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Warhammer Forum

[WB] La Légion Agaréenne


Enmerkar

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Bonsoir les gens,

Je souhaite dans ce sujet vous présenter les éléments fluffesques d'un projet qui me tient à jour, à savoir la création d'une nouvelle armée pour Warhammer. (Oui, ça m'a reprit :whistling:)

Comme, pour une fois, je vais essayer de faire les choses proprement, je vais ouvrir un sujet ici (enfin si on veut bien me laisser faire^^) pour tout ce qui est background, un autre en section création pour l'aspect règles "pures" et un petit troisième montrant des figurines scandaleusement triturées.

Toute remarque de votre part est bien évidemment la bienvenue, et ce, à tous les niveaux ! Normalement, mon projet s'insère -sauf erreur de ma part- dans le fluff courant. Maintenant il est possible qu'il entre en opposition avec des annexes au JDR que je ne connais pas et/ou la BL, ce qui serait plus embêtant. Maintenant, comme je considère qu'il est idiot de vouloir être plus royaliste que le roi (Louen), ben si je suis qu'en infraction par rapport à un obscur article casus-belliesque d'août 1983, je devrais m'en remmettre.

Mais trêve de blabla, introduisons donc les [url="http://hpics.li/9e495d8"]fiers guerriers du Khuresh Oriental[/url] !

[center][u][b]LA LEGION AGAREENNE [/b][/u]
[u]Chapitre I : Avant la Légion[/u][/center]

[i]« Votre Très-Haute Majesté, c’est en tout état de cause que je vous transmets ces conclusions. J’ai l’honneur de vous faire parvenir celles-ci après avoir passé deux saisons parmi ceux que vos généraux nomment " les Elfes Noirs de Khuresh ". Après avoir livré bataille à leur côté, m’être initié à leur culture et à leur environnement, après avoir même percé le mystère de leur existence. En vertu de cela, moi, Finubar d’Eataine, Agent Spécial de votre très noble Majesté, je vous prie de reconsidérer le projet d’envoyer une forme militaire punitive appuyer les armées humaines de Cathay. Le Khuresh Oriental, ou plutôt l’Agarée, comme les peuples autochtones le nomment eux-mêmes, est une terre civilisée, puissante et porteuse d’espoir tant pour les Asur que pour les enfants des Humains.
Certes un crime impardonnable a été commis, mais il ne justifie en aucun cas la suggestion d’extermination émise par des avis non éclairés. Je vous supplie de bien vouloir considérer le dossier ci-joint ; établi par mes soins en fonction de mes recherches et des notes de feu l’Archimage Kamendel afin de jeter un jour nouveau sur cette pénible affaire.»[/i]

Le Prince Finubar au Roi Phénix Bel-Hathor, correspondance secrète.



Dans un passé très lointain, un très grand nombre de tribus humaines migrèrent du nord vers le sud, à la recherche de terres plus clémentes, où la vie était moins dure et moins soumise aux caprices du Chaos. En Orient, ces peuples barbares se heurtèrent rapidement aux civilisations autochtones. Certaines s’assimilèrent, d’autres s’enfoncèrent plus avant vers le sud à la recherche de terres vierges, mais le plus grand nombre se retrouva à lutter pour sa survie, défendant parfois des territoires dérisoires contre tous les ennemis possibles et imaginables. Certaines de ces peuplades furent décimées, exterminées et d’autres, lassées de fuir l’influence du Chaos, finirent par l’embrasser. Et il est également un territoire, dans le Khuresh oriental, ou des hommes obstinés se sont installés et luttent depuis des siècles pour rester libres et indépendants. Ces hommes se nomment eux-mêmes les Agaréens, descendant d’un ancêtre mythique révéré tel un dieu : Agar le Sage, Agar le Montreur-de-Chemins, Agar le Bâtisseur.

L’avènement des royaumes de Cathay, au Nord, Nippon, à l’Est et de ceux d’Inja, au Sud, amorça une nouvelle ère pour les Agaréens. Ceux-ci ne purent plus se contenter d’être des clans primitifs de guerriers traquant les Hommes-Bêtes ou leurs frères de race qui s’en prendraient à leurs territoires. Ils s’ouvrirent donc à la culture, au commerce, en un mot, à la civilisation. Bien qu’ils sont toujours perçus comme des barbares ne valant pas mieux que les Avags ou les Man-Chus des Désolations Nordiques –auxquels ils sont effectivement apparentés- par les érudits des grandes puissances les environnant, ils se dotèrent cependant dans les faits d’une civilisation grossière, certes, mais qui ne négligeait ni l’art, ni l’honneur, ni l’intelligence.

Malheureusement pour les Agaréens, qui se mirent à organiser leurs terres afin de les cultiver et pour en chasser les Hommes-Bêtes, on découvrit que leur territoire recelait de nombreuses richesses, dont une mine d’électrum, ainsi que plusieurs sites très riches en fer. Cela attira l’attention des puissances régionales environnantes, qui fondirent sur le Khuresh Oriental comme des prédateurs.
Ainsi, pendant des siècles, la belle Agarée passa aux mains des Empereurs de Cathay, avant d’être conquise par le Nippon, quand elle n’était pas ravagée pas les hordes hobgobelines du nord, les terrifiants Khazags ou encore quelque tribu d’Ogres affamés. Incapables de s’allier ou même de s’entendre, les farouches Seigneurs de Guerre agaréens dressaient inlassablement leurs tribus les unes contre les autres, pour la plus grande satisfaction de leurs occupants.

Pourtant, aussi irréconciables qu’ils étaient, dès lors qu’un ennemi s’approchait trop près de leur lieu sacré, un vieux pic simplement appelé le Mont Kuresh, les disputes cessaient immédiatement et une alliance sacrée se mettait en place, que tous les envahisseurs apprirent à redouter. Un général Nippon, impressionné par la fureur et l’opiniâtreté déployée par les Agaréens dès lors que leur montagne était menacée, les poussant à combattre juste à la mort qu’ils soient guerriers, femmes, vieillards ou enfants, nomma ce lieu le « Mont des Tigres ».
Bien que les mines s’épuisèrent, la mainmise des puissances régionales rivales de la région qui trouvèrent d’autres ressources à exploiter, comme le bois, les chevaux ou les esclaves.

Il vint cependant un jour où tout cela changea.

[b]L'Etranger[/b]
Un matin d'hiver, un étranger à moitié mort fur retrouvé par un moine du monastère de Yeoh, au fond de la vallée du même nom, au nord du pays.
Bien que la tribu de Yeoh fut d'une importance moindre, elle bénéficiait grâce à son occupation d'une vallée très difficile d'accès d'une position facile à défendre, ce qui l'épargnait relativement des incursions des chasseurs d'esclaves hobgobelins et des pillards khazags.
le monastère, qui lui-même, donnait sur un lac à moitié souterrain réputé magique, le lac de Seom, n'était normalement accessible que une voie découverte longeant d'imposantes fortifications.
Le moine comprit bien vite comment l'étranger, qui était vêtu à mode de Cathay et qui portait les marques de nombreuses blessures et tortures avait trouvé son chemin : il tenait dans son poing crispé une carte rudimentaire, dessinée au charbon de bois, mais qui montrait les chemins détournés et invisibles conduisant de la Grande Muraille au Temple de Seom. Soupçonnant un acte de bienveillance de la part de l'un des membres de sa tribu, il fit amener l'étranger auprès d'un guérisseur.
Bien que très pauvres et assaillis par un hiver particulièrement rude, les gens de la tribu de Yeoh prirent grand soin de leur hôte.
Ce dernier commença à se remettre au bout de quelques jours. Il raconta qu'il était auparavant un petit administrateur de l'une des Provinces du sud de l'Empire de Cathay et que s'étant attiré les foudres d'un haut magistrat en prenant la défense d'un esclave agaréen, il avait été soumis à la torture et aurait été exécuté s'il n'avait été sauvé par l'esclave qui lui devait la vie. Ce dernier, reconnaissant, lui remit une carte lui indiquant un moyen secret et sûr de rejoindre sa tribu et sa vallée natale. L'étranger ne pouvait en revanche expliquer pourquoi l'esclave ne revint pas au pays avec lui. Les sept années suivantes, les dernières de sa vie, cet homme s'efforça de payer sa dette vis à vis des agaréens. Il fut adopté et chéri par ce peuple qui le vénéra en retour plus que tout autre homme, à l'exception du Grand Ancêtre, Agar lui-même et ce, malgré les nombreuses zones d'ombres et de ténèbres du passé ce cet inconnu. Ce dernier refusa toujours de révéler son propre nom, se faisant appeler comme l'esclave qu'il avait sauvé, Shun Zu.
[b]
Shun-Zu-Yeoh, l'Artisan de la Légion [/b]
Shun Zu se mit rapidement au travail. Rapidement, les sages de la tribu de Yeoh comprirent que l'homme qu'ils avaient recueilli était inspiré par les dieux : son intelligence, extraordinaire, et son sens tactique permit en un rien de temps à sa tribu d'adoption de se moderniser d'un point de vue économique, mais aussi de remporter d'éclatantes victoires et, dernier point mais non le moindre, de nouer des alliances saines et solides avec des tribus auparavant considérées comme ennemies mortelles.
Il était sur tous les fronts à la fois, ne dormant que deux ou trois heures par nuit, étant toujours en train d'écrire, de calculer, de mesurer ou de conseiller. Il brûlait les semaines de sa vie comme d'autres passaient des années et l'oeuvre qu'il laissa derrière lui est encore considérée aujourd'hui comme source d'étude et d'admiration.
Lui-même avait une grande expérience de la guerre telle qu'elle était pratiquée en Cathay. Il tâcha donc d'enseigner la discipline et les compétences martiales nécessaires à toute armée digne de ce nom, sans pour autant brimer l'audace, la créativité et l'héroïsme qui caractérise les agaréens et les khazags et qui fait cruellement défaut aux soldats de Cathay.
Au tout début de l'été, la toute première armée agaréenne était prête, et le résultat dépassait les attentes des plus optimistes observateurs. Les guerriers, conscients de leur force nouvelle, de leur unité et de leur devoir, commencèrent à se nommer eux-mêmes les "Shagari", et ce nom leur est resté. Lorsque Shun Zu du traduire cette expression à l'Archimage Kamendel, il eut recours à la magnifique périphrase suivante : "Combattant agaréen, garant de l'honneur et de la pérénnité de sa famille, de son clan et de sa nation, servant au côté d'un frère d'armes."

A la tête d'une coalition de quatre tribus, Shun Zu ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin : il négocia des accords de trêve avec tous les seigneurs de guerre agaréen afin que n'importe quelle personne du peuple put désormais se rendre en pélerinage au Mont Kuresh sans risquer sa vie. Il lança un raid meutrier sur le clan hobgobelin de la Flèche Bleue et libéra les derniers membres de la Tribu des Forgerons de Bul, qui approvisionna désormais les Shagari en armes et armures d'acier ; il octroya une charte de protection des villages côtiers contre les pirates ; il délimita une piste traversant tout le Kuresh oriental reliant Cathay aux Royaumes d'Inja, très pratique pour les marchands mais impraticables pour les armées. Il tendit la main à la Secte du Corbeau, une confrérie religieuse bannie des siècles auparavant. Chose impensable pour l'époque, il étudia de près certaines des races humanoïdes natives du Kuresh oriental (et pour la plupart quié taient là avant l'arrivée de l'homme) et il décréta que certains n'avaient rien de maléfique ni aucun rapport au Chaos et il souhaita les apprivoiser. Ces espèces endémiques, recluses dans la sauvagerie, finirent pourtan par embraser sa vision.
Shun Zu oeuvrait sans relâche et dans un seul but : faire du Kuresh Oriental un endroit où les peuples et les races, bien que différentes, pourraient vivre en harmonie, apprenant et se protégeant les uns les autres du Chaos et de l'oppression. Il s'attira ainsi l'inimitié de très nombreux patriarches et seigneurs de guerre et même parmi ses partisans les plus fervents, on douta de lui.
Pourtant, lorsque les humbles Pygmées des forêts d'Oréuda et les sauvages Buhhokaï sauvèrent la coalition en mettant en déroute les invincibles Samouraï de Nippon, l'opinion commença à changer et des lors, on ne douta plus du Grand Stratège. Sans s'en douter, Shun Zu était l'instrument d'un dessein qui le dépassait et dont l'accomplissement ne se mettrait en place qu'avec la venue des Elfes.
Pendant tout ce temps, Shun Zu était persuadé que le Kuresh ne deviendrait une vraie nation que dès lors qu'elle parviendrait à dépasset ses querelles séculières et à organiser une armée permanente capable de tirer profit des forces de chaque clan et d'en gommer les faiblesses.

[b]
Les Réfugiés et Ceux-de-la-Montagne[/b]
Ce qui va suivre est relaté en détails dans l'ultime tome des Chroniques de la Forteresse de Tor Elithis, dont la version originale se trouve désormais en Ulthuan, dans la grande bibliothèque de la Tour Blanche. Voici ce qu'elle mentionne, dans les grandes lignes.

Lorsqu'il s'avéra que tout espoir de victoire était brisé, la vaillante garnison de Tor Elithis s'organisa pour tenir le plus longtemps possible tandis que les réfugiés, civils et soldats étaient embarqués sur toutes les embarcations disponibles. A la toute fin, ce fut la Division Tethlis qui s'offrit en sacrifice en défendant la rade pendant que les autres guerriers prenaient le large, honteux mais guidés par des impératifs de survie.

Les survivants, dont le commandement était partagé entre le Commandeur Aeglinn de Cothique et l'Archimage Kamendel de Hoeth, n'avait qu'un souhait, celui d'établir une garnison provioire en un endroit caché et facile à défendre en attendant des renforts massifs d'Ulthuan et des alliés de Cathay pour reprendre l'archipel d'Elithis au Chaos.
Hélas, le destin en décida tout autrement : alors que la flotte elfique se regroupait, une escadre complète d'Arches Noires survint, obligeant les Asurs à prendre le large. Seul le vaisseau-pégase Gammariel, réputé être le plus rapide sur l'océan austral, parvint à s'échapper et à rejoindre les Portes de Calith, mais ce qu'il devint après cela est une toute autre histoire.

Malgré des ruses habiles et des manoeuvres de maître, la flotte de réfugiés fut incapable de distancer leurs poursuivants. Embarqués en hâte, les Asurs ne pouvaient compter que sur des réserves de vivres très limitées, et comme la plupart des navires n'étaient même pas équipés pour le combat naval, livré bataille contre des ennemis aussi formidables que les arches noires était simplement impossible.
C'est lors de cet épisode tragique, le premier de l'Histoire de la Légion Agaréenne, qu'une caractéristique essentielle de celle-ci fut dévoilée : alors que les Hauts-elfes sont réputés pour leur arrogance envers toutes les autres races, le Commandeur Aeglinn, en guerrier habitué à combattre avec des moyens limités était aussi humble que pragmatique. Peut-être était-ce dû également au fait qu'il avait fait ses classes sur les rivages inhospitaliers de Cothique, et non dans le faste d'Eataine ou l'orgueuil amer de Caledor, mais en tous les cas il savait pertinemment qu'il représentait une puissance régionale mineure et que les Humains, loin d'être des copies imparfaites de la gente elfique, pouvaient être des alliés solides et fiables, laborieux peut-être mais avec d'énormes capacités. Il est intéressant de constater que bien que les deux Elfes aient vécu à des périodes et des endroits très différents, Aeglinn et Teclis utilisèrent quasiment mot pour mot les mêmes termes pour qualifier les humains. Aeglinn et son premier lieutenant, le Capitaine Edainath -qui lui succéda à sa mort- avaient même entreprit la création d'un corps d'auxiliaires humains, malgré l'interdction formelle qu'ils avaient reçue de la cour royale d'Ulthuan. S'ils avaient pu mener leur projet à bien, Elithis serait d'ailleurs peut-être encore debout.

Aeglinn fit donc mettre le capsur l'archipel nippon afin de lui demander protection, une première dans l'histoire militaire elfique ! Hélas, à cette époque précisémment, Nippon était ravagé par des guerres intestines qui opposait les faibles partisans de l'Empereur, dans le centre du pays, et les adorateurs de Khorne et de Slaanesh qui se livraient une guerre à trois qui dura presque un siècle. ceci eut pour conséquence que les navires asurs recurent comme accueil une pluie de flèches enflammées, les obligeant à continuer leur odyssée forcée.

Ce fut à ce moment-là que l'Archimage Kamendel eut la vision d'une cité d'Hommes-Lézards, bâtie au coeur du pays nordique et inexploré de Kuresh. Bien que les relations entre ces deux peuples ne fussent pas au beau fixe, le mage savait qu'aucun Slann digne de ce nom ne laisserait les enfants d'Asuryan se faire massacrer pas les suppôts du Mal à sa porte.

Les réfugiés débarquèrent en silence dans un matin de brume glaciale et leurs vaisseaux, guidés par magie, furent lancés sur Cathay afin de donner un maximum de temps pour s'enfoncer dans les terres aux nouveaux arrivants. Modifié par Enmerkar
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  • 1 mois après...
Pas trop mal comme début !

Je trouve que c’est porteur d’espoir et bien écrit. Pour le fond, on plante plutôt le lieu dans sa localisation et j’attendrai donc la suite pour juger de ce qu’il se passe.

[quote]
plupart quié taient là avant l'arrivée[/quote]

[quote], finirent pourtan par embraser sa vision.[/quote]
[quote]
que dès lors qu'elle parviendrait à dépasset[/quote] [quote]malgré l'interdction formelle qu'ils avaient reçu[/quote]

Attention aux fautes quand même trop nombreuses et que word aurait localisé ! Sur le fonds, ça reste très background et sans vraiment récit. J’aimerais que ça finisse par se poser car il y a de quoi faire une histoire !

@+

-= Inxi =-
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  • 4 mois après...
[quote]si je suis qu'en infraction par rapport à un obscur article casus-belliesque d'août 1983, je devrais m'en remmettre.[/quote]

Déjà moins deux points sur ta copie pour manque de respect à tes aînés. Ca commence mal. :devil:

[quote]dont une mine d’électrum[/quote]

Tu es sûr que tu es encore dans le bon jeu, là ? :blink:

Bon, je suis un brin méchant, mais c'est du background perso correct. Pour le reste, je rejoins Inxi : de la nature même du projet, il n'y a pas d'intrigue à espérer, ce qui est toujours un frein pour vraiment accrocher.
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