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Le Médaillon des Quatre


Inxi-Huinzi

Messages recommandés

Pareil pour moi je commence a bien comprendre ce qu'il se passe! Maintenant c'est plus que des indices que tu nous laisse donc on comprend tres bien et je trouve que ça avance même plutot bien dans cette partie!

J'espere que tu arriveras a nous livrer une suite , c'est dur d'attendre!!!!!

en tous les cas bravo pour cette nouvelle sage qui au fur et à mesure s'annonce vraiment tres tres interessante!

fibz

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Depuis tout petit, il s’entendait bien avec les chiens. Maintenant, c’est comme s’il les comprenait.

et

Loriol se retourna vivement et grogna de frustration

ou encore

Les adultes, après le récit, crurent que les chiens, rameutés par la viande, avaient attaqué l’enfant et l’intendant. Mais la vérité était toute autre…

sont autant "d'indices qui recoupent ce que je pensais. Et c'est un soulagement, cela veut dire quej en suis pas fou :angry: .

Bien, c'est une bonne partie molle mais qui a le mérite de nous montrer les entiments et affiné le caractère de Loriol. Continue comme ça, j'adore de plus en plus.

Il réfléchissait à un moyen de dérober la clé au maire lorsqu’une odeur et des bruits de chevaux l’assaillirent. Son odorat moins entraîné que celui des chiens, il ne trouva pas la source de ces indices olfactifs et sonores. Après une heure, ils disparurent. Loriol comprit qu’il se tramait quelque chose.

Elément perturbateur, te voilà :D

La suite

Kroxigor

Bon sinon je corrige les fautes demain et désolé pour le retard, je suis overbooké

Moi même je n'ai que deux heures pas semaine pour écrire.

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Loriol comprit qu’il se tramait quelque chose.
Ouais... entre nous, il est un peu en dessous de la vérité, non ???

Pas de trace d'un quelconque médaillon... mais que fait l'auteur pour nous donner... la suite !!! LA SUITE !!!

Les adultes se montraient compatissants mais les enfants devenaient de plus en plus distants. A tel point que Loriol passait beaucoup de temps avec les adultes du village.
Echo.

Une fois que cela sera fait, Loriol verrait les deux meuniers chercher le produit

"serait"; "venir chercher" ne conviendrait-il pas mieux ?

pour faire à la demande les produits demandés
Ne serait-il pas possible d'éviter cela ?

en se mettant la main sur les oreilles.

la main, mais les oreilles ? Cest un mutant, si il arrive à se boucher les oreilles avec une seule main !

Le petit enfant parlait beaucoup pour rien dire 

Manque un "ne".

 Bien qu’il boitait encore, il arrivait à s’y accoutumer.

"boitât".

Tu en as pas mare de faire le serveur
Typo.
épluches les carottes si tu veux
Pas de "s".

même les nouveaux nés peuvent le faire 

"nouveaux-nés".

 En vue de la qualité de son travail, Loriol fut vite monopolisé par le reste du village 

C'est pas "Au vu" ?

 Il aurait sûrement réagi dans un cas similaire

Manque un complément à "réagi".

Depuis tout temps, celles-ci étaient disposées en U

"De tout temps", non ?

Tout va bien ? Demanda ce denier
Typo.
Loriol avait vu beaucoup de sacs. Tous ou presque tatoués.
Ce sont des sacs en peau ? Sinon, préfère "marqués".
Personne ne sut jamais pourquoi mais étant encore pratiquement qu’un bébé
Manque une négation.

Alors qu’il allait sortir de la cuisine, c’est-à-dire qu’il était dans la pièce qui formait une sorte de vestibule. Le maigrichon l’attrapa par le bras en lançant une tripotée d’injures.

Ce devrait être une seule phrase.

Quand l’assistant remarqua qu’elle gifle ne causait pas trop de séquelles à l’enfant
...
Celui mordit de toutes ses forces la main de l’homme
Manque un bout.

Moi seul ait la clé

"ai", non ?

Ne craint rien 

"crains", non ?

Celui-ci tenta d’ouvrir les portes mais ne cédant pas, il repartit, satisfait. 

"Celui-ci tenta d’ouvrir les portes mais celles-ci ne cédant pas, il repartit, satisfait. "

Modifié par Gemini Dragon
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Fautes corrigées ! Voici la suite avec encore plein d'indices évidement :whistling: On passe aux choses sérieuses après un début calmeeee :lol: ! Enjoy !

Chapitre 4

Il poussa ses recherches au plus loin que sa conscience le lui autorisait. Une fois qu’il ne sentit et ne vit plus rien du tout. Il fit demi-tour, boitant toujours légèrement. Loriol décida d’éviter le village au retour, après la scène de tout à l’heure, il n’avait pas envie de subir de remontrance. Mieux valait attendre que les choses se tassent un petit peu. Il finit par se convaincre de rentrer juste avant que la nuit tombe, il demanderait au cuistot de le couvrir et dire qu’il avait passé l’après-midi à ses côtés. En échange, il se sentait d’humeur à faire du surplus.

Au loin, les femmes partaient vers le ruisseau. Une des vieilles, qu’il avait aidée il n’y avait pas si longtemps que ça, lui fit un rapide geste de la main. Loriol la regarda quelques secondes sans réagir quand le panier de vêtements se déversa sur la route. L’enfant s’esquiva rapidement, n’ayant aucune envie comme la semaine d’avant de perdre son temps à l’aider. A la place, il alla se cacher dans un arbre fruitier bien dépouillé de ses produits. Ainsi perché, Loriol surveilla le maire une bonne heure en se demandant comment lui voler ladite clé qui libérerait sa curiosité. Loriol se trouvait derrière l’entrepôt et il n’avait donc pas de visibilité sur l’ouverture de la porte qui gardait son entrée.

Il restait un fruit orange et mûr dans l’arbre. Loriol remercia le cueilleur qui avait omis cette petite victuaille. Il croqua à pleine dent et, au lieu de profiter de ça comme à son habitude, il trouva le fruit sans saveur. Sûrement dû au stress, il le jeta en contrebas et passa les dix minutes suivantes à chercher sa cible des yeux. Quand il le localisa à nouveau, le soleil décroissait lentement. Le maire commença à regarder autour de lui d’une façon rapide et inquiète. A cette heure-ci, il n’y avait pas grand monde dans le village. Les personnes qui traînaient autour des bâtiments, le maire les envoya dans des missions diverses. Loriol s’installa correctement sur sa branche et scruta le centre de la place. Il vit rapidement les formes noires entrer dans le village par le côté opposé. Ils étaient trois d’après ce qu’il voyait. Quelqu’un rejoignit le maire avant l’arrivée des étrangers.

Même à cette distance, Loriol reconnut le débile. Celui qui l’avait maltraité. Il avait la main bandée ainsi que la jambe même si elle était recouverte d’un bas. La blessure la plus grave avait été celle d’un chien qui l’avait mordu à la main au même endroit que Loriol. Les os avaient été écrasés et on pouvait voir nettement la marque des dents. Par chance, ces animaux étant indispensables pour la protection des troupeaux, ils n’avaient pas été abattus. De toute manière, c’était la première fois qu’un tel cas s’était déclaré. Le cuisinier l’avait bien réconforté, se souvint Loriol, sa tête posé sur la poitrine de l’homme, il s’était senti mieux avant que ses parents ne prennent le relais.

Les hommes en noir rejoignirent le maire et son sous-fifre. Ils regardèrent tous si personne ne les avait vus mais, ne pouvant voir Loriol, ils disparurent derrière l’entrepôt. L’adolescent resta un instant indécis. Il jeta un regard vers les cuisines dont la cheminée commençait à être sollicitée puis il regarda le bâtiment de pierre dont il entendit la porte se fermer. Il hésita, jeta un regard en direction de là où devaient se trouver ses parents et courut en direction du plus grand bâtiment du village. Il s’appuya sur la paroi opposée à l’entrée, histoire que sa jambe se repose de cette course irrégulière. Après une minute à attendre, il jeta un coup d’œil au coin et s’avança vers l’entrée de l’entrepôt.

La première chose que vit Loriol, c’était le petit interstice qui démontrait qu’une des portes était ouverte. Il s’accroupit et jeta un coup d’œil vers l’intérieur. La lumière dans le dos, il ne vit rien. Il remarqua même que son ombre devait être projetée à l’intérieur. L’enfant maudit sa négligence et se jeta hors de l’entrée. Il resta appuyé quelques secondes en priant que personne ne sorte pour voir qui les avait espionnés. Heureusement personne ne vint. Loriol ferma les yeux et écouta. Il n’y avait pas de bruit.

L’enfant prit son courage à deux mains et encouragé par le fait que personne ne semblait avoir remarqué sa présence, il poussa la porte et pencha sa tête. Ses yeux s’accoutumèrent rapidement aux ténèbres de l’entrepôt. Il vit alors quelque chose qui le choqua instantanément. Le sol avait été nettoyé et une trappe, désormais ouverte, avait fait son apparition. A l’intérieur, des voix s’élevaient. Loriol entendait une conversation mais ils parlaient de banalités. Autour de lui, il y avait des caisses marquées de quatre carrés qui se recoupaient pour n’en former qu’un. Elles étaient d’un bois clair et semblaient fermées par un dispositif que Loriol ne vit pas. Il tenta de les ouvrir mais, même si elles craquèrent, elles ne s’ouvrirent pas.

Il soupira et écouta en contrebas. Ils semblaient toujours occupés et parlaient de paiement pour la marchandise. Loriol tourna la tête à l’opposé. En face de la dizaine de caisses de bois, il y avait des tapis noirs qui semblaient être là depuis plus longtemps. Loriol s’en approcha et en déplia un. Il était lourd et des choses glissèrent à l’intérieur. L’une d’elles s’échappa et un tintement métallique du tonnerre résonna. Une épée gisait au pied de Loriol qui semblait tétanisé. En bas, un silence s’installa et des bruits similaires à celui qui venait de se produire alertèrent l’enfant. Les pas se firent prudents.

Loriol courut se cacher derrière des sacs de grains. Il en souleva un et le rabattit sur sa cachette improvisée. Les hommes surgirent, épée au poing. Ils regardèrent un instant autour d’eux et l’un d’eux passa même devant Loriol sans le voir.

-Y a personne, dit celui qui était le plus proche de la porte.

-Fallait mieux ranger les tapis… Dit l’homme qui était passé devant Loriol.

Le maire et son sous-fifre sortirent à leur tour.

-Bon, le compte est là. On passera dans la soirée.

Loriol vit le groupe d’hommes sortir de la pièce laissant la trappe ouverte. Loriol déduisit que le maire allait s’assurer que les hommes, dont l’enfant n’avait pu voir les visages, quittaient bien le village sans se faire repérer. L’enfant poussa le lourd sac qui l’écrasait et, à pas feutrés, descendit dans le trou. Il faisait plus sombre qu’à l’étage supérieur mais il y voyait encore assez. Alors qu’il était en bas depuis quelques instants, la trappe se referma brutalement et Loriol entendit le maire exprimer son contentement.

L’enfant dut mettre la main sur sa bouche pour éviter de crier de peur. Quelques secondes après, il entendit la porte de l’entrepôt se fermer et il se précipita contre les battants de la trappe. Il poussa de toutes ses forces, hurla et cria du mieux qu’il put mais ne parvint pas à sortir. Il resta un instant ainsi assis sur les marches. Il cria et fonça dans le bois qui ne céda toujours pas. Il retomba durement et glissa dans l’escalier. Il resta au sol, pleurnichant à moitié. Il bougea ensuite lentement pour vérifier que tous ses membres n’avaient rien.

Les blessures semblaient superficielles et il fut rassuré de voir qu’il n’allait pas finir avec une nouvelle séquelle permanente. Il se résigna à attendre vu que personne ne l’entendrait. Loriol remarqua soudain que personne ne s’inquiéterait de sa disparition après sa dispute de l’après-midi. Ils penseraient qu’il avait fui comme certains l’avaient déjà fait quand ils s’étaient sentis rejetés par les leurs. La seule raison pour laquelle il ne devint pas fou sur l’instant ce fut parce qu’il voulait vivre et qu’il y avait une chance que ses parents le cherchent.

Autour de lui, il y avait des marques au milieu de la poussière. La taille correspondait à celle des caisses et des tapis qui étaient désormais à l’étage supérieur. Il n’y avait rien d’autre qui fusse digne d’intérêt. Loriol s’assit dans un coin de la pièce secrète et rabattit ses jambes contre son torse. Il se mit à se balancer d’avant en arrière. Il n’y avait rien autour de lui, rien à exploiter… A tel point qu’en dix minutes, il s’endormit.

Loriol ne rêva pas. Pourtant, il se réveilla d’instinct. Il avait entendu un bruit. Comme celui de chaînes que l’on déplie. Alors qu’il reprenait lentement conscience et que ses yeux ne s’étaient pas encore habitués à ce qui se trouvait autour de lui, une forme sombre abattit un lourd objet sur lui. Loriol le réceptionna durement de la joue. Il sombra à nouveau dans un nouveau monde. Ce coup-ci, il cauchemarda. Il rêva qu’il restait coincé dans ce caveau où des pluies le noyèrent. Heureusement pour lui, la vérité était bien pire.

Lorsqu’une claque le ramena à la réalité, il remarqua qu’il était ligoté et devant lui se trouvaient le maire et le débile, préposé aux cuisines. Pour l’instant, ils ne faisaient pas attention à l’enfant.

-Il a pas dû voir grand-chose… Dit le maigrichon.

-Ses parents commencent déjà à poser des questions et s’inquiéter. Il ne faut pas qu’ils viennent fouiner, pas avant qu’ils soient partis. Qu’est-ce que tu as vu, gamin ? Comment es-tu entré ?

Loriol ne trouva pas ses mots. Il savait même pas s’il devait répondre. Pourtant, devant l’expression qu’arborait le sous-fifre, l’adolescent préféra répondre plutôt que de se prendre une nouvelle déculottée.

-Vous êtes sortis avec les hommes alors je suis rentré derrière vous, je suis ensuite descendu et je me suis retrouvé coincé.

-Sûrement quand on est revenu fermer après leur départ, murmura le maire à l’oreille du maigrichon.

L’autre acquiesça.

-Mais j’ai rien vu ! Cria presque l’enfant. Il faisait trop noir ! Mentit-il.

-C’est vrai que je ne comprends pas comment il ne s’est pas rompu le cou en descendant les marches.

Le sous-fifre monta les marches et appela le maire. Celui-ci le rejoignit.

-On ferait mieux de le laisser là quelques temps, histoire que ça lui serve de leçon.

L’homme jeta un regard vers Loriol qui n’avait aucune envie de passer un instant de plus dans cette cave. Pourtant les battants se refermèrent le condamnant à attendre. Malgré une panique grandissante, il ne se passa que cinq minutes avant que celle-ci ne se rouvrent. L‘homme était cette fois-ci seul et armé d’une torche qu’il posa dans un coin. Les flammes, seule lumière depuis des heures, éblouirent Loriol qui dut plisser les yeux. Il sentit néanmoins l’identité d’un des deux hommes qui auraient dû partir. D’après l’odeur, ce n’était pas le plus aimable des deux. Il en eut la confirmation lorsque le premier coup de poing s’abattit.

Il sentit du sang couler dans sa bouche. Il le recracha sur le sol, à un endroit où se trouvait malheureusement les jambes du responsable des cuisines. Avec un petit sourire en coin, Loriol se souvint comme cet homme adorait être tâché. D’ailleurs ce dernier lui fit preuve de son contentement d’un magistral coup de pied dans l’estomac de Loriol qui ne put que s’allonger et tenter de retrouver son souffle.

-Qu’est-ce que tu as vu, sale merde !? Jura l’homme en tournant autour de l’enfant qui agonisait.

Loriol ne put répondre, ce que l’autre prit pour un affront. Le pied le toucha ce coup-ci à la tête. La nuque de Loriol craqua et ce fut un miracle qu’elle ne brisa pas. La dernière phrase qu’il entendit fut des mots qui éveillèrent la pire colère qu’il n’ait jamais ressenti.

-Si tu ne me dis rien, je m’en prendrai à tes parents !

Alors tout fut sombre et Loriol s’évanouit. Dans ses rêves, il pensa à tuer, à des envies de meurtres. Il imagina planter l’épée tombée tout à l’heure dans son horrible faciès. Mais son rêve changea rapidement. Le maigrichon grandit à tel point que Loriol ne voyait plus son visage. Alors lui-même grandit… Il devint plus grand, et plus fort. Il put alors se battre contre l’homme qui restait sans défense. Sa vision devint alors rouge et il suffoqua. Comme s’il se noyait.

Il se redressa dans la petite cave étroite. Haletant mais libéré de ses liens. Autour de lui, il n’y avait plus de lumière. La torche avait été éteinte par un liquide que Loriol n’identifia pas immédiatement. La chose suivante qu’il vit fut que les portes, et de l’entrepôt, et de la pièce secrète, étaient ouvertes et que des cris semblaient indiquer que des gens arrivaient. C’est alors qu’il remarqua l’horreur de la scène.

Cette odeur de sang pour commencer. Partout sur les murs, sur le sol, sur son corps… Loriol vit alors le maigrichon. Complètement démembré. La seule chose qui l’empêcha de vomir fut le souvenir de ce qu’il lui avait fait ainsi que cette sorte de joie qui faisait battre son cœur. Loriol comprit ce qu’il s’était passé lorsqu’il vit les grosses empreintes de bêtes ancrée dans le sol.

A peine était-il en train de comprendre qu’il avait échappé à une mort horrible que les premiers villageois firent irruption dans le local. Leurs torches éclairèrent le lieu et Loriol préféra fermer les yeux plutôt que de regarder l’horreur de la scène. Sur les premières personnes à venir secourir l’enfant, peu réussirent à supporter la vision de ces membres éparpillés. Loriol entendit rapidement les « Au loup ! » s’élever. En piteux état, l’enfant savait que toute sa vie avait été bouleversée.

Quelque chose se passait au sein du village et la présence des loups était encore intrigante maintenant qu’une nouvelle victime était venue s’ajouter à la donne. Avant de s’endormir dans les bras de son père, Loriol se demanda si le loup blanc aux yeux verts était venu terminer le travail lorsqu’il avait été dérangé.

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Bon ,bon ,bon...

Alors pour commencer , je dirais ben ...que c'est bien ! -_-

Et ce , malgrès quelques imperfections .

L'histoire avance plutot bien , les choses commencent a se developper , la relation des adultes ( notamment le Maire ) avec Loriol, les loups ( les animaux en general je pense ).

J'éspére qu'on comprendra mieux ce que trafiquait le maire dans la prochaine suite .

Sinon ,il y'a toujours des passages un peu longuet , notamment certaines descpritions mais c'est pas bien grave :lol: .

Il y'a aussi quelques fautes d'orthographes , mais je laisse le soin a d 'autres( qui le font bien mieux que moi ) de les corriger ...

La suite

++

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Bon... Je n'ai hélas pas qqch de précis à dire sur ton texte... Sinon que c'est pas mal!

Je dirais que les adultes, en tout cas les méchants, sont vraiment des salopards! Penses-tu vraiment que les parents de Loriol les laisseraient faire (faudrait bien qu'il le sache, j'avoue, mais bon.)

Si mes souvenirs d'histoire sont bon, les enfants étaient des trésors à protéger à tout prix, surtout un qui avaient passé l'age critique de 6-8 ans, alors je les vois mal le traiter ainsi, surtout dans le système quasi communiste du vilage...

Bon voilà...

Ecthelion

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Alors tout fut sombre et Loriol s’évanouit. Dans ses rêves, il pensa à tuer, à des envies de meurtres. Il imagina planter l’épée tombée tout à l’heure dans son horrible faciès. Mais son rêve changea rapidement. Le maigrichon grandit à tel point que Loriol ne voyait plus son visage. Alors lui-même grandi… Il devint plus grand, et plus fort. Il put alors se battre contre l’homme qui restait sans défense. Sa vision devint alors rouge et il suffoqua. Comme s’il se noyait.

Il se redressa dans la petite cave étroite. Haletant mais libéré de ses liens. Autour de lui, il n’y avait plus de lumière. La torche avait été éteinte par un liquide que Loriol n’identifia pas immédiatement. La chose suivante qu’il vit fut que les portes, et de l’entrepôt, et de la pièce secrète, étaient ouvertes et que des cris semblaient indiquer que des gens arrivaient. C’est alors qu’il remarqua l’horreur de la scène.

Cette odeur de sang pour commencer. Partout sur les murs, sur le sol, sur son corps… Loriol vit alors le maigrichon. Complètement démembré. La seule chose qui l’empêcha de vomir fut le souvenir de ce qu’il lui avait fait ainsi que cette sorte de joie qui faisait battre son cœur. Loriol comprit ce qu’il s’était passé lorsqu’il vit les grosses empreintes de bêtes ancrée dans le sol.

Il s'évanouit juste quand ça se passe, hein ?

Ce gosse a un secret, qu'il ignore sûrement... et le maire trafique, mais quoi ??? Pour tout cela je dis:

Vivement la suite !!!

Une des vieilles, qu’il avait aidé
Accord.

Ils étaient trois d’après leur allure

? En quoi leur allure influence-t-elle leur nombre ?

Quelqu’un rejoint le maire avant l’arrivée des étrangers.
Pourquoi un présent ?

Par chance, ces animaux, étant indispensables pour la protection des troupeaux, ils n’avaient pas été abattus.

Vire la "," après "animaux", ou le "ils".

il s’était sentit mieux avant que ses parents ne prennent le relais
Pas de "t" final
la cheminée commençait à être sollicité
Accord.
il regarda le bâtiment de pierre d’où il entendit la porte se fermer
"dont" sonnerait mieux, je trouve.

La première chose que vie Loriol

"vit".

L’enfant prit son courage à deux mains et encouragé par le fait que personne ne semblait avoir remarqué sa présence. Il poussa la porte et pencha sa tête.

Ce devrait être une seule phrase.

La seule raison pour laquelle il ne devient pas fou sur l’instant c’est parce qu’il voulait vivre et qu’il y avait une chance que ses parents le cherchent.
Pourquoi ces présents ?
Il n’y avait rien d’autre qui soit digne d’intérêt.
Mets-le au passé.

Il rêva qu’il restait coincé dans ce caveau où des pluies le noyèrent. Heureusement pour lui, la vérité était bien pire.

"Heureusement" ?

Malgré une panique grandissante, il ne se passe que cinq minutes avant que celle-ci ne se rouvrent.
"passa", non ?
Il en eut la confirmation lorsque le premier coup de poing.
"lorsque le premier coup de poing" quoi ? "lorsque" annonce une subordonnée, or il n'y a pas de verbe ?

Loriol ne put répondre ce que l’autre prit pour un affront

Une "," après "répondre" irait bien, je pense.

Alors lui-même grandi

"grandit", non ?

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Loriol comprit ce qu’il s’était passé lorsqu’il vit les grosses empreintes de bêtes ancrée dans le sol.

Je sais pas si ce sont vraiment des loups ou simplement lui qui s'est tranfomé en garou et qu'il ne sait pas ce qui s'est passé. En tout cas, ça expliquerait l'évanouissement, enfin pour moi.

Bonne suite, l'histoire fait un bond en avant, les fautes ont été corrigées par Gemini.

La suite

Kroxigor

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C'est fou comme vous commencez à entrevoir ce que j'imagine :) Allez, je vous laisse un suspense monstre à la fin de ce chapitre et on attaque réelement les choses sérieuses !

Chapitre 5

Loriol commençait à être lassé de passer son temps au lit. Par contre, cette fois-ci, il ne semblait pas blesser. Couché, il tâta la moindre parcelle de son être à la recherche d’une blessure qu’il ne sentirait pas. Juste quelques hématomes. Mais il dut admettre qu’il était mieux au lit après ce qu’il avait vécu. Il voyait encore le sang couvrir ses membres et les bouts de corps éparpillés tout autour de lui. Et ces empreintes… Ces mêmes marques l’avaient hanté la nuit écoulée, il imaginait un loup descendre les marches alors que le maigrichon le battait.

Lui, il était déjà évanoui depuis longtemps mais l’homme continuait à le frapper. Dans la suite du rêve, le loup sauta directement du haut des escaliers sur le dos de l’homme. Le maigrichon tomba et en quelques coups de mâchoire, il le réduit à l’état de purée humaine. Une fois son œuvre accomplie, le loup blanc s’approchait lentement de Loriol. Il le regardait quelques instants avant de se jeter sur l’enfant endormi et le dévorer.

Loriol s’était réveillé en sueur et complètement apeuré. Il resta haletant quelques instants avant de sourire en remarquant que ce n’était qu’un mauvais songe. Bien décidé à ne pas cauchemarder encore une fois, il se leva et s’habilla. Sa mère ne devait pas être là mais il n’avait pas envie de la voir de toute manière. Il alla aux champs, seule distraction qu’il l’attirait pour l’instant.

C’était un champ de mais. Les grains plantés en printemps avaient poussé et depuis toujours, les paysans avaient l’habitude de le ramasser en fin d’été. La récolte pouvait se faire bien avant ou après mais, eux, ils trouvaient que le goût était considérablement augmenté vers la fin de l’été. Loriol grimpa sur un grand chariot attelé à deux bœufs. Déjà des épis s’entassaient à l’arrière créant un tapis jaune et vert.

Loriol pouvait voir les épis de maïs se plier signalant ainsi qu’un agriculteur travaillait sur ce plan-ci. Son père devait être à l’autre bout de la rangée par laquelle entra l’enfant. Il se mit donc à faire ce qu’il faisait de mieux, chasser les petits rongeurs qui mangeaient leur maïs avant la récolte. Loriol n’en tua pas beaucoup, il était plus obnubilé par l’activité qu’exerçait le maire et l’acolyte la veille. Que pouvaient contenir ses caisses si bien fermées ? Pourquoi autant d’armes avaient été entreposées dans une ville éloignée de tout ? Loriol se demandait même si ce n’était pas parce que leur ville était isolée qu’ils avaient opté pour celle-ci. Mais où allaient ensuite aller ces armes ? A quoi allaient-elles servir ? Toutes ces questions agitaient l’esprit de Loriol depuis qu’il était sorti de sa chambre.

Il n’y avait pas beaucoup de soleil dans le champ. Loriol était plus petit que les épis et c’était un véritable labyrinthe. Il décida d’aller tout droit et émergea sur le flanc ouest. Le champs ayant été bâti au bord d’une colline, l’adolescent avait une vue plongeante sue une vallée qui allait de sa gauche vers sa droite. De l’autre côté, une autre petite colline lui bouchait la vue. Pourtant, une odeur putride lui attaqua les narines. Quelque chose de mauvais et répugnant était dans les parages. Après un bref regard en arrière, Loriol décida d’aller voir ce qu’il se passait. La dernière fois, c’était des chevaux qui l’avaient alerté mais il n’avait pas pu remettre la main dessus. Peu après, il avait vu des choses qui l’avaient mis en péril. Maintenant, il voulait prendre les devants sur les dangers.

Alors qu’il était dans le creux formé par les deux collines, Loriol se demanda pourquoi le maire le laissait encore en vie ainsi. L’enfant l’avait vu avec son, maintenant, décédé acolyte et pourtant, il n’avait pas réapparu. En même temps, quand les secours étaient arrivés, Loriol avait remarqué que toutes les caisses avaient disparu. C’était le signe évident que les hommes en noir, qui les avaient accompagnés, étaient revenus chercher ce qui les intéressait. Loriol n’aurait donc eu aucune preuve de ce qui s’était passé. Tout le monde lui aurait fait remarqué son traumatisme et personne ne l’aurait cru. Il avait déjà bien du mal avec sa différence alors il ne voulait pas aussi être le fou du village.

Il entama alors l’ascension de cette nouvelle bute. En haut, il vit quelque chose qui le choqua au moins autant que le spectacle de la veille même s’il différait de quelques aspects. Une gigantesque armée de créatures vertes se trouvait qu’à quelques kilomètres de là. D’après Loriol, c’était la plus grosse troupe que le monde n’ait jamais connue et il était sûr que cela signifiait la fin de son village… et de son espèce. Il devait y avoir environ cent individus de petite taille. Sûrement des tueurs des plus entraînés, déduisit notre jeune observateur.

A l’heure actuelle, ils poursuivaient une vache à travers la plaine. Sûrement pour s’exercer à traquer des êtres humains. Ils tentèrent une manœuvre d’encerclement mais ils ne purent fermer l’étau à temps et la vache s’échappa. L’un d’eux jeta une lance de bois qui éclata sur l’épiderme de la vache tant le bois était pourri. Un autre se jeta dans les pattes de la vache et la mordit à hauteur de la cheville. Celle-ci mugit et frappa le gobelin au niveau de son crâne qui éclata. Loriol fut surpris de voir les gobelins avoir du mal. Peut-être que la vache était un monstre et qu’il ne voyait pas bien, pensa notre adolescent.

Il se retint néanmoins de se rapprocher, il ne voulait pas finir comme la vache. En effet, après dix minutes de poursuite intense, un gobelin parvint à blesser mortellement la bête qui s’affala. En quelques secondes, la troupe de vertes créatures se jeta sur la carcasse qu’ils dévorèrent rapidement sous le regard amusé de Loriol. Ce dernier s’allongea pour éviter d’être repéré. On ne savait jamais… Si ces créatures avaient une bonne vision, ils auraient pu voir sa silhouette se découper en haut de la colline. Heureusement, une fois le banquet terminé, ils prirent la direction de l’ouest : à l’opposé du village.

Désormais de nature méfiante, Loriol courut voir son père pour le prévenir.

-Où les as-tu vus ? Demanda ce dernier lorsqu’il eut écouté tout ce que son fils avait à dire.

Depuis qu’il avait été victime d’une double agression, Loriol jouissait d’un peu plus de considération de la part des adultes du village et surtout de ses parents avec qui les relations étaient encore plus fortes. Ils passaient plus de temps ensemble. La contrepartie de ces avantages était qu’à chaque fois qu’il disait quelque chose d’un peu extravagant, on mettait ça sur le compte des récents évènements. Pourtant, cette fois-ci, le père parut convaincu. Il appela un de ses amis.

-Il paraît que les petites ordures qu’ont dévasté le champ du vieux bougon sont des gobos ! Annonça le père de Loriol.

-Comment tu le sais ? Demanda l’autre soucieux.

-Loriol les a vus tout à l’heure. Il partait dans cette direction, répondit-il en montrant la direction.

L’homme se gratta la barbe. Il commença par parler doucement en pensant que Loriol ne l’entendait pas.

-Il voit beaucoup de choses ton fils en ce moment… Le médecin a dit que des hallucinations seraient normales.

Il reprit plus fort :

- Mieux vaut prévenir personne pour l’instant. On va aller vérifier qu’ils sont bien partis et si c’est le cas, on les oublie…

Le père de Loriol acquiesça ce qui déçut l’enfant qui aurait aimé se battre.

-Toi, tu restes ici ! Ordonna l’adulte à son fils.

Il délaissa sa serpette sur un chariot et attrapa une longue faux. Les deux amis coururent à la poursuite des gobelins. Loriol avait vraiment peur que ces terribles guerriers ne mettent en pièce ces deux humains. Assez paniqué, il courut raconter son histoire au cuisinier. Celui-ci mit les mains sur les épaules de l’enfant et le regarda dans les yeux. Chose assez facile vu que Loriol lui arrivait au menton.

-Je connais ton père depuis longtemps ! Ne t’en fais pas, il sera bientôt revenu.

Effectivement, il revint en compagnie de son ami quelques heures plus tard. Décidés à écouter la voix de la sagesse, ils en parlèrent au maire qui fit sonner la cloche. Un grand conseil allait avoir lieu, c’était le premier dont Loriol allait pouvoir se souvenir. Il en fut tout excité et fit plusieurs fois le tour du village pour se trouver une place d’où il verrait tout. Le maire se trouvait au deuxième étage de l’entrepôt, en dessous, chaque habitant tenait une torche. Le maire allait annoncer les faits et ceux étant contre la proposition devraient éteindre leur flamme.

Loriol se tenait derrière la masse de villageois et il ne voyait pas grand-chose au final. Il sentait surtout la peur que provoqua l’annonce de créatures malveillantes dans leur contrée perdue. Par contre, elle disparut fugacement lorsque le chef du village déclara qu’ils partaient dans l’autre direction. Sentiment qui fut accentué lorsqu’il avoua que c’était Loriol qui les avait vus. Après un vote unanime où aucune torche ne resta allumée, il fut décider de les laisser partir, si jamais ils avaient existé. Loriol fut encore une fois déçu, c’était seulement ça un conseil… En plus, ils laissaient une énorme armée fouler les terres en direction du quelconque terre à piller. Si seulement il n’avait jamais été attaqué..

Il tapa dans un caillou qui roula sous un ciel étoilé. Il n’y avait pas de lune, remarqua l’enfant. On y voyait pas grand-chose depuis que les torches avaient été éteintes. Loriol se sentant en ce moment d’humeur flegmatique, il alla se coucher en repensant à ce qu’il avait vu. Ces petites créatures vertes armées de branches d’arbre, de hachettes et vêtu que très légèrement s’attaquer à cette pauvre bête qui ne voulait que vivre.

Quand Loriol se leva le lendemain, il lui sembla que tout le monde était un peu nerveux. Comme si la nuit les avait convaincu de la vérité. Cela redonna rapidement le sourire à Loriol. On voyait que certains n’avaient dormi que d’un œil. D’autres s’étaient même mis en tête de planter quelques futiles pieux autour du village. Juste au cas où…

Loriol préféra laisser ces occupations aux plus vieux pendant que lui, il allait finir la récolte du maïs. Une fois sur place, il alla néanmoins s’assurer qu’il n’y avait plus de gobelins. Pour la fatigue que cela lui coûta, surtout dans sa jambe, il regretta immédiatement d’être aller s’assurer qu’il n’y avait rien. Mais ça avait été plus fort que lui. Une impression bizarre, comme s’ils campaient toujours dans les environs et qu’ils s’apprêtaient à fondre sur eux d’un instant à l’autre. Le pire fut que cette impression lui resta toute la journée. Après la pause de la mi après-midi, Loriol décida d’avaler un casse-croûte avant d’escorter le chariot à travers la forêt séparant le champ du village.

C’est là-bas pourtant qu’allait survenir l’accident le plus tragique de sa vie. Quelque chose qui allait lui coûter encore plus qu’un simple petit boitillement. Après ce moment, il regretta de ne pas avoir suivi son intuition alors qu’elle l’avait prévenu tout au long de la journée. C’était pourtant évident mais cette erreur allait lui arracher ce que l’espèce humaine avait de plus cher, ce qui lui ferait rejoindre un autre monde… Son sang allait encore couler mais à ce moment, personne n’aurait pu l’en empêcher.

@+

-= Inxi, lover de gobelins :D =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Son père devait être à l’autre bout de la rangée par laquelle entre l’enfant

Manque quelque chose?

Trop fort le coup de l'immense armée gobeline, danger de l'humanité. Cents pauvres gobelins même pas foutu de tuer une vache correctement. :) On voit bien la jeunesse de Loriol et son côté extravagant. Vraiment marrant.

C’est là-bas pourtant qu’allait survenir l’accident le plus tragique de sa vie. Quelque chose qui allait lui coûter encore plus qu’un simple petit boitillement. Après ce moment, il regretta de ne pas avoir suivi son intuition alors qu’elle l’avait prévenu tout au long de la journée. C’était pourtant évident mais cette erreur allait lui arracher ce que l’espèce humaine avait de plus cher, ce qui lui ferait rejoindre un autre monde… Son sang allait encore couler mais à ce moment, personne n’aurait pu l’en empêcher.

Tu recommences à nous faire saliver hein? Tu peux pas t'en empêcher :D

Donc une bonne partie, qui instaure un autre élément de la prochaine vie de Loriol (qu'est ce que je raconte là?vraiment n'importe quoi)

La suite

Kroxigor ( ils me font peur les gobelins moi :D )

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Oh... J'imagine bien ce qui va se passer... Mais les gobbies risquent de partir dans tous les sens une fois que le petit Loriol se voit un chouilla énervé (AMHA, bien sûre)...

Bon, je crois qu'on va s'ammuser dans le prochain chapitre... Juste une petit intuition :) ...

Ecthelion

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Après les loups , le maire , maintenant voici les gobelins ...

J'aime moi aussi beaucoup la vision de Loriol de l'armée gobeline , une vision enfantine , une centaine de gobelin s miteux , incapable de tuer une vache ...

On voit bien aussi le coté enfantin de Loriol qui est decu que les habitants refusent d'aller se battre contre les gobs , c'est assez bien retranscrit .

Sinon , comme toujours , tu nous fait languir ...

La suite

++

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Alors voici le chapitre un peu en avance ! Ce début d'histoire est une dédicasse exceptionnelle à Impérator :clap: En fait, celui-ci m'a dit un jour, soit en privé, soit par commantaire quelque chose qui ressemblait à ceci :

Dans Falcrisos, ton héros était fort et avec son minotaure, ils tuèrent sans difficulté une dizaine de gobelins au début de l'histoire. Dans L'Ascension, le héros est seul et il manque de se faire tuer par un seul gobelin. Que se passera-t-il dans la prochaine ?

Alors à ce moment, j'ai su que dans ma prochaine histoire ( donc celle-ci ) j'allais écrire ce chapitre qui va me permettre de lancer les gros changements ! Enjoy ! Ah oui... J'aime bien le changement de personnage : Est ce une info ou une intox :) ? Il y a aussi une petite référence à Neldirage :)

Chapitre 6

Le chariot était attelé à deux gros chevaux gris tâchés de noir. Le bois était usé comme le prouvait sa couleur claire due aux branches transportées, aux aliments déplacés ou encore à la pierre soulevée. Les roues étaient ébréchées et les côtés du chariot étaient écorchés. Malgré ça, Loriol sauta à l’arrière, dans une épaisseur d’un mètre d’épis de maïs. L’homme, le frère du meilleur ami de son père était aux commandes du véhicule. Il était grand et mince, comme son nez, pensa Loriol. Il avait une chemise marron coupée au niveau des épaules et un chapeau de paille trop grand pour lui.

Loriol s’accouda contre la balustrade du chariot et s’enfonça un peu plus les pieds dans les épis. Derrière lui, l’enfant pronostiqua en regardant le champ que les cueilleurs en auraient encore pour deux jours pour finir les deux tiers restants. Lui, il avait assez travaillé. Même si ce n’était pas du goût de tout le monde… Après tout, c’était un garçon et de plus, handicapé. Alors il n’avait pas à travailler comme les autres.

La charrue s’ébranla et Loriol se laissa transporter sous les soubresauts d’une route incertaine et irrégulière. L’allure était lente mais les bêtes étant vielles, il ne fallait pas trop les forcer. L’enfant n’avait pas encore envie de les voir dans son assiette, même si à un certain âge, elles n’étaient plus comestibles. En l’espace de dix minutes, ils arrivèrent dans la forêt. Le soleil dans leurs dos depuis le départ, ils accueillirent un peu d’ombre avec joie. L’air était moite et rafraîchissant. Loriol ferma les yeux et se délecta de cette sensation. Elle dura que quelques instants, juste le temps de sentir la présence d’un danger.

-Je crois qu’on ferait mieux de retourner aux champs… Proposa Loriol à l’adulte.

-Pourquoi ça ? Demanda l’autre sans lâcher deux rênes de cuir.

-Y a quelque chose qui rôde… Dit Loriol en scrutant les environs.

L’homme jeta de rapides coups d’œil de chaque côté de la route et rit.

-Allons, tu t’en fais trop !

Loriol était sûr que l’autre s’était retenu de dire le fond de sa pensée. Sur le fait que ses agressions avaient pu l’affecter mentalement. L’enfant fronça des sourcils, il savait qu’il devait rester prudent. Son instinct le suppliait d’aller se mettre à l’abri avec d’autres de sa race. Ce dernier finit par prendre le dessus et Loriol échafauda un plan. Sans tomber et en se tenant, l’adolescent se rapprocha de l’avant du chariot. L’homme était toujours de dos, c’était le meilleur moment pour agir. Loriol se jeta sur lui.

Le chapeau de l’adulte roula sur le bas côté pour finir arrêter par quelques champignons blancs de forme exotique. L’enfant s’excusa immédiatement.

-Mais qu’est ce qui t’a pris, le dérange ? Va le chercher et rapporte-le moi.

L’enfant prit un air peiné et dès qu’il se retourna, il sourit et se précipita à l’autre bout du chariot. Loriol n’avait pas aimé comment il lui avait parlé, il en avait fallu de peu pour qu’il se jette sur lui.

Ils avaient déjà parcouru plusieurs dizaines de mètres. Loriol escalada la passerelle remontée formant la partie arrière de la charrue et sauta sur le chemin de terre. L’atterrissage fut approximatif mais il ne cassa rien. S’il voulait rester en vie en cas de futurs problèmes qui n’allaient pas tarder, Loriol trouva plus raisonnable de ne pas rester avec le conducteur du chariot. La bouteille de vin qu’il avait attaquée sur le retour l’avait aussi motivé. Comment pouvait-on boire un liquide si peu attrayant ? Peut-être une capacité qu’on acquérait lors de la vie adulte… Essaya-t-il de comprendre.

Il renifla un coup et repartit en sens inverse. Après quelques petits détours, il trouva le chapeau qui n’avait pas bougé d’un centimètre. Il le ramassa, le dépoussiéra et le mit sur sa tête. S’il avait été fait à sa taille, il ne serait pas mieux tombé, remarqua Loriol. Il respira un bon coup pour tenter de glaner quelques informations. Mais contrairement à ce qui venait de se passer, il n’y avait rien dans les airs. Il ne sentait même pas les odorantes fleurs à quelques mètres de lui. Il y avait vraiment quelque chose qui clochait. Sans plus attendre, il repartit.

Malgré sa prudence exacerbée par ce que le loup lui avait fait, il put quand même se décrire le paysage qui s’offrait à ses yeux. La route était incrustée de pierres plus ou moins grosses, phénomène lié au fait que de lourds chariots passaient régulièrement par ici. La forêt était plus un bosquet qu’une végétation luxuriante, elle servait surtout à dispenser un air humide lors des forts étés. La lumière se reflétait d’ailleurs plutôt bien sur les pavés. Le soleil était fort et déclinait lentement. Il pouvait ainsi contourner la voûte des arbres et éclairer partiellement Loriol qui devait souvent mettre une main en visière pour continuer à avancer.

Ce fut un écureuil sur ses gardes et la fin du chant des oiseaux qui alertèrent Loriol. Sur sa droite quelque chose approchait. D’après les bruits, c’était, soit gros, soit nombreux. Evidement, eut le temps de se dire l’adolescent, quand ce genre de situation arrivait, c’était forcement quand la vue n’était pas dégagée. En effet, la, ou les, chose était cachée par de hautes fougères. L’air se fit plus lourd et Loriol se mit sur ses gardes le cœur battant la chamade. Il n’avait rien pour se défendre et maintenant qu’il était estropié, il ne pourrait pas fuir.

Il recula prudemment alors que les fougères écrasées étaient pratiquement à hauteur de la route. Alors le marcassin émergea. Ce fut à la fois un soulagement mais aussi une nouvelle crainte qui s’emparèrent de la raison de l’enfant. Il ne risquerait rien tant qu’il ne faisait rien mais si des sangliers étaient dans les parages mieux ne valaient pas traîner. L’animal, brun parcouru de bandes grises, ne semblait pas déterminer à partir de la route. C’était pourtant le seul accès au champ qui n’était qu’à quelques minutes. Long d’une cinquantaine de centimètres pour moitié de haut, le marcassin n’était pas très impressionnant. Mais l’image de son père lui fonçant dessus ne l’amusa guère. Il attendit alors que la bête rentre à nouveau dans les fougères en quête de nourriture pour avancer.

A ce moment là, Loriol savait que l’impression de danger qui planait autour de lui n’était que vaguement écarté au profit d’un autre. Son instinct lui faisait même comprendre que cela était pire. Il avança de quelques mètres avant qu’il ne sursaute. On avait bougé à côté de lui, toujours dans cette maudite végétation. Le sanglier était pourtant rentrer alors pourquoi revenir ? L’enfant tenta de lui parler :

-Petit marcassin ? Où es-tu ?

Loriol s’approcha des fougères en tentant de voir quelques choses à travers les branches le dissimulant. Le bruit s’arrêta et l’enfant avança dans sa direction.

-Tu serais très bien dans mon assiette ce soir… Déclara l’enfant en espérant que l’animal ne comprenne pas ce qu’il était en train de dire.

Tout en disant ça, il tenta d’écarter deux rameaux quand quelque chose provoqua une douleur aiguë dans son ventre avant que Loriol se sente devenir chaud. Il n’arriva pas à détourner le regard de ces branches, pourtant une de ses mains se porta naturellement à son estomac. Quand il eut le courage de regarder, il la vit rouge sang. Il tituba en se demandant ce qui s’était passé, si un sanglier l’avait éventré… Tout en s’asseyant lentement sur le sol, il comprit que sa blessure était courte mais profonde. Devant lui, les fougères s’ouvrirent.

Une créature verte, à l’aspect aussi hideux qu’il avait pu se l’imaginer, émergea. Ses yeux tiraient sur le rouge et brillaient d’une cruauté sans borne. Son nez était difforme et se courbait aussi bien de haut en bas que de droite à gauche. Ses dents étaient pourries, passant d’un noir sombre à un jaune moisi. Ses canines semblaient aussi coupantes que celles d’un chien et devaient transporter bien plus de maladies. Sa bouche était pliée dans un rictus satisfait qui lui donnait un air horrible. Le gobelin n’avait qu’une seule botte surmontée d’un pantalon trouvé à de multiples endroits. Une sorte de couverture mitée lui couvrait en partie le torse. Une épée, ressemblant d’avantage à une dague, était tachetée de sang à son bout… Son sang.

Le gobelin lécha, avec un visible plaisir, sa lame. Il s’approcha de Loriol qui était toujours accroupi, peinant à se remettre de ce qui venait de se passer. Le sol, tout comme ses vêtements, virait à l’écarlate. Il sentait ce liquide vital et chaud couler le long de ses cuisses en direction de ses mollets. Loriol eut envie de pleurer mais il garda ses forces, il se dit que ce n’était pas une honte de mourir face au plus imposant guerrier du monde… Pourtant, lorsque la créature lui mit la main dessus et lui tira la tête en arrière pour lui trancher la gorge. Il sentit son désir de vivre plus profond même s’il savait qu’aucun chasseur ne viendrait abattre la créature d’une flèche bien placée dans le dos.

Loriol serra les dents et frappa le gobelin à l’estomac. L’autre gémit quand quelque chose craqua. Sans voir si celui-ci était hors d’état de nuire, Loriol se releva avec peine et tenta de courir vers le champ. Son déplacement était irrégulier et il tombait sans cesse. Ses deux mains sur le ventre, il tentait de retenir son sang qui coulait sans arrêt. Il ne sentait plus la douleur mais il se rendait bien compte de l’immense fatigue de plus en plus présente ainsi que ce voile noir qui couvrait lentement ses yeux. Le monde semblait tanguer, comme s’il n’était plus droit. Cela n’arrangeait pas Loriol qui aurait aimé aller tout droit au lieu de se déplacer de chaque côté de la route tels les plus grands amateurs de vin du village après une nuit bien arrosée. Par contre, Loriol savait que pour lui, il n’y aurait pas de lendemain et de gueule de bois.

Alors que l’enfant n’entendait plus rien, il ne trouva plus la force de continuer. Il dut s’asseoir sur une souche et pour la première fois regarder si quelque chose le suivait. La bonne nouvelle était que le gobelin ne semblait pas l’avoir suivi. Ou alors il attendait en embuscade que sa victime meurt pour venir la dévorer. La mauvaise était qu’il n’avait plus de force et qu’il allait sûrement mourir là, sur ce vieux tronc d’arbre usé par le temps.

Loriol commençait à glisser au sol et bien qu’il eut envie de redémarrer, il trouva cette position plus confortable que la précédente. Il se permit de fermer les yeux que quelques secondes pour récupérer. Les secondes devinrent vite des dizaines de secondes. Sans que l’adolescent le veuille, sa main glissa de son ventre et s’immobilisa dans le sable qui se colla au sang chaud.

Au loin, l’adolescent crut entendre des hurlements de loup à l’agonie. Enfin c’est ce qu’il pensait. Cela lui semblait bien futile maintenant. Mais l’individu aux yeux verts de cette race savait qu’il avait fait le bon choix… Il s’assit sur ses quatre pattes et reprit le chant mortuaire, parfois aussi assimilé à celui de la renaissance. La longue plainte emplit les airs et se déplaça, bercée par les vents, au quatre coins du monde.

Le souffle devint pratiquement inaudible, la respiration devint de plus en plus espacée. Bien qu’il n’arriva plus à ouvrir ses yeux, Loriol entendait le son de son cœur devenir de plus en plus faible. Il battit une fois. L’autre main suivit l’exemple de la première est s’assoupit sur le sol. Le cœur battit de nouveau. Le cou ne parvint plus à soutenir la tête qui se pencha inexorablement en arrière. Le cœur battit encore, le souffle devint un râle. Une énième goutte de sang coula, le souffle se coupa, le cœur s’arrêta de battre.

Loriol était mort.

@+

-= Inxi, fin ? :lol: =-

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:):) .Non ...

C'est pas possible , c'est pas déja finit , je te connai trop bien il va se passer quelque chose ...

Peut -etre qu'il va se transfomer en loup et quelque chose comme ca ...enfin j'éspére

En tout cas la scéne est très bien racontée , on sent bien que Loriol est petit a petit en train de mourir , c'est très bien décrit , bravo .

LA SUITE

++

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Loriol se tenait derrière la masse de villageois et il ne voyait pas grand-chose au final. Il sentait surtout la peur que provoqua l’annonce de créatures malveillantes dans leur contrée perdue. Par contre, elle disparut fugacement lorsque le chef du village déclara qu’ils partaient dans l’autre direction. Sentiment qui fut accentué lorsqu’il avoua que c’était Loriol qui les avait vus.
Y en a un qui a dû être content, tiens... :)
Loriol eut envie de pleurer mais il garda ses forces, il se dit que ce n’était pas une honte de mourir face au plus imposant guerrier du monde…
C'est pas le moment, mais ... :)
Au loin, l’adolescent crut entendre des hurlements de loup à l’agonie. Enfin c’est ce qu’il pensait. Cela lui semblait bien futile maintenant. Mais l’individu aux yeux verts de cette race savait qu’il avait fait le bon choix… Il s’assit sur ses quatre pattes et reprit le chant mortuaire, parfois aussi assimilé à celui de la renaissance.
Encore un loup... renaissance, tu dis ??? Ca risque d'être intéressant, pour la... SUITE !!! vite !!! Vivement la suite !!!
il ne semblait pas blesser
Participe.
Le maigrichon tomba et en quelques coups de mâchoire, il le réduit à l’état de purée humaine.
Pourquoi ce présent ?

C’était un champ de mais

C'est pas "maïs" ?

Tout le monde lui aurait fait remarqué son traumatisme
Infinitif.

Il entama alors l’ascension de cette nouvelle bute

C'est pas "butte" ?

c’était la plus grosse troupe que le monde n’ait jamais connue

"c’était la plus grosse troupe que le monde ait jamais connue" , non ?

Loriol les a vus tout à l’heure. Il partait dans cette direction, répondit-il en montrant la direction.

Ce sont les gobos qui "partaient", non ?

il fut décider de les laisser partir
Participe.

ils laissaient une énorme armée fouler les terres en direction du quelconque terre à piller.

"du" ?

Ces petites créatures vertes armées de branches d’arbre, de hachettes et vêtu que très légèrement
Accord.
Comme si la nuit les avait convaincu
Accord.
il regretta immédiatement d’être aller s’assurer qu’il n’y avait rien
Participe.

Après la pause de la mi après-midi

"mi-après-midi", non ?

Le chapeau de l’adulte roula sur le bas côté pour finir arrêter par quelques champignons
Participe.

Mais qu’est ce qui t’a pris, le dérange ?

"Qu'est-ce", non ? "dérangé", non ?

L’animal, brun parcouru de bandes grises, ne semblait pas déterminer

"déterminé".

Le sanglier était pourtant rentrer
Participe.

Le gobelin n’avait qu’une seule botte surmontée d’un pantalon trouvé à de multiples endroits.

"troué", peut-être ?

Pourtant, lorsque la créature lui mit la main dessus et lui tira la tête en arrière pour lui trancher la gorge. Il sentit son désir de vivre plus profond même s’il savait qu’aucun chasseur ne viendrait abattre la créature d’une flèche bien placée dans le dos.

Ce devrait être une seule phrase.

Cela n’arrangeait pas Loriol qui aurait aimé aller tout droit au lieu de se déplacer de chaque côté de la route tels les plus grands amateurs de vin du village après une nuit bien arrosée

C'est pas "tel" ?

il attendait en embuscade que sa victime meurt 

"meure", non ?

Il se permit de fermer les yeux que quelques secondes pour récupérer.

"Il se permit de ne fermer les yeux que quelques secondes pour récupérer.", ou "Il se permit de fermer les yeux quelques secondes seulement,pour récupérer." sonnerait mieux, je trouve.

au quatre coins du monde.
Accord.
L’autre main suivit l’exemple de la première est s’assoupit sur le sol
"et".
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Mais non il ne va pas mourrir ou du moins il va renaitre.

Si mon hypothèse du loup-garou est bonne, il va revivre car un loup-garou sous sa forme humaine est immortelle ( même mieux que les elfes car il ne peut être tué). Puis les tranformations commenceront. Enfin c'est comme ça que je voie les choses moi.

J'adore ta description de la mort de Loriol, très bien retrancrite, on s'y croirait presque ( ben oui, c'est pas nous qui mourons :) ). Une bonne suite, qui introduit les véritables grands boulversements et quelque chose me dit que ce ne seront pas les seuls te connaissant :) .

La suite

Kroxigor

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Invité chaos rulez

et bien un ecrivain qui fait mourrir

son héro c'est une premiere

mais selon moi il vas revenir pour etre plus fort

(comment?????? sa seul l'auteur le sait)

et bien vivement la suite

de chaos rulez un de tes lecteur accidu

ciao from quebec city B) B) B)

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