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Warhammer Forum

Récit d'un guerrier maudit.


Elladan, Seigneur Elfe

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Allez voici la suite.

Sirius et Tristan passait de plus en plus de temps ensemble, à parcourir leurs terres en quêtes d’ennemis ou lors de fêtes où les deux jeunes gens s’amusaient, et où Tristan ne manquait jamais de faire tourner les têtes, Sirius préférant généralement rester en retrait de son exubérant compagnon. Il vécurent ainsi quatre ans d’amitié, s’entraînant, combattant, chassant et mangeant ensemble. Leurs compétences martiales et les pouvoirs de Draken-Torin s’accentuant sans cesse, ils pouvaient affronter n’importe quel ennemi. Puis un jour qu’ils venaient de massacrer un groupe d’orques, Tristan annonça à l’elfe la nouvelle qui allait changer leurs vies à jamais. «  Au fait, mon oncle Govinn nous a céans envoyé une lettre. Il réclame de l’aide pour une croisade contre les terres de Khemri. Mon comte et père m’a demandé de rejoindre la force de mon oncle avec quelques nobles chevaliers, et je me demandais si au nom de notre amitié tu accepterais d’accompagner ton ami…

- J’ignore si mon clan sera d’accord avec cette proposition pour le moins inatendue mon ami, mais je ne leur laisserais pas le choix. Et quand partirions-nous ?

- Demain. »

Tristan s’enfuit tandis que l’elfe sautait sur ses pieds, et l’elfe poursuivit son ami avant que le vicomte se retourne et que les deux compagnons s’affontrent en un simulacre de combat.

Le lendemain, à l’aube Sirius se présenta au domaine, chevauchant un magnifique coursier elfique, qui surpassait en beauté même les plus beaux étalons de Bretonnie. Il avait réussit à arracher son consentement à Kendar et avait dit ses adieux au Dragon Vert, regrettant de ne pouvoir partir au combat sur le dos du puissant drake. Le wyrm lui avait offert un magnifique cadeau avant qu‘il parte: deux lames enchantées par lui-même, qui pénétrait les armures comme le feuillage des arbres. Sirius partit, le cœur triste.

Tristan apparut enfin, à la tête d’une colonne de chevaliers aux couleurs de la cité. Le jeune homme paraissait de fort méchante humeur. En effet son père n’avait pas voulut le laisser emmener les précieux pégases. Donc le vicomte était obligé de voyager à terre, comme les roturiers !!! Et som ami elfique aussi, lui fit remarquer Sirius, avant que Tristan ne se rende compte de sa gaffe. Et accessoirement toutes les belles jeunes filles de Parravon qui étaient aux fenêtres des maisons et qui pleuraient à chaudes larmes, lançant parfois des fleurs ou des châles à Tristan.

Le voyage se déroula agréablement bien, et ils n’eurent aucun problèmes, du moins jusqu’à ce qu’ils arrivent à la frontière du pays des morts. Là les habitants leurs racontèrent d’atroces histoires sur des morts qui ne le seraient pas. Sirius repensa au vampire qu’il avait combattu et il ne lui plaisait guère de renouveller l’expérience. Le Duc Govinn, un gros homme musclé dans la force de l’âge ne s’inquiétait pas de ses sornettes. Mais quand ils pénétrèrent dans le désert brûlant, Sirius sentit aussitôt les vibrations maléfiques qui parcouraient ses landes maudites. Après deux semaines sans rencontrer âme qui vive, les soldats commencèrent à rechigner, à cause de la soif, du sable et de la chaleur insoutenable. L’elfe était de plus en plus mal à l’aise, même si son compagnon paraissait on ne peut plus détendu. Ce fut à midi lorsque il arrivèrent en vue d’immenses édifices pyramidales que les hommes commencèrent à prendre peur. A juste titre d’ailleurs car alors qu’ils approchaient ils aperçurent une armée qui avançait à leur rencontre. Une armée de morts. D’innombrables squellettes avançaient en rangs serrés, tandis que dans les cieux volaient sur les ailes décharnées des oiseaux morts depuis des lustres. Ils virent aussi d’énormes statues maniant de grandes faux de guerres, et aussi des chars qui progressaient sans peine sur le sable fin. Cette armée de la non-vie était au moins deux fois plus grande que la leur. Les hommes prirent leurs armes et affutant leurs courages ils chargèrent. Et le massacre commença. Les ennemis semblaient surgirent de tout côtés et les chevaliers combattaient bravement mais ils succombaient lentement au poids du nombres. A la fin du jour il ne restait qu’une poignée de combattants vivants, tandis que les morts semblaient encore un nombre exorbitant. Ils montèrent sur un appontement rocheux et tinrent toute la nuit. Le matin les morts étaient partis, et il ne restait que six chevaliers, Tristan blessé et Sirius. Gauvinn était mort de la lame courbe d’un immense Mort qui paraissait commander l’armée. Le petit groupe s’enfuit alors, laissant la les morts qui semblaient déjà être aspirer par le sable. Après plusieurs jours de marche ils furent attaqués par un immense scorpion qui surgit des sables et les attaqua avec une fureur sans nom. Les hommes ayant perdu leurs montures, ils ne purent fuir et quatre d’entre eux mordirent la poussière avant qu’ils ne détruisent la créature des sables. les deux chevaliers restant périrent alors qu’ils avançaient en avant-garde. Des insectes les dévorèrent vivants, surgissant des sables comme l’avait fait le scorpoin géant. Sirius soutenait Tristan et ils réussirent à fuir. Enfin ils arrivèrent en vue d’une colline. Sirius décida qu’ils monteraient au sommet pour avoir une vue des environs. L’escalade leur prit plusieurs heures. Et le cauchemar débuta lorsqu’ils arrivèrent en haut. Assis sur un trône fait d’ossements de Dragon, un homme semblait être dans une profonde méditation. Pas le moindre muscle ne bougeait, et sous son armure d’une époque passée on pouvait distinguer une musculature parfaite. Une immense épée qui luisait d’un rouge sang reposait contre le bord du trône. Alors même qu’ils s’approchait de l’Homme, Sirius sentit son pouvoir. Un pouvoir comme il n’en avait jamais sentit auparavant. Puis l’être parla, mentalement. «  Je suis Aborash, Premier Né, Grand Maître de l’Ordre des Dragons de Sang. ». Sirius sentit son cœur s’arêter de battre, tandis même que Tristan reculait sous l’aura insoutenable de l’immortel. Le Dragon Rouge. Le Guerrier Suprême. Draken-Torin l’avait lut dans l’esprit du vampire qu’il avait vaincu. Le fondateur de l’ordre. Derrière lui, Tristan s’effondra, le pouvoir du buveur de sang étant trop imposant pour son âme humaine. Alors, sentant en Sirius un adversaire digne d’être affronté, Aborash l’Immortel s’avança, saisissant sa lame qui devait elle-même mesurée plus de 6 pieds de longs, alors que le Seigneur Vampire devait lui faire plus de 7 pieds et demi. Sirius sentit encore une fois le vampire lui parler.  « Affronte-moi, et regarde la Mort en face .» L’elfe saisit ses lames et le combat commença. Sirius Draken-Torin n’avait jamais vu ça. La créature était si rapide qu’il presque impossible de la suivre des yeux. Ses coups étaient d’une force surhumaine et l’elfe ne pouvait qu’essayer de les éviter. Et pourtant le vampire possédait une technique incomparable. Ses coups étaient calculés au millième de millimètre, visant les points vitaux de l’elfe. Sirius essayait de toucher le vampire mais il n’y parvenait jamais, le buveur de sang bloquant tout les coups portés. Sirius avait une quantités de petites blessures qui l’affaiblissaient de plus en plus. Il sentit que si le combat s’éternisait il mourrait. Alors il tenta un coup que son maître d’arme lui avait enseigné comme étant imparable mais particulièrement risqué quant à sa réalisation. lançant le combo, il visa d’une lame la tête et de l’autre la jambe. Puis prenant appuis sur une jambe tandis que le vampire parrait le coup à la jambe, Sirius lui donna un coup de pierd retourné que l’être évita et l’elfe en profita pour s’envoler en tournoyant sur lui-même, et il retomba derrière l’immortel et alors qu’il allait planter ses almes dans le dos de son adversaire en utilisant la force acquise durant le saut il sentit le mouvement du vampire qui déviait une lame d’une torsade du poignet dans son dos, tandis que la deuxième épée du Chantelame pénétrait profondément dans le dos du vampire. Qui ne broncha pas et se retournant à la vitesse de l’éclair frappa de son poing l’elfe qui alla s’écraser plusieurs mètres plus loin, lachant ses lames. «  Tu t’es bien battu, Sirius Draken-Torin, du clan du Dragon Vert. Tu mérites le Baisé de Sang … » L’elfe ne put que regarder alors que le Premier Né s’approchait de lui. Il ne put rien faire non plus alors même que le vampire lui accordait le don le Non-Vie, unissant leur sang. Celui pur des Asurs à celui maudis des Damnés. Sirius Draken-Torin sentit le sang vampirique affluer dans ses veines. Il sentit cette puissance. Et lorsqu’il se releva, titubant encore sous le choc, il entendit le Dragon Rouge: « Et maintenant mon fils part. Tu as gagné la vie de ton ami, ainsi que la tienne. »

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La créature était si rapide qu’il presque impossible de la suivre des yeux.

Voila la seul "erreur", ou plutot oublis que tu as fait. Ton texte est decidement dement, j'aime vraiment. :evilgrin::evilgrin::evilgrin:

Il y a une legerete qui rend la lecture tres agreable.

Il y a peut etre un petit defaut, mais sa reste a voir; c'e'st le passage de le fuite juqu' a la rencontre du premier dragon de sang, qui elle meme parait un probable mais tres sympatique.

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Invité Saethrimnir

cool cool cool, mais en tant k EN c'est pas assez saignant mais c'est pas grave ...

l'histoire est bien même si des fois on a l'impression k t a écris a l'arrach mais bon, continue comme ça ...

PS : on dirait que c'est bientôt la fin ???

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Invité legnome

génial ton récit franchement je pensais pas qu'un etre aussi grand que stupide et sanglant pourrait écrire un récit aussi fin et aussi mordant

j'espere avoir l'occasion d'entendre de vive voix la fin du récit en excusivité

franchement bravooooooo

ton gnome préféré

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Invité Néo Archaon

Une question, dans le premier recit y'a un sorcier, mais se que je trouve bizar c que ce soit une tribut de khorneux alors que khorne déteste la magie.

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