L'Ours

Merci pour votre compréhension, surtout que le dernier développement, c'est l'hôpital avec la mâchoire fracturée par un taureau. Quand ça veut pas...

Bon, c'est vraiment la mort dans l'âme que je dois à mon tour jeter l'éponge. Des impondérables persos et des défections pros font que je ne peux pas assurer ne serait-ce qu'un minimum acceptable et cela ne risque pas de s'arranger avant l'automne prochain. , soit quasiment la fin du CDA Je suis vraiment dégoûté. Pour moi car je croyais vraiment et en ce CDA et en mon projet qui étaient l'occasion de me relancer dans le hobby avec un situation irl que je pensais stabilisée. Pour vous également, notamment pour ceux qui n'ont pas eu de place, car au final, il aurait mieux valu qu'ils prennent la mienne. Merci à tous pour votre soutien au cours de ces quelques mois. Merci particulièrement @Galthor-BD pour ce beau projet de CDA qui respire la bonne humeur et l'entre aide avec de très belles choses dans tous les sujets. J'espère au moins avoir le temps de passer de temps en temps sur vos sujets pour profiter de tout ça, vous laisser un petit com et relancer un jour mon propre sujet dans la section d'à côté. GG à tous

Décidemment, on ne pourra pas dire que les framboises sont misogynes (enfin entre les pin up, la femme à barbe et la petite copine de Nurgle ?) Je ne connaissais ni cette gamme ni cette figurine mais tu l'as bien intégrée. Elle a un petit côté : je t'inocule des gènes tyrannides mais moi je touche pas à ma plastique... Et je parle pas de son chihuahua. En tout cas, ça te change de la chitine et tu dois trouver ça bienvenu. (Très chouette ton commissaire monté au passage)

J'adore ton patron ! J'étais déçu quand tu as du y mettre un coup d'arrêt. "Dura lex sed lex" (Et je parle pas des verres) Tout est bien trouvé : le palanquin bidouillé (avec recyclage immédiat sur le bord de la route ?), le champion/héraut qui marche devant, le roi qui passe devant la statue très mélancolique je trouve. Bref, j'en veux encore! Et surtout, enfin, ENFIN, on va savoir si les naines sont barbues ou non !!!

Pour votre culture, on dit pas "chaussette" mais balzane (aaaa je me mets à parler comme un cavalier prétentieux, moi qui n'aime pas les bourrins!) Bref, très bien ces chevaux et effectivement, quelques nuances dans les robes leur donnent d'avantage de caractère. J'aurais sûrement des tuyaux à te demander pour ma dernière session. Ton schéma passe bien sûr ces chevaliers un peu old school. Je me demande comment tu pourrais leur ajouter un peu de clinquant pour faire une distinction nette de classe entre eux et la troupaille ? Peut être une autre teinte métallique sur les bords d'armure ou bien trouver quelque chose pour les plumes ? Pas facile de compléter du violet, à part le jaune ? Bonne continuation!

Rooo, je m'insurge ! Le kraken est manifestement un cephalopode, rien à voir avec un poisson et décapode de surcroît alors que là il en a 7. Blague à part, il est bien parti ce vieux poulpe, on voit que tu as bien le coup de main pour peindre l'armure énergétique. Et le free hand est déjà en bonne voie. Tu as déjà un projet pour le médaillon ? Un tête de loup, de mérou ?

Et bien tu vas changer de format pour cette session! C'est comme si Marell passait du 10 au 25mm. Les orques sauvages sont très sympas et plein de personnalité. Hâte de voir quel schéma tu vas adopter pour coller à ton thème exotique.

Allez, un petit effort ! Je te jure que notre cher mda et les modos sont plein d'empathie et de mansuétude mais faut que tu les aides aussi.

Super, voilà le Bigboss et son barbier chirurgien. J'ai juste un peu peur que le patron soit un peu trop assis sur son arrière train si tu vois ce que je dire mais si j'en juge par ton tigeage ça devrait aller. Sinon je le trouve bien en l'état, tout dépend aussi du socle que tu as prévu. J'adore aussi le choix de la figurine classique de shaman orque (la mienne attend sa peinture dans un recoin poussiéreux) Bon courage pour la mise en peinture

Bon courage à toi, j'espère que le toubib pourra t'aider. En attendant, je trouve aussi que tu t'en es très bien tiré avec ces orques noirs old school, les teintes sont bien équilibrées. Déjà curieux de voir la suite avec les centaures.

Les mômes, rien de mieux pour vous plomber un planning... Ah non, y a le boulot aussi ! Bref, malgré tes déboires, on voit bien que tu les bichonnes tes revenants. L'ensemble est bien parti même si j'avoue avoir hâte de voir ce que tu vas faire avec les crânes car jai du mal visualiser pour le moment.

Même pas eu le temps de donner mon avis... mais c'est exactement la pose que j'aurai retenu. Très sympa en tout cas de donner ta touche à cette figurine, la lance est chouette ! Le NMM, c'est franchement déjà pas mal. N'étant pas pratiquant, je ne te donnerai pas de conseil, il y a des pros ici pour ça ! Bon courage pour la suite !

Des soeurs et Uriah Jacobus entre autres, à côté des gros bras ! Là tu me fais plaisir. Une session très ambitieuse : on sentirait presque ta frustration de tournoyeur déçu, pauvres pinceaux !

Comme tu l'as judicieusement proposé, je profite de poiroter à l'hôpital pour passer dire bonjour! Je constate surtout que tu n'avais pas besoin que je te lance un défis : une sculpture intégrale waou ! Ça part très bien en tout cas. Cela promet d'être la dame la plus gracieuse de cette session du CDA...

Et bien la matrone a l'air d'avoir de la personnalité. C'est sympa que tu es pu conserver le côté décalé de la figurine initiale. Le choix des pièces semblent judicieux vu ensemble. On attend la mise en peinture avec impatience

Résumé des Pauvres Compagnons, épisode 2 AKA session foirée... Le soldat Vantine retint un juron en manquant s'étaler après avoir trébucher sur un gravas dans l'obscurité. Les vétérans avaient pourtant radoté toute cette journée de repos que cela cachait quelque chose, il n'avait pas pu s'empêcher de se réjouir de ce répis bienvenu. Mais à peine la nuit tombée, il se retrouvait maintenant embarqué dans une mission nocturne : les unités de reconnaissance avaient pu repérer durant plusieurs nuits des cérémonies hérétiques se tenant juste derrière les premières lignes ennemies, dirigées par plusieurs chefs religieux. L'occasion était trop belle de les supprimer. Il en était encore à se demander pourquoi le sort s'acharnait sur lui, tout en progressant le plus silencieusement possible dans les ruines selon un itinéraire repéré par les scouts, ne distinguant les reliefs du terrains et les camarades de son groupe qu'à la lueur des fusées éclairantes et des incendies ravageant encore certains immeubles. Après un temps qui lui parut beaucoup trop long, il commença à percevoir les cris et les chants provenant de la cérémonie en cours. Ils se rapprochèrent, prenant pour couverts successifs les pans de mur d'un immeuble effondré jusqu'à enfin découvrir leurs adversaires. Vantine les trouva d'emblée beaucoup plus près qu'il ne l'aurait souhaité mais leur position était idéale. Il tenta de se concentrer uniquement sur ses cibles potentielles, essayant autant que possible de faire abstraction du rituel en cours comme on le leur avait dit pendant le briefing. Il savait cependant de quels cauchemars seraient peuplés ces prochains sommeils. Chacun prit sa position et se choisit un cible, parcouru de frissons, les mains moites, les doigts crispés sur son arme, attendant un ordre de tirer qui tardait à venir. Soudain, un cri primal, puissant, roula comme un coup de tonnerre. Une fraction de seconde plus tard, les têtes des chefs menant cette abjecte cérémonie disparurent dans une brume sanglante. Ce fut immédiatement la panique chez les hérétiques et les membres de l'embuscade n'eurent qu'à ajuster une par une leurs victimes qui couraient en tous sens sans aucune cohésion ou discipline. Un vrai stand de tir digne de l'académie. Les tirs, les chargeurs s'enchaînaient, les lasers brûlant les chairs, les armes lourdes disloquant les corps. Au bout de longues minutes, une résistance et même un début de contre-attaque sembla s'organiser. Vantine entendit alors un coup de trompe, profond et grave au milieu de tout ce chaos. L'ordre de repli fut donné et la colonne entreprit de prendre le chemin du retour, disparaissant dans l'obscurité. Ce n'est qu'une fois revenu au camp, affalé sur son mince matelas de couchage, les yeux dans le vide que le soldat Vantine se demanda qui étaient les mystérieux alliés qui les avaient si efficacement épaulés dans cette mission. Depuis des heures, l'offensive piétinait et les officiers supérieurs du centre des opérations commençaient sérieusement à perdre patience. « Qu'ils viennent eux même ! Si ils pensent faire mieux en première ligne, qu'ils se gênent pas surtout » maugréa le soldat Vantine, en se recroquevillant sous son casque. Cette barricade qui bouclait l'accès à une usine d'importance stratégique ne voulait pas tomber. Les rues avoisinantes étaient trop étroites pour les blindés et de toutes les façons, on leur avait interdit l'usage des armes lourdes susceptibles de mettre en péril les installations. Aucune voie de contournant satisfaisante n'avait pour le moment été découverte. Alors les vagues successives de gardes continuaient de venir s'écraser sans succès notable sur ce tas gravas. Quelques ennemis tombaient bien mais au prix de combien de vies impériales ? Les hommes commençaient sérieusement à perdre le moral et les commissaires multipliaient les invectives et les coups. La situation ne semblait pas prête de changer. Le soldat Vantine regarda la vague suivante se préparer au coin de la rue voisine qui ne profiterait comme les précédentes que d'un pauvre tir de couverture et de quelques obus de mortier expédiés en tir directe pour couvrir son avancée. Il semblait que cette fois, ce soit la bande de tarés qui allait s'y coller. Pour l'heure ils apprêtaient leurs armes aussi bien que leurs âmes, répétant inlassablement leurs litanies. Même pour eux, Vantine regrettait déjà ce gâchis inutile. C'est alors que trois formes massives tournèrent l'angle, beuglèrent un défi, couvrant presque le bruit des combats et sans plus attendre chargèrent droit vers la barricade. Toutes en muscles, portant de lourdes plaques de blindage improvisées en boucliers derrières lesquelles elles parvenaient à se protéger, elles prirent rapidement de la vitesse, déjà écumantes aprsè quelques foulées. Rien ne semblait pouvoir les arrêter, aucun tir ne parvenait à les ralentir. Elles entraînaient derrières elles le reste des Compagnons, leur ouvrant la voie jusqu'à la barricade qu'elles finirent par percuter, dispersant les débris sans se soucier d'escalade. Attaquants comme défenseurs marquèrent un temps pour réaliser que l'usine allait enfin tomber, les uns se ruant en avant, les autres se dispersant en toute hâtes pour tenter de reformer des maigres défenses plus loin dans l'installation. La journée n'était finalement pas si mauvaise, réalisa le soldat Vantine en emboîtant le pas à ses camarades.

Avec du retard, bien évidemment... Le soldat Vantine retint un juron en manquant s'étaler après avoir trébucher sur un gravas dans l'obscurité. Les vétérans avaient pourtant radoté toute cette journée de repos que cela cachait quelque chose, il n'avait pas pu s'empêcher de se réjouir de ce répis bienvenu. Mais à peine la nuit tombée, il se retrouvait maintenant embarqué dans une mission nocturne : les unités de reconnaissance avaient pu repérer durant plusieurs nuits des cérémonies hérétiques se tenant juste derrière les premières lignes ennemies, dirigées par plusieurs chefs religieux. L'occasion était trop belle de les supprimer. Il en était encore à se demander pourquoi le sort s'acharnait sur lui, tout en progressant le plus silencieusement possible dans les ruines selon un itinéraire repéré par les scouts, ne distinguant les reliefs du terrains et les camarades de son groupe qu'à la lueur des fusées éclairantes et des incendies ravageant encore certains immeubles. Après un temps qui lui parut beaucoup trop long, il commença à percevoir les cris et les chants provenant de la cérémonie en cours. Ils se rapprochèrent, prenant pour couverts successifs les pans de mur d'un immeuble effondré jusqu'à enfin découvrir leurs adversaires. Vantine les trouva d'emblée beaucoup plus près qu'il ne l'aurait souhaité mais leur position était idéale. Il tenta de se concentrer uniquement sur ses cibles potentielles, essayant autant que possible de faire abstraction du rituel en cours comme on le leur avait dit pendant le briefing. Il savait cependant de quels cauchemars seraient peuplés ces prochains sommeils. Chacun prit sa position et se choisit un cible, parcouru de frissons, les mains moites, les doigts crispés sur son arme, attendant un ordre de tirer qui tardait à venir. Soudain, un cri primal, puissant, roula comme un coup de tonnerre. Une fraction de seconde plus tard, les têtes des chefs menant cette abjecte cérémonie disparurent dans une brume sanglante. Ce fut immédiatement la panique chez les hérétiques et les membres de l'embuscade n'eurent qu'à ajuster une par une leurs victimes qui couraient en tous sens sans aucune cohésion ou discipline. Un vrai stand de tir digne de l'académie. Les tirs, les chargeurs s'enchaînaient, les lasers brûlant les chairs, les armes lourdes disloquant les corps. Au bout de longues minutes, une résistance et même un début de contre-attaque sembla s'organiser. Vantine entendit alors un coup de trompe, profond et grave au milieu de tout ce chaos. L'ordre de repli fut donné et la colonne entreprit de prendre le chemin du retour, disparaissant dans l'obscurité. Ce n'est qu'une fois revenu au camp, affalé sur son mince matelas de couchage, les yeux dans le vide que le soldat Vantine se demanda qui étaient les mystérieux alliés qui les avaient si efficacement épaulés dans cette mission. Depuis des heures, l'offensive piétinait et les officiers supérieurs du centre des opérations commençaient sérieusement à perdre patience. « Qu'ils viennent eux même ! Si ils pensent faire mieux en première ligne, qu'ils se gênent pas surtout » maugréa le soldat Vantine, en se recroquevillant sous son casque. Cette barricade qui bouclait l'accès à une usine d'importance stratégique ne voulait pas tomber. Les rues avoisinantes étaient trop étroites pour les blindés et de toutes les façons, on leur avait interdit l'usage des armes lourdes susceptibles de mettre en péril les installations. Aucune voie de contournant satisfaisante n'avait pour le moment été découverte. Alors les vagues successives de gardes continuaient de venir s'écraser sans succès notable sur ce tas gravas. Quelques ennemis tombaient bien mais au prix de combien de vies impériales ? Les hommes commençaient sérieusement à perdre le moral et les commissaires multipliaient les invectives et les coups. La situation ne semblait pas prête de changer. Le soldat Vantine regarda la vague suivante se préparer au coin de la rue voisine qui ne profiterait comme les précédentes que d'un pauvre tir de couverture et de quelques obus de mortier expédiés en tir directe pour couvrir son avancée. Il semblait que cette fois, ce soit la bande de tarés qui allait s'y coller. Pour l'heure ils apprêtaient leurs armes aussi bien que leurs âmes, répétant inlassablement leurs litanies. Même pour eux, Vantine regrettait déjà ce gâchis inutile. C'est alors que trois formes massives tournèrent l'angle, beuglèrent un défi, couvrant presque le bruit des combats et sans plus attendre chargèrent droit vers la barricade. Toutes en muscles, portant de lourdes plaques de blindage improvisées en boucliers derrières lesquelles elles parvenaient à se protéger, elles prirent rapidement de la vitesse, déjà écumantes aprsè quelques foulées. Rien ne semblait pouvoir les arrêter, aucun tir ne parvenait à les ralentir. Elles entraînaient derrières elles le reste des Compagnons, leur ouvrant la voie jusqu'à la barricade qu'elles finirent par percuter, dispersant les débris sans se soucier d'escalade. Attaquants comme défenseurs marquèrent un temps pour réaliser que l'usine allait enfin tomber, les uns se ruant en avant, les autres se dispersant en toute hâtes pour tenter de reformer des maigres défenses plus loin dans l'installation. La journée n'était finalement pas si mauvaise, réalisa le soldat Vantine en emboîtant le pas à ses camarades. Bilan pas terrible, comme chacun peut le constater. Je ne vais pas m'étaler en excuses, j'essaierai surtout de faire mieux pour la suite !

Allez chose promise, je vous montre quand même la fin du montage des bullgryns que j'ai fini de peaufiner, histoire de clore la session 2 avec un peu de légèreté et de poésie... Depuis des heures, l'offensive piétinait et les officiers supérieurs du centre des opérations commençaient sérieusement à perdre patience. « Qu'ils viennent eux même ! Si ils pensent faire mieux en première ligne, qu'ils se gênent pas surtout » maugréa le soldat Vantine, en se recroquevillant sous son casque. Cette barricade qui bouclait l'accès à une usine d'importance stratégique ne voulait pas tomber. Les rues avoisinantes étaient trop étroites pour les blindés et de toutes les façons, on leur avait interdit l'usage des armes lourdes susceptibles de mettre en péril les installations. Aucune voie de contournant satisfaisante n'avait pour le moment été découverte. Alors les vagues successives de gardes continuaient de venir s'écraser sans succès notable sur ce tas gravas. Quelques ennemis tombaient bien mais au prix de combien de vies impériales ? Les hommes commençaient sérieusement à perdre le moral et les commissaires multipliaient les invectives et les coups. La situation ne semblait pas prête de changer. Le soldat Vantine regarda la vague suivante se préparer au coin de la rue voisine qui ne profiterait comme les précédentes que d'un pauvre tir de couverture et de quelques obus de mortier expédiés en tir directe pour couvrir son avancée. Il semblait que cette fois, ce soit la bande de tarés qui allait s'y coller. Pour l'heure ils apprêtaient leurs armes aussi bien que leurs âmes, répétant inlassablement leurs litanies. Même pour eux, Vantine regrettait déjà ce gâchis inutile. C'est alors que trois formes massives tournèrent l'angle, beuglèrent un défi, couvrant presque le bruit des combats et sans plus attendre chargèrent droit vers la barricade. Toutes en muscles, portant de lourdes plaques de blindage improvisées en boucliers derrières lesquelles elles parvenaient à se protéger, elles prirent rapidement de la vitesse, déjà écumantes aprsè quelques foulées. Rien ne semblait pouvoir les arrêter, aucun tir ne parvenait à les ralentir. Elles entraînaient derrières elles le reste des Compagnons, leur ouvrant la voie jusqu'à la barricade qu'elles finirent par percuter, dispersant les débris sans se soucier d'escalade. Attaquants comme défenseurs marquèrent un temps pour réaliser que l'usine allait enfin tomber, les uns se ruant en avant, les autres se dispersant en toute hâtes pour tenter de reformer des maigres défenses plus loin dans l'installation. La journée n'était finalement pas si mauvaise, réalisa le soldat Vantine en emboîtant le pas à ses camarades. Allez, j'espère revenir bientôt avec un peu de peinture. Vacances la semaine prochaine mais aussi petit séjour à l'hôpital pour ma fille qui doit dire au revoir à ses amygdales casse-pieds... (Bref, c'est pas gagné) J’essaierai aussi de commenter un peu plus vos sujets plein de pépites, promis !

Bonsoir à tous ! Merci tout d'abord pour vos encouragements et vos conseils, que j'ai finalement suivis : plutôt que de bâcler, j'ai mis les figurines de côté pour y revenir plus tard. Histoire de ne pas avoir moi même l'impression de m'être foutu de votre g... durant cette session catastrophique, je peaufine les détails de montage sur les deux autres bullgryns prévus puisque le premier semble vous avoir plu. Ce sera l'objet d'un futur post que j'espère faire cette semaine, en guise de conclusion à cette session. Mais sans plus attendre, voici le début de la suivant, histoire de vous monter que je ne baisse pas les bras : Début de la session 3 : Le soldat Vantine était content : accompagné par trois camarades d'escouade, il avait réussi à échapper à toutes les corvées et à tous les tours de garde pour se rendre au bar clandestin situé près de leur cantonnement, aménagé dans le sous sol d'un immeuble effondré. Bras de dessus, bras dessous, ils se promettaient de nombreux verres ainsi que quelques conquêtes féminines, les poches pleines des crédits de leur dernière solde. En entrant, ils durent tout d'abord laisser leurs yeux s'habituer à la pénombre et à la fumée piquante qui embrumait la salle basse. L'ambiance était bien plus morose que celle attendue, pas de chahut, pas de cris, quelques rares rires vite étouffées. Leur propre enthousiasme fut promptement douché : semblant attendre leurs consommations, trois uniformes de commissaire leur tournaient le dos. Les silhouettes sveltes, élancées de leurs propriétaires ne laissaient aucun doute sur l'identité : les trois sœurs, assignées au « régiment » des Compagnons. Il était pourtant extrêmement rare voire suspect de voir des femmes dans cette fonction mais leur présence au sein de la fraternité avait contribué à la faire accepter sur le théâtre des opérations Elles constituaient un point de repère connu et la garanti d'une certaine discipline pour le haut commandement. Leur réputation de sadisme n'était plus à faire et avait largement dépassé le cadre de leur unité : corvées interminables et épuisantes, exécutions sommaires, châtiments corporels humiliants. Une caricature lugubre du Commissariat. Elles ne semblaient pourtant pas présentes ce soir là pour fermer le bouge et renvoyer chacun à ses devoirs, accompagnés d'un signalement qui ne resterait pas sans conséquence. Elles se contentaient de boire entre elles, en devisant à voix basse, dévisageant les soldats, se délectant de voir chacun baisser la tête et fuir leur regard. Leur silouhette, leur féminité étaient cependant également hypnotiques pour beaucoup de jeunes soldats, leur plastique bien plus avantageuse et pleine de promesse que les filles au physique fatigué et parfois révélateur de certaines maladies indésirables qui circulaient entre les tables. Bientôt, le soldat Vantine et les autres relevèrent la tête de leur verre en entendant une voix avinée retentir : « T'as le cul comme un tonneau, je te dis... » La main du poivrot, un petit barbu à l'hygiène douteuse portant un uniforme de sapeur, s'avançait déjà pour palper le fessier gainé de cuir de la plus proche quand ils le virent soudain décoller et traverser la salle pour retomber lourdement, inconscient et le visage en sang sur une table. Chacun comprit alors que la soirée était terminée. Petit clin d'oeil gratuit dans ce milou @marell le fou dont le petit texte précédent m'avait bien fait rire... Voici donc les trois commissaires de cette session, figurines des Soeurs Kurganova de Raging Heroes que je vais peindre sans conversion, histoire de me remettre plus vite en selle niveau peinture. A bientôt

J'ai parfaitement conscience d'être en sursis et de bénéficier de toute la clémence de la modération. Je vous en remercie grandement d'ailleurs. Voici les photos demandées (désolé, ce sera à l'arrache au téléphone) La peau et la fourrure sont globalement faits, manquent quelques nuances de vert que je voudrais ajouter aux poils Et voici le premier Bullgryn. Désolé, pas de milou pour lui tout de suite, ni de commentaire car il faut que je reparte au boulot. Bonne soirée à tous

Désolé, je n'aurais que du gros WIP qui tâche et abîme la rétine à vous montrer, j'espère avancer un peu cette semaine. Je suis pas mal dégouté par cette session car je sais déjà que je ne pourrais pas faire ce que je voulais avec ces figurines et j'en suis réduit à essayer de faire de la peinture à la chaîne assez insipide. Dégouté aussi car j'aurais vraiment voulu avancer et vous montrer les bullgryns, dont un seul est monté pour le moment. Bref, je vais essayer au moins de finir passablement les ratlings et de repartir du bon pied pour la session suivante.

Bonne année à tous ! D'abord toutes mes excuses pour mon manque d'activité ici et dans vos sujets. L'hiver n'est pas vraiment ma période d'hibernation mais au contraire celle où j'ai le plus de boulot, jour et nuit. La fin d'année bouclée et la nouvelle à peu près sur les rails, ce sera, un peu, plus facile. Tout ça pour dire que je ne lâche rien et surtout pas ce CDA. Je posterai quelques photos de mon avancement avant la fin de la semaine. Et merci à vous pour vos trolls qui font vivre mon sujet...?

Bon Noël à tous! Et félicitations @KeLeSangKoule. Je suis également dans l'attente de numéro 3 pour fin Avril... J'ai comme dans l'idée de ce que sera la session Boum à ce moment là !

Zut, la tuile ! Bon courage à toi et soigne toi bien et prend bien soin de ton oeil surtout !

Merci pour vos retours. Le socle est une base de carte plastique représentant un dallage. Et tu as tout à fait raison, je suis une grosse feignasse pour ce qui est de la jonction avec le socle. En vrai ce n'est pas aussi visible mais on peut faire beaucoup mieux. Je vais essayer de rattraper ça un peu plus tard. C'est un peu le fail du groupe mais j'ai eu beau couper, forcer la rotation, je n'ai pas réussi à faire mieux. Il aurait fallu rescuplter une partie du bras et ce n'est pas de mon niveau. Pareil, au final, c'est aussi celui que je préfère. J'ai pourtant fait une inversion de bras au dernier moment pour lui. Au final, j'ai beaucoup plus tâtonné pour ces conversions que je pensais. J'ai été aussi assez déçu par le manque de variété de poses des Gors (mais c'est logique pour la mise en rang). J'ai du aussi beaucoup charcuter, ne serait-ce que pour enlever des breloques qui pendaient aux ceintures, pour certaines positions à deux mains sur le fusil ou pire, l'intégration de la cape de camouflage. L'idée globale n'est pas de moi, je l'ai pompée sur les pirates de l'espace de @Phenix et cette conversion m'a tout de suite tenté. Je n'ai juste pas retenu les jambes de guerrier de feu car je voulais garder le côté sauvage et le manque de technologie. Le mix de base est donc le suivant : - jambes, bras et tête de Gors - torse et fusils Kroots - bitz : Gors (cor) Catachan (grande lame, une paire de bras, fusil de sniper), Cadien (partie de respirateur sur le devant de la ceinture, cape, grenades), Ork (épaulière pour la partie arrière de la ceinture, grenade, oculaires de visée), [classified] (pour la ceinture) et des trombones pour les fers des poignets. J'écrirai un second Milou pour expliquer ce qu'ils font là sinon @KeLeSangKoule va encore dire que mon armée a succombé au Chaos... Voilà, vous savez tout et puisque vous validez, ce soir, sous couche.