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Kael

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Tout ce qui a été posté par Kael

  1. Kael

    [WHB-NDChaos] Zharvatta Zirkuß

    [quote]Mention pour la sculpture de la cléo et pour la tête du happy tree friend[/quote] Attention : Cléo, les oogies-boogies, comme le K'daai destroyer sont des sculptures réalisées par [b]Mahar Lankoth[/b] />/> Quant à la tête de l'Happy Tree Friends, pas de sculpture, achetée tel quel />/> [quote]elle commence a être grande ton armée, de quoi bientôt la jouer? [/quote] J'arrive déjà à faire des parties 2000/2500pts avec quasi-tout de peint (oui, manque les persos, mais l'état-major du premier régiment passe pour mon club />/> ) => objectif : les Hivernales des FBJ ! [quote]Tu as des rapports de bataille en photo ou pas? ce serait vraiment bien![/quote] J'y avais jamais pensé. Je joue avec une tablette comme livre d'armée, j'peux m'en occuper (et j'essaye de jouer 1 à 2 fois par semaine). Merci, gros merci à vos encouragements ! />/>
  2. Kael

    [WHB-NDChaos] Zharvatta Zirkuß

    Petite pause dans les K'daais ! Bah... pour un gros truc... En musique, c'est encooooore mieux ! http://www.youtube.com/watch?v=cc6J08JX_Sw Kael ! Tschüüüüss, tschüüüüss !
  3. Kael

    [WHB-NDChaos] Zharvatta Zirkuß

    Gné héhé !!!!! Eh oui, Kael est de retour ! Et cette fois, pour un bon moment : adieu le stage de droit, bonjour mes vieux amis les pinceaux ! (et les joints de green stuff... ! />/> ) Sculptés par [color="#8B0000"][b]Mahar Lankoth[/b][/color] (insectes de mes petites mimines, constatez la différence... simple, lui, c'est un sculpteur !), je vous présente les deux premiers des huit K'daais Nés du Feu ! En cette période d'halloween, veuillez faire un triomphe aux Misters... ... Ooogie[b]s[/b] Boogie[b]s[/b] !! [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.0.png[/img][/url] [url=http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=509178kdaai2.png][img]http://img11.hostingpics.net/thumbs/mini_509178kdaai2.png[/img][/url] Oui, y'a une diode (ben, on vous avez pas dit avec Kael ?) Oui, la diode change de couleur ! Très très très prochainement : la suiiiiite !!! Kael ! [i]*chouchou, friandises, demandez le programme... !*[/i]
  4. Excellent !! Superbes conversions, on exige la suite !
  5. Kael

    Le siège de Leicheberg

    Leicheberg n’était pas réputée pour ses places, ses squares, ses faubourgs. Pourtant, la citadelle en avait, elle en avait stratégiquement plus d’un. Véritables points de rassemblements, c’était là les rares endroits où l’ordre pouvait espérer reprendre le dessus sur les ruelles éparses et mal fréquentées. Autrefois, des marchés et des foires s’y rendaient. Mais cela remontait à des âges si anciens que l’on pouvait sérieusement douté de la véracité du mythe. Pavés brisés, arbres abandonnés, chaussée délaissée, ces places n’étaient plus désormais que des endroits, architecturalement détestables, militairement appréciables. Enfin, selon les critères du Stirland. Soldats et civils savaient bien qu’ils n’avaient que peu de temps. Tout le monde s’activait. Sauf les paysans et citadins du moment, forcés à libérer leurs bâtisses pour la troupe. Obligés de se rassembler sur ces places, aux yeux de tous, leurs bagages faits à la hâte, c’étaient des familles entières qui attendaient. Pas tout à fait entières, non. Les hommes étaient partis, pas très loin, mais suffisamment pour laisser leurs familles dans le désarroi et le dénuement. Femmes, enfants, vieillards, des charges pour l’armée. Nombre d’officiers auraient préféré tout simplement s’en débarrasser. Anton Ludenhof n’était pas de ceux-là. Il était évident qu’ils constituaient un moyen de pression idéal pour maintenir l’ordre parmi les enrôlés de force. Mais il n’avait pas le temps de s’en occuper. Alors il délégua cette tâche à son second, le porteur de l’honorifique titre de Fürst. Toutefois, même Swen Meltburg ne pouvait s’acquitter d’une pareille obligation. Non qu’il n’en était pas préoccupé, loin de là, mais son honneur et sa morale avaient appris à faire des concessions, selon le sacro-saint principe des priorités. La défense de la citadelle était celle-ci. C’était terrible pour lui de l’admettre, mais les civils devaient passer après. Cependant, à la manière de son mentor, s’il se reconnaissait incapable d’obtenir quelque chose qui lui tenait à cœur, il lui suffisait d’en confier la responsabilité à une personne en mesure d’y parvenir. Ou tout du moins, une personne de confiance. Les deux étaient plutôt rares dans l’armée du Grand Comté. Ehrwig Kraemer semblait être une des rares exceptions. Jeune capitaine sortie de la très critiquée académie militaire de Wurtbad, il s’était retrouvé dès le début des opérations à la tête de deux régiments. Mille hommes. C’était beaucoup. C’était même trop pour ses épaules. Le Stirmarshall avait ses raisons. La famille Kraemer, de riches aristocrates originaires du Stirland, mais installés à Nuln, prenait une part certaine dans le financement des armées. Il ne demandait en échange qu’une place de choix pour leur fils. Mais Ludenhof n’était pas seulement intéressé par l’argent. Bon, il aurait été un mensonge de dire que c’eut n’été pas la raison principale. C’était que ce jeune capitaine semblait prometteur. Certes, parfaitement inexpérimenté, mais il avait eu d’excellents résultats, et le Stirmarshall accordait beaucoup de crédit à l’enseignement académique de Wurtbad. Preuve en était qu’il en avait été lui-même élève, tout comme il l’avait été pour un temps à Averheim et à Altdorf. Non, cette académie les valait. En tout cas, elle n’était pas si mauvaise. Pas autant qu’on le disait dans les salons mondains. Il y avait quelque chose en cet Ehrwig qui lui rappelait Meltburg, plus jeune. C’était un très bon exercice pour ce dernier que d’avoir à encadrer un officier. Très formateur, Anton savait de quoi il parlait. Et c’était ainsi à ce pauvre adolescent de seize ans que l’on avait confié la difficile tâche d’organiser le réaménagement des civils. Des jours et des jours qu’il y était dessus, ses yeux faisant sans cesse le va et viens entre les colonnes de chiffres. Le nombre de places disponibles était nettement inférieur aux demandes. Le pire, c’était que pendant ce temps, il délaissait ses troupes. -Monsieur Szern, combien y en a-t-il ? Trop. Inutile d’avoir le compte de son second pour savoir qu’il y avait beaucoup de trop de civils rassemblés devant lui. -Cinquante-six, monsieur. Mais je crois que ce petit ferait un bon joueur de fifre. -De fifre ? Vous croyez qu’on a le temps pour le former au solfège ? -Alors comme estafette. -Va pour une estafette. Ça en fera toujours cinquante-cinq, lâcha Ehrwig, désemparé. Kraemer était un bel adolescent. Grand, mince, blond, fin duvet sur le menton, un prince charmant. Mais qui était aussi vierge qu’un chérubin. Trop pur. Et la souillure avait du mal à prendre. Gerard Szern était un bon second. Bien plus âgé que son supérieur, c’était un ancien sergent-instructeur, respecté, apprécié, mais qui avait un sérieux problème avec l’alcool. Une histoire avec ses filles, à ce que l’on racontait. Quoiqu’il en était réellement, cela lui coûta ses prérogatives, et fut relégué à l’assistance. Cela aurait pu être pire, Kraemer n’étant pas vraiment le genre à lui imposer quoique ce soit. [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/05/17.30.jpg[/img][/url] [size=9]Ehrwig Kraemer.[/size] Szern fit signe à l’un des hommes d’aller chercher l’enfant. Dommage qu’il ne fut pas un peu moins brusque, les adieux avec sa mère furent déchirants. Ehrwig détourna le regard. Cette statue de Freya. La guerrière-reine des Asoborns admettrait-elle que l’art de la guerre soit devenu aussi cruel ? Ou est-ce que cela en fut toujours ainsi ? -Mon capitaine, les foyers sont pleins. Le moindre incendie causera des ravages, et vous savez… -Je sais que cela arrivera. Vous me l’avez suffisamment dit, ça va… répondit Kraemer, les yeux en larmes. -Et il reste encore six quartiers à évacuer. -Six ! Mais nous n’avons pas tant d’hommes à faire loger, où ont-ils dormi à leur arrivée ? -Ordre du Stirmarshall, les familles doivent être éloignées des zones de combat. -C’est un homme bon. Mais connaît-il notre désarroi ? -Pour cela qu’il vous a confié cette tâche, monsieur, glissa Gerard en souriant, essayant de remonter le moral du capitaine. Il avait bu. Cela se sentait. -Où allons-nous les conduire ? -Il reste une vingtaine de places dans le kinderheim, monsieur. -Autant de taudis. -Monsieur… je ne voudrais pas vous presser, mais vous devez agir. Les civils attendent depuis des heures, et vous savez que cela peut dégénérer, conseilla Szern, guettant la réaction des familles. Ehrwig ne répondit pas. Cette mère. Cette mère qui pleurait et implorait le ciel qu’on lui rende son enfant. Bien sûr que c’était la meilleure chose à faire. Des cas de maladies avaient été détectés. Mieux valait combattre que croupir. Mais que c’était difficile. -Ça ne peut plus continuer ainsi. -Vous proposez quoi ? Kraemer ne put que faire la moue. Tournant le dos à la place, son regard se leva vers le donjon. Puis, sur les maisons abandonnées des aristocrates ayant fui. -Je prends sur moi. Conduisez les là haut, rendez l’enfant à sa mère, ordonna Ehrwig, le sourire aux lèvres. -Mais… monsieur, vous êtes sûr… ? demanda Szern, en chuchotant. -Nous avons des ordres. Eloignez les civils, les mettre en sécurité ; ces bâtisses, grandes et, je l’espère, en relatif bon état, sont notre seule alternative. Faîtes ce que je vous commande, je vous prie, monsieur Szern, conclut Ehrwig en faisant signe au soldat de ramener le garçon. -Comme vous le souhaitez, monsieur. Il n’était pas certain qu’Ehrwig aurait le soutien de sa hiérarchie. Meltburg le comprendrait sûrement, mais il suffisait que Ludenhof soit mécontent pour que tout l’état-major devienne comme enragé. Mieux valait prendre les devants. -Streunter, approchez je vous prie. Streunter était l’ordonnance des régiments placés sous le commandement de Kraemer. Un binoclard qui adorait le goût du papier. Ehrwig le soupçonnait d’en manger. -Monsieur ? -Voulez-vous prendre une note ? -A l’intention de… ? demanda Streunter, ajustant ses lunettes. -Au Stirmarshall. Une fois que ce fut fait, Ehrwig se mit à l’écart. S’asseyant sur quelques ruines, il caressa le médaillon qu’il ne quittait jamais. L’ouvrant, Kraemer sourit à l’image de sa tendre Sofia, sa cousine, dont il était le chanceux fiancé. Ils s’aimaient sincèrement, mais Ehrwig savait qu’il avait un rang à tenir, et même s’il avait vite déchanté, il savait qu’il accomplissait son devoir. Une goutte. Puis, deux. -Je crois qu’il commence à pleuvoir, monsieur le capitaine, fit Szern en regardant le ciel. Ehrwig resta figé. Sur la paume de sa main, une tache noire. Une autre. Et une autre. Les cieux se mirent à cracher sur Leicheberg. Une eau noire s’abattit sur la citadelle, pressant plus encore les hommes et les femmes à se dépêcher. -Mettez les civils à l’abri ! ordonna Ehrwig. Szern ! -Oui, mon capitaine ? -Envoyez toutes les familles restantes dans les maisons nobles, sélectionnez parmi eux des responsables, qu’ils assurent l’ordre ! -Je vais y envoyer Graber et Hermann, et vous, où allez-vous ? demanda Szern, voyant son supérieur quitter la place. -J’ai des soldats à préparer ! -Mais mon capitaine, vous avez reçu un ordre précis : vous devez vous assurer des civils, protesta le sergent, le visage ruisselant de cette eau maudite. -Nous sommes en guerre, Szern, je ne peux pas faillir à mon devoir ! -Mais vous n’avait pas failli, vous avez laissé la préparation de vos troupes au lieutenant Scharzheim, il fera du bon travail ! -Je suis leur capitaine, vous comprenez, Szern ?! répliqua Ehrwig, bouillonnant d’une fureur qui lui était inhabituel. -Et un bon capitaine obéit aux ordres de ses propres supérieurs, monsieur. Vous pouvez déléguer, mais vous demeurerez responsable. Nous devons nous occuper des civils, répondit Gerard, s’interposant entre Kraemer et sa route. L’officier s’arrêta. Conscient que Szern disait juste, il se calma. -Bien. Envoyez ces deux là dans les quartiers, je vais accompagner ces civils jusque là-haut, vous m’y retrouvez ? -Bien sûr. August, Teo, Leopold, vous suivez le capitaine, indiqua Szern à deux hallebardiers qui lui étaient proches. Vous avez fait le bon choix, capitaine. -J’espère… Kraemer se hâta de rejoindre les colonnes des civils. -Qui dirige ici ? -C’est… vous, mon capitaine, répondit un lancier, aidant des enfants à monter. -Ah… bon, euh… Ehrwig vit alors une vieille dame, peinant à monter la pente menant aux quartiers plus aisés. La chaussée était glissante, et le prochain escalier ne se trouvait pas à moins d’un quart d’heure de marche. -Madame ! Je vais vous aider ! -[i]Waaahs [/i]? fit la femme, regardant d’un air méchant l’officier. -Donnez-moi votre main, je vous prie. -[i]Wahs saggen Sie[/i] ? -Votre main ! Donnez-moi votre main ! -[i]Na, na, na[/i] ! La vieille s’éloigna, rouméguant dans son dialecte du Stirland oriental. -Mais qu’est-ce qu’elle fiche ?! Madame ! Venez par ici ! -[i]Gneiiiiin[/i] ! -Mais… ! Madame, je vous en prie, vous devez rejoindre les autres ! Alors qu’Ehrwig s’apprêtait à prendre de force sa main, elle se retourna et lui flanqua un coup de sa canne. Du sang se mit à couler de son nez. Cinq épéistes vinrent à eux, la main sur la garde. -Mon capitaine ? -Amenez cette… -Allez les gars, foutons cette paillasse chez Ghinur ! lança le soldat, agrippant la vieille par son tricot. -Non ! Non ! Laissez là ! -Je vous demande pardon ? -[i]Gniiiii [/i]! Ehrwig poussa un soupir. -Est-ce que l’un de vous est de la région ? -Y’a Franz qui est de Swartzhafen. -C’est vous Franz ? -[i]Gni gni gni… gni[/i] ! -Euh, oui, mon capitaine… répondit le soldat, avec un fort accent. -Conduisez cette dame avec les autres, je crois que vous serez en mesure de communiquer. Vous autres, continuez à les aider ! -Mais… ? -[i]Hi hi[/i]. -Allez, allez ! -Mais, mon capitaine ! -Quoi ?! -Je la reconnais, c’est Bertha ! -Et ? -C’est la cantinière du 3e de lanciers, sous les ordres d’Hoschleswigl… -Pardon ?! -C’est pas une civile, elle bosse avec nous ! -Mais vous étiez prêt à l’enfermer il y a un instant ! -Je connais des vieilles et des pas mûres, mon capitaine… -Dépêchez vous alors de la raccompagner chez Hoschleswigl ! -‘vos ordres ! Kraemer poussa un second soupir. Ce ne serait pas le dernier. Serrant son médaillon, il s’empressa de rejoindre les civils.
  6. Kael

    Le siège de Leicheberg

    Bonjour à tous ! Eh oui, j’ai décidé de reprendre la suite du récit, après une pause. Une bonne pause, oui ! (plus d'un an !) [quote]Le Stirmarshall, Anton Ludenhof, se tient à Leicheberg, forteresse solide, mais délabrée, de la province orientale. La Sylvanie s’apprête à déverser sur les murailles de la citadelle, et il doit composer avec une armée dépitée et mal équipée, au milieu de civils effrayés et désemparés. Pour se faire, le Commandant Suprême ne peut compter que sur son état-major, et tout particulièrement sur son second, Swen Meltburg, jeune Main du Prince, valeureux, mais encore loin d’être en mesure de l’égaler. Peut-il également composer avec Joseff Rodorfy, le patibulaire capitaine ou encore Klemens zu Hoschleswigl, officier aussi efféminée que lubrique ? C’est un défi que le Stirland relève. [/quote] Dans les couloirs sombres et humides des souterrains de Leicheberg, quelques soldats s’avançaient. Leurs torches agrandissaient les ombres, faisant reculer pour un temps la vermine, et donnant un nouveau jour à la pourriture des sols et des murs. Au son de leurs bottes ferrées, du clinquement des armes, des armures, et des chaînes, s’ajoutait celui des gouttes, venant de quelques latrines situées plus haut, chacune d’elles venant se rajouter à la mare. Une odeur nauséabonde flottait tel un brouillard. La pierre était froide, usée, solide. Deux hommes peinaient à se tenir côte à côte dans l’étroitesse de ces corridors. On entendait les échos de cris d’agonie. Ces hommes portaient la livrée des soldats de Waldenhof. Leurs uniformes les distinguaient nettement des autres. De sombres pourpoints aux crevés mauves, ils portaient des atours sinistres. Des crânes, oui, en médaillons et en babioles, mais tout autant en os. Des parchemins déchirés et fixés par de la cire à cacheter. Depuis combien de temps le sceau de Sigmar avait-il écrasé cette chaleur sur des armures aussi froides que les âmes de ces hommes ? Aloïs von Rinauer ne s’en souvenait plus. Il les avait menés dans les contrées les plus sordides du Vieux Monde. La Drakwald, les Monts du Milieu, le Siège de Middenheim, le Pays des Trolls… la Sylvanie ne représentait à leurs yeux qu’un camp d’entraînement, tout au plus. Ce n’était pas un officier. C’était bien plus que cela. C’était un meneur. Il n’était peut-être pas bien grand, mais aussi fort qu’un Bretonnien, des bras puissants qui se plaisaient à manier la rapière avec la férocité d’une flamberge. La longue cape écarlate qu’il portait indiquait qu’il avait fait partie de ce corps d’élite exceptionnelle, la garde du Comte Electeur. Que s’était-il passé, entre la marche triomphante des halls dorés des palais de Wurtbad, jusqu’à ce visage creusé, blafard que la fine barbe entourant ses lèvres scellés peinait à y apporter une nuance. De son seul œil valide, un regard noir s’adressait à tout ceux qui se dressait devant lui. Ils avançaient. Lui et les quelques hommes qu’il avait choisi parmi son régiment, cinq braves parmi les braves. Mais pas tellement plus braves. Des soldats de Waldenhof. La marche s’arrêta devant une immense porte. Derrière elle, le couloir aux cachots. Des dizaines de cellules, de part et d’autres. Ce n’était pas d’ici que provenaient les cris de souffrance, on n’y entendait là que des plaintes et des gémissements. Aloïs, sans ralentir sa marche, aperçut des figures familières. La mère et ses petits, ceux qu’il avait envoyé la veille dans cet enfer. Il leur fit un clin d’œil. Le geôlier, un homme sale, gras et à la voix couinante vint à lui, refermant derrière lui une grille. -Monsieur viendrait-il inspecter moune travail ? Ghinur pour vous servouir. -Je vous regarde et je le juge. -Et qu’en est-il dès lours ? -Vous excellez dans vos fonctions. -Alors que pouis-je ? -Conduisez nous vers cet éclaireur. -Louiquel ? Un des hommes vint poser avec force sa main sur l’épaule du geôlier. -Mon capitaine ne se répète pas. Avance avant que ma lame ne te retire la protubérance que tu traînes. -Oooh ? -Je n’aurais pas mieux dit, Tërnberg. Vous l’avez entendu ? -Je vouis y condouis. Parcourant ce couloir parsemé de mains mendiantes, Aloïs perçut un autre homme, portant la même armure de geôlier que celle de leur guide. Il bloquait entre deux murs un corps, affaibli, malade, nu. Les coups de bassins qu’il donnait en ricanant ne donnèrent qu’une image à von Rinauer : Hoschleswigl. A peine eut-il pensé à cet autre capitaine que le boudiné gardien s’arrêta devant une grille, et se dépêcha de l’ouvrir sous le regard insistant de Tërnberg. Plusieurs hommes se trouvaient là, étendus sur le sol, mangeant de la paille moisie, léchant l’humidité des pierres. Un ou deux enfants aussi. Et installé confortablement, plaqué et attaché à un mur glacial, Markus Lied, inconscient. Les soldats de Waldenhof repoussèrent Ghinur, et s’imposèrent autour de leur supérieur, sans merci pour les corps allongés. -Il est là depuis combien de temps ? demanda Aloïs, sans regarder celui qui les avait conduit ici. -Oh, depouis jouste quelques heures. On l’a mouis ici pour savoir ce qu’il savait… -Tërnberg, va dire à ce pachyderme que mes questions n’attendent qu’une réponse strictement attendue. Pas de commentaires superflus. -‘vos ordres, capitaine. Couinant de peur de l’autre côté de la grille, le geôlier regarda frénétiquement aussi bien l’officier que le soldat qui s’avançait vers lui. Puis, trop effrayé, il se mit à fuir, à se traîner. -Il ne court pas bien vite. -Alors tu devrais en avoir vite fini. -Combien en désirez-vous ? -Comme à ton habitude. -Alors va pour trois. Trois doigts. De préférence, le majeur, l’auriculaire et l’index de la main droite. Mais comme le geôlier avait ouvert les cellules de la main gauche, il y aurait une exception. Aloïs fit signe à l’un de ses épéistes de réveiller l’éclaireur. La gifle d’une main gantée de mailles avait de quoi tirer de la torpeur n’importe quel esprit, pourtant bien décidé à demeurer dans le calme relatif de ses songes. Lied poussa un cri de colère, puis de peur en voyant ces soldats. Ils savaient que la dernière fois qu’il avait vu un uniforme, il avait beaucoup souffert. -Bien dormi, Lied ? -Mais… mais ! Pourquoi suis-je ici ?! -Tu devrais commencer à le savoir. On m’a fait comprendre que tu étais là depuis quelques temps, n’est-ce pas ? On entendit Tërnberg. « Et de un ! », suivi de supplications et de signes manifestes de douleurs. -J’en sais rien… j’en sais rien… -Tu es ici car on a lu ton rapport. On ne peut plus préoccupant. Tu en conviendras ? « Et de deux ! » [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2014/08/12.69.jpg[/img][/url] [size=9]Aloïs von Rinauer, capitaine des régiments de Waldenhof et de Marburg[/size] -J’ai rien écrit… du tout… ! -Non, ça, on l’a fait pour toi. Mais tu as quand même déclaré quelques éléments ? ‘propos de Neuheim et de ton collègue ? -Fritz… il s’en est sorti ? -Je n’en ai aucune idée. Si tu réponds correctement, je te permettrais sûrement d’aller le voir, s’il est là. Alors, alors… continua Aloïs en se rapprochant. Oh, le travail a déjà été commencé on dirait. Les bras de Lied étaient entaillés de toutes parts, son buste avait des traces de brûlures et ses jambes étaient recouvertes d’hématomes. C’était de la torture barbare. Sans complexité, et d’une efficacité douteuse. -Bien, bien, bien… fit von Rinauer en tapotant dans ses mains. Par quoi allons-nous commencer ? -Commencer quoi ?! -Tu ne me réponds pas, laisse moi rétorquer, non ? -[i]Welche Fragge [/i]? Vous ne m’avez pas posé de question ! -Oui… Et en fait ce n’est pas nécessaire. Je suis là pour m’assurer personnellement de la véracité de tes dires. Dossier, ordonna le capitaine à l’égard d’un de ses hommes. Les quelques feuilles en main, Aloïs se mit à le parcourir. -Messieurs, ne restaient pas plantés là. On ne va pas s’y prendre à main nue. -Je peux vous faire une suggestion mon capitaine ? « Et de trois ! » -Fais donc. Le soldat agrippa par le col la tunique en lambeaux d’une jeune fille. Se débattant, il lui mit une claque, avant d’en découper le tissu de sa dague. Repoussant la gamine, l’épéiste de Waldenhof retira sa genouillère, puis l’enroula du vêtement. -Permettez ? -Fais, fais. Faisant tournoyer un moment son terrible outil, il se mit à sourire. -Zum, zum, zum, fit-il en accompagnant son instrument, devant les yeux effrayés de Lied. Le soldat donna soudain un coup sec dans le ventre de l’éclaireur. Son hurlement fit reculer tous les prisonniers présents dans la cellule, sans faire ne serait-ce que sourciller les hommes de Waldenhof. -Ingénieux. C’est fou ce que le ventre permet de faire. Tendre, mou, et sensible. Petrach, tu seras récompensé. -Mon capitaine… -Et quant à nous, Lied. Commençons. Aloïs fit suivre de son index les lignes du rapport. -Tu réponds oui ou non, et tu dis ensuite je confirme ou je ne confirme pas. C’est compris ? -Ensuite… mais après quoi ? Petrach vint apporter la douloureuse réponse. -Tu indiques un nombre de quinze mille lances ? -… oui ! -Petrach ? -Oui, mon capitaine. Le signal de la confirmation s’abattit de nouveau. -Je… je ne confirme… pas… ! -Ah ? Explique-toi. -On a pas tout vu. Je leur ai dit, je leur ai dit ! On a vu quinze mille lances, mais… on a pas vu le reste ! -Donc, tu ne confirmes pas ? -Non. -Ah, tu confirmes ? -Non, je ne confirme pas. -Je n’aime pas avoir à répéter, mes mots comme ceux des autres. Petrach… -‘tout de suite. Celui-ci n’attendait pas de confirmation. -Continuons. Tu dis qu’ils auraient passé Neuheim ? -Oui… oui… ! [i]Gnade[/i]… je vous en prie ! -La procédure, la procédure. Petrach, je te prie. -Je confirme ! Je confirme ! répondit Lied en hurlant et en se débattant. -C’est du solide, ça tient bien, constata Aloïs en inspectant les attaches. Un sacré travail Ghinur ! -Je suis sûr qu’ils vous en sera reconnaissant, mon capitaine, ajouta Tërnberg, les rejoignant et rangeant sa dague ensanglantée. -Oui, avec un pouce et un annulaire, on peut toujours pincer un nez. -Plutôt utile dans cet endroit… poursuivons. Tu ne fais pas mention de l’état des cadavres. Tu peux préciser ? -… ils… ils n’étaient pas tous en décompo… en décomposition… -Ah, je crois que notre ami Markus a voulu triché, il n’a pas respecté les règles du jeu ; dois-je me répéter ? -Quand le capitaine te pose une question, tu réponds oui ou non, et ensuite, tu confirmes, t’entends ?! lança Petrach avant de remplir son office. -Je t’autorise cependant à développer ta première réponse. -Y’avait des corps… intacts. Seulement… morts… Aloïs fixa son regard sur quelque moisissure du mur. Il savait ce que Lied peinait à dire, et c’était la raison de sa venue. Classiquement, il savait qu’un cadavre réanimé était porteur d’une peste qui s’infectait par morsure, par griffure, ou par tout contact. Les victimes finissaient toujours par devenir comme leurs agresseurs. Mais là, c’était tout à fait différent. Si des corps étaient « intacts », cela ne pouvait signifier qu’une chose : pire que les légions des morts, une sombre magie était à l’œuvre. Non, pas une nécromancie. Quelque chose de plus dangereux encore. La nécromancie ne pouvait s’emparer ainsi des âmes mortelles, elle ne pouvait adhérer que sur des corps vidés de leurs résistances mentales. -Mon capitaine ? -Hum ? -Tout va bien ? -Dans ton rapport Lied, tu ne précises pas le nombre d’engins de sièges. -Oui. -Confirmation ? -Non ! Non ! -Ah ? -Nous n’avons pas pu nous rapprocher au point d’en voir ! Arrêtez, je vous en supplie ! -Plutôt insuffisant comme réponse ? -Surtout totalement hors procédure. -Mais… ! [i]Ich fickhe euch in denn arhs[/i] ! Je suis un soldat du Stirland ! Vous ne pouvez pas vous en prendre à moi ainsi ! Von Rinauer se rapprocha alors de Markus Lied, jusqu’à prendre son visage dans la main droite, et à le fixer de son dernier œil. -Comment voulez-vous… des précisions sur de telles estimations… ‘[i]war zu dünkel[/i]… ! -Tu me dis qu’on ne peut exiger de toi aucune précision ? -[i]Sie wissen schon[/i]… - « Na ja ». « Es klar ». Mais dis moi alors, [i]sag mir[/i], si l’on ne peut avoir de précisions de la part d’un éclaireur, c’est que cet éclaireur a mal fait son travail… n’est-ce pas ? -Terminez-en. -Oh, ne joue pas les durs. Tu vas chouiner. Nous sommes en guerre face à une chose dont on ne sait presque rien, et toi, et ton pote, vous êtes les seuls à être revenus avec des informations. Manque de bol pour toi, tu es le seul que l’on peut interroger. Le temps presse, tu nous excuseras nos manières, glissa Aloïs dans un sourire narquois, tout en caressant le visage meurtri de Lied. -[i]I’ch hab’ ‘les gesagt[/i]… -Il ne reste plus qu’à s’assurer, encore un peu, de la véracité des tes propos. Petrach ? L’épéiste se rapprocha. -Zum, zum, mon capitaine ? -Zum, zum, Petrach. Il n’eut pas le temps de finir de faire tourner son instrument de torture que la porte des cachots s’ouvrit avec force. -C’est qu’c’est pas de la mouisaille de ferraille c’te porte ! Aloïs fit signe à Tërnberg d’aller voir. -Steinbrück, pour l’amour du ciel, taisez vous. Vous connaissez sa cellule ? -Huuuum, huuuum ! -Rha, ça va ! Parlez ! -Une sur la droite. Monsieur Meltburg, elle est ouverte ! -De ?! Von Rinauer serra avec force son poing. L’officier qui s’approchait était l’archétype des gradés qu’il haïssait dans l’armée du Stirland. Bourgeois au sang impur, plus compatissants que pragmatiques, c’étaient de véritables loques. Il donna l’ordre à Petrach de cacher son outil. Pour le moment. -Capitaine von Rinauer ? -Mein Fürst ! lança Aloïs, baissant la tête mécaniquement, à l’instar de ses hommes. -Mais que faîtes vous ici ? -Très certainement la même chose que vous, Main du Prince, mais je suis surpris de vous voir en pareil endroit. -Vous êtes venu interroger… Markus Lied ? soupçonna Swen, jetant un regard sur les soldats. -Nous discutions, répondit Aloïs, fixant froidement Meltburg. -C’est lui ? demanda-t-il, désignant l’homme attaché. -C’est moi, mein Fürst… Tërnberg donna un coup sec dans le bassin de l’éclaireur. -On t’a invité à parler ? -Soldat ! Vous frappez un de vos camarades ?! s’énerva Meltburg, commençant à sentir la colère monté, en voyant la misère de cette cellule. -Hum, mein Fürst… vous ne donneriez pas un ordre à l’un de mes hommes… ? répliqua Aloïs, défiant Swen du regard. -Détachez-le. Et partez. -Nous n’avons pas fini avec lui. -C’est vrai, il vous reste à le détacher. Dois-je me répéter, capitaine ? demanda la Main du Prince, à la stupéfaction de Steinbrück. Von Rinauer se mit à trembler de rage. Avant d’ajouter sèchement : -Petrach ! -Mon capitaine. Et celui qui lui avait causé tant de souffrances libéra l’éclaireur. -Maintenant, quittez les lieux. -Il est tout à vous, mein Fürst. Mes respects. Aloïs ordonna à ses hommes de le suivre, et ils quittèrent la cellule. -‘risque de ne pas l’oublier… -Il ne me portait déjà guère dans son cœur, je vous ai connu plus observateur, Steinbrück. Aidez Lied à marcher, nous allons discuter dans un endroit meilleur. Marchant sous la colère, von Rinauer remonta tout le corridor des cellules, suivi de près par les siens. Dans un recoin, Ghinur, pleurnichant la perte de ses doigts. -Lève-toi. -Poutié… -Lève-toi, j’ai dit. Ouvre cette grille. Le geôlier s’exécuta, péniblement et douloureusement. Il se retourna vers l’officier, et celui-ci le poussa parmi les prisonniers en guenilles et avides de vengeance. Un clou, il y avait un vieux clou enfoncé dans le mur séparant les deux cellules. Aloïs l’arracha. -Fredrich. -A vos ordres. Le soldat referma la grille, sous les couinements de Ghinur. -Dis-toi que tu peux encore te pincer le nez, fit Aloïs en lançant dans le cachot le clou. Nul doute que les prisonniers sauraient en faire bon usage.
  7. Kael

    [WHB-NDChaos] Zharvatta Zirkuß

    Bonjour à tous ! Voici deux petits tromblons, toujours dans le même délire /> (et une petite photo de Kahellcannon, avec ses servants, pour voir si le rendu global augmente la dose de zirkußité /> ) [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.65.jpg[/img][/url] [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.66.jpg[/img][/url] Furies ? Confettis ! /> [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.63.jpg[/img][/url] [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.64.jpg[/img][/url] />
  8. Kael

    [WHB-NDChaos] Zharvatta Zirkuß

    Aaaah... pas bête ! Mais la chose est faîte, je risque de tout abimer si j'y retouche... Le spectacle des tortues ne convainc donc pas ?
  9. Kael

    [WHB-NDChaos] Zharvatta Zirkuß

    Merci de tous ces petits mots [quote]ça marche à quelle énergie ce truc, pile de montre, grosses piles ?[/quote] Que des petites piles, toutes les diodes étant détachables pour les allumer individuellement. [quote]Là il n'est pas évident de voir qu'il s'agit d'un canon apocalypse et encore moins d'une chose liée au monde du cirque... [/quote] Auriez vous manqué mes superbes petites tortues qui tentent de sauter à travers un cerceau ? Cette gigantesque tête de clown hobgobelin ? Ces lanternes chaleureuses dignes de Witchyworld ? Toutes les loupiottes qui changent de couleur ? Mais mea culpa : les servants ne sont pas sur la photo, ce sont les trois hobgobelins que j'ai sculpté (photos précédentes), dont un qui est jongleur. Après pour le canon apo' : on assiste quand même au mastodonte de l'artillerie là Mais c'est aussi la mauvaise qualité des photos... snif, mon APN n'est plus ce qu'il était
  10. Kael

    [WHB-NDChaos] Zharvatta Zirkuß

    Mesdames, mesdemoiselles, messieurs ! Après des mois de travail à chercher, à récolter, à assembler, et enfin à peindre, je vous présente le chef d'oeuvre du Zharvatta Zirkuß : le Kahellcannon ! Eh oui, voici mon canon apocalypse fait maison : full diodes, monté sur une lampe plasma, un socle constitué d'un pavé toulousain, deux tortues, et un crâne hobgobelin qui fait peuuuuur /> Photos et vidéos à l'appui ! /> (bon, la qualité, 'peut mieux faire) [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.67.jpg[/img][/url] [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.68.jpg[/img][/url] [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.69.jpg[/img][/url] [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.70.jpg[/img][/url] http://www.youtube.com/watch?v=uCnR_aVDJLI&feature=youtu.be (le son est couvert parce que la prise elle-même était moche, mais le crâne fait bien : hahahahaha /> ) edit : 'capte pas pourquoi la vidéo ne s'affiche pas, voici le lien : -http://www.youtube.com/watch?v=uCnR_aVDJLI&feature=youtu.be Tadadaaaaaaa !!!
  11. Bonjour à tous ! Eh oui, ce post pourrait ressembler à de la nécromancie... mais non ! Les badrims continuent d'exister, et voici les nouvelles figurines utilisées pour le tournoi du Fantastique Bataillon de Joinville, avec les Jugger'yoshis, une nouvelle grande bannière et un hérault de Khorne [url=http://www.hiboox.fr/go/images/divers/dscf1002,5bc6d764c2722acc87d6d82d652e4046.jpg.html][img]http://images4.hiboox.com/images/0613/5bc6d764c2722acc87d6d82d652e4046.jpg[/img][/url] [url=http://www.hiboox.fr/go/images/divers/dscf1003,585bbd5656f5bd536322ce60799a39a9.jpg.html][img]http://images4.hiboox.com/images/0613/585bbd5656f5bd536322ce60799a39a9.jpg[/img][/url] [url=http://www.hiboox.fr/go/images/divers/dscf1004,a15a1337b217d2d13ce55ef0e3a6d776.jpg.html][img]http://images4.hiboox.com/images/0613/a15a1337b217d2d13ce55ef0e3a6d776.jpg[/img][/url] Bientôt, un changelin et deux bêtes de Slaanesh ! Zloupa !
  12. Ladite malette a ainsi trouvé propriétaire ! Elle est à toi Leth, car je ne pouvais pas la prendre dans l'avion (et personne de mon équipe ni de la Team Mad ne pouvant la prendre) A balancer ou à utiliser ! Un très bon tournoi pour ma part, rien à dire de plus, sauf le micro. Dommage de se retrouver souvent sur les mêmes tables. Mais ce fut vraiment très sympa de venir jusqu'à Paris pour vous voir ! Mes yoshis souhaitent vous remercier ! http://www.youtube.com/watch?v=3KF6oAqpjwc Et on dit Kael en une fois
  13. Vive Mahar ! Je suis encore et plus que jamais en affaire avec lui !!!
  14. Et justement une des erreurs du pdf Ils ont bien 2 attaques. N'empêche, ce document est plus léger que "the real trad'" et pour peu qu'il soit corrigé, il reste très représentatif de l'armée
  15. Kael

    [NdC] 2400 pts

    Ben, pour l'avoir tester, ça déboîte pas mal. Car un 6 reste un 6, et vu la masse de tir, même des bretonniens les détestent !
  16. Kael

    [NdC] 2400 pts

    [quote]Sinon c'est dur de prendre les points en effet mais si l'ennemi reste à distance, ça sera dur d'en prendre aussi [/quote] Sa liste, elle est mobile : le bale taurus + le k'daai, et même les centaures-taureaux. En plus, les tromblons ont un impact jusqu'à 15ps, bref, la liste avance ! Teste la, l'ami F2C, et tiens nous au jus
  17. Kael

    [NdC] 2400 pts

    Eh ben c'est une liste que j'essaierai à l'occaz ! Tu dois t'amuser avec, ça bouge, c'est original (bah, oui, les centaures-taureaux !), ça tir, c'est pas statique C'me plaît !
  18. Kael

    [Analyse][NDChaos] Nouveau LA FW

    'tant pour moi ! Belle analyse des trombons, je vous invite à les essayer
  19. Kael

    [Analyse][NDChaos] Nouveau LA FW

    CC 5 ! Votre Eminence, F2C
  20. Kael

    [NDC] Le Cirque, à 2500pts !

    Ah, je prends note du conseil ! Je vais voir ça tout de suite ! Mais sinon, quant aux scénariis, ben... 2 bannières, 1 GB, et un général, soit 5 points, c'est honorable
  21. Kael

    [NDC] Le Cirque, à 2500pts !

    Si fait, Votre Eminence XAW ! http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=169009 Rien à voir aussi, mais je crois avoir vu de tes potes au tournoi de Merroux, et j'ai chanté mille louanges à ton égard, et j'ai ton nabot qui attend patiemment d'être peint, je l'ai sous les noeinoeils
  22. Bonjour à tous ! Voici une petite liste qui a fait ses preuves contre un elfe noir, mais je la soumet à votre souveraine appréciation ! Seigneur : Sorcerer-Prophet : Lvl 4 (Hashut) + Parchemin de dissipation + The Mask of the Furnace + Blood of Hashut = 410pts [i]J'adore le domaine d'Hashut. J'en suis fan. Ash Storm m'a conquis... et le sort 6 m'a vaincu [/i] Héros : Daemonsmith Sorcerer : Lvl 1 (Feu) + Couronne de Commandement + Pistolet = 135pts Infernal Castellan : Grande Bannière + Bouclier = 132pts [i]Deux bulles tenaces qui vont aller avec les Infernal Guard; je ne met le sorcier que niveau 1, car avec boule feu, il n'a pas besoin de plus. Les ingénieurs seront à deux machines (y'en a quatre en tout, le Canon apopo pouvant bénéficier de la relance suite à l'errata FW), avec un régiment pas loin pour s'y planquer si besoin.[/i] Unités de base : 25 Infernal Guard : étendard, musicien, tromblon = 460pts 24 Infernal Guard : étendard, musicien, tromblon = 442pts [i]Nécéssairement en horde pour pouvoir tirer, ils seront quand même tenaces, voir tenace relançable. Ils restent très costauds au corps à corps, et la masse de tir qu'ils infligent est finalement le seul véritable truc que j'ai trouvé pour mettre un terme définitif à certaines boîtes de ferrailes qui vont trop vites pour les machines de guerre et les éternelles furies bien casse-*** ![/i] Unités spéciales : 2 Magma Cannon = 145pts + 145pts 1 Deathshrieker Rocket Launcher = 100pts [i]On ne les présente plus, la pierre angulaire de toute armée naine du chaos qui veut se fâcher ![/i] Unités rares : 1 K’daai Destroyer = 325pts 1 Hellcannon = 205pts [i]Et ça, ça fait le café. Hmmm... What else ?[/i] TOTAL = 2499pts Voilà, voilà, dites moi ce que vous en pensez. Je sais, y'a pas de hobgobelins... mais j'ai l'intention de tout tester, et là, c'est les tromblons que j'aime. Et tenez le vous pour dit, le 3 juillet 2001, la Commission Européenne a rendu une décision "[b]NDC[/b] Health" qui permet aux entreprises de demander des mesures provisoires dans le cadre de la répression des infractions à la concurrence ! Kael, qui révise peut-être un peu trop...
  23. Kael

    [Analyse][NDChaos] Nouveau LA FW

    Bonjour à tous ! Hier, j'ai testé contre un elfe noir à 2500pts deux packs de 24 tromblons... Ca fait très très mal. Tellement, que j'ai peur de mettre plant[b][color="#0000FF"]é[/color][/b]. Pas tant au niveau des règles quant au nombre de tireur[color="#0000FF"][b]s[/b][/color], mais est-ce que la totalité des figurines pouvait faire feu si seulement la première ligne était à portée ? (ce cas n'est pas arrivé, ça n'a été que de la contre-charge, mais le doute m'a pris devant la violence de l'impact ! ) En tout cas, ça vaut grave son pesant de cacahuètes, et après, ça sort le bouclier et... mouallez !
  24. Oulala, la liste sortie des profondeurs de 2006 ! Je vais suivre ce sujet ! Hâte de voir le Queen Bess à l'oeuvre !
  25. Kael

    [WHB-NDChaos] Zharvatta Zirkuß

    Oula, ça fait quelques temps hein ! Le Cirque reprend ! Après un petit tournoi interne auprès de mon association (Instant d'un Rêve, à Haguenau), où mes cirqueux ont fini 3e, recevant un p'tit trophée (un nain en bronze ! wouaiiiiiiis !!! /> /> />), voici la suite de nos aventures !! Bon, une pitite suite... seulement deux tromblons/fireglaives. Par soucis d'économie, j'ai modifié l'arme de ces "Infernal Guard" (ah ouais, 'carrément moins Zirkuß quand je les appelle comme ça !) pour qu'ils représentent ces deux types d'armement. Ainsi, les tromblons ont tous une baïonette désormais. Restera à faire les boucliers, j'y travaille, et ce sera très certainement dans un esprit très friandise. Mais place aux photos ! (et une photo de groupe, j'étais d'humeur !) [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.117.jpg[/img][/url] [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.118.jpg[/img][/url] [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.119.jpg[/img][/url] [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.120.jpg[/img][/url] [url=http://fotoforum.fr][img]http://fotoforum.fr/photos/2013/10/17.121.jpg[/img][/url] (héhé, trouvez la toute dernière conversion /> ) Tschüüüüüüüss !!!! />
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