Aller au contenu

Captain Frakas

Membres
  • Compteur de contenus

    426
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Captain Frakas

  1. Merci pour la source. Le multivers des auteurs du Games Workshop est-il donc, au sens strict, un univers, ou quelque concept quantique m'échappe-t-il ? Que ce soit considéré de façon théorique (les mondes de cet univers sont a minima liés par le Warp) et de façon pratique (ces liens permettent effectivement à des observateurs de percevoir et de communiquer avec un monde depuis un autre, à des voyageurs et à des biens de faire le trajet de l'un à l'autre) le fait qu'il soit non seulement possible mais aussi fait d'emprunter l'espace warp depuis l'espace réel, ou d'arriver dans l'espace réel depuis l'espace warp -et ceux pour des créatures de l'espace réel comme pour des créatures de l'espace warp- me semble avoir pour corollaire que ces deux plans, l'un matériel, l'autre immatériel, font parti d'un même univers. En quoi ces mondes constitueraient-ils des univers distincts ? De façon connexe, si une même réalité peut être décrite indifféremment comme un univers ou comme un multivers, selon les préférences lexicales de chacun, sans que cela n'induise quelque différence descriptive que ce soit de l'objet appelé « univers » ou « multivers », un peu comme l'un appellera « clef » le même objet, ayant la même utilisation que l'autre appellera « clé », cette question, soulevée jadis, ne se révèle-t-elle pas faussement controversée ? Ne dit-on pas la même chose avec des mots différents ?
  2. L'univers est vaste, mais The Lost and the Damned, indiquait même en son temps, textuellement (p. 77) qu'elle est une planète de la Voie lactée, comme cela fut écrit (puis répété) dès les premières pages de cette enfilade. Je remarquais surtout, de mon côté, que la jonction entre les royaumes du Chaos, l'espace réel, les royaumes mortels et le Monde-qui-fut était encore affirmée en juin 2018, ce qui, de façon corollaire, je le réalise aujourd'hui, invalide l'idée d'un « multivers » -qui avait pu être défendue dans cette enfilade-, stricto sensu du moins, puisque celle-ci suppose au contraire, et par définition, une absence de jonction... S'il y a jonction -si Slaanesh peut envoyer ses minions en divers lieux- ces lieux font ipso facto partie du même univers. Le « multivers » prit fin dès que les Anciens et leurs successeurs naviguèrent à travers les royaumes du Chaos pour atteindre d'autres points de l'espace réel.
  3. "[T]he Realm of Chaos is a mystical place that spans all of existence, stretching across dimensions and time – sometimes it’s called the Realm of Chaos, sometimes the warp, Empyrean, Immaterium, Formless Wastes, Land of Lost Souls or simply the Abyss – it’s all pretty much the same thing. In the Warhammer 40,000 universe it’s said that Slaanesh was created by the aeldari. After his (or her) creation, Slaanesh was then free to journey across the Realm of Chaos, where he (or she) crafted a realm of pleasure and excess in which to dwell. From this point on, Slaanesh could send his (or her) minions – be they mortal or daemonic – across the Realm of Chaos, either into realspace, to the [Warhammer Fantasy] world-that-was or now the Mortal Realms (and countless other places)." (pseudo-Grombrindal, White Dwarf #June 2018, AOS, [p. 36].) Apparemment aussi (je n'ai pas pu vérifier la source) : “The Realm of Chaos reaches through all space and time, existing in an infinite number of realities. As such Nurgle's servants are as likely to appear in 41st millennium as they are in the Mortal Realms.” (White Dwarf #January 2018)
  4. Bien longtemps est relatif... Il y a sept ans tout au plus... si tant est que Games Workshop l'ait réellement abandonnée. “[T]he Realm of Chaos is a mystical place that spans all of existence, stretching across dimensions and time – sometimes it’s called the Realm of Chaos, sometimes the warp, Empyrean, Immaterium, Formless Wastes, Land of Lost Souls or simply the Abyss – it’s all pretty much the same thing. In the Warhammer 40,000 universe it’s said that Slaanesh was created by the aeldari. After his (or her) creation, Slaanesh was then free to journey across the Realm of Chaos, where he (or she) crafted a realm of pleasure and excess in which to dwell. From this point on, Slaanesh could send his (or her) minions – be they mortal or daemonic – across the Realm of Chaos, either into realspace, to the [Warhammer Fantasy] world-that-was or now the Mortal Realms (and countless other places).” (pseudo-Grombrindal, White Dwarf #June 2018, AOS, [p. 36].) Je pense que cette idée n'est ni soutenue, ni abandonnée, ni utilisée... ... elle fait parfois couler de l'encre... et ne rien dire de définitif, c'est contenter tout le monde.
  5. Bon, en fait, pour suivre la méthode que je comptais appliquer de façon rapide... Je trouve ça un peu ridicule de compter en tiers de vache... comme si un ogre ne mangerait que de la viande de vache, et en mangerait tous les jours (ce qui n'en fait pas un régime alimentaire très varié...). Je préfère trouver une échelle plus générale, or elle existe. WJRF1 donne une dépense de nourriture quotidienne minimale de 3/- pour rester en bonne santé et de 7/- en deçà de laquelle celui qui en a les moyens ne peut renoncer à les dépenser pour se restaurer. Même 7/- ne suffisent à véritablement manger à sa faim. La préservation d'un niveau de vie décent implique de dépenser « bien plus ». Pourtant, la règle du statut social (que l'on retrouve notamment dans LNA, p. 24) ne prévoit de perte de statut quotidien que si l'on dépense moins de 7/- quotidiens pour se nourrir. Arrivé à zéro, l'on tombe d'une classe (il y a quatre classes, notées de A à D, les personnages de la classe A ou qui prétendent y parvenir devant dépenser 7/- par jour et par point de statut). PDT1 indique que Golthog, l'ogre mercenaire, doit, pour s'alimenter, dépenser trois fois plus qu'un personnage humain. 3 × 3/- = 9/- pour qu'un ogre reste en bonne santé 3 × 7/- = 1 CO 1/-, est la somme minimal qu'un ogre dépensera dans sa nourriture s'il en a les moyens. Un homme doit dépenser, au minimum, 2 800 d. mensuels dans son alimentation, soient 11 CO 13/ 4d. Un ogre doit dépenser, au minimum, 8 400 d. mensuels dans son alimentation, soient 35 CO. Voilà au taux où l'or a ridiculement peu de valeur. Or WFRP nous dit également qu'un manouvrier gagne 7/- par jour, 42/- à la semaine, disons donc 168/- au mois. Je pense que l'idée des concepteurs était qu'un manouvrier ne gagne que de quoi manger à peine à sa faim. J'avais pu écrire qu'un manouvrier gagnait 1,6 florin mensuel, soient 336 d mensuels, soient 28/- au mois. Six fois moins. Si l'on divise par six, l'ensemble de ces sommes, cela donne : 6 ₰ quotidiens pour qu'un homme reste en bonne santé (1 ßl 6 ₰ pour un ogre) ; (règle sorti de la manche : s'il ne dépense pas cette somme, le personnage perd 1 point de blessure et 2 points de statut.) 1 ßl 2 ₰ quotidiens qu'un homme qui le peut dépensera au minimum pour manger (3 ßl 6 ₰ pour un ogre) ; (règle sortie de la manche : s'il ne dépense pas cette somme, tout en dépensant à minima la somme du pallier précédent, le personnage perd 1 point de statut et, s'il rate un test d'endurance, 1 point de blessure en sus.) disons, car le jeu ne le dit pas,... 2 ßl- quotidiens pour préserver un niveau de vie décent (6 ßl- pour un ogre)... (règle sortie de la manche : s'il ne dépense pas cette somme, tout en dépensant la somme du pallier précédent, le personnage perd, s'il rate un test de sociabilité, 1 point de statut.) Cela donne 1 GK 18 ßl 11 ₰ (467 ₰) pour qu'un homme mange à sa faim sur un mois complet. Ce qui fait qu'avec ses 4 fl. mensuels (3 GK 10 ßl- ou 840 ₰) le lansquenet gagne 1 GK 11 ßl 1 ₰ (373 ₰) qu'il ne mettra pas dans son alimentation. La solde de 4 fl. fonctionne pour un lansquenet (il met 56,67 % de sa solde dans son alimentation et épargne le reste). Avec une double-solde minimale pour une recrue ogre, cela peut fonctionner aussi. Il faut 5 GK 16 ßl 8 ₰ (1 400 ₰) pour qu'un ogre mange à sa faim sur un mois complet. Ce qui fait qu'avec ses 8 fl. mensuels (7 GK), le mercenaire ogre gagne 1 GK 3 ßl 4 ₰ (280 ₰) qu'il ne mettra pas dans son alimentation. Plus que le lansquenet humain en valeur absolue, même si cela est moindre en valeur relative (il met 83,33 % de sa solde dans son alimentation). À mon avis, cela peut passer. Si l'on pense que non, cela signifie que la recrue ogre devrait être soldée trois fois la solde d'un lansquenet humain : 12 fl. (10 GK 10 ßl-). Auquel cas, elle mettrait de côté 4 GK 13 ßl 4 ₰ (1 120 ₰) mensuels et l'on retrouve un ratio de dépense très similaire à celui de la recrue humaine (55,56 %, ce qui est normal, puisqu'on a multiplié à la fois la solde et les besoins alimentaires par trois, la différence vient d'arrondis préalables nécessaires). Bref, pour répondre à la question initiale, le coût mensuel total d'un ogre est soit, celle de sa solde de 8 fl. (donc 7 GK, la Goldkrone ou « couronne d'or »). Soit, si l'on juge que cette solde n'est pas suffisante -je pense, moi, qu'elle peut l'être-, d'une solde de 12 fl. (donc 10 GK 10 ßl-). Ensuite, les questions d'hébergement, &c., ce sera pour une autre fois ou pour jamais... Mais il est possible qu'il soit compliqué de faire loger un mercenaire ogre chez des sujets bourgeois.
  6. Je tombe à l'instant sur un inventaire, justement, relatif aux contingents permanents de la Ligue souabe au moment de la guerre des paysans (au début du xvie siècle, celui qui correspond le mieux à la situation impériale). L'évêché d'Augsbourg maintenait soixante deux fantassins et dix cavaliers. Autre décompte similaire que celui d'Eichstadt, avec cinquante-six fantassins et dix cavaliers. Plus menu, celui de Constance quinze fantassins et trois cavaliers... Les fantassins étaient principalement pris parmi les lansquenets, soldés quatre florins par mois. Les cavaliers étaient recrutés parmi les cadets désargentés de familles ruinées de la petite noblesses. Bref, il semble que ça en valût en fait la peine
  7. On pourrait imaginer que l'échelle de jeu soit : 1:1 à Warhammer escarmouches (un socle pour un combattant) (Publié en 2000, en annexe du livre de règles de WJBF 6e édition, p. 242 à 246). 1:10 à Warhammer, le jeu de batailles fantastiques (un socle pour une dizaine de combattants) ... les dix ou vingt figurines d'une unité représentent un régiment de plusieurs centaines d'hommes. 1:100 à Warmaster (un socle pour une centaine de combattants) ? Such units would generally number beween a few hundred to a thousand warriors. Peut être les règles de Warhammer escarmouches t'intéresseraient-elles, Miles ? Pour le dire vite, ce sont les règles du jeu de batailles fantastiques, complétées par des éléments de celles de Mordheim.
  8. La nuance (entre n1 et n2) est que ce qui y est écrit, dans la v5 et la v6, indique qu'une figurine représente certes plusieurs dizaines, mais n'indique pas que cela aille jusque « plusieurs centaines de soldats ». Les dix ou vingt figurines d'une unité représentent un régiment de plusieurs centaines d'hommes, ce qui n'est pas strictement la même chose qu'un régiment de plusieurs milliers d'hommes. Ce n'est qu'un détail, surtout au vu du flou de la formule, car l'idée est la même, mais il y a toutefois une nuance objective (sur ces deux éditions, mais peut être que d'autres utilisent des échelles différentes). Je me demande d'ailleurs quelle est l'échelle de Warmaster.
  9. Ce sont les éléments donnés dans le livre de règle première édition du jeu de rôle, section 7, "L'habitat typique dans le Vieux Monde", p. 286-289, ainsi que les déductions que l'on peut en faire. Mes inductions sont suivies d'un point d'interrogation. À noter que les règles suggèrent qu'une ferme est habitée par 2 d10 personnes, mais qu'elles proposent plus loin, comme ferme typique, une ferme habitée par trente et trois personnes (dont vingt-cinq sont mentionnés... dont six enfants mentionnés. L'on peut dire que si les 2 d10 personnes donnent un résultat de 20, l'on y ajoute d10 - 1 habitants. Sur un résultat de 10 naturel (de 9), l'on réitère le jet de d10 - 1 une dernière fois. La version française donne comme conversion très approximative de d6 milles, d8 km (le mille anglo-américain vaut 1 609,344 mètres, d6 milles donne donc un résultat de 1 609,344 m à 9 656,064 mètres, avec une moyenne à 5 632,704 mètres ; d8 km donne un résultat de 1 000 mètres à 8 000 mètres, avec une moyenne à 4 500 mètres). Conserver l'unité de mesure originelle me semble plus simple, vu la conversion très approximative, d'autant que le mille reste relativement intuitif : 1 mille = 1 000 pas humains = 2 000 enjambées humaines ; 10 milles = une demie-journée de marche ; 20 milles = une journée de marche (pour un homme ou un gnome à pied). En une heure de route : nains et semis-hommes à pied, chariots (quatre roues, trois chevaux) : 1¼ milles en allure prudente, 2¾ en allure normale, 10¾ au pas de course. hommes et gnomes à pied, diligence (quatre roues, quatre chevaux) : 1¾ milles en allure prudente, 3½ en allure normale, 14¼ au pas de course. elfes à pied : 2¼ milles en allure prudente, 4½ en allure normale, 18 au pas de course. ogres à pied : 2¾ milles en allure prudente, 5¼ en allure normale, 21½ au pas de course. chevaux de travail (de trait et de bât) et carrioles (deux roues, deux chevaux) : 2¾ milles en allure prudente, 5½ en allure normale, 22 au pas de course. mules et chevaux nains : 3¼ milles en allure prudente, 6½ en allure normale, 26 au pas de course. chevaux de selle (palefrois, haquenée, roncins) et de charge (destriers, coursiers) : 3¾ milles en allure prudente, 7½ en allure normale, 30 au pas de course. En journées de route : semies-hommes ou nains à pied, chariot (quatre roues, trois chevaux) : 7½ milles la demie-journée, 15 la journée. hommes ou gnomes à pied : 10 milles la demie-journée, 20 la journée. elfes à pied : 13 milles la demie-journée, 26 la journée. ogres à pied, diligence (quatre roues, quatre chevaux), carriole (deux roues, deux chevaux) ou cheval de travail (de trait ou de bât) : 15 milles la demie-journée, 30 la journée. mules ou chevaux nains : 18 milles la demie-journée, 36 la journée. chevaux de selle (coursiers, haquenée, roncins) ou de charge (destriers, coursiers) : 20 milles la demie-journée, 40 la journée.
  10. Les répertoires géographiques ne prennent pas en compte les fermes 2 d10 paysans par ferme (de deux à vingt paysans, onze en moyenne). Une ferme à d6 milles des unes et des autres (d'un à six milles, tous les trois milles et quatre stades en moyenne) dans les vingt milles autour d'une cité. 4 d6 fermes (de quatre à vingt-quatre fermes, quatorze en moyenne) dans la zone qui s'étend à partir de vingt et jusqu'à cinquante milles autour des cités. Une ferme à d6 milles des unes et des autres dans les cinq milles autour d'une ville. d6 fermes (d'une à six fermes, quatre fermes en moyenne) dans la zone qui s'étend à partir de cinq et jusqu'à dix milles autour des villes. L'on peut estimer à partir de ces données qu'il y a en moyenne quatre cents, trente et six paysans dans les fermes sises à vingt milles de chaque cité ainsi que cinquante et six paysans dans les fermes sises à cinq milles autour de chaque ville. Pour rappel, un mille correspond à mil pas et un pas correspond à deux enjambées. Vingt milles (vingt mille pas ; quarante mille enjambées) correspond à une journée de marche. Pour déterminer le nombre de paysans habitant dans les fermes, vingt milles autour d'une cité : 100 × π ÷ d6 fermes × 2 d10 paysans. Pour déterminer le nombre de paysans habitant dans les fermes, cinq milles autour d'une ville : 6,25 × π ÷ d6 fermes × 2 d10 paysans. Pour savoir à quelle distance se trouve la prochaine ferme, lorsqu'on se trouve à vingt milles d'une cité ou à cinq miles d'une ville : d6 milles. Les répertoires géographiques ne prennent pas plus en compte les hameaux, les monastères, le personnel des auberges-relais et des temples pour voyageurs. Ils ne prennent que rarement en compte les habitations forestières eltharins (10 d10 habitants, de dix à cent, cinquante-cinq en moyenne), les mines et comptoirs khazalides (10 d10 habitants, de dix à cent, cinquante-cinq en moyenne), les forteresses, tour du guet, postes avancés khazalides (rarement plus de cent individus, pour beaucoup plus petits... peut-on dire 14 d10 habitants ?, de quatorze à cent et quarante habitants, soixante, dix et sept en moyenne). Je pense qu'ils ne prennent pas en compte villages et petites fermes semies-humaines (5 % de la population générale de l'Empire, principalement répartie au Mootland et au long du Stir, en amont de Nuln : les villages de cent villageois et plus sont généralement habités par une population humaine équivalente à dix pour cent de la population du village). Sauf peut être pour ce qui concerne spécifiquement le Mootland ? Il n'est pas dit qu'ils prennent en compte les faubourgs ou les comptoirs commerciaux eltarins (1 % de la population d'une cité marchande... ((d4 ÷ 2) - 0,5) % ?) et les populations khazalides (entre 5 % et 10 % des communautés impériales de 5 000 habitants, (d6 + 4) % ?, et plus, moins de 5 % des autres, (d6-1) % ?) et semie-humaines des villes et des cités impériales non plus. (Je crois me souvenir que Gidon avait évoqué les éléments géographiques liés à the Ridding sur Awesome Lies.)
  11. L'auteur propose un coût à la tâche (pour une tâche simple) et un recrutement au jour (pour une campagne de plusieurs jours ?) ou à la nundine (weekly) (pour une campagne de quelques semaines ?). Les mercenaires tels les lansquenets étaient plutôt payés au mois, pour des campagnes militaires qui duraient généralement de trois à six mois. La solde mensuelle, de quatre florins mensuels (de huit florins pour les double-solde) était très attractive (un bâtisseur, tel un maçon ou un tailleur de pierre, pouvait tirer 2,5 florins mensuels, un manouvrier 1,6 florin mensuel, de leur labeur). Qu'avait l'auteur en tête ? Il me semble difficile de le déterminer et j'ai encore trop usage de mes mains pour les mettre ainsi en jeu. Je constate toutefois que l'ogre manouvrier « perd », 8/- (1 ⅓/8, 16 2/3 %) de rémunération à la semaine comparée à la rémunération au jour. Que l'ogre mercenaire « perd », 2 CO (2/8, 25 %) de rémunération à la semaine comparée à la rémunération au jour. Que l'ogre garde du corps « perd », 2 CO 8/- (2 ⅘/8, 35 %) de rémunération à la semaine comparée à la rémunération au jour. Aussi, je trouve assez peu évident que l'auteur de l'article ait pu avoir eu l'intention que tu lui prêtes, car, fût-elle son intention, j'imagine que cette réduction des 2/8 ou d'1/8 eût été appliquée en conséquence aux trois professions, non au seul ogre mercenaire.
  12. La logique du décompte des nombres par Romains n'est guère la nôtre. Nous comptons exclusivement huit jours et ils en comptaient inclusivement neuf. https://en.wikipedia.org/wiki/Counting#Inclusive_counting La nundine, les Romains disaient en fait les nundines, est une suite de huit jours, notées d'A à H. Sur une même année, les jours de marché ne tombaient que les jours marqués d'une même lettre (que les jours E par exemple). Elles furent finalement remplacées par la semaine, la septmaine, orientale, de sept jours. On pourrait également parler de huitaine. J'ai divisé le weekly cost, par huit. Je n'ai pas considéré de congé, mais s'il en est, ils sont considérés comme payés dans mon calcul, puisque j'ai divisé le weekly cost par huit. Il faut refaire le calcul autrement sinon... mais y a-t-il un calendrier fixe des jours fériés ou chômés ? Et les soldats y sont-ils soumis ?
  13. 1) Le nom de nundine nous est contre intuitif, mais elle désigne une suite de huit jours (celle antérieure à la semaine). 2) Je ne sais pas. La réduction du coût à la nundine n'est pas uniforme selon les professions. L'employeur paye 83 1/3 % de la somme pour le manouvrier, s'il le paie à la nundine plutôt qu'au jour, 75 % pour le mercenaire et 65 % pour le garde du corps.
  14. Le texte indique que les coûts quotidiens relatifs au maintien de l'ogre sont : - le tiers d'une vache correcte à 2 CO, soient 13/4 (alors que la table indique que, l'équivalent chez un boucher réputé, coûte seulement 10/-) - un fût de bière à 3/- soit un total quotidien de 16/4 (ou 13/- au tarif de boucher réputé donné par la table). Quant à la solde de l'ogre, elle est d'1CO / jour, ou de 6 CO / nundine. Au tarif journalier, cela donne donc ou 1 CO 16/4, frais inclus, ou, au coût de viande de boucher réputé : 1 CO 13/- Ramené au coût quotidien, le tarif à la nundine équivaut, lui, à 1/8 de 6 CO, soit 3/4 CO, c'est à dire 15/-. Cela donne donc ou 1 CO 11/4 avec de la viande correcte ou, au avec la viande de boucher réputé : 1 CO 8/- Bref, oui, le texte et la table ne vont guère ensemble. Sauf si la réputation du boucher réputé, est de vendre à des prix inférieurs à ceux normalement pratiqués pour de la viande bovine « correcte ».
  15. Gidéon propose aussi une liste de prix historiques de biens dans son article, parmi lesquels. Cow (good) : 8/6 Cow : 5/3 Cow : 10/- Cow : 5/1 Cow : 5/1 Cow : 5/8 Daily Food Cost, Lord : 7d Daily Food Cost, Esquire : 4 d Daily Food Cost, Yeoman : 3d Daily Food Cost, Lord Groom : 1d
  16. Dreadaxe est venu me tirer de mon antre... Hé bien, ma démonstration logistique, qui attendra la semaine prochaine, se fonde sur une estimation de besoins caloriques de l'ogre. Car la solde est, à l'époque, de tout comptes. C'est au mercenaire de se procurer ce dont il a besoin, par ses propres moyens, y compris en ce qui concerne l'armement. (C'est pourquoi les camps militaires attiraient nombre de commerçants). Il faut donc voir si la solde des ogres, susmentionnée, est suffisante pour qu'ils se nourrissent. Les ogres ne mangent certainement pas un tiers de vache chaque jours ou du moins leur alimentation est sans doute un peu plus variée que cela. Mais s'agissant de soldats permanents, peut être en va-t-il autrement ? Pour le maintien d'une armée permanente, l'exemple de l'armée noire de Mathias Corvin, l'une des très rares d'Europe avec les compagnies d'ordonnance françaises, est sans doute un exemple à observer. https://en.wikipedia.org/wiki/Black_Army_of_Hungary#Funding L'idée est que la valeur de la monnaie n'est, à l'époque, pas tant symbolique -comme de nos jours- que, en grande partie, réelle, matérielle. Une pièce vaut sa masse de métal... or, contrairement aux pièces en euro, le métal est ici précieux. En gras, les monnaies réelles mentionnées dans le livre de règle, plus le florin qui me permet d'établir la comparaison, il y a évidemment tout un tas d'autres monnaies : (en corps normal, les monnaies de compte) Un Kupferpfennig du Reikland (appelé Penny dans la version originale, je ne conserve pas la traduction française en « sou de cuivre » confusante) vaut environ 1,39 mg d'argent fin (= livre-monnaie ÷ 3360, ou denier ÷ 14). Un Groschen ou kurzen Schilling (traduit « pistole d'argent » en français) vaut 1,67 g d'argent fin (= livre-monnaie ÷ 280, ou Kupferpfennig × 12). Un denier d'argent (Pfennig historique) vaut 1,95 g d'argent fin (= livre-monnaie ÷ 240, sol ÷ 12). Une drachme d'argent vaut 3,65 g d'argent fin (= once ÷ 8, ou livre-monnaie ÷ 128). Un sol d'argent (Schilling historique) vaut 23,39 g d'argent fin (= livre-monnaie ÷ 20, ou denier × 12). Un florin (un Gulden du Reikland en or ou un Thaler d'argent) vaut 29,23 g d'argent fin (= une once d'argent fin, livre-monnaie ÷ 16, ou Kupferpfennig du Reikland × 210). Une Goldkrone (Golden Crown, « couronne d'or ») vaut 33,41 g d'argent fin (= livre-monnaie ÷ 14, ou Kupferpfennig du Reikland × 240). Un marc d'argent vaut 233,86 g d'argent fin (= livre-monnaie ÷ 2, ou 8 onces d'argent). Une livre-poids d'argent vaut 350,78 g d'argent fin (= 12 onces d'argent). Une livre-monnaie vaut 467,71 g d'argent fin (= 16 onces d'argent). Le Pfennig du Reikland (symbole : ₰, noté d. dans le jeu de rôle), qui vaut 1/210 florin ou 1/240 couronne n'a pas assez de valeur pour être fait d'argent. Warhammer dit, dans la version française qu'il est de cuivre, ce serait donc un Kupferpfennig, mais la version originale semble suggérer qu'il soit en laiton plutôt, brass, c'est à dire d'un alliage de cuivre et d'étain. Le Groschen ou kurzen Schilling (symbole : ßl, noté /- dans le jeu de rôle) pourrait être une pièce dotée d'un alliage principalement constitué d'argent (c'est le métal que lui prétend avoir Warhammer). L'on pourrait imaginer le Groschen en cuivre et le kurzen Schilling en billon, alliage de cuivre et d'argent. Les deux pièces ont la même valeur. Le Gulden est une pièce en or, sans doute relativement fin. Le Thaler en argent, lui aussi relativement fin, les deux valent la même somme (symbole : fl.). J'introduis cette pièce pour faciliter les conversions entre prix réels et prix dans Warhammer. La valeur de la Goldkrone (symbole : K, notée CO dans le jeu de rôle) est la pièce dont la valeur est la plus importante. Sans doute en or relativement fin, plus massif que le Gulden. J'y reviendrai, mais globalement, tout est à la charge du mercenaire. Ce qui sert déjà de tri social (avant de pouvoir être payé quatre florins par mois, il faut pouvoir se présenter avec un armement et un équipement qui coûte également quelques florins : les doubles-soldes n'était d'ailleurs pas nécessairement des vétérans, elles pouvaient être simplement mieux équipées, car elles en avaient les moyens, de sorte à pouvoir assurer des positions plus « risquées »). En campagne, les armées étaient suivies d'un train de marchandises (les mercenaires les plus riches avaient de plus importants charriots), de prostitués, de bonnes et de bons à tout faire, de commerçants, d'enfants... &c. La 3e édition du jeu de bataille simulait ce train, d'ailleurs, si ma mémoire est bonne. De mon côté, et ça ne vaut que pour moi, j'ai réalisé ce propre système de comparaison : Averland ≃ Hongrie-Croatie ; Averlander ≃ Hongrois, Croates Drakenwald ≃ (Vieille) Franconie ; Drakenwalder ≃ Francs orientaux, ripuaires, du Rhin Hochland ≃ Brandebourg ; Hochlander ≃ Brandebourgeois Nordland ≃ Danemark-Schleswig-Holstein ; Nordlander ≃ Danois Middenland ≃ (Vieille) Saxe ; Middenlander ≃ Vieux Saxons Mootland ≃ Suisse ; Mootlander ≃ Suisses alémaniques Ostermark ≃ Bohême-Moravie ; Ostermarker ≃ Bohémiens, Moraves Ostland ≃ Prusse ; Ostlander ≃ Prussiens alémaniques, Pruthènes Reikland ≃ Haute-Lotharingie (Metz, Verdun, Trèves, Strasbourg) ; Reiklander ≃ Lorrains alémaniques Stirland ≃ Autriche (lato sensu) ; Stirlander ≃ Autrichiens Sudenland ≃ Bourgogne (le vieux royaume impérial) ; Sudenlander ≃ Burgondes Sylvania ≃ Carpathies (Transylvanie incluse) ; Sylvaner ≃ Carpathes Talabecland ≃ (Vieille) Souabe-Alémanie ; Talabeclander ≃ Souabes, Alamands Westerlands ≃ Basse-Lotharingie (Pays-Bas) ; Westerlander ≃ Flamands, Néerlandais Whisenland ≃ (Vieille) Bavière ; Whisenlander ≃ Vieux Bavarois Ce qui ne met pas trop mal le Stirland.
  17. Certains ont fait ce travail. On peut retrouver des listes « universelles », retravaillées, me semble-t-il. Par exemple : http://www.chumley.co.uk/wfrp/wfrppricelist.pdf Voir aussi : https://awesomeliesblog.wordpress.com/2018/11/21/all-that-glisters-is-not-gold/ L'autre possibilité serait de se dire qu'un sol de cuivre vaut en fait 15 €, la pistole d'argent 180 € et la couronne d'or 3 600 €.
  18. Non, ce serait plutôt un impôt direct, payé en nature (comme souvent à ces époques). L'impôt est indirect lorsqu'il est un collecteur intermédiaire entre le contribuable et le fisc. Cette solution, qui est sans doute meilleure que si rien n'avait été proposé, ne peut toutefois pas véritablement fonctionner au vue de la différence fondamentale des économies, suggère que la couronne d'or vaut 240 €. Aux prix actuels, puisque c'est ce à quoi invite ce type de comparaison, cela signifie que la couronne d'or pèse 2,53 g, si elle est faite d'or fin. c'est le poids de deux ou trois mouches. Sans doute est-elle faite d'un plus vil alliage, mais l'imagine-t-on à moins de 12 carats, alliée avec un si vil métal qu'il n'aurait presqu'aucun coût ?
  19. Le modèle économique des différentes éditions de Warhammer, le jeu de rôle fantastique, n'est à la fois guère cohérent d'une édition à l'autre, ni n'est parfaitement réaliste dans leurs échelles de valeurs, bien que plusieurs propositions aient été faites pour les rationaliser. Comme certains le savent, les valeurs monétaires du jeu de rôle sont inspirées des unités de comptes, qui tirent leur racines du monnayage romain : - une unité de base qui est l'as, originellement de bronze (< æs libralis, « livre d'airain », soient douze onces de bronze -once signifiant « douzième »-, une once pesant huit drachmes d'environ 3,41 g chacune ; l'once équivaut donc à environ 27,25 g et la livre équivaut à environ 327 g de bronze). - un sesterce, originellement d'argent, valait deux as et demi (son sens étymologique), ultérieurement le sesterce valut quatre as ; - un denier, originellement d'argent valait quatre sesterces ; à quoi s'ajoutent, sous Dioclétien : - une livre (libra aurea, « livre d'or », soient douze onces d'or pur), qui valait soixante mille deniers courants, très dépréciés (le denier courant n'était alors plus constitué que d'environ 2/5 drachmes de bronze), soient quinze cents deniers d'argent (une drachme d'argent) ; puis sous Constantin : - un sol (solidus), originellement en or, qui valait un soixante-douzième de livre, c'est à dire qu'une livre valait soixante-douze sous. ainsi, et surtout, que du monnayage carolingien, qui a réorganisé l'ensemble, à partir d'un denier à nouveau en argent : - un sol valait douze deniers ; - une livre-monnaie (que les Romains appelaient en fait mine, mina, de seize onces d'argent, une once pesant toujours environ 27,25 g), valait vingt sous, soient deux cents et quarante deniers. La demie-livre-monnaie est par la suite appelée marc, et le marc d'argent pèse logiquement huit onces. Sauf mention contraire explicite, ce que j'appelle ci-après « livre » correspond toujours à la livre-monnaie de seize onces. Ce sont, exceptés le denier, des unités de compte, virtuelles. Les pièces métalliques valent un certain nombre de sous ou un certain nombre de livres. Selon leur métal et leur poids. En 1252, Florence introduit une monnaie d'or, le florin d'or (environ une drachme d'or), appelé Gulden (étymologiquement lié à gold) dans les pays d'expression germanique, dont la valeur était, alors, d'une livre. Ainsi vint le renouveau du bimétallisme (tel le Gulden rhénan, d'environ 2,5 g d'or fin en 1559), bien qu'une pièce d'argent de valeur équivalante, le Guldengroschen, futur Thaler, (environ 27,405 g d'argent fin en 1524) existât et fut sans doute plus commune. Le problème de ces monnaies en divers métaux fut que les cours de l'argent et de l'or n'évoluaient pas de la même manière, ce qui ne permettait pas la stabilité des changes. L'on retrouve ainsi le système monétaire européen -les pays germaniques appelèrent la livre Pfund, le sol Schilling et le denier Pfennig- qui persista au Royaume-Uni jusqu'au début des années 1970 et que Games Workshop reprit au début des années 1980 pour Warhammer, le jeu de rôle fantastique : la livre (la couronne d'or) vaut 20 sous (20 pistoles d'argent), soient 240 deniers (240 sous de cuivre). Enfin, bref... En 1524, le ratio d'échange entre ces deux métaux est, pour l'Empire, d'1:11 1/3 (il était sans doute théoriquement d'environ 1:12 initialement). Le marc de Cologne, unité de poids légale de référence -mais contestée- en 1524, (une demie-livre ou huit onces) vaut environ 233,855 g, ce qui signifie que l'once de Cologne vaut environ 29,23 g. Voilà de quoi deviner la valeur de la monnaie. 1 livre-monnaie d'argent (mine, seize onces) = 1 1/3 livre d'argent (livre romaine, douce onces) = 2 marcs d'argent = 20 sous d'argent = 240 deniers d'argent. 1 livre d'argent (livre romaine, douze onces) = 1 1/2 marcs d'argent = 15 sous d'argent = 180 deniers d'argent. 1 marc d'argent = 10 sous d'argent = 120 deniers d'argent. 1 sol d'argent = 12 deniers d'argent. En monnaie réelle, 1/8 de marc d'argent donne : 1 gros florin d'argent, le Thaler = 1 florin d'or, le Gulden = 210 Pfennige rhénans. À partir de là, on peut se demander à quoi correspond le sou de cuivre de Warhammer. Correspond-il à un denier d'argent (monnaie de compte) ou à un Pfennig rhénan (monnaie réelle) Imaginons qu'il corresponde au Pfennig. -- Venons-en aux soldes : celle d'un lansquenet, en 1515 apr. J.-Chr., soit la période sociale et technologique à peu près équivalente à celle de 2515 du c.i., était de quatre florins par mois. Les vétérans, dits double-soldes, recevaient huit florins par mois. Je pense que l'on peut considérer les ogres aptes au service par nature équivalent de double-soldes et les ogres vétérans mériter une triple-solde, soient douze florins par mois ? une quadruple à seize florins mensuels ? Le florin, c'est le Thaler ou le Gulden, il valait donc environ deux cents dix Pfennige rhénans c'est à dire potentiellement, si nous l'envisageons ainsi, autant de sous de cuivre de Warhammer, le jeu de rôle fantastique. On peut donc estimer la solde journalière d'un ogre de cinquante sous de cuivre. La solde monte à soixante-seize sous de cuivre journaliers pour une triple-solde. Ou à cent et un sous de cuivre journaliers pour une quadruple-solde. Huit soldats correspondent à peu près à une ligne, que commandait un maître de ligne, choisi parmi les vétérans. Dans le cas le plus économe de sept ogres commandé par un maître de ligne qui soit le seul vétéran, et si l'on compte qu'un vétéran ogre vaut quadruple solde l'on arrive à un coût mensuel de soixante et douze florins, soient huit cents, soixante et quatre florins annuels, c'est à dire cinquante-quatre livres d'argent annuelles (2 228,50 g d'or annuels - la comparaison ne veut rien dire, car l'économie n'est plus la même, mais au cours actuel, cela vaut 211 662,99 €). En couronnes d'or, cela équivaudrait à 756 c.o. annuelles. --- Si l'on considère plutôt les prix que tu nous donnes de la Bibliothèque impériale, que la solde d'un ogre est d'une couronne d'or quotidienne, disons plutôt, par simplicité de conversion, 240 sous de cuivre, et que le maître de ligne est payé le double. Cela donne, sauf erreur de calcul de ma part, 257,14 livres d'argent annuelles (10 611,79 g d'or annuels - la comparaison ne veut rien dire, car l'économie n'est plus la même, mais au cours actuel, cela vaut 1 007 907,78 €) pour la solde de huit ogres dont un maître de ligne qui soit le seul ogre vétéran... C'est déjà plus conséquent... et sans doute exagéré. En couronnes d'or, cela équivaut évidemment à 3 600 c.o. annuelles. Voilà donc pour la solde... Pour la logistique, j'y reviendrai, mais j'anticipe un élément, celui du coût d'une vache, indiqué à 10 c.o. dans la 2e édition ou d'1 c.o. sur le site de la Bibliothèque impériale : https://www.metmuseum.org/perspectives/curating-relative-values-counting-cows 175 grammes d'argent, soit approximativement 3/4 de marcs d'argent, donc à peine moins de 6 florins (= 5 c.o, 17 / 3d). Un tiers de vache (laitière, désolé, c'est ce que j'ai trouvé) coûte donc 2 florins. Si la somme est quotidienne, cela donne 66 2/3 florins par mois ou 800 florins par an. Soient 100 marcs d'argent ou 50 livres d'argent annuelles par ogre, donc 400 livres d'argent annuelles pour huit ogres (16 507,41 g d'or annuels - la comparaison ne veut rien dire, car l'économie n'est plus la même, mais au cours actuel, cela vaut 1 567 873,96 €). En couronnes d'or, cela correspondrait à 5 600 c.o. annuelles.
  20. Ce que je me disais, en fait, pour aller à l'essentiel, sans rentrer dans les détails, est que le forum de contexte (« Background ») pouvait être le même pour tous les jeux du Monde qui fut, mais qu'il pouvait y avoir trois sous fora : 1. La Tempête du Chaos et la Fin des temps (le contexte de WJBF7-8 et de WJRF2) 2. Le règne de Karl Franz (le contexte de WJBF1-6, de WJRF1, de WJRF3-4, de Man O'War, de BloodBowl, &c.) 3. Le Monde de légende (le contexte de Mordhem et de The Old World) Ce qui incidemment permet d'avoir le nom que Durgrim voulait voir apparaître. Avec la possibilité de discuter d'autres époques dans le forum de contexte général. Et j'aurais bien intégré un forum Warhammer le jeu de rôle fantastique dans celui du Monde qui fut... Mais bon, ce n'était qu'une suggestion. Si c'est compliqué, ne nous embêtons pas.
  21. Oh putain, le foutage de gueule, j'ai mis un gros truc que j'ai mis plusieurs dizaines de minutes à rédiger et à commenter entre des balises de code et tout à disparu... Y compris ce qui était hors balise. Allez hop, tant pis, je m'en fous... et je n'ai pas le choix... Ça semble être parti dans les limbes... Mais je ne me casserai pas le cul une seconde fois... Le capitaine, un peu courroucé par ce mauvais coup du forum...
  22. Pourquoi ne pas avoir une organisation du forum telle que celle qui suit ?
  23. Captain Frakas

    L'ennemi intérieur

    L'intensité dramatique est toutefois bien moindre dans L'Empire en guerre (V1, avec une adaptation des profils pour la V2) que dans l'L'Empire en flammes. --- L'on peut dire que la grande campagne de l'Ennemi intérieur inclut, officiellement : Introduction : "Le Contrat de Oldenhaller" [Warhammer : le jeu de rôle fantastique] (présenté comme introduisant "Ombres sur Bögenhafen", mais qu'il est préférable de jouer durant "Mort sur le Reik") ; "Le Rituel" [Repose sans paix et *Le compagnon du Pouvoir derrière le trône] (et sa suite : "Hantée par une horreur" [Repose sans paix et La Crypte des secrets] ; présentés comme introduisant la campagne de L'Ennemi intérieur, mais qu'il est préférable de jouer après "L'Horreur des Wittgenstein") ; "L'équipée coupable" [*Aventures à Ubersreik] (et les épisodes précédents des *Aventures à Ubersreik ; faisant la jonction entre ces derniers et "Erreur sur la personne", mais qu'il est préférable de jouer ultérieurement étant donné que la campagne de l'Ennemi intérieur est sensée débuter avec des aventuriers très inexpérimentés, sans entregent et encore naïfs des menaces qui pèsent sur l'Empire). 1. "Erreur sur la personne" (et les présentations du reste de La campagne impériale) [La Campagne impériale et *L'Ennemi dans les ombres] 2. "Ombres sur Bögenhafen" (et son supplément : *Le compagnon de l'Ennemi dans les ombres) [La Campagne impériale et *L'Ennemi dans les ombres] 3. "Mort sur le Reik" (son complément : La navigation fluviale dans l'Empire et son supplément : *Le compagnon de Mort sur le Reik) [Mort sur le Reik] 4. "Une Nuits agitées aux Trois Plumes" [Repose sans paix, Le Nouvel Apocryphe, La Crypte des secrets et *Nuits agitées et dures journées] (et ses suites : *"Dure journée à l'ordalie", *"Une nuit à l'opéra", "Le Mariage de Nastassia" et "Seigneur d'Ubersreik" [*Nuits agitées et dures journées] -- lui-même précédé d'Un jour trop tard, une pistole trop court puis d'"Œil pour œil" [Le Guide du maître de jeu]). 5. "L'Horreur des Wittgenstein" [Mort sur le Reik] 6. *"Charogne sur le Reik", *"Mort par le haut" et *"Frères de chagrin" [*Le compagnon de Mort sur le Reik] 7. "Les Raisins de la colère" [Repose sans paix, La Crypte des secrets et *Le compagnon du Pouvoir derrière le trône] 8. "Avec l'aide de mes amis" [Le Premier Compagnon] 9. Le Pouvoir derrière le trône (et ses suppléments : Middenheim, la cité du Loup blanc et *Le compagnon du Pouvoir derrière le trône) 10. "L'Enfant bête", "La Mort en vacance" et "Les Champions de la mort" (et les présentations du reste d'Il y a quelque chose de pourri à Kislev ; présentés comme facultatifs) 11. *Le Rat Cornu (et son supplément : *Le compagnon du Rat Cornu) 12. L'Empire en flammes ou *L'Empire en ruines (et ses suppléments : *Altdorf, la couronne de l'Empire et *Le compagnon de l'Empire en ruines). Autres rencontres et aventures optionnelles : "Nuit de sang" [Le Nouvel Apocryphe], "Sur la route" [Repose sans paix, Le Nouvel Apocryphe et *Le compagnon de l'Ennemi dans les ombres] ; "L'Affaire du joyau caché" [Repose sans paix et *Le compagnon de l'Ennemi dans les ombres] ; *"Le Carnaval pandemonium" [*Le compagnon de l'Ennemi dans les ombres] ; "L'Empereur Luitpold" [Le Premier Compagnon, Le Nouvel Apocryphe et *Le compagnon de Mort sur le Reik], "Frères de sang" [Le Premier Compagnon]. (en gras, les épisodes considérés comme canoniques ; *précédés d'un astérisque, les publications à paraître en français [mais qui, pour une bonne partie d'entre elles, existent depuis des années en d'autres langues]).
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.