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Warhammer Forum

Le Médaillon des Quatre


Inxi-Huinzi

Messages recommandés

Invité Kroxigor
Alors que les autres ne lui avaient pas fait de mal, celui-ci lui arracha un cri de douleur et une chaleur intense se propagea dans son crâne. La plaie ne semblait même pas vouloir cicatriser. En regardant de plus près l’arme qui lui avait causé tant de souffrance, il remarqua que c’était un simple chandelier d’argent.

Je ne me rappelle pas les loup-garous craignant l'argent. Suivant mon raisonnemet, j'ai l'impression que tu nous fait un hybride genre loup-garous vampires mais ce serait quand même bizarre ( en tout cas au premir abord, après si c'est expliqué).

Suite très interressante avec un joli massacre.

Pour le nouveau personnage, je ne vois pas trop. L'idée de Lord Valten est très plaisante, voir un enfant grandir seul puis se venger en retrouvant Loriol. J'ai l'impression qu'il n'y aura pas deux personnages, mais quatre, et c'est de là qe viendrait "le Médaillon des quatre".

Après, ce ne sont que des suppositions.

La suite

Kroxigor

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Je ne me rappelle pas les loup-garous craignant l'argent. Suivant mon raisonnemet, j'ai l'impression que tu nous fait un hybride genre loup-garous vampires mais ce serait quand même bizarre ( en tout cas au premir abord, après si c'est expliqué).

Je réponds ceci :

D'un point de vue physique, tuer un loup-garou nécessite quelques précautions, la plus connue des méthodes reste la balle en argent (plus efficace qu'une balle bénite) qui doit tout de même toucher un endroit mortel du corps du lycanthrope, faute de quoi ce dernier ne récoltera qu'une grave blessure. Il est important de signaler qu'un loup-garou tué par balle simple sous sa forme humaine peut revenir à la vie quelques heures plus tard et se transformer la nuit suivante.

Il y a aussi deux autres méthodes efficaces, la décapitation et le feu. Décapiter un loup-garou est une méthode plus sûre que la balle en argent. Brûler un lycanthrope est aussi très efficace mais il n'y guère de chance de l'immobiliser sans risquer sa propre vie, il faut donc le piéger ou le brûler de jour sous sa forme la moins dangereuse.

J'étends plus largement le concept en lui faisant craindre tout argent qui soit :D

Pour le personnage, vous avez trouvé le bon et donner une idée pour l'autre. Vous verrez lequel deviendra important et sera un des quatre ( vu que Kroxi a encore trouvé :ph34r: ) et quel sera... autre chose pour les héros ( que trois, je rappelle ! ) Par contre, ce titre fait aussi appele à une notion dont je parle dont l'intro et que j'ai beaucoup développé dans ma grande biblio :o Ca fait double jeu de mot :ph34r:

Voilà pour quelques réponses qui vous aidront peut être :lol: Prochain chapitre samedi j'espère !

@+

-= Inxi =-

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vu que Kroxi a encore trouvé

On devrai l'empêcher de poster ici^^.

Prochain chapitre samedi j'espère !

j'imprime le calendrier pour cocher les cases :ph34r: .

C'est trop long ( remarque c'est bon pour le suspens).

Sinon pour la suite après avoir relu je parie sur une boucherie à la fin entre les perso qui se disputtent le médaillon?

Parce qu'à moins d'une autre transformation de la part du 2ème perso ( haha g trouvé, non?, bon ba tanpis).

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Bon, ça y est, j'ai tout lu ! (en retard, je sais)

Alors première chose que je note, c'est ton style. Très bien, limpide. Parfois quelques points là où j'aurais mis des virgules mais j'aime les longues phrases et ne suis donc pas objectif. Parfois de petites fautes de style ou de français, ce qui n'enlève rien à la qualité du récit.

Pour ce qui est de l'histoire, elle est fabuleusement racontée. Juste assez d'indices pour qu'on se fasse une petite idée sans pour autant que le suspense ne soit pas au rendez-vous. J'avais tout de suite vu le vocabulaire animal, senti quelque chose à propos des loups. A vrai dire, j'avais imaginé une métamorphose progressive en loup plutôt qu'une lycanthropie, mais l'idée est là. A un moment, j'ai hésité entre vampire et loup. Quelques termes, quelques expressions qui me faisaient douter...

Une petite chose que je regrette, peut-être la seule, c'est que mis à part le coup de la médecine foireuse, on ne ressent pas bien l'isolement du village, le fait que ce soit un endroit reculé. Peut-être qu'il aurait été plus réaliste de donner à tes villageois une mentalité plus arriérée, plus simpliste. La réaction de la foule lorsqu'il devient vraiment évident qu'il n'est plus humain — de lui lancer des pierres — est aussi plus urbaine que rurale selon moi. Un bon paysan d'une contrée si arriérée qu'Altdorf lui parait le bout du monde aurait eu une peur panique, aurait invoqué les dieux, aurait peut-être repoussé le garçon avec une faux, comme on repousse une bête sauvage... Enfin ce n'est que mon point de vue. :)

Enfin tout ça est fort sympa et j'ai assez hâte de voir la suite. Prends ton temps pour tout mettre en place et orchestre nous quelque chose digne de ton début.

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Ben, comme les autres, j'aime toujours autant et ai hâte de lire la suite... donc:

Vivement la suite !!!

Au fait, le "Médaillon des Quatre" aurait un rapport avec les quatre éléments, voire avec le symbole qu'on a pu voir (4 carrés qui n'en font qu'un) ???

Personne n’aurait pensé se voler
"se voler" ???
Loriol s’introduit donc sans mal dans la bâtisse
Pourquoi un présent ?
Il y aurait fallu mieux m’attacher
Sûr pour ce "y"' ?
un coup de hache que Loriol évita qu’en y laissant une blessure au bras gauche
Manque une négation.
D’un coup griffe de l’autre bras
Manque pas un mot ?
la saveur n’avait d’égale que l’expression d’horreur
C'est pas "égal" ?
rivière où plusieurs enfants avaient été jetés dans son nid
C'est pas "lit" ?
à l’heure qui l’était
C'est pas "à l’heure qu'il était" ?
une réserve de viande froide qu’il mit tel quel sur son dos
Y a pas accord ?
un amas de terre plus élevé que les autres se voyait munis
Accord.
Ce fut à son huitième levé qu’il sentit une odeur
C'est pas "lever" ?
un vieux vêtement qui lui cachait les jambes jusqu’au bas ventre
"bas-ventre".
on les avait dit très nombreux
Accord.
ils leur fallaient du bois
"il leur fallait du bois ".
Les stocks étaient à priori vite partis au grand damne du chef du convoi
"dam".
un casque ouvert sur le visage avec pour seule une petite arrête sur le nez en tant que protection
"arête". "pour seule" quoi ?
Ils ne poseront pas problème mais tint tes champions tranquilles
???
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Une petite chose que je regrette, peut-être la seule, c'est que mis à part le coup de la médecine foireuse, on ne ressent pas bien l'isolement du village, le fait que ce soit un endroit reculé. Peut-être qu'il aurait été plus réaliste de donner à tes villageois une mentalité plus arriérée, plus simpliste.

Je vais essayer de reprendre ça plutôt dans la mentalité de Loriol : Vous verrez dans ce chapitre :whistling: A la fois perdu et encore naif ( il a beau avoir grandi vite et etre devenu mature, il en reste pas moins un enfant à la base ! :wink: )

Chapitre 11

-Encore des caisses vides dans celui-ci, capitaine ! Cria un soldat qui devait se trouver juste à côté du chariot que le sien précédait.

Loriol commençait à paniquer. Son instinct lui intimait l’ordre de fuir. De sortir avant qu’il ne soit découvert dans la caisse et que sa marge de manœuvre soit réduite. Mais il ne parvenait pas à bouger, sa concentration étant obnubilée par les bruits de pas de plus en plus proches. Loriol entendit le soldat tirer la toile du chariot ce qu’il lui fut confirmé par l’arrivée de petits rayons de soleil dans sa future bière artificielle. Il pouvait pratiquement sentir l’ombre de l’homme sur sa caisse.

Un garde, visiblement saoul, se rapprocha de l’arrière du chariot. La caisse s’ouvrit et Loriol sentit la lumière l’éclairer. Pourtant aucun cri d’alarme ne retentit. Alors que son instinct le transformait lentement, il ouvrit les yeux car des cris de dégoût le surprirent.

-Ciel ! Ce rustre m’a régurgité son repas dessus ! S’étonna le garde qui n’avait pas eu le temps de voir que Loriol était dans la caisse.

La planche était soulevée mais il regardait dans l’autre sens. Le cœur de Loriol arrêta de battre l’espace d’un instant.

-Qu’est-ce que t’as dit ? Articula difficilement le fautif.

L’autre lâcha la planche pour saisir son arme. Au grand soulagement de Loriol qui stoppa la transformation aussitôt. Il y eut un début de combat au corps à corps qui fut à priori interrompu par le chef mercenaire. La fouille cessa immédiatement et devant cet échec de simulacre de coopération, le chef du poste de garde les laissa passer avant que des évènements plus graves ne surgissent. Le convoi se remit en branle où tout le monde se jeta de noirs regards. Enfin c’était ce qu’imagina Loriol.

Ce dernier comprit rapidement qu’une grande ville était vraiment autre chose que ce qu’il avait connue. Ce fut grâce au bruit qu’il fit cette déduction. Il y en avait beaucoup ainsi qu’un grand nombre d’odeurs dont il ne connaissait pas la moitié. Les chariots s’immobilisèrent dans de grands tremblements. Les voix s’en écartèrent peu à peu. Il sortit pour découvrir une sorte de grand entrepôt. La lumière n’était présente que par petits groupes de bougies. Tous les chariots n’avaient pas été rangés là.

Il devait bien en avoir la moitié. Loriol se rendit vite compte que c’était ceux qui ne contenaient rien. L’entrepôt devait mesurer cent pieds de long sur cinquante de large pour autant de hauteur… Soit le plus grand bâtiment qu’il n’ait jamais vu. Il y avait un réseau compliqué de poutres encadré par des fenêtres poussiéreuses toutes aussi nombreuses. Au centre de l’entrepôt une grosse flaque était alimentée par un trou au plafond. Il en déduisit ainsi qu’il devait être abandonné. Sans plus attendre, il utilisa la porte que les soldats avaient sûrement utilisée.

Il n’y avait plus de traces des personnes qui l’avaient escorté sans le savoir. Une très forte odeur de sel lui agressa néanmoins les narines. Il choisit de ne pas suivre cette odeur de poissons pour aller en sens inverse. Il ne découvrit donc pas immédiatement la mer qu’il délaissa pour le centre de la ville. S’en suivit alors un méli-mélo de chemins, de bruits, d’odeurs, de gens et de cris que Loriol eut rapidement un mal de tête atroce à tel point que sa transformation aurait pu avoir lieu d’un moment à l’autre. Ca ne faisait alors que dix minutes qu’il arpentait la ville. Il s’éclipsa dans une ruelle sombre et fit le point.

Il lui fallait absolument des vêtements car son vieux pagne, ne couvrant que ses parties intimes, ne lui garantissait pas une discrétion à toute épreuve. Cela lui avait été confirmé par les regards intrigués qu’on pouvait bien lui jeter. Il lui fallait aussi absolument à manger. Le manque de viande lui était de plus en plus insupportable et il craignait que ses pulsions ne prennent contrôle de sa raison. Il lui faudrait aussi savoir comment se diriger dans cette ville et un moyen de survivre. Après cela, il pourrait enfin chercher à avoir des réponses.

Il se calma lentement et rétracta ses griffes. La nuit allait bientôt tomber. Il lui fallait un endroit où dormir. Il sortit de la petite ruelle. Il jeta un coup d’œil rapide vers la droite et la gauche et remarqua un attroupement bizarre. Enfin il lui semblait… Des hommes recouverts de plaques de métal parlaient avec des gens qui montraient sa direction. En utilisant son don, Loriol n’entendit que cette simple phrase :

-Bien Madame la Duchesse…

Les hommes de fer semblaient rapidement enjamber la vingtaine de mètres qui les séparait. Son instinct de loup prit le dessus et il prit la fuite tel un moins que rien. Ses poursuivants accélèrent de même. D’un bond agile, il sauta sur le toit à six mètres au-dessus de lui. Les hommes débouchèrent dans une allée vide et ils se demandèrent alors s’ils avaient bien vu l’opportun nu, qui avait troublé le quartier riche, prendre cette route. Ils se séparèrent et Loriol redescendit sans avoir vu l’individu qui l’avait observé depuis l’autre côté de la rue qui donnait sur le passage où Loriol avait réalisé son exploit. L’homme rentra dans les ombres et Loriol à l’entrepôt.

Une fois sur place, il grimpa rapidement sur les poutres pour s’y installer. Le confort n’était pas encore au point mais il ne pouvait dormir dans les chariots sous peine de risquer d’être surpris en cas de retour des marchands. Désormais, il ne pouvait plus se permettre d’aller en ville avant de passer physiquement inaperçu. Dans son village, il y aurait suffi d’aller voir la couturière, qui, soit dit en passant, avait un goût amer, afin d’avoir un nouveau vêtement. Ici, il se demandait même si ces femmes existaient.

Il s’endormit en fin de cette douce après-midi dans une position qui aurait provoqué, pour un humain normal, un mal de dos extraordinaire. Quand il se réveilla, alors que la nuit venait juste de tomber, il remarqua que, lui, il ne l’était pas. Il se décida donc à utiliser ce perchoir tant qu’il ne trouverait pas mieux. Il descendit à l’aide des parois de l’entrepôt et gagna le centre de la cité, beaucoup plus calme que dans l’après-midi mais toujours aussi agitée. Il erra une bonne heure, une heure à se cacher et à se dissimuler, avant de trouver ce qu’il cherchait. Une maison encastrée dans un édifice plus grand sur la façade de laquelle pendait un petit écriteau sur lequel était dessiné une grossière robe.

Il s’en approcha simplement et frappa trois coups puissants qui firent frémir la porte sur ses gonds. Il dut attendre une bonne minute avant qu’un volet ne s’ouvre au-dessus de lui.

-Qui vais-je faire jeter aux oubliettes pour m’avoir tiré du lit ? Tenta de crier un homme à la voix rauque.

-C’est moi, Loriol ! Répondit naturellement l’autre. Je voudrais des vêtements !

-Je vois ça ! Continua de brailler l’autre ! Mais c’est pas une heure pour quémander ! Reviens demain avec ton sou !

Il claqua le volet. Loriol hésita entre enfoncer la porte pour faire subir ensuite le même traitement à l’homme ou essayer de s’intégrer correctement. Il opta pour la deuxième solution. Il se posa alors une question : qu’est-ce que c’était un sou ?

Il fit demi-tour et se dirigea vers la maison qui ressemblait beaucoup à l’organisation du souper dans son village : plein de tables, des gens qui mangeaient, parlaient et buvaient. La différence était que c’était dans une salle et que la majorité des gens présents étaient des hommes et pas des moindres… L’ambiance avait l’air d’être à la fête et dans son village, les bagarres n’étaient pas rares. Loriol hésitait donc à entrer et par sa tenue, et par le fait que si cela dégénérait, il risquait de se transformer sans le vouloir et mettre à bas sa discrétion.

Quelque chose l’écarta vivement de la porte d’entrée. Deux guerriers, au moins aussi grands que lui, le toisèrent de haut. Loriol géra la montée d’adrénaline et cacha ses dents qui avaient poussé.

-Mes chefs, tenta Loriol par une formule maladroite et ironique. Auriez-vous un sou pour moi ?

Les deux autres se regardèrent et rirent.

-Evidement ! Mais tu peux attendre sous l’orme, vilain !

Ils rirent de nouveau et entrèrent dans l’auberge. Loriol resta sur le bas de la porte. Une caractéristique qui lui avait été octroyée par la morsure de loup avait été une prudence hors du commun. Tant que la situation n’était pas clairement à son avantage, il évitait de bouger. Et c’est ce qu’il fit en laissant les barbares partir ainsi. En tout cas, il avait une réponse : tout le monde semblait avoir des sous avec lui.

Il partit vers l’endroit où il pensa trouver des cibles faibles : soit le quartier où il avait été chassé le matin même. Par précaution, il passa par les toits où il ne lui sembla pas être seul. D’autres silhouettes semblaient arpentées ce chemin détourné. Une patrouille d’hommes armés et recouverts de plaques de fer passa bruyamment en dessous de lui. Il les regarda disparaître sous la lumière vacillante de leurs torches. La nuit était des plus noires et la lune n’était qu’un fin croissant. Quelqu’un approchait pensant être plus furtif que le vent. Loriol vit clairement que c’était un enfant même si sa vision nocturne ne l’aidait qu’à distinguer les contours. Il avait peur, cela se sentait et Loriol s’en réjouissait. Ses bras étaient plaqués contre son torse et semblaient protéger quelque chose.

L’homme au sang de loup sauta pour tomber juste devant le fuyard. Celui-ci hoqueta et tomba sur son séant laissant échapper un baluchon de cuir. Loriol fit mine de s’en saisir mais le garçon se jeta dessus bravant sa peur.

-Donne-moi ça, ordonna Loriol.

-Plutôt trépasser ! C’est ma déserte nocturne ! Laisser moi continuer mon trac, je vous l’ordonne ! Tenta-t-il de dire en sortant une petite dague.

Loriol laissa sa rage l’envahir et ce que vit le garçon lui provoqua une terreur indéfinissable. Notre parricide vit une tache sombre colorier le pantalon du garçon et il lâcha la bourse au sol. D’humeur clémente, Loriol ne prit que le sac, lui laissant sa vie, et partit.

Le jeune voleur regarda partir l’homme loup. Il avait perdu son butin du jour mais il avait gagné une bonne frayeur ainsi qu’une information qui confirmait les rumeurs qui circulaient et lui permettrait peut-être de racheter son retour les mains vides. Il prit alors une route similaire à celle de Loriol laissant l’autre repartir avec ses couronnes d’or.

@+

-= Inxi =-

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Moi je trouve cette suite , ton histoire me fait pensé par quelques cotés a l 'ascension , la ville , le jeune héros , l'incomprehension ... ainsi que le style d 'écriture ( heu ...normal non ? :wink: )

J'ai hate de voir comment il va se debrouiller seul dans cette ville , sans logement , sans argent , sans meme savoir ce que tout ca signifie ...

La suite

++

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Invité Kroxigor

Il est vrai que le début ressemble fortement à celui de l'Ascension mais et alors? :o On sait très bien qu'à la fin, ça ne ressemblera pas du tout à l'Ascension. :wink:

Le caractère niais et l'isolement de Loriol ressortent vraiment bien dans cette suite :o . On sent qu'il est perturbé et qu'il ne sait pas quoi faire. Il n'agit que par instinct.

Par contre, il est un peu idiot de ne pas avoir tué le gamin mais je suppose que cela va avoir une grande incidance sur le récit. Guilde des voleurs par hasard? :wink:

Donc au final, très bien et un appétit de loup-garou appaisé jusqu'à la prochaine suite (attention mon besoin de suite va crescendo :P ).

La suite

Kroxigor

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Dans son village, il y aurait suffi d’aller voir la couturière, qui, soit dit en passant, avait un goût amer, afin d’avoir un nouveau vêtement.
... :wink:

Toujours pas de signe du "Médaillon", mais Loriol fait son petit bonhomme de chemin, m'enfin... m'étonnerait qu'il ne fasse pas de vagues... j'ai hâte de voir comme il va régler l'affaire des vêtements, donc :

Vivement la suite !!!

Loriol entendit le soldat tirer la toile du chariot ce qu’il lui fut confirmé
"qui".
Il devait bien en avoir la moitié.
Maanque un "y".
le plus grand bâtiment qu’il n’ait jamais vu
Sûr pour cette négation ?
il utilisa la porte que les soldats avaient sûrement utilisée.
Echo.
S’en suivit alors un méli-mélo de chemins, de bruits, d’odeurs, de gens et de cris que Loriol eut rapidement un mal de tête atroce
"S’en suivit alors un tel méli-mélo...".
Ses poursuivants accélèrent de même
Pourquoi un présent ?
Evidement ! Mais tu peux attendre sous l’orme, vilain
Manque une lettre.
D’autres silhouettes semblaient arpentées ce chemin détourné
Infinitif.
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Ah, verrait-on un nouveau personnage apparître (si je me suis fait grillé, bin tant pis).

Loriol a quand même vagabondé un moment avant qu'on le choppe, normal? Mais bon... Autrement, tu recrée bien la ville glauque et sombre... Du tout beau quoi!

On attends la suite!

Ecthelion

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Invité chaos rulez

et bien qu'est ce que je n'appercois pas en revenant de mon pensionnat

.......la suite d'une saga que j'aime bien suivre......

et bien loriol a l'air de savoir bien adapté a la ville

que vas t'il faire par la suite seul le prochain post de inxi nous le dira

ciao from quebec city B) B) B)

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Je vais essayer de reprendre ça plutôt dans la mentalité de Loriol : Vous verrez dans ce chapitre wink3.gif A la fois perdu et encore naif ( il a beau avoir grandi vite et etre devenu mature, il en reste pas moins un enfant à la base ! tongue.gif )

Complètement perdu, même. Je me suis bien amusé en lisant ceci. Vraiment. Peut-être la meilleure partie du cycle à mes yeux. Je ne sais pas exactement à cause de quoi, peut-être l'ambiance rendue, peut-être l'attitude de Loriol...

En tout cas, félicitations et surtout : la suite !

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  • 2 semaines après...
Invité chaos rulez

Mais que ce passe t'il cela fait presque 2 semaine que nous n'avons

pas eu de nouvelles de ce fabuleux recits. Allez Inxi une suite prochainement

svp

un chaos rulez qui a bien hate de savoir la suite de cette histoire enlevante

ciao from quebec city B) B) B)

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Désole pour le retard ! Pour les deux dernières semaines, je fêtais mes conscrits ( une semaine au taquet pour tout préparer et l'autre où je les fêtais :clap: ) Bon voici donc la suite à la découverte d'une ville. Je laisse des indices même si vous pensez qu'il ne se passe rien ^_^

Chapitre 12

Comme promis, Loriol revint le lendemain matin de très bonne heure par le même chemin afin d’éviter d’éventuels ennuis qui fourmillaient dans cette ville. Quand il arriva, heureusement sans se tromper chez le commerçant, il se rendit compte qu’il aurait pu venir plus tôt car l’homme avait déjà ouvert. Loriol entra dans la boutique, visiblement vide, mais son nez lui indiquait le contraire.

Les vêtements étaient pendus au plafond par une simple corde reliée à une barre de fer. Parmi ce labyrinthe de soie, son interlocuteur finit par apparaître. Il semblait aussi fatigué que la veille mais plus réveillé, ce qui en soi se comprenait. Il ne reconnut Loriol que par son accoutrement.

-C’est toi le malotru qui a cassé ma nuitée ?

-Effectivement, répondit Loriol sans voir où était le problème.

-En plus, d’autres personnes piétonaient hier et sont passées juste après. Impossible de dormir dans cette maudite cité ! Se plaignit l’homme.

-Que voulaient-ils ? Demanda-t-il.

-Ils voulaient savoir si tout allait bien… en gros…

Il changea de conversation.

-Bien, alors trouvons-toi des habits.

Il s’éclipsa dans les rayons laissant la soie voleter de toute part. Il fit de brèves réapparitions comme s’il évoluait dans un labyrinthe aux mille et un couloirs. Il réapparut avec dans les mains une veste sans manche de couleur marron et un pantalon de couleur similaire garni de petits trous. Comparé à ce qu’il y avait dans la boutique, ces habits semblaient déjà utilisés.

-Tiens, pour toi, cela devrait être à ta taille. Maintenant, montre-moi ta clicaille.

Loriol sortit son sac rempli d’or et le posa sur la table. Le vendeur répondit sans le savoir à une question que se posait le loup-garou. Aux yeux qu’il fit, Loriol comprit qu’il disposait d’une somme d’argent plus que raisonnable. Quand il invita l’homme à se servir, celui-ci ne se fit pas prier. D’après le bruit que firent les pièces, l’homme avait pris une grosse poignée. Loriol grogna et laissa apparaître deux crocs. Le marchand pâlit et ne garda qu’une pièce cuivrée. Le loup humain prit ses affaires et sortit.

Il fallait qu’il trouve un emploi avant que sa réserve ne soit vide. Il retourna donc à son entrepôt et cacha sa bourse entre une poutre et le toit. Il recula en équilibre et vérifia qu’on ne la voyait pas. Une fois chose faite, il redescendit et s’enfonça dans le cœur de la ville même si cela l’angoissait. Il n’avait pas l’habitude d’une foule si compacte, de tant de bruit et de mouvement. Il avait l’impression d’être tout le temps agressé. C’est pour cela qu’il décida de délaisser les artères usées par les passages pour utiliser les sombres et étroites ruelles de la ville.

Elles étaient plus crasseuses et moins sûres mais il se sentait néanmoins chez lui. Sa première tentative d’emploi fut chez un armurier. Mais son manque d’expérience dans la forge et encore plus dans celui des armes ne lui laissèrent aucune chance d’être embauché. Il prospecta à travers toute la ville mais personne ne voulut de lui. La seule chose qu’il savait vraiment bien faire était le travail au champ mais en pleine ville cela ne lui servait guère. Il eut presque la tentation de trouver un travail dans une ville plus petite. S’il y avait celle-ci ici, il devait en exister des plus rurales, espéra Loriol.

La journée s’achevant, il décida d’aller regarder le coucher de soleil par delà la mer. Ce spectacle, il l’avait admiré plus tôt dans la journée. Son impression avait été partagée entre une peur de cet élément et la beauté fascinante de cette puissance incontrôlable. Comme pour tester son courage, il s’assit sur les quais au bord de l’eau sur de la pierre encore sèche. Le sel lui fouetta les narines mais Loriol se concentrait plus sur le bout de viande qu’il mâchouillait. Il l’avait acheté en passant en ville et il ne le regrettait pas. Ce goût lui avait étrangement manqué mais il ne ressentait pas de soulagement, comme s’il en avait mangé avant sans le savoir.

Cette pensée fut chassée par un rayon vert qui se refléta sur l’eau. Loriol fut un instant ébloui et il jeta l’os de la viande juste devant un bateau qui rentrait au port. C’était un navire de taille moyenne. Pour une dizaine d’hommes, à ce moment précis, c’était des pêcheurs. Ils rentraient après une fructueuse pêche. Les cales semblaient lourdes et le bateau ne semblait pas aussi à l’aise que s’il avait été vide. Un des marins apostropha Loriol qui se léchait les doigts.

-Toi là-bas ! Viens nous acointer !

Notre exilé regarda autour de lui pour être sûr qu’on s’adressait bien à lui et se leva.

-Aide-nous à décharger et je te donnerai quelques piécettes.

Décidé à saisir sa chance de gagner sa vie, Loriol se mit au travail avec tant d’ardeur que les autres marins trouvèrent superflu de lui donner leur aide. Une fois sa besogne accomplie, le chef des pêcheurs lui donna quelques pièces de cuivre comme lui avait pris le matin même le vendeur. Loriol fut désappointé de voir qu’il était si peu payé après tant d’efforts. Il eut presque du mal à cacher, physiquement, sa déception. Pourtant il supporta son odeur de poisson bien décidé à s’intégrer dans ce monde-ci. Il comprit alors que son premier métier serait d’aider les bateaux à décharger. Au moins personne ne lui poserait de question vu qu’il abattait le travail comme cinq.

Les pêcheurs s’en allèrent sans même un mot de remerciement, sûrement pressés de rentrer voir leur femme… ou aller à la taverne la plus proche. Fatigué mais aussi peu capable de savoir comment il était arrivé là, Loriol s’endormit au milieu de cordes et de tonneaux renversés. La posture était peu confortable mais cela lui allait quand même. Il fut réveillé brièvement par des bruits de chuchotements et de bois qui grince mais les activités nocturnes de certains ne l’intéressaient guère. C’est pourquoi il se rendormit rapidement.

Le bruit lancinant des cloches des bateaux au petit matin l’irritèrent vite. Il hurla dans la brume matinale pour que cela cesse. Heureusement pour lui, tous crurent avoir rêvé dans ce brouillard persistant. Loriol se maudit d’avoir choisi cet endroit ainsi que ces marins qui ne dormaient jamais. Ce fut donc à l’aveuglette qu’il déambula dans les rues de la ville afin de se trouver de quoi manger. Il trouva un petit magasin dont le stand fumant venait à peine d’être mis en place. Il prit du pain ainsi qu’une pomme déjà dévorée par les insectes et cela lui coûta la moitié de sa paye de la veille. Il eut presque envie de manger le vendeur mais il calma ses pulsions.

Il comprit rapidement qu’il lui fallait un autre métier sinon il était condamné à dépérir lentement. Pourtant quelque chose lui disait qu’avec cette odeur de poisson, ses habits usés et sa naïveté, il allait avoir beaucoup de mal. Il pouvait éliminer deux problèmes en s’achetant d’autres habits mais seule l’expérience lui apprendrait ce qu’il devrait savoir. C’est pourquoi il passa d’autres nuits à aider les dockers afin de gagner à peine de quoi vivre. Loriol se rassurait en se disant qu’en cas de pépin, il pourrait toujours taper dans sa réserve. Il dut notamment le faire lorsque le lendemain, un orage éclata clouant tous les bateaux au port.

Loriol dormit sous une corniche formée par deux coins d’entrepôt. Cela ne le protégeait pas du froid ni même des rares pluies qui le touchaient lors de fortes rafales de vent mais cela lui suffit. Il sentait même les rats, et d’autres créatures, venus s’assurer que de la viande chaude n’était pas à disposition. Il était de plus en plus sale mais la mer toute proche avait au moins cet avantage de se débarbouiller tandis que les flaques fournissaient de l’eau potable. De piètre qualité mais c’était mieux que rien.

Au déchargement suivant, Loriol demanda aux pêcheurs s’ils ne connaissaient pas un endroit où il pourrait se faire embaucher.

-Je mécroie qu’à l’auberge du croisement, ils cherchent du monde ! Dit l’un d’eux. Comme d’habitude, ajouta-t-il.

-Par où dois-je aller ? Demanda Loriol prêt à tenter sa chance.

-Aide-nous à décharger et on t’y conduira, c’est sur notre route.

Loriol se mit alors au travail si bien qu’en l’espace d’une petite demi-heure, tout fut bouclé. Avec toujours autant de paroles échangées, Loriol suivit ses mandataires dans la direction qu’ils prenaient tous les soirs. Après dix minutes à marcher pendant lesquelles il se demanda si on ne l’emmenait pas dans un traquenard et où il lorgna tous les recoins par lesquels ils passaient, ils rejoignirent un endroit plus fréquenté de la ville. Ils ne lui dirent pas au revoir, se contentant de le pousser dans la bonne direction.

Loriol vit rapidement qu’il allait dans la même direction que de massifs et impressionnants guerriers. Mais il y avait aussi des hommes dont les accoutrements ressemblaient à ceux des marchands dans la caravane desquels il s’était caché. Il trouva rapidement l’établissement, enfin il le supposait car ne sachant pas lire, il ne pouvait pas le confirmer. Juste à côté de la porte, il y avait un écriteau usé par les intempéries où était dessiné quelque chose qui ressemblait à une troupe d’hommes partant au travers des collines. A première vue, cela ressemblait à une armée partant en campagne. Mais pour la même raison que précédemment, il ne savait pas interpréter l’écriture qui accompagnait le schéma.

Il entra dans l’auberge à la suite de deux jeunes femmes aux cheveux courts. La bâtisse était très simplement construite. Une seule salle et une mezzanine à trois mètres du sol. Il y avait une autre porte de l’autre côté de la pièce et Loriol se demandait où elle menait. Entre ces deux sorties, c’était un enchevêtrement d’individus criant, riant, jouant, mangeant ou chantant. Loriol se fraya un chemin au travers de la salle, lui qui était déjà mal à l’aise dans les rues, il l’était d’autant plus ici où il n’y avait pas de place. Là des barbares trinquaient à un antique combat, là, un barde chantait les louanges d’un héros disparu, là une serveuse nettoyait une table après un repas agité, ici deux gardes discutaient avec un homme se tenant derrière le comptoir.

D’un autre côté, on pouvait voir une foule mixte lancer des haches contre une cible, ou encore des nains s’occupant à la prestidigitation tandis que de l’autre, deux hommes aux longes robes noires étudiaient une carte. Après avoir vu que l’autre porte débouchait sur ce qui ressemblait à des écuries, Loriol trouva par chance une chaise inoccupée près de l’entrée. Un homme musclé et peu vêtu lui tapa sur l’épaule.

-C’est ma place ! Grogna-t-il.

Loriol fit mine de regarder autour de lui.

-Ah bon ?

L’homme lui attrapa le poignet et Loriol se leva d’un bond pour faire face au belligérant. Les deux hommes se serraient le poing mais notre loup savait qu’il pourrait lui briser d’un moindre effort. Il ravala sa colère et laissa la chaise à l’homme. Loriol s’en trouva une autre plus loin.

-Il ne fait pas bon de chercher querelle au videur des lieux, dit un paysan coiffé d’un chapeau de paille. Le patron est las de se trouver nouveaux disciples.

Loriol tourna son regard vers le videur à qui il avait pris la place. Une idée de travail avait germé dans son esprit mais pour cela, il lui fallait une bagarre. Les esprits s’échauffèrent quand on entendit :

-Les mercenaires désirant travailler pour notre saint Empereur sont priés de venir près de cette table !

Loriol comprit quel métier les pêcheurs pensaient qu’il aurait pu faire. Mais cela ne l’enchantait pas. Il suffisait qu’il manque de viande pour qu’il dévore ses propres camarades… Une file commença à se faire laissant de nouvelles places libres dans la salle. Loriol s’approcha de guerriers un peu éméchés.

-Vous pensez quoi du videur ? Dit le loup en imitant un homme soûlé.

-Il ressemble à un pandeloche ! Cria pratiquement l’un d’eux en provoquant l’hilarité de ses amis.

-J’ai pas entendu, fit semblant Loriol pour que celui-ci répète. Bois un coup, ça t’aidera ! Dit-il en poussant la choppe vers ce dernier.

-T’as raison, mon garçon ! Se réjouit-il en l’attrapant.

Loriol s’éclipsa près du bar.

-Excusez-moi ! Apostropha-t-il l’aubergiste.

Celui-ci ne l’entendit pas.

-Tavernier ! Cria-t-il presque.

Les vingt personnes proches se retournèrent à l’unisson avant de se remettre aussitôt à converser.

-Regarde ! Ajouta Loriol en pointant le videur pour l’instant inactif.

L’ivrogne debout, se ballotant de droite à gauche, qui se rapprochait du videur prouvait que la paix dans la salle n’allait pas durer… pour la plus grande joie de Loriol.

@+

-= Inxi, conversation... de l'époque !!! :-| =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Invité chaos rulez

et bien notre petit Loriol est futé

il sait comment se débrouillé dans la grande ville

il vas surement devenir videur

et il vas avoir tout plein de bagarre de soulons(youppiiiiiiiiiiiii :clap::-|^_^ )

et bien vivement la suite(esperons ke l'attente sera moin longue ce coup si)

ciao from quebec city B) B) B)

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Invité Kroxigor

Fûté le Loriol et il demande pas grand chose.

Videur, mouais. Il va pas le rester longtemps. Il va se faire remarquer puis enroler dans une quelconque garde d'un quelconque baron ou d'une princesse ou même dans l'armée.

Ces deux semaines d'attente ont bien été mises à profit. Quelques fautes de frappe, une ou deux de syntaxe mais sinon c'est du tout bon.

La suite! J'ai une faim de loup moi! Je me ferais bien un marchand. :clap:

Kroxigor ( j'ai jamais le temps d'écrire et de lire à cause des devoirs).

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C'est vrai qu'il est malin, notre Loriol, mais je pense pas qu'il va longtemps se contenter d'être videur; il doit avoir d'autres ambitions, d'autres plans... que j'ai hâte d'apprendre, d'où:

Vivement la suite !!!

Il semblait aussi fatigué que la veille mais plus réveillé, ce qui en soit se comprenait.
"soi", non ?
d’autres personnes piétonaient hier et sont passés juste après
Accord.
Tiens pour toi, cela devrait être à ta taille.
Une "," après "Tiens" ferait bien, je trouve.
Sa première tentative d’emploi fut dans un armurier.
"chez un armurier",ou "dans une armurerie".
comme s’il en avait mangé avant sans le sa voir.
Typo.
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Vous l'attendiez et moi aussi : la suite ! Je pensais jamais y arriver !!!!

Chapitre 13

L’ivrogne avança, chope à moitié remplie, titubant toujours autant en direction du videur, assis sur sa chaise. Il le regarda comme s’il venait d’un autre continent et s’assit sur ses genoux en l’enlaçant pour mieux lui parler. Loriol se mit dans un coin plutôt vide de la pièce et s’assura du coin de l’œil que le patron suivait la scène des yeux. Le soûlard continuait de parler ce qui, à coup sûr, n’avait de cesse d’exténuer l’autre protagoniste. Il l’aida soudain à se relever gentiment ce que l’éméché prit paradoxalement pour une insulte. Il lui dit quelque chose qui ressemblait fortement à l’injure qu’il avait dit à sa table.

Le videur ne put se retenir, même se sachant observé par son mandataire, et frappa d’une claque puissante le grossier individu. Même si le coup porté n’avait pas pour but de blesser, il fut donné avec tant de force et l’individu en face ne tenant plus sur ses appuis, que ce dernier s’écroula sur une table, brisant une partie d’un jeu quelconque. Les dés n’avaient pas fini de rouler que les poings entre les joueurs s’abattirent rompant ainsi une tension qui s’était accumulée avec l’alcool et les suspicions de triche. Le videur voulut arrêter la bagarre qu’il avait lui-même lancée mais sa taille commune ne lui permit pas de mettre sa volonté en œuvre.

Les clients, pour la plupart fort heureux de pouvoir se défouler, se lancèrent avec plaisir dans la mêlée. Au départ, cela ne restait qu’un endroit où une lutte de plusieurs dizaines de corps essayait de montrer qui était le plus viril de tous, même avec les quelques femmes qui se battaient. Ensuite, le combat se dissipa en quelques groupes à travers la salle où les chaises, les tables et les autres clients servaient d’armes. Heureusement, ils étaient encore assez lucides pour ne pas sortir leur vrai arsenal. Loriol, voyant que le combat s’était écarté de lui, s’approcha du patron qui ne savait plus où donner de la tête et qui contemplait la scène avec dégoût. Le loup homme vit rapidement que celui-ci étreignait une hache, prêt à s’en servir au moment où quelqu’un voudrait profiter de la confusion pour venir se servir.

-Avec la promesse de travail, je vous arrête cette bagarre ! Cria Loriol par-dessus le tumulte.

Le tavernier le regarda lentement, à la fois pour se souvenir que c’était lui qui l’avait prévenu quelques minutes auparavant et aussi pour être sûr de n’avoir pas rêvé la phrase.

-Tout ce que vous voudrez mais arrêtez-les !

Loriol enjamba un homme évanoui, s’approcha de la sortie et ouvrit la porte. Il se dirigea ensuite vers un couple de combattants et attrapa le premier par le col comme l’aurait fait une mère chat avec l’un de ses petits. Il fit lentement demi-tour et le jeta comme une poupée de paille par la porte où il finit par une roulé-boulé sur les pavés de la rue. Quand Loriol se retourna, il vit que l’autre homme était désormais assis à l’opposé de la porte, sagement en train de fixer un mur. L’humain réprima un sourire et s’occupa d’un autre groupe. Une fois ce ménage fait, les combats s’arrêtèrent d’eux-mêmes, les bagarreurs peu envieux de subir le même sort que ceux qui gisaient dans la rue.

Loriol les força même à remettre un peu d’ordre dans la pièce. Il évacua aussi les hommes au sol qui avaient perdu connaissance, dont l’ancien videur faisait parti.

-A la prochaine ! Murmura Loriol en lançant l’homme sur une pile d’une dizaine d’individus.

L’aubergiste lui dit de prendre ses fonctions dès à présent alors qu’il allait voir la garde afin que les belligérants passent une nuit à méditer sur ce qu’ils avaient fait. Loriol sonda la pièce et réfléchit lui aussi à ce qu’il venait de se passer. Au départ, il n’avait seulement pas aimé que l’ancien videur lui demande de partir et son seul but en déclenchant cette bagarre avait été de récupérer la chaise. Il n’avait saisi l’opportunité du travail qu’au moment où on le lui avait proposé. A partir de là, il n’avait ouvert la porte que pour faire un peu d’air et aussi attendre que les combattants se fatiguent. Il prenait moins de risque à ce que quelqu’un le touche même si des matières argentées n’étaient pas en possession des combattants. Condition à laquelle Loriol ne serait même pas intervenu.

Maintenant assis en équilibre sur son vulgaire tabouret, le nouveau videur du lieu regardait, sans réellement prendre à cœur son travail, que personne ne trouble un équilibre encore fragile. A la fin de la soirée, le patron vint le voir, le torchon servant à nettoyer les tables encore tout humide.

-Une soirée conchière, hein ! Mais bon, ta présence a pas eu l’air de dissuader les derniers trouble-fêtes ! Je les ai vus revenir après que la garde soit passée !

-Cela changera ! Déclara Loriol avec un petit mouvement de tête.

-Oh ! Tu es bien mystérieux comme écuyer, abandonna l’aubergiste de nouer une conversation. Tant que tu cravaches dur, moi je te paye.

Il se releva du banc et commença son ménage. Par politesse, Loriol demanda s’il pouvait aider. A son grand soulagement, l’homme le congédia et lui demanda d’être là le plus tôt possible le lendemain après-midi. Le videur ne prit pas la peine de répondre vu qu’il ne savait déjà même pas où dormir. Il allait sûrement redormir tel un marin ivre au milieu des cordes et il serait réveillé avant même le soleil. Il n’osa pas demander à son mandataire s’il savait où il pourrait dormir de peur de faire mauvais genre.

Quand Loriol mit le pied dehors, il remarqua l’absurdité de sa remarque. Il faisait presque jour, preuve que les pêcheurs devaient être déjà en activité. Il croisa beaucoup de monde en cette nouvelle journée, il ne pensait pas qu’autant de personnes arrivaient à s’extraire du lit en si bonne heure. Par un hasard quelconque, il reconnut une des rues qui menait à l’entrepôt. Le problème, c’était qu’il ne se rappelait déjà plus comment il était arrivé là. Il serait facile de trouver la taverne en allant au port mais il serait encore sûrement perdu les autres jours.

Il soupira et rejoignit l’entrepôt. Au moins pour vérifier que son trésor était toujours là. Il remarqua néanmoins que le propriétaire du bâtiment avait dû faire un saut car de nouvelles fournitures étaient apparues. Ce n’étaient que des déchets mais cela prouvait quand même qu’il restait de l’activité et qu’il fallait être prudent. Il y avait des morceaux de ferrailles, des tabards et du bois éventré. Avec ce petit mélange, il se fit un petit nid en hauteur relativement discret dans lequel il s’endormit. Avant cela, il remarqua à travers les tuiles manquantes du toit une lune ronde et complète qui ne voulait pas encore s’effacer devant le soleil. Loriol se compara à cet astre avant de sombrer dans un autre monde de façon rapide et étonnante.

Un puissant rayon de soleil lui brûlant la rétine le réveilla. Il se rendit vite compte que le soleil était au zénith et qu’il était en sueur. Sans plus attendre et quelques forces lui étant revenues, il se laissa tomber d’une hauteur qui aurait tué n’importe qui et s’enfuit vers la taverne. Il ne prendrait sûrement pas son service avant quelques heures mais, les bagarres pouvant aussi arriver de jour, il fallait être prudent.

Les passants ne le regardaient plus avec un œil choqué maintenant qu’il était habillé mais Loriol ne se sentait pas encore dans son monde. Le quartier ressemblait pourtant un peu à sa ville… mais en plus étroit et resserré. Les maisons semblaient un peu bancales et la chute d’une aurait sûrement, pensa-t-il, provoqué la chute des autres tel ce jeu de domino dont étaient si friands les gens de sa ville. Des femmes au balconnet plongeant attendaient parfois sur le parvis d’une bâtisse, des musiciens itinérants jouaient sur une place à côté de leurs baluchons fermant attachés par des lacs de soie. Devant certaines auberges, le chef s’occupait à faire le fricot pendant que les premiers clients buvaient leurs premiers verres de grog. Après ce spectacle d’une journée banale, Loriol entra dans son auberge pour la première fois en plein jour.

La salle était remplie par un groupe de mercenaires et un autre de deux marchands qui étaient attablés avec le patron de l’endroit. Ce dernier fit signe à Loriol de venir et de s’asseoir en silence.

-Comme je vous le dis ! Dit l’un des deux hommes que Loriol ne connaissait pas.

Il était grand et maigre, immangeable en déduisit le loup. Il était vêtu d’un long chapeau qui ressemblait à son nez et empestait une huile odorante qu’il devait utiliser pour camoufler son odeur âcre. L’autre était légèrement plus petit et semblait moins bavard, plus discret, il sondait la salle presque vide et dévisageait parfois Loriol. En soi, un homme dangereux. L’autre reprit la conversation par un bref résumé pour que le nouveau intervenant comprenne.

-J’ai donc vu un drôle de convoi arriver en ville ce matin. Des enfants tout apeurés et accompagnés d’éclaireurs de la ville. Ils les ont trouvés près de la rivière. Après ils les ont conduits pour qu’ils deviennent oblats. Alors on a un peu continué en direction du monastère mais impossible de rentrer. On a donc… soudoyé un moine pour qu’il nous dise ce qu’il se tramait. Les enfants viennent d’un village perdu au sud d’ici, un homme se serait transformé en bête et aurait dévoré un village entier.

Loriol déglutit lentement. Se pouvait-il que des personnes se soient échappées de son carnage ? Les loups auraient dû les rattraper ou tout du moins, la rivière aurait dû les achever. Il était vraiment maudit pour que des esprits aussi faibles se soient échappés. Il avait envie de tuer tout ce qui lui rappelait ces monstres qui avaient décrété qu’il n’était plus des leurs. Il grogna comme seul un loup savait le faire. Les autres lui tournèrent un regard choqué. Loriol se racla la gorge et fit un signe de main pour qu’il continue.

Il repartit dans des suppositions et Loriol n’écouta que d’une oreille distraite. Il fallait qu’il élimine ces derniers vestiges de son passé. Il devait tuer ces enfants. Non, rectifia-t-il mentalement comme si sa conscience le rassurait. Il avait recommencé une nouvelle vie, il devait s’en convaincre. Il mit doucement ses mains sur ses genoux et tenta de se calmer. C’était un évènement assez regrettable et Loriol se serait bien passé que son passé empiète sur son présent.

Il espérait également qu’aucun de ses partenaires de jeu ne se souviendrait de lui si jamais ils devaient se croiser dans la rue. Loriol ne se faisait pas beaucoup d’illusions, il courait un danger permanent. Son seul avantage était que les enfants ne savaient pas que Loriol était dans la même ville qu’eux. Il devrait être tranquille. La conversation redevint intéressante. L’homme parla moins fort, se pencha en avant, rapidement imité par les autres, et regarda de droite à gauche avant de dire.

-Il paraîtrait même que les plus hautes instances cléricales se mettent sur l’affaire.

Sa voix n’avait été qu’un murmure.

-Cette bête est une engeance du démon. On s’en portera que mieux quand elle aura été traquée, achevée et que son corps brûlera !

Loriol espérait bien qu’il n’en arriverait jamais là. Il se permit une question qui lui trottait dans la tête.

-J’espère qu’ils n’arrêteront pas avant de l’avoir trouvé.

Le patron fit une moue dubitative et le marchand au grand nez répondit :

-Il y a quand même peu de chance. Je prédirai qu’une expédition partira dans quelques jours mais que si les pistes ne mènent à rien, ils abandonneront en attendant qu’une affaire ne resurgisse. Ca sera mis au placard jusqu’à ce quelqu’un dédaigne la déterrer. En attendant, ce monstre parcourt tranquillement nos terres.

Loriol eut envie de sourire et de lui dire qu’elle pouvait être bien plus près que ce qu’il pensait. L’assemblée se dispersa lorsque deux jeunes hommes entrèrent dans le bar. Ils tentèrent d’y sembler à l’aise mais Loriol pensait que ce n’était pas leur lieu de prédilection. Le tavernier retourna derrière son bar tandis que son acolyte près de la porte. Le deuxième rejoignit rapidement le premier à une table, celle qui se trouvait dans le coin le plus opposé de la porte. Leurs yeux restaient néanmoins braqués dessus. Loriol sentit rapidement cette odeur de peur et de sang qui les entourait. L’un d’eux devait être blessé. Même s’il l’était légèrement, ce fumet était omniprésent.

Malgré les messages de sa prudence exacerbée par le sang de loup qui coulait dans ses veines, il ouvrit la porte de la taverne et entra en collision avec un groupe d’individus qui couraient. Quatre personnes, dont Loriol, tombèrent au sol. Tous ne purent pas se réceptionner comme il faut et plusieurs tombèrent tête la première laissant échapper un certain équipement de leur ceinture. Les rapières au sol, ils se dépêchèrent de les ramasser avant que la garde ne les remarque. Ils jurèrent, demandèrent à Loriol de remercier le ciel qu’ils n’aient pas le temps de s’attarder et s’éloignèrent en regardant dans chaque rue.

Les deux jeunes bourges avaient vu la scène et Loriol reçut alors quelque chose qui ne lui avait jamais été adressé : de la reconnaissance. A ce moment, le loup retrouva sa mauvaise humeur et eut envie de leur dire que si ça s’était passé comme ça, c’était parce qu’il ne s’attendait pas à les trouver de l’autre côté et parce qu’il ne voulait pas de grabuge dans son établissement. Il avait pratiquement doublé sa paye et il était prêt à tout pour la garder. Même s’il devait aller chercher les freluquets pour les livrer à ces types. Loriol soupira, il avait l’impression que ce genre d’évènement allait devenir une routine et qu’il allait voir de drôles d’énergumènes.

Pourtant cette nouvelle soirée fut calme. Le patron lui dit alors que les clients tâtaient l’ambiance et les limites du nouveau videur avant de remettre un charivari digne des enfers. Loriol apprit ça après s’être fait attaquer dans une ruelle par un chat hystérique. Cela lui avait semblé n’être qu’une anecdote mais ces animaux-là ne l’aimait pas, c’était un fait. Il l’avait alors simplement tué pour s’en débarrasser. Il était plus tôt que la veille quand Loriol rentra se coucher. Il avait bien noté l’itinéraire en venant et il aurait dû retrouver son entrepôt. Ce n’était pas le chemin le plus direct mais au moins, c’était le bon.

En chemin, il s’attarda sur un spectacle enivrant qu’il avait commencé à contempler la veille : la lune. C’était le seul spectacle capable de lui faire oublier tout ce qu’il vivait. Sa misère, sa solitude, sa malédiction… C’était comme si son sang se nourrissait de ces rayons invisibles. Loriol avait de plus en plus chaud, comme si ce liquide écarlate que contenait son corps, chargé d’une nouvelle énergie transformait son corps. Au paroxysme de la sensation, Loriol déploya sa tête en arrière et hurla sous le disque argenté. Il perdit conscience et ne se réveilla que le lendemain matin alors que le soleil s’extirpait à peine de l’horizon.

Loriol regarda autour de lui, il était dans une petite pièce. Il faisait assez froid ce qui laissait supposer que c’était un grand bâtiment fait uniquement de pierre. Le mobilier en face de lui était une armoire dont une des portes avait été simplement arrachée de ses gonds. Même si Loriol ne s’en souvenait pas, il était persuadé que seul lui avait pu faire ça. Ce n’était pas la première fois qu’il ne se souvenait pas de sa nuit. Au sol, un reflet se créa avec la nouvelle source de lumière qui s’insinua par la fenêtre qui n’était qu’autre qu’une meurtrière. Loriol haletait pendant qu’il s’habituait à ce nouveau facteur. Ce fut là qu’il prit conscience d’un autre facteur, cette odeur de pourriture et de chair. Il se retourna lentement et put voir les cadavres de ce qui n’était rien d’autre que des enfants. Loriol savait qui ils étaient même sans voir leurs visages déchiquetés…

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Il perdit conscience et ne se réveilla que le lendemain matin alors que le soleil s’extirpait à peine de l’horizon.

Loriol regarda autour de lui, il était dans une petite pièce. Il faisait assez froid ce qui laissait supposer que c’était un grand bâtiment fait uniquement de pierre. Le mobilier en face de lui était une armoire dont une des portes avait été simplement arrachée de ses gonds. Même si Loriol ne s’en souvenait pas, il était persuadé que seul lui avait pu faire ça. Ce n’était pas la première fois qu’il ne se souvenait pas de sa nuit.

Ca peut être gênant, ces pertes de contrôle, dis donc...

On n'est toujours pas au coeur de l'intrigue, j'ai l'impression, donc:

Vivement la suite !!!

Le videur ne put se retenir, même se sachant observer par son mandataire
"observé".
une tension qui s’était accumulé
Accord.
Le videur voulut arrêter la bagarre qui l’avait lui-même lancée
"qu'il".
ils étaient encore lucides pour ne pas sortir leur vrai arsenal
"...encore assez lucides... "sonnerait mieux,non ?
Une fois ce ménage fait, les combats s’arrêtèrent d’eux-mêmes, peu envieux de subir le même sort que ceux qui gisaient dans la rue.
"...les combattants peu envieux...".
afin que les belligérants passent une nuit à méditer sur ce qu’il avait fait
"...ce qu'ils avait fait".
ta présence a pas eu l’air de dissuader les derniers troubles fêtes
"trouble-fête", non ?
il ne pensait pas qu’autant de personnes arrivait à s’extraire du lit
Au pluriel, non ?
il reconnut une des rues qui menait à l’entrepôt
Au pluriel, non ?
Il soupira et rejoint l’entrepôt.
Pourquoi un présent ?
Ce n’était que des déchets
Accord.
ce jeu de domino dont était si friand les gens de sa ville
Accord (x2).
En soit, un homme dangereux.
"soi", non ?
Ce pouvait-il que des personnes se soient échappées de son carnage ?
"Se".
sa prudence exacerbée par le sang loup
Manque pas un mot ?
Loriol apprit ça après s’être fait attaqué
Infinitif.
ces animaux là ne l’aimait pas
"ces animaux-à ne l’aimaient pas". Modifié par Gemini Dragon
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Apparemment, l'hypothèse des enfants echapés du massacre était la bonne jusqu'à ce qu'il ne les tue...à moins qu'il y en un qui ait survécu ou alors un qui n'ait pas été trouvé par le convoi.

Ca peut être gênant, ces pertes de contrôle, dis donc...

C'est vrai que c'est pas des plus surs ces pertes de controle. Je me demande s'il arrivera à se controler au fil de l'histoire qui avance petit à petit mais dont on ne voit toujours pas l'intrigue principale même si nous avons chacun nos propres soupçons.

Et donc...La suite

Kroxigor

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