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Falcrisos et Co


Inxi-Huinzi

Messages recommandés

:wub::wink: Merci, comme tu dis c'était l'aposteose ^_^ J'ai prit du plaisir a écrire en imaginant vos reactions :wink: Merci aux commantaires d'Imp qui vs a (peut etre) envoye dans une mauvaise direction :) Donc je peux parler un peu plus librement maintenant mais la par exemple je fais faire quatre-cinq chapitre sur le changement de cote du pere de Falcrisos, donc posterieur a l'histoire, ce genre de truc quoi :wink:

Desole que ca fasse un star wars, et puis j'avais envie de mettre: Falcrisos, je suis ton pere! ^_^

@+

-=Inxi=-

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Bah voila comme j'ai pas vraiment envie de rester trop proche de cette histoire, j'aimerai develloper comme par exemple un haut elfe qui voit la cite en feu. Nouveau, perso, nouveau peuple et lien avec la precedente, c'est plus clair ?

Moi aussi j'aime bien Star Wars, comme ca dans mon texte on a des films ( seigneur des anneaux, Star wars et aussi a des livres ^_^)

@+

-=Inxi=-

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Et voila, un nouveau petit quelques choses de preparé, bon j'espere qu'il y a

assez de description :lol:

Synthet

Chapitre I : Juste un mortel

« Falcrisos ? »Appela Kaliss

L’enfant âgé à peine d’un an se dirigea vers ses parents. Il titubait encore et découvrait les joies de la gravité comme le prouvait les bosses à la surface de son corps. Kaliss le réceptionna joyeusement dans ses bras et l’embrassa fougueusement, l’enfant gazouilla sous les caresses de sa mère.

Kaliss approchait de ses vingt six ans, sa taille élancée et son visage d’ange étaient peu marqué par l’accouchement de l’année précédente. Ses yeux noisettes regardaient son mari, Synthet, elle l’avait épousé deux ans auparavant. Il était aussi musclé qu’elle était fine, aussi brun qu’elle était blonde. Il était en train de discutait avec Lersat. Quant il les vit arriver, il sourit et congédia son intendant. Il embrassa sa femme tendrement et attrapa son fils. Il le mit au sol et ils commencèrent à jouer. Synthet construisait des tours que Falcrisos s’empressait de détruire dans de grands rires. Ils pouvaient jouer ainsi pendant de nombreuses heures, l’un détruisant l’œuvre de l’autre. Kaliss vint voir où en étaient les deux hommes de sa vie. Ils jouaient toujours, elle sourit, ces deux là s’aimeront à jamais pensa-t-elle. Elle glissa quelques mots à l’oreille de son mari.

« Déjà ? Je ne les attendais pas de si tôt ! » Dit-il.

Il se leva près à affronter les problèmes de son peuple. Falcrisos, déçu que l’attention ne se porte plus sur lui, essaya de ramener cette attention perdue. Avec ses petites mains, il fit de petits gestes. Les cubes commencèrent à voler à travers la pièce, et ce qui fut détruit fut rebâti. Falcrisos heureux que les regards se trouvent à nouveau sur lui, rit en tapant dans ses mains.

« Tu vois chéri, il ne sera peut être pas un guerrier » Dit Kaliss.

Il fit un clin d’œil à sa femme, l’enlaça et ils se mirent à prendre le chemin de la salle du conseil.

La salle du conseil était comment dire…. Normale, une table ronde siégeait au milieu de celle-ci et des chaises étaient tout autour. Synthet s’assit à sa place, c’est à dire devant la fenêtre, il paraissait alors plus divin. Il fit signe aux gardes qui firent entrer les premières personnes.

Son équité fut sollicitée pendant près d’une heure. A la fin de celle-ci, il en avait conclu quelque chose de bizarre. Plusieurs de ces paysans demandaient une intervention de l’armée, ceux ci avaient peur de quelque chose qui se baladaient dans la région : Plusieurs fermes incendiées, des personnes disparues suffirent à engendrer un climat de peur dans la région. Les maigres explications qu’il put fournir ne purent calmer l’animosité de la populace. « Gardes convoquer mes éclaireurs ! »

« Votre verbe est notre ordre, majesté. »

Peu de temps après un léger courant d’air lui apprit que ses éclaireurs se trouvaient dans la pièce.

« Quelque chose rôde dans la région ! Je veux savoir ce que c’est ! Vous me ferez votre rapport dans deux jours » Ordonna dit-il.

Sans un mot ils acquiescèrent et aussi discrètement qu’ils étaient arrivés, ils repartirent. Où est ma femme? se dit-il. Au souvenir de celle ci un sourire illumina de nouveau son visage. Elle contait énormément pour lui et jamais personne ne lui ferait du mal.

@+

-= Inxi=-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Je n'ai pas encore lu la nouvelle histoire, mais je viens de terminer Falcrisos, et c'est vrai que tu mérites des bravi pour avoir terminé une telle histoire. Allez, un chti coup: :lol:

Mr Petch

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Alors... Oui, au niveau descritpion, ça va. J'émettrais une réserve sur le dernier passage qu'il m'a fallut relire car le sujet n'est pas des mieux définis. Pour le reste, ça va parfaitement.

À quand la suite?

Imperator, impatient et empereur.

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Voila l'avant dernier chapitre profitez :D

Chapitre II : Départ

Marco, chef des éclaireurs, fit signe à ses alliés. Ceux-ci d’un mouvement souple et rapide se mirent en position. Ils avancèrent, tous les sens aux aguets. Ils écoutèrent les bruits autour d’eux : le vent dans les feuilles des arbres, le léger coulis de l’eau sur la pierre et des bruissements qu’ils identifièrent comme étant le bruit d’animaux marchant sur des tapis de feuilles mortes. D’autres bruissements vinrent s’ajouter aux premiers, il était plus lourd, moins discret et moins respectueux envers la nature autour de cette chose. Marco s’agrippa à la première branche de l’arbre, il se hissa et se camoufla parmi les feuilles. Ses amis firent de même et bandèrent leur arc. Les feuilles obstruèrent la vision de Marco mais cela ne l’empêcha pas de voir arriver l’homme bête.

Ce peuple tout droit issue du chaos vivait dans les plus sombres forêts. Marco se demanda comment cette créature était arrivée là, cette forêt était en bord de mer et les hommes bêtes ne maîtrisaient pas les bases de la navigation. Des alliés en déduit il, ils doivent sûrement avoir des alliés. Mais qui ? Il ne put achever son raisonnement, l’heure était à se débarrasser de ce rejeton du chaos. Il attrapa le petit câble à sa ceinture et le tordit en un lasso. L’homme bête s’arrêta juste sous Marco, l’ayant repéré à son odeur. Marco lâcha le cerceau de fer, celui passa à la gorge de la créature, il tira sur la corde pour resserrer le nœud. Il prit appuie sur la branche et passa par-dessus celle ci, et qui pour l’homme bête s’était transformée en potence.

La créature fut tirée vers le sommet de l’arbre tandis que Marco descendait au sol. La créature se débattait comme un beau diable, Marco à la hauteur de celle ci se prit un coup de sabots dans l’estomac. Il faillit lâcher prise, ses compagnons firent feu. Les flèches arrivèrent de toutes les directions, l’homme bête faiblissait à la vitesse à laquelle coulait son sang. Marco arrivé au sol, attacha la corde à la souche de l’arbre. L’homme bête ne bougeait plus, du sang coulait des commissures de ses babines mais également de l’orbite de ses yeux et sa langue pendait, se balançant à la même vitesse que son corps.

Ils décidèrent de pousser plus loin leur investigation. Ils arrivèrent à la falaise, en dessous de celle ci il y avait la côte et les plages. Dans l’eau, à proximité de celle ci un spectacle peu commun s’offrit à eux. Telle une montagne flottante, brillante de mal et débarquant d’innombrables petits rejetons. Voilà comment ils sont arrivés ! Se dit Marco. Une arche noire déversait ses passagers, des hommes bêtes. Pourquoi les Elfes Noirs s’allieraient ils avec ce peuple ? Il stoppa net sa réflexion, Synthet résoudra cette question à sa place.

Un liquide chaud aspergea le visage de Marco, il essuya rapidement ses yeux, et vit que ce liquide n’était qu’autre que du sang. Il vit aussi des hommes bêtes, proche de lui, trop proche, il ne voulait pas mourir.

« Cavaliers ! Hurla le garde en poste sur la muraille. Enfin ! Se dit Synthet, il posa son crayon et alla accueillir l’éclaireur. Le cavalier était penché vers l’avant.

« Ah Marco ! Enfin ! Il était temps ! Marco ? »

Il n’y avait pas la moindre réaction, il dégaina sa lame et toucha le corps. Il bougea, il glissa, et tomba de l’autre côté du cheval. Un gémissement à peine perceptible lui annonça que l’homme ou la chose n’était pas morte. Lors de la chute la capuche était retombée. Synthet eu du mal à reconnaître le visage du chef de ses éclaireurs. Il n’était pas médecin mais Synthet put voir qu’il n’en avait plus pour longtemps. La mâchoire pendait, les bras prenaient des positions complexes et du sang coulait d’une large plaie au ventre malgré les efforts de Marco pour retenir ce liquide vital.

« Sei…Seigneur » Il toussa, projetant du sang au pied de Synthet.

« Sur les plages…. Derrière la forêt.. Des hommes bêtes…. Arche noire …. Beaucoup de créature » Il retoussa, violemment cette fois-ci. Cette toux fut la dernière, le corps s’effondra au sol, inerte.

« Lersat ! Prépare nos hommes ! Une guerre se prépare ! »

@+

-=Inxi=-

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C'est joli, et si je ne me demandais pas comment Marco a put s'échapper, je te féliciterai chaudement!

En fait, je te félicite, car ce détail est bénin et uniquement dût à une volonté de tout expliquer. C'est franchement bien et j'aimerais connaître la suite.

Imperator, empereur qui veut voir une bataille ES vs EN pour venger la mort de Marco!

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Bon bah vous pensiez que je vous avez oublié ? Et bien non, je suis toujours là! Bon en fait ce n'est pas le dernier, j'ai trop de chose à dire :innocent:.

Chapitre III : L’espérance

« Ne me laisse pas toute seule » Dit Kaliss étreignant son mari.

« Je ne peux laisser ces hommes bêtes en liberté, tuant, pillant, dévastant ! »Répondit-il.

« S’il te plait ! Il pourrait t’arriver malheur ! Pense à Falcrisos ! » Lui dit-elle.

Si elle continuait comme ça, elle allait le faire craquer. Une bataille…… Mais même si la prudence lui demandait d’abandonner, il se résolut à accompagner ses hommes, et puis un peu d’exercice ça ne fait pas de mal !

« Non, je suis désolé, je passerais pour un bien piètre roi si je me contentais de regarder mes hommes ! »

Il se dirigea d’un pas assuré vers la porte. Ses épaules s’affaissèrent, il courut vers sa femme et l’embrassa.

« J’espère que ce n’est pas un baiser d’adieu ! »

« Non sûrement pas ! Je reviendrais ! » Dit-il

« Capitaine ! »Manda Synthet.

« Oui, monseigneur ? »Répondit-il.

« Où en êtes vous ? »

« Nous sommes dans les temps, tous vos hommes sont sur le pied de guerre, les renforts vont arriver de la capitale »

« Bien, bien, excellent travail » Acquiesça Synthet.

« Bon, avez vous la carte que je vous ai demandée ? » Ajouta t il.

« Non, répondit le capitaine, mais j’ai mieux que ça, regardez ! »

La seule chose qu’il vit au départ se fut une bannière. Celle ci prit de la hauteur et des silhouettes se dessinèrent. C’était un petit groupe, des elfes sylvains.

« Synthet, je présume ? » Dit l’elfe qui était sûrement le champion de cette mission diplomatique.

« Oui, c’est moi, et j’ai honneur à ? » Demanda-t-il.

« Tarorn, je suis ambassadeur de mon peuple, nous avons retrouvé les corps de nos amis dans la foret. Nous exigeons réparation. Nous savons que vous n’y êtes pour rien, les hommes bêtes foulent impunément nos forêts, brûlant sans distinction, pour le plaisir ! Nous savons que vous allez faire une attaque, nous vous proposons notre aide » Dit-il.

« Bien, bien, j’accepte avec joie ! »

« Ne vous en faites pas, le jour J nous serons là » Dit Tarorn.

Ils s’en allèrent.

« Bon, j’espère que les renforts ne seront pas longs, je n’ai aucune confiance dans ces elfes ! » Dit Synthet.

« Pas un mot à Kaliss, dit-il, elle a des origines sylvestres, elle voudrait venir avec nous »S’empressa-t-il ajouter.

« Moi non plus je n’ai pas vraiment confiance Seigneur, dit le capitaine, mais leur soutien peut faire changer le cours de la bataille »

« Dans une guerre, nous ne pouvons compter que sur nous même. Ne compter sur rien car rien ne tient en place » Répondit Synthet.

Un mouvement de tête fut la seule réponse que Synthet obtint. Il tourna les talons bien décidé à profiter des moments restant avec sa femme.

« Qui était-ce ? » Demanda Kaliss.

« Des elfes sylvains, ils sont venus nous dire que nous avons leur soutien. » Répondit Synthet.

« Vont-ils se battre avec nous ? » Demanda-t-elle.

« Oui, ils vont se battre avec moi.»Dit-il.

« Non, c’est décidé ! Je manie l’arc comme aucun autre être humain, j’ai grandi au milieu d’elfe sylvain, j’ai le droit de venir ! » Dit Kaliss.

« Nous avons déjà discuté de ça ! Si nous perdons cette guerre, tu dois assurer l’avenir de Falcrisos »

Voilà, se dit-elle, ils en arrivaient encore au point de la conversation où elle n’avait plus d’arguments.

« Seigneur ? » Se permit d’intervenir un de ses cavaliers.

« Que se passe-t-il ?» S’inquiéta Synthet.

« Les hommes bêtes, monseigneur, ils quittent leur position ! »

Il enfila son armure et attrapa son épée. D’une légère impulsion il sauta sur une estrade montée à son ordre. Dès que tous furent présents, il commença à parler :

« Soldats ! Les hommes bêtes approchent, ils se rapprochent de notre cité ! Nous ne pouvons les laisser passer, nous allons les affronter et triompher. Nous n’avons pas de renfort ? Nous n’en avons que faire ! Nous nous débrouillerons sans eux. Nous sommes moins nombreux ? Nous sommes plus forts ! Leur puissance sauvage ? Nous sommes disciplinés ! Ces hommes bêtes sont faibles, peut être que certains d’entre nous vont mourir, mais nous les battrons ! » Cria-t-il.

Un vent d’excitation parcouru les hommes, les armes se levèrent ainsi qu’un rugissement de colère.

« En route mes amis ! En avant vers la victoire ! » Dit Synthet.

L’aube déposait son léger brouillard dans le bois. Tant mieux, se dit-elle, je passerais inaperçue. Elle siffla, quelques secondes après ce souffle aigu, un cheval fit son apparition. Elle le chevaucha et lui glissa à l’oreille :

« Falentin anan kadon, vas-y mon beau, fonce ! »

« Hooo ! » Synthet arrêta sa monture en haut de la colline : Les hommes bêtes n’étaient pas encore arrivés.

« Les canons sur les collines, une équipe d’arquebusier avec chaque canon, les autres archers et arquebusiers au centre. Les cavaliers hors de vue derrière la colline, les fantassins sur les flancs et au centre » Dit Synthet.

A peine eurent-ils le temps de se mettre en place que la forêt se mit à vibrer. Un battement régulier, lourd fit monter la tension. Ils se rapprochaient. Un premier groupe d’homme bêtes émergea de la forêt, suivit d’un autre sur la droite, encore un à gauche, et un autre. Ils arrivaient de partout. Ils formèrent une ligne continue, Synthet dégluti et resserra sa prise sur son bouclier. Il ne savait pas combien il était mais il apercevait en autre des bestigors et des centigors, il aperçut même des féroces minotaures. Ce bloc de créature plus hideuse les une que les autres se mirent en mouvement. Il souffla, le moment de lancer la charge allait approcher.

Ne vous en faites pas si vous avez l'impression que tt se bouscule, c'est normal! Je voulais justement crée cette impression.

@+

-=Inxi=-

Modifié par Inxi-Huinzi
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  • 2 semaines après...

Bon bah, j'arrive toujours pas à boucler cette histoire, il me faudra un chapitre de plus, dsl :wub:

Chapitre IV : Traîtrise

« Serrez les rangs ! » Ordonna Synthet.

Le sol vibrait, les hommes bêtes gagnaient en vitesse et en fureur. Synthet leva le bras, prêt à ordonner à ses unités de faire feu.

« Mais que font-ils ? »Dit-il à haute voix. En effet tout un flanc de l’armée s’était arrêté et était en train de faire demi-tour. Ils chargèrent les bois. Synthet vit alors pourquoi, à l’endroit du changement de direction, des hommes bêtes gisaient, transpercé par de multiples flèches.

Alors ils ne nous auraient pas menti, pensa Synthet… De toute façon, même avec le retrait de cette partie de l’armée, ils étaient toujours en infériorité numérique.

« Préparez-vous, hurla-t-il, Feeuuuuuu ! » Il abaissa son bras. De violentes détonations retentirent à travers le champs de bataille. Après une folle chevauchée aérienne de plusieurs centaines de mètres, ils s’écrasèrent au milieu de plusieurs régiments. Une fumée épaisse se dégageait du point d’impact, dans le ciel volaient encore de la terre, des membres et des corps. Ce fut ensuite aux arquebusiers de tirer, ils firent également feu. La première ligne d’hommes bêtes fut balayée par un vent de balles.

« Reculez ! Maintenant, montez sur vos positions ! » Ordonna Synthet.

L’armée était maintenant séparée en deux : Une partie à une vingtaine de mètres de l’autre. Cela laissait un gouffre béant par lequel s’engager.

Les cris redoublèrent, les créatures n’étaient plus qu’à quelques mètres. Le contact fut violent pour les deux camps. Certains bestigors vinrent s’empaler sur de véritables murs de lances, d’autres firent voler en «éclat ces murs comme des fétus de paille. Le combat était inégal, mais les hommes tinrent bon, infligeant de douloureuses pertes à leur ennemi. Synthet vit un terrible homme bêtes, bien plus gros que toutes ces hideuses créatures. Il maniait une sorte de hache à double tranchant, au milieu d’un régiment de miliciens il semait le chaos. Personne ne pouvait tenter quelque chose sans être irrémédiablement fauché. Synthet prit son courage a deux mains ainsi que ses épées et se lança sur le champs de bataille.

Les armées reculèrent, laissant place à leur meneur. Synthet lui fit signe de venir, l’homme bête ne bougea pas. Avait-il peur ? Synthet porta quelques coups, la créature ne paraît qu’in extremis. Il n’était pas concentré, pourquoi ?

« Aurais-tu peur de m’affronter ? » Demanda-t-il.

L’homme bête se contenta de sourire, la réponse ne tarda pas. Des hurlements de douleurs résonnèrent à ses oreilles.

« Maudit homme bêtes, s’énerva-t-il, crève ! »

D’un mouvement souple, Synthet décida d’en finir avec cet homme bête, qui avec la fourberie de ces créatures ne devaient être qu’un vulgaire champion. Sa tête tomba au sol, suivit de son corps.

« Soldats formez des carrés de protection ! » Ordonna-t-il aux deux parties de l’armée distinctes. En haut des collines, les minotaures se battaient, enfin massacraient les canonniers et arquebusiers. Pendant ce duel, les troupes homme bêtes s’étaient lâchement mis en position. Les soldats, impuissants, assistaient au massacre de leurs amis. Les minotaures envoyaient les quelques résistants valser dans les airs, et une fois ce carnage achevé, ils chargèrent le dernier bout d’armée, les humains étaient dorénavant encerclés.

Le combat fut toujours aussi violent, les coups s’enchaînaient. Des joueurs d’épées montraient leur froid talent, tuant, massacrant. Les hommes bêtes répliquaient par la terrible force des korngors, les têtes tombaient, les corps étaient perforés, mais inlassablement, l’étau se refermait sur les humains.

Synthet sortit un petit objet de sa poche, celui ci se révéla être un sifflet, il prit une longue inspiration et en fit sortir un sifflement long et aigu.

Le sol trembla, un long grondement qui montait de la colline. Le grondement s’amplifia, des cavaliers surgirent de derrière la colline, lances pointées. Le choc parvient quelques secondes après, les hommes bêtes furent perforés, déchiquetés, pulvérisés par la puissance de la cavalerie. Un large couloir aurait permis la sortie des dernières troupes mais un autre grondement parvient de derrière celle-ci. Ils surent ce que c’était avant de le voir, les cris bestiaux ne laissaient aucun doute. Un régiment de dragon ogre fonça sur les hommes, empruntant la voie dégagée par les cavaliers précédemment. Tout comme la cavalerie juste avant, ils tuèrent tout, sans guère d’exception : Humains et homme bêtes trépassaient s’ils avaient le malheur de se trouver sur le passage. Cette charge anéantie toute la cavalerie, qui coincé au milieu de l’armée n’avait pu esquiver la charge.

Le cercle d’humain était composés dorénavant que de quelques humains.

« Seigneur, dit l’un d’eux, nous mourrons à vos côtés »

@+

-=Inxi=-

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Et bien, ils se font massacrer!

La bataille est bien décrite, mais la ruse employée me semble avoir une faille... Comment, en effet, trouver un être assez stupide pour prendre le rôle de celui qui va se faire trancher la tête? Bon, tu peux me trouver une expliquation, là, maintenant, mais le mieux serait de l'avoir dans le texte, car le gros problème du lecteur, c'est qu'il a du mal à se contenter uniquement de faits...

Bon, allez, je veux savoir s'ils s'en sortent. (ils devraient, normalement...).

Imperator, empereur lecteur.

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Bon, je pensais vraiment pas que cela aller vous poser problème :wub: En fait il n'était pas obliger d'aller se faire massacrer, il devait juste remplacer le chef en attendant que tout ce mette en position, donc il aurait pu tuer Synthet s'il aurait été près. Enfin bon voila la fin ensuite je passes a un nouveau récit, plus humouristique. Bonne lecture :wub:

Chapitre V : Une lettre, un changement

« Préparez à faire feu !» Ordonna la forme encapuchonnée.

Les arcs se bandèrent, les flèches s’encochèrent. D’un mouvement de tête, tout celle ci s’envolèrent dans le ciel, et de leur mortelle précision, criblèrent les hommes bêtes. Comme ils l’avaient prévu, le flanc de l’armée fit demi-tour et s’engagea à leur poursuite dans la forêt. Maintenant ils n’avaient plus le droit à l’erreur, ils se mirent à courir à travers buissons et branchages. Et quand ils estiment avoir prit un peu de distance, les forestiers et archers se mirent en position, firent feu puis ils se remettent à courir. Cette tactique marchait à merveille, la moitié des poursuivants étaient déjà mort et l’autre moitié ne tarderait pas à l’être.

Kaliss après avoir abattu un autre de ses adversaires, s’écarta un peu. Elle rabattit sa cape et se colla contre une souche, dès qu’elle se fut assurée qu’aucun homme bêtes n’étaient là, elle sortit de sa cachette. Je ne peux le laisser mourir, se dit Kaliss. Elle retourna rapidement a l’orée de la forêt, et monta sous les premières branches d’un arbre. De celui-ci elle avait une bonne vue sur toute la scène.

Elle vit tout, sans exception. Un homme être poussé près d’un étrange shaman, celui-ci subir une mutation et elle le vit enfiler l’armure de celui qui semblait être le chef homme bêtes. Après que le chef lui ait glissé quelques mots à l’oreille, il partit sans aucune pression apparente vers le front. Kaliss poussa un cri d’exclamation, son mari allait en duel contre ce faux homme bêtes. Le mi-humain était poussé par la peur, et il serait imprévisible. Mais son attention fut reportée sur l’armée des créatures, des hommes bêtes profitaient du duel pour aller se cacher. Elle aurait voulu crier, alerter son mari, mais elle ne pouvait. Elle savait que le moindre avertissement serait synonyme de mort. Elle en fut à regarder le triste spectacle qui suivit, la fin du « duel », la charge glorieuse de la cavalerie et son anéantissement. Et c’est aussi, impuissante, qu’elle assista à la reddition des derniers hommes.

D’un seul mouvement l’armée adverse libéra sa joie. Cris, tortures, tout était bon pour l’exprimer. Ensuite l’armée, accompagnée des prisonniers prit le chemin de la plage.

Il y arrivèrent deux heures plus tard, Kaliss se fixa sur des rochers. Ceux-ci furent un peu collant, et en les regardant de plus près elle put y voir du sang, elle tacha de ne pas porter trop d’attention à ce détail.

Attaché à un poteau, Kaliss vit Synthet, elle décida de tenter une mission de sauvetage. Elle descendit furtivement par la saillie rocheuse, en prenant grand soin de ne faire tomber aucunes pierres. Cette tache accomplie, elle se glissa de tentes en tentes. Arrivée dans l’une d’elle, elle regarda le camp. Les hommes bêtes étaient assis autour de plusieurs braseros, ils riaient, buvaient, pas l’un d’eux n’étaient inquiété par une quelconque menace, de toute façon, se dit-elle, qui pourrait les vaincre ? Il n’y a plus d’hommes ! Elle se remit en route, elle courut, sorti sa dague et plongea à travers une tente. Elle perfora celle-ci et atterri, au milieu d'une tente, enfin sur le corps d’un homme bêtes. Par chance pour Kaliss, la dague en avant avait aussi eut pour effet de tuer discrètement l’homme bête. Elle se pencha près de l’ouverture de la tente, et écouta une conversation qui la fit frémir.

« Rejoint-nous ! Nous sommes puissants ! Nous sommes invincibles, personne ne peut nous arrêter. Tu ne peux pas même t’imaginer l’étendu de nos pouvoirs. Rejoint notre cause ou meurt ! » Ce fut les premières paroles qu’entendirent Kaliss.

« Non, je préfère mourir ! » Affirma avec conviction Synthet.

« Rho ! Il ne faut pas le prendre comme ça ! Imagine ce que nous pourrions faire à ta femme ! Ou à ton fils ! »

« Je te jure que si tu touches à un seul de leurs cheveux, je te tue ! » S’énerva Synthet.

« Tant de colère ! Fait attention tu vas devenir comme nous ! » S’amusa l’elfe noir.

« Je vais utiliser contre toi un sortilège rare et puissant ! Peu d’entre nous l’ont réussi sans être mort ou devenu fou ! »

Il dessina au sol une sorte de triangle, il s’agenouilla au centre de celui-ci et commença son incantation. Synthet essaya de se débattre mais il ne parvint à se libérer de ses liens.

L’eau se mit à buller, les bulles s’approchèrent de la plage, elle montèrent même dessus sous forme d’un tourbillon de sable. Il s’approcha de Synthet et l’emprisonna à l’intérieur, ensuite cette tornade s’engouffra dans le corps de Synthet. Il hurla, il se débattit mais rien ne calma sa douleur. Kaliss dut se boucher les oreilles, voir son mari ainsi sans pouvoir l’aider allait la rendre folle. Il s’évanouit.

Par précaution Kaliss était remontée sur son perchoir, pour se reposer un peu. Elle venait de se réveiller quand le camp en dessous d’elle se mit en mouvement. Se qui l’étonna plus et la terrifia c’est quand l’elfe s’approcha de Synthet et le libéra de ses liens et qu’au lieu de partir il s’agenouilla auprès de celui-ci.

Kaliss prit peur et cria, elle cria à s’en faire éclater les poumons. Tout le monde avait désormais le regard tourner vers elle.

« Je t’en supplie » Implora-t-elle.

Celui qui la regardait ne ressemblait en rien au Synthet qu’elle avait connue, il était froid, comme mort, sans cœur. Il souffla dédaigneusement et rentra dans l’arche noire qui prit lentement le large. Kaliss se mit à pleurer, et de la force de cette douleur fuit dans la forêt. Plus tard, beaucoup plus tard elle entendit des bruits de bataille et de tirs.

Kaliss passa les enceintes de sa cité, Lersat vint immédiatement à sa rencontre.

« Madame, nous avons eu peur, nous ne savions pas où vous étiez ! Les renforts sont arrivés et on détruit les homme bête ! Il n’y a eu aucun survivants ! Mais… mais où est Synthet »

« Il est mort » Dit-elle impassible.

@+

-= Inxi, qui aime tromper Imperator =-

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Bon bah voilà une nouvelle histoire commence :wub:, plus détendu, pas humouristique mais presque! Pour l'humour y a des gens qui se debrouille bien mieuuuxxxx que moi :wub:

Voilà, bonne lecture

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Aulnay, Briz têt

Chapitre I : Promotion

« Pfffffffff, il m’nrve » Dit Aulnay en nettoyant la hutte du chef Rodik Klat têt .

Par souci de compréhension, je vais mettre le nouveau décodeur orc« Je n’ai que faire de ce mécréant ! »

Bon ok, pas trop non plus.Un coup de fouet ramena Aulnay à la réalité. L’orc noir le regardait de travers, Aulnay déglutit et nettoya de plus belle.

« Pfff, en plus je suis plus fort que lui, ce demi squig ! Ce nabot ! Ce …. »

« Ki c ki ral ? »

Aulnay frémit.

« Oui, oui, maître, dit Aulnay, vous avez faim ? Je vais vous chercher de la nourriture tout de suite ! »

« Non, fac d’hom ! Viens voir j’ai un cadeau. »

Aulnay ouvra les yeux de surprise, et approcha. Paf, il fit le même chemin mais en sens inverse. Le coup de tête l’avait sonné, Rodik quitta la hutte en rigolant.

« Mais euh ! » Dit Aulnay en touchant la cinquième bosse qui ornait son front, cet orc noir ne voulait vraiment pas le laisser sortir. Bon je tente une sortie, se dit-il. Il courut sur l’orc et fit semblant de lui sauter par-dessus, mais au dernier moment il passa entre ses jambes.

Bon c’est le moment de me barrer, il courut. Au moins dix secondes, il se trouvait désormais au milieu du camp. Soudain une voix tonitruante hurla :

« Il s’échap ! Basssttoooonnnnnnn ! »

Une vague verte déferla sur la place centrale, une pluie de coup tomba sur Aulnay quand soudain une main exerça une traction forte sur Aulnay et il fut tiré en arrière. C’était Rodik.

« Coucou, dit-il, j’ai encore un cadeau ! »

« Et de six !» Marmonna Aulnay, tandis qu’il mangeait une nouvelle fois la poussière.

« Gobs, snots, travailleurs, travailleuses ! On vous exploite ! On vous spolie ! Changeons notre condition sociale ! Dit Aulnay. Oui mes amis nous gagnerons ! » Annonça Aulnay.

Le public en délire applaudi. La bande de Snot était conquis. Voilà déjà cinq alliés de mon côté, se réjouit Aulnay.

« Aulnay !! » Entendit-il.

Oh non qu’est ce qu’il me veut encore lui, se demanda Aulnay. Je n’y vais pas, je vais faire semblant de ne pas avoir entendu, se dit Aulnay en s’en allant en sifflotant. Deux orcs noirs vinrent vite le rappeler à l’ordre, ils l’escortèrent jusqu’à la hutte du chef. Arrivé à celle-ci, Aulnay toucha intégralement tous ses organes, à part les oreilles qui avaient souffert lors du voyage, tout était bon.

« Crétin ! tu c pas t’échap ! On diré 1 poul ka trouvé un kicoup’ ! Va laver tout mes fring ! C un ordr ! »

Aulnay n’osait pas bouger, il avait trop peur de la sentence s’il décevait encore le chef. Aulnay n’avait jamais bien prit le temps de l’observer. Celui ci était coiffé d’un large casque fait de divers d’ossements, son armure de plate avait été volée à un chef chevalier. Elle portait la marque de nombreux coups mais jamais elle n’avait cédée. Une large hache était accrochée dans son dos. De ces protections dépassaient : jambes et bras. Ces organes les plus utilisés chez les orcs, étaient chez le chef surdéveloppés, ce qui empêchait tout coup d’état.

« Bon en route ! » Dit Aulnay. Il ramassa les vêtements et parti vers la rivière. Il posa les frings sur la berge et commença le nettoyage. Tandis qu’il marmonnait, il aperçut de l’autre côté, derrière un buissons, des orcs noirs.

« Mais qu’est ce que vous voulez ? Vous voulez vous battre ? Tête d’homs ! » Dit-il tout bas. Il attrapa un caillou et le lança. Le caillou ne traversa pas la moitié de la rivière et coula… Aulnay regarda rapidement si personne n’avait vu son pitoyable lancer et retenta un meilleur lancer. Le caillou partit en ricochet et après avoir prit de la vitesse percuta une chose derrière le buisson.

C’était Rodik, il tomba dans l’eau et commença à se noyer, le caillou l’ayant percuté en pleine tête. Aulnay plongea mais n’arriva pas à le sauver, les orcs noirs approchèrent.

« C’est pas ma faute ! » Dit-il en se préparant à parer.

« Nouveau chef ! » Dirent-ils, un genou à terre.

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-= Inxi =-

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Invité Feurnard

Ton second texte, je ne pouvais pas en attendre mieux. Un pur délice, même si une fois encore, les pauvres z'hôms sont morts.

Par contre, les z'orcs m'ont fendu le visage d'un large sourire béat : simple et efficace. La dernière réplique, plus que toute autre, a failli me fiche hors de ma chaise.

Je remarque par contre que, dans les longues tirades, tu massacres toujours sans modération la ponctuation... virgules, points, points-virgules, double-points ! C'est du charabia et du pareil au même. Par contre, il y a quelques formes qui rendent tes textes attrayants. On sent lorsqu'il faut pleurer, rire ou se fâcher : bref, ce qu'il se passe dans l'histoire. Et ça, c'est important.

Ben je sais pas si j'oserais te demander une suite... la seconde histoire allait avec Falcrisos, mais la troisième ? Et Tran, il reste toujours un inconnu ? Voilà, quoi...

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Là je m'amuse un peu, mais en ayant tout mémorisé chez Falcrisos, on voit ou les orcs vont intervenir (ce qui reponds a tes deux questions Feurnard :wub:. Allez bonne lecture, la suite surement demain!

Chapitre II : Il faut un début à tout

« Beummmeee [Prononcé Bon mais avec l’accent du sud] !!! Je crois qu’il n’en n’aura plus besoin de ça ! » Dit Aulnay en prenant l’armure de Rodik. Dès qu’il l’eut enfilé il se sentit plus fort et plus grand. Ce n’était pas une impression, il le vit dans le regard peureux des orcs noirs.

« Amenez-moi Rykdangerousiv, le shaman ! »

« Koi peut fair pour toi ? » Demanda le shaman, celui-ci était petit et usé par l’âge, il faudra que j’en trouve un autre se dit Aulnay.

« Euhhhh, je fais quoi maintenan ke j suis chef ? »

Les yeux du shaman tournèrent dans leur orbite, il avait du tester les champignons pour fanatiques.

« Bah fait comme tout le monde, lance une Waaggghh ! » Dit le shaman.

« A tes souhaits »Répondit Aulnay.

« Pffff… T’a rien capté ! Ouvrons le petit orcbert, def de Waggh : Grande chevauchée orc menée par un chef de guerre, celui ci peut rallier plusieurs tribus sur son passage »

« Woaw ! Cool il est où le chef ? On part kan ? »

« T’es pas un orc pour rien toa ! C’est toa le zef ! »

« Hein ? Bon de toute façon c pas avec mes deux paires de …… guerriers (pervers, je sais ce que tu pensais) que je vais conquérir le monde ! »

« En plus tu as m pas fe expré de tué le zef zef je t’ai vu ! »

« T toi ou je te bute ! J’chui plus for que toa ! » Dit Aulnay.

Il tira sa lame pour faire semblant de mettre sa menace à exécution. Ne maîtrisant pas sa force, il lâcha son épée, surpris, de la poigne qu’il avait dessus. Elle glissa de sa main, et se figea dans la tête du gob.

« Oups….. »

Le gob leva les yeux sur l’arme, ne réalisant pas vraiment ce qui se passait.

« Les contrées maudites…. » Agonisa-t-il.

« Et hoo ! Mourus pas sorcier, nez besoin de toi ! »

« Aaaarggg ! » Fut ses dernières paroles.

Aulnay se leva, main sur le cœur.

« Ton dernier mot fut Waggh, alors je la lancerais ! »

Un gob qui passait par-là dit :

« Euh chef, il a pa di waag mais arrg ! »

« T sur ? Atten ! »

Paf Aulnay, d’un mouvement souple, transperça la tête du gob.

« Aaarg » S’écroula-t-il.

« Ah ouais ! S’étonna Aulnay, c’est po grav, j’chui cho pour une wagggh ! »

Aulnay sortit de la hutte, et lança un terrible :

[Aulnay] Waaaaaaaaaaaaaaaagggggghhhhhhhh

[Gobs] Waaaaaaaaaggghhhhhhhhh

[Orcs] Waaaaarrrrrrrggggghhhhhh

[Trolls] Wwwhhaaatttt’ssss uuuuuppppppp

« Bon les boys ! » Hurla Aulnay de sa voix la plus virile qui dérailla vite en un hurlement aigu. La bande d’orcs se rassembla, une marée verte avait très vite rempli la place.

« Un nouvel ordre s’instaure ! Le monde des hommes va disparaître, annonça Aulnay, nous allons lancer la plus puissante Waagh que le monde n’est jamais connue ! »

« Ouuais ! Aulnay président ! Baston ! Arrg » Furent les multiples cris de la foule.

« Rassemblez vous pendant que je cherche une idée » Dit Aulnay. Il ferma sa hutte, les feuilles commencèrent à tomber, puis vint la neige, qui fondit avec la chaleur du soleil. Ainsi fut-il pendant deux révolutions.

« Après ce long isolement, Aulnay réapparut. »

« J’ai trouvé ! Dit Aulnay. Wahaou la tribu s’est repeuplée ! Dit-il tout bas. Bon direction les contrées maudites ! Les boys y a du morbak au dîner.»

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-= Inxi =-

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Pas de commantaires, bons commantaires ?

Chapitre III: Baptême

La marée verte s’éparpilla dans toutes les directions, personne ne sachant où il fallait aller. Aulnay suivit par ses gardes du corps et des chevaucheurs loups ne le vit pas tout de suite.

« Des orcs ! Cria-t-il, ils seront les premiers à se soumettre à nous ! Chargezzz ! »

Aulnay vit avec grand plaisir ses troupes charger cette bande d’orcs.

« Et ? mai y son où les autres ? S’exclama Aulnay, aaarrrgg ! Stop !!!! »

Aulnay courut près de l’escarmouche.

« Lâches Tikrit, Defonss, c’est nôt régiment »

« Rhhôôô, tout cassé le gob ! » Dit Defonss.

« Heureusement que l’on en a plein ! » Dit Aulnay.

« Vous ! Ordonna Aulnay, allez me chercher le reste de l’armée. Toi là, lâch c gobs ! »

« Mai y sont déjà mor big chef ! » Pleurnicha l’orc.

« Enterez-les ! Ils auron une mor décente ! » Ordonna Aulnay.

Les orcs écarquillèrent les yeux. Ils avaient faim et leur chef les privait d’un bon repas.

« Héhé, surprise : je déconne ! A table !! »

Après avoir finit ce maigre repas, le reste de l’armée arriva.

« D’où qui sont venu ces shamans ? Et ce géant ? »

« Chai pas chef, on les a trouvés en route ! »Dit ptitebip, un gobelin de la nuit.

« Bon, ba chef, si vous avez plus besoin de moi je retourne me shooter aux champignons de la nuit. »

« Ui, vas-y Ptiteb….. Mhrrrrrhhh, rigola Aulnay, ahahahahahahaha » se lâcha-t-il.

Le gob partit vexé.

« Bon les girls, on repart ! » Dit Aulnay s’essuyant les yeux. L’armée était composée d’un demi-millier d’orc & gobs, et de jour en jour celle-ci gagnait en population.

Quelques jours après le départ, après des chevauchées, des pillages, des meurtres, ils arrivèrent dans un lieu que même la lumière semblait avoir abandonnée.

« Bon kampin les filles ! » Annonça Aulnay. De vieilles huttes furent dressées à la hâte et Aulnay convoqua son état-major.

« Bon il me faut : Une arme, une monture et une armée qui tient un peu près la route. » Dit Aulnay.

« Biiieennn, cheffff, pour la monture, on a : Un cheval (repas de demain), un loup, un sanglier, un squig et bientôt une vouivre. »

« Ouais, je veux la vouivre ! » Répondit Aulnay.

« Pfff, t’a pas pig chef, elle es pa prête ! Fo kel grandi ! »

« Bon, bon je prends le dragon alors… »

« Y a pas de dragon ! »

« Un griffon ? Un hippogriffe ? Un dragon des forêts ? Une manticore ? Un carnosaure ? »

« Rien de rien zef ! »

« Armée de looser, dit Aulnay, oh lala steak haché là ! Bon je prends le loup ! »

Des hurlements de loup, justement, se firent entendre.

« Tiens des hurlements lugubres ! »

« Quand on parle du loup ! »

« Bon on y va ? Pendant que le loup n’y est pas »

« Bon les naz, intervint Aulnay, zetes pas drole ! »

Speedkrim, un éclaireur, arriva.

« Il est où ton bra, Speedkrim ? » Demanda Aulnay.

« Mon bra ? Kes qu’il a mon…. Il ne termina pas sa phrase. Argg ! Bon c pa grav je m’en servé pas ! Bon zef, c’est pour dire kon é ataké ! »

« Allez les n’orcs, on joue à l’extérieur mais on peut les battre ! 4-4-2 go go go ! »

Les orcs se rassemblèrent dans quelques choses qui ressemblait vaguement à des régiments. Et on pouvait voir, déjà, des orcs se taper dessus.

« Mon loup, il est où ? » Hurla Aulnay.

Une bande de snots amena un loup, Aulnay allait le monter, quand il faillit se faire manger la jambe. Il frappa le loup et les snots pour les rappeler tour à tour à l’ordre.

« Ahaha ! Morbak, on va retourner vos tombes et les piller ! » Dit-il en menace.

L’armée adverse, pour ce qu’il en voyait, était composée de zombies, de loups bien plus gros que les leur, de squelettes et de vampires. Il se doutait de la présence de spectres et d’autres créatures d’outre tombe.

« Bon on les achève ! Chargeeezzz ! »

Cette charge fut la plus pitoyable que la terre n’est jamais vu. Pas la moitié de ses régiments ne chargea, plus intéressé à se battre en eux qu’à suivre les consignes. Un lance roc envoya son large rocher au milieu de gobs qui fuirent, paniqués. Les fanatiques furent lâchés et percutèrent en partie les régiments orcs dans leur toupie meurtrière, dans cette transe ils ne virent pas qu’ils attaquaient leurs alliés. Le loup d’Aulnay chargea et il fut désarçonné. Il cracha la poussière récemment avalée, et se redressa. Il courut sur les régiments en pleine animosité, et après quelques baffes reçues, tous les régiments se retrouvèrent, plus ou moins, en train de charger la position adverse.

« Bon je fe koi moi maintenant ? » Dit Aulnay, il s’assit par terre et regardait la bataille. Un grand waou attira l’attention d’Aulnay. Un plongeur de la mort venait de prendre son envol.

« Bon j’chui bon là ? » Demanda Aulnay.

« Prêt à faire feu, big boss ! » Dit le gob. Aulnay, installé sur la baliste, allait s’envoler.

« Allez mon canard, go ! »

Aulnay s’envola dans les airs. Je tuerais ces gobs au retour, se dit Aulnay, j’chui pas un canard ! Aulnay survola le champ de bataille et passa au dessus de ses troupes.

« Copains ! »

Il commença à retomber. Il vit, derrière les troupes morts vivantes, une chose entourées d’une cape noire. La chose ne semblait pas l’avoir vu, Aulnay par chance le percuta d’une violence inouïe.

« Mêm pas mal ! » Dit Aulnay en se relevant.

« Par contr toi, le chef vampire, t’a eu mal ! » Dit-il en rigolant. Il lui arracha la tête et poussa son cri de guerre virilo-aigu. Ce cri fut repris par toutes ses troupes qui foncèrent et enfoncèrent les derniers morts vivants.

« Hop, hop, c’est domag vous êtes encor mourut ! » Et ce fut toujours dans l’aigu qu’Aulnay cria de terreur quand la têt du vampire se transforma en cendre.

@+

-= Inxi =-

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Plutôt burlesque, en effet, mais tellement efficace...

Ce qui m'étonne, c'est que, des fois ça approche la caricature et des fois c'est très recherché... ça fait un drôle de mélange.

On verra bien. Continue donc!

Imperator, empereur du néant.

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Donc voilà le tournant de l'histoire, en fait j'hesite à rester dans ce style ou à repasser dans le sérieux. A vous de voir :) !

Chapitre IV : Ce n’est que le début

« Bon les gars, on execut les ordr ! Pillage ! » Hurla-t-il.

« Tuez ! Brûler ! Piller ! Mais faites le avec plaisir ! »

Aulnay retrouva vite son loup, il remonta dessus. Il s’agrippa fortement aux poils de sa bête et prit la direction du château. Arrivé à celui-ci, il se lança dans une fouille minutieuse. Il arriva au seuil d’une large porte, il entra, il regarda, il ne vit rien ne pouvant le menacer. Dans cette pièce, il y avait plusieurs cercueils et une large armoire. Il posa sa torche sur les cercueils et entreprit d’ouvrir l’armoire. Celle-ci ne voulant s’ouvrir, il la défonça avec un cercueil improvisé bélier. Dans un grand fracas, les planches fermant l’armoire se fendirent.

« Whaaa ! Pa mal ! » S’exclama Aulnay. Il saisit une sorte d’épée et un bouclier. Sur ce dernier était gravé des lettres d’ors et trois points très rapprochés.

« Y fé cho dans leur pay ! » Dit Aulnay.

« Arggg ! » Il s’aperçut que la chambre était en feu. En effet, la torche qu’il avait laissée sur les cercueils les avait vite enflammer. Il sortit de la chambre et allait prendre la fuite quand il remarqua qu’il lui manquait une chaussure.

« Merde, ma shoes ! »

Evitant les poutres qui lui tombaient dessus, il finit par la retrouver.

« Fear Tactor ! Sauf qui peu ! J’oré pas la clé ! » Il prit ses jambes à son cou et réussit malgré quelques brûlures à quitter le château sain et sauf. Des orcs saouls cuvaient à l’extérieur.

L’un d’eux dit :

« Je…… Je…. C plu ce que je voulé dir !….. Ah si ! Je veux la têt du clan ! »

« C toi la têt de clan ! » Lui répondit Aulnay.

Le duel fut rapide et riche en enseignement. Aulnay comprit vite que la particularité de son épée reposait sur le fait qu’elle était polymorphe. En effet, d’une simple pensée, elle devenait autre.

« Bon g mé suis bien maré ! On part à la conquêt du mond maintenant ! »

Quelques années plus tard et malgré les armées envoyé à leur rencontre, la horde continuait de croître et ses conquêtes.

[bretonnie]

« Encore des pillages et des attaques, mon Duc »

« Ces maudits orcs ! Leurs attaques sont plus violentes et ils sont toujours plus nombreux »

« Que s’est-il passé cette fois ci ? » Demanda le duc.

« A priori leur chef orc est tombé dans la rivière et, emporté par le courant il aurait passé nos défenses. La nuit tombé il serait allé ouvrir le pont-levis. Il n’y a eu aucun survivants…. »

[Nains]

L’arbalétrier n’osait annoncer la nouvelle au maître de son clan, pourtant il franchit le cap.

« Monseigneur, ils sont passés. Nous n’avons rien pu faire, il pleuvait des orcs ! Vous devez partir maintenant. »

[Chaos]

Cela faisait plus de trente minutes qu’il attendait dans la salle principale du temple. Le champion de Khorne n’avait pas envie d’affronter le courroux de son maître. Un léger tremblement et une atmosphère plus lourde le prévint de l’arriver de celui-ci. Il ne prit pas la peine de se retourner pour dire :

« Il nous a attaqués dans le dos, nous ne pouvions gagner ! Je vous le promets ça ne se reproduira plus, nous les battrons. »

« J’y compte bien, tu ne feras plus jamais d’erreur ! »

Tandis que la forme disparaissait, les cris raisonnaient encore dans la salle du temple.

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-= Inxi =-

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Dans l'idée où ça a un quelconque rapport avec Falcrisos, ne continue pas, ça ne va pas dans le ton.

Mais par contre, comme récit à part, c'est poilant (tombé dans la rivière et contourne les défenses...).

De ce côtés là, par contre, faut continuer, quitte à faire u npost à part. Bon, tu vas peut-être me dire que tu veux avant out continuer ton projet pour Falcrisos, mais moi, je ne fais que répondre à ta question. C'est marrant, poilant et désopilant, mais ça ne va pas si l'on commence à penser que ça a un rapport avec Falcrisos (qui n'est marrant que quand tu nous fais le coup de starwars.).

Voilà quoi, mais en ce qui me concerne, je ne veux pas que tu arrête! C'est vraiment drôle, je commence à adorer Aulnay!

Imperator, que les petites choses vertes amusent!!! (c'est que l'on s'ennuie dans le néant!)

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Voilà voilà petit aparté mi-sérieux mi-comique.

Chapitre V : Deux carnages pour le prix d’un

« Bravo les grunts ! On les a massacr ! Priez leurs dieux pour les remercier que je sach pa lire une carte ! » Clama Aulnay.

« Nos perpétuels ennemis nous nargu encor ! Nous allons z’attak les zom ! » A ce jour, trois ans après la prise de pouvoir d’Aulnay, la horde comptait d’innombrables orcs, de gobs, de trolls, de shamans, de loup, de machines de guerre et bien d’autre.

Le grand changement fut aussi que Aulnay avait enfin sa vouivre. Celle-ci fut surnommée Bitokav en raison d’une mutation. Dorénavant ils étaient postés à toutes les frontières prodiguant des raides incessants. Aulnay avec la plus grande partie de sa horde était à la frontière de l’empereur.

« Les boys ! resté ici ! Je v voir et prévenir c mortels de notr arrivé ! » En grand seigneur, il siffla pour appeler sa monture. Il regarda sans le ciel mais ne vit rien. Il patienta plusieurs secondes pour remarquer que la vouivre restait allongée à côté de la hutte. Elle regardait son maître une lueur d’amusement dans les yeux.

« Bon…… » Il se dirigea, honteux, vers celle-ci. Il la chevaucha et elle prit son envol. Celle-ci plana de longues minutes. Aulnay regarda en dessous de lui pour trouver quelques chose à faire. Il vit un village isolé et décida de le visiter. Le village était composé de quelques huttes et de quelques maisons de pierres. Aulnay se posa sur la place centrale dans un grand nuage de poussière.

« Keuf, keuf ! Fit-il, Aulnay est parmi vous ! Ki veut se battr ? » A sa grande déception, le village n’était composé que de femmes, de vieillards et d’enfants. A ce propos sous les yeux terrifiés de leur parent, Bitokav en avait déjà croqué deux. Quelques hommes en arme sortirent quand même des maisons. Ils formèrent un hémicycle et entouraient Aulnay.

« Ki veut manger ses dents en premier ? » Demanda-t-il avant qu’un homme, énervé, se jette sur lui. Sa lame prit vite la forme d’une lance et perfora de part en part le premier venu. Dans le même temps la vouivre croqua un nouvel homme et planta de son large dard un autre humain. La place baignait de sang mais le carnage continuait. A la fin, quand il ne restait plus qu’un enfant, ils se stoppèrent tant bien que mal.

« Eh hoo gamin ! Essaya de s’approcher Aulnay, pourquoi tu pleures ? Tu veux la tête de ton papa ? Regarde tu pourra l'avoir tout le temps ac toi! Si tu veu je t'en fé un collier ! Bon, d'ac je c pas fair ac les enfen bon g un messag pour ton chef, dit lui que j’arrive, et que ça ne sera non sans perte ! »

Il reprit la route vers son armée. Arrivé au sol, il décida de suivre un camp repéré par ses éclaireurs. Au moins ce coup ci peut être qu’ils ne se tromperaient pas de route. La forêt était vraiment pleine d’arbres se dit Aulnay, un éclaireur lui fit signe de faire moins de bruit car ils approchaient du camp. Après avoir mit un coup de tête au gob qui se prenait pour le chef, il regarda par lui-même. Ce camp n’était pas un camp humain comme on aurait pu le croire mais plutôt celui de minotaures. Caché au plus profond de la forêt ce clan pacifique vivait en autarcie. Aulnay fit signe à ses troupes de se positionner tout autour de ce camp, il prévint ses hommes de se préparer à bouger car il doutait de leur discrétion. La marée déferla sur le camp, une baston avait prévenu les minotaures que des orcs étaient tout proche. Aulnay promit de régler le compte à ceux là à la fin de la bataille.

La bataille commença dans l’anarchie la plus totale, les minotaures se regroupèrent en un cercle et aucun gobs, orcs n’arrivaient à passer. Pourtant petit à peu ils reculèrent.

« Fran, où est ton fils ? » Demanda un minotaure.

« Je ne sais pas, Tran ! » Hurla-t-il.

« Je suis là, père ! » Dit le petit minotaure. Il se trouvait devant Aulnay, qui lui lança un défi. Pendant arriver à arrêter la horde, il accepta. Aulnay ne voulut perdre de temps. Il testa son adversaire par plusieurs feintes de frappe. Gauche, droite, de taille, d’estocs. Aulnay recula et fit sa tactique la plus lâche. Il pointa son épée sur Tran mimant de se mettre en garde. D’une nouvelle pensée celle-ci se transforma en lance. De tous ses muscles Aulnay la propulsa vers le minotaure qui, impuissant, regarda la mort sous son visage. La lance fendit l’air et percuta Tran, il s’effondra sans vie.

« Nooon » Hurla son père qui se précipita sur le corps sans vie de son fils. Le trou laissé par les membres du clan pour aller secourir Tran fut habilement exploité par les orcs qui s’engouffrèrent par cette brèche. La suite fut simple, tout les minotaures fut tués ou, rarement, capturés pou être dévorés plus tard.

« Encore une victoire les gars !» S’exclama Aulnay.

« Rien ne peu nous areté, petons les zoms ! » Ajouta-t-il en courant vers la forêt avant de faire demi-tour pour aller chercher sa vouivre.

@+

-= Inxi, juste pour le lien =-

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Ouais, ça peut aller. Maintenant, il faudrait tout de même rajouter l'arrivée de Falcrisos sur les lieux...

Mais ça va, ça va même bien. Je vais tout de même t'avouer que l'on ressent une nette différence dans le comportement d'Aulnay, qui se contentait jusque là de ne rien faire pour gagner (en clair, il gagnait grâce à sa chance) et qui se met à réfléchir.

Il y a aussi le passage où Aulnay fait la remarque au petit du " plus tard, tu voudras me tuer...". C'est pas tout à fait dans le style. Après tout, l'Humour était jusque là porté sur l'intervention de la chance. Soudain, tu fais de la satire de la société...

Enfin bon, je te proposerais personellement de retravailler légérement ce passage pour le remettre plus dans le style qui précède et de rajouter un petit bout pour Falcrisos (si lien il y a, autant qu'il soit complet.).

Voilà, je crois en avoir assez dit.

Imperator, empereur content que tu ais essayé, et qui trouve que le résultat n'est pas si mal que ça, quoi qu'il en dise.

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Avant dernier chapitre et je sais pas si je ferais un truc après.

Chapitre VI : Ca ne vole pas haut

« La pluie sa mouille ! » Découvrit Aulnay. En effet depuis le début de leur invasion, celle-ci n’avait pas cessée une seconde. La horde était en territoire de l’empire depuis quatre jours maintenant, approchant de la capitale, avançant aussi discrètement qu’elle le pouvait. De nombreuses fois elle avait rencontré des patrouilles mais aucunes ne put donner l’alerte. En continuant comme çà ils seraient très rapidement à la capitale. Aulnay rêvait d’être le premier orc à atteindre la Kapit’hal, son nom serait gravé à jamais dans le cœur de tous les orcs. Une main sur le cœur, une larme perla sur sa joue.

Defonss regardait son chef, on dirait Nap’ oltéon comme çà, se dit-il. Ce grand chef orc avait conquit une grande partie de la planète mais il avait subit un revers magistral et tout son empire s’était effondré. En attendant lui, capitaine des orcs noirs, devait s’assurer de la protection de Aulnay, ce qui entre nous n’était pas gagné… Ils n’étaient plus qu’à quelques heures de la capitale et tout restait à faire. Defonss s’était entretenu avec certains shamans cette nuit là, et étrangement ils ont senti quelque chose ou quelqu’un planer au dessus du camp. Ils étaient observés et cela faisait peur à Defonss, il pensait que les zom s’avaient qu’ils étaient dans la région. En tout cas il avait une sérieuse envie de fracasser du gob. En voilà un qui passait juste à ce moment, peu de chance pour lui il finit vite en charpie. Après ce petit plaisir personnel, il devait remettre toute l’armée sur pied pour le départ.

« OH ! Les copains ! Dit-il en appelant le reste du régiment orc noir. Fo faire bouge le reste des nabots ! »

Ils n’eurent pas besoin de mettre des claques de droite à gauche cette fois ci. Un grondement, des hurlements, provoquèrent parmi les régiments une panique ingérable. De la forêt surgirent des zoms ! Attaquant par surprise, ils ne pouvaient pas plus mal tomber. Les orcs étaient comprimés au centre de la clairière et ne pouvaient bouger. Aulnay essayait tant bien que mal d’organiser ses troupes et de garder l’ordre en même temps. Epaulé par ses gardes du corps ils parvinrent à maintenir une cohésion assez impressionnante. Mais ce qui devait arriver, arriva : La horde perdait inexorablement du terrain. Defonss venait juste de perdre Aulnay des yeux quand il entendit sa voix si particulière au loin. Face à un humain, il se tenait droit. Statue immobile qui attendait le choc. Poussé par la fougue de la jeunesse, le jeune humain attaqua. Defonss ne parvenait à avancer, il dut, à son grand regret, tailler son passage dans de l’orc. Arrivé près du combat, il vit que Aulnay n’avait pas vraiment besoin d’aide. Sa tactique préférée étant à l’œuvre : Il tenait l’humain au sol, la lance juste au niveau du coup qu’il pouvait transpercer de sa simple volonté.

« C quoi ton ptit nom ? » Demanda Aulnay.

« Falcrisos » Répondit l’humain.

« Eh ben j’ai une bonne nouvelle ! Tu vas mourir ! » Dit Aulnay

« Pas question ! » Lui envoya à la figure Falcrisos

Il saisit le bout de lance, et sembla psalmodier. Dans un cri, Aulnay lâcha son arme. Sa main brûlée a vif, il soufflait dessus frénétiquement en sautant sur lui-même. L’humain saisit la hampe de l’arme et la projeta sur Aulnay qui fut perforé uniquement à l’épaule. Il le devait à Defonss qui s’était interposé. Aulnay regardait, impassible, la lance à travers de son épaule. Il se fit tirer en arrière par Defonss qui était dans le même état que lui.

« Chef, venez c fini ! On a perdu !»

« G une soluss pour fuir ! » Dit Aulnay

« Koi chef ? » Demanda Defonss

« Ca te tente de faire le canard ? »

@+

-= Inxi =-

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Encore une fois, le style habituellement drôle d'Aulnay donne à cette suite et selle qui la précède, un air d'après-fête, comme l'addition qui reste au dernier attablé.

Pour le reste, et bien. Une ou deux répétitions du mot "orc" et "capitale" au départ, mais pas si dérengeant. En fait, c'est vraiment cette coupure qui fait mal. Désolé, mais c'est vraiment intense.

Imperator, empereur du néant.

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Et me revoilà, avec un petit épilogue.

Epilogue

Falcrisos regardait le ciel. Deux silhouettes noires s’étalaient sur ce bleu si profond. Vous ne m’échapperez pas éternellement se dit Falcrisos. Il regardait la plaine sous un œil nouveau, jamais il n’avait vu tel carnage. Ce n’était plus un champ de bataille mais un véritable charnier. Les humains empilaient les orcs sur des brasiers géants et ceux-ci dégageaient une infâme puanteur. Falcrisos regardait l’arme de sa victoire, la lance était maculée, à son extrémité, d’un sang noir. Falcrisos se demandait où ranger cette arme. Il se dit également qu’elle serait mieux en forme d’épée. Il lâcha la l’arme dans un cri de surprise, la lance fut lame. Non mécontent de cette découverte il se prépara à rentrer quand un capitaine vint l’aborder.

« Soldat, au rapport ! » Entendit Falcrisos.

« Vous avez été choisis pour remonter la piste des orcs ! Vous devrez trouver et soignez les éventuels blessés. Vous serez sous le commandement unique du sergent Weiten ! Tout refus d’obéir étant fortement sanctionné ! »

« Oui. » Répondit Falcrisos sans aucune motivation.

La colonne d’homme se mit en route peu après. Les empreintes orcs étaient nettes et facilement repérables et ils n’eurent aucun mal à les suivre. Ils débouchèrent à nouveau dans une clairière, de la fumée sortait d’un village à l’orée de celle-ci.

« Lanciers en tête de colonne ! Archers encochés vos flèches ! Tout le monde en garde ! » Ordonna le sergent.

Ainsi ils entrèrent dans le village, sur le qui vive, prêt à la moindre attaque. Mais dans ce village il n’y avait aucune âme qui vive. Il n'y avait que la mort dans ce village comme le prouvait ces carcasses de minotaures. Une longue plainte sortait de derrière une hutte. D’un bref signe de tête le sergent ordonna à ses hommes de prendre position. Ils continuèrent silencieusement vers l’origine de cette plainte. Au sol se tenait un minotaure allongé sur la dépouille de ce qu’il semblait être un proche. De longues larmes coulaient des joues du minotaure, rien arrivait à consoler sa peine. Au sol, glissant lentement de la cuisse du minotaure, du sang s’écoulait d’une plaie. Falcrisos s’approcha précautionneusement du minotaure et entreprit de l’écarter de son deuil.

« Que me veux -tu humain ? » Demanda avec une pointe de dédain Tran.

« Laisse toi faire, d’accord ? Je vais te soigner çà ! » Dit Falcrisos.

Tandis que Falcrisos incantait Tran lui demanda son nom.

« Falcrisos » Lui répondit-il.

« Moi, c’est Tran »

Voli Voilou

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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