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Thalantir

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Tout ce qui a été posté par Thalantir

  1. justement, y a que la musique d'ambiance et le texte, je parle pas.
  2. Merci messieurs ^^ Tu as bien fait de le sonoriser Miles, c'était un de mes "corona rapports" d'il y a deux semaines ou j'avais pas de voix. Pour tout dire j'y ai pas réfléchi, j'ai tendance a mélanger les termes sans m'en rendre compte. Nan tu rêves pas. A ce jour je suis un peu juste niveau figurines américaines, donc pour mon canon (imprimé en 3D par papa) j'ai pioché dans mes parachutistes restants pour faire les artilleurs; Et dans la boite US paras tu peux outre les têtes d'iroquois leur donner des machettes. xD
  3. Un autre rapport de bataille pour Bolt Action, contre moi même, opposant les allemands aux américains. Le rapport de bataille vidéo est disponible sur ma chaîne Youtube. Si vous préférez le texte pur, continuez ci-dessous. Septembre 1944. Les alliés progressent et les allemands se replient. Des éléments de la 3ème armée US commandé par le lieutenant Shelton sont envoyé prendre le pont stratégique de Mainmorte pour sécuriser le passage de la rivière Gargousse. Mais les allemands n'ont pas dit leur dernier mot : un peloton Waffen SS commandé par le sturmführer Grüber est affectée à la défense du pont. Cette opération d'arrière garde est vitale pour assurer la retraite en bon ordre de l'Axe et Grüber est bien décidé à ne pas laisser les américains s'emparer de l'ouvrage. les colonnes américaines s'avancent le long des routes sud et est. A l'est le camion transportant l'escouade alpha et le sherman au sud, la jeep tractant le 37mm, le halftrack de l'escouade betta, le sniper, l'escouade gamma et le lieutenant Shelton des parachutistes s'avancent à travers le bois. les allemands tiennent le pont Un sniper SS court s'embusquer dans le clocher de l'église. Le camion s'approche du pont. Les allemands réagissent vite. Un escouade de waffen SS embusquée sur la colline nord ouvre le feu et endmmage le véhicule. L'escouade doit débarquer d'urgence sous le feu ennemi. Un half track arrive du sud. Des renforts allemands sont appelés pour défendre le pont. L'unité située dans le Sdkfz sort s'abriter dans un jardin et un panzerfaust fuse vers le M3 américain mais le manque. Une autre escouade remonte la rue nord. Les paras sont accueillis par les tirs du sniper ss. Pendant que le sniper US tente en vain d'éliminer son homologue allemand, le lieutenant Shelton fait installer son 37mm sur une colline au sud. Réveillé en sursaut, le lieutenant Grüber arrive dans son kubelwagen et s'embusque dans une maison. L'observateur Dickinson commande un bombardement aérien de la colline au nord. Pendant ce temps, l’escouade gamma traverse la rivière pour prendre les allemands à revers. Le sergent Carson et son Sherman arrive pour soutenir l'escouade Alpha mais ses tirs échouent à provoquer autre chose que du stress aux allemands sur la colline. Tour 2 Les américains ouvrent le feu sur le Sdkfz et les waffen SS Les soldats allemands se mettent à couvert face aux obus du chars, mais ne subissent pas de pertes car ils sont bien retranchés. l'escouade Beta est sortie de son half-track et a pris position juste à côté du pont. Un tir du 37mm américain en plein dans le clocher, a raison du sniper ss. des renforts allemands arrivent sous la forme d'un Stug III qui ouvre le feu sur le half track ennemi mais le manque. Les paras US se glissent dans les jardins derrière les allemands tandis que le reste de l'infanterie arrive par le sud et sur le pont ! Le combat est violent, mais les américains se sont emparés du pont. Tour 3. Et là c'est le drame : le pilote débutant de l'USAAF confond américains et allemands. Il mitraille l'escouade beta sur le pont qui perd la moitié de ses hommes et il cause aussi la panique chez les autres unités décontenancées Après s'être fait insulté par radio par Dickinson suite à ce fiasco, le pilote, sans doute pour se faire pardonner, fait un demi tour et attaque cette fois le half-track allemand qui est détruit. Le stress gagne à leur tour les troupes allemandes proches. l'escouade gamma en profite pour prendre d'assaut le PC de Grüber. l'officier SS est pris par surprise et abattu. Le STUG riposte rapidement et explose le half track sur l'autre rive. Mais le 37mm américain situé sur la colline sud parvient à le toucher et à le décheniller d'un tir précis. Dickinson descend de sa colline et se refugie derrière une maison en ruine, proche du pont. l'escouade Alpha échange toujours des tirs avec les SS sur la colline nord. paniqué par l'avion et l'explosion du half-track, le sherman fait une marche arrière Sur la colline nord, les waffen SS décident de prendre du temps pour se rallier. Leurs camarades dans les jardins font de même. Et l'escouade SS de renfort qui attendait dans la rue au sud lance l'assaut contre la maison et venge son commandant. Les GIs de l'escouade gamma sont tous massacrés sans pitié à coups de mitraillettes et de mitrailleuses par ces fanatiques, sous les yeux de leurs camarades paras qui venaient d'investir la ruine voisine. Shelton et la compagnie beta ouvrent le feu pour repousser les waffen SS dans le jardin. Un des allemands est tué. Le Canon américain recharge et se prépare à tirer. Le lieutenant rappelle également la compagnie Alpha. Le pont étant désormais tenu, les paras et l'observateur Dickinson se placent en embuscade pour enrayer d’éventuelles contre-attaques. Sur la colline nord les allemands ouvrent le feu sur le pont et la compagnie Beta bien malmenée, abattant un américain. Le sniper manque la LMG allemande dans la maison. L'escouade SS dans la maison tue un autre GI de l'escouade Beta. Les allemands dans le jardin se sont ralliés et ont retrouvé leur instinct combattif. Ils décident de sortir de la défensive pour tenter de déloger les américains. Ils traversent la rivière en mitraillant l'escouade beta. Un panzerfaust prend pour cible le sherman mais le tir échoue. En riposte le canon de 37mm fait feu et un allemand est tué. Tour 5. Les parachutistes se préparent à une sortie des allemands retranchés dans la maison. Les waffen SS de l'autre côté de la rivière sont pris pour cible par les unités proches. Ils sont contraints de se mettre à couvert mais subissent de lourdes pertes. L'escouade de la colline nord vient à leur secours en mitraillant le pont, abattant un GI supplémentaire. Le STUG, toujours immobilisé, se rallie. L'autre escouade allemande tire depuis la maison mais les GIs, à couvert, ne subissent pas de perte supplémentaire. Tour 6 Plutôt que de rester à se faire tirer comme des lapins, les waffen SS du Rottenfüher Hartmann réussisent à surmonter leur stress (5 pins tout de même) et chargent le pont, abattant les deux derniers membres de l'escouade Beta et se posent sur l'ouvrage ! Il esquivent de peu un tir du sniper américain. Dans la foulée, le STUG touche le Sherman et l'immobilise à son tour. La mitrailleuse abat un soldat de l'escouade alpha. le canon antichar 37mm tente de riposter mais son tir est raté. L'escouade alpha lance l'assaut contre les waffen SS épuisés pour reprendre le pont. Contre toute attente, ces fanatiques enragés remportent le combat et tuent tous leurs adversaires ! Sentant que c'est le point de bascule, la seconde escouade SS du rottentführer Krammer sort hors de la maison et se place elle aussi sur le pont. Malgré les tirs d'embuscades des parachutistes et de l'observateur Dickinson, les pertes sont légères et les deux MG42 de l'escouade allemande ripostent, abattant un para. L'escouade sur la colline nord est toujours opérationnelle également. Ses tirs viennent à bout d'un autre parachutiste. Incapable de déloger les allemands du pont, le lieutenant Shelton ordonne le repli.
  4. Très intéressant comme jeu. J'aime beaucoup le concept et le contexte. J'ai pris le livre pour le lire par curiosité. Merci ^^
  5. corrigé. Ouh la tu vas avoir des maux de tête avec moi car c'est plutôt l'inverse ? Merci camarade ! Je suis content que ça t'intéresse. Ma chaîne est un fourre tout il y a un peu de tout, mais dernièrement je suis pas mal sur Bolt Action. En tous les cas j'espère que cela te plaira ?
  6. Ouh la non, je ne suis absolument pas un ayatollah de l'historicité dans les détails, je vais pas aussi loin. Non non, j'ai simplement suivi, sans chercher plus loin cet excellent tuto (Tige de coton-tiges, pique à brochette, allumettes et huile de coude ^^)
  7. Faudrait que j'essaye ça. Mais en partie c'est dur de résister à la perspective de défoncer le c.. d'un char xD Ouais bon, les japonais ont quelques avantages dans ces techniques ?
  8. Exactement, c'est pas mal de psychologie et d'interdiction de zone. Oui les équipes anti-char, je suis convaincu qu'il y a du potentiel sur ces situations, mais à chaque fois je foire le jet ou elles se font descendre. ?
  9. Pour les arbres je les avait acheté ICI dans la section train électrique de Conrad. Y avait promo, j'en ai bien assez du coup. C'était des paquets de 50 alors... Bonne idée, ça va tout de suite donner un sentiment de modernité tu verras. Pas besoin de fil, ça rend bien sans.* En effet avec les HE qui traînent les bâtiments c'est pas toujours un bon plan. En tout cas dans notre groupe, je ne trouve pas du tout que les gens en abusent. Si si, le tigre est déjà sorti deux fois dans mes rapports précédents. La première fois il n'a pas été très rentable. Il a juste sécurisé un point de victoire. Par contre sur la seconde il a bien fait ch... avec sa règle Tiger Fear. J'ai pas l'impression que les chars lourds soit le must de la rentabilité cependant. Mais je suppose que bien utilisé ça peut être une plaie car en pratique sans antichar approprié je vois pas comment gérer un gros truc comme ça sans le laisser simplement vivre sa vie sur la table et éviter de le feeder. Hélas je galère aussi avec les arbres en individuels. J'avais acheté des arbres en plastique souple prépeints dans feu une boutique de jdr à Colmar y a de ça 18 ans (pour battle à l'époque, le bon temps) et ils sont top pour l'individuel. Je les mets généralement sur un socle représentant les bordures de la forêt. Après ça rend pas ultra réaliste mais pour du KoW ou déquivalent c'est pratique. Par contre les Noch, ceux là j'ai dû faire le socle moi même et les résultats étaient assez mitigés : soit ça tombe, soit ça rend pas bien esthétiquement. Bref, j'ai pris le parti de tricher. J'ai fait des socles de plusieurs arbres collés et floqués que je pose sur des plus gros socles représentant les limites de forêts (y en a des petits et d'autres plus gros où on peut mettre plusieurs "groupes d'arbres". S'il faut rentrer des unités et que c'est casse pied, on enlève le groupe d'arbres et on pose directement les figs sur le socles de limites. Avantage : au moins ça tombe pas et c'est joli. De plus on a clairement les limites de la forêts dans les deux cas, pas de contestation) Inconvénient, quand le(des) groupes d'arbres sont enlevés c'est moche car du coup tout ou partie de la forêt disparait. Du coup, astuce de raccroc je replace mes arbres en plastique souple dans les endroits vides du socle pour simuler un peu la partie de forêt ^^.
  10. Dame chance, l'avais à la bonne : 1 sur les dés ^^ En fait lors de mes phases "modélisme" j'essaye souvent d'enrichir la table mais ça ne me parait jamais assez bien (mon modèle c'était la table de Custodes, mais j'arrive pas à avoir les même rendu avec ma grande table modulable - celle de la bataille de Gelato). Quand j'ai commencé l'historique, notamment avec mes grands formats Black Powder, je trouvais mes tables trop génériques, pas assez riches, j'ai donc notamment mis l'accent sur les petits éléments : poteaux, haies, murets, panneaux, buissons etc...). Pour Bolt, j'ai crée les bocages en suivant un tuto sur le net. Du coup, je me suis rendu compte que c'était de l'ordre du détail mais que ça ajoutait à l'immersion. idem pour les poteaux téléphoniques ou les maisons en papier avec les pub. C'est pas grand chose mais en vrai ça change tout. Tu les enlèves c'est une table qui pourrait être utilisée à Battle/Kow, tu les met et là c'est indéniablement une table WWII Initialement, j'avais pas d'idée de s'il fallait charger ou pas la table mais au début, avec peu de couverts c'était la fête des blindés donc on a eu tendance à mettre plein de décors. C'est certes plus compliqué de faire des pertes mais ça donne un côté micro-gestion du terrain qui fait que parfois on est comme dans un épisode de band of Brothers et je pense que c'est ce qu'on cherche quand on joue à ce jeu. Du reste, par convention avec les camarades et pour compenser, on joue les bocages en couvert léger (et non lourd) et les éléments isolés sont ignorés et considérés comme décoratifs. Avec quelques ajustements on peu donc avoir une belle table et une table jouable. Autrement elle a rien de spéciale. C'est un mat "recto/verso" forêt/désert de chez philibert avec pleins de décors dessus. J'ai pas de place chez moi pour des tables à thème fixes, donc je ne fais que du modulable.
  11. Techniquement juste 3 fois. Mais dans un combat réel sans doute plus ! ? Pour la petite histoire c'était le scénario "encerclés". Chaque unité ennemie détruite valait 1 point de victoire. A la fin du tour 6, les allemands gagnaient 6-4. Je tire le dé et j'obtiens un tour 7 (déjà du bol pour les british), là je tente les charges tous azimut qui permettent au paras de revenir à 6 - 6. Pour les allemands qui se situaient principalement au sud-est, il fallait détruire deux unités pour gagner (il faut 2pts d'écart sinon c'est égalité). Cavendish c'était techniquement le plus facile à atteindre. Eh ben il a tout esquivé ce con...
  12. Isolé pour cause de Covid, je me suis amusé à faire une partie en solo, qui fut très fun et dont j'ai décidé de faire un rapport. Pour le coup, ce sera un rapport plus narratif et sans ma voix (qui est un peu erraillée à l'heure actuelle), uniquement du texte. Le rapport vidéo est disponible sur ma chaîne Youtube. Si vous préférez le texte pur continuez ci-dessous. Un peu de background : Le lieutenant Cavendish de la 6th british airborne a été parachuté avec son unité en arrière des lignes ennemies. Leur mission consiste à tenir la localité d'Espraignant contre toute attaque ennemie en attendant les renforts. Le larguage ne s'est pas passé comme prévu et le peloton a été dispersé dans la nuit à travers le bocage. Au petit matin, Cavendish s'aperçoit qu'il est encore loin d'Espraignant. Mais les bruits de combats lui font dire que certains de ses gars sont déjà là bas et aux prises avec l'ennemi. Il fallait faire vite. *** Dès qu'il a été averti de la présence de parachutistes alliés à Espraignant sur ses arrières, le lieutenant Kreyder du 901ème régiment de Panzergrenadiers et son peloton ont été envoyés pour les déloger. Il dispose de l'assistance d'éléments de la 12ème division SS mais ne sais absolument pas quand ni où ces derniers allaient arriver. En attendant, il bénéficie du soutien bienvenu d'un Stug III de la Panzer Lehr. Les allemands approchent du pont . Tout semble calme. Les mortiers sont installés et le stug traverse le pont. Pas de signe des anglais. Le silence est soudain brisé par un tir venant de leur droite. Aux jumelles, le lieutenant Kreyder constate qu'il s'agit d'un sniper SS et qu'il semble avoir abattu une cible dans un jardin. Cela confirme que les anglais les attendent. Un autre tir lui répond venant du clocher. Un sniper allié semble avoir répondu au premier. Mais il a manqué sa cible. Les hommes du caporal Wilkins se préparent à l'attaque. le sniper Collins les a averti de l'arrivée d'une forte troupe allemande. Les allemands aussi ont un sniper, il vient de descendre leur équipe PIAT. Retranché dans une ruine, les anglais voient soudain arriver sur leurs arrière des waffen SS. Un échange de tirs furieux s'ensuit. La seconde escouade du caporal Lindon voit débarquer un half track dont débarquent des SS, la fusillade s'engage mais les anglais, plus nombreux, finissent par avoir raison des allemands. D'autant qu'une troisième escouade, celle du caporal Cole qui a été parachutée plus à au sud surgit du coin d'une maison pour prendre les ss en enfilade. Le stug ouvre le feu sur l'escouade de Wilkins qui se trouve en mauvaise posture. le reste de l'infanterie allemande avance. Les hommes de Wilkings sont à couvert et pris pour cible de partout. Leur observateur d'artillerie n'a pas le temps de commander une frappe qu'il meurt une balle dans la tête. Le sniper allemand est en forme. Le lieutenant Cavendish surgit sur la route est avec sa jeep et rassemble ses hommes pour porter secours à ses gars dans le village. Au passage, ils débusquent le sniper SS et le tue. Au sud-est les combats font rage et tournent à l'avantage des hommes de Cole et de Lindon. L'escouade SS est liquidée et leur half-track détruit à coups de grenades. Cavendish prend un risque. Il fonce le long de la route passe le croisement au nez et à la barbe du Stug et dévale la rue vers le sud pour rejoindre ses hommes. Mais il ignore que les SS ne sont pas loin. Le Stug expédie un obus et des tirs de mitrailleuse contre la seconde équipe PIAT qui meurt également. Les anglais n'ont plus d'antichar à l'exception de leur 6pdr à l'ouest qui n'arrive pas à toucher le char ennemi. La vickers qui a perdu 1 servant à cause des SS et des tirs des panzergrenadiers du pont s'est mise à couvert. Le mortier allemand manque de peu l'escouade Wilkins qui est en mauvaise posture dans sa ruine. L'untersturmführer Forel ordonne à ses hommes de liquider cette jeep. Ce qu'ils font à coup de grenades. Cavendish parvient à s'extraire indemne de la carcasse en flammes mais son garde du corps est mort. N'y tenant plus, les hommes de Wilkins surmontent leur stress et profitent de la diversion involontaire de leur officier pour se réfugier dans une maison de l'autre côté de la route. Malheureusement pour eux, le Stug descend la rue et tire sur leur immeuble. L'obus est particulièrement précis et meurtrier. La moitié de l'escouade y passe et le reste panique, sort de la maison et se fait cueillir par les allemands qui les abattent. Peu en veine jusqu'à présent le sniper Collins parvient à éliminer la MG42 de l'escouade allemande du pont. L'escouade du caporal Martin s'avance en tirant sur les panzergrenadiers qui se mettent à couvert. Les paras de Cole ouvrent le feu sur les waffen SS au sud, et en abattent deux, mais les fanatiques ne flanchent pas. Les hommes de Lindon s'avancent face au lieutenant Kreyder, abrité derrière une barrière et ne parviennent pas non plus à le tuer, seul son garde du corps succombe.. Dans la foulée, la seconde salve au sud manque les waffen ss qui se mettent à couvert à temps. L'escouade de Lindon se rapproche mais leurs tirs échoue liquider Kreyder qui s'est couché à temps derrière sa clôture. L'escouade de Martin avance vers le pont en tirant, les allemands restent abrités en panique. Depuis son clocher, Collins parvient à tuer l'untersturmführer Forel Mais la situation devient tendue au sud-est : Kreyder avec sang froid épaule son fusil et abat un para puis son escouade sort de la maison pour tirer à bout portant sur les anglais, aidé par le stug qui défonce la haie et mitraille à tout va. L'escouade Lindon est décimée. A ce moment, les pertes sont sévères des deux côtés mais les paras ont subis plus de pertes. Ils sont séparés de leurs camarades de l'ouest par les allemands et réduits à la défensive. Cavendish ordonne alors l'assaut contre les waffen SS. Lui même tente d'abattre Kreyder mais échoue. Les hommes de Cole chargent les waffen SS et un combat terrible s'ensuit. Les Stens s'avèrent utiles car c'est une vrai boucherie. Seul Cole s'en sort vivant et se cache derrière la maison. Les hommes de Martin tentent aussi leur chance en prenant d'assaut le pont mais ils sont plus chanceux, ils ne font qu'une bouchée de leurs adversaires paniqués. Kreyder et ses hommes ont repéré Cavendish.et ouvrent le feu sur lui. le lieutenant anglais parvient à s'en sortir en se cachant derrière le mur d'une maison. Le 6 pdr, le mortier et le sniper n'ont plus de cibles en vue. Reste le Stug qui défonce une barrière et tire à bout portant sur Cavendish... Qui s'en sort miraculeusement. Les deux camps ayant subit de lourdes pertes, décident de se replier , le combat a été meurtrier mais indécis.
  13. Eh bien tu t'es tapé un bon délire. Tu as joué avec des unités d'une figurines ? Je kiffe ? Maintenant on sait que c'est de famille Ce fut un combat acharné on dirait, mais je soupçonne à leur faciès rougeau que les hommes de l'IVG ont déjà bien tapé dans le stock du camion. Ce qui explique sans doute leurs performances.
  14. Merci ^^ En même temps quand on fait que des 6... Et pis il voulait venger ses amis. J'avoue. Et la figurine du camarade Hervé aide bien a en rajouter de ce côté.
  15. La suite des pérégrinations de notre dernier samedi. Si vous vous souvenez nous avions fait un Pike & Shotte l'après midi avec les camarades Hervé et Nicolas. Eh bien le soir nous avons enchaîné par un Bolt Action : Allemands vs Anglais et Américains avec les listes Normandie 1944 et 1000pts de chaque côté. Le rapport de bataille vidéo est disponible sur ma chaîne Youtube. Pour ceux qui préfèrent le texte, continuez ci-dessous. Nous avons tiré le scénario Démolition. Chaque camp doit placer sa base dans sa zone de déploiement. La base Allemande est située à l’ouest derrière une colline (le campement). Celle des alliés est à l’est (le radar) Le premier camp qui parvient à la fin d’un tour à prendre le contrôle de la base adverse (tout en conservant celui de la sienne) remporte la victoire. Hervé n'a mis aucune troupe en réserve. Pour ma part, j'ai conservé une escouade d'infanterie et mon Cromwell en réserve. 25 juin 1944, Normandie. L'untersturmführer Rheinhard a reçu l'ordre de lancer une contre-attaque autour du village de Gromanche afin de détruire la station radar alliée qui s'y trouve. Ce qu'il ignore, c'est qu'au même moment les lieutenants Davis et Robins des armées américaine et anglaise ont eu reçu l'ordre de sécuriser cette dernière en prenant le contrôle du camp des allemands derrière la colline de Tournesac. Peu avant l'aube, les rangers américains se sont avancés au plus près de la colline. Les deux camps se préparent à un assaut sans merci. Avec leur mouvement d’avant-garde, les rangers investissent une ruine à l’ouest. Les allemands sont retranchés sur la colline. La MG42 ouvre le feu sans trop de succès. Le lieutenant Davis amène ses troupes au pont Mais A l'Est les Waffen SS sont en embuscade le long de la route. Un mortier et une équipe de sniper se préparent à appuyer l’attaque. Rheinardt et un nombre important de SS sont derrière le petit bois. Ils ont bien l'intention de s'emparer de la station radar, défendue par une équipe de MMG et les observateurs aériens Billy et Jimmy Joël Le canon PAK40 révèle sa présence par un tir explosif qui tue deux GI. En réponse, l’observateur d’artillerie Gilson commande un bombardement de la colline. Comme d’habitude, cela mettra du temps à venir… Les rangers sont pris pour cible par le Panzer IV et la MG42. Heureusement les murs de leur abri résistent. Pour le moment. Les bleus qui manœuvrent la MMG parviennent à couvrir leurs camarades. Leurs tirs, couplés à ceux des rangers sont étonnamment précis et tous les servants de la MG42 sont tués sauf un, en sang, qui continue fanatiquement de tirer. Le lieutenant britannique Robins, ordonne à l'escouade du caporal Jenkins de se placer derrière la haie qui longe la route pour arrêter l'avance des SS qui viennent d'être repérés. En effet, les hommes de Rheinardt sortent de la forêt sous les tirs de la mitrailleuses américaine. Mais les deux MG42 de l'escouade allemande font rapidement taire leur vis à vis. Seul les frères Joël défendent la station radar. Il faut du renfort et vite ! Sur la colline les allemands s'agitent. Une escouade de la HEER s'avance à travers bois. Le panzer IV continue de faire feu sur les rangers mais ces derniers parviennent à s'abriter. N'ayant pas vu les SS, Billy et Jimmy commandent un assaut aérien contre le mortier allemand. Ce n'est que lorsqu'un char anglais cromwell déboule, s'arrête à leur hauteur et tire qu'ils comprennent que l'ennemi doit être proche. "Vite Billy, passe moi le fusil !" Les tirs du cromwell tuent deux allemands, pas de quoi stopper les troupes de Rheinardt. Les rangers sont en bien mauvaise posture : bien loin de pouvoir prendre le poste de commandement des allemands, ils sont désormais, en plus de la MG42 et du Panzer IV, pris pour cible par des fantassins depuis la colline boisée de Tournesac. Le lieutenant Davis arrive à la rivière avec l'escouade A et ouvre le feu sur le canon, dont les servants se mettent à l’abri derrière leur bouclier. Le stress généré suffira à les faire rater leur tir suivant. Derrière l'escouade A, une escouade britannique fait son apparition et sort du cimetière. Les Tommies sont cueillis à froid quand leur mitrailleuse est la cible d'un sniper allemand. Ce dernier est caché quelque part dans le village. L'aviation US arrive et mitraille le mortier allemand. Il y a cependant un servant survivant, mais le stress va le réduire au silence un moment. Dans la foulée, les hommes du caporal Bishop tirent à nouveau sur le pak40 et finissent pas tuer tous les servants. Pendant ce temps l'observateur d'artillerie Gilson et son comparse, après avoir commandé le bombardement de la colline, traversent en trombe la rue pour se mettre à l'abri devant une boutique. Ils ont vu où se cachait le sniper ennemi et sont bien décidés à aller le débusquer ! Derrière eux, les hommes de Jenkins qui étaient en embuscade ouvrent le feu sur les waffen SS au moment où ils sortent du bois mais ces derniers sont loin et les tirs sont peu efficaces. L'escouade anglaise, poussée par le lieutenant Robins, traverse le pont pour aller aider les rangers américains et tirer sur les allemands. Les soldats de la HEER accusent des pertes. Le Cromwell tente de ralentir l'avance des SS mais malgré ses tirs frénétiques, il y en a trop. Gilson donne l'assaut sur l'immeuble abritant le sniper, mais ce dernier les a bien vu venir. Il abat le garde du corps de l'observateur dans la rue avant d'accueillir ce dernier à coup de Luger. Après une brève fusillade dans la maison, l'observateur d'artillerie britannique s'effondre sans vie. Point de situation. Alors que Gilson pousse son dernier soupir, il a tout de même la (maigre) satisfaction d'entendre les premières explosions du bombardement qu'il a demandé. Ce dernier tombe à point nommé puisqu'il désorganise complètement les allemands en causant un stress intense à toutes les unités du secteur. D’ailleurs un obus de gros calibre tombe en plein dans l'escouade de la HEER causant la mort de 4 soldats. D'une rafale bien vénèr', le Cromwell vient à bout de la petite escouade de SS. Mais la grosse est toujours là et menace de prendre le radar. Billy et Jimmy commandent en urgence un bombardement sur cette dernière. L'escouade de Jenkins a quitté son abri en catastrophe et traversé le champ pour tenter d'arrêter les hommes de Rheinardt. Quand l'un d'entre eux s'effondre, une balle dans la tête. Ce foutu Sniper allemand s'était repositionné et leur mettait la pression. On ne l'a plus entendu depuis un moment mais finalement, le survivant du mortier allemand se rappelle au bon souvenir des américains. Un obus d'une précision chirurgicale traverse le plancher moisi de la ruine où les rangers sont abrités et explose en plein milieu de l'escouade, tuant tout le monde ! Rheinardt ordonne à ses hommes de faire un détour pour mitrailler les anglais qui se piquent de leur barrer le passage. Dans la fusillade Jenkins perd la moitié de son escouade. Mais ses gars tiennent bon et ne paniquent pas. Pendant ce temps à l'ouest la fumée du bombardement se dissipe et la seconde escouade britannique en profite pour monter à l'assaut des soldats de la Wehrmacht. Au terme d'un bref corps à corps, les allemands sont massacrés et les anglais entrent dans les bois. La route du Poste de Commandement allemand est ouverte. Sergent Gilson, votre bombardement a débloqué la situation ! Le stress du bombardement a obligé le Panzer IV à se rallier et a fait échouer le tir de la MG42. Du coup le lieutenant Davis entraîne également ses hommes à l'assaut de la colline. Une fois au sommet ils abattent le dernier servant de mitrailleuse allemand. Au grand soulagement de Billy et Jimmy, un nouvel avion fait son apparition et bombarde les SS qui se mettent à couvert. Ils perdent eux aussi la moitié de l'escouade. Mais la présence de leur inflexible commandant les maintient opérationnels. D'autant que le Cromwell ne parvient pas à les ajuster dans cette situation. Les hommes de Davis foncent prendre possession du campement allemand. Le Panzer IV tente bien de les abattre mais ils sont trop nombreux. Le fou au mortier refait mouche, cette fois dans le pack anglais sur la colline de Tournesac... et les tue tous, aussi. Sitôt les tirs du Cromwel effectués, l'Untersturmführer Rheinhardt ordonne à ses hommes de foncer tandis qu'il les couvre. Les SS fournissent un dernier effort et investissent la station radar et la font exploser à la grenade. Pendant ce temps, les hommes de Jenkins, trop stressés pour intervenir voient sortir de la forêt un allemand en uniforme noir bien énervé qui les mitraille sans pitié. Ils perdent un soldat supplémentaire sans parvenir à venir à bout de l'officier ennemi. Deux explosions se répondirent l'une à l'autre. Tandis qu'il repliait avec ses hommes, l'officier SS constata que son PC était détruit. De la même façon, le lieutenant Davis vit que la station radar était en flammes. Les deux camps avaient échoué et se replièrent plus en arrière de leurs lignes respectives. Un grand merci comme toujours à Nicolas et Hervé pour leur participation à cette excellente partie.
  16. Salut. En fait pour le coup il n'y a pas de contexte c'est une bataille totalement fictive. On a simplement utilisé le système de points donné dans le bouquin et on a monté les listes le jour même à l'ancienne. C'est vrai que j'aurais pu inventer un petit truc comme la dernière fois, mais j'ai pas eu d'inspiration.
  17. Ce samedi nous avons organisé deux multijoueurs avec les camarades Hervé et Nicolas. J'ai essayé d'ajouter un quatrième larron mais n'ai pas réussi, donc on a fait avec notre nombre impair. L'après midi c'était Pike & Shotte et le soir Bolt Action (qui fera l'objet d'un second rapport). Nous avons fait comme l'autre fois avec Nicolas, c'est à dire qu'on a monter les listes sur le moment à 600pts cette fois. Nous les avons pioché dans le supplément Devil's Playground. Nicolas a souhaité joué les Danois de Christian IV. Du coup Hervé et moi nous faisions deux contingents pour le parti catholique dans la période correspondante. Hervé jouera un contingent espagnol réparti en 2 battalias, tandis que je ferait un contingent bavarois de la Ligue Catholique. La version vidéo est disponible ici sur ma chaîne Youtube, si vous préférez le texte, continuez ci-dessous. Au matin, les armées de la Ligue Catholique et du Royaume d'Espagne affrontent les Danois près de Gänzebrücken. Derrière la colline à l'ouest, le contingent danois. En face d'eux, défendant un des ponts du village, l'infanterie espagnole. Au centre, face à Gänzebrücken, les alliés protestants allemands. En face d'eux, de l'autre côté de Gänzebrücken, le Tercio bavarois près à en découdre. A l'est des mousquetaires et des levées paysannes motivées appuyées par des dragons danois. En face, les catholique alignent leur cavalerie ainsi que deux pièces d'artillerie. Le tercio bavarois avance comme un seul homme avec la cavalerie espagnole. Les troupes d'assaut bavaroises investissent Gänzebrücken. Les premiers tirs catholiques font peu de dégâts. ... mais parviennent à désorganiser un régiment de piquiers allemands. Les danois sont pris au dépourvus et ne parviennent pas à se mettre en ordre de marche. Le second régiment de piquiers allemands décide de charger les mousquetaires bavarois. Mais non seulement ces derniers se défendent bien, mais en plus le nombre conséquent de soutiens dont ils disposent leur accorde la victoire. Les protestants refusent cependant de céder. Durant tout cette partie, ces gars là n'auront pas un étendard de lion pour rien ! Mousquetaires et troupes d'assaut n'ayant pas reçu l'ordre de mouvement à ce moment, tirent sur les troupes d'assaut bavaroises embusquées dans Gänzebrücken. le mortier catholique fait mouche sur les cuirassiers danois qui subissent leurs premières pertes. Toujours incroyablement réactifs, les soldats catholiques passent le pont pour bloquer l'accès du village. Alors qu'ils s'y pensaient à l'abris les troupes d'assaut bavaroises subissent un feu nourri et dévastateurs des tireurs protestants et de l'artillerie lourde. Les pertes sont telles que les bavarois déroutent et s'enfuient ! Point de situation à l'Est. Les levées paysannes sont embusquées dans la forêt Points de situation à l'Ouest La chaine de commandement catholique étant toujours d'une redoutable efficacité (Hervé comme moi, ne cessons d'obtenir "3 mouvements" sur nos ordres) les cuirassiers espagnols fondent sur les dragons protestant pris au dépourvus et les déroutent sans pitié.. Les arquebusiers à cheval espagnols tournent le flanc protestant et tirent sur les mousquetaires allemands, sans trop de résultats. L'artillerie catholique fait feu à son tour et parvient à peine à infliger une perte au canon ennemi. Résultats excellents en manoeuvre... médiocres en tir. En revanche, un des régiment de piquiers bavarois parvient à prendre le flanc des piquiers protestants au lion du Palatinat. Les espagnols se retranchent derrière un talus, attendant les danois de pied ferme. Les bavarois toujours bien soutenus et en supériorité remportent le combat. les palatins ébranlés et désorganisés reculent mais ne paniquent pas. La riposte protestante ne se fait pas attendre. Les levées paysannes, avec leurs pétoires et leurs armes de jet font feu sur les arquebusiers montés espagnols qui accusent le coup. En revanche les mousquetaires et les troupes d'assaut protestants ne bougent pas, se privant ainsi de l'occasion d'entrer dans Gänzebrücken. Toujours dans la plus totale confusion, les fantassins danois ne bougent pas. Les cavaliers, incapables de briser seul la battalia espagnole décident de contourner par la colline. Les combat font rage au centre. L'une des unités de mousquetaires bavarois est ébranlée par les tirs de l'artillerie et des mousquets protestants. Et ce déluge de tirs a une conséquence funeste sur le moral. Alors que les piquiers bavarois sont aux prises avec les palatins et que la victoire est proche. Le général en chef tente de rallier les mousquetaires mercenaires bavarois et échoue. Paniqués par les tirs, les hommes se rappellent ne pas avoir été correctement payés et décident de se retirer du combat ! La règle "mercenaire" vient de faire une victime... Alors que les mousquetaires reculent sous les vociférations du général qui les traite de lâches, les autres piquiers bavarois ne parviennent pas à atteindre les mousquetaires ennemis. L'artillerie n'obtient guère de résultat non plus. Pire encore, les mousquetaires du flanc est passent tirailleurs et chargent la milice paysanne dans la forêt... et échoue à battre ces bouseux sous équipés et sous-entraînés ! Profitant des hésitations de leurs ennemis, les épéistes espagnols investissent Gänzebrücken. Les espagnols à l'ouest voient que les fantassins ennemis font du sur place. Ils sont cependant inquiets d'être débordés et se replacent face à la colline. Retour à l'Est : les arquebusiers montés passent en tirailleur et chargent la seconde levée paysanne dans la forêt....et échoue aussi ! Ces paysans enragés se battent comme des beaux diables alors qu'ils sont déjà tous ebranlés en plus, c'est incroyable ! LA SUITE ICI
  18. Merci beaucoup ^^ Effectivement, je le fais autant que possible le texte + vidéos, mais parfois je manque de temps ou de motivation ? Content que ça plaise
  19. Rapport de la dernière partie entre mes Tengus et le Culte de Yurei dirigé par Nicolas.
  20. Ce samedi, grand événement : un multijoueur Bolt Action avec 7 participants. Sylvain1, Jean-Charles, Nicolas et votre serviteur, à la tête des troupes alliés tentent d'envahir l'Italie. Hervé, Sylvain2 et Jérémie, commandants les forces de l'Axe tentent de nous en empêcher. Pour ce qui est des listes, elles sont à plus ou moins 2750 points la version vidéo est disponible sur ma chaîne Youtube. POur ceux qui préfèrent le texte, continuez ci-dessous. Côté AXE : Côté ALLIES Le scénario tiré est "position clés". 6 positions sont désignées. A la fin de la partie le camp en contrôlant le plus, remporte la victoire. Les positions sont les suivantes : Quelque part en Italie près du village de Gelato... Un pont stratégique contrôle une route vitale. D'infâmes SS de l'Ahnenerbe mènent un rituel occulte pour invoquer d'indicibles entités. Une passerelle à vaches est le seul autre point de passage... Gelato est le carrefour convoité par les deux camps. A l'ouest, un dépôt de carburant et de munitions, abandonné dans un champ, revêt une importance extrême. L'église de San Risotto, située sur le point le plus haut de la région, est un promontoire idéal. Les anglais de la 8ème armée investissent Gelato tandis que leurs parachutistes grimpent la colline menant à l'église; Un char italien arrive au carrefour du village de Broccoli Billy et Jimmy, les observateurs aériens, se posent sur un toit; Une forte colonne ennemie conduite par des Waffen SS s'avance vers l'église; Ainsi qu'un Panzer IV qui, d'un tir terriblement précis, détruit l'équipe de snipers parachutistes anglais du premier coup (Argh !) Toujours plus de troupes allemandes arrivent. L'infanterie britannique sort de Gelato. Au centre, américains et anglais installent leur artillerie. Le char italien descend la route en arrosant la maison des observateurs aériens US, sans résultat. Mais les artilleurs alliés ne sont pas plus précis. Le peloton de la Luftwaffe foncepour protéger le rituel. Sur la colline derrière eux, un observateur aérien et un observateur de mortier scrutent les positions alliées. Les obus pleuvent sur Gelato mais pour le moment, plus de peur que de mal. Bobby et Jimmy subissent eux aussi un déluge de tirs en tout genre mais ils tiennent bon et parviennent à appeler un bombardement aérien... qui se fera désirer. Dans les ruines, le rituel commence et les deux camps s'approchent. Les rangers américains sont les premiers sur les lieux. Les renforts britanniques arrivent depuis le sud : une escouade de parachutistes ainsi qu'un Sherman, qui avance jusqu'au croisement mais manque le char italien. Les allemands entament la montée vers l'église de San Risotto. L'artillerie allemande de la luftwaffe sous le feu ennemi, parvient à riposter, mais sans réussite. L'imposant Tigre longe la rivière jusqu'au pont de Gelato, suivi d'un camion rempli de deux escouades italiennes Dans le village c'est l'effervescence. Où sont les renforts ?! Y a un foutu Tigre ! Les rangers et les fantassins de la luftwaffe échangent des coups de feu près de la zone du rituel. Pas de quoi déranger les célébrants visiblement. Le Sherman recharge et parvient à détruire le M15 italien. le lieutenant Wilkinson abat deux allemands tandis que son escouade investit San Risotto ! Ah... On dirait que le rituel se passe bien... les renforts de la deuxième division blindées US font leur entrée. Sur les pentes de San Risotto, ils font feu sur les allemands en approche. "T'inquiète pas Billy. Tu rentreras dans le Wisconsin, je te le promets." Mal positionnée, l'artillerie britannique manque la tankette italienne L6 qui longe furtivement la rivière. le Tigre avance sur le pont et fait feu sur le Sherman au centre, sans succès, il abat aussi deux anglais avec sa mitrailleuse. La Vickers arrose l'observateur de la Luftwaffe tuant son garde du corps. Le jeune officier, se recroqueville en position fœtale et refusera de faire quoi que ce soit pendant deux tours. Il est cependant sauvé par le sniper allemand qui fait taire la vickers. Surgissant de la route, des éléments avancés de la 7ème division d'infanterie US arrivent. Les soldats sautent du half track qui se place derrière le Tigre et mitraillent le camion Italien qui prend feu !!! Merguez Party en vue ! Alors qu'ils tentent de se repositionner face au renforts, l'escouade de la HEER est étrillée par les tirs des parachutistes britanniques en embuscade dans l'église. Des tirs nourris sont échangés de part et d'autre autour de l'église. Au milieu de ce furieux combat la seule chose qui se distribue aussi bien que les balles sont les marqueurs de stress ! Des renforts allemands arrivent. Le Lieutenant Robins de la 2ème blindée US arrive quant à lui au centre et se gare derrière le Sherman. Profitant que le Panzer IV est occupé, la seconde escouade de parachutistes britannique court vers la forêt et le dépôt de carburant. Go ! Go ! Go ! Un obus de mortier finit par détruire l'artillerie de la Luftwaffe. A ce moment un P47 Thunderbolt fait son apparition et largue une bombe sur l'escouade de Waffen SS, tuant la moitié d'entre eux et causant l'effroi tout autour ! Tout en continuant de mitrailler les anglais devant, le Tigre pivote sa tourelle et explose le half-track. A côté, Les italiens tentent de débarquer mais, intoxiqués par les fumées et pris pour cible par les américains, ils se jettent à terre. A l'Ouest Les américains prennent peu à peu l'ascendant. Le Sherman avance vers le panzer IV et tente de le détruire de flanc, mais le tir est raté. Le Panzer IV touche en riposte mais son obus ne perce pas. Situation à l'Ouest Situation à l'Est Alors que le rituel démoniaque se poursuit. Les rangers pris pour cible par les soldats de la Luftwaffe et les snipers ennemis, sont démoralisés et refusent de sortir de leur abri. Le sergent d'artillerie Rhodes ne comprend pas pourquoi le bombardement qu'il a commandé sur Broccoli n'est toujours pas effectué. La jeep du lieutenant Robins se gare derrière le Sherman tandis que ce dernier continue à pied. L'escouade Beta qui a contourné les lignes ennemies, déboule à l'Ouest et ouvre le feu sur les allemands médusés. Mais ils sont à leur tour pris sous les tirs croisés de l'Untersturmführer Grüber qui apparait à la périphérie de leur champ. Pour ajouter à la confusion. Le barrage d'artillerie arrive (tardivement) et cause encore plus de stress dans les lignes allemandes. Les waffen SS se retournent et font un carton sur l'escouade Beta qui est anéantie. Sur la colline, leurs camarades continuent de mitrailler les allemands avec assez peu de succès. Un obus de mortier atterrit en plein dans une escouade britannique, tuant la moitié de l'effectif. Mais les hommes tiennent bon. L'autre escouade subit les tirs du L6 italien, bien planqué dans les bois en face d'eux. Enragé, le half-track de l'escouade Beta mitraille les SS devant lui en tuant 3. Le reste panique et s'enfuit. Tally-Ho ! Les parachutistes anglais prennent d'assaut le dépôt de carburant défendu par le lieutenant italien et son aide. Les malheureux sont mitraillés et les paras prennent le contrôle de l'objectif. L'oberleutnant Kruger tente de se rendre sur place pour repousser les britanniques mais en chemin il est pris pour cible par les paras situés dans l'église qui abattent son garde du corps. L'officier est cependant trop enragé pour s'enfuir. Les britanniques de Gelato prennent les soldats de la Luftwaffe pour cible. L'escouade alpha de la 2ème blindée subit à son tour de lourdes pertes. Incapables de tirer sur la tankette italienne L6 en embuscade au centre, les artilleurs alliés poussent leur pièce pour faire face au Tigre. La mitrailleuse US se positionne en embuscade. L'équipe PIAT tire un projectile sur la L6, sans succès. Cette dernière ne touche pas davantage heureusement. Un autre obus de mortier siffle sur Gelato, heureusement sans gravité. Le Sniper allemand, liquide une la seconde Vickers britannique. Le lieutenant Robins et son garde du corps s'avance vers la passerelle à vaches et surprennent le lieutenant Mahler de la Luftwaffe et l'abattent. Objectif sous contrôle. Un second Thunderbolt arrive et dans la panique, il manque d'être abattu par son propre half-track. Perturbé il manque le Panzer IV qui prend un petit coup de stress, ainsi que tous les allemands au alentours. L'avion américain parti quasi bredouille, c'est au tour d'un Stuka allemand d'apparaitre. En effet l'observateur aérien de la Luftwaffe, a surmonté son stress immense pour enfin commander une frappe. L'avion, dirigé lui visiblement par un redoutable pilote, prend pour cible les parachutistes britanniques qui tiennent le dépôt de munition. Pris par surprise, les anglais sont mitraillés jusqu'au dernier. Un gros coup dur pour nous ! Le second Sherman parvient enfin à rentrer en jeu et tire dans le dos du Tigre ... Mais le manque. Heureusement le Tigre le rate aussi. le Half-track passe dans le dos du Panzer IV (toujours engagé dans un duel stérile avec l'autre Sherman) et abat le lieutenant Kruger avant qu'il n'atteigne le dépôt de carburant. Devant San Risotto les dernier SS sont déroutés. Le Kübelwagen fait bouclier devant le Tigre. Comme si c'était nécessaire. Nous n'avions pas le moindre antichar décent dans le coin... Ne parvenant pas à bouger dans la fumée de son véhicule une des escouades italiennes est fauchée par les tirs des fantassins US, nullement dérangés par la présence du Tigre. les derniers soldats allemands devant l'église sont pris d'assaut par les américains qui les anéantissent avant de se mettre à l'abri du Panzer IV dans le bois. Leur devoir accompli, Billy et Jimmy sont pris en stop par un camion de la 2ème blindée et roulent vers Gelato. Se sentant coupable de la relative inutilité de son bombardement, l'observateur d'artillerie britannique Rhodes réquisitionne la jeep du lieutenant américain Robins et fonce pour prendre le contrôle du dépôt de carburant. "Ca vaut la Victoria's Cross ça mon gars !" Nouvel échec américain du Sherman qui rate le Tigre (décidément). Par contre, cette fois ce dernier fait mouche et cause un incendie... Heureusement maîtrisé par l'équipage du Sherman. Mais celui-ci nage dans le stress maintenant et ne fera plus rien. La diversion permet cependant aux britanniques de tenir solidement Gelato, malgré le carnage causé par le sniper allemand. Heureusement pour les british, ce dernier a décidé de tuer à petit feu les malheureux rangers américains à couvert dans les bois de la colline du rituel. les canons désormais en place font feu sur le Tigre... et échouent. Situation à l'Ouest. Dans une tentative désespérée pour tenir l'objectif du rituel, le lieutenant Cavendish cour sur la colline... et est abattu par l'infanterie de la Luftwaffe, sous les yeux des rangers toujours au sol. Les servants du mortier italien tentent de contester la passerelle mais la mitrailleuse US en embuscade en tue deux et fait paniquer le dernier qui s'enfuit. Se sentant pousser des ailes, l'autre escouade de la Luftwaffe escalade le sommet de la colline et tente de tuer l'observateur d'artillerie Rhodes qui tient le dépôt de carburant. Mais ils surestiment leur capacité de tir à cette distance. Ca ne donne rien. Les soldats de sa majesté tiennent cet objectif. Gelato est toujours solidement contrôlé par les anglais de Sylvain1. En revanche la Luftwaffe de Jérémie et Sylvain2 a pu tenir l'objectif des ruines. Un démon horrible est matérialisé par l'Ahnenerbe ! le Tigre conteste le pont. Mais les Italiens chargés de le contrôler sont morts ou cachés dans des buissons proches. Foutus italiens... Enfin le lieutenant Robins, cigare en bouche, tient la passerelle. Avec 3 objectifs contrôlés contre 1. Les alliés sont victorieux. Un grand Merci aux deux Sylvains, A Hervé, Jérémie et Nicolas pour leur participation et leur bonne humeur. Un merci particulier également à Sylvain2 et Hervé pour avoir apporté leurs figurines pour permettre cette bataille. C'était une partie longue (8 heures) mais oh combien fun et tendue.
  21. Merci beaucoup à vous deux, vos retours me touchent. En effet, un jeu (même des jeux, les autres aussi sont top) trop peu connu. Mais je ne désespère pas de titiller la curiosité de l'une ou l'autre personne pour qu'ils s'y intéressent. ^^
  22. Ce week-end avec l'ami Nicolas nous nous sommes programmés une partie de Hail Caesar, histoire de changer des armes à feu. C'était d'autant plus un dépaysement que notre dernière partie HC remontait à encore plus longtemps que pour Pike & Shotte. Mon adversaire a opté pour les Gaulois, j'ai donc choisi de faire des romains césariens, ce qui me permettait d'étrenner mes 3 nouvelles cohortes récemment peintes. Comme pour le Pike & Shotte de la dernière fois, nous avons crée les listes sur le moment sur un format à 350 pts. Il s'agit évidemment ici d'une bataille fictive, ne cherchez donc aucune réalité historique ici. Cherchant à rallier Labienus avec deux légions, César est confronté à l'armée de Vercingetorix, cette fois accompagnée de mercenaires Germains. Ah ces vils germains, ils se sont retournés contre lui... Afin de forcer le passage, les romains n'avaient d'autre choix que de vaincre le chef arverne. Le rapport de bataille video est disponible sur ma chaîne Youtube, si vous préférer le texte, continuez ci-dessous. les deux armées se font face. à l'Est les germains A l'Ouest, les gaulois dont notamment des fanatiques peu vêtus. Commandée par César en personne, la X Equestris tient le flanc droit romain, face aux germains. A l'Ouest, le légat Abribus se prépare à affronter les gaulois. A l'Est, la cavalerie ennemi arrive jusqu'à la rivière. A l'ouest les chars progressent, mais les tirailleurs germains décident de ne pas bouger. les gaulois parviennent au pont également. les hommes de la VIIIème s'avancent pour leur faire face, mais l'une des cohortes a mal compris les ordres et a quitté le champ de bataille ! Voilà les romains encore plus en infériorité numérique. les crétois manquent les chars. la Xème avance prudemment. Les frondeurs et le scorpion ouvrent les hostilités en causant des pertes aux cavaliers ennemis La VIIIème semble en passe d'être débordée. les gaulois n'arrivent pas à charger mais lancent des javelots sur les romains. La situation de la VIIIème est mauvaise, les ennemis arrivent de partout ! Les gaulois menacent les auxiliaires. les javelots des chars font replier les malheureux crétois. l'infanterie des germains ne bouge pas, mais la cavalerie en revanche charge droit dans la ligne de César. Ce dernier n'arrive cependant pas à amener sa cavalerie ibérique vers l'avant. les vétérans encaissent la charge avec succès. Les deux cohortes de la VIIIème s'apprêtent à faire face à la marée ennemie. Les vétérans de la Xème déroutent les cavaliers ennemis mais au prix d'un certain nombre de pertes. En passe d'être submergée, l'une des cohortes de la huitième se place en carré. Le Légat Abribus parvient enfin à prendre une initiative intelligente. Il fait charger sa cavalerie ibérique dans le flanc des gaulois, avec l'aide des scutarii de face. Malgré de lourdes pertes les gaulois se défendent férocement et tiennent bon ! Scutarii et Gaulois sont ébranlés. la cohorte perdue est revenue à la hâte et poursuit les chars bretons, mais ces derniers se dérobent et les harcèlent. Les légionnaires de la Xème poussent vers la rivière. Une des cohortes tombe sur le flanc des germains au centre. Vaincus, ils se replient en bon ordre et César réfrène la poursuite, par peur de la cavalerie ennemie. Le commandant germain fait avancer ses troupes à portée de tir pour délivrer une volée de javelots. Les cavaliers et les germains au centre se ressaisissent également et font de même. La première cohorte accuse de lourdes pertes. A l'Ouest, tandis que les fanatiques progressent difficilement dans les bois et que les tirailleurs germains continuent de ne rien faire, la mêlée se poursuit. Vercingétorix fait charger ses guerriers. Ces derniers disloquent le carré dès la première charge. et les gardes du Vergobret fondent sur le flanc de la seconde cohorte médusée qui tient cependant malgré des pertes sévères. Voyant ses vétérans vaciller, César vient les rallier. Le centre romain étant en danger de céder, le proconsul ordonne une charge générale de son infanterie. vainqueur, la cavalerie romaine se reforme et charge à nouveau. Mais, épuisée, elle ne parvient pas à briser la ligne ennemie. A l'Est, les légionnaires parviennent à repousser la cavalerie ennemie. En revanche le combat contre l'infanterie germanique est âprement disputé. Les gaulois ont ouvert une brèche dans le centre romain. La Xème tient bon, mais la VIII semble en passe d'être submergée. la 3ème cohorte de la VIIIème déjà confrontée aux chars, voit avec horreur une bande de fanatiques nus surgir de la forêt et leur jeter des javelines. Même si les pertes sont faibles, l'unité perd pied et recule en désordre. Les fantassins germains à l'Est sont finalement eux aussi repoussés. et les cavaliers s'enfuient en déroutent. Seuls les tirailleurs parviennent à s'enfuir. La cavalerie romaine et les scutarii sont mis en déroute le Légat Abribus tente d'envoyer sa 2ème cohorte à l'attaque contre la garde de Vercingétorix, mais à la place, les légionnaires décident de traverser la rivière pour en découdre avec les germains. Alors que la VIIIème s'effondre, la Xème massacre les fantassins germains et se tourne vers le centre. La VIIIème est définitivement brisée lorsque les fanatiques se reforment et chargent en hurlant la 3ème cohorte déjà éprouvée. Au terme d'une charge rapide et brutale, les légionnaires s'enfuient. Assoiffés de sang, les fanatiques poursuivent contre les crétois qu'ils massacrent sans pitié. Les germains sont eux aussi en déroute et quittent le champ de bataille. César en profite pour se tourner contre les gaulois. un duel de projectiles s'engage de part et d'autre de la rivière, tandis que les fanatiques poursuivent leur sillon de mort en allant pulvériser le scorpion. le harcèlement des archers et des tirailleurs gaulois contre sa seconde cohorte est tel que César doit tenter de la rallier en personne. Epuisée, la première cohorte de la Xème voit les fanatiques leur tomber dessus et les tailler en pièce. Gêné par la rivière, Vercingétorix tente de faire contourner le flanc romain par ses hommes. la 3ème cohorte de la Xème tient remarquablement le choc face aux gardes et aux chars. Le centurion décide de tenter de débloquer la situation en chargeant les gardes. Surpris, les gaulois pourtant commandés par Vercingétorix en personne sont repoussés par les vétérans de César. Au terme d'un combat intense sur plusieurs rounds qui verra les deux unités ébranlées les légionnaires parviennent à repousser les gaulois hors de table. Emporté par ses hommes en déroute, Vercingétorix, ne verra pas la fin de la bataille. Ni césar d'ailleurs. Les chars se joignent aux tirailleurs et sous leur harcèlement continuel la seconde cohorte déroute. César, blessé, est emporté sur civière. La troisième cohorte se reforme derrière les fanatiques. Ces derniers ont également été ébranlés par les tirs nourris des frondeurs des baléares et de la cavalerie ibérique. Au terme d'un duel de javelots sur plusieurs tours, les fanatiques refuseront obstinément de céder du terrain. Le légat Crassus qui a pris la suite de César parvient alors à rallier la troisième cohorte et à charger malgré le tir d'opportunité des chars (qui parviendront à ébranler les romains, du coup, test de moral décisif : je le ratais-je perdais, mais j'ai réussi ! Ouf !) les arrières des fanatiques pour les dérouter et assurer la victoire. C'est donc une victoire sur le fil pour César qui reste maître du champ de bataille, mais les deux armées sont cependant exsangues. Les romains, parviennent toutefois à poursuivre leur route. Un grand merci à Nicolas pour cette partie qui fut ULTRA serrée et très longue. Nous avons vraiment mis toutes nos forces dans la bataille et il s'en est fallu de peu que la victoire ne sourisse aux gaulois. Au final, c'est un jet de dé qui décide du sort
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