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Vers les étoiles


Méphisto666

Messages recommandés

ont tué mes parents et mon petit drère

Une petite faute de frappe !

Bon sinon la rencontre est assez surprenante, je dois dire que je m'y attendais pas ! Comme son abandon d'ailleurs :clap: Donc bien joué ! Les textes qui revelent des surprises sont pour moi les mieux !

Niveau forme, ca va, ca manque peut etre un peu description ( décors environnant ) mais rien de dramatique ! Allez souiteuh !

@+

-= Inxi, on attend les textes avec Warza :lol: =-

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J'aime bien ton texte! :(

Effectivement l'arrivée du chasseur est "brutal" , mais cela va dans le même sens que les faits: un homme venu de nul part par le plus grand des hasards! Dommage néammoins qu'il arrive au moment le plus évident (au moment où Kristof va mourrir) mais bon :lol: . Enfin dernière chose , c'est bizarre que le chasseur parle aussi peu d'aides éventuelles , alors qu'elles seront impérative afin de venir à bout de tout un groupe de barbares hmm? :clap:

Gromuel , bah oui comme tout le monde j'attend la suite! :(

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Bon, ben on en a déjà discuté, et je vais répéter ce que j'avais dit: Comme quelqu'un te l'avait déjà dit sur Warmania, les cris entraînants des loups, la plupart des gens les trouveraient plutôt effrayants. Ensuite, comment peut-on savoir que les flèches sont si aiguisées si elles sont dans le carquois?

Par contre, je trouve qu'il y a du style dans ta narration, il faudrait peut-être faire attention à ne pas donner la même importance aux détails qu'à l'histoire même.

Pour l'histoire, justement, ben il est peut-être un peu tôt pour la commenter, vu que là on n'en est vraiment qu'au tout début.

Greyhunter,

qui attend impatiemment la suite et le début de l'aventure elle-même!

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Eh bien, eh bien...je l'ai lu. C'est pas long remarque alors j'ai pas trop de mérite. :rolleyes:

Surtout qu'il n'y a pas grand besoin de se forcer pour lire ce texte au style vif, rapide mais qui garde assez de détails pour rendre les scènes intéressantes et les personnages attachants.

L'histoire reste pour l'instant assez "bateau", j'attends donc dans la suite de l'originalité. Courage! :lol:

Le Warza ('s back)

Modifié par Warzazatt
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Il revoyait tous ces moments de bonheur, qui, désormais, le hanteront jusqu'à sa mort. Il était si seul; seul dans un monde rude et cruel.

Les déscriptions sont toujours aussi bonnes :rolleyes: .

il resta étendu sous un grand être sauvage, frigorifié et tremblant.

Je pense que le hêtre (et pas "être" ^_^ ) n'est pas sauvage, une virgule serait donc bienvenue entre l'arbre en question et "sauvage", ce qui caractériserait plutôt l'agonisant :-x .

Kristof eut un choc, ce qu'il avait pris pour un jeune sapin s'avançait vers lui.

:wink: Le type doit vraiment être hirsute :wub: .

Il adressa un vif clin d'oeil à Kristof, puis il alluma rapidement un petit feu, qui réchauffa aimablement le jeune garçon.

Je crois savoir qu'un feu n'a pas de sentiment, il ne peut donc être aimable ^_^ .

J'aurais mis "efficacement", "rapidement", ...

A sa ceinture, pendait un large cimeterre d'acier, garni de glyphes et autres motifs et un grand un bel arc était solidement accroché à son dos, avec un carquois remplies de fines fleches aussi tranchantes qu'une épée.

La première virgule est inutile. Garnie. Une virgule serait par contre interessante entre "motifs", et "et" ^_^ .

Un carquois est maculin si je ne me trompe, et effectivement, il n'est pas facile de voir à travers, ce qui rend la remarque du Chasseur Gris à ce sujet plus que pertinente ^_^ .

Ne serais-tu pas sur la piste d'une bande de brigands ignares? Je me demande quel acte cruel auraient-ils pu encore commettre?"

"Je me demande quels actes cruels ils ont encore pu commettre." Ce n'est pas une question...

Il décida de dire la vérité, l'inconnu avait l'air sympathique, et puis de toute façon, il n'avait plus rien à perdre.

"à" Me semble mieux convenir. J'aurais écrit: "[...], l'inconnu ayant l'air sympathique, et le jeune garçon n'ayant plus rien à perdre."

une vie n'est pas toujours un lon fleuve tranquille

Il manque un "g" ^_^ .

-"On me nomme Vanarek. je ne suis qu'un humble chasseur

Majuscule.

d'avoir en quelques sorte trouvé un

Accord.

Pour ce qui est de la conduite de Vanarek, elle est un peu... hardie, téméraire, , quand même. J'espère que nous aurons d'autres clarifications sur sa prise de décision plus tard :o .

En attendant, je ne peux que féliciter l'auteur, qui décrit admirablement (un peu plus de déscription de la congélation de Kristof aurait été bienvenue mais c'est acceptable comme ça.)

En bref,

TH, qui attend la suite et se réjouit de voir ce qu'il adviendra de Magnus le Barbare ^_^ (c'était pas poétique, ça :lol: ?)

Modifié par Tano Heefa27
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Merci d'avoir pris le temps de me lire et d'avoir immortaliser vos avis ! :-x

Bon, ben on en a déjà discuté, et je vais répéter ce que j'avais dit: Comme quelqu'un te l'avait déjà dit sur Warmania, les cris entraînants des loups, la plupart des gens les trouveraient plutôt effrayants. Ensuite, comment peut-on savoir que les flèches sont si aiguisées si elles sont dans le carquois?

Au fait, je ne pensais pas aux loups...mais plutôt aux oiseaux nocturnes. Oui, oui je sais, ils ont les yeux jaunes et pas rouges ! Honte sur moi, effectivement. Pour le carquois, j'y avais pas fait attention. :wub:

L'histoire reste pour l'instant assez "bateau", j'attends donc dans la suite de l'originalité. Courage!

On va essayer ! :rolleyes:

Je pense que le hêtre (et pas "être"  )

Oulà, je dois sérieusement penser à m'inquiéter de ma santé, genre j'ai la vue qui baisse. Une belle boulette celle-ci, quand même. Autant pour moi.

Le type doit vraiment être hirsute

:lol:^_^

Je crois savoir qu'un feu n'a pas de sentiment, il ne peut donc être aimable

Bah, moi j'aime bien, c'est pa si moche, hein?

Pour les autres fautes, je corrige immédiatement. Encore merci d'être passés.

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Le style est bon et même très bon quand on se souviens de la toute première version de la première partie, et qui elle n'était déjà pas si mal... enfin bref ! On sent du travail et du progrès... peut-être du talent ?

Mais il y a encore des choses qui ne vont pas. Pour moi, tu es au stade déjà honorable ou tu sens la richesse de la langue française et que tu parviens à bien l'utiliser, mais surtout dans un but esthétique. Je veux dire que parfois je sens que tu écris ça parce que c'est joli sans qe ça traduise pour autant ta vision précise des choses. Pour chaque description, il faut que tu approfondisse la tentative de retranscrire l'ambiance précise que tu as en tête, et que l'esthétisme serve encore plus le sens - car je ne dit pas qu'il ne le fait pas encore.

A certains moments, il pouvait distinguer de grands yeux jaunes dont les propriétaires hululaient lentement, baignant la nature de leur douce mélodie si entrainante.

Par exemple là, le mot "propriétaire" est très plat pour servir l'ambiance que tu veux donner. L'inquiétant propriétaire, sans être mieux, puisque que je ne connais pas l'image que tu as en tête, servira déjà mieux une certaine ambiance que propriétaire tout court. Le mot "propriétaire" en lui même créer déjà une image qui n'est pas forcémment celle que tu as en tête, peut être devrais-tu remodeler tout ça pour mettre "vieux hiboux" à la place ou autre chose qui convienne mieux à faire passer ce que tu souhaite faire passer...

De même, "douce mélodie entrainante" ne va pas très bien... je pense que c'est possible, qu'une mélodie soit douce et entrainante, mais écrit comme ça, je pense que le lecteur s'accroche à la phrase et ne comprend pas tout de suite. Là encore, creuse l'idée pour trouver un meilleur moyen de faire passer l'ambiance que tu as dans la tête.

Il y en a plusieurs des choses comme ça dans ton texte, que tu pourras trouver tout seul je pense. Mais le style est là, plus tu continueras à écrire et à retravailler mainte fois chacun de tes textes, plus il s'affinera.

Bonne continuation donc !

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  • 2 semaines après...

Mais j'ai bien aimé moi, c'est un bon début et j'attends la suite!

(c'est bon Méphisto, tu peux enlever ton arme, j'ai tout lus promis :wink: )

Je n'ai pas lut toutes les remarques donc il est possible que je répète ce qui a été dis mais je le dis quand même.

_Le mot pourceaux est utilisé plusieurs fois ce qui fait une certaine répétition dans le texte, c'est pas méchant bien sûr, c'est une petite remarque.

_Les descriptions ne sont pas longue, l'histoire avance assez vite ce qui est plutôt bien.

_Le chasseur, Vanarek, donne l'impression d'un personnage assez mystérieux, c'est bien mais on a envie d'en savoir un peu plus, pourquoi est-il tout seul dans cet endroit, a quoi sert un cimeterre pour la chasse, ... ^_^

Tout ça pour dire que j'ai aimée ces 2 premières parties et que j'attends la 3éme.

Bonne continuation dans ton texte.

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Salut,

Merci pour ces deux dernières réponses; je répondrai à Caladai que je bosserai et rebosserai donc le texte, toujours en vue d'une amélioration. Pour ce qui est du mystérieux Vanarek, vous saurez tout au prochain épisode ! ^_^

En bref, je vous remercie et j'essaierai de vous concocter une suite plaisante dès que possible ! Sur ce, je vous souhaite, une bonne année !

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  • 2 semaines après...

Et voilà, mes chers amis : la suiteuuuuuuuuh ! :D

-"Où allez-vous?"

Kristof venait de se reveiller brutalement, ayant entendu un bruissement de feuilles et le craquement de bois morts qui jonchaient sur le sol. Vanarek se retourna et son regard se posa sur le jeune homme désormais sorti de ses rêves. Des rêves sinistres, où il voyait son père défendre courageusement sa famille, et sa mère qui pleurait, serrant contre sa poitrine le petit Mathias. Son frère criait après lui -"Kristof, Kristof ! Au secours!"-, mais celui-ci n'arrivait pas et Mathias s'écroula finallement, incompris et innocent. Kristof suait encore et les battements de se coeur commençaient à diminuer. Il devait se montrer dur. Fort. Etre un homme.

-"Je pars chasser, je devrais être rentré d'ici trois petites heures."

Voyant le regard interrogatif du garçon, Vanarek ajouta:

-"Allons, Kristof. Tu as beaucoup crier et remuer, cette nuit; il te faut donc te reposer encore un peu avant de se remettre en route."

Sur ce, l'ombre du chasseur s'évanouit dans la brume matinale, parmi les aulnes et les bosquets. Les rares rayons de soleil qui parvenaient à franchir la brume éclairaient les alentours. Kristof put donc s'apercevoir que le vieux manteau de Vanarek lui servait de couette, le réchauffant un minimum car le feu était éteint et les braises éparpillées un peu partout au pied d'un grand chêne centenaire. L'homme devait préférer son arc à son épée pour chasser; car celle-ci reposait sur une souche humide, où des centaines de fourmis grouillaient. L'épée, ou plutôt le cimeterre, était de couleur noire, fine, longue et facilement maniable. Aux mains d'un tueur, elle devait s'avérer meurtrière, fendant l'air et mordant le chair. Kristof se jura d'éclaircir ses pensées dès le retour du chasseur. Ensuite, le garçon essaya de se lever, mais à la place retentit un juron: le froid le gelait jusqu'à la moelle, ses mouvements devenaient raides et douloureux. Kristof pensa alors qu'un peu de sommeil supplémentaire ne pouvait pas lui faire de mal. Il ferma les yeux, se recouvrit du manteau, puis sombra presque aussitôt dans le monde de l'oubli.

Kristof se reveilla de nouveau brutalement, avait-il rêvé ou les bruits n'étaient en fait que le long murmure du vent ? Pourtant, le jeune orphelin se sentait épié, observé. Qui était donc en train de l'espionner? Etaient-ce les loups ou une autre bête sauvage ? Etait-ce Vanarek qui revenait, malgré que seulement deux heures se soient écoulées ? Il s'agissait, peut-être, tout simplement d'un tour de son imagination. Il essaya de se rendormir, mais cela lui était impossible. Kristof prit donc son courage à deux mains et cria dans la brume:

-"Qui va là ? Signalez-vous !"

En guise de réponse, un oiseau frustré s'envola dans le ciel encore illuminé par la lune. Le jeune garçon tremblait, mais gardait néanmoins son précieux sang-froid. Il continua, d'une voix chevrotante, mais qu'il voulait assurée :

-"Je sais que vous êtes là ! Montrez-vous, je ne vous crains pas !"

Il avait dit ça en essayant de ne pas se montrer impressioné, après tout, il n'avait plus rien à perdre dans la vie. Il y eut alors une violente rafale de vent qui emporta un paquet de feuilles; et deux hautes silhouettes sortirent des ténèbres et s'avancèrent. A la lumière de la lune, Kristof vit qu'elles étaient bâties comme Vanarek: grandes, puissantes et fières. L'un des deux hommes avait de longs cheveux noirs, l'autre, quant à lui, possédait de magnifiques yeux bleus au regard pénétrant. Chacun avait, soigneusement rangée dans un fourreau, une longue dague et une arbalète à la ceinture. Kristof vit qu'ils continuaient à s'approcher; se sentant menacé, il sortit rapidement Carchost, l'ancienne épée de son père. Malheureusement, l'homme aux cheveux noirs se jeta violemment sur lui et attrapa avec force son poignet,celui tenant l'arme. L'autre, aux yeux bleus, se mit doucement à rire et lâcha d'une voie claire et jolie:

-" Tu ne croyais tout de même pas faire le poids face à nous ?"

Il détourna le regard devant celui haineux et froid de Kristof, ses yeux tombèrent alors sur le cimeterre de Vanarek. Son rictus disparut aussi vite qu'il était apparut, et il dit :

-"Regarde, Amel ! Là !"

L'autre lâcha aussitôt Kristof après avoir vu l'arme aux motifs anciens. Il se releva en serrant les poings, de véritables masses osseuses qui auraient pu broyer le nez et le crâne de Kristof. Le dénommé Amel siffla:

-"Je pense que tu nous dois certaines explications, mon petit !"

Avant même que Kristof put dire ou murmurer quelque chose, une quatrième personne vint s'incruster parmi les autres. C'était Vanarek. Il ramenait un renard et deux petits putois. Le chasseur se permit un sourire radieux et déclara à Kristof:

-"Bien, je vois que tu as déjà fait connaissance avec Amel et Rafaël. C'est parfait, les choses sérieuses peuvent désormais commencer !"

Modifié par Méphisto666
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Il continua, d'une vois chevrotante, mais qu'il voulait assurée :

J'ai vu que cette faute.

Sinon, je suppose que ces deux nouveaux hommes sont des renforts ! Enfin ca me parait logique ! Et puis, ca ne peut que aider :D

Comme l'enfant a mal dormi, j'aurai aimé que tu t'atardes plus sur le rêve! Donner des pistes sur est ce qu'il sera symbolique ? Est ce qu'il revit reelement la scene par un lien magique ou ce genre de chose :D

Bon j'ai fait le tour de ce que j'avais à dire ! Sinon c'est pas trop mal décris et on situe bien a la fois le perso et le lieu ! Donc j'aime bien :D Continues comme ca et donne moi une suite 8-s

@+

-= Inxi =-

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jonchaient sur le sol.

Le "sur" n'est pas nécessaire :wink: .

battements de se coeur commençaient à diminuer.

"son".

-"Allons, Kristof. Tu as beaucoup crier et remuer, cette nuit;

"crié", me semble-t-il. Je tien à dire qu'il est peu judicieux de lui conseiller de dormir alors qu'il part chasser: un chien errant pourrait attaquer le dormeur :wink: ...

de se remettre en route."

"te".

car le feu était éteint et les braises éparpillées un peu partout au pied d'un grand chêne centenaire.

Si en plus le feu est éteint, je donne vraiment peu de la peau de Kristof si il s'endort: les bêtes vont le bouffer dans son sommeil :( (sauf si il a vraiment de la chance...)

L'homme devait préférer son arc à son épée pour chasser;

Je crois que c'est assez évident, pas besoin de le signaler :) ...

où des centaines de fourmis grouillaient.

Ils ne sont pas en plein hivers :wink: ?

mais à la place retentit un juron:

Poussa, hurla, ... me paraissent plus adaptés ^_^ .

ses mouvements devenaient raides et douloureux.

"étaient" me parait mieux convenir.

Kristof pensa alors qu'un peu de sommeil supplémentaire ne pouvait pas lui faire de mal.

Comme dit plus haut, je pense le contraire 8-s . Enfin bon je ne lui en veux pas, il est fatigué :P ...

puis sombra presque aussitôt dans le monde de l'oubli.

Le sens de la métaphore m'échappe :clap: .

Kristof se reveilla de nouveau brutalement, avait-il rêvé ou les bruits n'étaient en fait que le long murmure du vent ?

Je vois bien la première virgule devenir un point.

"n'étaient-il" sonne mieux et me parait plus correct...

Etait-ce Vanarek qui revenait, malgré que seulement deux heures se soient écoulées ?

D'habitude, le sommeil fait perdre toute notion de temps :clap: (je suis bien placé pour le savoir :D ...) Je suppose que tu veux parler du fait qu'il suppose que deux heures se sont écoulées...

Il avait dit ça en essayant de ne pas se montrer impressioné, après tout, il n'avait plus rien à perdre dans la vie.

Ici aussi, je vois bien la première virgule se muer en point.

Il y eut alors une violente rafale de vent qui emporta un paquet de feuilles; et deux hautes silhouettes sortirent des ténèbres et s'avancèrent.

Un point suffirait amplement (me semble-t-il ^_^ .)

Avant même que Kristof put dire ou murmurer quelque chose, une quatrième personne vint s'incruster parmi les autres.

:D Dit donc on est pas dans une cours de récré, ici B) . J'aurais mit "rejoindre les autres". Sacré Meph, va ^_^ .

C'était Vanarek. Il ramenait un renard et deux petits putois.

Ils mangent du renard et du putois :P ? Sont pas vite dégoûté, ces gens ^_^ (respect 8-s .)

-"Bien, je vois que tu as déjà fait connaissance avec Amel et Rafaël. C'est parfait, les choses sérieuses peuvent désormais commencer !"

Yes, ça sent la fight :P ! Allez, dépêche-toi de poster la suite :wink: .

TH, qui aime toujours ce texte, quoi qu'on en dise :wub: .

Modifié par Tano Heefa27
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  • 2 semaines après...

Le grondement du tonnerre et les éclairs se rapprochaient assez rapidement, l'averse hivernale, quant à elle, trempait les pauvres marcheurs jusqu'à l'os. Leurs cheveux étaient sales, l'eau dégoulinait sur leur visage; ils devaient sans arrêt s'essuyer les yeux pour apercevoir les alentours. Ils avaient marché au moins trois heures depuis la dernière halte. Kristof marcha sur une pierre glissante, perdit l'équilibre et s'écroula dans une flaque glacée. Il tressaillit, s'ils n'avançaient guère à ses yeux, c'était de sa faute et à cause de ses nombreuses chutes. Le garçon releva les yeux, et put voir que Rafaël, le grand blond aux magnifiques yeux bleus, lui tendait la main, en le scrutant de son regard si pénétrant.

-"Kristof, saches qu'Amel et moi sommes désolés pour ce matin..."

Avec de nombreux gestes maladroits, Kristof lui fit comprendre que ce n'était rien; alors que Vanarek déclara d'une voix douce:

-"Bon, je pense qu'il est temps de se reposer ! Dormez un peu, je me charge de monter la garde..."

Kristof se mit à l'abri, sous un chêne solitaire, tandis que Rafaël et Amel se couchaient près d'un bosquet et essayaient de trouver le sommeil. Le jeune garçon ne parvenait pas à imiter ses deux compagnons, il pensait à son père, à sa mère, et à son frère, et le voilà qui recommençait à pleurer timidement. Plus jamais il ne chassera avec son père. Plus jamais il ne bordera son frère un soir d'été. Sa poitrine se levait et se rabaissait au rythme de ses pleurs, de moins en moins discrets. Kristof ne pouvait s'empêcher de se sentir si seul, abandonné; un morceau de son âme s'était brisé un soir d'hiver, où il était parti chasser. Soudain, une voix claire le sortit de ses souvenirs.

-"Le livre de la vie

Est le livre suprême

Qu'on ne peut ni fermer

Ni ouvrir à son choix

On voudrait revenir

A la page que l'on aime

Et la page du chagrin

Est déjà sous nos doigts "

Kristof se retourna. Vanarek pleurait. La vision du guerrier impénétrable et impassible que Kristof avait s'évanouit. A la place survint une vision d'un homme qui se montre dur mais reste aussi sensible qu'un autre humain.

-"Vanarek ?"

Celui-ci regardait Kristof comme un fils, quelques larmes perlaient sur ses joues froides.

-"Te voir ainsi m'afflige terriblement. Je pense enfin pouvoir te dire la vérité..."

Il poursuivit calmement:

-"Je suis moi aussi orphelin, Amel et Rafaël le sont également. Ce sont mes cousins. Nous menions une vie paisible et heureuse dans un village lointain, jusqu'à ce qu'une bande de brigands pille, brûle et tue..."

Sa voix était emplie d'émotions et de colère; Kristof pouvait sentir la peine qui émanait du coeur de son ami.

-"Nous suivons ces brigands depuis des mois, ces mêmes brigands que tu cherches. Cela est à l'origine de la croisée de nos chemins. Puissent nos bras avoir la force de venger ceux que nous aimions !

Ils avaient repris leur longue et épuisante marche; et les voilà qui arrivaient près de nombreux rochers sur lesquels le vent venait s'échouer. Le chemin s'engageait au milieu des gorges rocheuses encaissées, et longeait le lit d'un ruisseau asséché depuis longtemps. Il n'y avait aucun arbre, aucune plante. Tout était silencieux.

-"Cet endroit me donnne la chair de poule !", avoua Kristof en jetant autour de lui des regards inquiets. Ils pressèrent le pas.

Tout à coup, un long sifflement emplit le défilé. Deux hommes surgirent des rochers devant eux et leur barrèrent la route, tandis que trois autres avaient fait de même à l'arrière. Les deux premiers avançaient vers le groupe d'un air menaçant. L'un, de petite taille, à l'oeil exorbité ricanait, alors que l'autre, très grand êt vêtu d'une fourrure d'ours agitait sa lance sous leur nez. De l'arrière venaient un manchot, à la bouche entrouverte et édentée, d'où pendait un filet de bave, un jeune archer et un grand échalas.

-"Ils sont à nous ! Oui Tuons-les !", fit le nain.

Comme venant de nulle part, Vanarek avait bondi. Il empoigna le manchot et le fracassa contre la roche. Rapide comme l'éclair, il sortit ensuite un couteau, et l'envoya se planter dans la gorge du grand échalas qui bascula en arrière sous le choc, brisant dans sa chute son bouclier contre une pierre.

Amel avait tiré une épée impressionnante du fourreau de cuir qu'il portait à la ceinture. Un mouvement circulaire décapita l'archer. Un autre coup de haut en bas fendit presque en deux l'homme à la fourrure d'ours. Il ne resta bientôt plus que le nain. Rafaël l'attrapa sauvagement et lui brisa la nuque. Kristof rengea Carchost en contemplant les cadavres et le sang qui ruisselait sur le sol.

-"Qu'est ce que c'était ?"

-"C'était une embuscade, répondit Vanarek, et cela signifie..."

-"Que nous approchons du but", termina Rafaël.

Modifié par Méphisto666
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-"Qu'est ce que c'était ?"

Je la trouve un peu idiote cette question ! JE sais pas, ca fait gars qui a rien compris alors que c'est vraiment évident ce qu'il s'est passé ! Je verrai plus un pourquoi à la place d'un qu'est ce que ! Et encore ! Tu pourrais l'enlever !

Niveau de la forme, a part ca, j'ai pas de reproches, j'ai pas vu de fautes donc c'est nikel. Ca fait plaisir de voir un texte rigoureux donc continues comme ca et tout se passera bien !

Pour le fond, bon bah une petite demonstration des talents et la deduction qu'ils s'étaient rapprochés. Sinon rien de bien méchant ! La suite :D

@+

-= Inxi =-

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Merci à vous deux d'être passés et d'avoir laissé votre avis ! Pour la question, évoquée par Inxi, c'est pas faux; mais cette expression montre le choc du gamin. C'est vrai quoi, il se trouvait en plein milieu d'un combat, c'est à n'y rien comprendre ! :D Bref, si ça gène temps, je change !

Juste une petite remarque: Et la suite??????

Désolé, mais il va falloir que tu tiennes encore un peu ! Aller, courage ! :huh:

Méph'

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Ah, tu n'a pas corrigé la partie précédente, c'est pas bien! vilain garçon! :evilgrin:

Bon, sans ça, malgré une intrigue extrèmement classique et des méchants qui font un peu jeu vidéo, c'est agréable et bien mené.

Les descriptions sont assez bien faites, les personnages pas vraiment plats (même si notre héros ne manque pas d'être un classique du genre, ainsi que ces chers rodeurs).

En fait, même si jusque-là, c'est sans grande surprise, je sens qu'avec les bases que tu as posées, tu vas pouvoir partir dans des trucs complètement inattendus.

Donc, j'attends cette fameuse suite, qui nous surprendra, je l'espère!

Entre temps, bravo à toi pour ce début malgré tout très bien écrit! :D

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Aller, une petite suite pour garder la forme ! :lol:

Une haie d'arbres s'étirait devant eux, surplombant celle située de l'autre côté de la prairie. Elle s'étendait d'ouest en est avant de devenir plus touffue et de rejoindre l'orée de la forêt. Après celle-ci, le noir, les ténèbres. Aucun cri, aucun chant d'oiseau ne se faisait entendre. Juste le frêle et frais murmure du vent, accompagné par la faible lueur de la lune. La brume flottait pareseusement au- dessus du sol, et quelques lucioles scintillaient gaiement.

Amel, en tête, guidait le petit groupe d'une main experte. Aussi, il évitait les marais et les racines, en leur fesant prendre maints raccourcis à travers un dédale de sapins morts. Au moment où ils arrivaient à la prairie, Amel s'arrêta soudainement et ordonna aux autres d'en faire autant. Rafaël s'avança doucement, et en posant sa main sur l'épaule d'Amel, il chuchota:

"Qui a-t-il, Amel ? Je ne vois rien, je n'entends rien."

L'autre rétorqua aussitôt d'une voix rauque.

"Rafaël, tu sais très bien que je suis meilleur guide que toi ! Je propose qu'on fasse une halte, ici même."

Ce fut au tour de Vanarek de prendre la parole.

"Je suis de l'avis d'Amel, faisons une pause. Kristof pourra se reposer un peu..."

Raaël se mordit la lèvre, prétextant qu'il n'était pas prudent de se reposer à découvert, en plein milieu d'une prairie. Néanmoins, les ténèbres de la forêt ne les enchantaient guère, c'est pourquoi ils s'assirent en admirant les premières étoiles. Kristof les trouvait magnifiques, il passa son temps à les contempler, impressionné devant tant de beauté. Le jeune garçon ne parvenait pas à s'endormir, bien au contraire d'Amel et Vanarek qui dormaient profondément, leur poitrine se soulevant au rythme de leur respiration.

Un corbeau s'envola en croassant sauvagement. Kristof tressaillit, il aurait juré voir un mouvement parmi les arbres.

"Rafaël ?"

L'autre paraissait inquiet, et dans ses yeux bleus, on pouvait apercevoir une pointe de doute.

"Chut ! Ne bouge pas !"

Tout à coup, des hommes surgirent de l'orée de la forêt. Ils étaient au moins une trentaine et se rapprochaient rapidement. Kristof cria de surprise et la lumière dansa sur des lames mises au clair. Amel et Vanarek se réveillèrent et vinrent se placer aux côtés de Rafaël, qui avait déjà descendu l'homme de tête. Son arc était déjà bandé et n'attendait qu'à être utilisé. Vanarek dit à Kristof:

"Ne crains rien. Reste près de moi et il ne t'arrivera rien !"

Mais Kristof ne l'écoutait pas. Il regardait en arrière où d'autres hommes s'approchaient. Amel grogna et ses yeux pétillaient, ils étaient prêts à vendre chèrement leur peau ! Les brigands bondirent sur les trois chasseurs avec une rare violence. Une épée large fendit l'air en direction de Vanarek, et il la bloqua in extremis dans un violent effort, les cordes de son coup prêtes à rompre. Le chasseur riposta d'un revers de son cimeterre, son ennemi grogna de douleur et fut mis à terre. Un barbare à la carrure impressionnante souleva Kristof d'une main et le jeune homme s'envola et atterit brutalement sur le sol. Le barbare s'effondra à son tour, le crane brisé en deux par la lame d'Amel. Un autre hommr arriva dans le dos de Kristof. Il se figea soudain et tomba à la renverse en crachant de la salive rouge, une flèche de Rafaël était plantée dans son abdomen. Ce dernier fut violemment percuté par un autre brigand et goûta à l'herbe fraiche en s'effondrant lourdement. Il se releva instantanément, prêt à en découdre avec son nouvel opposant. Amel avait disparu de son champ de vision mais, Vanarek, quant à lui, se battait non loin contre une marée déferlante. Un homme réussit cependant à s'extirper de la mêlée et il s'avança vers le jeune garçon. Un grand homme basané, maigre, au regard démoniaque. Ses yeux jaunes faisait penser à un prédateur sans pitié. De profondes cicatrices silonaient son visage, signe de précédents affrontements. Il provoqua Kristof d'une voix sifflante:

"Je sens la peur qui se dégage de toi ! Aller, viens donc te battre, gamin !"

Cet homme le faisait penser à une vipère, tant physiquement que vocalement. Sur un cri de vengeance, Kristof dégaina Carchost et se rua sur le serpent. L'homme intercepta facilement le coup et décocha un coup de poing sur le nez du jeune garçon, qui s'écroula en poussant un juron. Du sang coulait de ses narines et lui donnait la nausée. Il ne voyait plus ses compagnons, et cela l'inquiéta. Il cria d'une voix désespéré:

"Vanarek Vanarek ! Au secours ! Rafaël ! Amel ! A l'aide !"

L'homme vipère éclata de rire. Un rire cruel et qui glaça le sang de Kristof, tremblant. Ses yeux jaunes et son régard dément tombèrent sur ceux du jeune homme.

"Capturez celui-ci, on pourrait bien s'amuser avec lui ! Tuez les autres !"

"Non !"

Des mains avides de sang attrapèrent le jeune orphelin, qui se débattait de toutes ses forces. Il sentit une violente douleur à la tête et les ténèbres se refermèrent sur lui.

Modifié par Méphisto666
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Reste près de moi et rien ne t'arrivera !"

et il ne t'arrivera rien.... Ca se dit plut, je trouve :lol:

Bon c'est pas mal, un petit moment important avec la capture qui rompt bien avec le premier paragrape du texte où c'est tout rose. Assez bien dcrit et on sent qu'ilva se passer quelque chose. Meme si leur assurance m'a trompé en erreur -_- Bon et bien vivement une suite :lol:

@+

-= Inxi =-

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  • 3 semaines après...

Voilà une courte suite pour ne pas vous faire décrocher du récit. Un petit mot à mon pote Inxi: t'as vu, j'ai trouvé le temps d'écrire ! :whistling:

Bref, bonne lecture, cher lectorat !

Des voix, des dizaines de voix. Des éclats de rire, des paroles. Kristof pouvait les entendre malgré son mal de tête. Il osa ouvrir un œil. Les premières choses qui le frappèrent furent qu’il était au chaud et au sec, près d’un feu de camp, que sa joue reposait sur une souche, et que ses mains étaient solidement attachées.

« Alors, Sarcha, qu’est ce qu’on fait du gosse, maintenant ? »

Kristof tourna doucement la tête. Un homme roux et balafré discutait avec un autre de ses compères. Celui-ci était grand et fin, son regard maléfique pétillait à travers ses iris jaunes. C’était l’homme qui l’avait capturé, et le jeune garçon tressaillit en revoyant cet homme qui lui inspirait un profond sentiment de dégoût et de peur.

-« On attend Magnus et ses hommes, après…on verra… »

Il cracha sur une motte de terre puis continua de sa voix traînante :

-« Bien sur, si ça ne tenant qu’à moi, cette vermine serait déjà en train de nous supplier de l’achever rapidement… »

Il éclata de rire, une rire cruel et sans culpabilité. D’autres hommes l’imitaient également, et grâce à la lueur du feu, Kristof put même apercevoir les dents jaunâtres de son geôlier. Du sang séché se craquela sur le visage du garçon lorsqu’il remua. Sa tête lui faisait affreusement mal, ce qui n’avait rien d’étonnant, étant donné le coup qu’il avait reçu, et ses idées étaient confuses. Il se rappelait d’avoir entre aperçu Amel, Vanarek et Rafaël combattre la marée déferlante d’ennemis. Et puis ? La main de Kristof se crispa quand il pensa que ses amis étaient peut-être morts. Ensuite, il pensa que ce n’était pas possible, que ses amis avaient dû fuir. Mais alors, viendraient-ils le sauver des mains de ses ravisseurs ? Kristof se sentit mal. Il se laissa glisser sur le sol et le fixa d’un regard éteint. Ses yeux brillaient d’un éclat où la peur se mêlait à l’inquiétude.

Le crépuscule se levait, et les étoiles commençaient à miroiter. Kristof songea : « elles sont vraiment magnifiques…j’ai l’impression qu’elles m’accompagnent lors de mon périple… ». Une fois de plus, le jeune garçon se sentit abandonné et si seul dans un monde qu’il ne comprenait pas. En contemplant les astres du ciel hivernal, il pensait à ses parents et les priait de lui donner leur courage. Il ravala ses larmes et son regard croisa celui d’un gros barbu, assit non loin de la chaleur du feu. Ce dernier l’observa durant quelques secondes avant de beugler triomphalement :

-« Le petit est réveillé ! »

Kristof sentit tous ces regards se tourner vers lui, il se sentit transpercer par quelques lames invisibles. Un homme se leva alors et s’avança, sa cotte de maille scintillant sous la lune. Il resta là, interdit une seconde, avant de se pencher vers le jeune homme. C’était Sarcha, l’homme-vipère. Il passa sa langue sur ses lèvres et marmonna :

-« Bien, bien…tu as assez dormi ? »

Kristof ne répondit pas, mais il lui adressa un regard haineux, qui eut pour effet d’énerver l’autre. Sarcha l’empoigna et cria :

-« Tes chiens de parents ne t’ont pas appris les bonnes manières, à ce que je vois… »

Il sourit devant le visage, déformé par la colère, du jeune orphelin. Voyant qu’il venait de toucher un point sensible, il huma l’air et poursuivit :

« Tu dois être le fils de l’homme que j’ai poignardé…Tu as le même regard de Chien ! »

C’en était trop pour Kristof. Il asséna un violent coup de tête à la vipère et lui cracha sauvagement au visage. Il aurait tout donné pour pouvoir le mordre, le griffer, lui faire mal, le tuer.

« Pourceau ! Je vais te trancher la langue, sale serpent ! Espèce de… »

Il ne finit pas sa phrase, Sarcha lui avait brutalement décoché un coup de pied en pleine figure. La vision du garçon se brouilla, un vertige étourdissant le prit, et tout devint flou.

« Ne refais plus jamais ça ! », souffla Sarcha dès qu’il eut retrouvé ses esprits et essuyé le sang qui dégoulinait de ses lèvres.

Kristof, reversé sur le ventre, voyait son sang s’écouler de son nez sur l’herbe fraîche. Soudain, il esquissa un sourire. Il aurait juré avoir vu une ombre bouger parmi les arbres qui l’entouraient.

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