Miles Posté(e) samedi à 12:08 Partager Posté(e) samedi à 12:08 (modifié) Alors voilà, on continue dans la sodomie des drosophiles avec la logisitique nécessaire pour une armée impériale en campagne! Mon questionement précis étant: quels personnels non combattants et dans une moindre mesure, combien de matériel lourd et animaux de bâts pour quelle proportion de soldats impériaux? Les différentes troupes n'ont bien sur probablement pas la même logisitique. Conscrits ruraux Milices Troupes régulières Chevaliers Pièce d'artillerie... Capitaine Sorcier... J'imagine notament que la logistique des chevaliers doit être particulièrement lourde, mais je me plante peut être. Mais même les humbles troupes régulières ont probablement des chariots, des cuistos, peut être un chirurgien barbier, des palefreniers pour prendre soin des animaux de bât... Il faudrais voir aussi qu'est ce qui dépend de la logistique de chaque unitée, de chaque soldat (encore une fois ça m'étonnerai pas que chaque chevalier ai plusieurs serviteur pour l'assister) et ce qui dépend de l'armée entière et qui est mutualisée... J'imagine qu'on doit pouvoir trouver des tas d'exemple historiques des quels s'inspirer mais il faudra bien sur passer ça à la moulinette héroïc fantasy et Warhammer! Modifié samedi à 12:44 par Miles Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Captain Frakas Posté(e) samedi à 14:35 Partager Posté(e) samedi à 14:35 (modifié) C'est assez simple, en fait : le prince ne paye que la solde et l'équipement de l'artillerie et des ouvrages et de l'équipement d'éventuels sièges. Le train et son contenu est à la charge des soldats eux-même qui ne dépendent que d'eux-mêmes (ou de ceux qu'ils emploient) pour se maintenir en état opérationnel. Leur prince ne leur donne qu'une solde. Aussi les soldats se cotisent pour financer en commun, des voitures, avec leur solde. (Il faut donc que leur solde le leur permette... nous avions vu que c'était le cas.) Il faut compter une voiture, environ, pour dix soldats (et sans doute plus pour des soldats ogres). Les plus riches des doubles soldes étaient suivis par des voitures qui transportaient leurs tentes, meubles, linge de literie, tapisseries murales, provisions, épouses, serviteurs (cuisiniers, valets...), fils et filles... Tu devines que des officiers avaient sans doute également leur propre voiture ou même plusieurs voitures pour eux-mêmes. Les chevaliers qui répondent à l'appel de leur seigneur pour une durée limitée ne sont pas même soldés. C'est à eux de tirer les revenus nécessaires du fief qu'ils ont reçu au titre de leur hommage à leur maintien en état opérationnel. Suivant leur richesse et leur statu, leur suite sera différente. De même pour leur arrière ban, pour les milices bourgeoises et les levées paysannes. Il en est autrement des (très rares, car trop coûteuses) troupes permanentes, sans doute presque entièrement entretenues par le prince, mais je connais moins le sujet. Les armées sont également suivies par tout un tas de marchands ambulants, de gaillards et de gaillardes prêts à monnayer aux soldats leurs services de différente nature ainsi que de profiteurs en tout genre. La seconde édition du jeu de rôle avait dédiée une carrière à cela, si ma mémoire est bonne. La troisième édition du jeu de bataille avait quant à elle des règles relative au train. Pour ce qui est des denrées périssables, il n'y a pas de secret avant l'ère de la réfrigération. Certains aliments sont transformés pour se conserver (salaisons, charcuterie, fromages, alcools) et d'autres ne le sont pas et ne peuvent donc être trimballés trop longtemps. L'armée vie donc dans les terrains qu'elle occupe (elle achète, extorque ou pille selon son rapport au territoire et sa satisfaction de la façon dont elle est commandée et soldée) et fourrage donc. Modifié samedi à 14:50 par Captain Frakas Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HFXleol Posté(e) samedi à 19:43 Partager Posté(e) samedi à 19:43 Les armées humaines semblent bien désavantagées face aux méchants. Les morts-vivants ont besoin de rien, les orcs pillent et mangent tour ce qu'ils trouvent, pareil pour les Ogres et Hommes-bêtes. Sans compter leur capacité à vivre à la dure. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Miles Posté(e) dimanche à 00:48 Auteur Partager Posté(e) dimanche à 00:48 (modifié) Il y a 5 heures, HFXleol a dit : Les morts-vivants ont besoin de rien, les orcs pillent et mangent tour ce qu'ils trouvent, pareil pour les Ogres et Hommes-bêtes. Sans compter leur capacité à vivre à la dure. Ouais, d'autant que les nations humaines sont décrite comme menant plutôt des combats défensifs, donc c'est presque toujours leurs terres qui sont ravagée. Il y a 10 heures, Captain Frakas a dit : C'est assez simple, en fait : le prince ne paye que la solde et l'équipement de l'artillerie et des ouvrages et de l'équipement d'éventuels sièges. Haha je savais que je pouvait compter sur toi! Cela étant, est on bien sur de cela? Un prince peut vouloir, surtout dans le cas de Warhammer ou le concept d'uniforme existe bel et bien, habiller ses troupes pour montrer son prestige ou attirer les volontaires Par exemple. De plus les campagnes étant souvent défensive, il peut être mal venu de laisser les troupes vivres sur le pays sans contrôle... Il y a 10 heures, Captain Frakas a dit : Le train et son contenu est à la charge des soldats eux-même qui ne dépendent que d'eux-mêmes (ou de ceux qu'ils emploient) pour se maintenir en état opérationnel. Leur prince ne leur donne qu'une solde. Aussi les soldats se cotisent pour financer en commun, des voitures, avec leur solde. (Il faut donc que leur solde le leur permette... nous avions vu que c'était le cas.) Il faut compter une voiture, environ, pour dix soldats (et sans doute plus pour des soldats ogres). Mais pour une unitée de Garnison, peut il en être ainsi? A priori, le Comte Electeur vas compter sur ses troupes en garnisons pour intervenir rapidement face aux menaces contre sa province. Hors, les monstres semble bien plus apte à "surgir" que les armées humaines. Un nécromencien enthousiaste, des hommes bêtes surgissant d'une sombre forêt... c'est sans doute plus "surprenant" qu'un prince humain voisin histo levant une armée d'invasion... Est ce qu'une unité permanante peu vraiment se permettre d'attendre de recevoir un ordre de mission pour disposer du nécessaire pour voyager? (Chariot etc) Qui négocie la nourriture en temps de paix? Le prince? Les officiers? Les soldats eux mêmes? S'ils ne sont pas ravitaillé, ce peut être catastrophique... Il y a 10 heures, Captain Frakas a dit : Les chevaliers qui répondent à l'appel de leur seigneur pour une durée limitée ne sont pas même soldés. C'est à eux de tirer les revenus nécessaires du fief qu'ils ont reçu au titre de leur hommage à leur maintien en état opérationnel. Suivant leur richesse et leur statu, leur suite sera différente. De même pour leur arrière ban, pour les milices bourgeoises et les levées paysannes. Pour le coup, les chevaliers impériaux ne semblent pas focntionner sur ce modèles vu le système des ordres... j'imagine qu'ils ont des accords à cours ou long terme avec les Comtes électeurs... Y'as il vraiment des différences de train de vie entre deux chevaliers d'un même ordre? Les milices bourgeoise et les levées peuvent elle combattre purement à leurs frais? On elle les moyens de se ravitailler, même à cours terme si elles s'éloignent de leur lieu d'origine? Il y a 10 heures, Captain Frakas a dit : Il en est autrement des (très rares, car trop coûteuses) troupes permanentes, sans doute presque entièrement entretenues par le prince, mais je connais moins le sujet. Hahaha, pas de bol, ce sont surtout elles qui me préoccupent, telle que référencée en temps que "Garnisons" dans l'index géographique. Leur faible nombre est néanmoins à priori très crédible. Ils coutent cher! Mais dans le monde de Warhammer ça semble indispensable d'avoir quelques soldats professionel apte à être mobilisé très rapidement, même si pour une campagne majeure on lèvera sans doute comme à l'historique des régiments ad hoc... Encore que, c'est compliqué de savoir à quoi corresponde ces "garnisons". Tout les militaires professionel? Ou juste ceux soldé par la province? Ou ceux répondant aux ordres de la provinces sans forcément être soldée par elle? Mais dans tout ça, je réfléchis surtout à quel poste non combattants sont nécessaire à faire tourner une armée. Qui vas on embarquer quand on part en campagne/mission/déplacement. Palfrenier? Chirurgiens Barbiers? Page? Cuisto? Bon derrière tout ça, y'as le fait que je me tate un peu à me faire quelques figurines "du train" pour le plaisir. Mais je me demande les quelles sont crédibles à associer à un régiment particulier, les quelles présenter comme suivant un héros/personnage ou directement fournie par le prince... quitte après à transiger un peu pour des besoins narratifs, Voir si je fait plutôt des figu associé à des unités, un train général, un peu des deux... Il y a 10 heures, Captain Frakas a dit : Les armées sont également suivies par tout un tas de marchands ambulants, de gaillards et de gaillardes prêts à monnayer aux soldats leurs services de différente nature ainsi que de profiteurs en tout genre. La seconde édition du jeu de rôle avait dédiée une carrière à cela, si ma mémoire est bonne. Oui! Ca c'est encore une autre partie mais qui serait aussi amusante à faire: les gens qui suivent l'armée d'eux même! Tient, un prêtre de Morr? On le met ou? Sollicité par la province? Embarqué par le commandant en charge? Venu de son propre chef? Bref, j'essaye de définir la liste des besoins logisitiques et les personnages qui les remplissent, avant de classer ces personnages en temps que "dotation provinciale" "membre non combattant d'un régiment" "suite d'un personnage" ou "suiveur de l'armée" Modifié dimanche à 01:18 par Miles Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Captain Frakas Posté(e) dimanche à 13:31 Partager Posté(e) dimanche à 13:31 (modifié) 1) a) Les uniformes des armées de l'Empire sont directement inspirées des habits exubérants qui rendirent célèbre les lansquenets, mercenaires d'Alsace, de Bade, du Wurtemberg et du Tyrol que prit à son service l'empereur Maximilien. Cet uniforme, qui outrageait par sa frivolité les bonnes mœurs, était payé par les lansquenets eux-mêmes. De même que leurs armes, leurs armures... Leur solde le leur permettait et leur statut les y autorisait. (J'ajoute qu'il n'y avait pas de prêt à porter, notion relativement spécifique à notre société de consommation). b) Des articles de guerre étaient édictés, auxquels devaient se conformer les lansquenets. Typiquement, ils exigeaient des lansquenets que nul brûlât ou pillât quoi que ce soit sans en avoir reçu l'ordre ; que nul prît quoi que ce soit en territoire ami sans payer pour cela. Des officiers étaient présent pour s'assurer du respect des articles et pour policer la troupe et ceux qui suivent la troupe. Vivre en terrain ami implique que la troupe paie pour ses besoins. La solde est sensée lui assurer qu'elle le puisse. Un pays n'avait toutefois que rarement une production alimentaire suffisante pour pouvoir entretenir longuement un important rassemblement de soldats. 2) les armées mercenaires de garnison étaient très peu nombreuses, exceptionnelles même sans doute. Les mercenaires étaient plutôt enrôlés pour trois à six mois. Il y a, au sein de l'Empire, l'exemple -assez spécifique- de l'armée noire de Mathias Corvin, qu'il faut creuser. https://fr.wikipedia.org/wiki/Armée_noire_de_Hongrie https://en.wikipedia.org/wiki/Black_Army_of_Hungary Ainsi que celles des compagnies françaises d'ordonnances, qui me semblent peut être moins adaptées à celle de l'Empire. Pour la garnison et la guerre défensive, les bandes féodales (l'ost du bon et de l'arrière ban, les milices bourgeoises et les levées paysannes) sont parfaitement opérantes. Sans coût pour le seigneur pour leur durée d'obligation (une quarantaine de jours en France, sans doute variable dans l'Empire), il doit, passé ce délai, dédommager les bandes qui restent à ses côtés. Des hommes-bêtes qui surgissent d'une forêt sans signes avant-coureurs ou des hordes de morts-vivants qui sortent soudainement de terre amèneront le prince à convoquer son ban et son arrière ban et les communautés menacées à se retrancher derrière leurs murs et à œuvrer à la défense de leur terre, en attendant que des moyens plus conséquents puissent être mobilisés. 3) Il y a de tout. Il y a des chevaliers au sens seigneurial. Certains d'entre eux rejoignent des ordres militaires au service d'un culte (l'ordre du loup blanc est un ordre militaire, et souverain, au service du culte d'Ulric), ou des ordres chevaleresques au service d'un prince (l'ordre des chevaliers panthère de Middenheim est au service du Graf de Middenheim) ou au service d'une conjuration (au sens étymologique, d'un engagement de pairs les uns pour les autres). Warhammer Armées le dit bien : The Empire is the largest and most powerful realm in the Old World. It comprises several states or provinces ruled by Electors; provincial nobles responsible for electing one of their number as Emperor. The Emperor maintains his own Imperial Guard, and each province within The Empire also raises small standing armies, supplemented by town militia and peasant levies. In addition to these forces, there are the feudal retinues of provincial nobles and the various secular and religious orders of knighthood. Les chevaliers, au sens seigneurial, servent leur seigneur selon le droit féodal, au sein des bandes féodales. Ceux des ordres chevaleresques le servent de façon similaire, si ce n'est que les statuts de leur ordre peuvent en exiger d'avantage ou, du moins, en exiger autrement que le droit féodal. Il arrive que ces bandes soient grossies de nobles qui rejoignent l'aventure pour le plaisir, sans obligation (ils sont aussi libres de partir qu'ils étaient libre de venir) et sans solde. En 1552, par exemple, quatre cents gentilshommes anglais se plaisent à prêter main forte à l'armée française pour prendre les Trois-Évêchés, en Lorraine, dans l'Empire. Pour les ordres militaires, bien souvent monastiques, l'on se rapproche d'une armée permanente. De même que pour les monastères, les moniales et les abbayes, il revient sans doute aux ordres eux-mêmes d'assurer leur aptitude à rejoindre les champs de bataille dans les meilleurs délais et à y combattre. Modifié hier à 01:51 par Captain Frakas Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Captain Frakas Posté(e) hier à 02:16 Partager Posté(e) hier à 02:16 (modifié) Je vais éditer ce message au fur et à mesure : VIEILLES BANDES FÉODALES Ban & arrière ban Chevaliers féodaux, Stadtknechtes Ces chevaliers de la noblesse féodale et ses serviteurs et vassaux des territoires de l'empire constituent le cœur de la cavalerie des princes électeurs. Certains de ces barons belliqueux sont désignés du peu reluisant vocable de Raubritter ou chevalier-brigand. (WFB3, WA, p. 56.) Levées paysannes, Landesturm (infanterie, lanciers, archers) En temps de guerre, la paysannerie est rassemblée en de telles levées au sein de chaque territoire. (WFB3, WA, p. 57.) Dans l'Empire, l'arc est l'arme classique des roturiers et ces troupes paysannes mobilisées qui n'ont ni entraînement, ni discipline formels, et se battent avec leur équipement personnel, sont normalement organisées en petits groupes de tirailleurs pour soutenir les régiments au combats. (WJBF6, WE, p. 7.) Contingent de cavalerie légère La cavalerie légère entretenue de façon permanente par les ligues provinciales est connue sous le nom de Rennfahne. Cette avant-garde peut être identifiée par son étendard, aux armes de la ligue. Pour constituer ce contingent, les cités franches et bourgs francs qui échappent à l'autorité des princes, recourent significativement aux « pauvres chevaliers », fils de la petite noblesse désargentée sans espoir d'héritage ni d'ascension sociale et que la recherche de fortune amène à croiser le pays comme chevaliers-brigands. Parce qu'ils n'ont trop souvent guère les moyens de procurer une coûteuse armure lourde à leur destrier, ces « lances franches » chevauchent à l'avant-garde et tirent parti de la mobilité due à leur infortune. À titre d'exemple, le contingent permanent personnellement entretenu par le comte de Whisenland et par le Graf de Stirland est de cinquante cavaliers chacun. Cavalerie légère, Kriegsritter (arbalétriers, lanciers) Ce contingent montée est entretenue par les États. Il joue une part vitale dans le maintien de la paix impériale et complémente utilement, dans les batailles, la chevalerie plus lourdement armée. (WFB3, WA, p. 56.) Ordres chevaleresques Chevaliers, Hohensknechtes Les ordres séculiers de chevaliers comprennent ceux de la Reiksguard, des Grands Heaumes (une unité d'élite composée de chevaliers de stature exceptionnellement haute), les chevaliers Panthère (voués au combat du Chaos), la légion du Griffon (d'origine kislévite), les chevaliers de la Rose noire, de l'Épée brisée... Les chevaliers du cercle intérieur constituent l'élite de ces ordres. (WFB3, WA, p. 57.) Reiksguard à pied (infanterie, archers). Le contingent d'infanterie de la Reiksguard. Il protège l'empereur, prince du Reikland, en son palais comme sur le champ de bataille. (WFB3, WA, p. 57.) Milices Milices bourgeoises (infanterie, lanciers, piquiers, hallebardiers), Erzatsolder La population urbaine est constituée en milice pour soutenir l'armée de métier en temps de guerre. La cité de Nuln est célèbre pour ses piquiers. (WFB3, WA, p. 57.) Milices paysannes du Mootland (infanterie, archers, lanciers, frondeurs) Un rassemblement de paysans et de villageois en bonne condition physique est tenu de défendre son pays contre les incursions ennemies. (WFB3, WA, p. 148.) Milices naines (épéistes, arbalétriers, lanciers) Forestiers ORDRES MILITAIRES Templiers, Ritterbruden Les ordres militaires comprennent des confréries templières telles que l'ordre du Cœur ardent et du Sang de Sigmar, au service de la déité tutélaire de l'Empire, les templiers du Loup blanc, au service du culte d'Ulric, ceux de l'ordre du Soleil au service de Myrmidia ou encore la sinistre Garde noire de Mórr ou les chevaliers de la Lumière éternelle... Les templiers du cercle intérieur constituent l'élite de ces ordres. (WFB3, WA, p. 57.) MERCENAIRES Régiments d'État Les régiments (Haufen) d'État sont des régiments permanents dont la troupe est recrutée parmi les fantassins mercenaires qui offrent leurs services pour une solde mensuelle de 3 co, 35/-. Ils sont constitués en compagnies (Fähnlein, mot constitué de Fahne, « bannière ») de cent et vingt à trois cents hommes. Les bannières d'un régiment d'État sont communément celles des bourgs et des cités impériales qui recrutent ces mercenaires comme contribution à leurs obligations au sein de la ligue provinciale. Chaque compagnie est subdivisée en pelotons d'une dizaine d'hommes (Rotte). Les régiments d'État assument les fonctions de garde, de pompiers et de force de police, ainsi que d'armée prête à parer toute invasion. L'arme probablement la plus répandue est la hallebarde. Les autres armes en service sont l'arquebuse, l'épée et, notamment dans les territoires septentrionaux, l'arc. (WJBF4, WAE, p. 51.) Parce que chaque mercenaire doit s'habiller, s'armer et se nourrir lui-même, les régiments d'État sont toujours accompagnés d'un train (Tross) de cantiniers et de prostitués, ce qui nécessite en soi organisation et maintien de la discipline. C'est pourquoi le train lui même est doté de sa propre structure de commandement. En parallèle de l'organisation régimentaire, les mercenaires des régiments d'État maintiennent leur propre organisation informelle, symbolisée par l'assemblée générale (Gemein) et leur propre court martiale, présidée par un écoutète (Schultheiß). Il revient au prévôt (Provost) de policer les rangs. À titre d'exemple, le contingent permanent personnellement entretenu par le comte de Whisenland est de trois cents et cinquante fantassins. Celui du Graf de Stirland de quatre cents fantassins. Infanterie (épéistes, lanciers, hallebardiers) Chaque principauté de l'Empire maintient une petite armée permanente composée d'un fort contingent d'infanterie bien entraînée. Le gros de cette infanterie est constitué de hallebardiers (Helblitzen). (WFB3, WA, p. 57.) Ces soldats sont les plus communs, car il est demandé à chaque prince électeur de posséder une force permanente de hallebardiers. Les lanciers sont eux plus communs dans les États septentrionaux. (WJBF6, WE, p. 6.) Arquebusiers, Hakbutschutzen Les troupes armées d'arquebuses que l'on charge par le canon, ou « Bakbuts » comme on les surnomme en Reikspiel. Les Hakbutschutzen sont recrutés par certains États pour renforcer les arbalétriers. (WFB3, WA, p. 57.) Archers C'est une spécificité des États septentrionaux, réputés pour leur usage de l'arc, que de traditionnellement posséder une grande proportion d'archers dans leurs armées permanentes. (WJBF4, WAE, p. 63.) Lansquenets (chiens de guerre du Reikland, du Stirland, du Talabecland et de Nuln) Les régiments de lansquenets (Landsknecht, « serviteur du pays ») consistent normalement en dix Fähnlein elles mêmes divisées en Rotten de dix lansquenets soldés de 3 co, 35/- chacun par mois ou de six doubles-soldes (Doppelsöldner) soldés 7 c.o. chacun par mois. Un régiment de lansquenets est donc constitué d'environ quatre mille fantassins, divisés en compagnies de quatre cents fantassins, elles-mêmes subdivisées en une quarantaine de pelotons de dix fantassins. Il est habituellement recruté pour une campagne de trois à six mois. L'ordre de bataille des lansquenets, inspiré de celui des confédérés, est un carré d'infanterie appelé gevierte Ordnung. Les piquiers et les hallebardiers forment le cœur du carré et les joueurs d'épée se positionnent à l'avant et à l'arrière. Derrière les deux premiers rangs de double-soldes, se tiennent les enseignes des trois premières Fähnlein. Suivent une forêt de piques au milieu desquelles se trouvent les quatre compagnies du milieu. À l'arrière se tiennent les trois enseignes des troupes les plus expérimentés du régiment, positionnées à l'arrière pour donner du cœur à l'attaque et décourager les plus poltrons de déserter les rangs. Autour de ce bloc, se tient un mur d'arquebusiers, bénéficiant de la protection des piquiers, et positionnés de la façon la plus efficiente pour l'attaque. Une armée de lansquenets est précédé par un énorme train de chariots, de provisions et de parasites. Les capacités de l'État ne lui permette que de payer la solde des mercenaires et d'assurer la logistique de l'artillerie et l'équipement nécessaire aux machines de siège et à leurs servants, le train est constitué à l'initiative individuelle des lansquenets. Le train assurer l'approvisionnement des lansquenets en nourriture et pourvois à leur confort. Son succès est assuré par les « lois » de l'offre et de la demande : lorsque la nourriture est moins accessibles, son prix monte et les marchands sont plus incités à en vendre au train. Tant que les lansquenets reçoivent leur solde, ils peuvent espérer se nourrir. Il y a en moyenne un charriot pour dix lansquenets, pour transporter leurs biens personnels, leur butin et leurs provisions. Les plus fortunés des lansquenets ont besoin de plus de charriots pour transporter de plus importants biens. Les plus fortunés des double-soldes étant suivi par des charriots transportant tentes, mobilier, literie, tapisseries murales, et provisions pour eux-mêmes, leurs femmes, leurs serviteurs et les autres membres de leur famille. Chaque lansquenet devant se maintenir lui-même en pleine condition opérationnelle, il emploie divers serviteurs afin de cuisiner pour lui, établir son campement, repriser et nettoyer ses vêtements, et soigner ses plaies et ses maladies. Femmes et garçons remplissent ces rôles. Le maintien de l'autorité dans le train est vital. Sa responsabilité est confiée aux « sergents des chiennes » (Hurenweibel) qui doivent également manœuvrer le train en présence de l'ennemi et le tenir hors de sa porté. Piquier La cité de Nuln est réputée pour la qualité de ses piquiers, disciplinés et inébranlables. Ils sont parfois soutenus par des unités de hallebardiers ainsi que des joueurs de haches ou d'épée à deux-mains. (WFB3, WA, p. 162.) Hallebardiers Joueurs d'épée Les joueurs d'épée sont armés d'une énorme épée à deux mains aux moulinets dévastateurs. (WJBF4, WAE, p. 62.) Arquebusiers Reîtres (chiens de guerre impériaux) Les pistoliers à cheval ou reître (Reiter, « cavalier ») constituent des escadrons d'élite de cavalerie mercenaire subdivisés en cornettes. À la différence des lansquenets hauts en couleurs, les reîtres portent des vêtements noirs et noircissent leurs armures et occasionnellement même leurs visages pour sembler plus terribles encore. Les reîtres affectent à leur train des chariots de vivres et de butin, mais aussi de forges mobiles aptes à ferrer les chevaux et à réparer les armes et de boulangeries mobiles pour cuir le pain au bivouac. Enfin, certains chariots sont chargées des faulx permettant à certaines cornettes de faucher les champs et de ravir les récoltes lorsque leurs vivres viennent à manquer, sous la protection d'autres cornettes armées. Rapides et mobiles, les escadrons de reîtres peuvent nettoyer en quelques heures un canton de ses récoltes, se porter promptement ailleurs et vivre indéfiniment sur le pays. Pistoliers à cheval Les pistoliers sont de jeunes nobles qui doivent prouver leur valeur pour acquérir leurs éperons de chevaliers. Ils combattent avec une paire de pistolets. (WJBF4, WAE, p. 61.) Confédérés (chiens de guerre du Mootland) Les confédérés se rassemblent en régiments de mil fantassins. Un quart des effectifs est composé d'archers, les trois quarts restants sont formés de piquiers. Leur formation de combat, le carré Mootlander, ou « buisson d'épines », formé de plusieurs rangs de piques rend leur régiment quasi impénétrable. Une rangée d'archers est disposée devant chaque côté du carré, de sorte à tenir sous leur portée toutes les directions possibles. Si l'ennemi attaque au corps à corps, les archers se réfugient dans le taillis de piques. Mootlander (archers, piquiers) Les Mootlander ne sont pas une gent belliqueuse, mais certains semi-hommes ne parviennent à s'établir paisiblement dans le Moot. Ces « drôles d'amateurs d'aventure », comme ils sont trivialement désignés, décident souvent de se réunir, de parcourir le Vieux Monde et d'offrir leurs services de mercenaires. (WFB6, A2004, p. 58.) Chiens de guerre ogres Mercenaires ogres (fantassin, joueurs d'épée, hallebardiers, lanciers, joueurs de fléaux) Maints ogres se font mercenaires, notamment du fait de l'idée qu'ils se font de la vie idéale comme celle d'un combat constant ponctué de fréquents repas (vel vice versa). Ces activités n'étant, de toute façon, point exclusives pour un ogre. (WFB3, WA, p. 151.) Chiens de guerre nains Sapeurs nains Les sapeurs nains sont recrutés pour le renom de leur expertise en poliorcétique. (WFB3, WA, p. 150.) Mercenaires nains (fantassin, armes à deux-mains, lanciers, arbalétriers) Comme les nains aiment les richesses, le pillage et les batailles, nombre d'entre-eux sont volontaires pour combattre contre une solde ou une part du butin. (WFB3, WA, p. 150.) Autres chiens de guerre impériaux Franches-compagnies Les bandes d'aventuriers et de jeunes sans attaches qui cherchent fortune ramènent au pays cicatrices, histoires d'aventures et inaptitude totale à se réinsérer dans la société ou à accepter la discipline des régiments d'État. Ce sont de bons combattants, mais aussi des fauteurs de troubles. Les princes enrôlent avec sagesse ces troupes sacrifiables afin d'avoir un contrôle sur ces fortes têtes et de diminuer le brigandage auquel elles s'adonnent. (WJBF6, WE, p. 7.) Francs-forestiers (Freiforstjaeger) Les profondes forêts de l'Empire sont peuplées de forestiers et de chasseurs. Ceux d'entre eux qui cherchent l'aventure rejoignent les compagnies mercenaires de francs forestiers. (WFB3, WA, p. 162.) Lancier Les lanciers sont des troupes très répandues dans les provinces septentrionales. (WJBF4, WAE, p. 62.) Chiens de guerre tiléens Arbalétriers, Armbrustschutzen Les États recrutent des chiens de guerre (Krieghund) pour pourvoir en arbalétriers leurs armées. Certains d'entre eux, tels que la cité de Nuln, préfèrent se tourner vers des arbalétriers tiléens. (WFB3, WA, p. 57.) Les arbalétriers des cités-États de Tilée comptent en effet parmi les plus fameux et des plus répandus mercenaires du Vieux Monde et sont souvent recrutés par la Bretonnie et par l'Empire. (WFB3, WA, p. 161.) Les arbalétriers estaliens et des Principautés frontalières sont également nombreux. (WFB6, A2004, p. 58.) Piquiers La pique est l'arme de prédilection en Tilée : deux fois plus longue qu'une lance et plus longue qu'une lance de cavalerie, le front d'une unité de piquiers offre un impénétrable mur d'acier. (WFB6, A2004, p. 58.) Influencés par la Tilée, les territoires méridionaux de l'Empire substituent souvent à la lance une arme d'hast similaire vulgairement appelée « demie-pique ». (WJBF6, WAE, p. 6.) Duellistes De petites unités de tirailleurs légers sont normalement employés pour protéger les flancs des unités de piquiers. (WFB6, A2004, p. 58.) SUIVANTS DU TRAIN, AUXILIAIRES ET SUPPLÉTIFS DE L'ARMÉE Chasseurs montagnards, Bergjaeger Les chasseurs et pisteurs des massifs de montagne de l'Empire sont très appréciés des armées impériales comme éclaireurs. (WFB3, WA, p. 58.) Chasseurs silvestres, Forstjaeger (archers, lanceurs de javelots) L'Empire est couvert de maintes forêts denses et vastes. Les forestiers expérimentés qui habitent ses profondeurs sauvages vivent de la chasse et sont appréciés des armées impériales comme tirailleurs. (WFB3, WA, p. 58.) Les trappeurs et les chasseurs des provinces septentrionales, comme l'Ostland, sont souvent enrôlés pour former ces unités. (WFB6, WE, p.7.) Flagellants, Fleglers Les flagellants appartiennent à des sectes religieuses fanatiques que l'on croise communément au travers des pays de l'Empire. S'infligeant à eux-mêmes divers supplices corporels, les flagellants se regroupent en bandes et suivent les armées impériales à la batailles, tournant leur frénésie contre l'ennemi. (WFB3, WA, p. 58.) Éclaireurs du Mootland (arc court) Les forestiers du Mootland et ceux de communautés isolées se voient confier les missions d'éclaireurs et de tirailleurs. Comme l'on peut s'y attendre, il sont également d'excellents fourrageurs. (WFB3, WA, p. 148.) ARTILLERIE ET ENGINGNERIE Batterie de grands canons du Reik, Reiks Kanone Batterien Batterie de canons à répétition Feu d'enfer Mortier Catapulte à marmite escorteurs chariot de guerre tank à vapeur bombarde naine batterie tonnerre de feu Modifié il y a 1 heure par Captain Frakas Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Captain Frakas Posté(e) hier à 02:26 Partager Posté(e) hier à 02:26 Le 05/07/2025 à 21:43, HFXleol a dit : Les armées humaines semblent bien désavantagées face aux méchants. Les morts-vivants ont besoin de rien, les orcs pillent et mangent tour ce qu'ils trouvent, pareil pour les Ogres et Hommes-bêtes. Sans compter leur capacité à vivre à la dure. The rag-tag followers that trail after an Orc & Goblin army are vile, destitute and quarrelsome beyond even the disgustingly low standards set by Orc warriors. Heavy and multiple-dugged Orc womenfolk make up the majority of the baggage train. Their mewling off-spring, the aged, whelps and assorted hangers-on make up the rest. Those too infirm, old or stupid to be drafted in to the army can make a good living by 'workin' the baggage'. Drivers, cooks, leather workers, smiths, bunko-anists, and all manner of worthless scum can profit by hanging round the army. Taking advantage of the confusion, they loot, pillage, burn and steal along with the rest of the army as well as sharing in the fun (torturing captives) and spoils (eating captives). An Orc baggage train is represented by a single squalid wagon and 5 followers for every 1000 points worth of rank and file troops in the army. Baggage followers always include at least 1 Orc and 1 Goblin model, plus any other models of a goblinoid race represented in the army. Baggage followers are unarmoured and use improvised weapons . Undead armies do not hire mercenaries or need baggage trains. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zangdharr Posté(e) hier à 06:53 Partager Posté(e) hier à 06:53 Il y a 4 heures, Captain Frakas a dit : Je vais éditer ce message au fur et à mesure : Tu fais pas une section troupes professionnels permanentes? Les cité états et provinces de l'Empire semble bien avoir des troupes permanentes. Ce qui semble être la moindre des choses pour réagir promptement aux menaces propres au monde de warhammer évoquées ci dessus (incursion de mort vivants, d'hommes bêtes ou de peaux vertes au cœur du territoire) Je ne trouve pas d'info par contre, que ce soir sur les tercios espagnole ou les compagnie d'ordonnance française, sur la durée d'engagement minimum d'un soldat. Est ce qu'il y'en a une d'ailleurs ? Le légionnaire impériale romain (cas extrême) rempilait pour 25 ans lui x) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HFXleol Posté(e) hier à 09:21 Partager Posté(e) hier à 09:21 En reprenant un peu ce qui est écrit dans la bibliothèque impériale: Artillerie: -L’École Impériale d'Ingénierie fournit à l’armée des machines expérimentales comme les Batteries Tonnerre de Feu ou les Tanks à Vapeur blindés. -L’artillerie fait aussi partie des troupes régulières. Les Canons et les Mortiers sont fabriqué sur commande à Nuln, aux frais du Comte Électeur. Cavalerie: -Des érudits auraient calculé que chaque Chevaliers nécessite une douzaines de citoyens de l’Empire pour le soutenir. -Les familles nobles et les différents cultes de l’Empire supportent les Ordres de Chevalerie avec de nombreuses contributions et autres donations -Les Pistolkorps, organisation semi-officielle parrainé par l'Empereur, l'École Impériale d'Ingénierie et plusieurs Ordres de Chevalerie. -Les Escorteurs, les nobles les payent grassement pour qu'ils enseignent la guerre à leur fils Officiers: -La plupart des [commandants] nommés par un Comte Électeur afin de commander une armée seront de sang noble, et auront été éduqués à cette intention dès leur plus jeune âge -La plupart des Capitaines sont de robustes soldats professionnels qui ont survécu à des dizaines de batailles Troupes: -Les troupes régulières sont des soldats professionnels à temps plein généralement issus de la paysannerie et de la bourgeoisie, prêt à répondre à tout instant à l’appel aux armes. En plus de former une armée de métier capable de repousser toutes attaques, les troupes régulières font également office de guet, de garnisons et de police, patrouillant les frontières et repoussant les envahisseurs -Les Comtes Électeurs dirigent leurs propres hommes, ainsi chaque province et cité-état dispose de sa propre armée de soldats professionnels, équipés et payés, pour défendre ses terres -En plus de constituer une armée permanente, les troupes régulières font aussi office de garde dans les villes en y faisant appliquer la loi. -Dans le cas de provinces, ces contingents sont aux ordres du Comte Électeur alors que dans les villes, ce sont les Bourgmestres qui les dirigent. -D’autres fonctions logistiques non liées au combat doivent également être accomplies au sein du régiment : il faut préparer la nourriture, réparer les armes, ferrer les chevaux, soigner les blessures, organiser le ravitaillement, lire les cartes… Ces tâches sont confiées aux soldats qui en ont les capacités ou prises en charge par ceux qui souhaitent éviter les interminables tours de garde et la corvée de creuser des latrines. Dans tous les cas, elles permettent de monter légèrement en grade. -Au camp, le Vétéran est habituellement le superviseur des recrues et des soldats moins expérimentés Elite: -Les soldats voués à rejoindre les rangs des Joueurs d'Épée sont choisis personnellement par les Comtes Électeurs au sein des troupes régulières les plus aguerries. -Ces unités, très couteuses à équiper et à entretenir, Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dreadaxe Posté(e) hier à 09:39 Partager Posté(e) hier à 09:39 il y a 17 minutes, HFXleol a dit : En reprenant un peu ce qui est écrit dans la bibliothèque impériale: Tu veux dire à Wikipédia qui fait assez mal son boulot c'est-à-dire bien différencier les différentes sources plutôt que faire un méli-mélo dans lequel on ne sait pas exactement l'origine de l'information Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Captain Frakas Posté(e) hier à 10:49 Partager Posté(e) hier à 10:49 (modifié) Il y a 5 heures, Zangdharr a dit : Tu fais pas une section troupes professionnels permanentes? Je le ferai progressivement, rubrique « régiment d'État ». C'est un travail en cours. Les milices et les ordres sont aussi des troupes permanentes. les mercenaires et les ordres sont aussi des troupes professionnelles. J'essaie d'abord de compiler les troupes que l'on voit dans les différents suppléments d'armées. Les noms pseudo-allemands proviennent de la 3e édition. Modifié hier à 12:53 par Captain Frakas Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Miles Posté(e) hier à 14:07 Auteur Partager Posté(e) hier à 14:07 (modifié) Il y a 13 heures, Captain Frakas a dit : Chevaliers féodaux, Stadtknechtes Ces chevaliers de la noblesse féodale et de ses suivants des territoires de l'empire constituent le cœur de la cavalerie des princes électeurs. Certains de ces barons belliqueux sont désignés du peu reluisant vocable de Raubritter ou chevalier-brigand. (WFB3, WA, p. 56.) Je me pose la question concernant ces derniers: Passé la V3 est ce qu'ils n'existent plus ou sont simplement invisibilisé? Dans le premier cas, ça voudrait dire que l'intégralité de ces chevaliers servent dans les ordres de chevaleries, même si on peut envisager que certains ordres soit très "militarisé" et d'autres très lâches en terme d'organisation (jusqu'a "rassemblement des chevaliers du coin). Dans le second cas: J'aurais vraiment jamais assez de figurines ^^' Pour l'appelation "Ordres Militaire" je pense qu'on peu laisser "ordres chevalresque" pour tout les ordres, religieux ou pas. En réalité, pour ce qui nous préoccupe, je pense pas que la distinctions entre ordre laïcs et religieux nous importe beaucoup si? Il y a 13 heures, Captain Frakas a dit : Franches-compagnies Tu les places dans les Milices? Je sais que le livre d'armée V6 ou elles apparaissent en premier les classent dans les troupes "milice" par opposition aux troupes professionelle, mais la description qui en est faites, à savoir des bandes d'aventuriers, de spadassins, de coupe jarrets et autres traines sabres professionels sans attache semblent plutôt les porter vers la catégorie "mercenaire" non? A contrario des Milices qui ont une attache géographique forte... Et quand on en viendra aux troupes "professionnelle" Dans quoi ranger une troupe permanente, soldée à l'année mais par un noble subalterne? Bande Féodale? Armée régulière provinciale? Et une unitée paramilitaire entretenue à l'année mais dont la guerre n'est pas la raison d'être? Type patrouilleurs, gardes forestiers, guêt urbain(police municipale)... Ca y est, je digresse là... Modifié hier à 15:41 par Miles Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Captain Frakas Posté(e) hier à 16:35 Partager Posté(e) hier à 16:35 Il y a 2 heures, Miles a dit : Tu les places dans les Milices? Je sais que le livre d'armée V6 ou elles apparaissent en premier les classent dans les troupes "milice" par opposition aux troupes professionelle, mais la description qui en est faites, à savoir des bandes d'aventuriers, de spadassins, de coupe jarrets et autres traines sabres professionels sans attache semblent plutôt les porter vers la catégorie "mercenaire" non? A contrario des Milices qui ont une attache géographique forte... Tu as raison. J'ai déplacé... (Mais rien n'est vraiment fixe pour l'instant...) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Captain Frakas Posté(e) il y a 4 heures Partager Posté(e) il y a 4 heures Le 07/07/2025 à 08:53, Zangdharr a dit : Je ne trouve pas d'info par contre, [...] sur [...] les compagnie d'ordonnance française, sur la durée d'engagement minimum d'un soldat. Les vassaux du roi de France lui devaient, eux-mêmes et avec leurs propres hommes, un service non-soldé d'une quarantaine de jours par an. Ils pouvaient servir au delà, mais le service qui outrepassait l'obligation féodal, devait alors être soldé. Comme je l'écrivais toutefois, il arrivait que des gentilshommes qui n'y sont pas tenus rejoignent librement et sans solde, pour le simple plaisir de combattre, les armées royales. Comparée au service de quarante jours, la spécificité des compagnies d'ordonnance (qui sont des compagnies de chevaliers) est qu'elles sont soldées à l'année. Il y avait également les légions, fondées par François Ier. Elles étaient habituellement racolées pour cinq ans, renouvelables. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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