. Le buveur de sang était dans les parages et devrait amplement suffir à cette tâche. Mentalement, Frédérick repéra le démon, et souria. Mais son sourire devint vite un rictus de terreur... Zaaron' dergast n'y croyait pas! Il reculait! chacun de ses coups était répoussé par ce ridicule être à sang chaud! Son coup de hache avait ouvert une large plaie en travers de la gorge de son adversaire, mais celui-ci au lieu de mourir, avait à plusieurs reprises enfoncé sa hache dans ses jambes! Le buveur de sang hurla de rage et de fureur lorsqu'une nouvelle fois le nain perça sa défnse et lui ouvrit une large entaille dans la cuisse. Le démon frappa encore de son immense hache, mais cele-ci ne fit que couper un arbre en deux, le nain se trouvant déjà derrière lui. Le émon tenat alors d'attraper la pathétique créature de son fouet, mais son coup se perdit dans le vide, tandis que la hache du nain lui mordait encore cruellement la peau. Rassembalnt toute son énergie, le démon leva sa hache et l'abattit... explosant des centaines de crânes... levant lentement les yeux, il reconnut un paysage familier. Des pyramides de crânes l'entourait, toutes plus hautes les unes que les autres. Au sommet de la plus haute, siégait un trône en airain. Sur celui-ci, une ombre gigantesque, d'où s'écoulait des fleuves de sang l'observait. Zaaron' Dergast sut que son maître ne pardonnerait pas cet échec... Lorsque le démon disparut, Unkbhâr hurla sa rage d'être encore vivant. il s'essuya les yeux, couverts de son propre sang, et d'une démarche titubante, prit la direction des lignes chaotiques. Il devait tout faire pour mourir. Mais si un démon n'avait pu l'abattre, alors quel dieu le pourrait? Zarack abattit son marteau. La rune d'air qu'il avait dessiné disparu, et s'abattit sur les lignes des gobelins, trop proches à son goût. Il vit plusieurs silhouettes en flamme quitter la masse de vermine, mais cela était trop peu. Et trop tard. Avec désespoir, le vieux nain vit des gobelins tourbillonants quitter la protection de la masse. L'un d'entre eux traversa les angs des longues-barbes et des marteliers. De sa position, le seigneur des runes crut distinguer qu'une paire de ses frères dans chaque régiment était mort. Ses yeux, pleins de larmes, se dirigèrent alors vers la petite forêt à sa droite. il vit les rangers (ou du moins ce qui enrestait) en sortir en courrant, terrifiés. Cette maudite vallée avait déjà trop prit de vies naines. Et cela ne risquait pas de s'arranger. Mais par Grungni, ils allaient vendre chèrement leurs peau. Ho que oui! Gisgit le lâche avala un morceau de champigon, et de nouveau Gork (ou Mork) écouta ses suppliques, et un immense pied vert s'abbatit dans les rangs nains. Mais Mork (ou Gork) en avit déjà assez et se retira. Le chamane gobelin geignit lorsqu'il vit son adveraisre, Grogbur, le chamane orque, invoquer ces mêmes dieux avec plus de succés, écrasant un régiment adverse après l'autre, à la grande satisfaction du général orque noir. Gisgit se concentra et par un acte d'une incoryable malveillance, parvint à déconcentrer son homologue. Du coup, Gork( ou Mork, je ne sais pas) dérappa et écrasa les Kostos, laissant quatre d'entre eux démembrés avec leurs angliers dans la boue alentour. Grogbur fut a moitiè assomé sous les coups des orques noirs alentours, et Gisgit, satisfait se retouran, pour voir les fanatqisues revenir vers lui... oups...
  17. L'idée d'un samouri décérébré dévastant tout... tel un zombie... mieux vaudrait garder ç pour une future armée mort-vivant de cathay! Bon en revanche j'ai eu quelques idées pour les bannières d'honneur et de déshonneur. Je tiens à préciser, ce n'est qu'un premier jet, et rien ne presse en la matière. Bannière de honte : - la honte de mes ancêtre : le régiment portant cette bannière a quitté le champs de bataille de la manière la plus ignominieuse qui soit. Sans avoir combattu, et sans avoir versé le sang. Les guerriers de ce régiment sont remplies de honte et ne désire qu'une seule chose, la mort. Coût : 40 pts. Le régiment est immunisé à la psychologie. Si le régiment vient à fuir pour une raison ou une autre, le régiment est automatiquement détruit, tous ses mebres se faisant seppuku. Le régiment compte comme entièrement détruit et rapporte le double en points de victoire, et la bannière comme capturée. - le courroux des dame soleil : les porteurs de cette bannière ont juré devant Dame Soleil d'accomplir un serment vieux de plusieurs millénaires, mais ils ont échoué. Pour eux, c'est la fin. Ils doivent mourir pour laver leur honneur dans le sang. Coût : 50pts : Désignez un personnage adverse. Le régiment est atteint par la frénésie (sauf qu'il se dirige toujours vers ce personnage) et se DOIT de le tuer. Si il vient à échouer (personnage toujours en vie ou décès naturellemnt violent d'une autre cause) alors le régiment compte comme étant détruit et rapporte le double en points de victoire à l'adversaire. Bannière d'honneur : - La gloire de nos ancêtres : les ancêtres des porteurs de la bannière se sont sacrifiés pour l'empereur sauvant la vie de celui-ci. Dès lors, ils ont prettés serment de protéger leur chef jusqu'à leur mort. Et ils le feront. Coût : 50 pts. Le régiment est indémoralisable tant que le personnage qu'il doivent protéger est en vie. si celui-ci vient à décéder, le régiment devient sujet à la haine contre l'auteur de ce meurtre. La bataille suivante, sera régiment sera "décoré" de la bannière du courroux de Dame soleil.
  18. Unkbhâr pestait. Il était tempé, et il venait de perdre les rangers de vue. Il pensait être semé pour de bon lorsqu'un cri de haine pure déchira le silence de la forêt, suivi des cris de ses frères et de bruits de combats. Ou plut^to, d'un massacre. Il entendait clairement les appels désespérés de ses frères. Puis il vit Braggi, courrir vers lui, les yeux emplis de terreur, couvert de sang. Derrière lui il y avait Snorri et Dagi et quelques autres. Pas plus d'une dizaine. Ou étaient les autres? Puis l'ombre gigantesque fut sur lui. Une vision sortie de l'enfer de l'ancien temps, au moment de la déchirure, quand ses ancêtres durent se réfugier sous terre pour se protéger des démons. Une vision, que la raison commandait de fuir, une vision qui risquait bien d'être la dernière. Mais il était Unkbhâr le maudit, et il était déjà mort. Et les morts ne craignent pas la peur. Zaaron' dergast en voulait plus! Plus de crânes! Plus de sang pour le dieu du sang, son maître! Ces misérables mortels ne sont que des larves!!! Ils doivent mourir!!! Je les hais!! Je les hais!!! Du sang!!! Des crânes pour le trône de Khorne! Des crânes pour le trôn... La douleur jaillit dans le corps du démon, la douleur d'une arme mortelle perforant sa jambe. Zaaron' dergats baissa son regard sur le nain sans armure, aux cheveux et à la barbe rougoyante. Pfff... Cela n'était pas digne de lui. Ce n'était qu'un crâne. Un crâne de plus. Il leva son arme, puis l'abaissa. Le sang jaillit. Bofin rageait! Il aida son frère de clan à se remettre sur pied, avant de se rendre compte que celui-ci était mort. L'immense pied vert qui venait de s'abattre sur son régiment avait causé de lourdes pertes à l'élite naine. De plus celui-ci s'était abattu sur les longue-barbes à sa droite, laissant de nombreux corps démembrés comme seule preuve de sa présence. Puis la chose s'en était allée. Mais apparamment l'armée du chaos avait elle aussi eu affaire à cette maudite magie. Bofin agita son marteau en direction de Zarak en lui faisant bien comprendre qu'il avait intérêt à se montrer plus efficace. Le vieux maître des runes hocha gravement la tête, avnt de commencer à forger une rune sur son enclume... ce chamane allait le payer, et cher. L'armée de peaux-verte avançait dans un chaos indescriptible. Toute la cavalerie orque et gobeline se dirigeait vers les chevaliers en armure rouge et or, très désireuse d'en découdre. Le chef orque éperonnait tant et plus son sanglier, tout en tentant désepérément de s'accrocher à lui... Ce qui était un exercice fort difficile, il faut l'avouer. Pedant ce temps, l'infanterie orque, enfin disciplinée s'élançait vers la tour, le géant en tête. Bientôt, ils auraient atteint la base de la structure.
  19. Allez, un petit bout pour commencer... Unkbhâr n'en pouvait plus. Il avait toujours détesté les arbres. Là, il en était entouré. Partout. Et en plus il pleuvait. Le bruit de la pluie gouttant sur sa crête l'énervait plus que tout. Mais ce qui l'énervait encore plus, c'était de devoir suivre ces rangers, alors qu'à l'opposé de sa position, il avait aperçu un géant! Un géant! Et lui devait s'occuper de ces jeunots à la barbe naissante qui aimaient gambader dans la forêt comme des elfes! De son temps, personne ne faisait ça! Un bon nain était un nain qui vivait avec sept bon pieds de terre au dessus de la tête! Mais, cette courte-barbe de Bofin lui avait ordonné de protéger son flanc droit avec les Rangers. Il avait dû s'incliner. Peut-être pourrait-il trouver un ou deux adversaire de valeur dans l'armée chaotique d'en face. Peut-être connaitrait-il le repos de la mort... Jerôme regarda son armée. Il était fier de ce qu'il avait accomplis. Depuis qu'il avait quitté Nuln, nu comme un vers et chassé par ses pairs pour avoir deux yeux de couleur différente, il savait qu'il était dédié à la grandeur. Peu importe combien de morts il y aurait aujourd'hui, la tour et ses secrets seraient à lui. il en absorberait les secrets et la puissance, et deviendrait l'égal des dieux! Et l'Empire sera à genoux devant lui, craignant sa colère! " EN AVANT!!!!! TUEZ LES TOUS!!!" L'armée du chaos s'élança, les chevaliers de Khorne écumant de rage se lançant en direction de la marée verte devant eux. Les chars l'accomagnait, tandis que l'immense buveur de sang semblait déjà avoir trouvé une proie, et s'élança dans les airs... " J'ai dit : EN AVANT BAND' DE MHOULESSS" L'énorme orque noir attrapa un orque et le projetta dans le régiment devant lui. Immédiatement les querelles cessèrent. Du moins, autour du point d'impact. Des ricanements s'élevèrent sur la droite du Boss. Immédiatement, il tourna son regard vers les gobs qui "tenaient son flanc" Là il aperçut Gisgit le lâhce, le "grand chamane gobelin", attraper sa robe à deux mains et se metttre à courrir pour atteindre la sécurité toute relative des rangs gobelinoides. L'armée verte se mit en branle... sauf un régiment de guerrier situé devant le régiment du grand boss. Et ou, ce n'est pas simple tous les jours d'être le général d'une des plus grande waaagh.
  20. Bon, voilà, au milieu de la tripaille et des feuilles de cours de mes frangins, j'ai enfin réussi à emprunter les listes d'armée. Waaagh Noire : - Chef de guerre orque noir : 201 pts - Hache à deux mains - Armure superkorriass' de Drog - Cask' de grand chef Zom - Grand Chamane orque : 315 pts - Niveau 4 - Bâton Zarbi de Buzgob - Bagouz d'Nibbla - Parchemin "A plu d'magie" Sorts : petite waagh, 1 grande waagh, 1 5 et 6 - Grand chamane gobelin de la nuit ; 275 pts - Niveau 4 - 2 champignons - Bâton de Kaabuum - Champignon de bonnet de fou Sort : grande waagh : 1,2,3 et 5 -Grand chef orque noir : 159 pts -Kognée de kogn'dur - Grande bannière, armure lourde - Grand chef orque : 125 pts -Sanglier, armure légère et bouclier - Pik'goret de Porko - Chamane gobelin de la nuit : 145 pts - Niveau 2 - Parchemins " A plu d'magie" *2 - Bandes de chti gars de la nuit *2 = 430 pts - 40 gob de la nuit -Lances, Et , fana *3 - Bandes de Boyz *3 : 624 pts - 30 orques - Bcl, ET - Bande de chti trucs inutiles : 150 pts - 6 socles de snot - Bande de lâches : 72 pts - 6 chevaucheurs de loups, lances et musicien - Bandes de gros méchant noirs *2 = 786 pts - 30 orques noirs, hache à deux mains, ET - Bande de Pue beaucoup : 228 pts - 10 chevaucheurs de sangliers, ET - Bande de Gros pue beaucoup : 283 pts - 10 chevaucheurs de sangliers, ET - Kostos; Bannière d'Massacr' d'nogg - Gros Truc : 205 pts Voilà pour la horde verte. Ca fait du monde... beaucoup de monde. La vague des ténèbres : - Seigneur du chaos (général) 304 pts - Destrier du chaos - Bouclier runique du chaos, Epée de puissance - Seigneur du chaos : 426 pts - Hallebarde - Marque de Tzeencht - Familier de pouvoir - Miroir de connaissance - Buveur de sang (Gloupsss...) 650 pts - Grand champion du chaos : 206 pts - Marque de Khorne, destrier - Grande bannière de colère - Sorcier du chaos : - Domaine de l'ombre (destrier d'ombre) - 2 parchemine - Maraudeurs *2 = 470pts - 30 maraudeurs , Armure légère, bouclier, ET - Maraudeurs : 200 pts - 25 maraudeurs, armure légère bouclier, ET - Cavaliers maraudeurs *2 = 152 pts - 5 cavaliers, lances, musiciens - Guerriers du chaos : 356 pts - 19 guerriers - Marque de Tzeentch, ET, armes lourdes - Chevaliers du chaos : 387 pts - 9 chevaliers - ET, marque de Khorne - Chevaliers du chaos : 435 pts - 8 chevaliers élus - ET, bannière de bataille - Char de Tzeentch *2 : 280 pts Dés de pouvoirs, 11 Dés de dissip : 8 Alors, heureux? B)
  21. Oui oui, bon ne tappez pas! J'ai quelques souci pour récupérer les lsites d'armée de mes adversaires, et j'ai beaucoup de boulot en ce moment. De plus, le chaotique qui m'avait promis de m'aider passe son temps à répéter en boucle "Du sang pour le dieu du sang! Des crâne pour MON trône!" Ce qui ne m'est pas d'une grande aide, alors c'est pas facile de tout préparer!! Alors un peu de patience. Karaz-a-Karak ne s'est pas construite en un jour! DwarfKeeper, nain au labeur!
  22. Ca l'air bon. Maintenant, la question est de savoir si on met un seigneur Shugenja, car je n'ai pas l'impression d'en avoir vu un. Et dans ce cas, applique t'on la dychotomie Ying/yang. Dans mon optique, un seigneur sorcier doit soit avoir réussi à maîtriser la dychotomie, et dans ce cas peut piocher ses sorts dans les deux listes de sort, soit s'êre spécialisé à outrance dans un domaine et dès lors perturbe les énergiies telluriques, soit dispose d'une écle propre (il n'existe pas qu'une seule école de magie. Il peut y avoir des voies différentes, comme celle de Shinsei [ref : L5A]) ou bien alors la dernière option : il n'y a pas de seigneur sorcier Nippon. Dès, lors cela donne une armée qui ne pourra jamais faire de full magie (ouf!) mais qui risque d'être vulnérble en la matière dans les grosses parties ou les magos pullulent. D'où le besoin de leur donner des dés de dissipation supplémentaires d'une manière ou d'une autre. (pourquoi pas un dé de dissipation de plus par paire de Ying//yang?)
  23. Voilà ce que je propose : Rituels du Ying : -2 : Clarté de Dame soleil : Le shugenja invoque la clémence de Dame Soleil, pour que celle-ci le protège lui et les siens de tout tir adverse. La lueur de Dame Soleil s'échappe des yeux du shugenja, éblouisant tous ses adversaires. Toute unité de tir prenant le sorcier/régiment pour tir subit un malus de : - 1 pour 4+, 2 pour 7+, 3 pour 10+, ne peut tirer sur le régiment sur 14+, mais le sorcier subit une touche de force 5 à ce niveau (trop d'énergie) -3 : malédiction de seigneur Lune : Le shugenja déchaine la colère de seigneur Lune sur ses ennemis, maudissant ceux-ci jusqu'à la 10° génération : Tout régiment//personnage sujet à la malédiciton du seigneur Lune est obliger de relancer ses : - 6 sur 6+, 6 et 5 sur 12+, 6 5 et 4 sur 16+. Un fiasco, en plus des effets normaux, entraine le déclenchement de la malédiction au niveau escompté avant le lancer de dé sur le régiment ami le plus proche. Argh, la mise à jour a été faite avant mon poste!
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