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Ocrane

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Tout ce qui a été posté par Ocrane

  1. Peut-être la galaxie est-elle à la fin d'un cycle (ça colle avec la tendance millénariste de l'impérium) et que les tyranide sont une race de créature venant des abysses noires au delà de la galaxie pour moissonner le patrimoine génétique de tout ce qui y vit pour le rendre... immortel et le... conserver... euh... Ouais nan, dit comme ça c'est crétin mais si c'est un gosse transparent au sommet d'une station spatiale qui le sort je suis sûr que ça passerait. J'aime les spéculation de l'inquisiteur (comme beaucoup de monde, semble-t-il^^) et celles d'Illuminor et maintenant d'Augustus mais le problème c'est qu'a ce niveau là on s'enlise dans les suppositions et l'arché-fluff (je n'ai rien contre, hein). Maintenant que le nouveau codex est en pré-commande sur le site officiel, on peut espérer un petit approfondissement. W&S... Mais franchement non, pour l'instant (et d'un point de vue narratif) les tyranides ne font pas de bon méchant ! Juste des méchant de série Z... La tentative de frayeur inhumaine sans la possibilité qu'elle atteigne le spectateur (ou le joueur).
  2. Hello, L'idée de ce chapitre est venu d'un pari à la c... avec un pote : Faire un chapitre Space Marine sympa inspiré du Japon sans tomber dans la caricature... Du coup je vous la soumets également, avec, en avant propos : - J'ai quelque peu dépassé l'inspiration japonaise pour taper dans le continent d'à côté. J'espère que la tambouille a bien pris. - J'ai essayé de limiter au maximum les termes japponais ou chinois (pour ce point je tiens aussi à remercier mon ami Google trad [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]) pour une meilleurs lisibilité. N'en mettant que quelques uns pour faire "couleurs locale". - J'ai également limité au max mes calembours et autres références habituelles à la mord moi le squig pour vous présenter quelque chose de sérieux mais... on ne se refait pas. - Il s'agit bien d'[i]inspiration[/i] chinoises et japonaise. Le but n'est en aucun cas de coller parfaitement à la réalité. En d'autres termes [i]je sais [/i]qu'il y a des contresens, des approximations et des anachronisme. Ce n'est pas forcement sciemment voulu mais je ne vais pas m'embarrasser avec la réalité réellement réelle dans un monde de fiction (Je tenais à le préciser au cas ou...). - Les inspirations principales sont donc : La chine antique, le japon, L5R (sehr wichtig [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]) et Google trad. - J'espère avoir supprimé l'essentiel des fautes (comme d'hab' quoi...) Le texte n'est pas encore totalement achevé et manque de précisions (et de la partie consacrée aux personnages importants du chapitre notamment), je les rajouterais plus tard selon mon inspiration (et éventuellement les critique [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/happy.gif[/img]). Sur ce... Bonne lecture. [center][b]Chapitre des Honoured Sentinels[/b][/center] [b]Primogenitor :[/b] Ultramarines [b]Chapitre Père : [/b]Fiery Hawk [b]Fondation : [/b]XIXème fondation (M36) [b]Primarque : [/b]Roboute Guilliman [b]Maitre de Chapitre: [/b]L'honorble Lì Zi [b]Monde du Chapitre : [/b]Jiàng [b]Forces estimées : [/b]un peu plus de 900 Marines [b]Cri de Guerre : [/b]Yataa ! (attribué au Vénérable Iroh) [b]Organisation : [/b]Divergente du Codex. [b]Symbole du Chapitre : [/b]Un crabe vert pâle sur fond noir, l'épaulière est cerclée de blanc [b]Couleur du Chapitre : [/b]Gris-vert [b]Stabilité des Gênes : [/b]Parfaitement stable. (léger dérèglement du biscopea) Située dans l'Ultima Segmentum, Jiàng est une petite planète qui a longtemps servi de grenier à la région avoisinante comme agri-monde. En M36, le tarot de l'Empereur prédit la formation d'une faille warp mineure dans la région, menant les hauts seigneurs de Terra à décider de la création d'un chapitre dédié à sa surveillance. Les archives des Honoured Sentinels font ainsi remonter leur création à la XIXème fondation. Le choix de Jiàng comme monde chapitrale, s'il est étonnant dans le sens où la planète n'offre pas de conditions extrêmes propre a endurcir ses habitants pour en faire des recrues idéales, s'explique principalement par sa proximité avec la faille ; rendant non seulement possible une intervention rapide mais également parce que les émanations de celle-ci font courir un risque de contamination aux exportations de nourriture de l'ancien agri-monde, rendant celles-ci impropre à une utilisation sûre par l'Administratum. Aujourd'hui la planète est auto-suffisante d'un point de vue alimentaire. Afin de pallier à l'environnement relativement clément de l'ancien agri-monde, les Honoured Sentinels ont un système d'écoles propre à leur fournir des générations de candidats et veillent à maintenir une désunion contrôlée de la planète. [u][b]I) Bienvenue sur Jiàng : Ses paysages en terrasse, sa Bureaucratie Céleste et ses royaumes combattants[/b][/u] [b]1 – Au début était l'agri-monde[/b] Située à un peu moins d'une AU de son étoile (une naine jaune comme il y en a tant dans la galaxie), Jiàng offre un climat tempéré sur la plus grande partie de sa surface. Ses terres émergées sont composées de quatre grosses masses continentales plus moins imbriquées les unes dans les autres. Les conditions clémentes ont menée l'Administratum a en faire une planète dédiée à la culture céréalière, rationalisant son espace et notamment ses reliefs pour créer de vastes cultures en terrasse. Lors de sa découverte, en M32, les missionnaires impériaux n'ont eu que peu de difficultés à adapter le culte local au credo. Les autochtones vénéraient alors l'Auguste Personnage de Jade qui devint l'Auguste Personnage d'Or et l'Administratum n'eut qu'à endosser le rôle de Bureaucratie Céleste qui existait déjà dans les croyances du cru. Si, au fil des millénaires, cela conduisit la planète à fournir sans heurt la dîme demandée, l'organisation mena à un certain éloignement de l'autorité locale – et plus particulièrement du gouvernement impérial mis en place – vis à vis du Ministorum. Néanmoins l'obéissance à la Bureaucratie Céleste et à ses émissaires resta le ciment de la concorde entre Jiàng et le reste de l'Imperium. [b]2 – Puis (re)vinrent les missionnaires et leurs bonnes idées[/b] Cette concorde fut remise en cause au 36ème millénaire lorsque les missionnaires revinrent pour préparer le terrain à l'implantation du futur chapitre. La population disposait à ce moment de la technologie standard propre à tout agri-monde et d'une unité de gouvernement. Les missionnaires commencèrent par remettre au goût du jour certaines des pratiques animistes pré-impériales qui avaient été bannies au profit d'une philosophie légiste et, sans remettre en cause le culte de l'Auguste Personnage d'Or, implantèrent le respect de la nature et la défiance des populations vis-à-vis de toutes technologies invasives. Lesquelles avaient certes amélioré la productivité du monde mais l'avait également rendu par trop "confortable" aux habitants. Le but de l'introduction des esprits au sein des croyances locales étaient de préparer la population à la présence – lointaine mais réelle – de la faille warp. En accord avec ces croyances, celle-ci reçu le nom de "porte vers le Di Yu" ou encore, plus simplement, de "Di Yu". Le gouverneur planétaire d'alors – peu au fait du destin qui avait été décidé pour son monde – parla ouvertement de "Grand bond en arrière". Ce qui conduisit à son éviction définitive (lors de l'harmonisation des structures gouvernementales). La perte de l'autorité centrale, couplé à la chute du légisme, mena en quelques siècles à la formation huit royaumes indépendants (l'un d'entre eux a aujourd'hui disparu) qui s'engagèrent bientôt dans une guerre intermittente qui se perpétue encore aujourd'hui. Mais si le monde était plongée dans une instabilité savamment entretenue, les quelques hommes qui se détachaient du lot étaient toujours trop vieux ou trop faible – au regard des besoins de l'Astartes – pour faire des candidats valables. La solution vint indépendamment des manipulations du Ministorum ; moins de deux décennie avant l'implantation effective du chapitre et moins d'un siècle avant que ne s'ouvre les porte du Di Yu. Sur Ryôgoku, une petite île au large des royaumes combattants ; dépendante techniquement de l'un d'eux mais trop excentrée pour être un objectif stratégique valable, un temple avait formé un ordre de lutteurs nommés Rikishi dont le seul but était d'affronter non pas les hommes mais les démons. Partant du principe que ces derniers étaient forcement plus grand et plus forts que les humains, ils avaient entreprit de créer une caste de guerrier nourris et élevés dès leur plus jeune âge afin d'être plus imposants et plus robuste que les standards humains de la planètes. Alors que les autochtone mesuraient en moyenne un mètre soixante-dix et étaient de corpulence plutôt faible, les moines-guerriers Rikishi étaient sélectionnés dès leurs naissance pour dépasser à l'âge adulte le mètre quatre-vingt pour un poids dépassant systématiquement le quintal. Armés de leurs compétences martiales et d'un corpus de croyances censées en faire des hommes versés dans l'exorcisme, ils devinrent, pour les missionnaires impériaux, la solution idéale à leur recherche de candidats. [b]3 – Et enfin les Space Marines[/b] La Missionaria Galaxia entreprit donc de favoriser la création d'écoles Rikishi à travers les huit royaumes. En faisant des protectorats religieux indépendants des monarchies en place et transformant Ryôgoku en une enclave sacrée, épargnée par les luttes des royaumes et destinée à accueillir la forteresse chapitrale. Celle-ci fut achevée en temps et en heure pour accueillir les membres du cadre destinés à former la première génération du nouveau chapitre. Ces derniers appartenaient aux Fiery Hawk : chapitre successeur des Ultramarines et respectant le Codex Astartes à la lettre. Ils avaient été sélectionnés pour leur expertise dans la lutte contre le warp et en raison de leur héritage génétique commun avec les futures Honoured Sentinels. Si les première recrues, venues des quatre coins de Jiàng, tinrent toutes leurs promesses sur les plans de la compatibilité génétique et des compétences martiales, les traditions divergentes et les antagonismes héritées des différentes nations s'accordaient en revanche très mal avec un respect strict du Codex Astartes. Plutôt que de perdre du temps à tenter une énieme manipulation cultuelle et culturelle à la suite de celles du ministorum, le premier maître de chapitre Crassus – resté dans les mémoires du chapitre sous le nom de Krao Zi – décida plutôt d'adapter le Codex a la réalité du terrain. Si cette décision était en premier lieu motivée par des impératifs de rapidité et d'efficacité alors que la date de l'ouverture du Di Yu approchaient, elle s'avéra payante et contribua à ancrer fortement et durablement le chapitre Space Marine nouvellement créé dans les us et coutume de la planète. Quatre millénaires d'histoire – émaillée de combats face aux démons vomis par le Di Yu – plus tard, les Honoured Sentinels sont aujourd'hui les héritiers de la clairvoyance de Krao Zi [b][u]II) Les Honorables Sentinelles de la porte des enfers, leur vie et leur œuvre[/u][/b] Aux premiers membres des Honoured Sentinels échurent deux taches majeures. Et si la première étaient de former un chapitre apte à protéger cette partie de la galaxie, la seconde était bien, évidemment, d'inscrire leur institution dans la durée. Même si cela s'est parfois fait dans les larmes ; ils ont, depuis quatre mille ans, mené à bien ces deux missions ; même s'ils ont dû changer au cours de leur histoire pour s'adapter. Au monde, tout d'abord, comme le fit Krao Zi, mais aussi à la menace que représentait leur adversaire d'outre-réalité. [b]1 – Organisation : Un chapitre, un monde : une entité[/b] La divergence majeure du chapitre avec le Codex tient à la répartition de leurs compagnie et à leur nombre En effet, il ne possèdent d'une part que neuf compagnies et d'autre part celles-ci sont, en temps normal, dispersées de part le monde. Chacune d'entre elles, de la troisième à la dixième (mais sans quatrième compagnie pour une raison expliqué plus loin), est une entité semi-autonome stationnée dans l'un des sept royaumes combattants. Dévouées, au départ, à conseiller et pousser les dirigeant locaux, ils les ont supplantés au fil des millénaires jusqu'à les évincer totalement. Aujourd'hui, le capitaine de chaque compagnie est également le roi en titre du royaume dont il dépend. Son chapelain – qui porte le titre de Shisai – est le chef de la branche religieuse et le garant de l'autorité de la Bureaucratie Céleste. Il existe également de nombreux rôles, hors militaires, dévolus aux différents sergents. Malgré tout, l'autorité effective des Space Marines est très distante ; une bureaucratie byzantine, modèle réduit de l'Administratum, les séparant du bas peuple, si bien que celui-ci à très peu de chance d'apercevoir un jour l'ombre d'une armure énergétique. Plutôt que de porter des numéros, les compagnies portent le nom de leur royaume d'origine : Chu, Zheong, Shi, Zì (aucun rapport avec le Zi des terminaisons de noms, tout est dans l'inflexion), Fan, Wa et Buwa. La dénomination traditionnelle de ces compagnie est le nom du royaume suivi du suffixe "-Kaisha" (ex: Fan-Kaisha). La seconde compagnie est stationnée sur Ryôgoku, dans la forteresse primitive du chapitre. Elle est symboliquement dédié à la préservation des traditions et, surtout, à l'entretien du matériel lourd. Si chaque compagnie possède ses techmarines et ses archivistes, c'est la seconde qui en compte le plus dans ses rangs. Ils se tiennent à l'écart des conflits qui agitent les royaumes, n'entretenant réellement de relations suivies qu'avec les membres de la première compagnie. Ils ne rencontre leurs autres frère que lorsqu'il est temps de partir en guerre dans les étoiles. En raison de leur rôle capital et le la catastrophe majeure que représenterait un début de corruption, il possèdent également un nombre très important de Shisai et entretiennent un cloisonnement interne très fort, chaque escouade étant surveillée étroitement par le QG de la compagnie (Et après... Quis custodiet ipsos custodes ? Errh bonne question...). Enfin, la première compagnie, comme celle de beaucoup d'autres chapitres, est exclusivement composée de vétérans des précédentes. Ils résident dans l'ancienne station orbitale du gouverneur planétaire – baptisée Tiângông (le palais céleste). Celle-ci fut fortifiée au fil des siècles et sert de dock pour la flotte chapitrale. L'entretien de la flotte est à leur charge, en collaboration avec la compagnie de Ryôgoku. C'est également dans le Tiângông que se trouvent les armures tactiques Dreadnought du chapitre. Le maître du chapitre, appelé traditionnellement le mandataire d'or, est le garant symbolique du lien entre Jiàng et l'Empereur et, par là, avec le reste de la galaxie [b]2 – Recrutement et formation : du Rikishi au Space Marine[/b] Les compagnie des Honoured Sentinels recrutent exclusivement au sein des écoles Rikishi de leurs royaumes respectifs. Les novices sont sélectionnés dès leur plus jeune âge (potentiellement dès que l'enfant est sevré mais la plupart des élèves sont ne le sont que vers leur troisième anniversaire) par des recruteurs (des Rikishi qui ne sont jamais devenu Space Marines) au sein des populations locales, sans distinction de rangs, ou de richesse. Les critère tiennent autant au développement physique du petit enfant qu'à son éveil. Cette sélection est drastique si bien qu'aucun royaume n'en compte plus de cinq et la plus grande école (située au Buwa, qui en compte quatre) accueille à peine un millier d'élève (à titre indicatif la population planétaire est estimée à 3,5 milliard d'individus). Les Rikishi subissent un entraînement rigoureux et une nourriture riche si bien que, à l'âge de neuf ans, il est fréquent qu'un candidat mesure un mètre soixante pour près de cent kilos. Les jeunes garçons de neuf ans se battent chaque année entre eux sous les yeux du capitaine de compagnie (de leur roi, donc) qui sélectionnera ou non (selon les besoins de sa compagnie et en accord avec le maître du chapitre) un certain nombres de candidats destinés à être implantés. Ceux qui échouent poursuivent leur vocation de Rikishi et continuent de grandir au sein de leur école avant de rejoindre, pour la plupart, les différents temples de leur royaume dédiés à l'Auguste Personnage d'Or. Là, en fonction de leurs aptitudes, il sont employés comme gardien sacré, exorcistes ou conseillers spirituels auprès de l'élite de la bureaucratie des royaumes. D'autres restent attachés à leurs écoles comme recruteurs ou formateurs pour la génération suivante, poursuivant ainsi le cycle. Les novices sélectionnés (il y en a rarement plus d'une dizaine par compagnie en même temps) poursuivent leur formation auprès d'un des Space Marine de la compagnie qui devient (en plus de ses devoirs guerriers et sur la planète) également un maître et prend le titre de -shihan (accolé à son nom). Le fait d'attribuer tel élève à tel maître dépend aussi bien de celui-ci, que des dispositions de l'élève et de l'avis du QG de compagnie. Les critères pour décider de qui devient maître sont nombreux et si l'âge rentre en ligne de compte, ce n'est pas toujours un critère déterminant. C'est également à ce moment que la seconde compagnie recrute ses élèves au sein des différents royaumes (par exemple : un novice ayant fait montre d'un potentiel psychique et sauvé ainsi des vaisseaux noirs pour entamer une formation d'archiviste). Dans tout les cas c'est un honneur pour un Space Marine d'être nommé maître. De même que pour un novice d'être l'élève d'un maître ayant eu de nombreux apprentis (on tend généralement à réutiliser les mêmes). C'est également une lourde responsabilité puisque pendant cette formation les actes de l'élèves (bon comme mauvais) seront répercutés sur l'honneur personnel du maître. La plupart choisissent donc leur élève avec circonspection et (à une exception notable) aucun Space Marine n'a jamais pris plus d'un élève à la fois. La première cérémonie qui lie maître et élève et celle où le premier offre au second un court sabre que ce dernier gardera toute sa vie et qui, bien plus tard, remplacera le couteau standard de l'Astartes lorsqu'il revêtira son armure énergétique. L'élève est donc formé par son maître durant onze année où il apprend les traditions martiales et culturelles du chapitres (et quelques information quant à la réalité de la galaxie qui ne pourront parfois pas manquer de le surprendre). À intervalle régulier, il subit des mains des apothicaires de la compagnies les implantations rituelles. Du Biscopea et de l'Osmodula – implantés simultanément dès ses neuf ans – à la carapace noire – implantée au lendemain de son 20eme anniversaire. Chaque implant fait l'objet d'une cérémonie de purification pré-opératoire et d'une autre – plus festive – lorsque l'on est certain que l'implant à pris (il est à noter que la mort du novice en recevant un implant est le seul cas d'échec qui n'entraîne pas de perte d'honneur pour le maître). Les jeunes élèves entreprennent toujours leur formation avec une forte surcharge pondérale héritée de la nourriture riche destinée aux Rikishi. Cet excédent de graisse sera absorbé au fur et à mesure de sa croissance. Il demeure indispensable en raison d'un léger dérèglement du Biscopea propre au chapitre. Avec l'implantation de la Carapace Noire, le novice est maintenant réellement un futur Space Marine. Au cours d'une cérémonie, il affronte son maître cours d'une série d'épreuves ritualisées ; non seulement physiques et martiales mais aussi mentales (notamment au travers d'un jeu de stratégie sur plateau qui n'est pas sans rappeler les échecs) et artistique. Ces épreuves s'effectuent devant d'autres membres de la compagnie. Le but pour l'élève est de montrer ce que son maître lui a appris. Il n'est pas obligatoire qu'il les remporte (ce qui est d'autant plus difficile que le maître est ancien) mais plutôt qu'il fasse montre de la perfection avec laquelle il exécute ce qui lui a été enseigné. Bien évidemment, s'il en gagne quelques unes son prestige n'en est que plus fort mais celui de son maître n'en sera pas diminué pour autant, bien au contraire (il est à noter qu'aucun novice, en quatre mille ans, n'a jamais battu son maître à toutes les épreuves). L'échec est très rare à ce niveau mais il se solde toujours par la mort du novice. Alors qu'il est maintenant libéré de la tutelle de son maître, le novice devient Rônin. Pour une durée indéterminée, il devient un homme sans maître. Le statut est très particulier parce qu'on attend de lui qu'il parcourt les sept royaumes sans autres possessions que les vêtements et les armes qu'il porte sur lui, affrontant les dangers tapis dans les ombres générées par le Di Yu (parfois avec ou à la place des Rikishi) et se mesurant à d'autres Rônin mais qu'il réponde également à l'appel du chapitre, formant des escouades de scouts réglementaires, lorsque celui-ci doit partir en guerre dans la galaxie. Souvent, les fraternités qui se nouent entre les Rônin au cours de ces années de semi-liberté perdurent toute leur vie de Space Marines et transcendent les clivages de royaumes/compagnies (ce qui, parfois, ne va pas sans poser quelques petits problèmes d'honneur...). C'est d'ailleurs probablement le seul moment où le commun des mortels de Jiàng aura une chance d'apercevoir l'un de ces guerriers surhumains. Rappelons qu'ils restent très rare au sein des royaumes et s'ils se rencontrent assez fréquemment entre eux c'est bien souvent parce qu'ils se cherchent activement pour s'affronter (et qu'un guerrier musclés de plus de deux mètre de haut dans une population petite et fine est tout sauf discret). Le Rônin ne devient un Space Marine de plein droit qu'au terme de ce laps de temps qui prends souvent des allures de parcours initiatique. Il n'y a pas de règle strictes pour définir le moment où il le devient. Il peut s'agir d'un combat contre une des horreurs qui hantent Jiàng ; au terme d'une campagne au sein d'une escouade de scout ; suite à une illumination ou une quête le menant à retrouver une relique perdue (le plus souvent sur la planète, plus rarement sur un ancien champ de bataille). A ce moment, il retourne dans son royaume d'origine et au terme d'une cérémonie aux teintes mortuaires (le blanc est la couleur du dueil sur Jiàng) reçoit son armure, son bolter et "renaît" d'une certaine façon comme membre a part entière des Honoured Sentinels. A partir de là, il se retire presque totalement du monde et poursuit son initiation au sein de sa compagnie en suivant une progression presque Codex ; commençant Devastator puis Marine d'Assaut pour finir Marine Tactique et, peut-être, Veteran du Tiângông. Il est à noter que certains Rônin ne deviendront jamais Space Marines. Le restant toute leur vie pour endosser une partie du rôle dévolu dans d'autres chapitres au Sergent Scout. [b][u]III) Traditions et histoire des Honoured Sentinels[/u][/b] Au cours de ses quatre millénaires, le Chapitre, déjà fort peu orthodoxe, a dévié encore plus du codex Astartes en adoptant certaines coutumes de Jiàng ou en raison d'événements, parfois tragiques, émaillant son histoire. [b]1 – Un chapitre, neuf compagnies, sept royaumes[/b] Si chaque compagnie (excepté la première et la deuxième) a toujours eu son royaume attitré, il fut un temps où le chapitre avait bien dix compagnies. Puis vint le Chaos. Le chapitre primitif était beaucoup moins cloisonné qu'il ne l'est aujourd'hui et les périodes de guerre alternaient avec des périodes propres aux échanges (il arrivait même que des dons spontanés de Rikishi soient effectués entre royaume). Vers la fin du M37, la hiérarchie du Han-Kaisha (aujourd'hui disparu et correspondant à la quatrième compagnie) fut corrompue par un démon ayant vraisemblablement possédé l'un de ses membre. Il est maintenant difficile de déterminer la nature exact du démon et même quel membre de la compagnie fut atteint le premier. La créature est restée dans les annales du chapitre sous le nom de Fléau de Han - et il ne fait aucun doute pour les gardiens des archives qu'il tentera à nouveau, un jour prochain de sévir contre les Honoured Sentinels. La corruption se répandit doucement au sein du Han-Kaisha et, par la suite au royaume. Lorsqu'elle éclata au grand jour, il était trop tard et le Chapitre découvrit avec horreur que leur ennemi principal avait réussi à prendre pied dans leur demeure. La réponse fut brutale et rapide et est restée, aujourd'hui encore, le seul exemple où les Honoured Sentinels intervinrent au grand jour au contact de la population et où les land raider parcoururent les rizières de Jiàng. Lorsque la répression fut achevée et le Han recouvert d'une nappe ardente de prométhéum, il fut décidé de bâtir une gigantesque muraille pour le couper du reste du monde. Le maître de chapitre d'alors (dont le nom fut effacer des archives) demanda la permission de se suicider rituellement, honneur qui lui fut refusé, et il redevint Rônin, s'enfonçant dans les terres dévastées du Han, armé de son seul sabre, pour ne jamais en ressortir. Dès lors il ne resta que sept royaume et la quatrième compagnie ne fut jamais recréé (aujourd'hui encore les Honoured Sentinel considèrent que le chiffre 4 porte malheur). A la place, il fut décidé d'octroyer une escouade tactique supplémentaire à chacune des autres et de confier le peu de matériel lourd du Han-Kaisha qui avait pu être sauvé du désastre à la seconde compagnie. Le cloisonnement proprement dit intervint peu après, lorsqu'il fut découvert que les échanges entre royaume avaient commencé à semer les germes de la corruption au sein des autres compagnies. D'autres têtes tombèrent et le cas ne s'est jamais représenté mais, plus de deux millénaires plus tard, la méfiance est toujours de mise. [b]2 – Sept royaumes, deux guerres, deux codex[/b] Les sept royaumes se battent entre eux perpétuellement. Il s'agit autant d'un gage de sécurité pour limiter une corruption massive que d'une manière d'affiner les aptitudes tactiques des Spaces Marines. Le vénérable Krao Zi, rédigea dès le début de son mandat de maître de chapitre un traité sur l'art de faire la guerre inspiré du Codex Astartes de Roboute Guilliman. Car si les Honoured Sentinels tirent une grande fierté de leurs traditions, ils n'ont jamais oublié leur lointaine ascendance Ultramarine. Krao Zi était un stratège et un grand penseur militaire, qualités qui lui avait procuré l'insigne honneur d'être sélectionné pour prendre la tête du cadre des futurs Honoured Sentinels. Et en bon stratège, il s'adapta au terrain. Si les guerres perpétuelles des huit (puis sept) royaumes fournissaient la matière première à une saine émulation entre les différentes compagnies, il fallait veiller à mettre en place un ensemble de règles qui garantissent que ces conflits ne dégénèrent pas en chaos complet. C'est ainsi qu'il rédigea un ensemble de règles qui, adaptant et remplaçant parfois le codex Astartes à l'échelle d'une planète, permettaient aux Compagnie de se livrer à un gigantesque jeu de stratégie honorable sans impacter outre mesure la population civile (garante de l'approvisionnement) ou les relations inter-compagnie au moment de livrer leur lutte contre les hordes du Di Yu ou les Xenos qui viendraient à menacer la région. Le traité est presque aussi épais que le codex Astartes lui même et ne s'applique strictement qu'aux guerres de Jiàng. Il impose notamment aux Space Marines de se battre par armées et généraux interposés et de ne jamais se rendre sur un champ de bataille ou encore de ne pas s'en prendre à des intérêts autres que militaires (avec une définition exhaustive de ce que sont ces intérêts). Tout infraction constatée ou même suspectée est soumise au jugement de la première compagnie et le châtiment amène systématiquement le déshonneur, sinon la mort, sur le coupable. Évidemment la suspicion sans fondement est en elle même interdite et punie par le traité. Cela ne veut pas dire que les guerre entre royaume ne font pas de morts. Juste qu'elle sont très courtoises et polies. (et qu'elle ne grèvent pas les effectifs du chapitre) [color="#0000ff"]Le traité régit également les interdits lorsque l'une (ou plusieurs) des compagnies délaisse les affaires de son royaume pour partir en guerre au delà de Jiàng.[/color] [color="#0000ff"]Il est en effet admis (sur ce monde en tous cas) que de simples généraux humains ne peuvent lutter contre le génie tactique de Space Marines. Et si l'immense majorité de l'administration d'un royaume se passe fort bien de l'intervention directe des Honoured Sentinels, les armées et les généraux, quant à eux, leurs sont totalement inféodés.[/color] [color="#0000ff"]Ainsi, il est déshonorant (et sévèrement puni) d'attaquer un royaume qui ne disposerait pas de membre de sa compagnie en états d'élaborer de stratégie défensive.[/color] [color="#0000ff"]Dans leurs gigantesque jeu de bataille à l'échelle planétaire, le fair-play est une valeur cardinale pour les Honoured Sentinels. Ce trait peut d'ailleurs, le cas échéant, être étendu aux rapports avec des membres d'autres chapitres (quoiqu'il ne s'applique bien évidemment pas contre les vrais ennemi de l'Imperium).[/color] [color="#0000ff"]En raisons du cloisonnement, les compagnies sont rarement amenées à se battre côte à côte. Le maître de chapitre essayant au maximum de n'employer qu'une seule d'entre elle pour une opération extérieure donnée.[/color] [color="#0000ff"]Cela a parfois conduit, dans les rares cas où une guerre mobilisait plusieurs d'entre elles, à un manque d'unité et de coordination dommageables. Bien qu'il n'y ait encore jamais eu de cas où ce manque ait été catastrophique, il est possible que cela se révèle un jour comme une véritable faiblesse si le chapitre venait à affronter un ennemi la percevant et décidant de l'utiliser.[/color] [color="#0000ff"]A contrario, l'entité semi-autonome qu'est la compagnie de royaume dispose, quant à elle d'une meilleurs coordination sur un champ de bataille que beaucoup d'autres forces d'autres chapitres.[/color] [color="#0000ff"]Cette limitations ne concerne pas les compagnies Tiângông et Ryôgoku (Première et deuxième, donc) qui se sont toujours tenues au dessus du cloisonnement et des luttes "amicales" entre royaumes.[/color] [b]3 – Un monde, deux civilisations, quatre langues [/b] On peut diviser la population de Jiàng en deux peuples : les Space Marines et le reste du monde. La civilisation du commun des royaumes est l'héritage des manipulations opérées par la Missionara Galaxia afin de faire de l'agri-monde un monde chapitrale. Ils croient en l'Auguste Personnage d'or et à Sa Bureaucratie Celeste. Ils croient aux esprits malins qui hantent les ombres de leurs mondes. Ils croient aux Rikishi qui les protègent de ces esprits. Et ils croient à ces émissaires célestes, choisis parmi les meilleurs d'entre eux et savent qu'ils sont bénis de subir ainsi l'attention de la Bureaucratie Céleste. Et ils sont réellement bénis parce que, à chaque génération, ces géants parcours quelques années le monde avant de rejoindre les ancêtres. Les Space Marines eux apprennent la réalité de la galaxie. Ils savent qu'ils sont un chapitre parmi d'autres et qu'ils doivent protéger leur secteur du Chaos (et des incursions Xenos) Ils savent qu'ils sont les guerriers de l'Empereur et qu'ils descendent du plus valeureux d'entre eux. Ils savent que leur monde est le centre de leur univers et qu'ils doivent le garder tel qu'il est à tout prix. Ils savent qu'il en va de leur honneur. Les traditions des Honoured Sentinels sont issues en droite ligne du syncrétisme entre celles de l'adeptus Astartes et les croyances de Ryôgoku. Ces dernières, de par sa nature insulaire, divergeant sur beaucoup de point avec le reste de Jiàng. Les Spaces Marines apprennent tous le haut gothique au cours de leur noviciat ainsi que la langue traditionnelle de Ryôgoku, laquelle diffère fortement de celle parlée dans le reste des sept royaumes. Tous connaissent aussi cette dernière mais ne l'emploi que rarement au delà de leur temps comme Rônin. Ils ne s'adressent qu'à une caste de serf de chapitre dévolue a servir d'interprète entre eux et le reste du monde et uniquement dans l'idiome du Ryôgoku, une langue agglutinante dont les termes se retrouvent dans les termes propres au chapitre. Il existe toutefois quelques exception comme le Tiângông, dont le nom est un héritage de l'époque ou la planète était encore un agri-monde et le suffixe "-Zi" qui s'accole au nom du maître du chapitre en signe de respect et est un souvenir de l'adaptation du nom du premier d'entre eux : Crassus. Le bas-gothique, quant à lui, est très peu présent mais est gardé vivant pas quelques serfs de chapitres au cas où. Essentiellement sur la station orbitale. [b]4 – Une tradition parmi d'autre : les cheveux[/b] Les Spaces Marines ont adaptés de nombreuses traditions de Jiàng. L'une d'entre elle est l'importance accordées à leur cheveux. Ceux-ci sont considéré comme un héritage de leurs ancêtres. C'est ainsi que les Rikishi se rasent la tête dès leur entrée à l'école. Parfois, les plus vieux d'entre eux - qui ne sont jamais devenu novice - peuvent se laisser pousser un petit carré sur le sommet du crane qu'ils nouent en chignon (ce qui reste rare puisque que cet honneur n'arrive généralement qu'a l'âge où les hommes deviennent chauve...) Les novices, quand à eux, ont le droit de se laisser pousser les cheveux librement à l'arrière mais doivent garder le sommet et l'avant du crane rasé. La quantité de cheveux qu'il est permis de garder augmente avec le temps. Souvent ils sont tressés ou noués en chignons. Pour des raisons diverses et parfois complexe souvent liés à leur honneur ou a un serment, certains Space Marines gardent leur cheveux à une certaine longueur ou même se rase carrément la tête. Dans tous les cas, la taille et la coupe de cheveux arborée par un Honoured Sentinels a toujours une signification et une importance immédiatement compréhensible pour ses frères. Les hommes de Jiàng ont, d'autre part, un système pileux en général peu développé et très rares sont les Space Marines, à l'exception des plus vieux d'entre eux et de quelques archivistes, à ne pas arborer un visage correctement rasé en toute circonstance. [b][color="#0000ff"]5 – Marquages et héraldique du chapitre[/color][/b] [color="#0000ff"]La livrée du chapitre et de couleur gris-vert pâle unis (couleur jade en fait, si quelqu'un a une meilleur idée...^^).[/color] [color="#0000ff"]L'épaulière droite porte le symbole du chapitre, un crabe vert clair (la couleur est toutefois différente de celle de la livrée) sur fond noir.[/color] [color="#0000ff"]L'épaulière gauche, quant à elle, porte le symbole du royaume (un idéogramme de l'écriture locale).[/color] [color="#0000ff"]Les épaulières sont cerclée de blanc.[/color] [color="#0000ff"]La genouillère droite porte le numéro de compagnie, écrit selon le marquage gothique, et la genouillère gauche l'escouade auquel appartient le Space Marine, au sein de sa compagnie, selon le marquage codex (chevron pour les devastator, etc.)[/color] [b][color="#0000ff"]6 – Noms et Titres[/color][/b] [color="#0000ff"]Les noms des Honoured Sentinels comporte généralement une ou deux syllabes.[/color] [color="#0000ff"]Dans l'appellation formel, le nom du royaume est placé avant celui propre au Space Marine et lui tient lieux de nom de famille (ex : Zheong Xi).[/color] [color="#0000ff"]La manière dont deux Sentinels s'adressent l'une à l'autre est très réglementée et – comme beaucoup de chose dans ce monde.[/color] [color="#0000ff"]Des Honoured Sentinels d'une même compagnie et de rang égal s'appellent "frère" entre eux, sans utiliser le nom de compagnie (ex : frère Xi)[/color] [color="#0000ff"]Lorsqu'ils s'adressent à un membre d'une autre compagnie, ils se nomme "cousin" et accole systématiquement le nom du royaume de l'interlocuteur (ex : cousin Zheong Xi).[/color] [color="#0000ff"]Le terme de cousin est d'ailleurs souvent employé lorsqu'ils s'adressent à des membres d'autre chapitres (ce qui, parfois, ne va pas sans un haussement de sourcil interrogateur lorsqu'il est utilisé en gothique).[/color] [color="#0000ff"]N'utiliser que le nom sans autre politesse est considéré comme très familier (voir insultant si l'interlocuteur est d'une autre compagnie) et n'est qu'utilisé lorsque les deux Space Marines ont de fort liens d'amitié.[/color] [color="#0000ff"]Cette règle peut d'ailleurs transcender les différences de rangs et de compagnies si cette amitié remonte à la période où les deux Space Marines étaient Rônin. [/color] [color="#0000ff"]Les Rônin, d'ailleurs, n'ont pas le nom du royaume accolé au leur. Ils ne l'acquierent qu'au moment de recevoir leur armure.[/color] [color="#0000ff"]Un novice accole le titre de "maître" au nom complet de son maître et continuera à s'adresser ainsi à lui toute sa vie, même s'il acquiert par la suite un grade supérieur à ce dernier.[/color] [color="#0000ff"]Quelques titres :[/color] [color="#0000ff"]- Révéré : Ce titre n'est employé que pour désigner l'Empereur et Roboute Guilliman.[/color] [color="#0000ff"]- Vénérable : Ce titre ne s'accorde qu'à titre posthume, au terme d'un procès en vénération. Il désigne un ancien ancêtre digne d'être vénéré par le chapitre dans son ensemble.[/color] [color="#0000ff"]-Honorable : Ce titre s'acquiert de manière informelle et ne devient réellement officiel que lorsque la plupart des membres de chapitre reconnaissent sont porteur comme tel. Il s'agit donc d'un titre qui est accordé par des membres de différentes compagnie et signifie que son porteur a à cœur les intérêts du chapitre dans son ensemble.[/color] [color="#0000ff"]Beaucoup de membre de la première compagnie le porte et il est un prérequis pour devenir maître de chapitre. [/color] [color="#0000ff"]- Excellent : Ce titre est accordé par le maître de chapitre aux capitaine, parfois à d'autres membre en fonction de leur valeurs. (On s'adresse à un capitaine de compagnie en l'appelant "Votre excellence" et, une fois encore, il arrive que des Honoured Sentinels l'emploi en haut gothique à la surprise d'un capitaine de compagnie d'un autre chapitre).[/color] [color="#0000ff"]Si ces titres sont formellement respectés au sein du chapitre (et peuvent parfois amener un Honoured Sentinel peu clairvoyant à faire preuve d'arrogance vis à vis de ses frère d'autres chapitre), il est admis et couramment accepté que les autres chapitres ne les connaissent pas et ne les utilisent pas.[/color] [color="#0000ff"]Néanmoins, leur emploi est fortement apprécié (et est un moyen... au hasard... dans une équipe de la DeathWatch, de partir sur de bonne base avec un Honoured Sentinel).[/color] [color="#0000ff"]En raison des différences entre le Haut (et le Bas) Gothique et les langues de Jiàng ; les noms des membres du chapitre sont souvent "gothicisés" à la truelle dans les archives impériales. Chose qui, en revanche, ne manque presque jamais de heurter la susceptibilité de la Sentinel concernée (surtout si c'est la première fois qu'elle y a affaire).[/color] [color="#0000ff"]Il est même possible que l'orthographe varie en fonction de l'adepte copiste ignare qui a rédigé l'archive (c'est ainsi que des exploits attribués à des certains "Foncius", "Fanche", "Fancias" et "François" étaient en fait l'œuvre du Vénérable Fan She, qui a effectué trois temps de veille au sein de la DeathWatch).[/color] [color="#0000ff"]Cela étant, les Honoured Sentinels le rendent bien au reste de la galaxie sur leurs propres documents (et Crassus devient Krao Zi).[/color] [b][u]IV) Héros et ancêtres[/u][/b] Je compléterai cette section plus tard ^^ [center] [/center]
  3. Je te déconseille les relictors. Ils ont un gros malus au maniement de l'épée tronçonneuse [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]. [size="1"](Tu ne me rattraperas jamais Jutred ! Nyaaa !)[/size] [size="2"]En fait les 13ème et 21ème fondations peuvent être un vivier de chapitres renégats (ou plutôt de bandes disparates) affiliés ou non à un dieu particulier.[/size] [size="2"]Mais je me demandais, Tzzzeentch, comment compte tu représenter ta croisade, en jeu ? Est-ce une armée de 2000 points avec une petite bande de chaque ? Est-ce pour une campagne ?[/size] [size="2"]Simple curiosité parce que j'ai du mal à me représenter une croisade noire sur une table de jeu.[/size] [size="2"]Après (si quelqu'un pouvait confirmer ou infirmer) : J'avais dans l'idée que les Space Marines du Chaos étaient beaucoup plus indépendant que leurs homologues loyalistes et qu'il y avait probablement autant de guerriers solitaire perdus dans leurs quêtes de grandeurs que de bandes soudées mais que, dans tous les cas, les organisations chapitrales volaient en éclats (je ne parle même pas du respect du codex, juste du fait de rester ensemble).[/size] [size="2"]Dès lors, est-il aussi fluff de faire des escouades mélangeant allègrement des anciens membres de chapitres (et de Légions) en leur sein ? Avec une certaine unité de couleur et une épaulière aux couleurs d'origines (un peu à la Deatwatch) pour garder une bonne lisibilité sur la table. [/size]
  4. [quote][color="#330000"][size="2"]Se faire bouffer est l'une des pires terreurs humaines. L'homme ne supporte pas de ne pas être en haut de l'échelle alimentaire.[/size][/color] [/quote] Oh, je ne parierai pas là-dessus, certains fantasment bien sur le vore... Mais bon, ils sont japonais donc ils ne comptent pas vraiment comme humain. Si ? Sinon je rejoins plutôt l'avis de l'inquisiteur. Et mettre des "capitaines" ne les rendraient pas plus humanoïdes (ce terme ne s'applique qu'a une ressemblance physique). Pas plus que ça ne les humaniseraient forcement (mais ça peut si c'est mal fait). [quote][color="#330000"][size="2"]Le Tyranide est un méchant ultime car il échappe à notre compréhension.[/size][/color][/quote] Les tyranides (en l'état actuel) font de très mauvais "méchants"... Et encore moins des "méchants ultimes" L'armée a de la gueule et les fig' sont sympa, certes mais au delà de ça ils n'ont pas vraiment de charisme. Ça tiens plus du drone sans âme qu'autre chose. Le concept peut marcher avec un seul alien (et on obtient un super film d'horreur) ou avec une horde (et on obtient un film de guerre sympathique). Néanmoins, dans le cas de Starship Trooper par exemple, ce qui rend le film agréable c'est moins l'antagoniste que le second degré de la narration. Pareil dans le 8ème passager, c'est la narration qui fait monter la pression. Même si la créature de Giger est un chef d'oeuvre de conception, elle n'apparaît presque jamais à l'écran et n'a pas réellement de présence en elle même. Ce n'est pas forcement gênant pour un film ou un livre puisque le monstre y est présenté comme un antagoniste et que le lecteur/spectateur s'identifie au(x) héros (enfin au mec qui survit jusqu'à la fin... assez souvent il se devine rapidement). A noter que ça peut aussi le faire pour le jeu de rôle si le MJ reprend les codes de ce type d'histoire (quelques scenar de l'appel de Cthulhu sont assez sympathique pour cela... et on est là aussi dans l'horreur cosmique au delà de la compréhension etc.). Mais on parle également d'incarner ces monstres (enfin plutôt de les jouer)... Ou de jouer contre eux. Et de lire le fluff d'un point de vue exterieur sans réelle trame narrative et sans une Ellen Ripley ou un Johnny Rico pour entrer dans la fiction. Du coup il est important que les monstres aient une personnalité réelle, quelque chose à quoi se raccrocher qui permette de les caractériser, de les individualiser un peu. Pour citer un autre jeu de strategie : Starcraft (et sans faire outre mesure de parallèles foireux entre Zerg et Tyranides) où on a l'overmind ou Kerrigan. Ou Mass Effect (ok c'est plus à mettre dans JdR et narration mais bon) où l'on peut citer Sovereign et le Harbinger pour les moissonneurs ou Legion pour les Geth. Bref des membres de leurs espèces un peu différents de leurs congénères (ou pas d'ailleurs) mais qui, dans tous les cas servent, d'"interface" entre le lecteur/spectateur/joueur et le petit bout de l'univers de fiction que représente la race. A défaut de la "porte d'entrée" royale que peut être le protagoniste humain principale. Parce que ce qui fait (en partie) un bon méchant ce n'est pas tant le nombre de personnes qu'il trucide (au bout du compte, si le chiffre devient trop grand, ce n'est plus qu'une statistique) ni même la manière dont il les tue mais c'est aussi la nature de sa relation hors-affrontement avec le reste de l'univers (et le héros ou le joueur/lecteur le cas échéant). L'alien qui traque Ripley est plus effrayant pour cela que pour la manière dont il sort de Kane. Si je reste sur alien en exemple c'est pour garder la thématique "monstre" mais d'autres bon méchant ont également leur place en exemple (je dépasse un peu du cadre là, en revanche) : de Dark Vador (et sa relation avec Luke) à Vicious de Cowboy Bebop en passant par Javert de Victor Hugo (oui, je ratisse large en terme de medium, de date et de pays d'origine) voir même le président de Fallout 2 (histoire de taper vraiment large) Mais en l'état les tyranides font des méchants aussi mémorable que Darth Maul... Menaçant oui. Méchant (ou mauvais)... bah pas plus qu'une nuée de sauterelle galactique.
  5. [quote][color="#330000"][size="2"]C'est pourtant évident qu'il faut quelque chose comme ça. Qui jouerait Skaven, Orc/Ork ou Gobelin s'il n'y avait pas quelque chose en plus ? Ben ce petit truc en plus, il faudrait le rendre aux Tyranides.[/size][/color][/quote] Du coup on perdrait l'aspect totalement bio-engeeniré des tyranide. Voir un culte de stealer me fais un peu penser à un culte d'humain vénérant le rat cornu à battle (y'en a)... Ils ont leur intérêt en amont de la bataille (et certainement à une échelle escarmouche) mais à l'échelle de combat 40k ce type d'unité feraient un peu tache au milieu des gaunt. Peut-être, a défaut d'humaniser les troupes visibles sur la table qui ne sont que des drones (même les créatures synapses) serait-il possible de caractériser (hors-jeu, donc) les reine-Nornes ? Ou l'entité au-dessus d'elles ? Leur donner des moyens (même limités) d'interactions avec les autres races ? Voir une petite histoire (à 10€ chez BL) qui permettrait au lecteur de s'identifier d'une manière ou d'une autre à l'esprit de la ruche. L'exemple de Kerrigan est un peu extrème et hors-sujet mais il est ce qui fait des Zerg une race sympa à jouer (ouais, ok, ça et les nydus canal[img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/rolleyes.gif[/img]). [quote][color="#330000"][size="2"]Pas à 40K. L'Impérium étant raciste au possible, tout ce qui est xéno et qui peut tenir un lance-pierre est une menace à éliminer, point barre. Du coup, pour que la menace soit "crédible" à l'échelle de l'Impérium, ou disons "prioritaire", ben il faut qu'elle soit potentiellement en lice pour diriger la galaxie/la ruiner/casser les dents de l'Impérium.[/size][/color][/quote] Remarque, si on fait abstraction des marketeux de GW qui doivent forcement rendre une race dangeureuse sur beaucoup de front (ainsi que tu l'a mentionné précédemment) il est aussi possible que la menace ne soit pas aussi insistante que ne le proclame la propagande impériale. C'est aussi un point à mentionner... ok les tyranides s'en prennent à quelques mondes (et non des moindre, genre Ultramar) parmis la multitude que compte l'imperium mais... et si... (encore un [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]) et si, donc, la menace n'était pas aussi grande que ça ? Et si les jolis aplats de couleurs des flottes ruches sur la carte de la galaxie n'avait été qu'une partie de la propagande d'un imperium en manque d'ennemi sérieux pour maintenir unis dans un effort de guerre constant l'integralité de l'ultima segmentum ? Et si la menace tyranide (bien qu'existant réellement) n'était pas forcement un monstre assez puissant pour dévorer l'intégralité du million de monde impériaux ? [/HS] En fait "Etoiles, garde à vous !" est la traduction (bidon) du titre original du bouquin : Starship Trooper... C'est le livre qui a inspiré le film. Je l'aime beaucoup parce que ça a été l'un de mes premiers bouquins de SF alors je ne suis surement pas le meilleurs critique qui soit. Il date des années 50 du coup ça a un peu vieilli (il a été écrit par un américain, en pleine guerre froide... no comment) mais les sujets abordés sont intéressants (dans le cadre de l'univers de SF que nous adorons tous [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img] pour le reste chacun est juge) ; on a du militaire, du Xenos et de l'autoritarisme. Maintenant (pour renouer un avec le sujet) il ne faut pas forcement s'attendre à des révélations époustouflantes propre inspirer une nouvelle vision des tyranides. En revanche, il peut aider à donner du caractère à l'imperium et à "justifier" (avec un peu de recul tout de même, nous restons toujours dans de la SF ^^) sa mentalité vis-à-vis des-dits tyranides et de ses propres citoyens. C'est justement cette partie là qu'on a un peu (beaucoup) perdu lors du passage au film. Et bien sûr, il peut s'apprécier (de manière totalement dé-corrélée du Hobby) pour ce qu'il est maintenant : un classique de la science-fiction américaine. Bref, Essayez. Parce que même en partant de 40k, il y a toujours moyen de se culturer un peu [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img] [/HS]
  6. Le meilleurs moyen reste donc de ne pas réellement faire avancer la timeline mais de faire en sorte de l'imperium "découvre" de nouvelles information ? J'veux dire (pour le cas des necrons) l'ancien et le nouveaux fluff ne sont pas si incompatible... Une fois la réaction épidermique à base de "Raah, ils ont trahi l'esprit de l'armée !!!1one1eleven!" passé ont constate que l'on passe d'une armée très peu développée (dans 2 WD à la base) parce que les impériaux étaient confrontés à l'inconnu et à l'inexplicable (des guerriers métalliques "pop" du néant) à une vision plus "interne" ("l'humanisation" défendue par L'inquisiteur et Illuminor). Bon... après ça part peut être un peu en sucette quand ils commence à rouler des pelles au Blood Angel pour contrer... les tyranides justement. Mais une fois encore c'est officiel, beau et bon (ou alors un certain Matt W. est un monstre qui mérite le bûcher... au choix) Une évolution sympa pourrait donc être un approfondissement du Background des tyranides plutôt qu'une évolution des relations entre les autres armées à leur dépends (sauf les BA et les... ouais bref... c'était un cas isolé appelé à le rester [size="1"]ou pas[/size]). Les culte Stealer sont une piste d'humanisation (littéralement) quoiqu'ils ne soient peut être pas adaptés dans leur format et leurs effectifs au jeu de fig' (mais bien plus à Necromunda et à Dark Heresy... comme quoi : Variez les jeux pour profiter du Hobby ). L'idée d'Illuminor quant à Starship Trooper est sympa mais quitte à revenir aux fondamentaux, essayez plutôt "Etoiles, Garde-à-vous!" (oui le titre en français est con mais le bouquin est toujours meilleurs que le film )... en plus les thème abordés sont assez 40k même chez les humains. Qui sait... peut être dans le prochain codex apprendrons-nous que la race entière est contrôlé par une ancienne assassin vindicare corrompue ayant fusionner avec une reine Norne...
  7. Entièrement d'accord pour la première partie de ton post, Methos. J'essayais en partie de replacer le contexte dans le jeu. Même si j'ignore combien de point d'armée a rassemblé Abaddon (et je m'en passe très bien...) j'imagine que ses croisades à lui dépasse de loin la place disponible sur une table de 1m20X1M20, si vous me permettez l'expression. L'idée de relier une autre croisade à celle d'Abaddon est une piste mais ce n'est pas une obligation. En fait si j'assiste sur ce point c'est surtout pour dire qu'Abaddon est un héros officiel Games Workshop et que, du coup, il pourrait faire de l'ombre à un général créé de toute pièce... plus personnel en sommes. Un peu comme un perso de jdr en sommes même si le jeu de fig' est différent, c'est plus sympa quand le général est le héros de l'histoire (qui se bat contre le "héros" et son armée de l'adversaire [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img] ). Le concept peut avoir son importance lorsque l'on joue en campagne. Laquelle campagne me semble être le cadre idéal pour qualifié une armée de "Croisade Noire" parce que si c'est un One Shot... Bah c'est juste une croisade de nom [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/happy.gif[/img] Quant aux Son of Malice... C'est une réminiscence de Malal, l'aspect du Chaos qui se détruit lui-même. Games Workshop a perdu il y a quelques années de ça les droits sur le nom "Malal" qui est devenu "Malice". Quoique dans WHJDR, il était aussi intéressant que Drizzt Do'Urden, à l'époque... On peut le ranger avec Necoho (dieu de l'athéisme...[img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/blink.gif[/img]) et Zuvassin (dieu de euh... des loi de Murphy ) au chapitre de ces petits dieux dont tout le monde se fiche sauf quelques enragés... Ces deux là avait d'ailleurs été créé pour le remplacer. Ses Space Marines du Chaos s'en prennent volontiers à leur propre camp (et au reste de l'univer) dans une spirale auto-destructrice. Bref, des gens pas très fréquentable, même pour un seigneur du chaos en quête de troupe. Disons seulement qu'il s'agit presque d'un chapitre pour hipster... [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]
  8. Bah perso le terme n'est pas plus choquant que cela et n'est pas réservé à Abaddon. Dans Black Crusade (le bien nommé) lancer une croisade noire contre l'impérium peut être un objectif final (à une échelle ou le jeux de rôle rejoint le jeu de plateau justement). Et puis qu'est-ce qu'une Croisade ? Juste un mec avec suffisamment de puissance personnel pour rallier ses pairs (ou ce qui en tient lieux) contre une cible définie avec (éventuellement) une vague raison religieuse (laquelle est de tout façon indissociable de tout acte de suivants du Chaos). Et elle est Noire parce que... euh... ça fait plus méchant... (terme sans doute trouvé, d'ailleurs; par le même responsable des communications qui s'est dit, en devenant papa, que "Malefique" ferait une nom charmant pour une petite princesse...) Sinon les deux qui me viennent à l'esprit sont les Soul Drinker (qui ont trahit mais pas trop) et les Sons of Malice (mais là... euh...) Sinon tu n'es pas obligé de te focaliser sur un groupement de [i]chapitre[/i] renégats... Il y a tellement peu de descriptions sur iceux que tu aurais presque meilleurs temps de créer tes propres bandes... Parce qu'au final une croisade noire n'est jamais, à plus grande échelle, que ce que font des chef de bande lorsqu'ils réunissent par leur force ou leur charisme des chefs de bandes plus petites... et caetera. jusqu'au niveau de l'escouade. Peut-être, justement, Black Crusade peut fournir quelques piste (mais ça va être dur de condenser un bouquin de 300 page sur ce post ). Mais plutôt que faire un amalgame de chapitre disparate (et donc de se concentrer sur les couleurs) peut-être est-il possible de commencer par se concentrer sur la personnalité des chef de bande et sur les raisons (probablement que chacun à la sienne différente de celle des autres) qui les poussent à suivre le général. Et la peinture est accessoire et peut même venir naturellement en fonction des idées "background" avec en prime la conversion. L'idée étant également qu'un groupement de chapitres de différentes couleurs risque très vite de donner un aspect "patchwork" assez peu lisible sur la table.
  9. Ocrane

    Les chantiers navals?

    Tiens en parlant de station spatiale, il y a également Port l'errance (pour le secteur Calixis toujours [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/happy.gif[/img]) qui est doté de chantiers navals (le mot "shipyard" est employé sur le Lexicanum). Même si la station a une situation et une fonction assez particulière (elle est a la frontière entre l'imperium et une zone en cours de colonisation et sert donc de hub commercial pour la région) cela montre qu'il n'y a pas forcement besoin d'infrastructure digne d'un monde-forge pour produire des vaisseaux ou en tous cas effectuer des réparation lourde. Bon cela dit j'ignore le tonnage des vaisseaux qui peuvent sortir de ses arsenaux mais si on prend en compte le fait que la demande en navires d'exploration doit être assez forte dans le coin ils doivent avoir de quoi fabriquer et/ou retaper au moins des corvettes... peut-être même des frégates. Dans tous les cas les infrastructures d'entretien ont l'air assez développées : espace de stockage (bien sûr), docks de réparation, unités de recherche (possiblement en rapport avec les navires, les libres marchands doivent bien ramener de temps en temps quelques pièces détachées pour le département R&D de la station)... Ils ont même de quoi mettre les navires en cale sèche pour l'entretien... euh... quoi que sur ce dernier point il faudra vraiment qu'on m'en explique l'intérêt. [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]
  10. Bon, là du coup je vais être carrément hors sujet : Des néojeux de djeunz ?! Mais cher ami, nous parlons là des fleurons du jeu de rôle français ! [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img] (ou pas pour Bloodlust... après faut aimer le boulot de Croc[img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/dry.gif[/img]) Bon ok... c'était déjà les années 90[img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/happy.gif[/img]. En fait pour le début de synopsis j'avais plutôt une idée de scenar où on pouvait justement allier machination d'un démon "emprisonné" dans une arme (un truc qui évoque justement les guerriers du Chaos et la High Fantsasy) sur fond de course poursuite dans une ville impériale (et l'armée d'avoués consciencieux au delà du concept du chaos mais dévoué à leur tache... un peu comme le cabinet d'avocat dans De bon présages juste pour le côté british)... avec le vieil-oncle-qui-vient-de-décéder (et démonologue) traditionnel propre à un bon scénar de Cthulhu et par qui le mal arrive... Quant à la place réelle des PJs dans l'histoire : héritiers, répurgateurs freelance ou exécuteurs testamentaires... il y a le choix. Mais c'est vrai que ça ne peut marcher que si le démon est réellement conscient dans l'état ou il se trouve... Si on se retrouve avec une arme maudite sans plus de personnalité que sa méthode de corruption, c'est vrai que ça fait moins vendeur.
  11. Bah... J'entretiens une relation passionnée avec les "peut-être" et les réponse peu tranchées [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/rolleyes.gif[/img] Une arme démon pourrait aussi bien être une sorte de stase à la Nephilim (le jdr)... En gros c'est à la fois une prison spirituelle et une ancre. Si l'arme est brisée le démon retourne dans le warp. Bien sûr, à l'inverse d'une stase le démon ne peut vraiment quitter son arme (quoique quitte à s'inspirer d'un autre jdr... *tousse*[size="1"]Bloodlust[/size]*tousse*... ok, là ce sont des armes-dieux...)... Bon, certes, ce n'est pas du warhammer... Cela dit chaque démon doit bien avoir un minimum de personnalité et là où l'un verra une prison, un autre y verra peut-être un opportunité de s'infiltrer durablement dans le monde physique. Peut-être même s'est il arrangé activement pour se faire lier... Mais finalement, c'est vrai que dans tout les cas, avoir le vrai nom sur la lame n'est peut-être pas très malin (quoique perso, si j'étais démonologue, je le mettrai sur le certificat de garanti. Certificat que j'irai déposer chez mon exécuteur testamentaire... Ce qui peut faire un synopsis d'aventure assez sympa en fait... avec un peu de travail)
  12. Ocrane

    Les chantiers navals?

    J'aime bien ton idée de base anaxin mais par moment ça fait franchement "lancement d'appel d'offre"... On en perds légèrement le côté chevalier dans l'Espace... Autant ça peut vraiment le faire pour équiper une flotte de secteur ou un régiment de la GI autant je vois mal le maître de chapitre au fin fond de sa chapelle éplucher tout un tas d'offre et de négocier les prix... Une fois encore le commerce est un concept étranger à l'univers des SM (cf : Deathwatch, chapitre Arsenal). "Possibilités financières" certes mais de quels titres parle-t-on exactement ?
  13. Ocrane

    Les chantiers navals?

    @ l'inquisiteur : J'aime bien ta proposition d'alliance AM/chapitre pour l'exploitation d'un monde chapitrale... Peut-être est-ce loin d'être une généralité cela dit mais ça peut fournir des relations intéressantes entre les deux entités (et peut-être même un espèce de gouvernement bicéphale dans un cas extrême si le monde (bien qu'ayant toute l'inhospitalité requise pour un monde chapitrale) est assez civilisé). Bref, c'est le genre de détail qui rend l'univers un peu moins monolithique. Parce que tant que les deux partis peuvent honorer les termes de leur accord pas de soucis mais si l'un d'eux vient à faillir l'autre peut finir par se dédire de son serment et chercher une solution ailleurs... Peut-être pas instantanément mais à l'aune d'un siècle ou d'un millénaire et face aux danger de la galaxie pourquoi pas... Nan, franchement, l'idée est sympa. [quote][color="#330000"][size="2"]Rappelons que faire la guerre coûte extrêmement cher, encore plus dans le cas des marines qui ont de l'équipement de pointe qu'ils utilisent massivement (armure énergétique, bolt, pods, munitions de croiseur...). Il est logique qu'ils soient "payés" d'une façon ou d'une autre ; quelque doit forcément l'être, à un bout de la chaine.[/size][/color] [/quote] J'ai plutôt dans l'idée que, en accord avec les règle plus ou moins byzantines de l'administratum la fourniture de l'équipement des Space Marine est permis par la dîme de certaine planète. Autrement dit... bah c'est un impôt (très lourd, certes). Il est précisé dans DeathWatch que les Space Marines sont totalement étranger à la notion de paiement en espèce sonnante et trébuchante... Même si, dans ce cas là, le concept est dans son acceptation la plus basique on peut pousser la vision jusqu'à imaginer que la simple idée de troque ou d'échange est trop grossière pour eux. Après tout ce sont des anges (enfin disons qu'ils sont souvent au delà des contingences humains). Au final et par des dons "désintéressés" de part et d'autre (en terme de matériel, d'assistance ou de permis d'exploitation d'une concession sur un monde chapitrale) il est probable que tous les partis finissent par s'y retrouver mais ce n'est certainement pas aussi équitable (et grossier) qu'un "paiement" en bonne et du forme (je note au passage tes parenthèses[img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/happy.gif[/img])... Mais il est peut-être plus simple de considérer que la dîme seule pourvoit au plus gros des besoins des chapitres. Les "échanges" de services ou de faveurs contre du savoir ou du matériel ne sont plus probablement que des cas particuliers, une fois encore. Mais bon... La galaxie est vaste et beaucoup de chose y est possible. [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img]. [quote][color="#330000"][size="2"]Une enclave du Mechanicus c'est pas à peu près un monde-forge ? ^-^'[/size][/color][color="#330000"] [/color][/quote] Ouais mais là, en fait, tout ce que j'en sais pour le moment c'est qu'il s'agit de trois planétoïdes (probablement des mondes forges, donc) ET de plusieurs installations spatiale. Le tout regroupée dans un point précis du secteur Calixis (en raison des condition astrophysiques particulières du coin blablabla...) et nominalement indépendante (d'où le terme d'enclave). Si quelqu'un a des infos plus précises sur le sujet (et le supplément qui va bien donc [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]) je suis preneur (le tout en rapport avec les dock orbitaux bien sûr ^^). [quote][color="#330000"][size="2"]La corruption peut aussi passer par une faille dans le navire qui laisserait l'influence du Warp s'y infiltrer pendant les voyages a longue distance, dûe a une erreur de conception (du coup quand trop de vaisseaux d'une certaine classe ont tendance a foutre le camp dans l'Oeil, c'est qu'il y a un problème de conception) ou a une brèche non réparée.[/size][/color][/quote] Dans un supplément DH, on a un démon qui a carrément fusionné avec une vaisseau suite à une rupture du champ de Geller... Je ne sais même pas s'il reste un équipage mortel mais il me semble que le truc tirait des obus-démon via ses macro-batteries. PS inutile : Au fait... Est-ce que c'est pas comme le pluriel de chacal ? On est pas censé dire des "chantier navaux" ? ([size="1"]Bah quoi... J'pouvais pas commencer la nouvelle année sans dire d'âneries... Si vous me chercher... --->[])[/size]
  14. Si c'est une arme démon est-ce qu'au final, épée ou démon, ce n'est pas la même chose ? Ou est-ce que le nom de l'arme est un diminutif/une variation de celui du démon ? Ou est-ce qu'il n'y a pas de règle (parce qu'après tout c'est le Chaos, alors...) ? Mais, finalement, même si le nom véritable du démon est gravé quelque part sur la lame [size="1"](probablement en tout petit, juste en dessous du CLUF accepté par le porteur lors de la première utilisation)[/size], le fait que le démon soit lié/emprisonné dans l'arme ne le "protège"-t-il pas d'une tentative de contrôle par un tiers tant que l'intégrité d'icelle n'est pas rompue ? Bon, ok, la question est un peu hors-sujet mais c'est par curiosité...
  15. Ocrane

    Les chantiers navals?

    [quote][color="#330000"][size="2"]Connaissez vous les noms des mondes disposant de telles installations? Leur éventuelle localisation dans la galaxie?[/size][/color] [/quote] J'ai bien un nom qui me vient à l'esprit (pour le secteur Calixis en tous cas) : les mondes de Lathes. Il s'agit plus ou moins d'une enclave du Mechanicum dans le secteur (dans l'attente de recevoir "The Lathes world", je ne peux rien ajouter de plus). Mais s'il y a des gros chantiers dans ce secteur ils sont très probablement là. De même, concernant les "chantiers du Chaos", il y a un monde dans Black Crusade, Q'sal, qui produit des vaisseaux techno-magique... mais ceux-ci ne peuvent quitter le Vortex Hurlant au risque de se désagréger lorsqu'ils atteignent un lieu où la réalité est plus solide. [quote][color="#330000"] [/color][color="#330000"][size="2"]Avons nous des informations précises spécifiques aux SM et leurs relations avec le Mechanicum et ses chantiers navals?[/size][/color][/quote] Là encore on peut trouver quelques infos dans "Deathwatch" et "Rites de Batailles"... Guère plus que celles données par l'inquisiteur cela dit. Quoique je ne sois pas sur que les Space Marines "achètent" réellement quoi que ce soit. L'ordre pour la dotation initial dépend des haut-seigneurs et après... c'est plutôt de la réquisition. En gros : les Space Marines offrent-ils quoi que ce soit de tangible en échange des fournitures du Mechanicus ? Pas forcement, ce sont deux entités avec une forte dimension religieuse... Je suis presque sûr d'avoir lu le mot "traité" dans un des supplément DeathWatch. En gros le Mechanicus fournit gracieusement le matériel réquisitionné par les Space Marine et ceux-ci peuvent demander à peu près ce qu'ils veulent à condition de ne pas abuser de ce privilège d'où l'intérêt de l'intendant* et du maître de l'arsenal (respectivement maître de la 7ème et de la 3ème compagnie pour un chapitre codex). Ce qui doit donner lieux à un peu de diplomatie de la part d'iceux lorsqu'ils requiert autre chose que des cargaisons de bolts... Ceci n'est qu'une supposition basé sur les supplément de jdr, pas une affirmation apodictique. J'imagine que, pour les vaisseaux, le maître de l'arsenal est l'interlocuteur logique pour les hull eux-même... Et le chief victualler pour les consommables (munitions, carburant...) D'autre part, la présence des techmarines garanti une certaine indépendance des chapitre vis à vis du Mechanicus pour ce qui est de l'entretien courant des vaisseau (jusqu'à quelle limite ? C'est une autre question)... Enfin cette indépendance est toute relative néanmoins puisqu'il s'agit tout de même du Mechanicus qui forme les techmarines stagiaire. N'importe que monde forge est susceptible de pouvoir produire de l'équipement destinés aux Space Marines (ou plutôt aucun monde n'est Spécifiquement dédié à cela)... Il est même probable que tous produisent en permanence un peu d'équipement destinés au chapitre (dans la catégorie : "dîme") à l'instar de Gunmetal City qui produit des bolt spécifiquement destinés aux Space Marines en sus de la prod destinée au tout-venant. Si ce type de production peut-être assimiler à la dîme, une planète qui serait entièrement dédiée à cela ne produirait pas réellement de richesse et risquerait de s'asphyxier (et son élite apprécierait moyennement). Voila donc quelques idées... * traduction très libre de "chief victualler"
  16. Bah tant que Mannfred ne brille pas au soleil, on ne pourra pas trop en vouloir a Games Workshop d'essayer de piocher des inspiration à droit ou à gauche pour rendre un peuple moins monolithique /> [quote]Il me semble qu'il n'y a à la base que très peu de différences entre une Lamhiane, un dragon de sang et un Von carstein, ce sont tous les trois des vampires tout à fait classiques et relativement identiques, leurs choix sont différents mais de là à dire qu'ils ont chacun "une lignée"... hm hm. Même les nécrarques et les Stryges sont finalement des vampires "normaux" ayant dégénérés.[/quote] Tu n'as pas tord mais les différences de pouvoirs de lignées sont un artifice bien pratique en terme de règles et de caracs pour personnaliser le vampire... Et, quelque soit le jeu, ces règles (enfin leurs description) finissent par être difficilement dissociable du fluff. Mais il est précisé que si tout les vampires n'ont pas les mêmes pouvoirs, ils n'ont pas non plus les mêmes faiblesses et que ces caractéristiques se transmettaient, au moins en partie, à leurs infants. C'est une hypothèses de création des 5 grandes lignées connues (deux autres semblent exister mais leurs deux fondateurs sont partis à l'est). Mais cela permet également de créer ou de typer des espèces de "sous-lignées" où il serait possible d'observer une sorte d'hérédité. Exemple idiot : une lignée de vampire immunisé au soleil (l'avantage existe dans le bouquin... A utiliser avec modération /> ) D'un autre côté ce qui fait réellement l'unité (toute relative) d'une lignée est l'ensemble de traditions souvent forgées dès les première nuits par ses aïeuls et définissant son identité (les dragon de sang cherche le contrôle de soi par la perfection martiale par exemple)... De ce point de vue les lignées s'intègrent dans le reste de l'univers et si les inspirations peuvent sembler plus ou moins évidentes, chacune a sa personnalité et ne fait par pour autant resucée sur l'une ou l'autre œuvre. Bon ceci dit, pour des raisons évoquées il y a quelques jours c'est vrai que les termes de v:tm, même s'ils sont quelque peu hors contexte restent facilement compréhensible et permettent de qualifier un statut (Neferata est...une anté parce je n'arrive pas a retrouver un nom générique pour la clique des premiers nés... Ah tiens si : "la clique des premiers nés") ou de remplacer un terme pas franchement top (étreinte et infant, ça claque quand même plus que "baiser de sang" ou "enfant des ténèbres"... C'est un peu moins grandiloquent /> )
  17. Ouaip... Y'a des caitiff au sang clair et le retour de Nagash annonce la Géhenne... Euh oups, j'm'a gourré d'univers... Quoiqu'en fait c'est pas si éloigné du fluff mais bon... On dira qu'une apocalypse en vaut bien une autre. En fait il semblerait bien qu'il y ait des "indépendants" (si j'en crois le terme utilisé dans "les maîtres de la nuit"). Mais point de background, juste quelques tables au chapitre "création aléatoire de méchant (vampirique)" Que sont ces indépendants ? Des nouveaux-nés étreints puis abandonnés sans avoir été instruits des traditions de leur lignée ? Des rejetons indignes incapable de manifester les pouvoirs propres aux différents lignages ? (Le premier qui crie "sang clair" gagne un point d'xp et une fiole de vitae) Ou encore des erreurs de casting, abandonnés par leur sire (mais connaissant parfaitement leur lignage voir quelques unes de leurs "disciplines") ? Ou peut-être un concept bancal esquissé mais jamais réellement abouti ? Difficile d'en être sur (en ne se basant que sur du fluff hors roman) mais il semble qu'ils existent tout même. A moins que tu ne fasse référence aux suppléments de Jdr (également publiés par la Bl en leurs temps, auquel cas je ne peux que te donner raison)... Bon peut-être les termes de la mascarade rendent les choses un peu confuses cela dit. Ceci dit, les vampire (tels que décrits dans le supplément) ont de nombreux point communs avec leur homologues du monde des ténèbres (bien plus qu'avec ceux du buffyverse par exemple) Ils semblent être assez rare et (pour les plus sociaux, lahmiane et von Carstein, donc) très bien implantés et impliqués dans la destinée de l'empire... Ce qui peut même mener à penser qu'une lahmiane aura meilleurs temps de glisser un mot gentil à un ou deux prétendant pour disposer d'une armée impériale (qu'elle pourra même diriger depuis les alcôves d'Altdorf) plutôt qu'à relever une bande de zombies puants... La guerre étant bien évidemment un recours efficace mais assez peu élégant... Et ils applique un semblant de mascarade... (En même temps avec des repus en maraude, il vaut mieux) Les nécromants ont leur intérêt mais les vampires semblent être naturellement douée en nécromancie à un niveau ou un autre (toujours selon le Jdr) J'imagine mal un necrarque, après des siècles d'études sur la non vie, être obligé de s'entourer de necros pour lever son armée (il peut le faire cela dit mais sûrement pas par manque de compétence). Et je suis plus enclin à suivre les infos du Jdr parce que les infos qui y sont données sont destinées à construire des personnages ayant un intérêt narratif (pour une partie de Jdr donc) et peut-être plus intéressant pour la partie background qu'un descriptif tiré d'un LA où le personnage sera avant tout pensé comme étant un élément d'armée d'un jeu de stratégie (attention, je ne dénigre pas les bouts de fluff tiré de LA, uniquement de l'intérêt d'une source sur une autre dans un cas comme celui-ci). Quoique je présume peut être un peu de l'intérêt stratégique de la V8...
  18. Nope, se nourrir de magie noire est le grand but des necrarques mais, même si ceux ci ont développé des techniques pour se nourrir moins souvent, le seul a avoir réellement réussi à se passer de sang est Zacharias l'éternel (par le même moyen qu'Aborash d'ailleurs, comme quoi il n'a rien inventé) Je suis d'accord avec le fait que certains vampires (les plus jeunes probablement) pourraient être tentés de le rejoindre (les caitiff aussi, pourquoi pas) mais est-ce que les plus anciens (certains ayant des millénaires d'existences et se considérant presque comme des dieux) accepteraient de suivre Nagash ? Et de ruiner des plans menant aux apothéoses qu'ils ont eux même imaginées (et dont ils seraient la figure centrale) au profit de celle d'un autre ? Fut il le premier et le plus grand des nécromants ? Encore une fois quelques uns : oui, pourquoi pas mais probablement pas "les vampires" en tant qu'entité unie... On peut facilement dire "les goules" ou même" les impériaux". Mais "les vampires" c'est un peu comme dire "les slanns" ; ils sont très peu nombreux et chacun est d'une puissance suffisante pour influer sur des régions voir des royaumes. Ils méritent tout de même mieux qu'une réponse collective. En plus ça permet à chacun (joueurs de wargame, MJ pour le Jdr,...) de choisir ce que vont faire "leurs vampires" tout en restant fluffiquement respectueux. Sinon on risque un syndrome a la Drizzt Do Urden aka "le blues du renégat" si le joueur en question préférait un destin a contre courant du fluff officiel. En plus ça casse le côté manichéen de l'autre choix, le tout sans faire des vampire des gentils. Bref un solution simple, souple et élégante. /> (Bien sûr tout cela n'est que spéculations)
  19. Difficile de faire des généralités et de résumer les décisions en terme de lignées. Les vampires, peut être plus que n'importe quel "général" potentiels, sont plus a considérer comme des individus distincts (faisant partis de lignées différentes, certes) en raison de leur ego surdimensionnés. D'accord chacun est lié à son clan par un mélange de tradition et de lien du sang mais même le plus sociopathe des necrarques à besoin de sang et aurait assez de clairvoyance pour préférer des humains pleins de sang à un monde de mort vivant. De même les von Carstein sont des seigneurs, même parmis les leurs, et restent très attachés à leurs terre (histoire de faire un parallèle un peu scabreux pensez au Ventrues et aux Tzimices de l'âge des ténèbres. Certes les plus jeunes (et les moins clairvoyants) pourraient être tenté de se rallier a Nagash mais (en dépit de l'éventuel orgueil et autres complexes de supériorité qui gangrènent les différentes lignée) les vampires ont trop besoin des humains pour la nourritures mais également pour leur rappeler a quel point ils sont supérieur (c'est d'ailleurs une des idée qui sous tend le mythe du vampire). Et un monde rempli de mort-vivant décérébrés... Bof, y'a plus sympa comme miroir... Cela étant dit : bisous à tous et Noyeux Joël !
  20. Ben basiquement, il faut surtout garder en tête que les quelques démon clairement identifiés et nommés dans les codex ne sont que quelques exemples de démons... Il y a plein de types de démons différents, parfois uniques et certains dont on serait bien en peine de le relier directement à un dieu quelconque... Et comme toujours les figurines sont un bien mauvais prisme... Il existe des machines possédée par des serviteurs des 4 dieux (enfin pas en même temps, hein) et probablement autant de ferrocerberus avec des crânes et du sang que vert avec des bubons... Donc si l'un des quelques démons nommés peuvent posséder une machine (peut être un gardien des secret trouvera t il fun de faire corps avec une frégate...) il est probable que la plupart soient d'une espèce autre... Peut être sont ils connus sous le nom générique de gremlins... EDIT : encore grillé par l'inquisiteur... Comme d'hab quoi.
  21. Peut-être les vampires les plus "sociaux" comme les von Carstein ou les lahmianes préféreraient conserver le statu quo en se rangeant du côté de l'empire (ce fut le cas des von carstein en 1111 ou contre archaon). Les stryges se rangeraient aussi probablement contre nagash puisqu'il me semble qu'ils ne cherchent pas forcément à refondre un état mort-vivant. Les dragon de sang serait aussi enclins à favoriser les vivant, attendu que leur quête de perfection est soumise au dynamisme et à l'esprit créatif de leur opposant, ce qui, par bien des côté se pose un peu en antithèse de la non vie. Aucuns n'apprécierait qu'un vieux nécromant débarque et ruine des plans qui courent depuis plusieurs millénaires pour certains. Reste le cas des necrarques... Si certains ne seraient pas foncièrement contre un monde de mort-vivants, aucun n'est encore arrivé au bout de ses recherche (sauf peut être Zacharias) a savoir se passer, entre autre, totalement de sang humains. Maisil est peu probable que les vampires, de part leur côté traditionalistes et nombrilistes, se rallient sous une même bannière. Certains se rallierait peut-être a leurs "antédiluviens" (ou ce qui en tien lieu) respectifs mais il est fort possible que la plupart mènent leurs plans dans leurs coins (quitte même à jouer contre leur camp) Même le dernier des vampire est un seigneur (ou se voit comme tel) parfois sans armée ou sans terre (au sens propre ou au sens figuré) et peu désireux de se définir un (ou plusieurs) supérieur, parmis les siens ou non, et de s'en remettre a lui.
  22. Ça dépend... Si l'un ou l'autre vampire trouve un intérêt à s'allier à un autre mais il me semble difficile de définir une règle générale. Après tout (et même en tenant compte de réseaux comme la sororites lahmiane) les vampire ne forment pas un peuple (ou un ensemble de clans) très unis. Chacun d'entre eux est profondément individualiste. Dès lors chacun est susceptible de s'allier à (ou de manipuler) un autre en fonction de son agenda mais étant donné le caractère profondément égoïstes des vampires et leur nature intrinsèque de seigneurs il est difficile d'établir des archétypes d'alliance. D'autant qu'ils se tirent déjà pas mal dans les pattes au sein d'un même clan alors entre deux lignées différentes... Cela dit, en règle générale : les lahmianes détestent les hommes, les dragons de sang sont obnubilé par leur perfection martiale, les necrarques sont des solitaires enfermés dans leur tout et les von Carstein son des seigneurs parlais les seigneurs... Mais ce ne sont que des idées vite fait sur les clans, il est plus intéressant de définir les éventuelles alliances au cas par cas. Comment ? Pourquoi ? Les termes de "l'alliance" (terme générique a définir ) alliance entre pair ? Manipulation ? Etc. Mais une lahmiane a autant de chance de tenir une strige par les couilles qu'un von Carstein... Si cela sert son intérêt. Ce ne sont bien sur que quelques stéréotypes sur les lignées
  23. Il me semblais avoir lu quelque part que leur apparence monstrueuse pouvait provenir en partie de leur consommation de sang de cadavre. Un sorte de version morte-vivante des goules en quelque sorte. A moins que je ne fasse un amalgame avec les necrarques... S'il est vrai que les Nosfératu et les Stryge sont deux concepts différents mais on retrouve quelques similitudes, notamment au travers du titre originel d'Ushoran : Seigneur des Masque et de l'anté des nosfé : Absimilliard qui est un maître de l'obfuscate. Sans même parler de leurs habitudes et de leur apparence. Mais les lignées de comtes vampire sont relativement récentes (ou pas, 99 tout de même) et les stryges encore plus (au début de la 6ème c'était vers 2002-03 je crois). A l'époque la V3 (V2 pour hexagonal) de Vampire la Mascarade venait de sortir en France et il était difficile de ne pas y voir des inspirations (je me souviens qu'à l'époque les nécrarques nous évoquaient un croisement de Tremere et de Nosfé)... Peut-être les Nosfé, les Ravnos et (un p'tit peu) les Tzim' ont-ils servi d'inspiration pour les Stryges ? Aaah c'était le bon temps... Bon ceci dit le fluff du monde des Ténèbres (ancienne version) est encore plus bancal et sujet à débats que celui de Warhammer. [quote] [color=#330000][size=2]Pour le baiser de sang il est presque exclusivement donné aux anciens nomades issues des peuples errants de l'ancienne Strigos. [/size][/color] [/quote] Bah, page 66 du bouquin, il est précisé qu'il ne l'accorde qu'à titre tout à fait exceptionnel ainsi que la raison (élitisme et compassion). Mais pourquoi l'accorder aux strigany ? Même si ils ont un lien privilégié avec leur maîtres Stryges se sont avant tout un peuple de serviteur, non ?
  24. @ l'Inquisiteur Thorstein Hey ! Tu prends juste un petit bout de mon post et tu le sors du contexte. Tricheur ![img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/angry.gif[/img] Le reste du message précisait pourtant le caractère en grande partie subjective des sources. Et donc nécessitant un peu d'exégèse (de cuisine... ne nous battons pas pour un univers fictif). Oui, les dieux sont une croyance, ce qui suppose dès le départ une part d'incertitude quant à leur existence réelle. Sinon ce ne serait pas une croyance mais un fait avéré. Les dieux interagissent avec le monde réel (euh... je parle toujours de celui de Warhammer, hein). Au travers des miracles de quelques prêtres et de phénomènes naturels. ex : une tempête se lève en mer = c'est la colère de Mannan. Est-ce réellement une manifestation du dieu ou un bête déplacement de masse d'air dû à une depression ? Le croyant dira que oui, un athée (il y en a quelques uns dans le Vieux Monde) dira que non et la croyance est préservée. Quant aux miracles : les Hommes disent que ça vient des dieux, les Elfes se marrent mais n'en dise pas plus et, au final, il y a presqu'autant de "faiseurs de miracle" dans le courant majoritaire d'un culte que dans ses branches les plus extremistes(lesquelles sont parfois même vues comme hérétiques). Ex : Shallya, déesse de la compassion et de la guérison, semble "accorder" également accorder ses dons à des fidèles qui tendent à massacrer la veuve et l'orphelin par compassion "et pour les "guérir" de la souffrance de la vie... Ce courant est franchement hérétique(ou du moins perçu comme tel par les veuves et les orphelins entre autre) , jouant sur une interprétation pervertie et perverses du credo de la déesse mais jamais celle-ci ne s'est manifesté pour châtier ses ouailles égarées. Pire encore elle leur accorderai sa bénédiction. Est-elle une entité consciente aux multiples facettes qui accorde ses dons même à ses suivants les plus incompri ou l'inspiration divine vient-elle des hommes suivant leur vision de son credo, tant qu'ils le font avec conviction ? Nous ne pouvons, objectivement, que poser la question dans le cadre d'une définition dépassionnée du fluff. Y répondre (ce qui te tiens tant à coeur [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/happy.gif[/img]) dépends de la vision et de l'appropriation que l'on se fait du monde de Warhammer. Et ta réponse : [quote][color="#330000"][size="2"]La croyance en un dieu le fait exister dans le warp,[/size][/color][/quote] Est aussi valable que la mienne : Les dieux n'existent pas en tant qu'entité warp consciente (dans le neo fluff) mais la croyance leur donne une réalité aux yeux des Hommes du vieux monde. Réponse que je n'ai posé pas de manière catégorique dans mes précédents post, où je me contentais de développer l'incertitude quant à leur existence réelle. Même si je reconnais qu'elle y transparaissait légèrement (aussi légèrement qu'une enclume, dirons nous). D'où le : "Peut-être" comme réponse finale. Chacun peut donner sa réponse et y aller de ses arguments mais dans le fluff (présente par les bouquin de jdr, lesquels sont un peut plus exhaustifs que les livres d'armée, sur ce point en tous cas) seule la question est certaine. La réponse tiendra de l'opinion que chacun peut avoir du sujet et donc ne pourra être que spéculation. Les seules choses dont je sois certain c'est que le temps des avatars est bel est bien fini avec le neo-fluff et que le concept de "plan" est lié à donj' pas à warhammer. Il y a le materium et l'immaterium. Point. Pour reprendre le cas des avatars avec l'exemple de Valten : A: Valten était réellement la réincarnation de Sigmar. B: Valten était un symbole monté de toute pièce autour d'un bon gars un peu con (avec ou sans la dose de conviction et de sincerité, de la part de Volkmar notamment... c'est encore une autre question). Personnellement je préfère la réponse B mais la A est tout aussi valable. Définir l'une ou l'autre dépend, une fois de plus, de l'opinion des gens et tout le monde s'y retrouve. Pour finir sur les dieux mineurs : Le terme de "dieu mineur" ne recouvre pas les dieux comme Sigmar et consorts. De cela j'en suis maintenant certain. Sont nommés "dieux mineurs" dans le neo-fluff les dieux locaux, adorés dans une région, protecteurs d'un village, esprits des rivières et des fleuves etc. Ils sont des "petits dieux" adorés en sus des neufs principaux de l'Empire. Ils sont souvent (mais pas toujours) acceptés par les neuf grands clergés (ceux de Manann, Morr, Myrmidia, Ranald, Shallya, Sigmar, Taal, Ulric et Verena) voir vus comme un aspect mineur d'un de ces dieux. Mais cette "classification" est interne à l'univers. Ce sont les grands clergés impériaux qui les appellent "mineurs". Le reste de la classification (mais ce terme est quelque peu impropre) comprends les dieux impériaux, les dieux étrangers et non humains et les dieux de la ruines (les quatre et leurs multiples aspects, le Rat Cornu, Hashut...). Plus quelques autres qui sont des cas particuliers (Khaine notamment est très intéressant). Le terme "dieu mineur" renvoie à la V1 et n'est clairement plus d'actualité voir même est un contre-sens, surtout si appliqué à Sigmar. @Helmawr Source de ce qui va suivre : Les maîtres de la nuit [quote][color="#330000"][size="2"]Ces vampires conservent t'il toujours leurs intelligences ou sont ils juste des bêtes ?[/size][/color][/quote] Les stryges sont aussi intelligent que n'importe quel vampire (carac d'intelligence de 50-60% dans le bouquin pour les quelques exemple ce qui est supérieur à bien des humains) Ils se voient comme la noblesse de Strygos est, au delà de leur apparence, ont (je parle du peuple dans son ensemble, chacun a sa propre individualité) comme but à très long terme de refonder leur royaume. [quote][color="#330000"][size="2"]Comment se passe le baiser de sang par un vampires de cette lignée ? Celui mordu se transforme ?[/size][/color][/quote] Il semble que les Stryges n'étreignent pas (ou très peu) parce qu'elle sont (étaient) justement les nobles de Strygos et qu'elles n'ont aucune envie de "diluer" leur "sang bleu". A supposer qu'elles le fassent (sur un strigany ?... aussi peu probable que sur un autre à bien y réfléchir) ça se passe probablement très bien. A noter que, dans Warhammer, il ne suffit pas de mordre quelqu'un pour en faire un vampire, il faut aussi que le vampire lui donne de son sang. [quote][color="#330000"][size="2"]Sinon le fait que GW ai retiré les figurines ainsi que les lignées dans le LA signifie tout bonnement qu'ils ont disparu du fluff ?[/size][/color] [/quote] Pas de réponse catégorique sur le sujet mais certains ([img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]) utilisent bien des info de la V1, alors... [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/rolleyes.gif[/img] (si on me cherche, je suis déjà dehors en train de faire une reprise de la célèbre chanson d'Edouard Khil)
  25. [quote][color="#330000"][size="2"]Pas dans une section background qui a vocation à donner une réponse claire et précise [/size][/color][img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/noexpression.gif[/img] [color="#330000"][size="2"]Niark. [/size][/color] [/quote] Mais "peut-être" EST une réponse claire est précise. [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img] Le soucis est là en fait : telles que les infos sont présentées, elle doivent forcement être sujettes à interprétation et, selon les peuples, les protagonistes de tel ou tel texte, bref selon la "source" de la source officielle, on peut souvent aussi bien répondre "oui" ou "non" à une question donnée. C'est le cas des dieu où il est souvent rappelé discrètement (ou précisé par des citations d'elfes et autres) que les dieux de l'empire existent parce que les impériaux y croient et que pour eux le monde marche ainsi. Mais que les haut elfes ont un autre point de vue sur la question. Qui a raison ? Les vieux elfes sages ou les jeunes humains illettrés (pour la plupart)? Les principaux concernés (ie les impériaux, donc) ou un peuple étranger non-humain ? D'où les "peut-être" et "ça dépend" Sinon on peut aussi "boucher les trous "avec les textes V1, beaucoup plus synthétiques en la matière mais parfois contradictoires avec les info V2 (l'éternel problème des retcon successifs)...
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