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Illuminor Szeras

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Tout ce qui a été posté par Illuminor Szeras

  1. Voilà. Donc parce que son gosse n'écoute rien et qu'il n'a pas d'autorité, il pense que c'est la même chose pour l'Empereur (ça va bien l'égo ?) et ses enfants... qui sont tous des ADULTES et des GUERRIERS ACCOMPLIS. Mon dieu...
  2. Parce qu'on finit par avoir l'habitude je suppose.
  3. Ouah. Encore une couche pour infantiliser les Primarques. Et c'est ce type-là que vous adulez ? Le même qui ose raconter la guerre entre Grey Knights et Space Wolves si je ne m'abuse ?
  4. Intérêt de recommander le livre si c'est pour le vider de sa substance ?
  5.   Chacun fait selon ses moyens. C'est autre chose que la BL, c'est sûr. ^^
  6. Oh, un résumé ? Hari Seldon, éminent mathématicien, a découvert un tout nouveau domaine scientifique, la psychohistoire, qui est une analyse prédictive des sociétés humaines. S'appuyant sur ses équations, il établit que l'empire galactique est condamné à brève échéance et que de son déclin suivra une période d'obscurantisme de 10 000 ans. Il élabore alors le projet "Fondation", sensé sauvegarder toutes les connaissances de l'empire et ramener la période d'obscurantisme à un seul millénaire. Si je recommande le cycle de Fondation, et tout particulièrement le premier tome, c'est parce qu'on y observe justement l'empire en train de s'effondrer, et comment il tente de survivre et de conserver son savoir justement au moyen d'une sorte d'Adeptus Mechanicus.
  7. Une bonne lecture pour bien saisir ça ? Fondation d'Isaac Asimov.
  8. Mouais, enfin ce n'est pas Lucas qui a la paternité de ce genre de duel surtout.
  9. Incontestablement, et Tolstoï tant qu'à faire.
  10. Je pense que la littérature dans le domaine ne manque pas, après je ne suis pas versé dans ce savoir. Louis Ferdinand Céline, avec Voyage au bout de la Nuit, a part exemple dépeind un excellent tableau de la guerre et des héros du point de vu du bidass, à lire en parallèle des Fantômes de Gaunt par exemple. Il y a des auteurs qui ont vécu dans des conditions autrement plus difficiles que celles de l'européen moyen. Nul doute qu'ils pourraient transposer cela efficacement à 40K.
  11. Nope, je ne confond pas. Car j'aurais même pu prendre ces deux termes et me passer des juifs, ça aurait été plus parlant. Car ce qui compte c'est les conditions difficiles, pas le fait qu'elles soient volontaires ou contraintes. Un Kolkhozien, ou un travailleur à la chaîne de l'URSS, pourrait certainement offrir sans crainte d'en faire trop une vision très sombre de 40K et en garantir la crédibilité.
  12. Thorstein, tu devrais tenter le Ice Bucket Challenge, ça te ferait du bien. Ce que je dis, c'est que la vision édulcorée de l'Imperium que donnent certains auteurs de la BL est due au fait que, d'un point de vue contemporain, l'Imperium tel que décrit dans Rogue Trader est invivable et donc non-crédible. Je ne dis pas que c'est vrai, je dis que c'est la probable raison. Internet était juste un exemple pour montrer les échelles de valeurs. Pas pour dire que c'est superficiel, mais pour expliciter le fait qu'en fonction des considérations et des impératifs, les extrêmes ne sont pas les mêmes. Rien à voir avec la technologie de 40K, il faut prendre le temps de lire petit. Cette discussion a eu lieu cent fois, c'est à croire que râdoter est devenu une passion ici. Alors on la refait : à la base, 40K, c'est du Punk, y compris dans le chara design. No futur dans... un futur où il n'y a QUE la guerre. C'est l'histoire de la fin, l'approche de l'apocalypse. Les dieux sont morts lors du Ragnarok (aka l'Hérésie d'Horus), il n'y a plus d'espoir, juste un combat absurde, une folie de destruction de la même espèce que celle de Total Annihilation. De là découlent des sociétés qui ne sont que des usines de mort. Mais aujourd'hui, c'est différent. On est plus du tout dans le Punk, plutôt dans le Gothique. Le désespoir d'une vie qui se perpétue sans raison, plutôt que l'imminence de la fin. Du coup, il faut bien raconter comment c'est la vie à 40K, comment on parvient à trouver de petits plaisirs qui rendent le tout supportable, remplaçant les forçats décérébrés de Rogue Trader par des dépressifs chroniques. Voilà les deux mamelles du néo-fluff : la fin du Punk, et un jugement de l'inconfort basé sur le vécu des auteurs. Si 40K était écrit par des juifs survivants des camps de la mort, ou par des Kolkoziens russes, il serait certainement moins timoré dans sa description d'un quotidien avilisant et infernal.
  13. C'est une blague non? C'est un des pire livre! Ouaip, mais ça donne une bonne vision de ce qu'on peut s'attendre à trouver chez la BL.
  14. Il y a aussi un problème culturel de niveau de vie. Une journée sans Internet dans un pays développé c'est dur, une semaine c'est l'enfer. Et sans un bar, on en parle même pas. Et pourtant, il y a des communautés sur Terre qui vivent sans tout cela et se pensent un peu plus proche du paradis que nous. L'humain s'adapte assez bien, c'est pourquoi il a survécu jusqu'à présent. Mais certains auteurs de la BL ne conçoivent pas que la description originale de l'Imperium soit crédible aujourd'hui, car trop éloignée de ce qui est culturellement considéré comme tolérable par nos sociétés contemporaines.
  15. Il te faut absolument lire "Anges des Ténèbres".
  16. Ben voyons... Rivalisant avec la technologie Necron, ce qu'il ne faut pas lire...
  17. Bon, je subodore une intervention musclée de la Très Sainte Inquisition dans peu de temps.
  18. C'est parti loin tout ça. Le truc de 40K, c'est que ce n'est pas une oeuvre manichéenne. Ses acteurs essaient d'imposer une telle vision, mais dans les faits ce n'est pas du tout la lutte du bien contre le mal, ou de l'ordre contre le chaos. C'est une guerre où tous les excès se confrontent. On peut toujours préférer un camp pour un autre, choisissez votre poison comme on dit. Mais la vérité, c'est qu'il n'y en a pas un pour rattraper l'autre. Comme Terry Pratchett le fait dire au Patricien dans "Au guet !" : "ce n'est pas l'histoire des méchants contre les gentils : il n'y a que des méchants. Seulement, ils ne sont pas tous dans le même camp."
  19. Ce qui est amusant, c'est qu'une fois encore un élément qui était un pilier fondateur et trouvait son équilibre dans l'absence d'information a évolué vers un vulgaire objet narratif. De base, l'Empereur "n'existe pas". C'est une satyre du Culte de la Personnalité, où l'image supplante le modèle. Un peu comme dans "Le Roi et l'Oiseau". L'Empereur est l'Imperium, l'Empereur est une idée, un leader fantôche, un dieu-cadavre comme le sont finalement tous les dieux de nos religions contemporaines. L'Imperium n'est pas puissant grâce à l'Empereur, c'est l'Imperium qui anime l'Empereur, au propre comme au figuré d'ailleurs. Il n'est donc nul besoin de faire une analyse du personnage, il faut se pencher sur l'humanité toute entière pour comprendre.
  20. On ne doit pas jouer au même jeu.
  21. Chose dites au sujet des Necrons dans le dernier codex en date, c'est qu'il y en a autant que d'humains dans la galaxie. Pas autant que de GI, que d'humains : militaire ou civil, homme, femme, transsexuel ou enfant. Quand on compare un Guerrier Necron à un civil humain... Bref, c'est tout sauf une menace mineure.
  22. Juste, sauf pour les Orks. Les Necrontyrs vont mettre tout ce petit monde au pas.
  23. À un moment, il faut arrêter les conneries. Quand l'auteur a été mauvais, il a été mauvais.
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