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Falcrisos et Co


Inxi-Huinzi

Messages recommandés

Merci Imp de ton ton soutient qui est bien le seul d'ailleurs :mrgreen:. Je mets ce qui manque et personne ne reponds :whistling: Bon en attendant l'histoire continue (j'en profite bientot la rentree). Bon je sais pas si c'est a cause du texte de Mr. Petch mais j'ai une impression de baclee, enfin, les courageux me le diront!

Chapitre VII : Destination finale en vue

Falcrisos dodelinait de la tête paresseusement, suivant le va et vient de sa monture. Ses paupières refusaient de lui obéir et il luttait pour ne pas sombrer dans le sommeil. Ses compagnons n’étaient guère plus énergiques, eux aussi se laissaient bercer par le lent mouvement répétitif de leur cheval. Après un soupir, Falcrisos ordonna une pause, il choisit un endroit où la chaussée était plus large et qui dissimulait, par chance, une grotte. Les amis s’engouffrèrent dans cette cavité après une vérification des gnolls, bien entendu.Qui savait ce que cette terre hostile pouvait dissimuler? Ils laissèrent les gnolls monter la garde, aucun d’eux ne voulant s’occuper de cette corvée. Ils allumèrent un feu, espérant ainsi dissuader quelque prédateur de les attaquer pendant la nuit mais ils espéraient aussi ne pas alerter d’éventuels éclaireurs patrouillant dans la région. Ils firent un cercle autour de ce petit brasier et se mirent à discuter :

« Bon c’est quoi le plan pour rentrer ? »Demanda Neryma.

« Bah déjà il faudra enfiler ces vêtements. » Dit-il en sortant de vieux manteaux noirs.

« Ensuite nous nous glisserons discrètement à l’intérieur de la cité, et nous libérerons les otages, tuerons leur chef, prenons le pouvoir, rallions ses armées, et restituerons le pouvoir au peuple » dit Falcrisos.

« On a le droit de mourir combien de fois ? »Demanda Tran.

«Juste une centaine… »Répondit Falcrisos.

« Bon moi je propose, dit Neryma, que l’on s’infiltre et que l’on fasse de l’improvisation »

Quoique risqué, ce plan satisfaisait l’ensemble du groupe, il était déjà plus censé que celui de Falcrisos. Les compagnons se glissèrent sous leur couverture respective. Falcrisos ne parvint pas à trouver le sommeil, il fixa la lune qui effectuait sa montée au firmament. Il avait peur de retomber dans ses rêves.Qui sait, une fois le cap de la découverte de l'identité de la personne franchie, de quoi peut-on rêver? Lentement, la fatigue prit le dessus, ses paupières se firent lourdes et il sombra dans un profond sommeil. Il se retrouva dans cette même pièce avec cette même personne, mais il ne distinguait toujours pas son visage. Elle se mit à répéter inlassablement ces gestes que Falcrisos connaissait par cœur. Il réussit à crier, seules ses cordes vocales acceptaient encore de lui obéir :

« Quoi, qu’est ce que cela veut dire ? Etes vous ma mère ? »

Elle continuait de répéter ses gestes, encore et toujours.

« Je vous en supplie répondez-moi ! »

Elle tourna le regard vers lui, mais aucune lumière ne vint le ramener à la réalité. Elle tendit les bras dans sa direction. Ses bras, après un effort psychologique intense, se tendirent de même vers la personne qu’il pensait être sa mère. Il allait la toucher quand cette lumière aveuglante, comme surgit de leur contact, le réveilla. Falcrisos s’étira, et se dit que plus cette affaire sera tirée au clair mieux cela vaudrait pour lui, ses compagnons dormaient toujours. Falcrisos sortit de la corniche, pour regarder le paysage : Ils arrivaient au sommet de la montagne, de l’autre côté ils apercevraient une lande s’étendant à l’infini, une lande gigantesque et hostile à tel point que pas même la végétation ne s’y risquait. Il s’assit sur un rocher, et fixa un point imaginaire lointain. Falcrisos ne savait pas à quoi s’attendre dans cette cité, il serait au plus proche du mal, et il espérait que ses compagnons ne flancheraient pas. Son regard portait toujours dans le vide, pendant ce temps ses compagnons s’éveillèrent un à un. Une de fois de plus, ils reprirent la route : mieux valait ne pas s’éterniser dans le coin.

Ils ne leur fallut pas moins d’une heure pour parcourir les cent derniers mètres de dénivelé. Arrivé en haut, la vue aurait pu être belle s’ils ne s'étaient trouvés dans cette partie du globe, mais ils se retrouvaient non loin de la cité de Garkon-Gar. Une simple plaine quoiqu’en ayant perdu toutes les propriétés, les séparaient de leur destination.

Mais pour cela, il nous faut un bref éléments de civilisation Elfe noir

Quoique souvent caricaturées, les villes Elfes noires ressemblent beaucoup à celles humaines. Des activités commerçantes, une agitation des habitants, patrouille des gardes : Quoique beaucoup plus cruelles, elles s’occupaient de nettoyer les rues des villes. Mais bien sûr il ne faut pas croire qu’elles sont en tout point identiques. Déjà par leur aspect : Sombres, noirs, et dangereuse, si la mort devait avoir une image ces villes correspondraient parfaitement. Ensuite par les personnes logeant dans ces villes, tous des tueurs potentiels, poignardant sans la moindre hésitation pour promouvoir leur ascension sociale. Ces cités sont généralement dirigées par des matrones, les femmes étant considérées comme supérieures aux hommes, mais celles ci n’en sont pas moins exigeantes, elles brûleraient un village pour un moindre caprice ! Les cités sont généralement dirigées par plusieurs clans, sauf la capitale, dirigés par cet homme, celui dont il ne connaissait pas le nom. Ces clans sont généralement en conflit permanent, le but pour devenir le clan phare de l’empire Elfe noir, est d’être le clan le plus machiavélique, détruire ses concurrents le plus parfaitement possible : Tout le monde doit mourir lors de l’attaque, pas de témoin, pas de survivant sinon le clan peut être exterminé par tous ses concurrents, c’est la règle ! Bien sur les clans désirant la destruction pour venger le clan attaqué, bah oui s’il a des témoins !, ont des faveurs du Roi-sorcier, généralement des troupes.

Le peu de lumière reflétaient l’image de la cité qui s’étalait juste en dessous. Une variation d’énergie provenant de la montagne, secoua son corps.

« Mon fils arrive, enfin »

@+

-=Inxi=-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Euh... En effet, il y a un léger relâchement...

Bon, de multiples et assez ennuyeuses répétitions, des tournures de phrases pas toujours claires...

Franchement, (je vais être un peu plus dur avec toi, parce que je sais que tu sais qu'on sait que tu sais écrire) tu pourrais faire mieux! Relis-toi, travaille un peu!

Merci Imp de ton ton soutient qui est bien le seul d'ailleurs

C'est tout naturel, ton texte me plaît! Dès lors, je vois pas pourquoi je ne te soutiendrais pas! Pour ce qui est des autres... Ben ils sont peut-être occupés. Tu sais, en ce moment, j'ai beaucoup de temps à moi et je peux donc me permettre de lire ce qui me plaît! Mais, je risque de bientôt devoir m'absenter... Donc, j'aurais du mal à te répondre... (bon, dans mon cas, si je ne réponds pas, c'est que je n'ai pas lut, mais d'autres ont une tendance à lire et croire qu'ils n'ont pas le temps de répondre!)

Bon, je sais pas! De toute façon, la seule chose qui m'intéresse, c'est que tu retravaille ce texte et que tu m'offres la suite! (Si je dois m'absenter, je voudrais au moins savoir une partie du dénouement, voire tout le dénouement!).

Imperator, empereur qui aime bien Falcrisos!

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Hem........... je dois vraiment répondre ?

Que dire, bon sang ? Je n'ai déjà rien trouvé à dire pour Petch, mais le tien me désarçonne de telle manière que je ne parviens même plus à formuler une phrase dans ma tête.

Tout d'abord, je dirais que tes phrases restent désespérément emplies d'erreurs de français telles que ponctuation, conjugaison et autres... C'est dommage, car l'histoire "pourrait" devenir intéressante.

En fait, ce qui m'amuse, c'est que ton récit me plait beaucoup dans son fond, mais que la manière dont tu le racontes l'oblitère. Que puis-je dire de plus ?

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Invité Gotrek Gotrekson Poing de Fer
Merci Imp de ton ton soutient qui est bien le seul d'ailleurs

Hep-hep! Qui c'est qui a corrigé tes deux premiers chapitres? En fait, ouais, j'ai corrigé que les deux premiers, et je sais pas si je pourrais faire de même un jour pour le deuxième...

Sinon, ta maîtrise de la langue se confirme, avec l'apparition de phrases stylées, même s'il y a des erreurs d'orthographe parfois assez affreuses. Allez, pour le plaisir je te corrige les grosses erreurs de ton dernier texte (énergiques et pas énergétiques! Trop joué à Fallout, va!):

Chapitre VII : Destination finale en vue

Falcrisos dodelinait de la tête paresseusement, suivant le va-et-vient de sa monture. Ses paupières refusaient de lui obéir et il luttait pour ne pas sombrer dans le sommeil. Ses compagnons n’étaient guère plus énergiques, eux aussi se laissaient bercer par le lent mouvement répétitif de leur cheval. Après un soupir, Falcrisos ordonna une pause, il choisit un endroit où la chaussée se fit (/"était"?) plus large et où celle-ci (/"qui"? ça m'a bloqué) dissimulait, par chance, une grotte. Les amis s’engouffrèrent dans cette cavité après une vérification des gnolls, bien entendu, qui c'est ce que cette terre hostile peut dissimuler (/"Qui savait ce que cette terre hostile pouvait dissimuler?"?) . Ils laissèrent les gnolls monter la garde, aucun d’eux ne voulant s’occuper de cette corvée. Ils allumèrent un feu, espérant ainsi dissuader quelque prédateurs de les attaquer pendant la nuit, mais ils espéraient aussi ne pas alerter d’éventuels éclaireurs patrouillant dans la région. Ils firent un cercle autour de ce petit brasier et se mirent à discuter :

« Bon c’est quoi le plan pour rentrer ? »Demanda Neryma.

« Bah déjà il faudra se vêtir de ses vêtements (répétition, en quelques sortes). » Dit-il en sortant de vieux manteaux noirs.

« Ensuite nous nous glisserons discrètement à l’intérieur de la cité, et nous libérerons les otages, tuerons leur chef, prenons le pouvoir, rallions ses armées, et restituerons le pouvoir au peuple » dit Falcrisos.

« On a le droit de mourir combien de fois ? »Demanda Tran.

«Juste une centaine… »Répondit Falcrisos.

« Bon moi je propose, dit Neryma, que l’on s’infiltre et que l’on fasse de l’improvisation »

Quoique risqué, ce plan satisfaisait l’ensemble du groupe, il était déjà plus censé que celui de Falcrisos. Les compagnons se glissèrent sous leurs couvertures respectives. Falcrisos ne parvint pas à trouver le sommeil, il fixa la lune qui effectuait sa montée au firmament. Il avait peur de retomber dans ses rêves, qui c’est le cap de la découverte de l’identité de la personne franchi, de quoi pouvait-il rêver (quoi qu'ça veut dire? serait-ce "Qui sait, une fois le cap de la découverte de l'identité de la personne franchie, de quoi peut-on rêver? :mrgreen: )? Lentement, la fatigue prit le dessus, ses paupières se firent lourdes et il sombra dans un profond sommeil. Il se retrouva dans cette même pièce avec cette même personne, mais il ne distinguait toujours pas son visage. Elle se mit à répéter inlassablement ces gestes que Falcrisos connaissait par cœur. Il réussit à crier, seules ses cordes vocales acceptaient encore de lui obéir :

« Quoi, qu’est ce que cela veut dire ? Etes vous ma mère ? »

Elle continuait de répéter ses gestes, encore et toujours.

« Je vous en supplie répondez-moi ! »

Elle tourna le regard vers lui, mais aucune lumière ne vint le ramener à la réalité. Elle tendit les bras dans sa direction. Ses bras, après un effort psychologique intense, se tendirent de même vers la personne qu’il pensait être sa mère. Il allait la toucher quand cette lumière aveuglante, comme surgit de leur contact, le réveilla. Falcrisos s’étira, et se dit que plus cette affaire sera tirée au clair mieux cela vaudrait pour lui, ses compagnons dormaient toujours rythmé par le ronflement sourd de Tran (à revoir, ou du moins pour moi c'est pas trop clair). Falcrisos sortit de la corniche, pour regarder le paysage : Ils arrivaient au sommet de la montagne, de l’autre côté ils apercevraient une lande s’étendant à l’infini, une lande gigantesque et hostile à tel point que pas même la végétation ne s’y risquait. Il s’assit sur un rocher, et fixa un point imaginaire lointain. Falcrisos ne savait pas à quoi s’attendre dans cette cité: il serait au plus proche du mal, et il espérait que ses compagnons ne flancheraient pas. Son regard portait toujours dans le vide, et un à un ses compagnons s’éveillèrent. Une de fois de plus, ils reprirent la route: (ou bien "car", à la limite, mais surtout pas de virgules) mieux valait ne pas s’éterniser dans le coin.

Ils ne leur fallut pas moins d’une heure pour parcourir les cent derniers mètres de dénivelé. Arrivé en haut, la vue aurait pu être belle s’ils ne s'étaient trouvés pas dans cette partie du globe, mais ils se retrouvaient non loin de la cité de Garkon-Gar. Une simple plaine, quoiqu’en ayant perdu toutes les propriétés, les séparaient de leur destination.

Bon, j'ai pas le courage de faire la suite. Mais il faut en tirer quelques points:

-La ponctuation n'est pas toujours bien choisie pour la cohérence de tes phrases.

-Même chose pour les liaisons, mais celles-ci sont même parfois inexistantes.

-Les phrases stylées, même si elles montrent un courage dans la narration que beaucoup n'ont pas, sont parfois à la limite de l'incompréhensible.

-Le temps ne correspond pas toujours au reste du texte.

-Les phrases sont souvent trop longues, il faudrait que tu te les lise à haute voix.

DONC, conclusions:

=> Relis ton texte. Et pas en travers, mais sérieusement. Tu es arrivé à un stade de maîtrise où il faut absolument peaufiner son texte. Je te conseille donc d'écrire moins vite, de publier moins fréquemment, et SURTOUT de te relire, de réfléchir sur chacune de tes phrases, la comparer avec la cohérence de ton texte. Je te dit ça parce que tu le mérite, je ne l'aurais pas dis à un débutant complet. C'est un conseil pour t'améliorer, c'est tout.

Allez, bonne chance pour la suite! :)

GGPF, "Exhorte les autres à dire ce qu'ils pensent, même si ce n'est pas bien vu. Dis-leur que le courage est une qualité, et de le transmettre à leurs enfants." (Citation approximative du journaliste dans "Hitler, la naissance du Mal" (faut bien trouver des citations quelque-part :whistling: ))

Modifié par Gotrek Gotrekson Poing de Fer
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Ui désolé :whistling: Je voulais faire un post plus tard, mais bon vu que tu le dis tout de suite, donc voila: petit, non ENORME remerciements pour la correction que m'ont fourni: Mr.Petch

Gotrek Gotrekson Poing de Fer

Merci a tout les autres aussi qui ont repondu a mes histoires et ceux fidele au post, comme Zara et Imp, thx a touuuusssss!!!! :mrgreen: Et meme aux autres :)

@+

-=Inxi=-

P.S: Ne t'inquiete pas pour la frequence des textes, les derniers commantaires m'ont comment dire, calmés

Modifié par Inxi-Huinzi
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P.S: Ne t'inquiete pas pour la frequence des textes, les derniers commantaires m'ont comment dire, calmés

Tout à fait entre nous... Se relire ne prends pas beaucoup de temps, donc je ne pense pas que ça devrais affecter ta vitesse de production. Par contre, si tu te mets à réfléchir chaque phrase (ça deviendra presque un cauchemar d'écrire, mais tu écrira à la perfection) ben alors là oui, ta vitesse va en prendre un coup!

Imperator, empereur qui te demande de juste corriger les fautes et de te concentrer!

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Bon m'en fout que vous aimiez pas mon texte :P Je viens d'écrire 5 chapitres et j'ai trop envie de poster le cinquieme mais vu que je peux pas tout balancé d'un coup bah fo que vous lisiez ceux d'avant :) Bon j'ai fais du mieux que j'ai pu et vous promet rien

Chapitre VIII : Renégats

La porte de la cité se dressait devant eux, majestueuse. Ils revêtirent leur manteau derrière un fourré et dirent en revoir à leur compagnon gnolls qui les avaient escortés. Ils rabattirent leur capuche et s’engagèrent sur le sentier menant à la ville. Ils se glissèrent dans une caravane de marchand espérant ne pas attirer l’attention, ceci étant difficile car Tran était tout sauf invisible. Un champ de tir était dressé à côté de la ville, des arbalétriers se mirent en joue. Poule ! Est le seul mot qu’ils entendirent avant de voir traverser les cieux, non pas un oiseau mais bien un esclave. Celui-ci volait à près de cinquante mètres d’altitude quand des carreaux, tel un essaim de guêpes, vinrent se figer dans le corps du malheureux. Cet homme, mort avant de toucher le sol, s’écrasa dans de multiples craquements d’os. Ce spectacle, même s'ils leur avaient fait tourner la tête, leur rappelèrent qu’ils n’étaient pas en visite. Ils passèrent les portes sans trop d’ennuis, et tombèrent non loin d’un bâtiment qu’ils identifièrent tout de suite comme la taverne. Après des renseignements acquis auprès des clients attablés, ils décidèrent de louer une chambre dans cet établissement, jugeant celle-ci sûr, même si sûr est un bien grand mot.

L’heure se faisait tard quand Neryma entendu la conversation de deux soûlards. Rendu ivre par une overdose de bière, ces deux gaillards parlaient plus fort que leur conversation ne le permettait. Elle entendait des bribes de conversations mais cela suffisait à comprendre ce qu’ils disaient.

« Bientôt l’heure approche…………………. Les tuerons tous…………….Guerre civile……….Liberté….. »

Ainsi donc des personnes avaient le même projets qu’eux, il est vrai que la majeur partie de ces habitants étaient des humains mais de là à une révolte… Cela rappelait à Neryma le mythe qui planait sur la cité, que celle-ci était avoir censé été conquise par les elfes noirs mais la seule preuve possible de ce fait est la présence largement plus nombreuses d’humains non esclaves que dans les autres villes Elfes noirs. Quand on voit maintenant la cité, l’homme qui la dirige et les terres environnantes, on a comme quelques doutes.

Les deux hommes après avoir attiré les regards de tous les clients, se firent expulser par le tavernier soucieux de préserver « l’irréprochabilité » de sa taverne. Neryma, sa curiosité piquée à vif, décida de menée l’enquête plus loin. Ils se dirigèrent bruyamment vers une ruelle sombre, Neryma ne prit pas le soin d’avancer discrètement, les hommes faisaient bien assez de bruit pour couvrir sa filature. A la grande répugnance de Neryma, les deux hommes s’engouffrèrent dans une plaque d’égout.

Elle ne voyait pas les deux hommes, mais elle entendait nettement leur bruit de pas. Les pas se firent précipiter, elle accéléra pour arriver à une intersection. De nombreux bruits venaient de sa droite, et d’autre moins nombreux venaient de sa gauche, elle décida de les suivre. Les pas se firent de plus en plus lointain, elle ralentit, consciente qu’elle n’avait aucune chance de le rattraper. Des bruits de combats lui apprirent que les personnes qu’elle poursuivait se trouvaient désormais sur sa droite. Le plus discrètement possible, elle s’engagea dans ce tunnel. Tapis dans l’ombre, elle vit des cadavres, d’elfes noirs et d’hommes à priori. C’est donc cela, elle n’était pas la seule à avoir entendu la conversation des ivrognes. A priori sans danger, elle continua de suivre la piste des renégats. Elle avança, mais le bruit d’arcs que l’on tend arrivera jusqu’à ses oreilles. Elle s’arrêta et leva les mains pour montrer qu’elle ne leur veut absolument aucun mal.

« Pour ou contre ? »Entendit-elle.

« Mais je ne sais pas, pour ou contre qui ? » Demanda-t-elle

« 5 »

« Mais répondez-moi ! » Supplia-t-elle

« 4 »

« Je n'en ai pas la moindre idée »

« 3 »

« Nous venons d’arriver en ville ! »

« 2 »

« Nous avons repoussé les elfes noirs à Cartaltir »

« 1 »

« Alors je dis CONTRE ! »

« C’est bon, dit un homme en sortant de l’ombre, vous nous en avez appris bien plus que nous voulions en savoir, même si vous n’étiez pas dans la bataille elle-même, je sais que vos compagnons y étaient. »

L’homme était assez grand, ses vêtements étaient identiques au sien à la légère différence qu’ils empestaient le sang frais. Il souriait à Neryma, celle-ci eu presque envie de lui rendre s’il ne l’avait pas menacée. A mon tour de poser des questions, pensa-t-elle.

« Bon vous ! Qui êtes vous ? Que faites-vous ici ? » Demanda-t-elle.

« Hola hola, dit-il rigolant, du calme ! Je suis le leader des résistants de cette ville, enfin le peu qu’il reste. Notre nombre diminue de jour en jour, comme vous avez pu le voir un autre de nos membres vient de se faire tuer. Un autre est toujours dans la nature, j’espère qu’il leur échappera. Et enfin je suis ici car je suis chez moi, nous nous cachons la majeure partie du temps pour éviter les patrouilles bien trop fréquentes à la surface. Bien maintenant je vais vous conduire à notre Q.G. »

Neryma ne soupçonnant rien le suivit docilement. Ils arrivèrent peu de temps au « Q.G » qui se composait en faite d’une entrée unique qui débouchait sur une vaste salle qui elle-même en débouchait sur deux autres. Neryma franchit le seuil, une vingtaine de personnes la regardèrent entrer pointant leur arme droit sur elle. Comme précédemment elle leva les mains au ciel, enfin au sol. Ils virent leur chef entrer et ils baissèrent leur armes, rassurés. Ses hommes, lui dit-il, sont recherché par les plus hautes instances à la surface, obligé de se terrer constamment, ils ont rejoint la cause et espèrent bouter ses envahisseurs de leur terre.

« Et quand vous pensez arriver à les « bouter » ? » Lui demanda-t-elle.

« Demain ! La ville connaîtra un jour de feu et de sang ! » Dit-il.

« De….Demain » Bredouilla-t-elle.

« Oui ! Nous enflammerons la garnison, le château et tuerons les troupes en ville » Ajouta-t-il.

« Mais les prisonniers ? » Demanda-t-elle.

« Bah a moins d’avoir une solution, ils brûleront ! » Lui répondit-il.

« Oui, j’en ai une laisser moi et mes compagnons y aller ! » Dit-elle.

@+

-=Inxi=-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Bon aller la suite!

Chapitre IX : Catacombes

« D’accord, répondit-il, mon prédécesseur qui a d’ailleurs finit écarteler, m’a montré un passage secret remontant à la création du château. Celui ci s’effondrera peu après son ouverture car il était censé bloquer d’éventuels attaquants du château après la fuite de la famille royale. »

« Bien, je ramènerais mes compagnons demain matin à l’aube »dit-elle.

« Bon je vais vous laisser partir, quoique d’habitude je ne l’aurai pas fait ! Mais tout mes ordres étant donnés je n’aie plus de crainte ! » Lui annonça-t-il

« Et pour le passage secret ? » Demanda-t-elle.

Elle vit ses yeux se diriger sur une autre pièce mais ce geste fut fait si rapidement qu’elle ne pensait pas que cela fut une réponse.

« Vous le saurez en temps voulu » Lui répondit-il.

Elle regagna l’auberge, deux heures après en être parti, elle rentra dans la chambre en prenant soin de ne réveiller personne. Ceci fait elle se glissa sous ses draps, et s’endormit.

« Nooooon, dit-elle, je veux pas me lever ! » dit Neryma

Elle regretta déjà son escapade de la veille. Falcrisos, dès qu’il jugea que celle ci était belle et bien réveillée, lui posa la question suivante :

« Où étais-tu ? »Demanda-t-il.

« Où je veux !, répondit elle, bon d’accord ! Je vous explique, bon cela à commencer lorsque j’ai entendu…. »

Après le récit de son histoire, les compagnons la félicitèrent de son initiative sauf Falcrisos qui continuait à dire qu’elle avait prit bien trop de risques.

Ils décidèrent quand même de rejoindre le point de rendez vous convenu par Neryma et le leader. Ils enfilèrent une fois de plus leur manteau, et sortirent dans la rue. Un cri, les fit sursauter. Ils se dirigèrent vers l’origine de ce son, et remarquèrent très vite qu’il venait de derrière l’attroupement des citadins. Neryma poussa un cri d’exclamation, et leur dit très vite que cet homme était le leader. Finalement les elfes noirs avaient finit par trouver le Q.G. Elle cocha une flèche, mais Falcrisos lui baissa son arme.

« Nous ne pouvons rien faire, je suis désolé » Dit-il

Il était sur un billot, le bourreau souriant affûtait sa hache, la foule composée et d’humains et d’elfes criait sa mise à mort. Ainsi donc certains humains étaient d’accord avec leur conquérant. S’ils réussissaient la nuit serait rouge, rouge sang, mais pas seulement elfe, également humain. Le regard du condamné croisa celui de Neryma, il était calme et contrastait avec celui de Neryma qui était affolé.

« Pour la libertéeeee. » Hurla-t-il.

La hache s’abattit juste après, elle tomba au niveau du cou séparant son corps en deux. Mais les compagnons avaient fait depuis longtemps demi tour et reprit le chemin qu’elle avait utilisé la veille.

« Tu es sûr que c’est dans cette pièce ?»Demanda Itsi

« Bahhhh, hésita-t-elle, il regardait dans cette pièce quand je lui parlais du passage ! »

Voilà des heures qu’ils fouillaient la pièce, même s’ils avaient encore du temps devant eux, ils ne préféraient pas s’arrêter à un problème mineur. Itsi regarda la pièce depuis son seuil : De larges mosaïques murales décoraient les murs de la pièce, sinon la pièce était très peu meublée et des cadavres encore chaud était encore présents témoins de l’affrontement qu’il y avait eu. Une statue se trouvait au centre de la pièce une plaque en or à sa base, sûrement en la mémoire de la personne disparue. Itsi entreprit quand même d’essayer de la lire, il parvient à la traduire. Le temps passé dans la bibliothèque de Falcrisos portait ses fruits.

Autrefois, il combattit vaillamment

Se battant, blessant, tuant

De sa fière épée

Il ne cessera de vous protéger

Itsi plissa les yeux et se dirigea vers la fresque qui représentait l’homme de la statue. De ses doigts palmés il tâta la paroi et longea le dessin, à l’endroit de l’épée. Ses doigts s’enfoncèrent au milieu du pommeau de l’épée. La statue se mis à vibrer et elle se déplaça sur le côté dévoilant ainsi un escalier s’enfonçant plus profondément dans les entrailles de la terre. Les compagnons regardèrent Itsi avec le même regard d’étonnement, il haussa les épaules et s’engagea dans l’escalier.

@+

-=Inxi=-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Bon, ben si tu t'en fous qu'on aime ton texte, ben alors pourquoi continuerais-t'on à le lire?

Ben parce qu'on l'aime bien, justement! Allez, comme ça ils vont aller jouer à délivrer des prisonniers (dont une certaine mère...). Cool.

Vas-y quand même molo, parce que je compte écrire ce soir et que je ne résisterai certainement pas à l'envie de lire la suite...

Imperator, qui trouve ce texte bien écrit et qui préfére le lire que de s'occuper de ses histoires à lui...

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Ben parce qu'on l'aime bien, justement!

*** ^_^:wub::wink:

comme ça ils vont aller jouer à délivrer des prisonniers (dont une certaine mère...). Cool.

***Héhé big surprise!!!! Mais plus j'aurai des posts rapidements de ceux qui lisent mon texte plus je mettrais les derniers chapitres vite. (en fait j'adore le dernier et j'envie de le poster :P)

Vas-y quand même molo, parce que je compte écrire ce soir et que je ne résisterai certainement pas à l'envie de lire la suite...

***Non je stop la ^_^:P, je pense que ca ferai trop à lire apres :wink:

Et puis c'est la meme chose pr moi, je prefere lire tes textes que le mien :)

@+

-=Inxi, qui aimerait lire les textes d'Imp :wink: =-

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Bwaaa ! ^_^ Pourquoi le leader il a été mouru ?

Hem... j'aimerais d'abord te souligner l'utilisation quelque peu décontenançante de la ponctuation... pour être plus précis, c'est le Warp total ! J'ai même trouvé un point-virgule séparant sans raison le milieu d'une phrase en deux :wub: .

J'ai par contre beaucoup apprécié le décompte du leader... très bon passage. Pourquoi le leader il fut être mourir ? De même, le regard en direction de la pièce permet de se faire une idée du personnage (outre d'être également un bon élément de style) ; ce dont je profite pour te demander d'approfondir un peu tes rencontres. Je sais, c'est pas facile, mais bon...

Ton premier texte ressemble à un annuaire téléphonique d'Asie avec inclu dedans le vachté-grand Larousse totalement illustré (et, en option, les adresses des génies de notre temps). Bon, j'exagère peut-être un peu mais, une fois encore, quelques paragraphes n'auraient pas fait de mal.

Enfin, je voulais te faire part d'une interrogation réellement profonde, particulièrement difficile à appréhender et sur laquelle je m'interroge :

Pourquoi le leader il eut fut être été mourra ?

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^_^ Je pensais pas que quelqu'un allait s'accrocher à ce perso! :wub: Bah deja il est tout mouru parce que j'arrivais pas à lui trouver de nom :wink: Ensuite parce que il essayait de draguer Neryma, et enfin parce que il sert pas à grand chose en restant en vie :wink: Enfin il peut resusiter ^_^ Non je deconne! decoupe en deux on va pas aller loin :wink:

Bon comme ce chapitre est petit , je relis le suivant et le post juste apres

Chapitre X :Séparation

L’air ambiant empestait la mort se dit Itsi. Le groupe déambulait dans ce labyrinthe depuis trente minutes, ils suivaient un guide lumineux qui leur éclairait le chemin. Ces couloirs étaient très étroits et bizarrement seul Tran s’y sentait bien. Il se mit à nous parler d’une autre vie, nous l’avons coupé dans ses divagations, une autre vie : N’importe quoi ! Ils débouchèrent sur un cul de sac.

« Bon, on fait quoi ? »Demanda Neryma.

« Normalement la sortie est dans les parages » Dit Itsi.

Ils se mirent à tâter les parois à la recherche d’un levier. Ce fut Tran qui le trouva : après deux minutes de recherche intense, il allait abandonner. Il s’appuya sur un mur, mais une brique, qui ressortait légèrement de la paroi, s’enfonça complètement dans celle ci.

Des craquements se firent entendre, puis il eut des bruits de grincements. Enfin une partie du mur se mit à coulisser. Falcrisos entra le premier dans la faille qu’ils avaient ouverte.

Ils découvrirent une vaste chambre, composée d’un lit, d’armoires et de fenêtres. Ils se rapprochèrent de cette dernière et virent qu’ils étaient arrivés à leur but. Ils devaient se trouver au premier étage du château, mais par cette fenêtre ils virent des choses plus grave. La première fut qu’ils remarquèrent qu’ils avaient mis plus de temps que prévu pour atteindre le château et que les agents renégats étaient passés à l’action. Des bruits de combats filtraient du vacarme que faisaient les soldats elfes noirs en se positionnant pour accueillir les fauteurs de troubles. Cet accueil avait de bon et de mauvais côtés. Le côté positif est que les résistants n’atteindraient pas le château tout de suite, leur laissant le temps de secourir les prisonniers. Le côté négatif de la chose, c’est que les soldats étaient bien entraînés et que les révolutionnaires allaient se faire massacrer.

Neryma se colla à la porte, et par précaution, essayait de percevoir des signes de vies. La voie semblant libre, ils se faufilèrent dehors.

Ils sortirent sur une salle en hémicycle, sur la partie arrondie de cette salle émergeait des portes, ils décidèrent de n’en fouiller aucune, ils pourraient faire une mauvaise rencontre ! Ils se dirigèrent vers l’escalier descendant, celui qui allait vers les prisons. Falcrisos fermait la marche. Une impression le força à se retourner, il était obnubilé par l’escalier ascendant, son regard n’arrivait pas à s’en détacher. Ses compagnons ayant disparu dans l’escalier à spirale, il prit cet escalier mystérieux.

@+

-=Inxi=-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Voili voilou l'avant dernier chapitre de cette deuxième grande partie

Chapitre XI : Le sous-sol

Ils descendirent, toujours plus profond, courant maintenant. Ils débouchèrent au rez-de-chaussée, ce château était réellement immense ! A cet étage régnait une activité dense, des soldats faisant des aller-retour d’une position à une autre. Ils traversèrent rapidement la pièce vers un autre escalier, l’agitation était telle que peu de monde remarquèrent leur passage. Ils s’arrêtèrent, essoufflés.

A ce moment, Neryma, dit effrayée :

« Où est Falcrisos ? »

« Je ne sais pas, dit Tran, je pensais qu’il me suivait !»

« Bon ! On devrait y arriver sans lui, je pense qu’il a d’autres choses à faire ! » Dit Itsi.

Cet argument arracha un soupir à Neryma, qui suivit le reste du groupe. Ils continuèrent leur descente, s’enfonçant toujours plus profond dans les entrailles du château. Cet escalier débouchait sur un petit couloir faiblement éclairé, ce couloir était terminé par une porte. Ils la poussèrent et débouchèrent aux prisons. Les cellules s’étalaient de chaque côté d’un long corridor. De ces cellules s’élevaient des plaintes, de longues plaintes pleines de souffrance et de désespoir. Sur leur gauche, une table couverte de multiples jeux. Autour de celle-ci des gardes jouaient paresseusement, mais maintenant la demi douzaine de gardes regardaient avec étonnement les nouveaux arrivants. Sur leur droite, il y avait une salle de torture. Des instruments plus pervers les uns que les autres y étaient exposés : Un torturé pouvait passer d’une machine à une autre ne mourant que la dernière utilisée. L’heureux élu passant de machines en machines, à le plaisir de se voir offrir les pires tortures à chacun de ses organes. Dans cette salle, un homme hurlait à plein poumon, un garde lui enfonçait des petites tiges métalliques chauffées sous les ongles.

Les gardes, remit de leur surprise initiale, dégainèrent leur armes. Tran annonça :

« Allez-y, je m’occupe d’eux » Dit-il en montrant les joueurs. Il devait faire attention, Falcrisos n’étant pas là pour le soigner.

Neryma décocha une flèche qui acheva un des trois torturants. Itsi lança un bouclier magique sur ses amis, et sortit une de ses dagues tout comme Neryma. Elle affronta le premier garde, son cimeterre percuta ses dagues et en riposte le pied de Neryma vola vers le ventre de l’homme. Elle se jeta sur le corps et le transperça de plusieurs coups de dagues. Itsi avait plus de mal ! Se battant rarement au corps à corps, il ne paraît que les coups, mais la lame de son adversaire parvenait des fois à transpercer les défenses de l’homme lézard, mais cette dernière rebondit sur l’armure qui commençait à faiblir.

Tran quant à lui s’amusait presque, il tenait ses ennemis à distance, faisant de grands mouvements à son marteau.

Les rares fous qui tentèrent de l’approcher se retrouvaient projeté dans des directions aléatoires dans un piteux état.

Neryma se redressa et vit Itsi acculé dans un coin, elle lança sa dague dans le dos de celui qui agressait l’homme lézard. Il s’effondra sur la petite créature, qui esquiva le corps croyant à une charge, il laissa le poignard à sa précédente position entraînant l’empalement de l’elfe noir.

Un des deux derniers elfes noirs faisait des grands moulinets de sabres, celui ci fit sourire Tran, il attaqua d’un grand revers de marteau, l’elfe tenta de le parer. Tout comme ses compatriotes il alla percuter un mur de la pièce, par chance sa tête fut atteinte en première et il mourut rapidement. Le dernier prit peur et préférant tenter sa chance vers l’autre porte il jeta les clés et prit ses jambes à son cou. Itsi ramassa les clés et s’empressa d’ouvrir les cellules, enfin presque toutes. Certains détenus ne devaient pas sortir d’où ils étaient, c’était plus sûr pour tout le monde. Il leur fallut bien une autre demi-heure pour ouvrir les deux cents cagots du domaine. Les prisonniers n’étaient pas tous en état de combattre mais ils étaient tous mus par une soif de vengeance intense. Ils regardèrent la pièce par laquelle s’était enfuit le garde, enfin non, caché le garde car cette pièce était une impasse. Après que les esclaves se soient jetés sur la pauvre victime, ils attrapèrent le peu d’armes de cette petite armurerie.

« Suivez un autre esclave et ramassez son arme s’il vient à mourir ! »Dit Neryma.

De sa voix sourde Tran ajouta :

« Vos geôliers, sont au-dessus de vous ! Vous voulez vous venger ? Des résistants envahissent en ce moment les rues de la ville, allez les aider »

Une gigantesque clameur envahit la salle, la marée d’esclave se mit en marche. Une explosion fit vibrer l’édifice.

« Falcrisos… » Chuchota Neryma.

@+

-=Inxi qui attends des commantaires avant de poster "the last"=-

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Bon, les prisonniers affaiblis vont se faire massacrer, Falcrisos est tombé sur un laboiratoire de traitement du pétrole et a lancé une boule de feu malencontreuse et Tran va massacrer la garnison elfe noir...

Non, allez... Je rigole!

T'as bien réussi le coup d'isoler Falcrisos, ça passe tout naturellement. De plus, le rappel à la fin est du plus bel effet. Maintenant, je dirais que j'ai eut un problème avec ça:

Ce fut Tran qui le trouva, après deux minutes de recherche intense, il abandonna.

Alors, si on suit ce que tu as écrit, Tran trouva le levier, et ce après deux minutes de recherches, puis il abandonna. Je sais bien que ce n'est pas ce que tu voulais dire (sinon, ben c'est grave!)

Allez, la bataille contre les elfes noirs est bien faite, tout bon.

Ah oui, peut-être ce bout là qui n'est pas clair:

Il se mit à nous parler d’une autre vie, nous l’avons coupé dans ses divagations, une autre vie : N’importe quoi !

On ne sait plus qui parle, de quoi il est question, etc... Désolé, mais faut aussi revoir ce passage.

Voilà:

Imperator, empereur pressé de savoir ce que Falcrisos a ENCORE fait...

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On ne sait plus qui parle, de quoi il est question, etc... Désolé, mais faut aussi revoir ce passage.

*** Dommage je croyais que vous aliez comprendre l'allusion au dédale ^_^

Alors, si on suit ce que tu as écrit, Tran trouva le levier, et ce après deux minutes de recherches, puis il abandonna.

*** Bon je reecrit

Allez vite les commantaires, apres y en a plus d'un qui vont etre surpris :wub:

@+

-=Inxi=-

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*** Dommage je croyais que vous aliez comprendre l'allusion au dédale

Désolé, mais je viens d'un monde où les livres sont inexistants et il me faut donc du temps pour compenser la carence culturelle...

*** Bon je reecrit

Merci beaucoup!

Allez, je veux être surpris! (ce sera mieux que de me casser la tête à rechercher les réactions d'un adolescent amoureux...)

Modifié par Imperator
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(ce sera mieux que de me casser la tête à rechercher les réactions d'un adolescent amoureux...)

Je te fais confiance, tu te débrouille treees bien, on te fait confiance

Bon je voudrais sire deux trois trucs, la premiere que je voulais caser et que j'oublie à chaque fois. C'est la description du monde elfe noir, je la tire de dungeon et dragons ( les lecteurs auront reconnu) voila et d'une.

La suivante, c'est que apres le chapitre que je vais poster (j'attends encore un peu de comment) Je laisse tomber Falcrisos et la bande, et me lance dans des histoires paralelles, j'en ai imagine 5 au total, qui feront un peu pres la taille d'une gde partie de mon histoire. Le pb c'est que ca prends du temps cinq histoire, donc si quelqu'un se sent motiv, il me fait signe (en fait quelqu'un avec du temps)

@+

-=Inxi=-

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donc si quelqu'un se sent motiv, il me fait signe (en fait quelqu'un avec du temps)

Du temps? Sais-tu que dans le néant, ce n'est qu'une notion, une abstraction? Allons, explique-moi en détail et je pense pouvoir t'aider.

Je te fais confiance, tu te débrouille treees bien, on te fait confiance

En fait, j'ai un problème, c'est que moi, je ne me fais pas confiance... J'ai tendance à toujours dévier sur le même point et à partir dans un massacre général. Il faut toujours dès lors qu'un de mes congénéres décide que j'aie dépassé les bornes pour venir me mettre des bâtons dans les roues et que je me retrouve avec un danger public lancé à ma poursuite! (pas d'allusion va-t'on dire...)

Imperator, empereur disponible.

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Bah en fait j'aimerai étendre le monde qu'il ne se limite pas au trajet de Falcrisos. Je me suis amusé (on s'ennuie pendant les corec de codes ^_^ ) à imaginier des persos ayant plus ou moins des rapports avec l'histoire et developer d'autres races, d'autres aspects du monde tout en ne se contraignant pas au background de warhammer. Je peux pas vraiment parler de ces persos car cela m'obligerait à devoiler la suite de mon histoire, donc voila en gros.

@+

-=Inxi, qui peut juste dire: Orc, elfe noir, homme lézard, haut elfe et chaos sont les peuples que j'aimerai develope (bien sur avec ces peuples s'accompagne nain et humains mais pas en principaux :wub:)=-

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En gros, si j'ai put décripter quelque chose (mes meilleurs scanners sont HS semble-t'il), tu cherche à renforcer la description du monde dans lequel s'inscrit l'histoire de Falcrisos, et ce en suivant cinq héros de cinq races différentes qui voyageraient au travers de leurs contrées...

Mais pourquoi as-tu besoin d'aide? Personne ne peut vraiment imaginer ton monde à ta place (à moins bien sûr que tu n'accepte des visions extérieures).

Enfin, quoi qu'il en soit, je l'ai dit, je suis disponoble (le RC va devoir attendre un moment, ce n'est pas mon tour, Emelia dort et Frederick l'accompagne dans son sommeil...).

Imperator, empereur qui ne voit pas où tu veux en venir!

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Oui par exemple mais en meme temps plus que ca. J'entends par la, arg j'ai failli faire un boulette en parlant du prochain chapitre, mais en developpant le passe de certains perso ayant joue un role important ds l'histoire, bon c'est qu'il faut que je post ce chapitre. Je pourrais parler plus librement. Juste pour rajouter que mes choix ne sont pas fixes, je voulais comparé les choix qui s'offraient a moi, pr la suite donc je choisirait un des cinq, puis cette histoire termine, je reinventerai cinq autre choix different des cinq premiers. (Bon j'espere avoir été clair) Bon je vais retravaille le dernier chapitre et je le post ^_^ )

@+

-=Inxi=-

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Bon voila l'ultime chapitre. J'ai prit un extreme plaisir à l'écrire donc lisez le avec autant de plaisir ^_^

Chapitre XII : La fin d’un règne

Falcrisos montait les marches, une par une, comme contre son gré. Il avait beau se dire qu’il ferait mieux de faire demi-tour, ses jambes refusaient de lui obéir et il continuait son ascension. Cet escalier menait au dernier étage, une pièce sombre seulement éclairé par un brasero. Dans les coins de cette pièce, Falcrisos perçu des mouvements. Quatre hommes émergèrent de l’ombre, vêtu en majeure partie d’un long manteau, Falcrisos devina qu’ils étaient l’élite. Des fils de soie pendaient de leur cape, de l’or décorait leur pommeau et une allure effrayante était tous ce que Falcrisos pouvait voir. Les hommes dégainèrent leurs épées, ils faisaient face silencieusement, ils avancèrent pointant leur épée en direction de son torse. Falcrisos était terrifié et en même temps impressionné, ces soldats étaient magnifiques : Un mélange de mal et de beauté chaotique. Une porte s’ouvrit derrière eux, ils s’écroulèrent, morts.

Falcrisos courut vers la porte, impatient de voir sa mère. La salle où elle était, ne fut pas observé par Falcrisos, il était plus occupé à regarder la forme sur le balcon. La forme sortit de l’ombre et dit :

« Bonjour mon fils »

Falcrisos s’effondra au sol, il n’était pas dans la chambre de sa mère ! Il était dans celle de celui qui les avait attaqué ! Son père ! Il était mauvais, c’était impossible ! Falcrisos regardait le sol, les larmes à l’œil, incapable de voir la vérité en face.

« Mon fils je suis heureux de te retrouver enfin ! » Dit l’homme en tendant les bras vers Falcrisos.

Falcrisos se releva et recula, pratiquement pleurant il dit :

« Nan, va-t’en ! Tu ne peux être mon père ! Ne me touches pas ! »

L’homme d’une cinquantaine d’années, était revêtu du même équipement que son ex garde rapprochée. A la différence que le mal qui se dégageait de lui était plus important et Falcrisos le ressentait.

« Si, dit-il, je suis bien ton père. Et je ne suis pas vraiment mort en affrontant des hommes bêtes. Au contraire j’ai senti leur force et rallier leur bannière, ensuite je les ai trahis et rejoint mon maître absolu. Loin d’ici, dans sa tour sombre, j’ai acquis des pouvoirs infinis ! »

De toute façon même sans cette explication Falcrisos était convaincu, son visage ! Le même que le sien.

« NOON, de toute façon mon père est mort quand il est parti chasser les hommes bêtes ! »

Falcrisos avait un poids énorme sur le cœur, son père pactisant avec les forces sombres ! Le gnoll aurait pu lui dire la vérité !

Non ! C’est clair est net il ne rejoindrait pas son père. Falcrisos dégaina son épée et se mit en garde. Son père fit de même. Falcrisos saisit l’amulette et lança une boule de feu. Son père lui renvoya. Falcrisos dissipa.

« Ce n’est pas par notre seule maîtrise des vents magiques que ce duel s’achèvera mais bien au corps à corps ! »Dit son père.

Pour marquer ses dires, leur lames se percutèrent. Takrinos au contact de l’autre lame grinça, elle allait libérer sa fureur. Dans ce genre de combat, l’épée prenait le dessus sur le maître, Falcrisos se laissa porter par son arme. Les deux combattants rentrèrent dans une danse de fureur. Les épées s’entrechoquaient à des vitesses époustouflantes. Falcrisos mené par son épée et son père par son talent essayait de prendre l’avantage sur leur adversaire. Conscient qu’aucun d’eux n’arriverait à prendre l’avantage, il essayèrent de nouvelles techniques. L’ex père frappait Falcrisos avec son poing et Falcrisos en retour lançait des coups de pieds dans la direction de son père. Mais le père était beaucoup plus fort que Falcrisos, et Falcrisos finit par décrocher le combat par un coup de poing au menton. Falcrisos en sang était allongé par terre.

« Tu ne peux gagner ! » Dit-il.

« Si, comme ça ! » Falcrisos psalmodia. La salle fut éclairé par une lumière quasi divine et une violente explosion secoua la pièce. Vu de l’extérieur, on aurait dit que le château s’était transformé en phare, ensuite une onde de choc secoua toute la ville. Falcrisos gisait à terre, épuisé. La fumée se dissipa mais Falcrisos vit que son père avait survécu, quoique lui aussi affaibli, ses sorts de protection étaient plus puissants que ses sorts les plus forts.

« Avec un mage comme ça, nous serions invulnérables, n’en est-tu pas conscient ? Non je ne crois pas, alors je suis désolé sur ce que je vais devoir à faire…. » Dit l’homme.

Falcrisos s’essuya d’un revers de manche le sang qui gouttait de son visage. Il mourra honorablement ! Son père avança face à lui et asséna un grand coup d’épée, Falcrisos fit de même avec les dernières forces qu’il lui restait, les deux épées se rencontrent dans un tonnerre d’acier, la force de l’impact projeta les deux épées loin des deux combattants. Le père ne perdit pas de temps, il se jeta sur son fils l’avantage physique pour lui. Un crochet atteignit Falcrisos au ventre, puis un autre à la tête, et encore un dans la pommette. Falcrisos se vidait de son sang, celui ci lui brouillait la vue. Il vit son père se pencher sur lui, le saisir et le transporter dans une pièce annexe. Falcrisos n’avait plus de force, la seule chose qu’il se demandait c’était combien de litres de sang il pouvait perdre avant de s’évanouir. Il vit son père nettoyer la pièce en dégageant un large espace au milieu de la pièce, il dessina un symbole au sol et déposa Falcrisos dessus.

« Nan……….Stop » Dit faiblement Falcrisos. Il toussota, du sang s’écoulait de sa bouche.

« Ta guele !, Lui dit son père, tu ne veux pas venir de ton plein gré ? Je vais te présenter quelqu’un… »

Ce coup ci Falcrisos se sentit quitter la terre, il faisait noir. Nan je suis pas mort, se dit Falcrisos, je suis encore dans ce maudit rêve.

« Quoi ? Qu’est ce que tu me veux encore ? » Demanda Falcrisos en la menaçant de ses poings. Il, il la menaçait de ses poings, il contrôlait ses mouvements ! Elle répéta ses gestes, il se concentra, elle dit pour la première fois ce qu’il devait entendre.

« Le pouvoir a été, est et sera toujours en toi »

La lumière le flasha une fois de plus, il reprit ses esprits. Il était toujours attaché mais il ne savait pas combien de temps il était resté ainsi, son père était dos à lui, lisant un ancien grimoire. Il le ferma, avec horreur il vit un seau chaotique dessiné sur la couverture. Il allait appeler un démon ! Falcrisos se repassa mentalement les gestes, son père souriant pensait l’avoir en son pouvoir mais il allait voir. Pour faire marcher son père, Falcrisos se mit à sangloter.

Comment pouvait-il être son fils ? Se dit-il, ce pseudo humain allait connaître les délices du mal !

Il commença à incanter, faiblement. Il s’éleva au-dessus du sol, il parla plus distinctement. Sa voix prit de l’intensité, l’air commença à tourbillonner dans la pièce, l’air se fit plus noir et plus sec. Falcrisos entendait maintenant son père hurler, il commença alors son sort. Il répétait les gestes, il n’avait pas son amulette mais sa mère lui avait dit que ses pouvoirs se trouvaient en lui. Il voulait se boucher les oreilles mais il devait continuer, l’air crépita et la terre sembla s’affaisser. Il continua, Falcrisos hurlais aussi, il ferma les yeux ne voulant affronter en face ce qui allait sortir du trou. Il hurlait, des objets venaient le percuter au sol, il se recroquevilla, et il pria, il pria pour que cela s’arrête. Toujours au sol, il répétait ses gestes, par peur il continuait, il était terrifié. A tel point qu’il ne remarqua pas, l’inactivité régnant dans la pièce. Rien, plus rien, seul un trou béant au plafond et dans le plancher indiquait les événements passés. Plus aucune trace de son père, ni de la créature. Falcrisos se remit debout, le regard vide et perdant son sang. Il redescendit les escaliers, il prit appuie sur le mur et la rampe, il faillit glisser plusieurs fois mais il finit par arriver au rez-de-chaussée. Falcrisos tomba pratiquement en arrivant, le rez-de-chaussée était envahit d’homme de toute sorte : paysans, soldats et esclaves. Ces rebelles le dépassèrent et s’engouffrèrent avec des barils de poudre dans les sous-sols.

Neryma inquiète, vit Falcrisos à genoux, perdu, sortir de l’escalier. Elle était vraiment paniquée, elle avait assisté comme tout les habitants de la ville, aux effets du duel qui se déroulait en haut. Jamais elle n’avait avoué à Falcrisos ce qu’elle ressentait pour lui, par peur et parce qu’elle n’admettait pas ce qu’elle ressentait. Mais quand il était en haut, et qu’elle sut qu’elle ne risquait de ne pas le revoir, elle regretta de ne pas avoir dit avant toutes ces choses qu’elle cachait au fond d’elle. Elle se jeta dans ses bras, ce mouvement en était trop pour Falcrisos, il se laissa emporter par la joie de Neryma.

« Je vais m’occuper de toi » Sont les derniers mots qu’il entendit, il pouvait sombrer en paix.

Le groupe d’ami prirent la direction des portes de la ville. Des groupes armés se battaient encore dans les ruelles sombres de la ville, ils arrivèrent aux enceintes, ils se retournèrent et purent voir la violente explosion qui détruit le château. Ils s’écartèrent de la ville, le combat qui s’y déroulait n’étant plus de leur ressort, la ville était à feu et à sang.

Loin de ce lieu de tumulte, les réactions se firent diverses :

L’homme de toute sa masse sombre frappa de toutes ses forces le trône sur lequel il était assis.

« Je déteste les échecs »Dit-il froidement.

« Cela ne se reproduira plus, je vous le promets »

« J’espère pour vous, je l’espère »

« Je vais le retrouver et lui faire payer cet échec »

« Moi aussi » Dit doucement l’homme d’ombre. D’un geste son meilleur assassin pista l’elfe qui quittait la pièce.

« Je hais les défaites…… »

Tarielle pénétra sous la petite cabane, la forme allongée dans le lit était pâle. Seul un œil averti pouvait voir que la femme vivait encore. L’elfe sylvain appliqua un baume sur le front de celle-ci. La femme saisit la main De Tarielle, elle sursauta, c’était son premier signe de vie depuis longtemps.

« Il, il a réussi ! » Dit-elle avant de se rendormir profondément.

Voila j'attends tout vos commantaires

@+

-=Inxi=-

Modifié par Inxi-Huinzi
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La fin est de mieux en mieux...J'attends avec impatience le derneir chapitre (last, but not least!).

Ah oui, tiens...je suis désolé, mais je n'ai rien compris à ton truc pour les textes parallèles... ^_^ C'est moi, ou bien?

Mr Petch

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Bon ben moi je dis ^_^ ... ah pis aussi :wub: et :wink: pour avoir réussi à filer une histoire aussi longue. Au début, je croyais vraiment que tu allais n'importe où mais non ! Surprise, tu avais un sacré scénario !

Donc, pour tes récits parrallèles, sois gentil d'ajouter des descriptions et des impressions diverses, que je cesse de dire des âneries.

Je n'ai plus qu'à rajouter que j'ai adoré la fin, sauf peut-être lorsqu'il bat le démon... comment qu'il a fait ? Mais ça n'est rien comparé à l'apothéose que tu nous offres. Donc, encore ^_^ et pis :wink: , juste pour le plaisir ! :wink:

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Alors là, on était presque en plein Starwars! (désolé, mais c'est plus fort que moi). La tension n'a pas faibli une seconde et même si la fin est brutale (le père disparaît sans que l'on ne comprenne), ça passe tout de même très bien (pourquoi, ben parce que j'ai apprécié!).

De plus, je crois que c'est loin d'être fini pour notre cher Falcrisos (et oui, seul la mort peut faire cesser les récits).

Franchement, bravo! C'est une fin digne du texte qui la précède! ^_^:wub:

Imperator, empereur qui a aimé, vraiment aimé!

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