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[Jeu - Histoire] Franc Croisement (alias la grosse auberge)


Inxi-Huinzi

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J’étais sorti quelques temps plus tôt. Il y avait dehors, devant l’auberge, beaucoup d’agitation, il y avait une caravane et les gens étaient sortis pour acheter des vivres et divers objets. Quant à moi, j’étais parti immédiatement, j’avais besoin de marcher et de changer d’air. Et puis, après avoir quitté la ville et marché pendant plusieurs heures, j’avais trouvé un surplomb où je m’étais installé. La vue était belle ; le soleil était aussi radieux que le sourire de certaines jeunes femmes, le ciel plus limpide que l’eau. J’avais volé quelques pommes sur un arbre dans un champ. J’en sortis une, la dépoussiérais et mordais à pleines dents dans sa chair ferme, un liquide sucré en sorti alors. Je resterais là jusqu’à l’aube ou peut-être plus, ou peut-être ne reviendrais-je pas. J’aviserais le moment venu, pensais-je en dégustant.

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La jeune serveuse avait prévenu le patron de l'auberge, et ce dernier m'avait reçu à une table à l'écart des autres. Nos regards s'étaient, une fois de plus, croisés. Le temps s'était alors arrêté, plus un bruit, juste ses yeux.

Je fus sortit de ma rêverie par la voix puissante et grave du barman.

Durant notre conversation je lui fit par de mon envie de reprendre du service, et j'esperai pouvoir trouver un arrangement concernant mon logement, si ce dernier acceptait de m'embaucher.

En effet, une chambre ne vallait t-elle pas mes service de maréchal ferrant ?

Nous allions conclure notre entretient lorsqu'elle apparue.

Elle était là, elle m'avait suivi.

Depuis mon départ avec la caravane, elle m'était apparu plusieurs fois, elle me surveillait !

Mais pourquoi ? Que me voulait cette jeune fille ?

Il fallait que je fasse quelque chose. Me cacher ? Demander de l'aide au propriétaire ? M'enfuir ? Ou l'affronter pour savoir ce quelle me voulait ?

Je décidai donc de rester assis sur mon tabouret. Et nous verrons bien ce qu'il se passera ...

- SKIL -

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Dérous était en plein entretien avec un maréchal-ferrant. Il aurait aimé pouvoir parler de ça avec Véroc. Il avait déjà eu cette discussion à propos d’embaucher quelqu’un comme ça. Le problème était que Véroc savait soigner les chevaux mais absolument pas les ferrer. Il ne savait pas non plus s’occuper des charrettes défectueuses. Il aurait aimé en parler également avec leur voisin forgeron. C’était un brave homme et il n’aurait pas aimé que celui-ci croie qu’ils essayaient de lui voler son travail. Il proposa donc quelque chose à l’homme.

-Alors voilà, tu vas voir le forgeron de ma part. Tu lui expliques ton problème. Tu lui demandes de travailler pour lui tout en précisant que tu logeras chez nous et donc on pourra t’utiliser quand on veut ? Tu as compris alors file !

Dérous était satisfait de sa solution. Une jeune fille entra alors et sembla accaparer l’homme. Alors qu’il pensait de l’amour, il vit plutôt de la frayeur. Le tavernier, habitué aux querelles d’amoureux, demande à l’homme de le suivre. Ils se dirigèrent dans la cuisine, disparaissant à la vue de la jeune femme qui ne l’avait pas lâché du regard.

-File par là avant que ta mégère ne finisse par rappliquer ! Dit Dérous en montrant la porte de derrière qui menait sur l’écurie et le reste du village.

L’homme hocha la tête tout aussi silencieusement et s’éclipsa.

@+

-= Inxi =-

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Akuruz était sur le point de se rassasier....L'orc avait disparu. Tout ce passait bien en somme. Seulement Isaac l'avait repérer...Le jeune homme ne semblait pas à son aise...Quoi de plus normal avant de disparaitre. Mais Akuruz, ressentait quelque chose au fond de son ame...De la pitié les humains appelaient ça comme ça. Elle se ressaisit et allait s'aprocher de sa proie. Mais l'aubergiste, pris les moyens avant elle. Il emmena le garçon dans l'arrière boutique. Il semblait vouloirs protéger le Maréchal ferrant. Quel imbécile nul ne pouvait échaper à son destin... Et elle allait s'assurer qu'il en fut ainsi. Elle suivit des yeux le jeune homme, et s'aprocha de l'aubergiste.

-Pourquoi voulez protéger cet homme que vous ne connaisez pas? Je me doute qu'il vous ai d'un quelque service...Mais JE passe avant vus? Alors dite moi ou il est partit, et on en restera là le voulez vous?

Elle attendit la réponse de l'homme, et prit sa faim en patience, elle pouvait tout aussi, retourner les habitants du village contre eux...Mais elle voulait juste faire ça dans les règles. A l'ancienne en somme.

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A ma grande surprise, Dérous, le patron de l’auberge, m’amena dans l’arrière boutique, lorsqu’il vit que la jeune fille, qui venait de faire son apparition, m’avait perturbé. Ce n’est sûrement pas la peur qui réussit à lire dans mon regard, mais l’étonnement et l’angoisse.

Il ouvrit ensuite une porte de service, qui devait certainement être utilisée afin d’amener les stocks de marchandises aux cuisines. Il désigna du doigt une bâtisse à quelques mètres de là et ajouta :

- C’est là-bas que tu trouveras le forgeron du village. Explique-lui notre marché, je suis sûr qu’il acceptera avec grand plaisir.

Il me sentit hésiter, et il n’avait pas tord, j’étais un grand timide dans l’âme et cela, personne ne pourrait le changer.

- Allez grand gaillard ! Il ne te mangera pas, il cherche juste quelqu’un de sérieux pour reprendre son affaire !

- Je ferai du mieux que je peux, lui dis-je.

Il m’adressa un sourire forcé, et referma la porte derrière moi, j’entendis ensuite le verrou ce verrouiller, signe que les vols étaient fréquents dans une petite bourgade comme celle-ci.

Le soleil était à son zénith, et la chaleur sur mon visage m’obligeait à plisser les yeux tant l’intensité était forte.

Je m’avançai à présent d’un pas décidé vers le forge lorsque le propriétaire de cette dernière en sortit, s’essuya le front d’un revers de manche, et bu une gorgée à une outre en peau suspendu par la sangle à un gros clou rouillé.

Très vite son regard se posa sur moi, et il me fit signe de la tête.

- Bonjour monsieur, lui dis-je

- Bien le bonjour jeune homme ! Qu’est ce qui vous amène par là ? une arme à aiguiser ? une roue à réparer ?

Le ton sur lequel il m’avait posé ces questions, et la rapidité d’exécution de sa phrase m’en appris beaucoup sur le personnage. Travailleur soigné et consciencieux, énergique voire hyperactif et bavard pour pas un sous.

- Je m’appelle Issac, je suis maréchal ferrant de formation et je souhaite m’implanter dans le coin, Dérous m’a dit de venir vous voir.

- Très bien, fit-il en me jaugeant, tout en se grattant le menton et les quatre poils blancs qui lui servaient de barbiche. Avez-vous conclut de quelques arrangement que ce soit avec Dérous ?

- Oui, lui répondis-je rapidement, en tant que propriétaire de l’auberge, il me logera, et en échange j’effectuerai quelques menus service pour lui, le tout en travaillant pour vous. Ê tes vous d’accord sur cette affaire ?

A ce moment là, je devins très anxieux, et le vieil homme du le voir, il s’adressa de nouveau à moi avec, cette fois-ci, un débit beaucoup plus lent.

- Détents toi petit, cela me convient, mais je n’aurai besoin, de tes services, que lorsque les clients seront nombreux, pour le reste, Dérous choisira de ton emploi du temps.

- Très bien Monsieur … ah oui, au fait Monsieur comment ? J’avais totalement oublié de lui demandé son nom, et je fus contraint de le faire d’une manière qui me paraissait peu correcte.

- Je m’appelle Geoffroy, mais pour toi se sera Géo. Le large sourire en banane qui accompagna sa phrase me fit découvrir une bouche parsemait de-ci delà de dents plus ou moins en bon état. Reviens demain vers 8h00, j’ai une commande à finir, tu m’aideras et cela me permettra de juger tes compétences. Et sans me regarder, tout en reprenant son activité, il me lança un tchao amical, accompagné d’un signe de la main.

C’est une bonne chose de faite me dis-je, je décidai donc d’aller faire un tour dans le village avant de retourner à l’auberge. Et mon intuition, ou ma foi, me conduisirent directement à l’église. La porte était ouverte, j’y pénétra.

- SKIL -

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Et dire que si j’avais eu dix ans de moins, j’aurais foncé. J’aurais couru à travers champ, seul mais fort. J’étais ici maintenant, presque aussi impuissant qu’un vieillard, plusieurs décennies en moins. Adossé à un rocher, ma foi fort bien confortable à ma plus grande surprise, je guettai. Que surveillais-je ? L’horizon me semblait-il mais je n’en savais rien. Peut-être y aurait-il un signe quelconque de la part de je ne sais quelle entité supérieure à notre plan ou quoi que ce soit qui m’indiquerait la route.

J’étais réellement perdu. J’étais seul, et cela depuis plusieurs années même s’il y avait toujours eu une main tendue devant moi pour m’aider à me relever au cas-où, et j’en avais l’habitude mais je m’étais toujours débrouillé, connaissant trop bien le système et leurs méthodes de réflexions, mais maintenant, je ne savais quoi faire. Bientôt, saurais-je encore respirer, manger, marcher ou seulement survivre ? Mon visage se tordit en une moue dubitative. Un nerf sous mon œil gauche tressautait et bougeait dans tous les sens et ma paupière, éreintée par un effort constant, essayait tant bien que mal de se fermer sans attendre la décision de mon propre esprit. Un faucon – ou bien était-ce un épervier, je n’arrivais pas à bien le distinguer – passa au-dessus de ma tête et un cri aigu sortit de nulle part. J’aimais bien les oiseaux, particulièrement les rapaces, ils étaient nobles, pacifiques et possédait chacun leur esthétique propre. Je voyais flou, l’insomnie résultait, entre autre, de mes problèmes de santé, de mon nerf qui déconnait, de mes cauchemars et d’un tas de raisons totalement différentes et menant toutes au même point. Et de mon manque de sommeil, résultait, eux aussi, la vision trouble, la paranoïa, le manque d’idées claires, des crampes et encore d’autres difficultés physiques. Il n’était, en définitive, qu’une spirale infernale m’entraînant irrévocablement vers une fin funeste que je ne pourrais retarder.

Avais-je encore envie de vivre ? Ici encore, j’étais indécis. J’avais un but mais n’avais plus la rage pour l’accomplir, j’avais deux enfants mais ils me détestaient et m’égorgeraient eux-mêmes égorgé, s’ils le pouvaient.

Je n’avais jamais prié de Dieux et n’en avais jamais ressenti le besoin, peut-être un avais-je offensé un ? Mais lequel ? Il y en avait tellement, c’était de la folie et plus une histoire de manipulation et de pouvoir qu’autre chose. Je souris à cette idée. Peut-être qu’il n’y en avait qu’un seul, après tout ? Il devait bien rire alors, et il y avait de quoi ! Tant de pathétique en un seul être, en sa création la plus finie ? Non. Impossible que ce « dieux » existe, et, dans le cas contraire, il ne mériterait pas une telle dénomination mais plutôt celle de salopard ou de sadique. J’en avais profité maintes fois de ce pouvoir lorsque j’avais tué en mettant en avant sa personne, ses prêtres jouissaient eux aussi d’un pouvoir et bien que nos rôles soient totalement différents, nous étions tous des charlatans, des escrocs, des meurtriers.

J’espérais ne plus avoir à tuer : oui, j’avais aimé cela, plus que tout au monde, et ce pendant longtemps, mais il venait un jour où l’on se réveillait changé et l’odeur du sang vous écœurait alors sans raisons différentes de celles qu’offrait le jour précédents. Ce jour-là, vous décidez alors de tout arrêter mais c’était interdit, car il en est qui ne font que vous utiliser comme un enfant joue cruellement avec une innocente fourmi. L’on n’est libre nulle part, il n’est nul autre endroit aussi paisible que la mort, il n’est rien qui ne puisse vous offrir plus que la mort.

Et je l’attendais, paisiblement et patiemment, mais alors que dans le paysage qui se découvrait sous mes yeux, une nature vivante et tranquille, qui n’avait jamais été souillée par la chaleur putride du liquide pouilleux et pourpre, eux ne reflétait que le désespoir et la triste vérité.

- Adieu, murmurais-je dans le vent, un sourire las tirant mes traits abimés.

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-Pourquoi voulez-vous protéger cet homme que vous ne connaissez pas? Je me doute qu'il vous est d'un quelque service...Mais JE passe avant, vu? Alors dites-moi où il est parti, et on en restera là, le voulez vous ?

Dérous commença par être inquiet. Il y avait quelque chose de pas normal chez cette jeune fille. Intuitivement, il avait placé sa main sur l’épée qu’il gardait dans son bar. En un mouvement, il lui aurait coupé la tête. Il n’avait jamais été excellent bretteur mais il aurait agi en un clin d’œil. Pourtant il sourit en retour en se disant que c’était l’amour qu’ils avaient l’un pour l’autre qui la faisait se comporter ainsi.

-Allons, allons, demoiselle ! Vous semblez l’effrayer. L’amour pousse à faire des choses insensée mais quand même ! Laissez-le respirer ! De toute manière, il est sorti par la porte de derrière maintenant.

La jeune fille semblait surprise de la réponse apportée mais elle l’accepta contre son gré avec un regard plein de haine. Sans commander et sans dire au revoir, elle quitta l’établissement. Dérous soupira, au final, il n’aimait pas vraiment les étrangers. Sauf ce nouvel maréchal ferrant, il avait l’air honnête. C’était bien le seul.

@+

-= Inxi, il est midi et dans la nuit arriveront les mercenaires :lol: =-

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Kerven détestait la pluie. Cela faisait des jours qu'ils étaient à la poursuite du renégats. Des jours et des jours. Et ce soir, alors qu'ils étaient à à peine douze heure de marche de leur cible, ce foutu crachin leur tombait sur la trogne !

Il détestait vraiment la pluie !

Il s'ébroua et reprit sa garde. La lune pleine éclairait doucement le bosquet, et la route serpentait au loin. Le paysage était magnifique, et invitait à la rêverie : un bosquet d'arbre, au milieu d'une plaine ondoyante sous la caresse légère d'une brise d'est, éclairé par l'argent de la lune. Une fine pluie jouait dans les arbres et une douce symphonie s'élevait de toute la nature.

Kerven cracha. Lui ne voyait qu'un foutu bon dieu de bosquet où il était coincé pour encore une heure. Et rien à signaler, pas même un voyageur à détrousser, à l'exception de cet espèce d'olibrius en robe, avec son chapeau en forme de cône aplati.

Un voyageur ?

Kerven jaillit de sa cachette, hurlant à l'homme de s'arrêter. Il se plaça en travers de sa route, le regardant avec un air goguenard.

-Drôle de temps pour une ballade au clair de lune mon ami !

-Il est toujours temps d'observer la pluie caresser le monde, répondit avec douceur l'étranger.

Kerven gémit. Il tombait toujours sur de bon dieu de poètes !

-Bon je ne vais pas y aller par quatre chemin : ton or, tout ce qui a de la valeur, tu me le file. Tu gardes tes habits, et après tu dégages.

L'étranger se mit à rire. Doucement. Ce qui énerva positivement le mercenaire.

-Je crains que cela ne soit pas possible, mon ami.

-Bon voila l'alternative : soit tu est gentil, aimable, et tu ne me fait pas perdre mon temps, soit je te tue. Choisit, mais fait vite, conclut le jeune homme en dégainant ostensiblement la hache qu'il postait dans son dos.

-Je ne souhaite pas votre mort. Je veux juste suivre ma voie. Laissez moi passer, s'il vous plaît.

Kerven ne dis pas un mot. Il balança un vicieux coup de taille.

Rapide. Efficace. Imparable. Et contre un ennemi inattentif, mortel neuf fois sur dix.

Un rayon de lune accrocha une lame.

Une tête roula au sol. Un sang épais et rouge coula du tronc décapité du mercenaire.

Le voyageur rengaina sa lame, après l'avoir débarrassée du sang de Kerven.

-Pardonnez-moi, murmura-t-il

Le voyageur continua sa route. Son chapeau étrange, les attaches tranchées par le coup de hache de Kerven, gisait au coté du cadavre.

La lueur argentée de la lune joua sur les oreilles effilée d'Hiroki. Et, caressante, descendit le long de son corps jusqu'à briller sur la laque simple de la saya de son katana.

Masamune Hiroki continua sa route.

Vila l'entrée en scène de mon perso (en espérant que je n'ai pas enfreint les règles :lol:

Modifié par Bloodyfol
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*Atchoum! snif!, cette pluie était vraiment une horreur. Ha! voilà un bourg je vais enfin pouvoir me réchaufer un peu, mais quelle pluie vivement la taverne avec un bonne bière naines, hum....*

J'arrivais un peu précipitament dans ce lieu en un coup d'oeil j'identifiait la taverne à son enseigne, une chope de bière débourdande d'un liquide mouseux et apétisant. Sans hésiter je poussais la porte, il y avait un peu de monde, mais je trouvais facilement un place libre à côté du feu, m'asseyant bruillament, je repensais à ce qui m'était arrivé depuis quelques temps...

Le collège, le bureau du professeur d'astrologie sous un brasier impossible à étiendre, la professeur d'invocation hurlant devant ces beaux grimoires carboniser, et ainsi de suite , jusqu'a ce fichue directeur qui m'avait viré...

De toutes façon c'était pas de ma faute. D'un geste j'appelais le serveur et lui comandait un grande bière, je vis à la tête qu'il faisait qu'il me prenait pour quelque geux sans sous je lui dit:

- Je vous payerais lorsque vous m'apporterez ma chope, ne vous en faite pas!

Il s'executa avec l'air de s'escuser, c'était pas un mauvais bougre mais si il percistait à me dévisager ainsi je lui ferait payer!

Voilà L'entrée en action de mon personage, j'espère avoir fait comme il faut, et que vous viendrait à sa rencontre.

Modifié par Ulrokh
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(Bon je post parce que j'ai envie de faire avancer mon perso, désolé si j'ai gener tout le monde)

Akuruz entendit la réponse...Quel insolent elle devrait le tuer, mais pas devant autant de monde pas ici, pas maintenant....Elle jeta un regard glacial à l'homme et sortit de la taverne....Il faisait nuit, et froid en plus.... Pas le temps idéal.

-Hé gamine bouge de là sinon une fessé !

Cette phrase suivit de rires, confirmait son idée pas une bonne soirée. Elle se retourna et vit deux hommes grands et gros, armées d'épées rouillés et de couteaux longs. Elle souffla et répondit au obèses une réponse qui les énerva.

-Sinon quoi mon gros tu vas me taper ? Viens je t'attends !

L'homme fut dans un premier choqué puis, ivre, il crut avoir rêver et continua son chemin comme si de rien n'était.

Modifié par Inxi-Huinzi
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Masamune Hiroki en avait plus qu'assez de ce pays. Et sans son éducation zen qui lui permettait de se placer bien au delà de ce grouillement répugnant d'humains, il y aurait eu de nombreuses têtes tranchées sur sa route...

-Eh l'elfe tu m'écoutes ? Le soudard qui venait de lui poser cette question puait l'alcool et l'oignon. A un tel point que survivre à son haleine relevait de l'exploit absolu.

-Oui messire, je vous écoute. Qu'on en finisse. Il était épuisé par la marche, et son esprit ne désirait que le repos.

-Bon. C'est une ville tranquille ici. Donc, pas de bagarre, pas de meurtre. L'ivresse est tolérée, mais attention ! Pas de dégâts sur les bâtiments et les personnes ou tu auras affaire à moi, c'est clair, morveux ?

Hiroki le regarda au fond des yeux. Il avait cent cinquante ans. Jeune homme tout juste adulte selon les critères elfiques, il n'en était pas moins bien plus vieux que l'homme qui lui faisait face.

Et il aurait pu le tuer sans même que qui que ce soit s'en rende compte.

Il soupira. -Bien messire, je ferais ainsi qu'il vous siéra.

Le garde le laissa passer, et il continua son chemin jusqu'à l'auberge, ou tout du moins la bâtisse grossière qui semblait tenir lieu d'auberge.

Il entra. La salle était pleine d'humains, de bruit, et de saleté. Tant sur le sol que dans la bouche des hommes.

Il avisa rapidement quelque personnes sortant visiblement du lot.

Au fond, un nords portant des... lunettes ? Inhabituel. Et surtout indiquant qu'au delà des inévitables capacités guerrière héritées de son peuple, il possédait également une intelligence visiblement au dessus de la moyenne...

Un autre humain, un impérial cette fois, était attablé au comptoir. Hiroki reconnut tout de suite en lui le guerrier affûté par les longues batailles... Et perçut également la souffrance qui se dégageait de tout son être.

Enfin, près du feu, et visiblement ivre, se tenait un magos. Hiroki pouvait sentir de tout son être les perturbations des flux de magie autour de lui. Et également, il sentit qu'il devrait le surveiller. Une intuition lui soufflait que cet homme était... un danger. Tant pour lui-même que pour les autres.

Il s'avança vers l'aubergiste, et du premier coup d'oeil, il l'apprécia. Il l'avait regardé sans le juger, n'accordant aucune attention à ses oreilles pointues ni à ses traits fin et anguleux. Non il le regarda droit dans les yeux, avec une franchise et une sympathie rare chez les gens de son peuple.

-Sire elfe, que puis je pour vous ? Il est rare de voir l'un des vôtres dans ces contrées...

-Je désirerais une chambre pour quelques jours, et un brasero avec du charbon, s'il vous plaît.

-Très bien. Suivez moi, je vous apporterai ça dans vôtre chambre je suppose ?

-Oui ce sera bien.

Hiroki monta à l'étage. Et ne put s'empêcher de frissonner en sentant une présence froide et mortelle tout près...

Au même instant, une petite fille étrange passa devant l'auberge...

Modifié par Bloodyfol
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La batisse était de taille moyenne, et les quelques meubles qui joncheaient les murs étaient dans un piteuse état.

Je n’étais pas croyant, pour moi, aucun dieu ne laisserai ses disciples mourir, comme aucun berger ne laisserai une de ses brebis se faire dévorer. J’avais simplement décidé de me rendre à l’église pour pouvoir méditer en paix.

Effectivement, la vue de cette fillette, qui me suivai depuis déjà plusieurs jours, m’avait contrarié au plus haut point. Que me voulait-elle ? Si elle me voulais du mal, je ne vois pas pourquoi je devais me méfier d’une gamine, mais un sentiment étrange me dicter de rester sur mes gardes. Et l’aura quelle dégagé me faisait froid dans le dos.

Elle possédait quelque chose d’étrange, son regard était vide de sentiments, et sa peau était pâle, limite livide.

Le fait de penser à cette petite fille, me rappelé mon ancienne vie au hameau. A l’époque mon existence était paisible, mon métier me rapportait assez d’argent pour subvenir à mes besoins et ceux de ma famille. Non, je n’étais pas marié, je ne suis pas croyant, et je n’avais pas d’enfants non plus, mais je vivais avec mes parents et ma petite sœur.

Mon père m’avait appris le m étier, ma mère quand à elle s’occupait de l’éducation de ma petite sœur.

Puis un beau jour , notre village fut rasé par des mort-vivants. Très peu d’habitant s’en sortirent indemne, ce fut aussi la dernière fois qui je vis ma famille vivante. Mes parents périrent des mains de monstres ignobles, et ma sœur fut vidée de son sang par leur maître.

J’avais ensuite parcourut les routes à la solde de marchands embulants afin de gagner quatre sous. Mon marteau de forge ne créait plus, il massacrait bandits et mercenaires. Et ceci pendant plus de cinq ans.

Toutes ces pensées tournoyaient dans mon esprit, quand soudain … le rapprochement ce fit aussitôt. Cette petite fille, la façon dont ma sœur était morte, l’étrange frisson lorsque je la voyait , plus aucun doute c’était bien elle.

- SKIL -

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*Miam cette bière est délicieuse, et la compagnie n'est pas trop génante*

Mais j'avait surpris le regard de l'elfe,

*Encore un représentant du "beau" peuple, c'est pas vrai mais qu'est-ce qu'il fait là, a tout les coups il va vouloir me tuer parce que j'ai pas finit ma formation, il va faloir être sur ses gardes, Tiens! mais qu'est ce qu'il me veut ce type*

En effet un espèce de poivrot imbiber d'alcool s'avancait vers moi en titubant et me déclara:

- Y'a mon pote au bar qui trouve que t'as une sale gueule, dit-il en me pointant approximativement, un gros paysan tout aussi bourré que lui accoudé au comptoir, et moi aussi je trouve que t'as une sale gueule!

-Ne m'énerve pas le poivrot! dit-je sur un ton un petit peu autain

-Pourquoi? me demanda-t-il avec son halaine fétide, T'es un nécroman? Un puissant sorcier du chaos qui pourrait me transformer en crapaud? ou en cloporte?

-Non, mais je suis un mage du collège!

-Ha! Ha! Ha! Ha! Les mages eux y sont beaux et y trainent pas dans une.... dans une...., rot sonor, dans une taverne...

-Ha? et ils trainent où? demande-je m'éprisament.

-Ben chez les....

- GEORGES!, s'écria un homme au comptoire, Arrète de l'importuné et rentre chez toi!

-Ouais t'as raison, dit-il.

Puis titubant il se dirigea vers la sortit et s'arréta sur le seuil, se retourna et cria à mon adresse,

-MAIS T'AS VRAIMENT UNE SALE, Une sale, une sale ....et paf il s'évanouie pesament ouvrant la porte, en plein milieu du passage.

*Si la manifisance de Sigmar avait un abime se serait ici et maintenant.* pense-je. Puis je me levait et allez voir le patron,

- Patron, bien que je doute de la fréquentation de votre établissement, dit je en jetant un oeil au comateux que deux hommes dégageais de l'entrée, je voudrait une chambre propre.

- Bien Monsieur, me répondit-il en me donnant une clé, et excuser pour...

-Ce n'est rien, merci, ne vous en faite pas je trouverais.

(désolé si j'ai fauté à mon premier message.)

Modifié par Ulrokh
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Patos augmenta les rondes au sein du village. Cette caravane marchande avait amené des hommes plus louches les uns que les autres. Les nuages gris s’éloignaient mais ceux-ci avaient déposé dans les régions plus lointaines leurs semences et avaient poussé vers la ville des individus peu fréquentables. La milice tournait en permanence et lui-même tenait quelques individus à l’œil.

Il avait suivi une sorte de jeune couple qui paraissait se chercher mais la fille paraissait violente d’après les échanges qu’elle avait pu avoir avec les gens du coin. C’était une erreur de croire que seuls les mâles avaient le monopole des mauvaises manières. D’ailleurs, à sa sortie de l’auberge, elle faillit s’attirer des soucis mais Patos dissuada de loin les soulards de chercher les problèmes. Celle-ci continua son chemin en cherchant quelque chose. Le militaire fit un signe et la fit discrètement épier par deux de ses hommes. Comme s’ils n’avaient que ça à faire…

Le soleil se couchait lentement et Patos se demanda ce qu’il avait bien pu faire de toute l’après-midi. Le soir arrivait lentement et avec ce voile une nouvelle vague d’étrangers dont les intentions étaient encore floues. Beaucoup trop de problèmes en perspective… Il se gratta la tête en regrettant presque l’époque où il n’avait rien à faire. C’était son premier véritable test. C’était également la première fois qu’il voyait un elfe. Les gens ne s’étaient pas trop montrés xénophobes ce qui l’avait étonné. Sous la surprise, les gens du village n’avaient pas dû penser à l’être mais en allant à la taverne, il allait s’exposer à des remarques. Cela faisait encore quelqu’un à surveiller…

@+

-= Inxi =-

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- Bonsoir mon bon sire !

Je me réveillai en sursaut. La nuit tombait sur l’horizon et les nuages se teintaient de diverses couleurs toutes plus chatoyantes les unes que les autres.

- Oh, excusez-moi de ma hâte. Je n’avais pas vu que vous dormiez, repris la voix, gênée.

Je me retournais et vis un homme, ne semblant appartenir à aucune caste, n’étant ni riche ni pauvre ni aisé.

- C’est que je n’ai pas l’habitude de voir quelqu'un s’aventurer par ici : c’est mon coin, j’y viens me reposer l’esprit une fois la nuit tombée. Je suis poète, continua-t-il de balbutier, un sourire compatissant.

- Bonsoir, répondis-je, en me prenant la tête, encore endormi.

Je me levai :

- Je suis désolé si je vous ai offusqué ou ennuyé, ce n’était nullement mon intention, je cherchais juste un endroit tranquille où m’assoupir en paix.

Il paraissait paisible, serein. Il était jeune et insouciant, des lunettes posées délicatement sur son long nez pointu et une besace en bandoulière de laquelle dépassaient des parchemins plutôt propres et bien entretenus.

- Pour ça, vous avez choisi le meilleur endroit de la région. Vous avez du goût, la plupart des gens préfèrent simplement un endroit à l’ombre, adossés derrière un arbre. Me laisseriez-vous m’étendre à vos côtés, cher compagnon d’infortune ? demanda-t-il, toujours souriant mais cette fois simplement.

- Poète, hein ? répliquais-je.

Il s’esclaffa, et alors que je m’écartai pour lui céder une place, il posa sa sacoche et soupira doucement. J’observai le ciel, devant moi, cette peinture flamboyante et attirante. Je fermai les yeux, et respirai. Je comptais plusieurs minutes de silence avant qu’il ne reprenne la parole :

- Cela faisait une semaine que je n’étais venu ici. J’étais resté auprès de mon amante, pour écrire, trouvant enfin une nouvelle source d’inspiration. Mais le nombre d’étrangers est affolant, et rare sont ceux qui, tout comme vous paraissent amicaux.

- Ainsi donc vous me trouvez amical ?

- Et bien … oui. Malgré votre allure de bandit, vos deux épées étendues sur le sol, cette odeur peu appétissante qui se dégage de vos habits, vous ne me semblez pas hostile.

Je restai sans voix devant sa réponse ; il était fou. Tout simplement. Il enleva son chapeau et laissa s’écouler ses longs cheveux blonds le long de son cou. Je n’avais pas rabattu ma capuche, il se serait enfui sinon. Quoique ? Il avait un air naïf et un regard niais. Il était peut-être gentil et aimable mais je n’avais pas à son égard une tendance transcendantale à l’apologie, je ne connaissais seulement pas les véritables mauvais côtés de sa personnalité, pour le moment.

- C’est parce que vous ne savez pas qui je suis, ne si que j’ai fais par le passé.

Il rit, un son éclatant et criard mais nous avions tous notre rire propre et eux n’étaient pas tous appréciables. Puis, il s’éclaircit la gorge et répliqua :

- Qui que vous soyez, je ne m’intéresse pas au passé. Mais devrais-je en conclure que vous êtes un ancien mercenaire ou que vous avez exercé un métier peu convenable ? Pour certains, nous serions alors proches. Oui, c’est assez étrange mais certains considèrent la poésie comme un vice.

- Cependant, j’ai une question. Seriez-vous prêt à mourir pour votre inspiration et vos précieux vers ?

- Bien entendu.

- Et vous avez quitté votre village malgré cela ?

- Ces deux derniers jours, il n’était plus vraiment fréquentable. La milice a redoublé d’efforts. Enfin, par rapport à une période de guerres et d’attaques sur l’Empire. Y aurait-il quelque chose que vous chercheriez à éviter ?

- Non, mais l’on risque d’avoir besoin de moi. Bientôt. Sur ce, me permettrez-vous de prendre congé, cher ami ?

- Si le devoir vous appelle, nul ne sera en mesure de vous retenir.

Je le remerciai en posa ma main sur son épaule. Je ne m’étais pas remis de mon réveil incongru mais je me relevai et attrapai mes armes, pressé : le village était à presque une heure de marche et s’il me fallait traverser les collines, je préférais que ce soit alors qu’il fasse encore jour et que le soleil divin m’éclairât de sa lueur bénie. Mais le poète me retînt en me prenant la main :

- Je ne sais si je vous reverrais un jour mais je vous serez gré de me faire l’honneur de me montrer votre visage et de me dévoiler votre identité.

Je ne répondis pas, je remontai juste le morceau de tissu qui couvrait mon visage. Il prit un air étonné, abasourdi et me sourit tristement.

- Il vous reste encore un long chemin à parcourir, dit-il, ne sachant plus quelle attitude adopter.

- Il est plus court que le vôtre en tout cas. Le mien s’arrêtera bientôt, il prendra fin dans le sang d’un meurtrier tout comme il a commencé dans celui de ma digne mère. Adieu, car ne routes ne se croiseront plus, demain, je partirai vers mon destin et quitterai ce monde.

Alors que je me retournai et m’en allai, sombre, je l’entendis déclamer quelques vers : il m’avait déjà immortalisé. Si j’avais croisé bien des humains, il était parmi les rares à n’être pas mauvais et à mériter de vivre ; je l’enviai mais je devais partir, la fureur et le carnage m’attendaient en un autre lieu, moins paisible.

Modifié par mynyrve
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Cette découverte m’avait anéhantie.

Je ne savais plus s’il fallait que je me réjouisse à l’idée d’avoir retrouvé ma sœur, ou si cela annoncé un mauvais présage. Mais une chose était sûre, elle avait survécu et était là pour moi.

J’avais assez passé de temps dans cette église et la nuit était tombait depuis peu, il me fallait regagner la chambre que l’aubergiste m’avait promisse.

Dérous, personnage très intéressant. C’était le propriétaire de l’auberge. Mon père m’avait appris à apprendre énormément des gens selon leur gestes, leurs façon de se déplacer, de parler, j’arrivais même à voir qui mentais ou non.

Ce Dérous, était un homme franc, son regard ne fuyais pas son interlocuteur, aucun rictus n’ammenaient à croire qu’il mentait, et sa gestuelle n’indiquait pas qu’il cherchait à fuir la discussion. Je pouvais lui faire confiance, et le travail et le toit qu’il m’avait promis m’attendraient dès mon retour à l’auberge.

Endurcie par des années de service militaire, à mon avis il n’avait pas monté son affaire tout seul et devait être accompagné d’amis à lui, afin de faire tourner la boutique. Celui, ou ceux-ci, devait s’occuper de faire la tambouille.

Sur le chemin du retour, rien de bien intéressant, mis à par peut être, cet ivrogne jetait dehors par deux grands gaillards puis raccompagnait chez lui par ce qui s’emblait être ces amis de beuvrie.

En entrant dans l’établissement, je ne m’arrêta pas aux individus qui étaient venu s’y réfugier. Je filai directement au comptoir pour récupérer la clée de ma chambre, j’avais besoin d’énormément de sommeil, ma journée de demain serait, je l’espèrais, bien remplie.

- Bonsoir maître Dérous, vous rappelez vous de moi ?

- Bien sûr grand gaillard, me répondit l’aubergiste, toujours aussi jovial.

- Je viens me reposer, le vieux Geoffroy m’a dit qu’il aurait besoin de moi demain.

- Très bien, comme promis votre chambre est prête, tenez, il se retourna et attrapa une clée sur le tableau derrière lui, c’est au premier vous trouverez facilement je pense.

- Merci, bonne soirée et bon courage.

Il me fit un signe de la main que je lui rendit, et je m’engouffrais dans les escaliers.

Lorsque je rentrais dans ma chambre, j’eu l’étrange sensation d’être observé, mais je n’y prêta pas plus attention compte tenu des évènements de cette fin de soirée. Je préferai me coucher et récupérer pendant la nuit, qui d’ailleur porte conseil, comme dirait l’autre.

Modifié par Skilboss
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Akuruz en avait marre...Rien n'allait comme elle l'avait prévue, de un sa proie était dans la nature et en plus des ivrognes venaient lui parler décidement la chance avait tourné on dirait.

Elle décida de réfléchir à un nouveau plan quand Isaac arriva, elle se cacha dans les bosqués près de là et attendit que le jeune homme apparament en pleine crise juvénile rentre pour sortir de sa cachette et enfin savourer la victoire.

Enfin son destin allait s'acomplir enfin elle buverait le sang d'un inocent. Elle rentra dans l'auberge et pour la première fois de sa vie elle sentit une boule sur le côté comme si elle avait trops courut. Elle grimpa tant bien que mal les escaliers, chercha la porte de Isaac, s'y introduit et le regarda dormir, Akuruz lui trouvait un quelque chose de bizzard par rapport au autres, elle essaya de le modre, mais ses dents n'étaient pas comme les autres fois tout son corps voulait lui faire passer un message qu'elle se refusait a écouter. Elle allait s'aprocher de Isaac quand son corps la lacha, elle s'endormit asser près pour sentir la respiration d'Isaac, elle pris des habitudes de filles normal et pour la première fois depuis longtemps elle suca son pouce, et se retint de souiller le lit. Pour tous dire personne à cet instant n'aurait put dire si elle était une vampire.

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La nuit arrivait à grands pas et Dérous se promenait en ville. Il traversa la rue et gagna sa maison puis se posta derrière une fenêtre. Des torches avaient été placés tout autour de la ville et à l’intérieur mais même les criquets et les cigales semblaient chanter d’un air différent. Etait-ce parce qu’il savait que les mercenaires approchaient qu’il devenait paranoïaque ? Dérous s’occupa les méninges afin de ne pas trop penser à ce problème. Outre son auberge, il avait fait construire une maison assez importante et il ne tenait pas qu’en cas d’affrontement celle-ci soit aussi endommagée. Il fit donc un tour du propriétaire en fermant chaque accès correctement. La poussière commençait à s’accumuler de tous les côtés et Dérous se dit qu’il devrait quand même passer plus de temps dans sa maison.

Comme ses deux compagnons, il préférait en général dormir à l’auberge puisque celle-ci n’avait jamais encore affichée complète. Dérous ferma la porte et cacha la clé à l’endroit habituel.

@+

-= Inxi, il est 22h et l'activité bat son plein à l'auberge ! =-

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Il respira à fond. Et regretta aussitôt. Les relents d'alcool émanant du poivrot lui faisant face aurait assommé un orque.

"Eh l'elfe, dit ce dernier sans paraître se rendre compte de la colère qui montait dans les yeux d'Hiroki, on t'a déjà dis que tous les tiens étaient des tafioles ? des putains de tafioles incapable de tenir une foutu épée, ouais..."

Le jeune samouraï inspira à fond. Se concentra sur la magnifique grosse mouche bleu qui volait de ci de là.

Et laissa le zen dominer tout son esprit, le rendant imperméable aux insultes du poivrot.

"Et les mères des elfes sont toutes des catins, mon vieux, ouais des putains de catins, je t'le dis !"

Patos avait enfin finit sa journée. Et il en avait plus qu'assez d'avoir une bande de gamins incompétent en guise de membres de la milice !

"J'ai bien mérité une bonne chopine" dit il en ouvrant la porte de l'auberge. Juste à temps pour voir Angnul, ivrogne notoire, se faire balancer comme une vulgaire feuille morte par le jeune elfe qu'il avait accueilli en ville le jour même.

Et juste à temps pour recevoir les cent cinquante kilos du colon bien en chair en pleine tête.

Il fut jeté au sol, juste à temps pour voir une bagarre générale éclater, et divers morceaux de tables et de chaises servir de projectiles.

Après réflexion, Patos décida de rester sous Angnul le temps que ça se calme. Ce dernier, assommé, dormait, et lui, il avait assez d'expérience pour laisser cette bastonnade bon enfant se finir, au lieu d'essayer d'y mettre un terme et de finir comme participant.

Hiroki, pour la première fois depuis près de cinquante années, se laissa aller. Il sentait son sang rugir au fond de ses veines, tout son corps vibrer dans l'énergie du combat. Il virevoltait, esquivait, se glissait entre les coups, plus agile qu'un faucon en plein ciel, plus féroce qu'un lion de Chrace. Chacun de ses coups faisait décoller un humain du sol, et il se vengeait enfin de toutes les humiliations qu'il avait subi depuis qu'il voyageait dans l'Empire.

Sauf qu'il ne s'attendait pas à ce que le cours de ses pensées soit interrompue par l'arrivée impromptu d'un poing massif en plein dans son visage.

Il s'étala au sol, essaya de se relever, et puis, complètement sonné, préféra rester au sol.

Alors qu'il voyait le monde tourner autour de lui, il sentit plusieurs mains le saisir brutalement par les aisselles, et le forcer à se relever.

"Bien bien, qu'avons nous là ? Un lutin qui a envie de bagarrer, c'est ça ? Coffrez moi cet abruti, et les autres foutez le camp d'ici vite fait bien fait !" Le vétéran, couvert de poussière et de ce qui semblait être de la bave, gueulait à qui mieux mieux, et peu à peu les bagarreurs se dispersèrent, moins par crainte de la milice que par envie d'échapper à sa voix de stentor, qui résonnait un peu trop dans la tête de certains.

Hiroki senti qu'on lui ôtait son katana, et voulu se débattre. Mais ses forces, entamées par le voyage et le coup qu'il avait reçu, le trahirent. Il se laissa emporter, et sombra dans un sommeil teinté d'inconscience bien avant d'atteindre la prison.

Voila, la suite de mon perso, qui n'aime pas qu'on l'insulte. Et puis comme personne n'osait provoquer la traditionnelle baston à l'auberge, je prend le risque :innocent:

PS : j'aimerais faire intervenir dérous. Je peux ?

Modifié par Bloodyfol
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Dérous avait vu la bagarre arriver mais il n’avait pas eu le temps ni réellement l’envie de l’arrêter. Patos avait annoncé plus tôt l’arrivée des mercenaires et la tension était montée d’un cran. Il voulait également voir qui savait se battre et si Isaac faisait le poids. De plus, après la journée au marché, ils allaient changer les sièges et les tables de tout l’établissement si bien qu’ils pouvaient bien tous se défouler un peu. Tous aussi ivres les uns que les autres, ils ne se feraient pas grand mal. Pourtant, Véroc, Dérous et Pétroc étaient derrière le comptoir et dissuadaient tout individu de venir se servir pendant le chaos général.

Attiré par le bruit, Isaac arriva de sa chambre l'air encore endormi jusqu’à eux. Dérous lui désigna un homme, l’elfe plus exactement, au milieu de la salle qui semblait prendre du plaisir à la bagarre et qui semblait également l’avoir déclenché. A chaque fois que celle-ci semblait s’arrêter, il subissait de nouveaux assauts. En le calmant, tout s’arrêterait puisque l’autre instigateur de ce vacarme était chaos. Patos fit aussi son entrée mais Dérous lui fit signe d’attendre son signal. Une fois que tout serait calmé, ils enverraient quelques trouble-fêtes en prison le temps de dégriser.

Le jeune Isaac se débrouilla plutôt bien puisqu’il esquiva s’en s’attirer l’ire d’un participant jusqu’au centre de la salle. L’elfe venait d’envoyer un nouvel homme au tapis quand il ne vit jamais arriver le poing d’Isaac. L’elfe fut projeté au sol mais ne sembla pas sonné. Dérous fit alors le signal et la vingtaine de miliciens fit son apparition ce qui provoqua l’arrêt général des combats. Tous les participants tentèrent de reculer comme s’ils n’avaient jamais participé. Dérous désigna une dizaine de personnes, dont l’elfe, qui furent saisis, dépouillés et emmenés à la salle de garde.

Dérous sourit en regardant tout le monde rentré chez lui. Le sourire se perdit quand il vit tout le ménage qu’ils allaient avoir à faire…

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Un bruit emmanant de la pièce principale de l'auberge me tira de mes rêveries et mis fin au sommeil que j'avais mis tant de temps a trouver. Je ne m'en étais pas rendu compte desuite, mais il y avait quelqu'un de blotit contre moi. A ma grande surprise, accampagnait d'engoise je l'avoue, je reconnu la petite fille qui mesuivait depuis tout ce temps. Elle était là, les yeux fermés, les poings serrés sucant son pouce et recouverte par l'édredon du lit. Elle n'avait même pas pris la peine de se glisser dans la couette.

Plus je la jaugeait, plus les traits de son visage se fesait net et quelques détails me sautèrent aux yeux. Elle avait la bouche et le menton de maman, le haut de son visage quand à lui, malgrès qu'il paraissait marqué par la fatigue et la faim, possédait de nombreux traits familliaux. Elle était si belle, c'était ma petite soeur, je n'avais plus aucun doute à ce sujet.

Je décidai de ne pas la réveiller, je sortit délicatement du lit, replaça la couverture pour ne pas quelle ai froid, et je m'habillais afin d'aller lui chercher de quoi manger. J'ouvrais la porte de la chambre et vérouilla machinalement cette dernière, je marquais un temps d'arrêt avant d'emprunter le couloir vers les escaliers.

Il vallait mieux que je ferme à clés, je serai sûr de a retrouver dès mon retour, et nous pourrions nous retrouver.

Au fur et à mesure que je descendais les escaliers, les bruits de bagarre, de cries et d'hommes sous l'emprise de l'alcool augmentaient. Je me dirigeai directement vers la comptoir afin de demander au patron deux petits déjeuners. Ce n'est pas ce dernier que je trouvais derrière le comptoir, mais la jolie serveuse qui m'avait tapé dans l'oeil la veille. Elle me dit quelle me montera les plateaux dans la chambre une fois le calme revenu.

Je m'apprétai à retourner aux côtés de ma petite soeur lorsqu'un violent coup m'atteint à la tête. Il n'en fallait pas plus pour m'énerver et le premier qui passa à porté de coup pris mon poing dans la figure. Il me semblais que c'était un elfe, celui-ci vascilla et tomba à la renverse k.o. Je me tournais ensuite afin de me préparer à une nouvelles attaque lorsque je vis le tavernier me faire signe de m'en aller. Il devait savoir que la garde allé arriver, je pris donc l'initiative de remonter auprès de ma soeur.

Je montais discrètement les escaliers pour ne pas attirer l'attention d'un nouvel ivrogne en quête de sensations fortes. Arrivé devant le pas de ma porte, je pris une longue inspiration et ouvrit.

Elle me regardait agard, accroupie sur le li les yeux encore vitreux et les cheveux ébouriffés.

L'heure des explications était arrivée...

- Skil - dit "Isaac"

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J’arrivai dans les rues au même moment où les miliciens jetaient aux cachots plusieurs ivrognes. Il était tard, très tard. La nuit était noire et les ténèbres régnaient où qu’elles jetassent leur spectre. Il n’y avait pas de brume et le village était tout aussi éveillé que la veille mais quelque chose rendait l’ensemble lugubre. Fort heureusement, j’avais déjà vu bien pire.

Je poussai la porte de la taverne comprit pourquoi certains se retrouvaient avec des fers aux pieds en l’instant présent : l’auberge autrefois humble et sobre était dévastée, les tables et chaises brisées. La serveuse balayait et nettoyait le bois du sol, couvert de taches de sang et de bave tandis que par endroit, il en était qui semblaient avoir régurgité leur dernier repas. Mais le gérant ne paraissait pas avoir changé d’expression. Ce n’était pas la première ni la dernière fois qu’il voyait ça, il savait comment cela marchait et ne risquait en aucun cas de perdre son sang-froid pour une telle futilité. Décidément, j’adorais vraiment ce personnage atypique, un être calme et prudent, ce battre à ses côtés durant mon service aurait été un plaisir. Mais à cette époque-là, il n’aurait pas vraiment apprécié mes occupations ; tuer des innocents et brûler des gens pris au hasard dans une foule, cela ne devait pas faire parti de ses passe-temps.

Je traversai la pièce, évitant le mobilier et zigzaguant entre les mares de vomi et de bière, alors qu’il me dévisageait, passif et méfiant. Et à première vue, il n’aimait toujours pas ce que je représentais, pensais-je souriant intérieurement. J’empruntai les escaliers puis redescendis de quelques marches :

- Si vous avez besoin de mon aide, vous savez où me trouver ? dis-je.

Je n’eus pas besoin d’entendre sa réponse et d’ailleurs, il se contenta simplement de me fixer. Je remontai. A l’étage, je m’aperçus que tout était propre et dans le même état que lorsque j’avais quitté le couloir, plusieurs heures auparavant. D’une main, j’ouvris la poignée de la chambre et de l’autre retirai ma capuche, de l’air libre, enfin. Mais un air empesté, encensé par je ne sais quel héraut de quelque Destin qui soit, aussi funeste et trouble soit-il.

Nous périrons tous. Il me fallait partir, rapidement, je n’avais peut-être même pas le temps de payer. Mais avant tout, j’avais besoin de m’étendre quelques minutes, tout au plus.

J’expulsai mes chaussures d’un lest coup de pied et me roulai en boule : j’avais besoin de faire des pauses trop souvent, c’était mauvais signe. Je toussai, par éducation, je mis ma main devant ma bouche. Mais ce qui était synonyme de funeste, c’était plutôt cette tache noire au fond de ma paume ; il faisait peut-être sombre mais je reconnaissais la couleur, l’odeur et la consistance du sang.

Myn', juste histoire de ramener mon personnage.

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"Scheiße !"

Vladimir s'en voulait d'être rentré aussi tard et d'avoir raté l'occasion de se dérouiller les poings. Il avait passé la plupart de son temps à repérer les alentours, explorer les forêts avoisinantes et chasser un peu. C'était vraiment un endroit tranquille, aucune trace de créatures inhabituelles, ni même de peaux vertes.

Il remonta dans sa chambre tranquillement, en adressant un hochement de tête à l'aubergiste.

Allongé sur le lit, il nota mentalement d'aller faire un tour chez l'apothicaire demain, dès le matin. Il était à cours de presque tout et mieux valait éviter une nouvelle crise, comme celle d'hier, dans les bois.

*** ***

Un couteau de chasse de plus de trente centimètre dans la main, Vladimir approchait du magnifique chevreuil, à une vingtaine de mètres devant lui. Il est tout prêt du but et serre son couteau de toute ses forces pour essayer de maitriser le tremblement, signe annonciateur d'une bien mauvaise passe.

Alors qu'il s'approche toujours plus, la vision du nordique se trouble, sa mâchoire se crispe. Elle monte, cette haine, sans raison aucune, mais elle est là.

Le nordique ne peut plus lutter, il faut absolument en finir. Le couteau quitte sa main et tournoie pour se planter profondément dans la gorge de l'animal qui tombe avec des soubresauts.

Vladimir est devenu un animal, un chien, un loup, il éviscère le chevreuil et plonge ses mains dans ses entrailles, force ses doigts pour pénétrer ses orbites, explose le plexus d'un coup de tête monstrueux.

Tout est rouge, les arbres sont rouges, le ciel est rouge, tout n'est plus qu'une vaste boucherie, tout est couvert de sang, la cacophonie dans sa tête à le bruit de mille enfants qu'on égorge.

Les arbres sont à présent de gros cochons répugnants suant de tout leurs pores, une farandole de porcs qui dansent dans une cacophonie de sang et de tripes !

*** ***

Ça avait pris des heures à Vladimir pour sortir de ce cauchemar, heureusement, il avait trouvé un cours d'eau ou se nettoyer et reprendre ses esprits.

Il sortit sa pipe et fuma les dernières feuilles de sauge qu'il avait, sa respiration ralentit, une vague impression de pencher à gauche l'envahit, il sourit, puis rire aux éclats à en pleurer avant de sécher ses larmes et de se décider à dormir.

Oui vraiment, il fallait qu'il aille chez l'apothicaire demain dès l'aube.

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Le froid de la chambre non chauffé puis un bruit de pas une respiration coupé, on observe Akuruz on la met dans le lit et on part... Akuruz elle veux se réveillé mais son corps le lui interdit à présent les attributs des vampires en elle commence à disparaitre mais elle ne le veux pas! Elle a la haine, la haine que son plan ai échoué la haine des humains la haine du monde, puis elle concentre cette haine dans son coeur froid qui allait se réchauffer, enfin la haine ce sentiment puissant la penêtre elle frissonne comme quand elle a été mordue, les souvenirs lui revienne en un coup, puissant des larmes coulent. Elle se réveille en âge non elle ne rêve pas, elle voudrait se réveiller mais non elle doit affronter son destin et cela l'agace et l'énerve. Ses dents poussent ses yeux se font à l'obscurité et ses oreilles se tendent pour écouter les moindres bruits.

Une bagarre de vrai enfants! Elle tente de se lever, ses jambes et son corps luttent pour qu'elle redevienne humaine mais voilà sa passion est tel qu'elle se leve en gémissant et tente de voler comme avant, avant que ce drame du passé ne resurgisse des souvenirs enfouies depuis trop longtemps.

Elle chute et rale ou plutôt pleure dans le noir, enfin la porte s'ouvre et Isaac la regarde, elle veux des explications et entame la discussion

-T'es qui? Pourquoi mes pouvoirs s'en vont quand je suis près de toi? Explique et vite!

Elle croit en elle a t'elle point qu'elle en a oublier de se retenir quand elle concentrait sa haine...Le matelas est trempé d'urine de même que ses jambes et sa jupe, et ça l'énerve elle va regresser devant cet imbécile? Pourquoi? Pourquoi maintenant elle use de ses pouvoirs pour sécher le lit au plus vite avant qu'il ne lui vienne envie de la changer! Elle ouvre son sac et met une jupe de change et flambe la souillé, elle enlève sa jupe et met une non deux couches sous sa culotte et sous sa jupe, elle pense que ça ne voit pas! Elle est bien naive on voit comme une bosse sous sa jupe et au moins elle est paré en cas de surprise trop importante, oh non l'envie lui revient mais elle se retient ça va l'agacer ses problèmes urinaire!

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La jeune fille face à moi me dévisageait, comme si j'était coupable, comme si elle m'en voulait.

Je ne pu m'empêcher de remarquer qu'elle avait souiller le lit. Mais quelque chose d'autre ne tournait pas rond. Je n'aurais su dire quoi, mais j'avais comme un mauvais présentiment.

Soudain elle s'adressait à moi :

- T'es qui ? Pourquoi mes pouvoirs s'en vont quand je suis près de to i? Explique et vite !Ses mots furent secs et violents, je pouvais sentir de la haine dans ses yeux.

- Je ne suis pas sûr, lui répondis-je, mais je crois que nous sommes parents. As-tu de la famille ?

- Je ne me souviens pas, mais je sais que je dois te mordre !

-Me mordre ? l'étonnement pris place, et je ne pu m'empêcher de lâcher un léger sourire en lui répondant. Mais pourquoi vouloir me mordre ? Essaie de te rappeler.

Des larmes roulèrent sur ses joues, et la petite fille se roula en boule au milieu du lit.

Il ne valait mieux ne pas insister ...

Skil, - Isaac -

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