Aller au contenu
Warhammer Forum

Tepocl

Membres
  • Compteur de contenus

    202
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Tepocl

  1. Tepocl

    Kroxi & Nuée HL

    Je suis d'accord avec les critiques qui t'on été faites (sauf le socle du krox qui me pait bien). Pour les dents et les griffes tu ne devrais pas attaquer tout de suite au blanc car ça ne ressort pas assez (et ce quelque soit la couleur). Une technique tout simple : noir ensuite bubonic brown (en laissant une ligne noire à la base puis bleached bone (en laissant un peu de bubonic vers la base) et enfin du skull white. Là tout de suite ça fera de belles dents et de belles griffes. En fait, je trouve que tu n'as aps assez pris de temps pour ton krox,j'estime qu'une pièce à ce prix là (prix d'un kuraq) mérite bien 2 heures de peintures minimum, jusqu'à 3 mais le krox estrelativement rapide à peindre, beaucoup de brossage, un lavis sur l'or un autre pour la peau on attend que ça sèche et hop les derniers éclaircissement et puis c'est tout. Quand tu travailles sur du blanc et que tu n'as pas de lavis correspondant à la couleur de base, dilue bien ta peinture pour qu'elle masque le blanc dans les creux. Moi j'aime bien l'arrete dorsale du krox de cette couleur mais elle ne ressort pas assez (un lavis vert à la base serait du plus bel effet)
  2. Vous avez eut-etre oublié mais dans la meme section, il y a quelques temps déjà (première semaine de juillet) quelqu'un eut l'idée d'une grande créature qui aiderait les HL, de terribles anacondas qui auraient mutés sous l'effets de la mlepierre à force de trainer dans les tunnels des rats. Attention c'est une version assez bourrin je pense mais qui n'a jamais été testée c'est pour ça, elle vaut surement plus que son prix mais si vous comparez ses caracs avec celles de l'avatar vous observerez une différence importante. Anacondas. Les anacondas géants : Il y a bien longtemps, lors de la guerre qui opposait les hommes-lézards et les perfides skavens, de nombreux serpents furent envoyés dans les tunnels où se cachaient d'innombrables skavens afin de les chasser de Lustrie. Les moines de la peste tentèrent de chasser les intrus écailleux en leur infectant leurs immondes maladies mais les batraciens semblait immunisés par une force magique. Finalement les skavens pestiférés préférèrent fuir la jungle, poursuivis par le dieu-serpent Sotek. Malgré cela quelques skavens refusèrent de partir de Lustie et combattent encore les serpents. Dans les sombres galeries désertées par les rats, se trouvaient encore des morceaux de cette pierre maléfique nommée Malepierre. Les serpents s'en approchèrent sans avoir conscience du pouvoir destructeur de la pierre et certains mutèrent affreusement, leurs corps quadruplant de volume, des crocs démesurés poussèrent et leurs esprits furent totalement corrompus. Heureusement, assez peu de serpents avaient mutés car la Malepierre n'affectaient qu'une seule espèce de serpents : les anacondas. Les anacondas s'échappèrent des galeries skavens et disparurent dans les profondeurs de la jungle. Certains furent retrouvés dans la jungle quelques années après et furent maîtrisés par la magie des slanns. Les anacondas géants sont maintenant utilisés au combat par les hommes lézards bien ces immenses serpents sont assez incontrôlables ... ANACONDA GEANT : points/figurine : 130 points M/CC/CT/F/E/PV/I/A/Cd/Svg 6 3 0 5 5 4 6 3 5 5+ Puissance d'unité : L'anaconda a une PU de 4. Il tient sur un socle '50 par 100 mm' Règles spéciales : Flegme, Peur, Peau écailleuse, Grande cible, créature incontrôlable, étouffement, tunnel, danse hypnotique, étreinte mortelle. Créature incontrôlable : Vous ne pouvez mettre autant d'anacondas géants dans votre armée que vous avez de prêtre skink ou de prêtre mage slann. Si au court de la bataille vous n'avez plus aucuns magiciens présents sur le champ de bataille faire un jet dans le tableau de réactions de l'anaconda. Résultat du jet Effets 1 L'anaconda charge l'unité la plus proche de lui. Il utilise le chemin le plus court pour charger sa cible. Utilisez les règles de charges normalement. 2-3 L'anaconda utilise tout son mouvement pour fuir vers le bord de table le plus proche. 4-5 L'anaconda reste là où il est. Il peut juste se défendre si il est attaqué. 6 L'anaconda reste fidèle à son maître tombé au combat et se comporte normalement ! Tunnel : Les anacondas géants ont appris à se servir des souterrains creusés par les skavens qui pullulent sous les terres de Lustrie. Cette aptitude est représentée sur le champ de bataille par la capacité de ces créatures à plonger sous les collines pour réapparaître de l'autre coté, ou même sous une unité ! Danse hypnotique : Durant cette attaque l'anaconda use des motifs géométriques colorés dont il est recouvert pour déconcentrer l'adversaire, il fait onduler tout son corps comme une vague apaisante, l'ennemi non averti baisse sa méfiance et se laisse endormir. La cible doit faire un test de CD sans utiliser celui d'un autre personnage (héros, général) et la grande bannière ne lui donne pas le droit à un second jet. Si l'anaconda fait le plus grand nombre ou s'il y a égalité, les deux attaques suivantes (étouffement, vitesse) réussissent automatiquement ! Étreinte mortelle : Une des attaques de l'Anaconda géant consiste à envelopper l'ennemi dans ses anneaux afin de lui broyer les os, la force déployée ne se souci pas des sauvegardes d'armures. C'est une attaque de force 6 qui provoque 1D3 blessures. Les sauvegardes magiques fonctionnent normalement. Étouffement : Les serpents sont des créatures vives aux réflexes surdéveloppés qui savent bondir sur leurs proies sans leur laisser le temps de réagir. Pour représenter ceci, si l'ennemi, de taille humaine, ne réussit pas un test d'initiative lorsqu'il combat un anaconda géant, celui-ci le tue net car la proie n'a pas été assez vive pour se défaire des anneaux de l'anaconda géant qui l'enserraient. Le joueur anaconda déclare qu'il tente un étouffement sur une figurine au contact (genre un chef de guerre orque). La figurine désignée doit réussir un test d'initiative (c'est à dire que sur 1D6, elle doit obtenir au maximum sa valeur d'initiative, pas plus), et en cas d'échec, la victime meurt étouffée.
  3. *M6 c'est très bien pour une créature divine, faut pas oublier que les skinks ont M6 alors vaut mieux qu'un dieux puisse suivre ses fidèles ! En plus les HL ont beaucoup de troupes M6 ça serait dommage de ralentir pour attendre la grosse bete. * J'opterai pour F5 E6 parce que ça en change rien : l'avatar n'a pas vraiment besoin de sa force car : attaques empoisonnées blesse auto sur un 6 pour toucher, coup fatal enlève tous les PV si blesse sur 6 (donc très bon contre les boss) et meme avec F5 ça fait -2 à la svg. Et puis ça serait illogique qu'il ait E5 soit autant qu'un kuraq kaq !! c'est un dieu ou du moins le rejeton d'un dieu ! Oui, CD7 serait pas de refus de toute façon ça ne sera pas le gégé donc son CD n'est que pour lui. Dis moi pour ta fig tu utilises un serpent de nuée de la jungle ou bien quelque chose à base de rabiots de dragons ? Logiquement l'avatar est une grande cible et donc en tirant un peu au pif les archers ont de grande chances de le toucher ! Donc les archers : grande cible +1 règle spé -1 ce qui ne change rien mais est incohérent (^^) Par contre tu peux remplacer ta règle par "créature aquatique" ce qui fait qu'elle se déplace sans peine dans l'eau et qu'elle y est à couvert léger donc -1 aussi. Pour illustrer la mission "raticide" de l'avatar pourquoi ne pa lui mettre haine des skavens ? ah tiens c'est si évident que je suis le premier à y penser ! Comment tu expliques ce souffle ? je vois ça comme une bénédiction des dieux et donc un souffle magique ! mais pour équilibrer le perso je préciserai un souffle magique qui ne ferait de dommages qu'aux créatures magiques comme les licornes et surtout les démons (les premiers ennemis des anciens !!!). Le genre de dommage serait : obliger les démons atteints à faire un test d'instabilité démoniaque avec 3D6 (mais comme il n'y a pas de modificateurs avec CD 10 ils ne perdront que 6PV max. Qe dites-vous de mon unité ? sa haine des skav et son souffle magique fera qu'on ne le sortira que contre les ennemis héréditaires des HL je trouve ça plutot bien parce que vous imagnez l'avatar de Sotek se lever pour des EN ? Le reste me semble très bien. Comment s'est passé la partie test ? Tu pourrais Montrer ta fig stp. A tout Tepocl.
  4. Tepocl

    Etat major bretonnien...

    Nickel ! J'aurai plaisir à affronter unr armée aussi belle que la tienne ! (enfin si le reste suit bien entendu !) En fait je crois que le problème des HA est leur shéma de couleurs dans le LA c'est pour ça que les gens n'en veulent pas (d'aucuns diront que c'est à cause de la tentation du full cav'). J'aime pas le visage du jouflu de près car c'est pas très joli mais à part ça ta peinture est soignée expérimentée, de beaux dégradés et surtout un bon shéma de couleur ! Le chevalier perdant c'est un nain ? de quelle gamme tu l'as tiré ou bien est-ce une conversion (la hache fait confront')
  5. Tepocl

    divers - LA hassat

    les petites nouvelles à chaque fois c'est redondant et inutile si la description est bien faite. Concernant les fetes j'ai déjà fait puma, panthère, ocelot, lynx, lion, guépard, chat et celle de Tigra soit 8/10 mais certaines sont courtes et presque pas détaillées. Je me charge de la description des fetes c'eest mon dada ! L'histoire du livre sacré... j'espère qu'on va juste le mentionner et pas l'écrire autrement on n'a pas fini consigner les moindre faits risuqe d'etre rébarbatif SAUF si on met des trucs à la con comme dans le LA breton "2512/1534 La fete du printemps de Bordelaux tourne mal lorsque 4 paysans déguisées en dragon tuent par accident le gueux chargé de joueur le chevalier du Graal. Les paysans enivrés par, dit-on, le vin fourni par le Duc Albéric, répandent l'émeute dans toute la ville. Ceci donne du poids au dicton : aussi rare qu'un homme sobre à Bordelaux." Donc le travail ne serait pas de faire un historique de 40pages qui risquerait d'ennuyer les lecteurs et faire un LA de 180pages (aie) mais d'ajouter un tas d'anédoctes à l'Historique comme : 1752 : un riche marchand avec encore assez de sang chaud dans l'alcool de ses veines se défie en combat singulier à la fete du Puma. Il remporte avec beaucoup de difficultés ce passionant duel et conserve ainsi tous ses biens. 1619 : Un simple guerier sombre dans la folie après avoir coupé ses moustaches. Totalement désorienté il a quitté la caravane pour périr finalement par la main des morts revenus, découvrant ainsi leur présence. 476 : Des nuées de sauterelles ravagent les oasis. la population affamée se nourrit dès lors de ces insectes maudits avant de s'attaquer aux royaumes Arabes, riches en vivres. 983 : Un tigre enragé s'échappe de son enclos et éventre une esclave devant ses enfants. Qu'importe, ce n'est qu'une esclave. 2377 : Rien 2378 : toujours rien Bonne idée. Alors on a la description des dix fetes (2 pages) des naissances qui sont étrotement liées au culte de Tigra (1page) et les rites funéraires (1 page aussi). Que dire de plus ? La tenue d'une pretresse ? Les légendes hassanes ? Leur version de la création du monde ? En fait c'est assez flou car la religion hassane est aussi la société. Tigra controle tout, est omniprésente par le biai de ses pretresse et possède sa matérialisation dans ce monde. La religion détermine l'exsitence meme de chacun. C'est comme si le système politique hassat et sa religion étaient confondus c''eest la meme chose alors il est difficile de ne parler QUE de la religion sans aborder d'autres thèmes. Moi à Lanester près de Lorient dans le 56, je sais que paulk29 est pas trop loin et qu'on pourra surement tester les Hassats un jour. J'ai aussi une grand mère à quelques kilomètres de Rennes (vezin-le-coquet). Mais pour tester encore faut-il avoir une armée et pour l'instant je suis avec mes chevaliers de la quete et mon reliquaire (je crois pas que j'aurais fini avant la toussaint enfin j'espère quand meme) ce qui veut dire que 1000 pts d'Hassats n'arriveront pas de sitot.. mais peut-etre que je peux espérer faire des patrouilles à Noel. Et puis n'oublions pas qu'on peut toujours jouer tout seul (que cette phrase est triste et pathétique) je me vois mal faire 2500pts vs 2500 mais pourquoi pas tester des listes de patrouilles ça dure une heure, c'est rapide bref bien pour évaluer des unités !
  6. Tepocl

    divers - LA hassat

    De toute façon ça ne eput etre pire que le chaos ! En effet ilsn'ont pas de char mais un éléphant dont certaines attaques sont comme des touches d'impacts mais biens ur le cout est plus élevé car il fait pleind 'atres truc notre éléphant !! Ils n'ont qu'une seule machine de guerre mais rentable quand meme car envoyer deux nuées de serpents par tir, si ça ne blesse pas l'adversaire ça empeche au moins ses marches forcées et puis une nuées c'est bien 60pts ? donc la catapulte en un tour et demi peut se rentabiliser en terme de points et elle va bien lacher deux-trois salves au moins. je pense qu'il faudrait revoir ses règles comme : misfire indique que le sac à serpents s'est ouvert près de la catapulte, les membres sont attaqués par eux, résolvez les 10attaques de la nuées avant que les servant ne les remmettent dans les sacs. Pour enr evenir au message de Thanog, les Hassats ont des règles avantageuse comme des immunité à la peur meme pour des troupes de base ais tout cela est compensé en term de points : un chevalier du graal coute 38 pts un chevaucheur de tigre géant 45. La cavalerie légère coute 25pts de base et ne se jouera donc aps comme celle des autres armées. Quand j'y repense, les Hassats ont d'excellentes troupes (celles de base : haine RdT, immune peur et M5, I5 pour 8pts) et des règles spéciales je pense aussi marrantes à jouer que fortes mais n'oubliàons pas qu'elels n'ont jamais été jouées et que la version des unités n'est absolument pas définitive les aprtie tests nous montreront si nou avons toujours été aussi inspirés.
  7. oui mais est-ce que les krox reaper sont plus grands que des saurus gw ? c'était ça mon vrai souci. ça te parait con mais j'ai oulé des figs princes auguste et la peinture n'adèrepas, pourtant je les ai nétoyyées pour faire partir le talc donc je préférai demander ça plutot que de me retorouver avec 20€ d'achats injoualbes.
  8. j'ai fait bleu foncé pour les écailles et bleu clair pour le bide du enchanted+blanc. Mon frère avait fait un krox en vert qui tire un peu sur le bleu et le bide en bleu, c'était un bonn shéma. Et puis tu veux du aquatic mais ça dépend où est-ce qu'il nage le krox, s'il est de Tchernobyl peut-etre que du bad moon yellow sera satisfaisant !! Allez zou, je vias voir Tanguy
  9. Tepocl

    divers - LA hassat

    Est-ce que tu as vu que j'avais déjà fait une nouvelle (de neuf page e précise) qui traitait justement d'une expédition des ombres des dunes, exceptionnellement accompagné par des cervalins pour humilier les HL en meme temps que leur voler deux trois bricoles. Si tu veux des détails concernant les conditions de la sélection c'est simple : les survivants ! Des conditions très rudes attendent les ombres pour leur initiation, s'il viennent à bout de leurs ennemis ils prouvent leur vaillance et leurs qualités martiales. Les fuyards sont bannis ou deviennent des esclaves. ils ne sont pas obligés de se limiter aux RdT, il y a les Arabes tout autour, les nains et les skavens dans les montagnes à l'est, les HL au sud, surement quelques bandes de pillards aussi. excellent, fais pas un truc trop long quand meme. Je ne partage pas entièrement ton point de vue : il est sur que les tiléens n'ont pas souvent vu de Hassats car pour ces derniers il est plus façile de laisser leurs marchandises aux Arabes qui commerceront avec les Tiléens mais pour les autres humains, en particulier l'empire, tu oublmie que Tarise (cf perso) a ouvet une piste dans le désert en passant par le territoire RdT, il poursuit donc surement ensuite par les principautés frontalières où les Hassats peuvent trouer des employeurs et des clients, et ils finissent par l'empire pour écouleur leurs stocks et acheter des marchandises qu'ils n'ont pas chez eux qu'ils revendront aux Arabes etc. il ne faut pas que les Hassats sont autant des marchands que des guerriers mais il est vrai que les Bretons, les Elfes (ES, EN, HE), les Tiléens, les Nordiques doivent considérer les Hassats comme un mythe. C'est bien mon chou mais tu as oublie le "ocl" de mon pseudo, lui enlevant ainsi toute conssonance du parlé saurien je n'ai d'autres choix que de te provoquer en duel, comme je te plains... Ouais, on peut traduire ça par les caravane s'intensifient sur la piste de Tarise mais le BG parle d'une migration carrément ! On va pouvoir refaire une jour SoC avec les Hassats ! Aideront-ils le bien ou le mal ? le plus offrant sans aucun doute !! Pour la carte, je suis sensé la faire mais il y a la rentrée, une forteresse à terminer, des chevaliers d ela quete, quoique si j'ai une heure de perm ou deux je prendrai el temps !
  10. Tepocl

    mon armée et mes décors

    Salut confrère reptilien de la jungle ! Tout d'abord j'aimerai dire que c'est vraiment dommage de reprendre systématiquement le shéma de GW (je dis ça aussi pour de nombreux autres peintres HL) car à la base, les HL peuvent etre peints de n'importe quelle coueur, y a qu'à voir le codex V5 beaucoup plus réussi. D'ailleurs j'ai vu que tu avais une salamandre, des saurus et des skinks de l'ancienne version peut-etre as-tu aussi le LA alors regarde page 33. Alors pour le shéma de couleur en ice blue je donne 2 (comme je dis pas sur combien ça veut pas dire grand chose...). Un bon conseil, lache-toi sur la peinture, tu peux faire des unités hétéroclites avec un ton commun pour garder un peu de cohérence, genre tu choisis du bleu de base ce qui pourrait etre la couleur qui liera tes unités tu auras une en violet une autre en bleu, bleu clair, bleu foncé, bleu+jaune, bleu+vert+blanc etc. après tu peux aussi joueur sur la couleur des écailles et des motifs pour les diversifier. Bon, meme si le shéma n'est pas original, il est respecté, la peinture n'est pas trop mal mais on voit que de loin c'est pas suffisant pour se faire un avis. Concernant les kroxygors on dirait que tu as voulu les noyer dans la peinture (mais tu oublie que ce sont des créatures aquatiques !!) et je suis d'accord avec celui qui a dit que tu ferai bien des les refaire. En plus les krox c'est vraiment pas dur j'en ai fait un asez rapidement presque 100% brossage l'important est d'avoir des lavis bleu ou de la peinture bleu focé assez dilué pour faire ressortir les écailels d'un bleu plus clair. (ou tout autre couleur) Concernant tes décors, la hutte de skinks rend assez bien de loin mais de près la texture est moyenne et surtout ça manque de détails mais c'est pas el plus dur tu n'as qu'à prendre un peu de teps et puis c'est chouette d'avoir un endroit où faire dormir ses figurines autre qu'une étagère (non, je joue pas au papa et à la maman avec mes skinks.. euh j'ai arreté ). Pour les socles tu n'es pas obligés de t'embeter, mi par exemple j'ai achté un pot de 500ml au géant d'acrylique vert. je passe sur les socles proprement ça donne un aspect plus fini et s'accorde mieux avec ma table de jeu. Une après midi pour faire une cinquantaine de socle ça va assez vite surtout si on fait à deux. Tu as sacifié un squelette ? et il a saigné en plus ? mdr. Continue comme ça, applique-toi plus aussi, dilue ta peinture et si tu pouvais sortir des sentiers battus ça serait pas plus mal !!
  11. c'est assez dur de se prononcer sur ta fig car les photos sot mal prises, le cheval est totalement dasn l'ombre et on en peut pas voir si tu as fait des éclaircissements. Ce que je vois est assez positif malgré les choix de coueurs.. discutables.. originaux du client :'( quoique l'armure en rouge me plait assez sauf qu'il faudrait des éclaircissement plus prononcés. La peau est bien faite, le sang de la hache pas réaliste et les cornes en space wolfes ???! On sent qu'il y a du savoir faire mais si tu veux montrer l'étendue de ton art, balance d'autres photos.
  12. j'adore les figs de reaper. Celle que tu montres alias ferait un super kuraq kaq mais j'aimerais savoir l'échelle, la taille en particulier pour ceux-là : car ils feraient de bons kroxygors et 3 pour le prix d'un je dis pas non. Est-ce que quelqu'un a déjà eu l'occasion de peindre des figs reaper ? car je voudrais savoir si la peinture GW tient bien dessus. Pour ceux qui comme moi sont interessés par ces ifgs (trè bon sujet mimosse) mais qui ont besoin de convertir $ -> €, une bonne adresse à mettre dans ses favoris pour ne pas l'oublier qund on en a besoin ! En tout cas ça m'interesse grandement car il y a moyen de recycler le chaman en tupac ou meme en chaman s'il n'est pas trop grand et ce pour 5€80 et meme si les krox de reaper étaient trop petits ils sont suffisamment différents des saurus pour qu'on en confonde pas et en les mettant sur socle surélevé ils feront de bons kroxygors. En plus à 11€19 on paie trois krox reaper pour le prix d'un seul GW. soit 26€ d'économie !!!! Le warlord fait un très bon kuraq (kaq) pour 5€50 de moins que le vrai. J'suis super content, j'aienvie de faire des bisous à tous les lapins (s'ils ont pas la myxomatose !) et ne venez pas me dire que reaper ne dessert pas la france !!!
  13. Tepocl

    une "tour de guet" en bois

    J'espère que tu n'as pas commencé à peindre ta tour de guet. Ne gaspille pas t peinture GW à 2€50 le pot, sur cette surface c'est du gachis, va pas non plus acheter de l'acylique exprès. Si tu habites dans une maison et que tu as une oprte en bois ou peut-etre des clotures, tu ou tes parents ont surement du brou-de-noix c'est enf ait un vernis que lon met sur la porte et qu'on remet tous les dix ans, deux trois couche à 24 heures d'intervalles et l'effet bois est garantie.Utilise un vieux pinceau large pour ça c'est trè s pratique je pourrais peut-etre poster des images de ma tour de guet quand l'APN sera de retour et à condition d'avoir un hébergeur. oh tiens, j'ai trouvé une page qui parle de ce produit http://www.dotapea.com/broudenoix.htm Un demi litre c'est environ 5€ chez casto, ça peut s'allonger à l'eau et tu peux peindre d'assez grande surface avec ça donc si tu n'en as pas je te le conseille car l'investissement se rentabilisera. Pouvoir couvrant : 0,5 litre = environ 8 m² par couche, plus si diluée. Tepocl qui fait la pub du broutte-noix (pronociation avec l'accent de chez moi)
  14. Tepocl

    seigneur dragon de sang

    ça c'est un ami et c'est pas peu de le dire ! La conversion est très bien faite et le niveau de peinture suit ce qui enf ait une très belle figurine. Par contre, la pique qu'il porte dans son dos est surchargée, vu sa longueur, ce qui repose dessus et où ils reposent le dds devrait plier sous le poids et au lieu de ça il se tient parfaitement droit... C'est ce que je trouve dommage car le reste est vraiment très réussi ! Pas d'accord : quand tu regarde les photos aggrandie de près tu vois tous les détails et les ombrages de la robe et l'aspect est clairement fini. Le dragon de sang et sensé représenter un seigneur d'une horde de morts-vivants, de cadavres déterrés, putréfies et crasseux.Crois-moi, ces gens-là n''ont pas de vanish oxi action (autrement il y aurait pas de rouille sur le caparaçon !!) Je vois pas ce que tu peux lui offrir pour le remercier car c'est un maginifique cadeau ! T'as une villa ? une femme ? les deux ? :'( Dis lui bravo de ma part !
  15. Je m'excuse mais je n'ai pas de GBR ! J'ai appris avec la V5 mais j'ai paumé le livre et donc je lis beaucoup la sectionrègle de ce forum pour pas sortir de bourde mais du coup je ne suis pas au courant de ses scénarios. Je ne suis pas sur car les armées sans cavalerie ont surement des éclaireurs et des machines de guerre, lors du déploiement on place un couple de baliste en face de l'autel, on ne mes pas ses troupes sur cette ligne de vue et on tient son ennemi en respect ou on laboure ses rangs avec des boulets. Et dis moi quelle armée n'a pas de cavalerie à part les skavens ? et les nains ? Ces races ont des machines de guerre ça compense, les skavens ont des tunneliers etc. Il y a les CV aussi mais ils ont des volants et de la magie (un sort d'immobilisation sur des cavaliers ça marche très bien) ET ce désavantage s'équilibre si on fait une partie à 3 (3 points) car meme si l'armée rapide remporte le premier point, quand elle marque l'étendard revient à l'autel du centre et les troupes "lentes" qui y sont peuvent l'emporter chez eux (enfin le héros couvert pas d'autres unités) et comme les unités de cavalerie auront étés avec un peu de chances labourées pas les machines de guerre, quelques tirs supplémentaires et les 25% de pertes causeront un test de panique ! Donc à mon avis c'est parfaitement jouable et par tous !
  16. ah oui, j'oubliais de dire que tant que la bannière est brandie par le porteur elle compte comme une grand bannière avec tous les effets que ça implique. Pour faire de cette idée un scénario, on place l'autel de la meme façon. Les armées sont de taille équivalente et se déploient comme dans une bataille rangée. Pour l'emporter il faut avoir une unité d'un PU d'au moins 5 dans un rayon de 4 pas de l'étendard pendant trois tour mais ce n'est pas forcément la meme unité. Il faut aussi qu'il n'y ai aucun ennemi à moins de 8 pas de l'étendard pendant deux tours consécutif. Les volants à haute altitude sont ignorés. Tant qu'une armée tient l'étendard en respectant les conditions précédemment citées, il compte comme une grande bannière. J'aimerais bien quelques réponses... tiens, une fleur !
  17. ta tour EN fait un peu bidon on voit tout de suite le rouleau de carton pein en noir, nu. Mais le socle est très réussie je trouve, tu devrais apporter le même soin au reste du décor. La porte du chaos est bien mais la porte, en rouge j'aurais fait quelques éclaircissements, tu peux faire toute la gamme des rouges et des jaunes jusqu'au blanc je pense que ç rendra beaucoup mieux et donnera plus de relief à la chose. D'autant que si tu détaille la porte par la peinture on fera moins attention aux autres défauts !!! La porte skavens j'ai rien à redire, un très bon décor qui enrichit comme il se doit une table de jeu qui se respece ! Bonne nuit !
  18. Voilà, je me disais que ça serait d'adapter le mod capture the flag de unreal tournament à warhammer mais je me demande encore s'il vaut mieux 1) en faire un scénario où ramener l'étendard chez soi serait la condition de victoire 2) ou si on adaptait la liste patrouille à une prise d'étendard. Je commence par le 2. Le héros qui accompagne l'armée doit etre équipé de telle sorte à garder une main libre. - On peut passer à 1000 pts et avoir donc deux héros, 8 unités max, 4 minimum Une bannière est placée au milieu du terrain, les d eux armées se déploient normalement. Le but est que votre héros ramène la bannière dans un lieu précis de sa zone de déploiement qu'il aura désigné au DEBUT de la partie. Un héros peut prendre la bannière s'il n'y a pas d'ennemi à moins de 4 pas de l'autel et qu'il s'y trouve. Les volants à haute altitude sont ignorés. Si le porteur meurt la bannière demeure où elle se trouve et seul un autre héros peut la ramasser, selon les memes conditions que précédemment. Vous pouvez stoper la partie quand la bannière est rentré dans une des deux bases (l'autel qui se situe dans une zone de déploiement) ou bien faire une partie à 3, je ne vous conseille pas de faire plus car vus n'aurez plus d'unités ou bien vos porteurs seront mort !) Qu'est-ce que vous en pensez ? (joueurs de unreal y compris!) J'espère que ça ne ressemble pas trp au blood bowl (je n'y ai pas joué alors je peux pas dire)
  19. Tepocl

    [Photos] Ombre Elfe Noire.

    tu peints bien mais je n'aime pas la cape; la salissure que tu as voulu mettre est exagérée au début j'ai cru (sur l'intérieur) que c'était les motifs de sa cape. un brossage gras à la base de bestial brown suivi d'un brossage bestial + white skull plu sec aurait mieux rendu. Mis à part ce petit défaut, ta peinture est propre précise et fait de jolies figurines.
  20. les archers bretons n'ont pas d'armures légères, ni CC4 mais un arc long et ont des pieux de défenses. Tout ça pour le meme prix donc je dirais mes les plus chèrs si tu veux mais à 7point ou 8 max. C'est plus fluff de leur mettre juste des arcs mais une arbalète gratuite pour le champion pour montrer que quand ils volent des trucs aux nains y a que le chef qui en profite Et puis tirailleurs ça le fait mieux, il faudrait aussi, puisque ce sont des chasseurs leur mettre des feuillages, des tatouages. Si vous voulez une idée originale, troquons les arcs pour des lances à propulseurs comme dans l'age de pierre : Une portée plus courte mais +1F et pourquoi pas, soyons fou. En fait ça ferait des lanciers maraudeurs qui tirent à disons 12 pas sans malus à portée courte. Vous imaginez les dégats d'une telle unité en éclaireurs ? Les troupes avec E3 et svg 5+ ou 6+ (qui n'en auront plus du coup) vont déguster pour peu qu'on mette une svg 1+ relançable aux chasseurs ça serait bourrin !
  21. Tepocl

    Mes maraudeurs du chaos

    stupéfiant ! Faut que j'ferme ma bouche parce que ma langue tombe par terre... D'habitude j'ai ou on a toujours un petit truc à reprocher mais là, rien ! Tu mériterais 8 facile et peut-etre meme 9 sur coolminiornot car meme sans conversions ou dessins une peinture de cette qualité sur un régiments entier de base de surcroit ça ce salue. Je pense qu'en prenant des photos de ton armées avec un bon APN tu pourrais paraitre (sérieusement) dans white dwarf ! Chapeau bas.
  22. Tepocl

    Tyrion

    moi ce que j'aime dans ta figurine c'est le cou du cheval, c'est vrai : les éclaircissements sont très jolis et je m'étonne de voir ça quand on voit le reste. Le problème est que tu as pris des couleurs qui vont pas très bien ensemble, à ta place avant de m'attaquer à une aussi belle figurine qui dmeande pas mal d'expérience pour avoir un bon rendu, tu devrais escuisser des shémas de couleurs sur un bout de papier, tu dessines simboliquelement un cheval caparaçonné et tu regardes ce qui irait bien. Pour moi, ce qui cloche dans ton shéma est que Tyrion, un Haut-elfe, pure et seigneur de purs, à l'air sombre, on dirait meme qu'i s'est voué à de sombres dieux... pas très fluff. En plus dans l'armure, tu as tout peint en or meme les pans de vetements !! alors que c'est justement dans ces zones que tu peux introduire une couleur qui cassera la monotonie du bonhomme. A ta place j'aurais varier les teintes métalliques genre tout ce qui est écailles (sur le cheval y compris) sous-couche noire, brossage à sec pas trop sec en boltgun métal et brossage à sec en mithril silver, c'est rapide et encore une fois allègera ta figurine. Je crois que tu t'es lancé trop rapidement dans une figurine qui dépasse ton niveau, mais bon si tu es motivé et que tu continues à peindre (avec plisir c'est l'essentiel) tu progresseras, un bon décapage sur Tyrion, une nouvelle beauté un shéma de couleur plus clair et hop, la déception que tu as pu vivre aujourdh'ui ne sera qu'un mauvais souvenir. Pour finir, je te dirais de ne pas te décourager on a tous commencé à peindre comme des pieds mais avec une certaine fierté cependant puis on s'améliore et on garde ses vieills figs comme preuve de nos progrés !!!! P.S : si tu aimes les shémas très colorés tu devrais faire une armée d'hommes lézards, je peints de la couleur que je veux chacune de mes unités car les HL n'ont pas de couleur précise meme si les gars d'heavy métal veulent faire croire que c'est le ice blue !
  23. Tepocl

    Enfant du chaos

    je verrais bien une peau écorché plus clair, tu pourrais par exemple peindre des tendons en bleached bone ou en skull white qui va vers le red gore. Pour les tentacules un truc très simple aurait fait ressortir toutes les pointes osseuses : laisser un cercle noir à la base. En tot cas tu as un très bon niveau de peinture et c'est une super idée de fair eun tutorial. Par contre je n'aime aps à fond de shéma de couleur parce que je ne trouve pas d'explication à une peau marron pour moi ça correspond pas à une couleur de peau ni à celles des dieux du chaos... en meme temps chacun ses gouts chacun ses shémas de peintures !
  24. Tepocl

    divers - LA hassat

    YEEEEEHEEEEE ! J'ai fini ma nouvelle, en 4 jours. J'espère qu'elle vous plaira et qu'elle ne sera pas trop lourde à lire (je vous conseille de l'imprimer pour ça parce que 9 pages d'affilé sur un écran c'est pas agréable et bonjour le mal de tete). Des corps, des cris et des crocs. Depuis plusieurs jours, des familles et des caravanes issues de tout notre territoire affluaient à notre campement des crânes monolithiques au sud du golf du Mèdes et au nord des Terres du Sud. Ce rassemblement est ordonné par la fête de la panthère qui aura lieu sous peu. Cette année, des cervalins se joindront à nous, non pas pour prouver leur valeur ce qui n’est plus à démontrer, mais pour nous aider dans notre mission. Mission qui sera de profaner les chambres funéraires de Cuexotl, la cité des Al Saurîms qui borde le fleuve rouge et les grandes montagnes. Cette expédition ne saurait être menée à bien sans un chef de qualité qui sache enseigner l’art de la discrétion et de tuer dans l’ombre à nos jeunes recrues. Voilà pourquoi une prêtresse est venue me trouver et m’a confiée cette tâche, mais comme l’on n’a rien sans rien, je n me suis rendu aux crânes monolithiques qu’après avoir été honorablement payé par cette même prêtresse. Le campement est très agité ce soir, une caravane religieuse nous a rejoins et les fanatiques qui l’accompagnait sont pris de transes. Les musiciens battent le rythme sur les tambours en peaux d’infidèles. Il suit celui du cœur accompagné à son tour par les chants des jeunes garçons, cela même qui vont devoir prouver qu’ils sot dignes de devenir des ombres des dunes. Les battements s’accélèrent, les chants se sont tus et pourtant leur écho résonne encore dans ma tête. L’heure approche. Il est temps d’interroger nos ancêtres. Les prêtresses mélangent la poudre d’os au sang des chameaux coulant par pulsations des entailles faites dans la chaire tendre de leur cou. Le breuvage passe de main en main, chacun y trempe ses lèvres pour goûter la sagesse de nos aïeux. Un fanatique est pris de convulsions, ses muscles sont raidis et ses yeux révulsés, on ne lis sur son visage qu’une expression de douleur qu’aggrave un regard vide souligné par des veines nues qui laissent s’échapper un filet de sang. Il bafouille qu’il est prêt à LA recevoir… Ses congénères entrent aussi en transe, ils dansent sans voir où ils vont, tournant autour de l’âtre sans jamais le toucher, ils rient nerveusement la vitesse s’accélère de même que les coups du tambours qui se font de plus en plus pesants. Les cervalins se traînent à terre et se griffent le visage pour entrer e contact avec ELLE. Ils sont maintenant des panthères et rugissent si fort que le sang jaillit de leur bouche pour maculer le sable du désert, lequel absorbe instantanément le liquide qui lui est généreusement offert. La phase de l’affrontement débute, les fanatiques-panthères se sautent dessus pour planter leurs crocs dans le cou de l’autre. Le duel fait rage et les combattants roulent trop près du feu qui a tôt fait de poser sa marque sur les membres égarés. Cette phase se termine par la guérison et les protagonistes rampent l’un vers l’autre pour lécher ses blessures et se délecter de la saveur des plaies. Une prêtresse fait partir un éclair bleuâtre au-dessus de nos têtes, les panthères sont secouées, subitement plaquées par l’effroi contre le sol, les rugissements se taisent, els tremblements cessent, le rythme ralentit et les chants reprennent doucement. C’est la phase de l’éveil. Les cervalins reviennent à leur état humain, quittent leur position prostrée pour s’asseoir au cœur du cercle. Du sang ruisselle de leurs oreilles, de leurs narines et même des pores de la peau. L’expérience a été violente, comme à chaque fois d’ailleurs, elle n’en est que meilleure. Les fanatiques disent avoir tout vu, tout entendu. Les ancêtres leur ont parlé et les ont conseillées affirment-ils : c’est pas la canopée que nous devrons nous rendre à Cuexotl. L’heure est venue, pas de repos pour le guerrier car il doit montrer l’étendue de ses ressources. Je rassemble les ombres des dunes en même temps que les cervalins qui prendront part à l’expédition, els autres resteront au campement jusqu’à notre retour. Enfin, je foule le sol humide de la jungle avant de m’y enfoncer encore plus, nous ne rencontrerons pas de patrouilles des Al Saurîms avant quatre ou cinq jours, le temps pour nous de nous acclimater aux rudes conditions qui nous attendent. Les premiers jours ont été, j’en suis certain, beaucoup plus agréables pour nous que ceux des précédents aventuriers qui tentèrent leur chance dans ce milieu hostile avant nous. Ceci grâce à nos connaissances des plantes et des herbes qui guérissent des fièvres tropicales, des morsures et des venins. Nous sommes d’ailleurs chargés de récolter une grande variété de ces herbes que l‘on ne trouve pas dans les autres contrées. Je réserve les ingrédients des potions d’amours, de jeunesse et de virilité aux princes efféminés des cours d’Arabie qui me payeront royalement ce qu’ils n’on pas eu le courage de cueillir eux-mêmes. Et puis je garde l’essentiel pour les gracieuses prêtresses de mon peuple qui feront bon usage de ces plantes et sauront mieux que quiconque me verser le paiement adéquat. Le soleil de notre troisième jour de marche silencieuse décline en ce moment et nous envoi ses derniers rayons qui traversent difficilement l’épaisse voûte végétale, formée plusieurs coudées au dessus du sol par l’entrelacs des branches et des lianes qui s’y accrochent. Nous ne tarderons pas à rencontrer l’une ou l’autre patrouille d’Al Saurîms il nous faut croître en vigilance pour rester masqués car trahir notre présence ruinerait inévitablement notre mission. Je me blotti du mieux que je peux contre le tronc moite d’un arbre. Cette eau omniprésente qui inonde ma vision depuis que je suis pénétré dans cette jungle aussi dense qu’angoissante, il n’existe aucun abri sûr et ils est impossible de trouver le sommeil plus d’une heure ou deux de suite, petit à petit les nerfs rongés par la fatigue, se brisent et la folie nous gagne. Je dois mener cette mission aussi vite que j’en suis capable si je ne veux connaître un tel sort. Je me réveille au beau milieu de la nuit avec l’impression d’être pris dans un étau. Un poids grandissant m’enserre et m’étouffe. La fatigue qui m’accablait a eu raison de ma vigilance, je n’ai donc pas senti l’approche de l’anaconda qui s’est faufilé jusqu’à moi et dont je suis la victime à présent. La pression des anneaux augmente dangereusement, le monstre veut briser mes côtes, croit-il pouvoir me vaincre de la même façon qu’un vulgaire crocodile ? Il ne se doute pas que mes canines sont extrêmement développées, presque autant que celles des tigres que je chevauche. Durant un court instant, j’use de mon agilité pour me substituer à l’étreinte mortelle du reptile avant que la prise soit trop ferme. Sans lui laisser le temps de réagir, je plante mes crocs avec sauvagerie dans les veines de sa tête que je traverse de part en part. L’anaconda terrassé s’agite nerveusement dans l’eau souillée par son sang qui se répand comme une onde impure teintée de rouge. Par chance, la bête n’était pas adulte et ses écailles encore molle elle cherchait probablement à se nourrir avant d’entamer une nouvelle mue c’est alors qu’elle aurait été le plus dangereux. Je savoure ma victoire et contemple les 4 mètres de long et les quatre-vingts kilos encore parcourus de spasmes qui nous assurent de manger de la viande pour les prochains jours, sans compter que je conforte par la même occasion ma place de meneur dans mon groupe et que cet incident n’a pour seul conséquence que de me glorifier aux yeux de les hommes. Mes hommes se rendent compte de la légitimité de la renommée de Taïtec’h, héros du siège d’El Kalabad. La moiteur de cette jungle est insupportable, aucunes pièces de vêtements n’a le temps de sécher, nous baignons dans la mangrove jusqu’au cuisses, nos torse flottent dans le brouillard et nos tête essuient le crachin continu ces lieux. Les moustiques sont au moins aussi nombreux que les poils de ma barbe, leurs dards aussi longs que mes griffes et pour finir, le vrombissement de leurs ailes perturbent nos sens et notre sommeil. Ces rudes conditions sont exactement ce que je cherchais en venant ici mais si je suis capable de les supporter sans rien dire, je doute de l’endurance des plus jeunes recrues qui n’ont pour certains participé qu’en une seule occasion à la fête du chat. Je décide d’emprunter la canopée après une courte halte. Sautant sur l’occasion de motiver les troupes, je fais de l’ascension des arbres géants une course, un jeu allègera leur pensées. Le moral revient et j’entends même quelques éclats de rire ; c’est bon signe car la déesse ne nous a pas oubliés. En vérité, la cime des arbres s’avère être un chemin beaucoup plus facile d’accès : la boue ne ralentit plus désormais chacun de nos pas, un air frais et revigorant parcourre les feuilles chargées d’eau et les moustiques se font plus rares. Au milieu de la cinquième journée, l’avant-garde nous signale qu’une importante patrouille d’Al Saurîms de petite taille vient dans notre direction. J’ordonne tout de suite le branle bas de combat pour tendre une embuscade. Les reptiles savent mieux tirer parti que nous de ce type de terrain mais nous avons l’avantage de nous déployer les premiers. Le défi a son importance car nombre des ombres n’ont pour l’instant livré aucun combat ou pris la vie de quelqu’un et les cervalins sont certes de précieux alliés mis d’une instabilité compromettante. Je les place alors dans le conopée, d’où ils se jetteront sur la tête de l’ennemi en se laissant choir le long des lianes. Quant aux ombres, elles prennent place derrière les fougères et les troncs qui bordent la voie dallée. Leur rôle sera de cribler l’adversaire de traits mortels à l’aide de leurs arcs tout en l’encerclant il se jetteront ensuite à l’assaut en même temps que les cervalins. Je vais pouvoir ainsi mieux les évaluer et juger des mes qualités de général. Tout le monde est en place, un silence de mort s’installe, la cohorte s’enfonce lentement mais sûrement dans mon piège, encore un peu, une dizaine de pas et ce sera bon. Des cris s’élèvent soudain autour de nous, de grands singes défendant sans doute leur territoire se mettent à braille et à nous jeter des fruits. Trop tard, le plan est compromis et la cohorte d’Al Saurîms se disperse déjà. Pas le temps d’utiliser nos arc, si nous leur laissons le temps d’utiliser leur sarbacanes ce sera un vrai carnage et je me dois de l’éviter. Les lianes se déroulent sous le poids des cervalins lesquels se laissent glisser depuis la voûte végétale et se retrouvent immédiatement au corps à corps. Par bonheur, l‘avant-garde a été suffisamment rapide pour bloquer la route aux fuyards, l’ennemi est encerclé et l’étau des ombres se resserre impitoyablement. Les reptiliens ne peuvent fuir mais se cacher dans les marécages si ! Il faut à tout prix les entraîner à m poursuite pour qu’ils abandonnent cette idée. J’appelle un petit groupe d’ombres à me rejoindre et ensemble nous créons tellement de dégâts que l’ennemi ne pense plus à profiter du terrain et se voue ainsi à une mort certaine. Au combat rapproché, nous surpassons largement nos piètres adversaires incapables de nous porter la moindre estafilade, ils voient leur nombre décroître à une vitesse fulgurante qui ne leur laisse que le temps de paniquer et de se jeter dans els mares infestées de poissons carnivores. Les derniers survivants sont plus coriaces et à la vue de leur riches parures ils doivent être d’important personnages, malheureusement pour eux je n’ai ni le temps ni l’utilité de les faire prisonniers et nous les défions en combats singuliers. C’est l’occasion pour les meneurs de montrer leur bonne maîtrise de nos arts de combats, en esquivant les attaques des sauriens et en tirant parti de leur déséquilibre ils ont tout le temps d’ajuter leurs attaques et d’assener des coups fatals. Ces hommes lézards se sont montrés bien plus agile et habile que leur servants, les combats n’en furent que plus impressionnants, les duellistes faisant durer les combats pour épater un peu plus leur frères d’armes. Après une demi-heure d’acrobatie et de danses de combats enchaînées avec fluidité je décide de mettre un terme aux combats par la mise à mort de mon adversaire après qu’il m’ait assené un humiliant coup de queue. Les ombres suivent mon exemple et bientôt ne gisent sur le sol que des cadavres mutilés qui attirent les premiers charognards. Nous nous empressons de jeter ces dépouilles dans les marécages après les avoir débarrassées de leurs richesses excédentaires, des tenues exotiques, des perles et de tout ce qu’ils portaient et qui brille. Les choses se sont plutôt mal passées car j’ai perdu d’avantages d’hommes que prévu, néanmoins, j’ai pu les évaluer dans le feu de l’action et les ait préparés à leurs futurs combats. Une chose m’intrigue : pourquoi une banale patrouille serait-elle aussi conséquente et accompagnée par une dizaine de hauts dignitaires ? Je n’aime pas ça car cela pourrait dire qu’elle venait à notre rencontre mais ça ne colle toujours pas car ils auraient té alors sur leurs gardes. Peut-être qu’ils s’étaient, eux aussi, vu confié une importante mission et dans ce cas je pense que j’ai mis les pieds au mauvais endroit. J’accélère les manœuvres avec une certaine anxiété car notre présence n’est sûrement pas passée inaperçue si près de la cité-temple. Nous pressons le pas pour arriver à Cuexotl au crépuscule, l’attaque sera donnée dans la froideur de la nuit qui affectera lourdement la vivacité de nos ennemis à sang-froid. Au soir, nous campons aux abords de la cité. L’atmosphère se fait de plus en plus tendue, presque crispante, les nerfs de mes hommes sont rongés à la limite du soutenable et ils ne les éprouveront plus très longtemps. Je leur fais part de mes consignes et de mon plan : je dispose de soixante-dix cervalins et de cent cinquante ombres. Un tiers d’entre elles resteront à l lisière des bois pour couvrir notre retraite car de toute façon il sera trop risqué et indiscret de tous nous infiltrer dans la cité. Une équipe de vingt ira faire diversion de l’autre côté de la ville si notre couverture était éventrée. Ces ombres se garderont d’engager l’ennemi au corps à corps pour dissimuler leur sous nombre et ne pas se faire entourer dans une mêlée hasardeuse. Une trentaine d’ombres formeront de petits détachements qui se chargeront des sentinelles entre notre position et la pyramide du défunt seigneur. Les troupes restantes viendront avec moi et ensemble nous iront dépouiller le slann momifié dans sa crypte. Nos effectifs paraissent conséquents pour cette mission mais il n’en est rien car une cité-temple, bien que moyenne comme Cuexotl comprend plus de cinquante milles Al Saurîms en plus des féroces bêtes qu’ils dressent. L’infiltration commence, el groupe chargé d’éliminer les sentinelles, parti peu avant le mien, remplit bien sa mission, pas un cri ne nous est parvenu mais nous apercevons au détour d’une ruelle un garde qui ne peut plus pousser aucun gémissement à cause de la dague enfoncée dans sa gorge. La voie est libre, des flèches brisées ici et là m’indiquent que la route est sûre. Pourtant, je ne peux m’empêcher d’être inquiet, j’ai l’impression de subir la projection des sombres pensées de quelqu’un d’autre, mes sentiments se font plus confus et les sueurs froides qui coulent le long de mon échine ne font que les renforcer. Je frissonne, je sens la peur de mes hommes pris de la même faiblesse. C’est alors que je me remémore les préceptes de mon enseignement : « la peur est l’ennemie du vainqueur mais s’il sait la séduire plus aucune crainte ne l’entravera ». Je répète avec conviction cette phrase à mes hommes qui y puisent à leur tour l’énergie de venir à bout de la confusion qui nous tordait l’âme. Nous arrivons à la pyramide du seigneur slann momifié. J’enjambe les corps inertes et meurtris des gardes pour aller à la rencontre des assassins qui m’ont précédé et qui m’attendent sur les gradins supérieurs. Je leur fais mes dernières recommandations, les laisse avec les cervalins qui garderont nos arrières et nous avertiront des réactions des sauriens. Je m’enfonce sans plus attendre dans la pyramide uniquement suivi par mon groupe d’ombre, l’élite de mes recrues. Un couloir à peine éclairé par la lueur des étoiles dont l’éclat nocturne se reflète faiblement sur les parois suintantes nous mène à un cul de sac. Cette impasse n’est en fait qu’une porte mais il faut en trouver la clé ou le code pour l’actionner dans le bon sens et espérer la franchir. Ladite porte est couverte de glyphes, fondus dans l’or le plus pur, ils représentent symboliquement le visage grimaçant et massif des seigneurs Al Saurîms et plus particulièrement le faciès de celui qui repose u fond des cryptes de cette pyramide-tombeau. J’ai failli un instant retirer les yeux des glyphes absolument envoûtants car taillés dans des rubis somptueux. C’est une vraie épreuve de résister à cette tentation mais je m’y suis refusé. A la place, j’ai déposée la main tranchée d’un Al Saurîm, paume retournée dans la gueule du glyphe. Mon stratagème trompe effrontement l’astuce des bâtisseurs de ce tombeau et des grincements accompagnent les bruits des rouages et les réjouissances silencieuses de ceux qui m’accompagnent. Sans mes connaissances des codes des hommes-lézards, jamais je n’aurai pu profaner ce temple et c’est d’ailleurs pour cette raison que je fus choisi. Pendant que la porte tourne sur elle-même, un vent frai émane des profondeurs occultes de la pyramide et nous indique la voie à suivre. J’entraîne la cinquantaine d’ombres de mon équipée à ma suite dans la noirceur des souterrains en prenant soin de bloquer la porte au préalable avec des blocs de pierres pour faciliter notre fuite et éviter que ce tombeau ne devienne le notre. Après un court cheminement à tressaillir au moindre bruit suspect, nous aboutissons à une cavité naturelle dont les rebords boueux encerclent l’eau terreuse qui stagne au milieu. Je pense alors que nous sommes dans els quartiers des grands Al Saurîms, je me prépare à une attaque imminente mais rien ne se produit. Mes sens en alerte me font remarquer l’absence de traces dans la boue et d’issues à cette grotte ce qui signifie que ces quartiers sont abandonnés. Avec toujours plus de prudence nous empruntons le dernier couloir. Nous le traversons bouche bée, lentement et d’un pas aussi silencieux que respectueux, nos cœurs s’allègent devant tant de beauté. Les murs de ce couloir plus large et plus haut que els précédents sont couverts de tablettes d’or. La lumière de nos torches fait apparaître nettement les détails de la sculpture, ces courbes, ces angles et ces yeux de gemmes semblent nous observer, nous sonder et rire de nous aussi c’est comme si elle étaient vivante et possédaient une volonté ou une conscience. On raconte que ces tablettes prédisent l’avenir à qui sait les lire et je connais nombre de mages et de sages du vieux monde qui payeraient cher, très cher pour contempler ces merveilles et travailler dessus. Mes hommes décrochent une à une les tablettes de prophéties du mur et les chargent dans des sacs. Le couloir se termine sur une pièce ouverte et sans nulles autres issues que celle dont nous venons. Elle est encore plus splendide et impressionnante que le couloir qui la précède : les murs richement décorés croulent sous les décorations de plumes et de gemmes, des jarres sont mêmes remplies de ces pierres précieuses. Une fresque très colorée orne le mur du fond et raconte l’Histoire du seigneur qui repose ici. Sa dépouille momifiée réside au centre de la pièce, un masque incrusté de topaze luit étrangement et lui donne une expression mystérieuse. Il nous regarde au-delà de sa mort, il regarde en nous ! Les mêmes sentiments confus ressurgissent tout à coup, un malaise similaire s’installe et je sais à présent que c’est cette entité magique qui projetait ce trouble en moi. L’inquiétude me gagne et je voudrais volontiers quitter cet endroit hostile mais la mission n’est pas terminée, nous devons ramener els artéfacts sacrés du seigneur millénaires. J’interdis à mes hommes de toucher à la relique car je soupçonne un grand pouvoir magique d’y sommeiller. Hélas l’envie est plus forte que mon autorité et une ombre qui voulait s’approprier le masque de la momie reste muet e immobile devant elle à contempler ses yeux de topaze. Il s’est ensuite poignardé avant de lâcher un râle de souffrance atroce. Cet incident nous a fait comprendre que si profaner la chambre mortuaire fut aussi aisé c’est parce que nous n’en rechaperions pas. J’abandonne l’idée de voler d’avantage d’artéfacts et je ne pense plus alors qu’à ma propre survie et à celle de mes compagnons. Un homme en ouvrant une jarre, libère un poison volatil qui ‘a tué net, de même que quatre autres. Il faut se dépêcher. J’arpente le couloir en tête, refaisant le trajet à l’envers. Pour plus de sûreté, j’ai ordonné l’extinction des torches et grand bien m’en a pris : des éclats métalliques dans l’obscurité de la grotte ont trahis les Al Saurîms embusqués. Je fais signe de halte, je sonde la cavité naturelle des mes yeux de chats pour évaluer l’ennemi, ils ne sont que cinq peut-être sept ou huit si y en a sous la surface de l’eau. Cependant, ces sauriens là sot beaucoup plus imposants que ceux que nous avons eu l’occasion d’affronter, en vérité, leurs armes sont aussi grandes que les plus petits hommes-lézards ! Ils n’ont ni boucliers, ni armes de jets et ne revêtent pour seules armures que des amulettes encore une fois en pierre de toutes sortes. Nous nous battrons à sept contre un et c’est tant mieux car cela compensera la force de ces créatures. Il faut agir vite car des renforts pourraient arriver sous peu. Je recule de quelques pas puis, prends mon élan avant de sauter plus loin que le puma et les Al Saurîms, décontenancés ne bronchent pas. J’atterris dans l’eau en plantant mes armes dans la bête de plus haute stature qui semble diriger ses congénères et soudain je réalise mon erreur : la mare boueuse me fais perdre tous mes moyens et je peux peut pas profiter de ma maîtrise des arts martiaux. Tandis que mon robuste adversaire est à l’aise dans cet élément il se rapproche à grands pas vers moi et brandit puissamment sa lourde masse pour m’assener un coup aussi brutal que lui. Je ne dois mon salut à mes frères d’armes qui s’engagent dans la mêlée à cet instant, à l’un d’eux en particulier qui a réussit à sauter plus haut que les premières brutes qui barrent le passage pour atterrir sur les épaules de mon ennemi, lequel perd l’équilibre et disparaît un instant sous l’eau. Pendant ce temps, de multiples combats s’engagent tout autour de moi, je suis heureux de constate que les jeunes recrues ont la bravoure d’affronter ces colosses reptiliens qui inspireraient la peur à nombres d’autres. Je contemple un court instant les danses martiales qu’ils effectuent autour de leurs victimes, esquivant les coups maladroits des Al Saurîms qui s’écrasent contre la roche et font jaillir des éclats coupants. Malheureusement les dieux les ont dotés de puissantes queues terminées par une boule bardées de cornes et d’épines, un véritable fléau dont ces créatures se servent pour briser les jambes de ceux qui s’approchent de trop. Cette arme cause plus de dégâts que les masses de bronze dont ils sont armés mais la menace n’est pas à négliger pour autant et danger qu nous sommes a enfin trouvé des adversaires dignes de son ambition. Un grondement féroce s’élève dans mon dos, une gerbe d’eau m’éclabousse sous l’impulsion de la bête enragée qui jaillit soudainement. Je reprends mon duel avec le champion saurien en prenant soin cette fois d l’affronter hors de l’eau dans un terrain qui me sera plus favorable. La lutte s’annonce plus équilibrée. Je tire parti du sol glissant pour plonger vers le saurien, passant à toute allure entre l’arc de ses cuisses, j’en profite pour y planter mes griffes. Habituellement, cette attaque plonge mes cibles à terre qui succombent rapidement à la douleur, mais le saurien n’a lâché qu’un léger grognement assez rauque qui montre sa colère et sa détermination à chasser l’intrus de son domaine. Pris d’une fureur grandissante, il me jette contre la paroi rocheuse, ses arrêtes pointues s’enfoncent dans mes chairs déjà douloureuses, je rassemble ce qu’il me reste de volonté pour ne pas succomber à l’évanouissement. Adossé à la paroi, j’attends recroquevillé qu’il s’approche. Son pas est lourd et ferait presque trembler le sol, le sang qui coule sur mes yeux brouille ma vision, je le goûte et aussitôt, une haine sans fin et une envie de tuer dévorante m’emplisse, je savoure cyniquement le moment, un feu intérieur me brûle et ne demande qu’à exploser. Maintenant que le mastodonte est à portée, je déplie violemment mes jambes qui me propulsent à une vitesse folle, qui reflète mon état d’esprit, vers la gorge du reptile. C’est là, entre deux plaques osseuses que je plante mes griffes enduites de poison, un rictus cruel entaille mon visage. La joie d’avoir terrassée ce monstre est telle que j’enfonce un peu plus loin mes griffes, tant et tant qu’elles restent figées dans l’ossature du mort. Que cela serve de leçon aux Al Saurîms et à tous les êtres marchant ou rampant sur ce monde : seuls les Hassats survivent aux duels qu’ils engagent ! Les grands Al Saurîms sont tous à terre, à chercher leurs membres ou pousser un dernier grognement, pas de prisonnier, la chair est faite pour souffrir. Nous n’avons guère plus de dix morts ou blessés à déplorer, les plus jeunes qui n’avaient pas plus de treize ans jonchent le sol à cause de leur manque d’expérience qui leur fut fatal mais leur mort est belle et je m’en souviendrai. Les survivants sont tous des guerriers aguerris, leur initiation est très fructueuse mais il nous faut encore sortir d’ici. J’ai à peine le temps d’essuyer le sang gluant qui ternit l’éclat de mes lames que les cervalins et les ombres qui les guettaient sur les gradins déambulent dans la grotte. - Nous sommes faits ! dit l’un. Des nuées de sauriens sont sorties de leurs baraquements, certains sont montés sur des espèces de chevaux cornus couverts d’écailles et ils ont poursuivis le groupe de diversion dans la jungle. Le groupe de repli tient bon car il est resté caché mais il aura bientôt affaire avec les javelots des cohortes des êtres à sang-froid. - Ils sillonnent la cité en tous sens et ce n’est qu’une affaire de minutes, précise un autre. La situation semble désespérée mais les conflits recèlent toujours plusieurs portes de sorties, j’avais prévue une tournure désastreuse et je n’en suis pas à ma première infiltration ! - L’eau de cette mare est forcément approvisionnée par une rivière souterraine, dis-je à mes hommes. L’arrivée des énormes sauriens renforce ma conviction. Les tunnels qui nous ont conduits jusqu’ici descendaient doucement et nous nous trouvons maintenant à plusieurs dizaines de mètres sous terre. Vous partirez par cette voie en vous laissant portés par l’eau et par les sacs gonflés d’air que vous emporterez qui vous permettront de respirer sous l’eau. Peut-être que les goulots seront trop étroits ou trop long mais c’est un risque à prendre et je ne vois pas d’autres solutions pour le moment. Que les plus forts prennent les sacs chargés du butin avec eux. La rivière souterraine aboutit certainement au fleuve rouge à l’ouest de la cité-temple, non loin de la cache des ombres embusquées justement qui couvriront votre retraite si besoin est. Nous nous retrouverons à la clairière des ossements, je m’en vais pour ma part livrer avec les cervalins ce qui sera peut-être notre dernier combat pour détourner l’adversaire. Puisse notre déesse veiller sur nous et puissions nous à notre tour l’honorer sans faillir. Je prenais le chemin de retour avec encore plus de précautions ; Il est ardu de garder les silence avec des hommes tels que els cervalins, toujours à délirer, à murmurer des prières entrecoupées de paroles incohérentes ou à se mouvoir d’une manière saccadée en laissant libre cours au spasmes d’excitations qui les habitent. Tout cela fait que j’ai le sentiment que nous nous ferons remarquer et que je serai hélas, impuissant à contrôler les fanatiques. Dans ces conditions il faut savoir tirer parti de l’entière dévotion de ses troupes envers leur idéal, j’abandonne l’idée d’agir dans l’ombre et opte pour celle de défier les Al Saurîms une fois de plus comme si nous ne les avions pas assez humiliés. Une lueur s’amplifie peu à peu, le couloir s’élargi et nous allons prochainement déambuler sur les gradins. Si les reptiles fouillent réellement la cité nous n’avons que peu de chances de la traverser intacts et puisque j’ai interdis à nos compagnons de nous attendre nous ne devons compter que sur nos propres moyens. Je descends à présent les marches de la pyramide en tête du cortège, il faut trouver une solution et vite ! Des inquiétants oiseaux reptiles parcourent les cieux et ne tarderont pas à nous repérer car les abris manque dans ces ruelles. J’ai trouvé : je vais moi aussi chevaucher ces bêtes, si elles sont capables de porter deux sauriens elles peuvent aussi porter un homme et pourquoi pas deux sur une plus courte distance ? À conditions que ceux-ci se fassent obéir par elles. Je repère non loin de notre position ce qui pourrait être une volière. J’ordonne immédiatement la charge de cette plate-forme, les reptiles n’y sont pas encore et ce n’est pas les quelques sentinelles qui la garde qui nous arrêterons. Il faudra faire vite pour gagner le temps de grimper sur le dos des téradons. Un reptilien se dresse héroïquement devant nous, il porte sa sarbacane à ses lèvres et aussitôt trois de mes hommes, stoppés dans leur élan s’écroulent sur le sol. Cette volée est suivie par une véritable grêle de dards qui sifflent à nos oreilles. Nous sommes totalement désorientés par ces fléchettes que nul ne semble tirer, elles proviennent de toutes les directions mais un seul saurien nous affronte. Les cervalins pensent avoir affaire à des tireurs invisibles, une engeance démoniaque de reptile qui ne fait qu’augmenter leur désir de combattre au lieu de paniquer bêtement. Si j n’avais vu un mur se mouvoir discrètement j’aurai cru à une attaque magique mais nous affrontons en réalité des choses caméléons qui se fondent dans leur environnement. Jamais je ne me serais douté que cette race possédait des armes aussi dangereuses mais il faut à tous prix enrayer cette menace. Ces tireurs presque invisibles sont une véritable plie, en effet, ils tirent avec précision et à une cadence soutenue, les cervalins peinent à les toucher car même à une faible distance distinguer ces êtres du monde qui les entoure représente une grosse difficulté. Pourtant les fanatiques se battent bien, Tigra veille sur nous et guide nos gestes sous formes d’intuitions. Les crocs des tigres que mes frères manient rougissent étrangement au contact du « vide », cette vision effroyable emplit les choses caméléons d’une peu panique car il ne s’attendait pas une résistance aussi farouche de notre part. Ils fuient en silence quérir quelques secours, les plus déments de mes hommes se lancent à leur poursuite alors que j’arrive à garder les autres près de moi. Le temps presse : l’aube s’annonce déjà et les sauriens de plus en plus nombreux vont rapidement gagner en vivacité avec les rayons chauds qui partagent déjà le ciel. Nous atteignons la plate-forme au pas de course et l’investissons sans plus attendre, puis les cervalins s’attèlent à en détruire toute forme d’accès. Les téradons qui résident dans la volière s’affolent en sentant notre présence et donnent coups de bec et d’ailes à tout va. J’ai alors l’idée de me couvrir le corps de la substance gluante et transparente qui humidifie la peau des gardes, gisant dans la litière. La ruse fonctionne et ma nouvelle monture se laissent chevaucher sans s’agiter. Les cervalins qui m’accompagnaient encore font de même mais très vite, les téradons viennent à manquer. Je me risque à prendre en croupe un cervalin, immédiatement imité par mes congénères. Malheureusement les montures fléchiront bien vite sous le surpoids et ne pourrons nous porter aussi loin que je l’escomptais. Même ainsi des fanatiques sont bloqués sur la plate-forme, ils sont deux douzaines et se réjouissent de se sacrifier pour nous et la gloire des Hassats ! L’envol est pris et je vois en bas une créature monstrueuse, plus imposante encore que nos éléphants, tout en corne et en écailles, se ruer sur la volière… Après quelques heures de vol seulement à guetter les éventuels poursuivants, je perçois des signes de faiblesse de m monture. Elle préfère désormais se laisser planer sur les vents pour s’économiser mais cela nous entraîne à basse altitude. Les ombres doivent nous attendre à trois journées de marches au sud de Tlaqua, nous y arrivons et il sera alors temps de relâcher nos montures épuisées. Trop tard ! Des poursuivants s’annoncent en provenance de Cuexotl et de Tlaqua. Il sont plus léger et plus frais que nous et gagnent rapidement du terrain. Le vent est avec eux, et dans quelques minutes nous essuieront leurs premiers tirs. J’encourage ma monture à puiser dans ses dernières ressources pour nous déposer sur la canopée où nous nous trouverons à couvert. Certains hommes, criblés de flèches ont chut de leur monture à bout de forces pour aller s’écraser loin en contrebas. Les reptiliens sot maintenant à ma hauteur et tentent de me dépasser quand soudain je constate, étonné, qu’un Al Saurîm désarçonné flotte un instant dans les airs pour enfin heurter brusquement les premiers feuillages. D’autres volées de flèches tirées des arbres atteignent d’autres sauriens qui subissent une chute mortelle à leur tour. Une fois de plus la providence nous a sauvés et mes frères d’armes qui m’attendaient ont eu raison de la menace. Passé l’attaque, j’atterris au milieu de la clairière des ossements, rejoins peu après par les survivants de mon expédition. Ces retrouvailles emplissent mon cœur d’une grande fierté car ces adolescents qui ont vécu et survécu à leur acceptation dans nos unités de l’ombre ont montré qu’ils avaient l’étoffe de devenir des ombres des dunes et tant que nos valeurs seront ainsi honorées l’ennemi aura grand souci à se faire de nous autres hassats adorateurs de la déesse féline. « Que le sang inonde la terre et rougisse les mers et les cieux. Que tous ensemble nous défions vos dieux, Puisse-t-ils exalte notre colère. » Tepocl. pas trop cucu la fin ?
  25. Je ne joue pas empire mais je trouve que c'est un mauvais choix de prendre autant de cavalerie à ce format parce que tu coup il n'avait que 45 figurines et le joueur skavens en alignait 88 (le double). Le pire c'est que sa cavalerie s'est faites décimée avant d'avoir causé le moindre dommage (sauf pour les pistoliers) en gros il aurait mieux fait de troquer sa cavalerie contre des canons et des lanciers qui protègeraient les premiers des charges et qui acheveraient les survivants. Il y a quand meme du bon dans ce rapport de bataille : le joueur skavens a appris ce qu'est une liste bourrin et s'il veut garder son pote il va surement jouer moins abusé lors de ses prochaines parties et découvrir qu'on peut s'amuser autrement ! le joueur empire, lui, va apprendre à revoir ses stratégies et ses listes du meme coup, je suis sur qu'en se méfiant un peu plus de ces saletés de rats (qui a dit que je jouais HL ?) il arrivera à faire des listes plus compétitives (surtout s'il lis les réponses de ce post). Une bonne tactique est de mettre de la mort au rat dans les céréales de son ennemi y a que ça qui marfche avec cette engeance de toute façon !
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.