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Imperator

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Messages posté(e)s par Imperator

  1. Si tu veux, je te remplace pour ce soir...

    J'dessine moins bien, mais au moins, pour faire un dessin, j'devrais trouver du temps ^_^ .

    Impe, présent :whistling:

    ps: ah, on m'annonce en régie que Fourberass me précède d'une bonne longueur, quel sera le dénouement de la course? :clap: Ah, c'est Fourberass qui passe la ligne et se présente pour dessiner la suite de...

    de...

    LA BD en commun, 3ème édition!

    La seule, l'unique ^_^ .

    Impe, et si on lui trouvait un titre, et une page de couverture? :lol: (et une bonne tasse de café pour moi...)

  2. Plutôt que d'ouvrir un nouveau post, je préfère continuer ici:

    De l'utilisation d'un full infanterie HE et sa constitution:

    Depuis peu, j'ai pris l'habitude de jouer du "full infanterie" avec lions blancs, MdE et surtout lanciers. J'ai remarqué, au fur et à mesure de mes parties et des extrêmes auxquels je suis arrivé avec mes listes, à certaines conclusions qui ne valent que ce qu'elles valent, c'est à dire une expérience qi ne fait pas une règle.

    Premièrement, le déploiement:

    Ne nous leurrons pas, notre infanterie reste lente. Malgré 10ps en marche forcé, nous ne ferons pas souvent des manoeuvres de contournement efficace et séparer notre armée peut nous être mortel. J'ai pu constater que les groupes avaient besoin de pouvoir se soutenir les uns les autres et j'ai perdu une bataille de par un mauvais déploiement qui a vu mes troupes scindées en deux. Mon adversaire a eu le beau jeu de massacrer mon flanc droite tandis que le gauche peinait à venir en renfort. Je pense donc qu'il faut absolument offrir des possibilités de soutien .

    Le flanc refusé, qui m'est si cher avec de la cavalerie, devient une tactique interdite. Je conseille donc:

    - si l'on a des grands aigles de tenter de scinder les troupes ennemies pour n'en combattre qu'une partie à la fois

    - sans grands aigles (et donc en sous-nombre au déploiement) de faire un groupe relativement (tout est relatif) compact avec nos infanteries afin que les uns puissent rattraper les autres. Ce n'est pas ultime, mais c'est assez efficace et évite des mauvaises surprises.

    En gros, ma vision du déploiement revient à une base de lanciers soutenues en agrde rapprochée par l'infanterie d'élite, le tout enrobé par des éléments agiles de harcélement, patrouilleurs, guerriers fantômes, éventuellement aigles.

    Les lanciers:

    Puisque c'est la journée, enfonçons les portes ouvertes: ils sont la base du full infanterie HE. Très mauvais pour réceptionner une charge (même de zombies, et surtout de zombies), ils ne trouvent leur utilité que combinés à d'autres éléments de l'armée, ou en chargeant de flanc. Dès lors, ils deviennent redoutable.

    Atouts:

    - Mouvement de 5

    - CC 4

    - Cd 8

    - trois rangs

    Faiblesses:

    - save 5+

    - 3 endurance...

    - 11pts/figs (les deux précédents ne sont des défauts que de par ce coût prohibitif).

    Contrairement à de l'homme d'arme bretonnien, nos lanciers n'auront pas automatiquement le surnombre. De plus nous bénéficions de nombreuses attaques, mais de force 3. Je n'ai personnellement jamais réussi à les exploiter au mieux et j'ai pu remarquer bien souvent l'utilité de l'arme de base/bouclier, surtout que la victoire m'était acquise (enfin presque) par une charge de flanc. Minimiser les morts est très utile. Contre les bretonniens, c'est même une règle.

    Le coût limite le nombre. 16 est très bien, peu cher (194 points tout de même :whistling: ) polyvalent et tout. Un groupe de 20 peut aussi être utile. J'ai finalement adopté le 20 et 2+16. Le groupe de 20 étant le coeur de mon armée et m'offrant une base solide sur laquelle je peux compter, car pouvant même espérer soutenir une charge.

    Le mouvement de 5 peut aider dans nos manoeuvres. Deux choses:

    - soit on charge de flanc

    - soit on charge avec du soutien

    Dans les deux cas c'est ce petit 1ps de mouvement qui fera la différence. En terme tactique, il m'a surtout donné une marge et une sécurité fort appréciable lors de la déclaration des charges.

    Le fin du fin: la bannière de guerre.

    Que je sois clair, les lanciers sont là pour apporter rangs, éventuellement PU et bannière (seuls groupes de mon armée à porter l'étendart en version "compétitif" :lol: ).

    Alors pourquoi se passer de la bannière de guerre? Sur le groupe de 20, nous partons à +5 ou +6 au résultat, ce qui peut réellement être un puissant atout. Por 20 points, c'est offert, mais le pâté vaut au final 256 points... un sacré sac.

    Les choix spéciaux:

    Voilà où tout se complique. Ici, en version full infanterie, nous avons des choix intéressant et certains incontournables ou presque.

    le char:

    En version compétitif, dans le soutien du full infanterie, on ne fait pas mieux. Là, on a de la force de frappe, de la vraie qui tappe dur! Seul léger problème... c'est pas fiable. Un char, c'est fragile, c'est aléatoire, très aléatoire, et pour conclure le tout c'est pas immensément tactique... Toutefois, pour éviter de se faire plier, en prendre deux à 2000 dans une optique fun n'est pas un luxe, du moins tant qu'on ne maîtrise pas l'armée.

    les maîtres des épées:

    Force 5, CC6... Tout pour plaire, surtout pour 2 points de plus que les lanciers ^_^ . Seul problème, la compétition avec les chars, beaucoup plus rentables et faciles à utiliser.

    De plus, contre une infanterie normale, les maîtres des épées feront presque autant de dégâts que des lanciers. Ils n'ont pas réussi, par 10 avec champion, à tuer un géant d'os et m'ont toujours déçu... par 10 ^_^ . Reste qu'en full infanterie, c'est l'un des meilleurs choix pour apporter la force de frappe. Toutefois, par 12 avec champion et musicien, ils seront plus aptes (en 4*3) à survivre. Les protéger des tirs est une obligation, mais il ne faut pas oublier que ça reste du sacrifiable.

    Les patrouilleurs ellyriens et guerriers fantômes:

    Certains préfèrent les premiers, les autres les seconds. Personnellement, j'en prend un groupe de chaque, mais dans un vrai full infanterie il faudrait se contenter de deux groupes de GF. Reste que les GF n'annulent pas les rangs de flanc, ce qui réduit la marge de manoeuvre de beaucoup, sans parler du manque de mobilité. Notons que les tirs sont une vraie plaie contre un full infanterie et que d'avoir deux groupes de GF pour canarder et harceler les tireurs de l'ennemi n'est pas une mauvaise chose en soi. Plus encore ça peut sauver bien des vies. Reste que les patrouilleurs ellyriens sont l'un des meilleurs soutiens que l'on puisse offrir, après le char, à l'une de nos infanteries.

    Rare:

    Problème: baliste ou aigles?

    J'y ajoute la question des lions blancs et gardes phoenix.

    Les lions blancs peuvent devenir unité spéciale avec l'honneur garde lion, mais est-ce utile outre mesure? Je n'y crois que dans l'optique de sortir aussi le prince ou commandeur pot-de-colle (mais je ne crois qu'au prince pot-de-colle, et j'ai déjà d'autres projets pour mon prince).

    Voyons le rôle de chacun:

    - les aigles sont surtout là pour se prémunir de l'adversaire. Ils facilitent notre jeu, font sortir les fanatiques, tuent les machines, les mages adverses :lol: ... Ils ont maintes fois prouvé leur efficacité. Dans l'optique du full infanterie, toutefois, sont-ils vraiment le choix le mieux indiqué? J'y reviendrais.

    - la garde phoenix, elle, permet d'être enfin du bon côté de la peur. Je pense que bien jouée elle peut être tout simplement terrible. Reste que pour le moment je la laisse de côté. Elle pourrait faire l'objet d'un post entier, ce qui est déjà le cas ce me semble.

    - les lions blancs: Enfin de la vraie force de frappe. Force 6, que du plaisir ^_^ . Ils ont tué des pégases qui les avaient chargé, se sont fais du scorpion Khemri et malgré qu'ils aient leurs limites ne m'ont jamais totalement déçu. Cette fois-ci par 10, on les faisant arriver relativement intact au CàC, on peut obtenir d'excellents résultats. Ils sont aussi très peu chers.

    - les balistes: très bons choix... d'ordinaire, je ne les sors jamais, trop difficiles à protéger, trop chères, trop hasardeuses... Mais elles permettent de gérer ce que nos infanteries ont justement du mal à contrer, le lourd, le très lourd, qui soudain se met à déguster face aux terrifiants carreaux ou salves de nos balistes. En prendre deux peut être réellement un plus. Un full cav. s'en passe facilement, mais un full infanterie en a, selon moi, besoin pour être complètement efficace, à moins d'avoir un électron libre niveau 2 sous la main ^_^ .

    Dès lors que prendre? Les aigles seront-ils réellement utiles alors que les patrouilleurs peuvent les remplacer, avec l'aide des GF?

    Si je dis:

    - 5 GF

    - 5GF

    - 5 PE

    - 5 PE

    - 10 (12?) lions blancs

    - 2 balistes

    Nous avons du harcélement, de quoi jouer "tactique" et tromper l'ennemi tout en permettant (enfin ^_^ ) de contrer le lourd qu'on finira par rencontrer. On me dira qu'un ou deux chars sont bien plus efficaces que mes lions blancs, mais à nouveau j'invoque la fiabilité. Alors que le char se joue sur 1d6, les lions blancs font perdre tout rang à l'adversaire (car des lions blancs ne chargent JAMAIS de face, sauf contre du plus petit qu'eux). À battle, faire des morts, c'est pas si facile que cela... Accumuler des bonus, c'est déjà bien plus aisé :clap: .

    Meilleure optique encore, serait de remplacer les lions blancs par 16 gardes phoenix, car les balistes apportent déjà de quoi contrer le lourd, et les patrouilleurs ellyriens sont parfaits pour charger de flanc. On obtient là la possibilité d'apporter sur le terrain un élément relativement peu connu qui en plus d'apporter un effet de surprise bienvenu, fera peur à votre adversaire ^_^ .

    Stratégies:

    Bien, la base est là, le déploiement aussi, mais comment arriver à nos fins? L'ennemi est relativement plus rapide que nous... plus fort et va faire très mal.

    Les balistes se doivent donc de faire perdre les éléments prédominant de l'adversaire. Les chevaliers du chaos élus, par exemple :P que nos infanteries ne PEUVENT pas gérer (déjà essayé, et de dos encore :lol: ). Notons que tuer quelques types d'une infanterie d'élite n'est pas toujours du gâchis. Je me rappelle ici le conseil que m'avait donné un joueur quant à son armée de Slannesh où il valait mieux tirer sur les démonettes que sur ces sortes de serpents avec 20 de mouvement... À chacun de juger.

    Mais le tir est une chose, le combat une autre. Durant les premiers tours, les patrouilleurs doivent impérativement contourner l'armée adverses tandis que les GF doivent tenter de minimiser nos pertes au tir et ralentir autant que possible l'armée adverse. Notons qu'un groupe de GF peut, en se faisant charger, mettre une sacrée pagaille dans un flanc de l'armée adverse :D .

    Nos infanteries peuvent, selon l'adversaire, faire front commun ou, sinon, se disperser légérement. Contre un bretonnien c'est cette seconde option que je préconise par exemple, afin de plus forcer l'adversaire à nous montrer ses jolis flancs.

    Nous nous retrouvons donc avec nos patrouilleurs derrière l'adversaire, nos GF au milieu du champ de bataille et nos lanciers en position. Contre de la cavalerie, nous nous faisons charger. J'ai eu l'étrange surprise de voir des lanciers HE soutenir une charge de bretonnien, et sans grande bannière. De la chance... Mais qui sait? Un élément prédominant arrive soudain, notre CC de 4. La plus grande partie des cavaleries adverses nous touchent sur 4+, de quoi augmenter le sydrôme de la lance molle. Toutefois, selon la situation, il est toujours intéressant de fuir pour permettre à l'une de nos unité d'arriver sur le flanc.

    On peut aussi essayer d'appâter l'adversaire avec l'unité de 20 qui réceptionnera la charge grâce à la bannière de guerre et contre-charger de flanc avec un autre groupe de 16. Un peu évident tout de même.

    Enfin, contre de l'infanterie, en dehors de quelques exceptions, c'est à nous de charger. Reste que l'on ne charge que lorsque les patrouilleurs peuvent venir de dos ou de flanc. Dès lors, rangs plus PU plus éventuels morts égale victoire assurée. La lance ne sert à rien dans ces cas-là et il vaut mieux éviter de se prendre trop de morts à la riposte (j'appelle deux pertes "trop").

    Protéger les balistes:

    Un énorme problème dans toute cette histoire est le besoin de protection des balistes. Habituellement, ce sont mes chars qui se chargent de cela. Efficaces en cette tâche, ils ont toujours mis fin aux menaces diverses, les rares fois où j'ai sorti des machines de guerre.

    Mais ici point de chars, et 200 points offerts grâcieusement à l'adversaire. Nos infanteries sont trop lentes pour les protéger et les servants bien incapables de se défendre. Je m'amuse toutefois à fuir les charges lorsque cela est possible, mais ce n'est jamais que partie remise.

    J'envisage jusqu'ici d'y laisser mon seul personnage (le prince porte-PAM de Zara), mais cela ne protégera jamais qu'une baliste et risque d'attirer encore plus l'attention, chose qui pourrait être en soi exploitée.

    Ici s'arrête ce petit avis. Vous l'aurez sans doute remarqué, il est peu développé et relativement peu objectif. En vérité, si je vous le présente ici, c'est dans l'espoir de voir ses lacunes comblées, ou tout du moins mises en évidences. Car j'ai pu voir ici nombre de listes de full infanterie, mais peu sur la manière de les jouer.

    Impe, faudrait aussi que j'apprenne à me contenter de sortir un dragon à 2000 et bourriner sans poser trop de questions...

    ps: en exculsivité, les raisons de jouer full infanterie HE:

    - c'est assez fluff

    - la tactique devient l'élément prédominant

    - toute victoire devient méritée, les défaites moins amères

    et l'astuce pour se donner une raison:

    - acheter trois boîtes de lanciers... Pour le prix, vous avez soudain envie de les jouer. Authentique. De même pour les lions blancs et de même sans doute pour ma future garde phoenix. À près de 100.- l'unité, utile ou pas utile elle a intérêt à venir sur le terrain :lol: .

    Impe, la garde phoenix à 1500!

  3. C'est agaçant les gens qui ne respectent pas les horraires...

    Il me semble que dans la première édition tu avais prévu quelque chose dans ce genre de cas, non?

    il faudrait penser a leur donné des gages...

    Leur donner des gages? ^_^ Tout de même, on ne va pas en arriver là.

    Plus simple comme système, on peut prévoir un jour de flottement entre chaque participant. Si à la fin du délai imparti le dessinateur n'a rien produit, n'importe qui peut proposer une suite, le premier à poster gagne la place ^_^ . Sinon, c'est un jour de plus pour le prochain :D .

    Genre:

    - dessinateur 1: du 19 au 21.

    le 22 est le jour de transition

    - dessinateur 2: du 23 au 25

    Si je me fais comprendre :whistling: .

    Je suis le seul a attendre la suite de la BD ? Elle est ou ?

    Non, moi aussi j'aurais bien aimé une suite :clap: .

    rha aucuns sens de la Kommunauté hein 

    Passes faire un tour sur le GTC ou autres récits en commun, tu verra ce que c'est, le sens de la communauté ^_^ .

    Et je vous envoie ca avant dimanche, minuit !

    Il a pas dit de quelle année non plus :lol: .

    Impe...

  4. Fait nous en profiter 

    Faudrait que je m'achète un micro, un programme de déformation de voix... et bien des heures de temps.

    De toute manière ce ne serait pas pour faire une aventure marrante... j'suis trop mauvais en humour pour ça.

    Ceci dit:

    Ce que je peux te conseiller, écouter l'une de ces sagas Mp3!

    Tu verras par toi même, tu ne seras pas déçut du voyage (commence par un bon sinon tu vas être dégoûté  ).

    Effectivement, l'essayer, c'est l'adopter :D . Maintenant, j'en ai écouté pas mal et peu m'ont vraiment déçu. Reste que l'introduction de Naheulbeuk me semble, d'un point de vue aussi analytique que possible, la meilleure pour aborder ce genre d'aventure, et les voix ont l'avantage d'y être très différentes.

    Impe.

  5. mais qu'est ce qu'une aventure MP3 ???

    Aventure MP3:

    n.f. désignant un enregistrement sonore de voix, sons et musiques relatant une histoire, une aventure ou un cours de gérographie. Désigne aussi l'une des conséquences d'une folie aigüe ou d'un gros délire :D .

    En gros, c'est une aventure que l'on écoute, et que l'on peut télécharger sur internet. La plupart du temps, c'est pour se marrer ^_^ .

    Impe, ça me rappelle un vieux projet tout ça...

  6. Tite' recherche sur le net (cinq secondes, histoire de rire) et je tombe là-dessus:

    liste d'aventure MP3

    La plupart de ce qui s'y trouve est déjà ici, mais à l'occase faut voir le reste, ou simplement se contenter du lien (on va pas simplement repomper non plus -_-, enfin, j'espère ^_^ ).

    Si jamais, c'était une recherche sous "aventure MP3", rien de très sorcier, mais visiblement capable d'apporter des résultats. À l'occase pour augmenter un peu la bibliothèque.

    Impe, enfin, j'dis ça, mais j'suis certainement pas le premier à l'avoir vu...

  7. L'ordre qui suit est sans appel et définitif.

    Doivent-ils obligatoirement passer par toi pour changer l'ordre? S'ils s'entendent et le signifient ici pour interchanger deux dates (ce dont je doute un peu, mais cas que l'on peut envisager), pourquoi les en empêcher (je peux pas dire "nous" en empêcher puisque je n'ai pas été assez rapide :wink: (encore qu'après le coup de la dernière fois -_- ))?

    L'important n'est-il pas, au fond, qu'il y ait toujours un dessinateur aux dates prévues? :D

    Impe, place à la démocratie, place à la liberté individuelle ^_^ !

    ps: second degré on s'entend :P .

  8. Comme ma muse s'occupe d'autre chose en ce moment (c'est que les muses sont souvent très demandées :) ), je vais vite répondre à vos commentaires (à défaut de faire une suite aujourd'hui).

    c'est assez bien rendue je dois l'admettre !

    C'est une nuance que je dois effectivement bien admette. L'ennui, c'est que tout ce passage est basé là-dessus, sur cette confusion jusqu'au point où le lecteur est sensé croire que Claire est réellement folle, qu'elle a réellement rêvé tous les signes qui ont précédé. Mais je ne sais pas comment faire pour mieux rendre cet effet...

    par contre le coup du brasier, je n'ai pas trop compris: rappel de la forêt qui brûle lorsqu'elle part? (en plus tu piques ma future idée pour mon récit  (  )))

    Effectivement... Le rêve (cauchemar), bien que n'étant là que pour faire la transition, ramène à des événements antiérieurs, à ce qu'elle a voulu oublier. Pendant que la voix lui parle, Clair cauchemarde, de la même manière que lorsque l'on est souffrant. D'abord tout tourne, c'est un torrent d'idées contradictoires que l'on arrive pas à juguler, puis quelques images précises au milieu de cela, la forêt qui brûle et les hommes qui crient (moment capital, puisque la dernière fois où elle a aperçu Aerion ^_^ ). Enfin, à force, la voix la calme et (mais ça vous ne vous en doutiez pas), elle reprend contact avec la réalité et elle le sent proche d'elle, tout proche.

    Puis comme de normal, le rêve cesse à l'ultime instant et elle sursaute, se lève et s'aperçoit que son rêve n'existe pas, qu'elle est seule, dans sa chambre faite de pierres froides, etc... Ce sentiment que l'on ressent après un rêve qui nous a beaucoup touché et dans lequel on préférerait rester, plutôt que de revenir à la réalité...

    les prisonniers qui ont attaqué l'homme (tellement horrible que j'en ai oublié son nom  ), m'apparaissent trop cruels, surtout le fait des ossements...

    En fait, sa venur dans les geôles est dûe à son envie de mourir. Elle sait qu'elle va y trouver la pire engeance et est attirée par elle. QUant aux prisonniers, ils sont certes extrêmes, mais n'ont pas mangé depuis bien longtemps... Enfin ça, vous ne pouvez pas le savoir. Du reste, mon seul but était de vous faire ressentir la même angoisse sourde que Claire, ce besoin de voir et de se mêler au mal.

    je dirais encore plus! tu m'as encore une nouvelle fois surpris avec la decouverte de l'elfe

    Entre nous, je me demande ce que ça a d'étonnant. Au contraire, c'est une suite plus que logique. Au fond, ce récit ne comporte que quelques personnages importants: Claire, Aerion, Deleth...

    Sereth n'est plus, Ikha joue au second plan, Gilles n'intervient qu'à la fin et est aussi superficiel qu'un humain puisse l'être...

    Et puis, je suis cruel, mais plein d'espoirs. Je crois que si l'amour existe vraiment, alors on peut tout faire à son conjoint (conjointe) et le (la) retrouver quand même, et ce malgré que l'on soit au plus bas... Mais l'amour n'existe-t-il pas que dans les récits ? À voir...

    je place ton histoire tout en haut de mes histoires preférés!

    C'est beaucoup d'honneur, mais il faudra vraiment que je reprenne de grandes parties de ce texte avant d'accepter de tels compliments. Ce récit est comme un poème que j'aurais écrits sur un coup de tête, et qui demande d'être retravaillé, amélioré et affiné. N'en est-il d'ailleurs pas de même avec les diamants?

    Impe, quelques explications pour un texte qui, en y regardant bien, comprend quelques petites astuces...

  9. Une suite? Serais-je seulement à la hauteur? C'est toujours à la fin que les problèmes se posent. Pourtant, si c'est demandé ainsi, et aux vu de circonstances, je veux bien en écrire une:

    Passé…

    « L’âme est immortelle… »

    La voix est lointaine.

    « L’âme, comme l’amour, est immortelle… »

    Un tourbillon, c’est un tourbillon de colère.

    « Chaque chose a une place dans l’univers… »

    J’ai si froid.

    « Le mal qui a été fait n’existe plus… »

    Tout a brûlé, tout, ils criaient si fort…

    « Dors, il faut dormir pour vivre. »

    Il y a quelque chose sur moi, je sens une présence.

    « Ce qui a été commencé doit finir. »

    Je sens son souffle chaud sur mon visage, si proche du mien…il crie soudain :

    « Je suis là !»

    Je m’éveille en sursaut ! Mais les ténèbres ont disparus, je suis seule, sur le lit. Quel affreux cauchemar, quel rêve épouvantable ! Mais il est déjà oublié. Dehors le soleil peine à se montrer, mais l’on entend déjà les chants des soldats, et au loin les bruits de la ville. D’instinct je touche une pierre, pour ressentir son contact froid, solide, râpeux. J’ai besoin de m’assurer de son existence, de mon existence. Dans ma tête, une parole résonne sourdement : « je suis là… ».

    Je ne sais pas où j’ai pu l’entendre, je n’arrive pas à m’en souvenir. Il y avait des tourbillons de flamme, des démons partout, grands et petits, des gens qui souriaient d’une manière inhumaine, comme s’ils se moquaient, comme s’ils se forçaient. Les yeux étaient vides, ils m’accusaient, et après j’ai chuté.

    À quoi bon se souvenir de ses rêves ? Pourtant cette cage, au pied de mon lit, aurait dû en faire partie. Les deux oiseaux, insouciants, continuent à voleter de part et d’autre de l’espace dans lequel ils sont confinés. Je les observe un instant, puis, de colère, je saisis leur prison et, l’amenant à la fenêtre, ouvre la porte dorée pour les voir partir, pour laisser s’échapper à jamais la dernière trace de mon passé. Aussitôt ils s’élancent, et s’échappent au dehors pour s’éloigner, l’un à l’est, l’autre à l’ouest, jusqu’à disparaître de ma vue. Je m’effondre alors contre le mur, soulagée mais triste, comme si au fond de moi j’avais espéré les voir rester, et mes mains viennent tenter de retenir désespérément mes larmes. Pourtant je les retire vite de mes yeux pour observer, tétanisée, les deux volatiles posés sagement sur mes genoux, qui semblent m’observer. L’un est jaune, l’autre a une tache rouge sur le ventre. En les voyant, une seule chose me vient à l’esprit, une seule voix, douce et réconfortante : « je suis là… »

    Je me relève, sans savoir pourquoi, sans savoir où je veux aller, ce que je vais faire. Je n’ai plus envie de reculer, mais pas non plus d’avancer. Je voudrais rester là, simplement, pour goûter durant l’éternité la puissance de cet instant. Peut-être aussi, m’attends-je à ré-entendre la voix me parler, mais les souvenirs sont bien éteint, et je ne rencontre qu’un silence troublant, et à peine troublé par les bruit du dehors. Je regarde les oiseaux, mais ils sont allés se nicher dans un recoin de la roche et s’y sont endormis. Sachant n’avoir aucun secours à attendre d’eux, je me décidais à aller à la rencontre du destin.

    1ère rencontre :

    Éreintée, je m’offre enfin un peu de repos, adossée contre un mur, le long d’un couloir sombre de la forteresse. Combien de salles ais-je visitées, combien de couloirs ais-je arpentés ? La question serait plutôt de savoir ce que j’y cherchais. Un signe, sans doute, pour me mener à je ne sais quoi, à je ne sais qui ou je ne sais où. Il me prend l’envie de pleurer, de me laisser tomber, là, maintenant, pour ne plus jamais me relever. À tout prendre, c’est bien la seule chose qui me reste à faire, la seule et dernière.

    Devait-ce donc être là la dernière torture qui devait clore ma déchéance ? Mais alors ces oiseaux ? Cette voix ? Il me prend l’éclair d’un instant l’envie de croire que je ne suis plus que le jouet de dieux cruels cherchant à se venger de moi par une lente et douloureuse agonie, car qui d’autre que des dieux auraient pu me tromper à ce point ? Mais peut-être ais-je rêvé les oiseaux, peut-être ais-je inventé tout cela… Peut-être, simplement, suis-je folle ?

    Ce constat me pousse au silence. Je reste là, immobile, durant de longue secondes. Oui, je suis devenue folle. Voilà la triste réalité, voilà la seule réponse plausible à toutes mes questions, à tout ce qui m’a poussé jusqu’ici, dans ce couloir sombre, froid et humide, dans les tréfonds de la terre, simplement ma folie. Est-ce bien ? Est-ce mal ? Il me prend à croire que cela peut changer quelque chose à ma situation que je m’en sois rendue compte. Mais qu’est-ce que cela pourrait bien changer ? Je suis prisonnière d’un monde que je déteste, mon âme est morte dans une forêt lointaine, qui n’a sans doute jamais existé, et moi-même, peut-être, je suis déjà morte. Non, je suis simplement folle, une déjà vieille folle, accroupie contre un mur sale, à la recherche de quelque chose qui n’existe pas.

    Voulant mettre fin à ces pensées qui m’exaspèrent, je me force à observer ce qui m’entoure, pour m’occuper, pour me forcer à rester lucide encore un instant.

    Le couloir est fais de grosses pierres qui se joignent en un demi-cylindre tronqué. Plusieurs clés de voûte soutiennent de part et d’autres le poids de la terre accumulée au-dessus. Je suis descendue dans les bas-fonds de la forteresse, et ce couloir est sans doute celui qui mène aux cellules, aux geôles. La présence si proche de la racaille et de la mort m’attire. Irrésistiblement, je me lève et me met en route. Bientôt je découvre une grosse porte de fer forgé gardée par un non moins gros homme joufflu et sale. En me voyant arriver il s’exclame, s’insurge, s’émeut et cherche à me faire faire demi-tour, mais en quelques mots je l’oblige à me céder passage. Deux pièces de bronze aidant, la porte s’ouvre et je pénètre dans un nouveau couloir bordé de nombreuses cellules. Celles-ci contiennent les petits malfrats, des hommes et des femmes qui ont eu le tort de déplaire par un mot ou une action à Gilles ou l’un de ses comparses. En m’apercevant certains se lèvent pour me supplier de les faire sortir, d’autres se soulèvent avec peine pour implorer un peu de nourriture, d’autres un peu d’eau. Certains, enfin, se contentent de me voir passer avec des yeux remplis de frayeur, figés dans le temps par de trop grandes souffrances.

    Mais ce n’est pas là ce que je suis venu chercher, si tant est que je sache exactement ce que je suis venue faire ici. Je pousse une grande porte et ouvre une puissante grille avec les clés du gardien, puis me met à descendre un escalier en colimaçon. Rapidement, je débouche sur une grande rotonde dont les murs sont ouverts en plusieurs endroits par de minces espaces menant chacun à une cellule. Je sais être arrivée dans l’endroit réservé aux traîtres et à ceux qui, à un moment ou à un autre, ont menacé Gilles. Derrière les grilles qui ferment leurs prisons, et grâce à la lumière d’une torche, j’aperçois de multiples être attachés aux murs, les uns suspendus, les autres simplement abandonnés là. Dans chacune j’aperçois des ossements, des cadavres en décomposition dont certains semblent avoir été dévorés par quelque créature monstrueuse. Il me prend l’envie d’ouvrir l’une de ces grilles, d’entrer et de me laisser moi aussi prendre et dévorer par ces êtres abrutis et sauvages. Mais l’un d’eux, soudain, réagit à ma présence et son cri, bestial, réveille les autres. Tous crient, mêlant la colère à la tristesse, tous s’agitent et, instinctivement, je recule lorsqu’un grand homme se jette contre la grille de la cellule dans l’espoir vain de me tuer.

    Je l’observe un instant, mais son visage a déjà disparu, happé par une foule nombreuse de bras et de cris qui ont envahi la place qu’il occupait. Je me recule encore et me retourne pour tomber nez à nez avec le gardien de la prison que le bruit avait attiré. Sa seule présence suffit à faire cesser les cris et lui-même cherche à me faire remonter, argumentant que ce n’était pas là l’endroit pour une dame comme moi. Mais déjà je l’interrogeais sur une trappe, au sol, que j’avais jusque là délaissée. Sans même écouter sa réponse, je tentais de l’ouvrir, mais aucune des clés ne fonctionna. La trappe était entièrement faite de métal et ne pouvait être bougée que grâce à un complexe mécanisme que bloquait un puissant cadenas. J’intimais l’ordre au gardien de m’ouvrir, mais il refusa, et son refus ne fit que me pousser plus encore à vouloir descendre voir ce que cachait ce passage. Comme l’ordre ne suffisait pas, je le menaçais de lui faire perdre son poste et, joignant le geste à la parole, lui promit quelques richesses s’il consentait à m’obéir aveuglément. D’un geste je lui fit même comprendre que s’il me servait bien, il aurait droit à plus que des richesses de ma part, et à l’étincelle qui traversa ses yeux, je compris l’avoir gagné à ma cause.

    Sans m’attarder sur cette nouvelle conquête, je lui fis signe de m’ouvrir le chemin, et il s’acquitta aussitôt de la tâche. Bientôt je pus apercevoir une échelle de bois qui s’enfonçait dans un trou dont je n’apercevais pas le fond. La première frayeur passée, je saisis la torche et me mit à descendre. Échelon après échelon, je continuais mon voyage, toujours plus profondément, jusqu’à ce que mon pied touche un sol de pierre. À ce moment-là, je pris vraiment peur, peur de ce qui m’avait amené ici, peur de ce qui pouvait se cacher dans la noirceur de cette prison, peur simplement de la mort que j’étais venue y chercher.

    Pourtant je ne pouvais remonter, non pas que cela m’était impossible, mais que de l’endroit où j’étais, je pouvais entrevoir une faible lueur au loin, bien plus rassurante que la vision de nuit qui me surplombait. Je prit donc le parti d’explorer prudemment l’endroit où je me trouvais.

    Un instant passa et mes pas me menèrent jusqu’à une grande salle taillée dans le roc à l’intérieur de laquelle était posée comme sur un piédestal une gigantesque cage. Tout en haut de la salle, il y avait trois minuscules ouvertures par lesquelles passaient de la lumière, en très petite quantité, mais qui permettait tout de même de voir.

    Et ce que je voyais me laissait bouche bée. Dans la cage il n’y avait qu’une homme, un seul, assis au milieu, comme endormi. Il était vêtu de haillons, couverts de diverses saletés et portait en de multiples endroits des signes évidents de torture. Pourtant ce qui attira mon regard furent ses mains, fines et graciles malgré les épreuves visiblement endurées, et sa tête, noyée dans l’ombre, mais où se distinguait un visage fin et doux, et aux côtés duquel étaient deux oreilles, des oreilles pointues.

    "Je suis là..." fit la voix dans ma tête...

    Cela ne s'arrête pas là, mais je fais une simple pause. De toute manière, il n'y a pas de suspens, vous savez déjà ce qu'il en est...Mais non pas ce qui va se passer.

  10. Donc en fait, c'est la subjectivité des propos, et non le post en lui-même, qui est remise en question, c'est bien ça ? ^_^

    Du coup:

    mais je trouve que cet article n'est ni interressant ni utile ni constructif et que sa rédaction est une vraie perte de temps

    C'est tout de même exagéré... L'article en lui-même me semble au contraire très utile, et j'en ai moi-même bénéficié. Maintenant, qu'une notation subjective soit appliquée, c'est une question à voir. J'avoue que je serais pour plus de neutralité, en se contentant de présenter la saga en disant:

    - le sujet

    - la durée des épisodes

    - le nombre d'épisode

    Bref, de quoi orienter le lecteur sans pour autant chercher à l'influencer. Ensuite, on peut laisser le reste du sujet pour que chacun puisse donner son avis sur telle ou telle saga, encore que cela ne me paraisse pas obligatoirement constructif :clap: .

    Mais entre nous, venir démonter ce post d'une manière que je trouve franchement agressive, sans chercher à être un minimum constructif et proposer d'autres solutions ou des alternatives acceptables, voire des compromis... Ben c'est moyen :D .

    désolé de manquer de respect à un MODERATEUR

    Manquer de respect à un modérateur ou à un membre ne change rien à l'affaire, ce sera toujours un manque de respect :) .

    Mais critiquer un projet, une oeuvre de manière négative n'est pas un manque de respect. La démonter violemment avec un certain sadisme (ce qui n'est pas encore le cas ici) en serait un...

    Impe, on peut effectivement se poser la question sur l'utilité des notes, partant du principe que celles-ci sont subjectives :-x . Maintenant, n'oublions pas qu'à la base ce n'est ici que le recueil fait par un membre. Tout comme on voit parfois l'avis d'un membre sur l'ensemble des armées de battle, on peut très bien accepter qu'un membre donne son avis sur les saga tout en les présentant. Cela n'enlève rien à l'utilité première du post, soit présenter l'ensemble des sagas :skull: .

    ps:

    jsute à donner un avis personnel (dont tout le monde s'en fout) ...

    Ecouter l'avis des autres est un premier pas vers la vérité. N'écouter que son propre jugement est le plus droit chemin vers l'erreur.

    (en gros, même si son avis ne doit pas être pris pour argent comptant, il permet néanmoins de nuancer les choses et d'apporter une vision qui permettra de relativiser. :skull: )

  11. Si tu veux je peux prendre ta place si ça t'arrange Impe

    Au départ je me suis dit:

    "Et puis quoi encore, pas question je veux je le ferais toute façon j'ai dit que je le ferais et pis d'abord c'est mon tour... :rolleyes: "

    Et puis... Au fond, franchement... à moins d'un miracle, je crois que je ne trouverais pas la flamme de joie en mon coeur qui pourrait me permettre de mener ce projet à bien.

    Du coup, oui, un délai supplémentaire pour laisser passer cette tristesse que j'espère passagère, ben ça ferait du bien :pirate: .

    Impe, quand je pense à la cause de mon blues, j'ai envie de me tirer des baffes...

    ps: mais je ferais les dernières cases :skull:

  12. Imperator mais fin a ce suplice (argh) ou je te met dans mon livre des rancunes personel et je laverai cet affront dans le sang et les larmes

    T'en as de bonnes... :pirate: J'ai à peine eu le temps d'y réfléchir et je suis à vrai dire un peu crevé (j'ai eu un nuit... agitée).

    Mais on va essayer de faire vite. Mais pas ce soir.

    Impe, quoique... à voir.

  13. Gromuel , et oui c'est à toi Imperator  (vive le rafistolage de dernière minute)

    Quoi? :clap: Mais ça fais six jours que je dors que 6 heures par nuit. j'ai une montagne de travaille comme ac', pis en plus j'sais pas dessiner ^_^ .

    Plus sérieusement, je vais m'y mettre... On va voir ce qu'on peut tirer de ce mystérieux individus. (tiens, me fait penser au prêtre de Sigmar du récit en relation avec cette BD, j'vais p'têtre exploiter ce filon).

    Impe, ah, ces nains :wink:

    ps: Bof, une masse téléscopique, c'est pas une erreur... c'est une aubaine :wink: .

  14. C'est étrange... Pour moi les liens marchent.

    Par contre je regrette qu'il y manque les dernières cases. :(

    Je constate malheureusement (  ) que cette section mérites bel et bien un dictateur 

    Je pense qu'on saura se contenter d'un modérateur ^_^ .

    Impe...

  15. Rédemption:

    Ma vie aurait pu s'arrêter à cela, à cette succession sans sens d'hommes et de femmes... C'était le plus sûr chemin pour la destruction et la seule voix que je pouvais emprunter alors, la plus déshonorante, la seule que le destin m'offrait et que j'acceptais comme un libération.

    Mais s'il est des dieux en ce monde, ceux-ci furent assez cruels pour m'infliger une ultime blessure, la pire qui pouvait m'être octroyée, le souvenir vivace de mon passé, d'une joie qui avait été, si peu de temps hélas, la mienne et d'un visage que j'avais préféré oublier.

    Tout a commencé lors d'une des nombreuses réceptions qui se déroulent au château. Je venais d'entrer dans la salle à manger, ombre parmi d'autres ombres, marchant sans but au travers des convives. Je ne pensais alors à rien, ne ressentait rien et, pour être tout à fait franche, n'entendait même pas ce qui se disait autour de moi, comme si toutes les paroles échangées aussi puissamment pourtant n'étaient que les murmures impossibles des muets. Pourtant j'entendais, oui, j'entendais et ce fait éveilla ma curiosité trop longtemps engourdie pour que je m'en méfiasse. Tendant l'oreille, je prêtais attention au son particulier qui m'avait attiré, une mélodie étrange, et soudain propulsée par une énergie qui m'était devenue totalement inconnue, je fendis la foule en sa direction, pour en trouver l'origine, comme si celle-ci pouvait m'apporter autre chose que la mort après laquelle, depuis des semaines alors, je courrais.

    Mais ma course cessa aussi subitement qu'elle avait commencée aux pieds de Gilles. Il avait revêtu son plus beau vêtement, et entourant sa prestance de ce torchon, me regardait d'un air contrarié, furieux même, mais d'une fureur qui s'éteignit bien vite.

    "Nous parlions justement de toi.", me dit-il alors pour mon plus grand étonnement, en se tournant vers un gros homme dont le ventre n'aurait rien eu à envier aux plus fortes barriques.

    Pourtant ce ne fut pas son ventre qui m'attira vers lui, mais bien son visage, un visage que, malgré les années écoulées, je reconnus immédiatement et avec frayeur, car celui qui le possédait alors m'avait été donné comme mort. Ce visage n'était autre que celui de mon oncle, ou celui qui, le premier, avait tenu ce rôle, mon premier gardien, celui que je nommais "Khal".

    Sans faire attention à mon trouble, il me tendit une cage dorée aux fines ciselures et recouverte d'un magnifique drap blanc aux motifs dorés eux-aussi. J'abaissais les yeux sur la cage, puis les relevait et, sans comprendre, dit:

    "Merci."

    Gilles se retourna devant moi, l'aiur furieux, m'insultant pour l'avoir dérangé et à côté de lui se tenait un gros homme dont le ventre d'aurait rien eu à envier aux contrepoids des trébuchets et au visage joufflu et à ce point recouvert par la graisse que les yeux apparaissaient comme deux points noirs sur sa face. Son rire, enfin, faux, cassant, moqueur, finit de me mettre en fuite, laissant ainsi le loisir aux deux hommes de reprendre leur discussion.

    Ce n'est qu'une fois dans ma chambre que j'aperçus dans mes bras la grande cage dorée. J'ôtais le drap et un petit chant m'en remercia joyeusement. Dans la grande cage il y avait deux oiseaux, un jaune et un blanc. Le jaune semblait avoir du mal, parfois, à rester parfaitement cohérent, comme si ses os refusaient de se tenir les uns les autres, et sur le ventre de l'oiseau blanc j'aperçus des traces nettes de sang, un sang rouge clair, mais déjà sec.

    C'en était trop en une fois, et je sombrais dans un profond sommeil, incapable de savoir si je ne rêvais pas déjà. Au milieu de cette pensée, je ne sais pourquoi, je me suis prise à souhaiter ardemment que tout cela ne fut pas un rêve. Plus encore, j'implorais que ce ne le fut pas.

    Pas envie de lire, rien envie de faire, mais au moins j'ai avancé un peu ici... Bon, c'est sans doute plein de lapsus (j'en ai remarqué un au départ lors de mon écriture), mais au final ça devrait passer inaperçu. Pour le reste j'essaie de repartir vers quelque chose de moins "manichéen" (homme=viol) et de peut-être un peu plus beau. La transition est finie et puis... De toute manière avec le blues, j'ai pas envie d'écrire des choses tristes.

    Petit détail: le départ n'est PAS une manière de répondre à Elgalen. Du reste ses propos étaient et sont toujours parfaitement justifiés. C'est juste que je voulais marquer cette absence de sentiment chez Claire, et doucement en arriver à ce qu'elle voulait vraiment, comment, inconsciemment, elle s'était enfermée dans ce qu'il y a de pire. Les indices ne manquent pas, à vrai dire je m'exprimer même assez clairement à ce niveau.

    M'enfin, reste encore quelques passages à écrire, et puis la fin à mettre en forme. Après... Après on passera à la suite, ça n'a pas d'importance.

    Impe, "OH oui, j'ai le blu, le blu, le bluuuuuuuuues...."

    ps: mais heureusement y a un magnifique soleil derrière la fenêtre ^_^

  16. Juste pour dire que comme Gromuel est de retour et que moi, en ce moment, j'ai comme qui dirait le blues ^_^ , je repasse enfin la main.

    Par contre j'suis toujours partant hein :P , pas question de sauter mon tour!

    Impe, j'suis p'têtre pas aussi fort que les autres, mais j'veux quand même continuer à participer B) .

    ps: je mise sur le lapin chaotique!

  17. (si Impe pouvait venir répondre  )

    Entre le blues (qui veut pas me lâcher :rolleyes: ) et mon nouveau boulot (et oui, je bosse -_- ), ça va pas être évident. D'autant que je compte trouver un jour le moyen de lire la fameuse saga dela francesca!

    Mais on va essayer ^_^ .

    Impe, oh oui, j'ai le blues...

  18. ^_^ Pas de chance... Remarque, c'est très joli les pyrénnées.

    Ceci dit, en théorie, Gromuel a une case de prête au cas où. Seulement comme il n'est pas là ça m'étonnerait beaucoup qu'il puisse pallier à cet imprévu -_- .

    Le plus simple, c'est que le prochain fasse la suite. Otaji, c'est à toi :rolleyes: .

    Impe, le pauvre lapin... un lapin zombie à présent?

  19. Tu va rire, mais j'ai encore trouvé un problème dans le texte...

    En fait tu as trop exagéré le passage en souvenir où tu dis que les enfants ont de drôles de rêves, tu sais, avec le carquoi, devenir le meilleur archer, un grand chevalier... Au bout d'un moment ça ne parait plus naturel.

    Impe, ceci dit, je retourne vite à mes occupations.

  20. Par contre, lors de l'attaque, je centre sur Salvatus car Ilia et Kirla sont dedans.

    J'suis pas contre. Par contre, au regard des autres elfes, c'est avant tout le gros des troupes qui doit être de première importance. Quant au discours, autant qu'il parle de la vengeance, etc...

    Bref, je te fais confiane pour tout mettre en ordre.

    En fait, au prix qu'a payer Malak, il ne va pas tuer les prisonniers  .

    Et puis pour le réveil en sursaut, on suivait avant les pensées de Geoffroy, alors que là on se réveille dans la tête de Kirla (le récit de Kev étant avec les elfes et Mälthion.

    Je sais... Mais rien n'empêche que l'esprit de Kev ait suivi ses compagnons un instant avant de réintégrer son nouveau corps (enfin, explication que tu voudra, qu'importe? :D ). L'important est de montrer ce lien. Or quoi de plus normal qu'un lien de cause à effet?

    Le mec sent pointer une menace mortelle (même si elle ne se réalise pas), et l'autre se réveille en sursaut.

    Du reste, as-tu déjà lu Bob Morane? C'est pas une source de haute littérature, mais à de nombreuses reprises le héros semble s'être fait tué alors qu'il a simplement été "assomé/drogué/ébloui/ ce que vous voudrez...". Je te propose la même chose, mais en moins fort.

    Par exemple, faire se terminer la chose par un coup de poing magistral avec ruée des soldats pour lui règler son compte (d'abord ruée, puis soudain voit le coup de poing arriver, grande douleur, trou noir et réveil en sursaut). Après, c'est normal que le grand manitou ait calmé ses troupes. Le mec n'aura pas été tué, on reste dans la logique des choses et on a notre lien...

    Remarque, si tu trouves un autre lien évident, j'ai rien contre :wink: .

    Et crois-moi ou pas, je relis toujours en plus

    Je n'en doute pas une seconde. Tu remarquera d'ailleurs que je n'ai fais aucune remarque sur l'orthographe, et ce simplement, en y repensant, parce que ça m'était sorti de la tête puisque rien n'était venu me rappeler cet aspect-là. En un mot comme en mille, j'ai jamais eu à m'en soucier tout au long du récit, et y a pas à dire c'est agréable. Un exemple à suivre, un exemple que je devrais suivre :P ....

    Hum hum hum, je ne dirais rien, juste qu'on apprendra quand même de manière plus clair le déroulement du vol, mais après.

    Tant mieux...

    PS: j'avais pensé à un nettoyage complet du tout premier récit, pour rendre un peu de l'ordre. Qu'en penses-tu (et que pensent aussi mes autres lecteurs d'ailleurs, car maintenant que j'ai quasiment atteint la fin des réécritures.)

    En effet je ne vois pas l'intérêt de les garder. Perso je me contente simplement de faire une copie de mon fichier Word avant de modifier. Du coup j'ai la version 1.0, 1.1, 1.2, 2.0 lorsque je reprends du départ... etc de mon texte. Mais je ne présente jamais que la version finale :D .

    Et puis... Faire disparaître deux ou trois pages de ton récit peut aider à donner du courage aux lecteurs -_- . Parce qu'au final c'est moins long qu'il n'y parait.

    ps: à ce sujet, si tu veux, tu peux simplement rouvrir un nouveau sujet avec l'ensemble de ton texte final, mettre un lien vers ce nouveau sujet dans celui-ci et m'envoyer un PM pour me demander de fermer ce sujet...(ce que je ferais). Une sorte de remise à neuf ^_^ . Et ce sera plus simple que de tout effacer. (sans parler du problème des commentaires).

    PPS: et merci d'avoir passé tout ce temps sur cette critique 

    Dix minutes à tout casser, c'est bien peu de choses :lol: ... J'aurais voulu faire plus développer, mais ces temps j'ai vraiment les idées ailleurs, et ça bloque tout.

    Impe, à moitié dans le néant, à moitié dans le cirage ^_^

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