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Constant Drachenfels, cet illustre inconnu


tanguy2508

Messages recommandés

Bonjour, Bonjour mais qui est ce petit personnage ?
-Je suis Constant Drachenfels, un pygmée, connasse !


[font="'Times New Roman"][size="3"]Après cette brève introduction digne d'un certain donjon dont je tairais le nom, est ce quelqu'un saurait qui est ce certain [/size][/font]Constant Drachenfels ?


Merci beaucoup
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Hello,

Constant Drachenfels est un grand enchanteur, son château est situé dans les montagnes grises si je ne m'abuse.

Son visage est caché par un masque, ses mains sont protégées dans des gants souples et il est paré de somptueux vêtements.
De plus, il semblerait que personne n'ait jamais vu son visage. Il semble exister depuis la nuit des temps et reste connu à cause de ses actes horribles.
Il a mis à sac Parravon et à convié la cour de l'empereur afin de tous les empoisonner. (À confirmer car je n'en suis plus certain).

Il a tué, estropié et rendu fou des hommes, comploté pour détruire des états et des cités de manière calculée. De ce fait, il est largement considéré comme le mal incarné.
Il fut défait une seule fois par Sigmar, mais ce dernier n'a pas réussi à le détruire. Le grand enchanteur Drachenfels possède d'immenses pouvoirs.

Drachenfels fut défait par Oswald Von Konigswald en 2477, prince-héritier d'Ostland. Accompagné de la vampire Geniève. (Tout cela est à découvrir dans les livres Drachenfels et Geniève).

Voila ce que je peux te dire de tête.



En espérant t’avoir un peu aidé.





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Il est surtout la cause d'un des suppléments les plus bourrins et donjonesque de Whjdr ^^

Sinon c'est un peu du Nagash avant l'heure : ultra bill mais qui se fait démonter plusieurs et qui du coup boude dans un château où personne peut entrer et d'où il rumine ses plans et vengeance en attendant de se régénérer
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Merci à Patatovitch pour son lien.

Pour ceux qui regardent le forum sur le leurs téléphones portables et ceux qui n'aiment pas cliquer partout, voilà le fluff que Patatovitch nous a transmis. Il y a aussi des règles, mais je ne les donne pas car elles sont pour le JDR et qu'elles alourdiraient le texte.

Constant Drachenfels, le Grand Enchanteur

« Drachenfels, le Grand Enchanteur. Un démon d'apparence humaine, qui a triché la Mort pendant des siècles; un homme aux appétits si vils qu'ils ne pourront jamais être satisfaits; un nécromancien, tortionnaire des morts, démembreur des esprits; l'ignominie faite chair; un sorcier, un érudit, un monstre. Nul n'a décrit l'ampleur de ses barbaries, nul n'a dénombré ses trahisons, la dépravation de ses pratiques est au-delà de ce que l'on peut imaginer. Une telle perversion a-t-elle jamais pu naître de la chair humaine? »
Konrad Steinhoff – Les Vies des Dépravés (Talabheim, Schnuffler et Fils Éditeurs, 2099)

Constant Drachenfels est présenté en détails dans le chapitre Profils. Voici un très bref résumé de ce qu'il est : le mal et la perversité personnifiés. Maître en magie aux pouvoirs immenses, le Grand Enchanteur a vécu pendant des siècles, nul ne sait combien. Il a commis d'innombrables atrocités; au sommet de son art, il frappait des nations entières. C'est peut-être le plus grand monstre humain – du moins, la légende affirme-t-elle qu'il a été un homme – de l'histoire de L'Empire et des Terres Occidentales du monde de Warhammer.

Un Bref Historique du Château Drachenfels

« Les premières observations officielles du Château Drachenfels, la demeure maudite de l'enfer, nous furent communiquée par Oskar Lefèvre et Jean-Pierre Lafontaine de la ville de Quenelles en l'année 184 (Calendrier Impérial). Leurs esquisses montrent le château parfaitement terminé, avec ses sept tours et ses hauts remparts, la pierre offrant l'apparence de l'usure et de l'antiquité. Pourtant, les récits des explorateurs Armand et Michaela Menise, qui ont parcouru ce même territoire la saison précédente, ne mentionnent nullement un tel édifice. Ce monstre maudit a donné vie à son abattoir à partir de la montagne, et ce en l'espace de quelques semaines, peut-être moins. »
Gunther Laubrich – Archeologia Maledicta : Un Précis des Lieux Maudits et Ignobles, Annales de Sigmar XXXVII libram CXX (Nuln, 613 CI)

Tous les savants sont d'accord pour dire que le Château Drachenfels est ancien. Les Grimoires Interdits de Kháine détaillent sont développement au cours des siècles suivants. Des visiteurs dépravés vinrent y assister aux horreurs que le maître des lieux imaginait. De pitoyables serviteurs-esclaves étaient réunis pour satisfaire les appétits dégradants de ces hôtes, connaisseurs en carnage et débauche.

« Au début, Constant Drachenfels se servait de ses magies, aussi diverses que personnelles, afin d'enregistrer ces perversions, ce qui lui permettait ensuite de se plonger dans de langoureuses contemplations, mais au fil du temps, la pierre même dont été composé la demeure se mit à comprendre, à retenir, à répondre, à changer. Drachenfels s'aperçut que lui qui écoutait correctement pouvait entendre, voir, sentir et même goûter chaque acte pervers qui s'était déroulé dans les salles et les labyrinthes du bâtiment. Et comme il accordait à son esprit le droit de vagabonder, il remarqua que le château se faisait un plaisir de le guider à sa place et de puiser quelques-uns des souvenirs et des sensations de cet esprit pour lui-même; la construction semblait se nourrir elle aussi de ces choses qui troublaient les cœurs noirs battant entre ces murs...

Les atrocités dont le château fit témoin pendant ses premiers siècles d'existence furent gardées secrètes par ceux qui y participaient. Ce n'est que bien plus tard, lorsque les audaces de Constant Drachenfels ne connurent plus de limites, que les récits des horreurs qui y étaient perpétrées commencèrent à se répandre. Et ils étaient nombreux...

La Pavane des Lépreux, en 1104, fut l'occasion d'une série d'horreurs, chacune plus perverse que la précédente. Drachenfels, déguisé, masquant sa pensée, trompa près d'un millier d'âmes des villes et des villages alentours en prétendant les convier à un festin et un bal. À chacun, qu'il soit marchand ou prospecteur, noble maniéré ou fils maltraité d'ouvrier, il raconta une histoire adapté à sa plus secrète vanité, ou son plus grand désir : chaleur et abri, nourriture et boisson, société et snobisme, peintures et poètes et musiciens elfes... Ils danseraient, promit-il en riant, jusqu'à ne plus tenir sur leurs pieds. E c'est effectivement ce qui se passa. Ils dansèrent jusqu'à ce que leurs membres se détachent de leurs corps, condamnés à se contorsionner tandis que la lèpre, à une vitesse inouïe, rongeait leur chair et l'arrachait à leurs os. Drachenfels allait de l'un à l'autre et riait, tout en pressant des têtes dans ses mains et les écrasant comme des fruits pourris.

A chaque nouvelle atrocité, le Festin Empoisonné de 1907 étant une des plus abominable, le Château Drachenfels semblait attirer à lui encore plus de perversité. Les déformations des constructions s'accroissait, les illusions et les traîtrises devenaient plus difficiles à détecter, les cauchemars et les obsessions plus intenses. Les âmes et – pire encore – les restes d'âmes s'amassaient sur place comme des mouches sur une carcasse. On prétend que Drachenfels se vantait de conserver les âmes de toutes ses victimes, sous des formes variées, dans sa demeure. Cela pourrait expliquer nombre des expériences que ceux qui y ont séjourné ont vécues... »
Johann Biedenkopf – Meurtriers en Masse Célèbre de Nos Pays (Middenheim, Presse Populaire, 2501)

Beaucoup de gens se sont demandés pourquoi le château n'a jamais été abattu. On pouvait parfois croire que le miracle s'était enfin produit. Mais toujours il réapparaissait, tumeur impossible à supprimer du paysage. L'Empereur en personne ordonna sa destruction, mais même les conseillers les plus flagorneurs furent contraints de lui suggérer qu'il s'agissait d'une impossibilité.

« Le Château Drachenfels n'est pas un lieu que l'on peut localiser et détruire, et ce pour bien des raisons. Si on compare diverses sources, il semblerait qu'il ne se dresse pas toujours au même endroit, quoique des rapports récents donnent à penser qu'il n'est plus capable des déplacements dont il a été coutumier par le passé. Il est isolé, difficile à atteindre, bâti dans une contrée particulièrement peu propice aux voyages, où les bêtes de somme n'ont guère de chances d'arriver à porter la moindre charge. Les terres environnantes fourmillent de bêtes sauvages, d'Orques et pire encore.

Le transport des ouvriers et outils nécessaires à la démolition serait une entreprise certainement vouée à l'échec. En 1513, une tentative malheureuse de bombardement à l'aide de rochers transportés par des Vouivres magiquement contrôlées connut un échec spectaculaire, et révéla également la présence dans les tours d'une multitude d'archers morts vivants aux tirs d'une précision diabolique.

On tenta aussi de détruire le bâtiment par des procédés magiques, mais toujours en vain. Le feu s'avéra inefficace contre les pierres inébranlables de ses murs. Certains rapports, à l'authenticité garantie, expliquent que les enchanteurs ayant usé de la magie contre l'édifice furent eux-mêmes pris pour cible par des forces magiques invisibles et inconnues. Le Sorcier Kaster Dreckspatz d'Altdorf repose dans le Grand Hospice de Frederheim depuis sa tentative d'ouvrir une brèche dans les murailles. Cette résistance se perpétue malgré la mort du Grand Enchanteur, dont nous sommes redevable à Koenigswald. A moins que des raisons impératives n'obligent à réitérer ces expériences, il faut ignorer le Château Drachenfels et le laisser là où il est. »
Rapport pour l'Empereur Karl-Franz – Archi-Lector Kaslain de Nuln, 2508


Drachenfels, le Grand Enchanteur

Constant Drachenfels, le Grand Enchanteur, mesure (avec le corps dont il dispose actuellement dans le scénario Drachenfels Vit!) plus de 1,83 m et, physiquement, c'est un homme vraiment imposant – si c'est réellement un homme! Son visage est caché par un masque, ses mains sont protégées par des gants souples et son corps est couvert de vêtements magnifiques. Personne n'a jamais vu son visage et vécu assez longtemps – ou gardé assez longtemps ses esprits – pour en parler.

L'Enchanteur est un mythe incarné. Selon la rumeur, il vit depuis une éternité. Il est vrai que, aussi loin que remonte la mémoire humaine – et l'histoire écrite comme la tradition orale – Constant Drachenfels a toujours occupé son château. Cette sombre silhouette hante les recoins de l'histoire, n'apparaissant en pleine lumière que pour commettre quelqu'atrocité gratuite, comme pour rappeler à l'Humanité son existence et la crainte qu'elle doit inspirer.

Selon les standards humains, Drachenfels est le mal personnifié. Ses actions n'ont jamais laissé place à la bienveillance, à la justice ou à la noblesse, même si, d'une certaine manière, elles avaient une sorte de sincérité. Ses intrigues étaient presque transparentes : quand il s'est repenti de ses péché, tout autre que le naïf Empereur Carolus aurait su voir au-delà de cette feinte bonté – Drachenfels ne battait sa coulpe que pour mieux abattre ses ennemis imprudents, à la confiance pathétique. En plus de ces petites fantaisies, il a tué, estropié et rendu fous nombre de gens, comploté pour détruire des États et des cités, de manière calculée comme sous l'emprise de rages terribles.

Derrière ces horreurs, Drachenfels cachait ses vraies préoccupations, qui ont bien peu à voir avec le « mal ». C'est le pragmatisme ultime : tout acte meut être envisagé et accompli s'il permet de survivre. Constant Drachenfels a toujours été fidèle à son nom : la continuation de son existence est son but final, en dehors de toute considération morale. Le « bien » et le « mal » sont des notions que l'humanité n'a que récemment prises en compte – lui existait à une époque où de telles peccadilles n'avaient pas encore de sens. Il se distingue cependant par ce qu'il a fait lorsque son existence n'est pas en jeu, et son goût pour l'atrocité et les carnages permet de l'assimiler sans aucune hésitation au mal. Son expérience, remontant à la nuit des temps, l'a rendu arrogant et redoutable. Il n'a été humilié qu'une seule fois, par Sigmar Heldenhammer. Pourtant, Sigmar lui-même n'a pu briser le pouvoir du Grand Enchanteur. Drachenfels est resté diminué pendant un millénaire, mais il n'a pas été anéanti. A la fin, comme il l'avait déjà fait, il a pris un autre corps.

Celui-ci est maintenant en train de se régénérer lentement, grâce à la magie de son château. A l'arrivée des PJ, cette régénération s'accélère incroyablement.
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[quote name='Coutalf' timestamp='1309526264' post='1946779']
"qui a déjoué la mort" me paraîtrait encore plus adapté, cheat comprenant une notion de triche justement un peu plus marquée que dans échappé
[/quote]

“Qui trompa la mort” ou “dupa le mort” non ?
M'enfin c'est pas le plus important. Modifié par Dreadaxe
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D'ailleurs dans le roman Drachenfels, où Geneviève Dieudonné s'aventure sur ses terres, on apprend qu'il était là avant la venue de ces "prétentieux Anciens"... Faut que je retrouve le passage !

Dans le scénario du jeu de rôles "Drachenfels vit", il faut parvenir jusqu'au corps de l'Enchanteur AVANT qu'il ne soit complètement régénéré... C'est une course contre la montre pour les joueurs, sachant que le donjon est super bourrin (et on voit que le monsieur s'amusait à se moquer des dieux du Chaos et de leurs champions !).
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Si ça intéresse, voilà les extraits de la jeunesse de Drachenfels
[spoiler]
Il se souvenait à peine de sa vie en tant que Laszlo Lowenstein. Depuis qu'il avait dévoré les yeux, tant d'autres souvenirs submergeaient sa mémoire. Des millénaires d'existance, d'apprentissage, de sensations palpitaient coimme des blessuires à l'intérieur de son crâne.
Au temps des fleuves de glace, avant que les hommes-crapauds ne viennent des étoiles, il frappait une créature plus petite à l'aide d'une pierre pointue, découpant des morceaux de chair encore chaude.
Et à chaque fois que retombait le silex glacial dans son souvenir, son esprit se convulsait, se noyant dans le sang. Finalement, quelque chose de petit et d'insignifiant fut écrasé dans la boue.
Ses doigts gourds et courtauds arrachèrent les yeux de la chose morte et il mangea à sa faim pendant tout l'hiver.
Il se sentait revivre et remplit ses poumons de l'air du grand hall, un air auquel la peur donnait une exquise saveur.

[…]

—J'ai vécu plusieurs vies d'homme, mon prince. J'ai usé bien des corps. Il y a longtemps que j'ai échangé la chair dans laquelle je suis né contre d'autres...
Drachenfels se souvent de cette époque incroyablement lointaine où il avait respiré, aimé et tué pour la première fois. Son premier corps. Sur une vaste plaine de glace nue, il avait été abandonné par des sauvages trapus et brutaux qui semblaient avoir plus de points communs avec les grands singes d'Arabie qu'avec les hommes d'aujourd'hui. Il avait survécu. Il vivrait à jamais.

[…]

Il faisait froid sur la plaine, et on l'avait abandonné à son sort et à sa mort, trop malade pour que la tribu s'occupe de lui. L'autre homme, sa première victime, s'était hasardé là et il avait lutté contre lui pour lui arracher la vie. Il avait gagné mais aujourd'hui... quinze mlille ans plus tard... il savait qu'il avait fini par perdre. Il n'avait repoussé la mort que de quelques instants au milieu de l'éternité.
Et pour la toute dernière fois, la vie le quitta.[/spoiler]
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  • 2 semaines après...
Salut,
Dans la section background de 40K on y fait allusion.
Citation Taran.
[quote]Il y a quelques dizaines de milliers d'années, probablement autour de 20.000 ans (soit environ 16.000 ans avant Sigmar), un vaisseau spatial, probablement un vaisseau colonisateur du Moyen-Âge Technologique, s'écrase quelque part en Lustrie. Des disputes au sujet de la responsabilité de l'accident dégénèrent rapidement en conflit, qui est résolu par le cannibalisme. Ces voyageurs ayant pour habitude de recycler leurs morts, la chose ne soulève pas plus d'objections que ça. Ces survivants perdent leur technologie et régressent rapidement. Ils sont aujourd'hui connus sous le nom de pygmées.

Il y a quinze mille ans, une tribu (à priori de pygmées) abandonne l'un des siens à son sort dans les plaines gelées, trop malade pour être utile. Cet individu n'est autre que celui qui devint par la suite Constant Drachenfels (cf. romans et le Château de Drachenfels pour WHJdR). [/quote]
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  • 2 semaines après...
Ah, l'éternelle méconnaissance de nos pauvres grenouilles ! Slann'm'étonne guère...
Finalement, la boucle se... boucle, non ?
Vu la citation fort bien trouvée de Taran (je trouve la piste extrêmement intéressante), et la citation de départ du sujet... On reste dans le pygmée !
Merci pour ces précisions !
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