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Aktaïr

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Tout ce qui a été posté par Aktaïr

  1. Bonjour à tous, pour pouvoir te répondre, il faudrait savoir avant tout ce que reproche tes parents à notre hobby préféré? Au besoin, essaye d'avoir une vraie justification de leur part et pas quelque chose de flou. Au passage, merci de faire un effort avec votre orthographe. Aktaïr
  2. Aktaïr

    L'ascension d'Aktaïr

    Le texte retravaillé et la suite ... J'ai retravaillé la partie "combat" entre le convoi et les Ellyriens pour la rendre plus visible, moins brouillon. Et puis la suite, parce que je continue à écrire... Bonne lecture. /***********************/ Le soleil se levait à peine que déjà Aktaïr réveillait les cavaliers et leur donna les ordres de marche. Leur mission était devenue beaucoup plus simple. Par ce songe, le Caledorien savait ce qu’il devait retrouver : le convoi d’hier. Ces quelques voyageurs ne les tromperaient pas une seconde fois. Aktaïr enfila son armure, ajusta ses brassards, ses cuissardes. Une fois sur son cheval, il posa son heaume, passa son bouclier sur l’avant de sa selle et vérifia que son épée puisse sortir facilement de son fourreau. Les patrouilleurs ajustèrent leurs armures de maille et vérifièrent leurs armes. Une fois le bivouac plié et rangé, les cavaliers s’engagèrent sur la route, au petit trot. Même si les traces n’étaient pas faciles à suivre, les plus expérimentés d’entre eux pouvaient pister sans problème sur ce terrain. Ce ne fut qu’en fin de matinée qu’ils eurent enfin en point de mire le convoi. « Etes-vous sûr de votre fait ? » demanda le pisteur. Mais la réponse d’Aktaïr se lisait sur son visage crispé. « Certain. Dès que nous approcherons, ils se prépareront à nous tirer dessus. Je suis persuadé qu’il y a même des adeptes du Dieu Sanglant parmi eux. Méfiez-vous des femmes et de leurs lames : elles sont certainement empoisonnées. » « Fait-on quartier à ceux qui le demanderont ? » « Oui car il nous faut des prisonniers. Les nôtres sont en manque d’information. Si aucun ne se rend, essayez de ne pas occire les derniers combattants. » Aktaïr se tourna vers ses hommes. Ils étaient à peine une petite dizaine mais ils étaient plus rapides et prêts à se battre. « Là-bas se promènent librement les traitres sur nos terres. On ne peut laisser cet affront au monde dragon se poursuivre. Sortez vos arcs et tournons autour d’eux. Perçons-les de nos flèches. Lorsqu’ils seront en sous-nombre, nous capturerons les derniers combattants. » « Et s’ils ne sont pas agressifs, demanda un des Ellyriens. S’ils sont des nôtres ? » Le regard noir et lourd de sens d’Aktaïr refroidit ce dernier. La certitude d’avoir trouvé son ennemi balayait tous ses doutes. « Je veux des prisonniers. Ils doivent parler et nous révéler le pourquoi de leurs présences et où sont les autres. C’est impératif. Vous êtes avec moi ? » Les patrouilleurs acquiescèrent. Les cavaliers empoignèrent leurs arcs et mirent leurs chevaux au trot. Les faux marchands remarquèrent rapidement ces cavaliers avançant vers eux. Rapidement, certains plongèrent sous leurs bâches et en ressortir avec des armes qu’ils jetèrent à leurs compagnons. La présence d’arbalètes à répétition parmi ces objets confirmait l’identité des assaillis. Ils forcèrent l’allure des cinq attelages, pour maintenir les assaillants à distance. Les archers ellyriens formèrent le cercle catabatique et commencèrent à tirer. Lorsque le premier elfe noir tomba, une flèche en pleine poitrine, les autres prirent conscience de la menace réelle qu’étaient ces tireurs. Laissant leurs conducteurs manœuvrer les chariots, certains soulevèrent des boucliers de fortune pour intercepter les traits tandis que les arbalétriers ripostèrent en libérant salve sur salve. Un deuxième druchii mordit la poussière, une flèche en travers de la gorge. Les druchii à l’abri précaire de leurs chariot saturaient l’air de carreaux tandis que les asurs répliquaient à longue portée, jouant sur la vitesse de leurs montures. Les deux arbalétriers du dernier chariot tentèrent de mieux se positionner pour assurer leurs tirs. L’un d’eux s’écroula, percé de trois traits. La riposte fut immédiate et le dernier arbalétrier fît mouche à deux reprises. Un des cavaliers s’écroula, mortellement blessé. Le patrouilleur suivant fît un écart à son cheval pour éviter d’heurter son défunt compagnon dans sa chute. Le cheval ralentit. La conséquence fût immédiate : le cavalier reçut un carreau dans la cuisse ainsi que dans l’épaule. Son cheval s’écroula, brisant la jambe de son monteur, laissant ce dernier dans les vapes. Mais Aktaïr ne s’en soucia guère. « Courage, compagnons. Ils payeront pour ceci. » Sûr du résultat, il fît accélérer son cheval et se jeta sur le dernier chariot de la colonne. Ce dernier, conscient de sa situation précaire, avec pour seul aide le conducteur, tira son épée courte et se mit en position, la lame pointée vers l’avant, le regard plein de défi. Répondant à son défi, Aktaïr chargea, montrant le plat de sa lame. Arrivant à sa hauteur, le druchii, debout sur le chariot, se fendit, visant l’Asur à la poitrine. Ce dernier se pencha sur le côté, laissant sa solide armure de Caledor dévier le coup. Dans le même mouvement, il fit remonter son épée, trouva l’articulation du coude qu’il sectionna vivement dans une gerbe de sang. Dépassant le corps meurtri de son adversaire, le chevalier se porta à la hauteur du conducteur. Celui-ci entendit le hurlement de l’arbalétrier et se retourna. La dernière image qu’il vît fut celle de la lame s’abattant sur sa nuque avant de se faire décapiter. L’arbalétrier du chariot suivant vida son chargeur sur le Prince Dragon. Tous les impacts furent arrêtés par son armure ou se fichèrent dans son bouclier. Le carapaçon remplit également son rôle protecteur. Face à ce déluge de projectiles, le Caledorien fît faire demi-tour à son coursier et retourna auprès des Ellyriens. « Avec moi, en deux colonnes. Remontons cette colonne et achevons-les au corps à corps. » Un jeune patrouilleur cria au vétéran : « C’est de la folie. Ils vont nous larder de traits. Il va nous mener au massacre. » « Nous les avons affaiblis. Un char est déjà hors combat. Avec moi. Chargez ! » Le Caledorien chargea, suivi des Patrouilleurs. Le Vétéran divisa ses hommes et prit le parti de passer par la droite de la colonne. Le dernier char était occupé par trois druchii. L’arbalétrier délivra quelques traits à sa gauche puis à sa droite. Les chaos de la plaine le déséquilibraient, l’empêchant cette fois-ci d’ajuster ces tirs. Tel le vent du Nord, les cavaliers s’abattirent sur elfes noirs. Les lances apportèrent une mort rapide aux traitres. La charge continuait à remonter la colonne. A la hauteur du troisième chariot, le combat fut très court. Un druchii frappa un patrouilleur. Ce dernier esquiva l’attaque, laissant le cavalier suivant planter sa lance dans le flanc du combattant druchii. Le porteur de bouclier tenta d’esquiver le coup de lance, trébucha et tomba sous le chariot,, finissant son existence sous la roue de ce dernier. Les deux autres guerriers furent tout aussi rapidement tailler en pièce. Aktaïr éperonna son cheval, dépassa le troisième chariot et chargea le suivant. Mais lorsqu’il arriva à la hauteur de ce dernier, une druchii se jeta sur lui, le désarçonnant. S’écrasant lourdement au sol, le souffle coupé et surpris par la soudaineté de cette réaction, le noble entendit les cavaliers poursuivirent l’assaut. Un hurlement suivi d’autres cris annonçait la fin rapide de l’avant dernier chariot. « Capturez ceux-là », cria le vétéran à ses compagnons. Aktaïr eut un sourire narquois. Il avait réussi. Son instinct lui indiqua subitement un danger immédiat. Il leva les mains et perçut dans son champ de vision deux dagues tenues par des mains blanches albâtres. D’une vivacité étonnante, le noble attrapa les poignets. « Tu vas rejoindre mon Maître, Asur. Accueille sa Bénédiction. », persifla la furie. Aktaïr résista de toutes ses forces. La furie enfonça les pointes de ses lames dans les avant-bras. Le Caledorien serra les dents, par fierté. « Fier comme un Caledorien. Mais j’ai d’autres surprises. », dit-elle en souriant. Elle lâcha une lame. Aktaïr utilisa son cimier pour dévier la trajectoire. La furie plaça sa main libre sur le manche du pommeau de la dague restante, augmentant la force. « Le Dieu à la Main sanglante te veut. Inutile de résister. Ce n’est qu’une question de temps. » « Il va devoir encore attendre un peu. », répliqua l’Asur. Il balança un coup de pied au visage de la furie, déstabilisant celle-ci parla soudaineté de l’attaque. Ce court laps de temps lui permit de se dégager, la dague se planta dans le sol. Vif et précis, il se retourna et décocha un coup de poing au visage de la furie. Vite, se remettre sur ses pieds. Vite, reprendre son arme. Où était-elle ? La voilà. Aktaïr courut, l’empoigna et fît face à son adversaire. Cette dernière, certes surprise n’en était pas moins une combattante expérimentée. Elle avait encaissé les coups de l’Asur et s’était rapidement ressaisi. Ses deux dagues avaient repris leurs places naturelles. Crachant un peu de sang, elle lança, dans un petit rire vicieux : « Excellent. Au lieu d’accueillir Khaine et une mort rapide, tu as choisi la souffrance. » « Tu veux ce pays, bâtarde. Commence donc par prendre ce morceau d’acier », rétorqua Aktaïr, avant de charger la Furie. Les deux adversaires s’échangèrent une volée de coup. La force du Caledorien et la protection de son armure contre les attaques d’estoc et l’esquive de la dévote de Khaine. Dans cette mortelle tempête de lames, le moindre moment d’inattention serait fatal à l’un des deux. Constant la faiblesse du côté gauche du Caledorien, certainement suite à sa chute, la Furie esquiva une attaque, passa sous la garde de son adversaire en exécutant une roulade et, une fois à genoux, lança une attaque vers le flanc de l’Asur. L’erreur venait d’être commise. Habilement, grâce à son enchainement, ce dernier l’avait placé où il souhaitait. Son brassard rencontra la lame, l’écarta hors de sa trajectoire et permit à la main gauche de se saisir du poignet de la druchii. L’instant suivant, l’épée caledorienne sépara l’avant bras du reste du corps. La Furie hurla sa douleur et sa surprise tandis que l’autre main lâcha sa seconde dague pour serrer le moignon sanguinolent. Aktaïr décocha un violent crochet au visage. Sonnée, la Furie tomba à la renverse. L’Asur l’assomma d’un coup de pommeau à la tête. Constatant la fin de l’assaut, il se coucha dans l’herbe, exténué. La douleur de la chute et des multiples blessures légères qu’il avait reçu lui rappela la nécessaire protection de son armure. Après un court moment d’affalement, Aktaïr finit par se relever. S’approchant de la furie, il constata que cette dernière vivait toujours malgré l’hémorragie : elle respirait. « Une bien laide coupure que voilà, ironisa le Caledorien. On va te soigner. Mais au premier mauvais geste de ta part, un médecin ne sera plus nécessaire. » Il se demanda si elle l’avait entendu. L’Asur retourna vers ses compagnons, prit la sacoche de soins, en sortit une fiole puis retourna sur ses pas. S’approchant avec prudence du corps de la furie, il posa le genou droit sur la gorge de cette dernière, saisit le moignon sanguinolent du bras gauche et, de la main restante, il versa un peu de poudre sur la plaie. Si la Furie était dans les vapes, son hurlement de douleur annonça son réveil. Son corps tremblait, suite à la décharge d’adrénaline. Aktaïr dut la maintenir fermement au sol. « Ce n’est que de la poudre cicatrisante. Normalement, on la dilue pour atténuer les effets. Mais tu dois avoir l’habitude de la souffrance, adepte. J’ai encore besoin de toi vivante », lui cracha-t-il. Pendant ce temps, les prisonniers furent fouillés de fond en comble par les Ellyriens puis solidement liés. Le cri de douleur marqua un temps d’arrêt dans la fouille, l’agitation se répandant parmi les captifs. Les Patrouilleurs se demandèrent s’ils allaient pouvoir contrôler ces derniers. Mais la tension se calma un peu lorsqu’ils virent la Furie claudicant venir vers eux, le Caledorien dans le dos. Une fois les captifs proprement entravés, bâillonnés et séparés les uns des autres, les Asurs purent montés le bivouac et se préparer à passer la nuit. Aktaïr sortit une gourde de vin, fier de ses hommes au combat. Il la présenta autour du feu. L’ambiance n’était pas à la fête. Une chape de plomb s’était abattue sur le groupe d’Ellyriens. Lorsque le premier patrouilleur refusa de boire, Aktaïr se rendit compte du malaise. Il alla vers son sac, sortit trois gobelets et les posa devant le feu. Levant la gourde, il dit : « A nos compagnons tombés aujourd’hui. Qu’Isha les prenne sous son aile et les mènent au Royaume des Héros. » Puis il servit les quatre gobelets. « Qui boira avec moi, en souvenir de nos compagnons ? Qui me parlera d’eux, de leurs familles ? Qui me fera l’honneur de me raconter leurs histoires ? Car c’est ainsi que nous honorons les tombés en Caledor. » « En Ellyrie, nous brûlons les corps au matin, à l’heure où le soleil se lève. » répondit lugubrement un vétéran. « Alors, nous boirons ensemble ce soir et nous brulerons leurs corps demain matin. » « Facile à dire, répliqua le jeune cavalier. Vous portez une armure lourde, votre lance est plus longue et plus résistante que les nôtres. Votre cheval est aussi bien protégé que vous. Lorsque nous avons chargé, vous risquiez bien moins que nous tous. » « Suffit, lui retourna le vétéran. Pardonnez-le Seigneur. C’est son premier vrai combat. La douleur de la perte de nos compagnons le guide. Mais il n’a pas tord. Notre charge était hasardeuse par sa précocité. Nous ne sommes pas aussi résistants que des Heaumes d’Argent ou des Princes Dragons. Notre entrainement ne nous apprend pas à nous conduire de la sorte. » « Il le fallait, pourtant. C’est ainsi qu’on remporte une bataille » se servant du vin et présentant la gourde au vétéran. « Ce n’est tout simplement pas notre rôle sur le champ de bataille. Nous sommes des Patrouilleurs. Nous dirigeons l’armée à travers les terres inconnues, nous la prévenons du danger. Nous contournons les flancs, nous traquons les mages cachés et nous attaquons les lignes de ravitaillements adverses. Nous sommes la mouche du coche. C’est notre fonction. Vous êtes le marteau qui écrase l’enclume » expliqua le vétéran, tout en se servant une rasade et faisant tourner la gourde. « L’Art de la guerre exige des sacrifices pour remporter la Victoire, déclama Aktaïr. Seule une charge bien menée permet de briser les lignes adverses, de rompre ses formations, de les éparpiller aux quatre vents. » « En Ellyrie, nous préparons les combats. En Caledor, vous les finissez et emportez la gloire avec vous », murmura le jeune Ellyrien. « En ces Terres, il n’y aura plus de combat lorsqu’il n’y aura plus d’adversaires à combattre ou d’Asurs pour les affronter. » « Tous les Caledoriens sont-ils aussi arrogants ? Ont-ils tous aussi peu de respect pour les autres peuples asurs qu’ils se permettent de les envoyer à la mort ? » s’exclama le jeune. « Nous avons sauvé Ulthuan plus d’une fois. Nous chevauchions les Cieux sur de puissants dragons, nous imposions la loi du Roi Phénix sur ses Terres. » « Aujourd’hui, vous chevauchez des chevaux comme nous tous, coupa sèchement le jeune Ellyrien. Vous n’êtes plus que l’ombre de votre défunte puissance. » « Allons, calmez-vous tous les deux, lança le vétéran. La Victoire est nôtre aujourd’hui. Le Caledorien avait donc raison. » Aktaïr fut satisfait des paroles du vétéran… jusqu’à ce que ce dernier ait ajouté : « Mais la sagesse doit guider nos commandants. Espérons que tous retiennent leurs erreurs, même dans la victoire. A nos morts, tombés trop tôt pour la gloire du Phénix. Nous leur devons cette victoire » conclut-il. Aktaïr leva une nouvelle fois son gobelet, acceptant de mauvaise grâce ce dernier commentaire. Il s’assit près du feu. Le jeune Ellyrien se leva et se mit à parler « Même s’il s’agit d’une tradition caledorienne, honorons-en nos compagnons tombés aujourd’hui. J’ai bien connu Valiel d’Athil. Il m’a formé … » Puis un autre cavalier se leva et commença à parler d’un autre compagnon. Et puis un troisième. Et puis un quatrième. La nuit s’avançait. Le rôle de garde changea et l’oraison continua autour du feu de camp. Tous parlèrent sauf le dernier, le Caledorien. Lorsqu’il sentit que tous attendaient quelques mots, il se leva. Les personnes présentes virent de l’humidité sur ses yeux. Il prit la parole, d’une voix triste. « Ce soir me rappelle des jours lointains. Un autre lieu, un autre moment, d’autres morts mais la même tristesse, la même douleur, les mêmes regrets. Tristesse parce que des Asurs ne reviendront pas chez eux et que des familles pleureront leurs disparitions. Douleur parce que j’ai perdu des proches lors de l’attaque de Tor Aesurii par des druchii et que chaque mort me les rappelle. Douleur parce que je ne suis ni assez fort ni assez puissant pour repousser nos adversaires et que d’autres tomberont en essayant. Je connaissais peu nos disparus d’aujourd’hui, à vrai dire. Mais demain, au lever du jour, lorsque leurs corps bruleront, je les honorerai comme des frères. A eux, les vrais héros ! » Il se rassit. Au matin, deux épaisses fumées noires s’élevèrent dans le ciel, rejoignant les derniers nuages assombris par la nuit. « Ainsi nous quittent de valeureux Ellyriens. Puissent-ils veiller sur nous lors des prochains combats. » dirent de concert les Asurs présents. Trois cavaliers prirent chacun un druchii sur leurs chevaux, les déposant en travers de la selle, comme des sacoches. Répugnants à faire monter ces traitres sur leurs destriers, Aktaïr avait dû parlementer pour bien faire comprendre à ses hommes la nécessité de ramener ces prisonniers au plus vite à Anlec. C’est donc avec deux druchii sur son cheval qu’il repartit pour Anlec. Ils quittèrent la plaine au trot en laissant derrière eux deux bûchers se consumant et une fosse où pourriraient les corps de leurs ennemis. Direction Anlec. Ils arrivèrent en vue d’Anlec au soir du quatrième jour. Alors qu’ils pénétraient dans le campement militaire, ils se rendirent compte de l’intense activité qui y régnait. Lorsqu’il mit pied à terre, Aktaïr se fit interpeler par un autre prince dragon. « Tu arrives bien. On lève le camp. On les a trouvés. » Aktaïr enleva la cagoule sur la tête d’un de ses prisonniers. « Je sais. On en a capturé quelques uns sur la route de Tor Achare. Ils tentaient de se faire passer pour des marchands. Où est Calderan ? Je dois lui parler. La ville est probablement infestée de ces traitres. » « Il se rendait auprès d’Enallion et de son conseil à ce que j’ai cru comprendre. » Aktaïr remonta sur ses étriers, hurla à ses hommes de le suivre. Lançant son cheval au trot rapide, il se dirigea vers les tentes du commandement. Il ne mit guère de temps pour arriver à cette dernière. Partout, les régiments se préparaient, heureux et impatients de se rendre au combat. On préparait le train et l’arrière-train de la troupe. A les voir ainsi, on aura cru qu’ils se rendaient à une fête tant la joie était palpable. Une fois pied à terre, il ordonna à ses hommes d’attendre sur place puis il se précipita à l’entrée de la grande tente du conseil. Au moment d’y pénétrer, deux maitres des Epées lui bloquèrent le passage. Aktaïr fit un pas en arrière et tel un coq, il toisa les deux guerriers de Hoeth. D’un regard fier et provocateur, il leur parla sur un ton ferme et arrogant. « Je suis Aktaïr, Prince Dragon de Caledor et membre de la garde personnelle de Calderan. J’ai été envoyé en mission sur les plaines entre ici et Tor Achare. Je viens présenter mon rapport à Enallion et Calderan. Laissez-moi passer. » « Rien n’est plus important que la réunion de ce moment. Nul ne peut venir troubler celle-ci. Tout au plus, tu pourras attendre la fin de cette dernière » coupa l’un des maitres. Aktaïr ne se laissa pas démonter par la vive réaction, alla à son cheval, détacha la furie et la poussa vers les gardiens, surpris. « Je n’ai que faire de tes ordres. Vois ce que j’apporte. Cela vaut bien un petit dérangement. Et j’en ai un autre attaché derrière ma selle. » Le guerrier de Hoeth cacha bien sa surprise. Prudemment, il appela l’huissier d’Enallion, sans quitter ce couple bizarre des yeux. Le serviteur d’Enallion ne put retenir un cri de surprise lorsqu’il vit le visage de la furie face à lui. « Crois-tu que ceci est suffisant pour déranger notre guide ? » demanda le Hoethien. « Certainement. Suivez-moi mais je vous prierai de laisser vos armes à la Garde » indiqua-t-il au Caledorien et à sa prisonnière. Aktaïr sortit son épée de son fourreau ainsi que sa dague puis poussa brutalement cette dernière devant lui. L’entrée du Caledorien fut saisissante. Le Furie en premier suivi d’un Prince Dragon est chose peu courante. Mais Aktaïr prit lui-même la parole, coupant les discussions en cours. « Seigneurs, pardonnez mon entrée impromptue. Je vous apporte quelque chose qui se promenait impudemment sur nos terres. » Il saisit les cheveux de la furie, les tira en arrière et d’un coup dans le creux du genou, il la mit à terre. « Force est de constater que vous revenez avec une belle prise, Prince Dragon, lui lança Calderan avec un sourire visiblement satisfait. Donnez-nous quelques détails ! » « Taisez-vous Calderan, ordonna Enallion. Et vous aussi, jeune impertinent. Est-ce une façon d’interrompre ses supérieurs ? Je veux votre rapport et non un récit de votre petite péripétie à la naine. Faites vite. » Aktaïr s’avança menaçant, portant machinalement la main vers sa dague… qu’il avait laissé à la Garde. Déjà les gardes s’avançaient, prêts à intervenir. Calderan s’interposa entre son chevalier et Enallion. « Quand cette histoire sera finie, vous répondrez pour vos insultes, charrueur de champs » répondit Aktaïr, tout en pointant son index vers Enallion. « Mais puisque tel est votre bon vouloir, soyez comblé. Nous avons intercepté un groupe de druchii déguisés en marchands qui se rendaient vers Anlec. Nous les avons percés à jour, nous leurs avons porté le combat, capturé les fuyards et nous vous les apportons pour interrogatoires, puisque vos dons de divination ne donnent rien. Mais il ne faut pas être devin pour se rendre compte que cette cité a été infiltrée. Si vous voulez les prisonniers, vous viendrez les chercher à notre campement » conclut le Caledorien avant de tourner les talons et de quitter la tente, laissant la furie sur place. C’est de retour au campement qu’il commença à se calmer. Déjà, un écuyer approcha pour prendre son cheval. « Attends petit, je retire les immondices qui traine sur mon cheval. » dit le noble en descendant de ce dernier. Il détacha le prisonnier restant. Il ordonna à ses compagnons de mettre aux fers leurs captifs puis d’aller se chercher un repas chaud et de se reposer un peu. Rentrant dans se tente, il posa son casque sur le porte-armure puis entreprit de retirer méthodiquement son armure. Une fois cette étape faite, il se servit une coupe d’eau, s’assit sur le lit et soupira à fendre l’âme. C’est Minweïr qui troubla la relative quiétude d’Aktaïr. « Bravo. Joli coup de filet. Et quel retour. Enallion a dû apprécier. » « Je me contrefous de ce qu’il pense. Cette bataille sera sa dernière bataille. S’il y survit, je le tuerai. » « Calme-toi un peu. Je me sers un verre. Cela ne te contrariera pas, j’espère. » « Fait comme chez toi, Minweïr. » « Tu es trop impétueux. Menacer de mort quelqu’un qui a des appuis politiques comme ce mage ne t’aidera certainement pas dans les prochaines décennies. Surtout devant des témoins. » « Des aveugles, des idiots et des pleutres. Tous des politiciens qui ne cherchent que leurs petits profits personnels ou de l’avancement. » « Ainsi va notre peuple. Tu dois t’y faire. » « Caledor a longtemps mené notre peuple sur le chemin de la Gloire et de la Grandeur. C’est nous qui chevauchions les Dragons. C’est un Caledorien qui a repoussé les assauts du Chaos, qui a rallié notre peuple. » « Tu ne vas pas aimer ma réponse mais c’est aussi un Caledorien qui a donné naissance au Roi Sorcier. » Aktaïr dévisagea Minweïr avant de répondre : « Au moins, tu es franc avec moi. » « Je ne suis pas le seul mais je suis le seul que tu écoutes. » « Rah, foutaises. Les autres nous envient, envient ce que nous fûmes, ce que nous sommes, ce que nous redeviendrons. » « Aktaïr, connais-tu la vrai force des Asurs ? » « Les Dragons de Caledor et leurs monteurs. » « Tu parles comme un vrai Caledorien. Toi qui voulais devenir un Maitre des Epées… » Aktaïr s’étrangla en entendant la réponse de son mentor. « Mais ta réponse est incomplète. Ce qui fait la force des Asurs, ce sont nos miliciens, qui forment un mur de lances, ce sont les Ellyriens qui patrouillent sans relâche, nous montrant la voie. Ce sont les Guerriers Fantômes qui harcèlent nos adversaires, les trompant sur nos intentions réelles. Ce sont nos jeunes archers qui criblent de leurs traits nos adversaires. C’est la Garde Maritime qui protège nos côtes. Ce sont les auriges de Tiranoc qui créent des brèches dans les lignes adverses. Ce sont les Heaumes d’Argent qui disloquent les lignes adverses. Nous formons un tout. Caledor est le fer de lance de la cavalerie asur. Cependant, nous ne combattons pas seuls. Réfléchis-y. » « Merci pour cette leçon. Malheureusement, pour l’instant, j’ai l’esprit ailleurs. Nous avons ramené des prisonniers qu’il convient de faire parler. » « Soit. Sais-tu ce qu’il s’est passé pendant ton absence ? » « Non, mais visiblement, cela a décidé Enallion à bouger. » « Exact. Des informations lui sont parvenues. D’après lui, ces dernières sont d’une fiabilité à toute épreuve. Nous connaissons l’emplacement du camp druchii. Il servirait de point de départ pour des raids, des actions de sabotage, des assassinats, etc. » « C’est n’importe quoi, s’insurgea Aktaïr. Y-a-t-il eu des actions de ce genre qui prouvent cette thèse ? A-t-on vérifié ces informations ? Depuis le temps qu’ils ont débarqué, ils ont eu tout le temps de commencer leur travail de sape. » « Calderan a réagi comme toi. Mais Enallion n’a rien voulu entendre. Mais tu dois être fatigué. Repose-toi. Couche-toi. Du boulot nous attend demain. » Avec un professionnalisme consommé, les Caledoriens avaient démontés leur campement en un temps record. Prêts à faire mouvement, les Princes Dragons se mirent en tête de colonne. Des Patrouilleurs Ellyriens se placèrent sur les flancs, observant les environs pour prévenir toute tentative d’assaut. « Où sont-ils ? », questionna un des Princes dans le rang. « Au nord de la rivière Iraïne, près un lieu appelé la tête de coq. Il parait que c’est une série de colline de granit aux parois escarpées. », lui répondit-on. « Quoi ? Entre une rivière difficile à traverser et un côté infranchissable par la cavalerie ? On passera par où ? En plus, on est tout sauf discret. Ils vont nous attendre de pied ferme. », reprit le chevalier du rang. Aktaïr regarda ses voisins. Visiblement, tous avaient la même impression suite à ces révélations. Et il fallut quatre jours de voyage pour que cette impression se confirme. Le rapport des éclaireurs était éloquent. Devant la plaine allant vers la mer, la tête de coq ressemblait plus à de titanesques menhirs collés les uns au autres sur plusieurs kilomètres. La Rivière Iraïne venait du sud, des monts Annulli et, ne pouvant passer à travers la Tête de Coq, elle serpentait à distance respectable de celle-ci. Peu profonde mais large, elle coulait calmement, ignorant les vivants. Le camp druchii se situait entre un ensemble de collines et la rangée granitique. Une route y passait. Pour ce faire, elle traversait la rivière par un pont, puis rejoignait à la sortie de ce petit défilé un bois de feuillus. A ce tableau, les éclaireurs rapportèrent la présence d’un petit mur de pierres plates sur les collines. Ce moyen d’empêcher des moutons de se rendre à la rivière suivait à cent cinquante mètres le cours de cette dernière. « Vraiment jovial comme champ de bataille. Nous devrons traverser la rivière, reformer nos lignes, marcher vers le mur de pierre, passer outre et aller jusqu’au camp adverse. Autant leur abandonner la porte du Griffon pour voir si on peut la reprendre… » « Votre humour sarcastique ne nous aide guère, Seigneur Calderan, reprit un des aides de camp d’Enallion. » « Peut importe. Les unités qui formeront la première ligne d’assaut ne seront pas nombreuses à arriver au mur. » « C’est pour cela que vos Princes Dragons nous seront d’une grande utilité demain matin. Vous percerez les défenses du pont de l’Est, contournerez les lignes adverses et attaquerez l’arrière-train adverse. Nos chars vous suivront de près pour percuter les troupes massées derrière le mur. Pendant ce temps, les Ellyriens traverseront à gué la rivière à deux kilomètres à l’ouest de la forêt, longeront la Tête de Coq et tomberont sur leurs arrière aussi. Nos lanciers, couvert par nos archers passeront aussi la rivière à gué et engageront les défenseurs du mur le temps nécessaire aux Maitres des Epées et aux Lions Blancs d’arriver pour provoquer le surnombre et passer outre. Voilà mon plan ! » finit Enallion, visiblement fier de lui. « Mais les lanciers vont subir de plein fouet la puissance de feu de nos adversaires. Nous serons décimés avant d’arriver sur place… et puis qui couvrira nos flancs ? » reprit un des capitaines présents. « Il y aura des pertes mais c’est le prix à payer pour anéantir ces envahisseurs. Mais nous sortirons vainqueurs. », rétorqua le mage, balayant ainsi toute velléité de contestation. Calderan voulut prendre congé mais Enallion le retint un moment. « Je veux que ce prétentieux commande la charge des Ellyriens. » « Pourquoi ? » le toisa Calderan. « Parce que tel est mon bon vouloir et qu’il aura fort à faire là-bas ». « Il appréciera cet honneur. Puis-je ? J’ai des ordres à donner. » Calderan sortit mais il ne fit pas cinq mètres que déjà le ton montait dans la tente de commandement. Arrivé à son campement, il appela ses guerriers. Tous se rassemblèrent. « Messieurs, nous avons nos ordres de bataille. Ils sont simples : demain, nous passerons le pont à l’est, contournerons l’adversaire et, s’il n’a pas fuit, nous nous occuperons de ses arrières. Les chars nous suivront et percuteront leur flanc dès que possible. L’infanterie passera par la rivière chargera le mur tandis que les Ellyriens contourneront par l’Ouest notre ennemi. Des questions ? » « Seigneur, une seule, demanda un chevalier du rang. A-t-il vu le champ de bataille avant ? » « Je suppose mais la vision des mages de Saphery est différente de la nôtre. Ces sages ont étudié dans plus de livres que nous. Espérons que cela aura rendu le nôtre plus intelligent. Mais quoi qu’il advienne, vous serez à mes côtés lorsque la bravoure et la valeur de Caledor seront à nouveau mise à l’épreuve. Ecrivez à vos familles et préparez-vous du mieux que vous le pourrez. Notre ennemi nous attend. Chevaliers de la Garde, suivez-moi dans ma tente. » Les rangs se dispersèrent et les chevaliers commencèrent à se préparer à la lutte prochaine tandis que la Garde rejoignit Calderan sous sa tente. Un des gardes commença la discussion. « Seigneur, j’ai vu le terrain. Nous serons attendus de pied ferme. Les Druchii savent que nous sommes là. La résistance sur le pont sera féroce. » « Et croire que les lanciers passeront outre de la rivière tient plus d’une prière, renchérit un autre garde. De plus, les Ellyriens seuls ne perceront pas l’autre flanc. Le terrain ne nous est pas favorable et nous ignorons la force de notre ennemi. Nous ne savons même pas qui les commande. » « Nous ferons notre devoir, messieurs. Quoi qu’il advienne. Et je suis heureux de monter en ligne avec d’aussi bons combattants caledoriens. J’ai fait parvenir une lettre de protestation à mes contacts au palais. Mais les débats sur l’opportunité de cette attaque, dans ces conditions, n’ont même pas encore commencé. De plus, j’ai essayé de faire changer d’avis ce mage. Mais rien n’y fait. Il a « lu dans les astres » une brillante victoire. » « Cet abruti n’est pas foutu de lire un terrain et il lit dans les astres. Un enfant de vingt ans serait plus éclairé que lui. » lança Minweïr. « Mais cet enfant ne commande pas. Par contre, je veux que vous repreniez contact avec nos amis dans les autres régiments. En cas de problème, autant se rallier tous autour d’une même bannière, poursuivit Calderan. Mais la plus mauvaise nouvelle est pour vous, Aktaïr. Vous commanderez les Ellyriens. » « Quoi ? Mais de qui vient cet ordre ? », s’esclaffa le jeune noble. « D’Enallion. Et il doit vous en vouloir beaucoup pour avoir insisté sur ce point. » « Si je survis à cette bataille, je lui aplatirai le nez avec les fers de mon cheval. » « Pensez surtout à votre commandement. Les Ellyriens auront besoin de vous dans cet assaut. Allez, vous avez tous à faire pour demain. » conclut Calderan. Aktaïr tourna les talons, l’amertume en bouche. Minweïr se rapprocha et lui mit une tape sur l’épaule. « Ca ira. Tu es bon cavalier. Les Ellyriens savent aussi se battre. » « Enallion veut ma peau. Et en plus, je me battrais loin de mes Frères d’Armes. » « Mais tu seras sur le champ de bataille et tu te battras avec toute la hargne qu’un Dragon de Caledor puisse montrer. » Aktaïr regarda la lune se lever. Au loin, le champ de bataille. « Au moins, on mourra chez nous. » /**************************************************/ Toujours bonne lecture ? Aktaïr
  3. Bonjour à tous, Apocalypse sort dans toutes les bonnes librairies. Dès lors, vous serez probablement nombreux pour faire part ici de vos impressions. Mais voilà, ici, ce n'est pas le bon endroit. En effet, il y a un forum réservé à Apocalypse: Lien vers Forum Apocalypse. Les plus perspicaces d'entre vous ont certainement déjà remarqué qu'il se trouve dans 40K - Autres Jeux. L'équipe de modération vous remercie d'avance d'y poster directement vos commentaires. Aktaïr
  4. Perso, j'ai fait un petit test pour essayer de dynamiser le tour par tour 40K. Cela donne ceci: un système SDA "amélioré" appliqué à 40K: Rapidement, cela donne: les 2 joueurs lancent 1D6: le plus haut joue en premier. On ajoute à ce D6 la valeur stratégique de son armée. 1) mouvement et mouvement de mise en contact de la charge du 1er joueur. (on bouge de 6 - 12 - 18 pas direct) 2) idem pour le 2ème joueur 3) phase de tir du joueur 1 4) phase de tir du joueur 2 5) résolution des closes. Votre avis sur les évolutions et autres à apporter... Aktaïr
  5. Aktaïr

    Apocalypse

    Modo on: Kharn-party... Je rappelle que ce thread ici - qu'il est bien - est là pour les rumeurs/infos photos. Pour les règles, il est de bon ton de lire l'autre sujet (qu'il est bien aussi). Aktaïr, Je suis le Marteau ...
  6. Aktaïr

    Codex Apocalypse

    MODO ON: Kharn-party finie... le débat sur le skullhamma a été transféré dans la partie photo. Aktaïr
  7. Merci pour vos infos. Je soumets à votre sagacité l'idée que je me fais d'une flotte suite à vos conseils et à la relecture de certains points de règles. 750 pts: on a 4 croiseurs, 3 Gladius et 1 Maitre de flotte. 1000 points: 5 croiseurs, 3 gladius, 2 nova et 1 maitre de flotte. PS: Flogus, je ne sais pas lire ton fichier. Le lien est http://spacemarine.pdf . Aktaïr
  8. Petite question complémentaire: La flotte SM n'est-elle pas faite pour partir à l'abordage? Aktaïr
  9. Bonjour, je projette de me monter une petite flotte pour des parties de 750 à 1500 points. Space Marine, la flotte. Quelques points que j'aimerais abordé : le SM utilise avant tout ses croiseurs comme plateforme d'assaut planétaire (De là à dire Epic, mon amour ... ). Ce ne sont pas à proprement parler des vaisseaux de lignes comme ceux de la flotte impériale même si on a du blindé de chez blindé avec cloisons renforcées et tout et tout. Dans la manière même de manipuler ces vaisseaux, on s'oriente donc plus vers une flotte qui va au contact des vaisseaux de l'adversaire. Vision trompeuse ou je suis dans le bon? Le peu de diversité des vaisseaux oriente une liste à forte teneur de croiseurs d'attaques avec éventuellement une barge quand on sort les grosses parties pleines de points. De nouveau, vision trompeuse ou réalité profonde? Les escorteurs sont-ils là pour faire quelques dégâts aux vaisseaux de ligne adverses, à la manière des archers battle qui suppriment le bonus d'un rang, pour autre chose ou pour faire joli dans la liste? Les thunderhawks ne sont-ils pas plus intéressants à jouer? Quelqu'un aurait-il un tactica SM pour BFG? Enfin, fluffiquement parlant, c'est quoi la composition d'une flotte de chapitre ? Aktaïr
  10. Bonjour à tous, les règles épinglées de ce forum ont été mises à jour. Je vous invite vivement à en prendre connaissance. J'en profite pour rappeler que la charte est toujours d'application. Et, comme on n'a pas l'occasion de boir eun verre tous ensemble, je tiens à vous féliciter pour la créativité dont font preuve certains. Vos idées sont étonnantes sur certains points. Bonne création à tous, Aktaïr
  11. Un peu de couleurs dans le codex (souligne, gras, italique, etc) serait le bienvenu. Cela aiderait à la lisibilité/clarté du texte au premier regard. Mais c'est très bien en tout cas. Déjà testé en vrai ? Aktaïr
  12. Les unités combattantes sont plus des "sapeurs" que des unités du Génie. Mais soit, c'est juste pour la terminologie. Tu as une approche assez semblable avec Odiron. Alors, simple proposition: pourquoi ne pas en discuter entre vous pour faire un truc commun? Même remarque pour Odiron. Aktaïr
  13. Cela commence bien et c'est original comme concept: les "IW" de la Garde Impériale. Aktaïr
  14. Merci de faire un effort avec la Sainte Orthographe, article 4 de la Charte. Certains ont déjà été mis en demeure et il convient de ne pas trop exagérer avec notre patiente. Aktaïr
  15. Parce que sa campagne narrative est bien faite, je la rajoute. Eliminez le Gouverneur. Bravo à Odiron. Aktaïr
  16. C'est exactement ce que je leur reproche. Trop fragile donc besoin du nombre pour encaisser le choc premier. Mais trop cher donc cout excessif du pâté pour lui faire remplir son rôle. La solution actuellement est de jouer les lanciers autrement. Zara l'a dit, me semble-t-il, et je suis d'accord avec lui, mais un pâté tout seul n'a pas de raison d'être, deux minimum, par contre est nettement plus intéressant tactiquement. Les adversaires "avec un peu de bouteille" placeront idéalement ces unités en fonction du terrain ou parce qu'ils ont plus de troupes et donc pourront les placer après, à l'endroit le plus utile. Tu ferais pareil, Zara ferait pareil, Alexane ferait pareil, je ferais pareil (si je suis dans un bon jour). Le problème n'est pas le sous-nombre. Le problème est que pour jouer l'infanterie, il faut pouvoir charger, il faut pouvoir infliger des pertes ou apporter des bonus de rangs, avec bannière. Le profil elfique (qui a un profil des plus agréables) lui donne un avantage certain à ce petit jeu. Dans le cadre d'une armée d'infanterie, les MdE font les pertes, très logiquement, les lanciers apporteraient les rangs. L'autre solution est de mettre au rancart les lanciers et de sortir des HA, plus mobile, mieux protéger, ayant une meilleure force de frappe et surtout ... nettement moins cher. Ils n'apportent pas les rangs mais les annulent en trouvant le flanc. (@Zara: t"as vu, je connais bien le tactica... ). @Zara: Mauvaise foi? Je ne crois pas. 250 points pour 4 rangs et l'EMC qui saute à la première perte, c'est trop cher pour de l'infanterie de base, fussent-elles d'élite comme les HE. Dans le tactica HE, les premiers paragraphes parlent du fait que le profil explique le cout élevé du HE en général. Oui, 200% d'accord avec toi. Le hic vient que le prix en point a été évalué sur le profil d'une fig et non sur le prix d'un rang. Aujourd'hui, avec le rang de 5, le lancier est surestimé. En V6, les jouer par 12 ou 15, style MSU/lancier d'assaut avec 3 PV pour les pertes au tir, c'était jouable. Aujourd'hui, le rang à 5, c'est ... trop luxueux pour une perte encore plus flagrante d'efficacité parce que les bonus fixes ont été diminués. @Tous: Les lanciers ne sont pas nuls. Si vous avez compris ceci, c'est que je me suis mal exprimé. Pour rappel, le titre est : "Pourquoi modifier les lanciers?". Je tentais de démontrer que pour leur cout, avec les rangs à 5, ils sont "hors application". Et comme Zara dit, on a mieux à côté que la V7 n'a pas bridé. @Skalf Ben, il y a un tactica qui demande à être revu. Toute participation est la bienvenue. Et accessoirement, je suis preneur de tout conseil en MP Aktaïr
  17. Salut Furion, j'aurais bien discuté avec toi à Ath de ce sujet mais je n'y vais pas. Réponse ici, donc. Si, le lancier (HE ou pas)est défensif. Sinon, la règle des lances (ajout du rang supplémentaire) permettrait, même en charge d'avoir ce rang. Tu dois être chargé pour bénéficier des attaques supplémentaires. Après, là ou les HE sont avantagés, c'est la règle soldat citoyen qui donne 2 rangs de frappe à la base à leurs lanciers. Tu joues mercenaires, Furion. Tu dirais que tes piquiers sont offensifs? Je n'ai pas dis que le corsaire était défensif. Il a 2 armes de base, une meilleure svg que le lancier (peau de dragon) contre le tir, la même svg qu'au corps à corps. Bizarrement, Il coute moins cher, d'ailleurs. Mais la grosse différence, c'est qu'un corsaire, à 9 ou à 8, il frappe toujours avec ses 2 A. Le lancier, lui, il doivent être 10 pour tenir l'équivalence du point de vue offensif. Donc plus de troupe donc plus de points à la base. Faut tout lire. Les HE sont chers, et les unités de soutien seront peu nombreuses. Je n'ai jamais dit qu'il n'y en avait pas. Tactiquement, les HE ont la supériorité numérique s'ils frappent en un point. 6000% d'accord avec toi. Tout comme une charge de flanc annulant les rangs, avec le +1 qui va bien avec... jusqu'au moment où tu t'enlises, face à une unité tenace, indémoralisable, morte vivante ou que tu ne gagnes pas le combat. Le prix d'un pâté de lanciers (ou de MdE ou de GP ou de LB) est tellement exorbitant (et 2 pâtés sont mieux pour le soutien mutuel et éviter l'aimant à tir) que ce qui te reste en point te forcera à choisir tel ou tel soutien et te privera de tel ou tel ajout fort intéressant mais impayable (par manque de points). Ce raisonnement est encore plus flagrant avec la GP (qui elle est injouable). Jouer en MSU... c'est très difficile avec les HE, encore plus que de jouer de manière classique. Pour l'intelligence des joueurs en cours de partie, je ne peux rien non plus. Pour la polyvalence, je trouve qu'ils souffrent trop de leurs carences. Toute l'armée n'est pas adaptée aux tournois. Elle s'en sort mais elle n'a pas le potentiel pour les gagner. Maintenant, face aux guerriers orques, aux hallebardiers et aux guerriers des clans, vu la différence de prix du pâté, en 1 contre 1, encore heureux qu'ils soient plus efficaces. Mais tu sais comme moi que les autres seront rarement seuls. Aktaïr
  18. Argh, faudrait que certains (re)lisent tout le sujet. Mais, en pédagogie, la répétition fixant la notion, je recommence. Je rappellerai juste mes tentatives de démonstration sur la "bancalité" du lancier HE en l'état actuel, à savoir 11 points. Le lancier est avant tout une unité défensive. Est-on au moins d'accord sur ceci? Dans ce cas de figure, celui pour lequel le lancier a été initialement créé: - Le lancier est trop cher pour constituer une unité défensive (à savoir 4 rangs complet avec EMC), - trop fragile avec son E de 3 (mais c'est le lot de beaucoup de fantassins, tant skaven qu'humain) , - trop peu blindée pour encaisser des frappes lourdes (comme tout fantassin) - trop peu fiable avec son CD de 8 ET SA QUASI IMPOSSIBILITE D'ETRE TENACE OU IMMUNISEE A LA PSYCHOLOGIE - sa lance empêche la combo bouclier + arme de base et donc de monter sa résistance (c'est le lot de tout les lanciers) sous peine de perdre "soldat-citoyen". - sa force de 3 empêche tout percement d'armure (c'est le lot de énormément de troupes) Ce sont là les désavantages des lanciers HE. Les avantages maintenant (car oui, il y en a): - soldat citoyen permet de mettre plein de pains dans la goule d'en face. C'est dévastateur contre nombres d'infanteries adverses, peu protégée et/ou peu endurante. - la CC de 4 qui permet de faire souvent 3+ pour toucher. - le mouvement de 5 qui permet de charger l'adversaire avant d'être charger. - l'initiative de 5 qui permettra de frapper en premier après le premier round de combat. Sur celà, est-on aussi d'accord? Je continue: - Pour profiter des attaques sur 3 rangs, il faut déjà payer bien cher (165 points et il faut rajouter l'EMC). - Pour profiter des attaques sur 3 rangs, il faut avoir des rangs larges: 18 lanciers, c'est 198 points. - Pour profiter des attaques sur 3 rangs, il faut avoir tenu au moins un round. L'initiative est là pour prendre l'avantage à ce second round en frappant en premier; - Pour éviter de subir trop de perte suite à une charge, il faut charger pour frapper en premier, principe de base à Battle. Le mouvement de 5 est une bénédiction. Mais 2 choses: une unité défensive qui charge me choque. Une unité défensive qui quitte sa position pour charger doit le faire avec du soutien (dans le cas des HE). Vu le prix de l'unité, les unités de soutien ne seront pas légions. Il faudra battre, faire fuir et détruire l'unité adversaire pour éviter l'enlisement du combat. Dès lors, à quoi sert l'initiative de l'unité? A quoi sert cette unité défensive puisqu'elle doit se comporter comme une unité offensive. A quoi sert cette superbe règle défensive si c'est pour ne pas en jouir pleinement. A quoi sert le haut mouvement des soutiens si c'est pour attendre que les lanciers soient sous la menace d'une charge? A quoi servent les lanciers si les soutiens ont fait le ménage en utilisant leur grande vélocité? Dans le premier cas, on a des corsaires EN qui eux, sont nettement mieux protégés. - la CC 4 permet de toucher sur du 3+. Cool ... si on frappe en premier, mais ça, c'est du domaine du possible (M et I élevé). De l'autre côté, avec une CC de 3 ou de 2, l'unité adverse sait que de toute façon, elle touchera sur 4+. Infanterie HE d'élite mais, in fine, qui encaisse comme le guignol de base chez l'adversaire (genre guerriers skaven). Finalement, une CC de 4 fait plus gadget qu'autre chose, même contre une . M et I sont de réels avantages. Une grande CT est un avantage. - Sur la SVG de 5+ combinée avec une E de 3: le F de 4 blessera sur 3+ et la svg diminuera à 6+. Pour la F5, on sait quoi. L'elfe, combattant d'élite, meure comme un skaven ... A non, le skaven (ou l'humain), il a un bouclier, une armure légère et une arme de base. Finalement, le skaven (ou l'humain) est tout aussi défensif que le HE, coute moins cher et encaisse mieux. Certains diront que les lanciers peuvent leur arme de base. Oui mais alors, à quoi ça sert, le soldat-citoyen bien cher? En conclusion: le lancier coute cher, parce que c'est un combattant d'élite mais il a le "cul entre 2 chaises": ni défensif, ni vraiment offensif (car il faut au moins 2 rangs pour bénéficier du full attaque citoyenne-lance) et les deux cas sont tout aussi chers. Convaincu par la nécessité de modifier les lanciers? Les rumeurs maintenant: - la baisse de points: une nécessité à mon sens pour avoir plus d'un (donc 2) pâté pouvant bénéficier des avantages du pâté d'infanterie sans excessivement diminuer les possibilités de jeu, à 20 lanciers sur 4 rangs et EMC au départ de la partie. - l'armure lourde: apporterait certainement un plus en résistance. Le lancier à 9 points, avec ces 2 rumeurs me semble être un bon prix: il chargera le nain, avec beaucoup d'attaques donc peu blesseront. Le nain ripostera avec peu d'attaques mais blessera plus facilement avec une armure moindre. Cela s'équilibre. - le "strike first": la rumeur qui fait débat. Frappe toujours en premier, frappe en encaissement d'une charge de face. Comme c'est très très flou, j'éviterai de commenter, d'autant plus que si c'est une règle touchant toute l'armée, il faudrait voir le reste de la liste (genre lancier moins cher mais troupes d'élite elfiques plus cher). Aktaïr
  19. Comparer avec le lancier EN est une mauvaise idée: il n'est pas réédité. Sa "révision" a surtout été faite pour satisfaire les joueurs EN anglophone appuyés par un fort lobby écouté chez GW. Sur la diminution du cout du lancier Pour mon explication, je ne prendrai que les LA sortis jusqu'à présent: Nains, O&G, Empire, ES. Je laisse volontairement les autres, car non V7-MàJ. Le guerrier nain de base, base même du mur défensif nain coute 8 points. Dans ce rôle, il dispose de nombreux avantages: grosse svg (3+ au close), belle endurance (4) et commandement de 9, histoire de tenir la ligne. Il a une CC de 4 et une F de 3 et une initiative de me... . Il peut sortir une arme lourde. On peut aussi sortir les stats et prix des orcs guerriers ou leurs archers, sous-évalué et très polyvalent ou de l'épéiste impérial/lancier impérial ou bien la garde éternelle. A côté de ces nouvelles infanteries (V7 OK), le lancier elfique (N ou H) ne tient pas la route. C'est dû à plusieurs choses: Le rapport entre CC des infanteries d'élites et des infanterie normales est trop ténu pour avoir vraiment un impact. Soyons franc: seul les persos sont touchés sur 5+ et encore, pas tous. Les restes c'est en général du 4+ voire 3+. Les modificateurs appliqués par les forces élevés, très représentatifs (et logique) mais l'infanterie a des armures qui sautent très vite. C'est compensé en partie par la combo épée+bouclier, par les rangs, par les étendards/musicos moins cher, la PU. Il est à noter que l'initiative ici ne joue qu'à partir du second round de CàC. Si l'infanterie d'élite ne peut pas tenir jusqu'à ce deuxième round, elle ne sert pas plus qu'un pâté de gobelin (aux options et prix plus intéressants d'ailleurs). Il ne faudrait pas penser en termes de stats de la fig mais en termes de bonus/malus par rapport aux règles. Je m'explique. Le lancier HE à 11 points en l'état actuel, est toujours trop cher. 8 points me semblerait plus correct. 8 points parce qu'il bouge vite (choix du lieu de son càc, son moment et l'avantage de la charge), parce qu'il a une forte chance de frapper en premier avec plein d'attaques à partir du second round de corps à corps avec une CC de 4. Mais pas plus car il a une faible svg, une E qui le verra blesser au mieux sur 4+ (F 2 et 1 sont rares à Battle), un Cd de 8 (non tenace, non immunisé à la peur/terreur) et que la force de 3 qui, outre le fait de blesser difficilement (4+ au mieux) ne perce pas les armures. 8 points pour le lancier frappant sur 3 rangs dans les conditions cités ci-dessus, c'est bien payé pour de l'infanterie d'élite qui peinera à gagner un combat en ne comptant que sur ses propres prouesses martiales. Aktaïr
  20. Bonjour, avant de me faire tirer dessus, j'insiste sur le fait que je n'ai pas tout lu, étant au taf. De plus, comme c'est moultement argumenté, j'avoue avoir un peu de mal. Je relirai au calme le tout et j'éditerai si j'ai dis une grosse co...rie. Pour ma part, dans le club où je joue, on a l'habitude de régler ce genre de cas de la manière suivante: Une unité charge des tirailleurs. On regarde la ligne qui va de centre à centre (et arrachage de cheveux quand on pinaille sur le centre des tirailleurs). On bouge au bon moment l'unité chargeant. Lorsque cette dernière impacte le premier tirailleur, ces derniers s'alignent sur l'unité chargeante. Pour les machines de guerre, pareil. A ceci prêt qu'on avance les servants sir c'est la machine qui est touchée en premier. Aktaïr
  21. C'est logique quelque part. GW a mis en place un système de commande à la VPC via ses magasins. De là, on peut donc logiquement dire: jeu accessible plus facilement car commande plus facile. Le WD sert de présentoir et on peut commander via les magasins. On relance les jeux comme BFG sans pour autant occuper des rayons en plus dans le mag. Reste que ce serait sympa de pouvoir faire des parties de BFG dans les magasins GW. On finirait peut-être par rencontrer d'autres joueurs près de chez soi. Aktaïr
  22. Je me demande si GW n'est pas en train de demander aux joueurs: Dites-nous où vous voulez acheter vos figs et on essaiera de trouver un accord avec le revendeur. En contre-partie, vous gagnerez une boite de bataillon. En fait, je ne me pose pas la question, j'en suis presque certain. Pour la Belgique, c'est bon pour moi. (Au passage, les seuls GW en Belgique sont du côté francophone du pays). Si au moins, on pouvait la choisir, la boite de bataillon... Aktaïr, vieux raleur...
  23. Il tapottait sur la crosse de son pistolet-bolter à averto lorsqu'il vit le Grand Prophète rentrer et que la discussion s'animait. Il regretta qu'il n'y ai plus de place de libre sur la banquette 3 places Pour la Charte du Wywiwyg, je suis partant. Pour ma part, les équipements ayant le plus d'impacts doivent être clairement identifiés/identifiables. Le Wysiwyg pur et dur est à mon sens trop restrictif en termes de liberté pour les modelistes. Mais de là à dire que le Kikoup est un marteau Tonnerre, non, désolé: c'est et ça reste un kikoup... Une arme énergétique, ça pourrait encore passer Aktaïr
  24. Parce que certains poussent une gueulante (injustifié parce que hors sujet), que d'autres répliquent (prolongeant le hors sujet) et que cela va faire partir le sujet en c.., j'interviens et j'efface les 3 posts. Si vous voulez discuter du prix des kits FW, de leurs pseudo-implications dans le wysiwyg et des efforts à faire sur le modélisme/conversion, ouvrez un autre post. Au besoin, je peux aussi coller 20% pour calmer tout le monde. Aktaïr
  25. Pour bien comprendre ce pourquoi du comment, tu nous fais un topo sur la nécessité du wysiwyg en tournoi? Cela apporterait un plus à la discussion. Je le ferai bien mais n'étant pas orga de tournoi ... Aktaïr
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