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Messages posté(e)s par Hola!

  1. Oui, vraiment convaincant. Et ça fixe les idées. Garder le brillant est je pense une bonne chose. Pour la zone dégradée, vu que tu mentionnais une corruption, je pense qu'en plus des fissures, tu peux voir si la chaleur, ou un produit chimique ne pourrait pas déformer le plexi, ou en changer la texture. Par exemple essayer d'avoir un aspect désagrégé, attaqué par l'acide ou en ébullition façon éponge, parsemé de trous/impacts ?

  2. Ta réalisation avance bien, et le rendu est superbe. Bien vu la disposition des rangées de pierres, avec la bande plus fine aux trois quarts de hauteur. Ça donne un cachet!

    Bonne idée l'orientation de la brise vers la direction d'éboulement. 

     

    La seule suggestion que j'aurais faite: si tu n'est pas convaincu de donner un accès explicite au "cul de sac" qu'est l'obélisque, tu peux peut-être rallonger l'édifice en longueur de sorte à laisser une place entre le sommet de l'escalier et le pieds de l'obélisque. Cette place peut ensuite donner accès à une autre structure par une arche/second escalier/etc qui part à 90°. En revanche l'effondrement ne doit pas être trop éloigné non plus de l'obélisque elle-même. Ou alors la destruction fut causée par un bombardement qui a éjecté le sommet de la pointe.

  3. Le fait est qu'Aragorn  semble humble et n'étale pas ses skills et expériences bien qu'étant d'une compétence hors normes, même pour un héro de TdM. Une image que j'ai en tête et qui illustre cela est celle, représentée dans le film (donc confirmer si c'est issu du livre. Cependant, il s'agit d'une illustration pertinente, non pas d'un argument) où Théoden lui demande où était le Gondor lorsque le Rohan eut besoin de lui. Aragorn n'a pas besoin de répondre, son regard suffit à Théoden pour immédiatement comprendre l'absurdité de son propos. Le Gondor est (symboliquement) déjà devant lui.

     

    Quelle que soit la raison de son initiative en Moria, il devait savoir que les orques étaient encore peu nombreux (et donc plausiblement période des voyages, avant Balin et Gollum   --> exploration gratuite)  car le cas contraire en faisait une promenade parfaitement suicidaire, ce dont il se doutait. Cependant comme dit Lucius, la méfiance s'impose, et il n'a pas dû s'éclairer pleins phares et en continu. Ainsi, vu l'obscurité presque totale des lieux, et sa nature labyrinthique, il est possible qu'il ne se soit pas aventuré très en profondeur (même pour un type comme lui, pas d'obligations, pas d'enjeux, aucune visibilité, un labyrinthe gigantesque, de possibles ennemis et une réputation sacrément sinistre due à un mal ancien, le calcul est vite fait: c'est littéralement un tombeau). Or, il qualifie sa balade de "very evil" ce qui, le connaissant, peut tenir de l'euphémisme Et il ne parlait sans doutes pas de l'état des lieux, en soit suffisants à écourter sa vadrouille d'un point de vue pratique car comme rappelé, il a l'habitude des territoires incertains. Ce qu'il a ressenti, c'est quelque-chose à laquelle il ne s'attendait pas, et pire que des orques. Ceci, associé au faits qu'il était de notoriété publique qu'en Moria un mal ancien s'est réveillé d'une part, et qu'il est bien plus érudit et clairvoyant que le quidam moyen d'autre part, laisse penser que son ressenti est causé par la présence de quelque chose de démoniaque: un maléfice, le Balrog, ou l'une des horreurs dont Gandalf disait qu'elles était présentes dans les profondeurs. Cependant ces dernières ne semblent pas vraiment éveillées, ou encore existantes car Gandalf n'en fait pas état lors de son parcours à dos de Balrog (et il a dû s'enfoncer profondément sous terre, aux racines de la montagne). On n'a pas connaissance d'un quelconque maléfice, d'où l'hypothèse assez séduisante du Balrog.

     

    En revanche, ce que tu soulèves sur l'ambiance de base, Lucius, m'interroge dans le sens contraire. Si en effet l'aspect lugubre ne suffit pas à décourager des vétérans comme Gandalf seul, Aragorn seul ou la joyeuse troupe, force est de constater qu'avant l'épisode de Mazarbul, personne n'a ressenti l'effroi dont on parle plus haut. Alors comment se fait-il qu'Aragorn l'ait ressenti tout en étant sans doutes moins en profondeur dans les mines? Peut-être que cela dépend de la proximité éventuelle du Balrog, ou de son état d'activité, ce qui me laisse penser qu'il se déplace, ou fait des trucs de Maia démoniaque dans son coin. Mais c'est un peu bancal car il était probablement au moins autant éveillé et proche lors du passage de la communauté (et en plus filait éventuellement droit vers Gandalf pour, je cite, 'se faire un autre Maia' qu'il venait de détecter), vu qu'il ne tarde pas à surgir (il n'était donc pas à 8km de Khazad Dum).

    Enfin l'hypothèse qu'il jetait un œil à la bataille lorsque Dain l'a possiblement entrevu me laisse penser qu'à minima il observe ce qu'il se passe et n'y est pas parfaitement indifférent. Voire influence les comportements/offensives orques selon ses desseins. Ces derniers sont effrayés, mais le vénèrent et restent habiter à sa proximité, donc en ont plus ou moins connaissance.

  4. Je viens de tomber sur divers pistes concernant Balrog, Aragorn et Moria, sans pour autant y trouver pleine cohérence.

     

    D'une part, et comme dit plus haut il me semble, il est bien possible que le Balrog, après son réveil, administre la Moria comme il l'entend et s'y déplace. La réaction de Dain après avoir zigouillé Azog et être monté sur le parvis de l'entrée de la Moria, témoigne d'un effroi terrible plausiblement causé par la présence du démon observant la scène de loin (et je le comprends...(Dain)).

     

    Ensuite, Aragorn mentionne très brièvement son passage en Moria, qu'il qualifie de souvenir "very evil". J'imagine qu'il avait eu vent de ce qu'il s'y était produit par le passé (habiter chez les Elrond, ça permet de connaître pas mal de choses), que c'était en effet un endroit pas des plus accueillants et manifestement il n'a pas fait état d'une occupation naine (expédition de Balin) ni de cadavres nains. Donc cette promenade a probablement eu lieu avant celle du cousin de Gimli. Enfin, il est raisonnable de penser qu'il n'a pas dû rencontrer d'orques, discret comme il sait l'être, et a probablement aperçu des éléments prouvant leur présence. D'ailleurs je pense que dans un tel endroit obscur et vaste, s'il avait été découvert et assailli par les masses de gobelins, il aurait été tué rapidement. En revanche, il a certainement ressenti ce que Dain avait éprouvé, sans en connaître la nature. En somme, la présence d'une saloperie sans nom qui dépasse tout ce qu'il aurait été capable de surmonter.

     

    Tout ceci va dans le sens d'une promenade guidée par un but précis et non le désir d'exploration gratuite. Je pense qu'il a pénétré les lieux lors de sa traque de Gollum, puis a dû abandonner, sortir sans tarder de la Moria pour reprendre ailleurs sa poursuite.

     

    Enfin, il y a la mention sur une note d'un (hobbit??) nommé Trotter, capturé par des orques lors de sa "traque de Gollum", torturé puis relâché/évadé. Et les sévices subits lui ont mutilé les pieds, d'où le surnom. Mais est-ce possible qu'il s'agisse d'Aragorn lui-même? Je n'ai pas souvenir qu'il ait été fait prisonnier par l'ennemi, ce qui aurait sans doute signifié sa mort (même avec son identité gardée secrète). Est-ce donc un autre personnage? Ou bien un draft, qui ne rentre pas dans l'histoire en version finale?

  5. Je rejoins un peu Heimdall: bien que l’œuvre soit par construction la référence, il peut s'y glisser des ambiguïtés ou incohérences. Et tenter d'inférer une théorie scénaristique compatible avec ces difficultés est parfois un cul de sac, ou mène à des interprétations bancales. Peut-être que dépasser cela, selon la théorie la plus raisonnable en gardant l'éventualité d'une erreur de Tolkien (et donc qu'il n'a pas parfaitement rendu compte de la réalité de TdM) est une voix qui donne des perspectives intéressantes. Un peu comme si Tolkien n'était pas le créateur de ce monde qui lui appartient, limité à sa pensée et immuable, mais plutôt son explorateur/découvreur, celui qui a ouvert une fenêtre sur cet univers inconnu, et qui nous en a transmis une première description exhaustive mais pas nécessairement exempte d'imprécisions. Certes ça introduit de la subjectivité, mais n'est-ce pas contribuer à faire vivre/prolonger l’œuvre?

     

    Sinon, deux petites questions. J'imagine qu'en Moria, sans occupation civilisée, il n'y a a priori pas d'éclairage, à part certains canaux donnant à la surface comme dans la chambre.

    - Sait-on quel éclairage les nains, à l'époque de leur occupation des lieux, utilisaient dans cette cité souterraine? Si ce sont des torches, vive le CO2, la conso de bois et l'ambiance tamisée!

    - Gandalf étant une divinité, j'imagine qu'il a des ressources "spéciales" pour traverser de tels labyrinthes. Notamment un bâton lampe de poche magique. Mais quid d'Aragorn? L'a-t-il traversée, ou a-t-il seulement pénétré, fait une boucle pour ressortir dans la foulée? Dans le premier cas, comment a-t-il pu gérer un éclairage en continu pendant plusieurs jours? Et surtout pourquoi a-t-il pris une initiative aussi imprudente? C'est certes un baroudeur et combattant d'exception, surentraîné et avisé. Mais ce n'est tout de même pas un trip qu'on se fait comme ça, sans raison ni préparation spécifique (i.e. connaissance du plan des lieux, etc). Il aurait suffit d'un rien pour qu'il y reste, à l'insu de tous (pas besoin de Balrog, juste une flèche chanceuse d'un gobelin nyctalope camouflé dans l'obscurité).

  6. oui,st super bien pensé et soigné, respect. Tu feras le pavage de la tranche des "quais" gauche et droit? Sinon le dallage de la plateforme centrale est vraiment sympa, je vais même te l'emprunter pour mes trucs. C'est un pavage qui convient à tous les styles.

    Quel est le disque bleu au centre? C'est le centre du terrain? Auquel cas il me semble qu'il n'est pas centré, si les conduites délimitent les bords

  7. Il y a 6 heures, ZibZee a dit :

    Même juste des dalles pas toutes dans le même plan. Tu en extrais une au cutter, une petite cale en dessous pour la surélever, et ça casse la planéité du sol. Je pense que ça serait un vrai plus !

    C'est bien ça l'idée chef ! ;)

  8. L'idée du passage est super bien trouvée.

     

    Dans quelle mesure tu penses qu'il serait intéressant de rajouter des reliefs avec par exemple des tuiles dont le sol est plus haut que d'autres? Le truc c'est que tu ne perdrais pas en modularité puisqu'il suffirait de disposer une cale adaptée sous la tuile que tu raccordes à celle en montée/descente, si elle doit être plus en hauteur. Ce qui peut même amener à une double tuile superposée si tu creuses une galerie dans la cale.

    Ou sinon ne bomber que localement le sol où sont installés certains rails. Je verrais bien sur la tuile globale où le chemin fait 180° vers la gauche, au niveau de la voûte en bois, un plongeon ou une montée vers un autre niveau de la mine.

     

    Ou même une tuile contenant un pont entre deux plateformes rocheuses, avec le vide autour !

  9. Oui, il y a des "essences" bien distinctes dans cet univers, mais l'idée de la question concerne sans doutes les "créatures" non conventionnelles.

     

    Sinon je ne pense pas que les chiens de la catégorie d'Huan puissent former une unité dans ce contexte historique. Comme tu l'as dit c'est nécessairement restreint au plus au premier âge. Et s'il s'agit de maias (je ne sais pas si la question est tranchée, comme pour les aigles), ces chiens sont d'une catégorie supérieure aux nains, et n'interviendraient probablement pas. Ce serait bizarre, comme de convoquer les collègues de Gandalf pour en faire une troupe.

  10. Il est même possible qu'au delà de l'affinité avec les elfes, les Béornides puissent avoir une coopération avec les nains, au delà de l'alliance de circonstance. Les relations évoluent au fil des évènements, l'ennemi est commun, et les intérêts parfois compatibles. Beorn a d'ailleurs toléré les nains de Thorin chez lui (avec Gandalf en médiateur, certes), et s'est tout à fait comporté comme un hôte avec eux après avoir dépassé ses réticences assumées.

    Envisager que ce type de diplomatie ait pu avoir lieu auparavant n'est donc pas la pire des entorses à l'histoire, j'imagine.

     

    Sinon tu peux imaginer la bande de hérissons de Sébastien !

  11. Et bien, y a eu du chemin! C'est une belle réalisation.

     

    Il y a des styrodurs de différentes qualités, dont certains ne se déchirent pas lorsqu'on appuie dans les fentes avec le crayon. Ceux-ci sont géniaux: ils croustillent et gardent un beau sillon. Souvent il s'agit de la mousse des carton plumes, ou des plaques d'isolant styropan ou dépron je crois. 

    Pour la peinture, je pense que le rouge et le jaune contrastent trop avec le reste: peut-être que tu aurais pu prendre du brun et de gris très foncé et très clair.

     

    Sinon good job, quelle sera la suite?

  12. Exact, ça rend super bien et  les proportions renvoient bien au vestige massif d'un édifice antique. Tu peux je pense texturer/abîmer davantage le linteau et l'encadrement du portail. Peut-être aussi fissurer voire fracturer certaines briques, notamment celles au sol

  13. Oui le bitume ferait assez moderne, et pas super esthétique. Le plexi tu peux le briser, t'auras des éclats vifs, et là où ça doit paraître corrompu peut être que tu peux avoir un rendu plutôt déchiré, torturé comme sur ta photo en le chauffant pour le détendre, le déformer et le déchirer

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