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Warhammer Forum
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Satire, rire et délire!


Imperator

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Oula, Imperator... :clap: C'est vraiment dommage. Mais bon, je ne vais pas essayer de te persuader de continuer. Par contre, je veux bien tenir le rôle de suitiste(ça existe ça, comme mot?). Je ne promets rien mais je vais tenter de garder ton style comique très sympa. Je poste la suite dès que je peux, et j'attens ton avis(et celui des autres, bien sur) pour savoir si je respecte l'esprit initial ou si je bifurque trop, alors je m'avourais vaincu...Mais il n'est pas dit que Mr Petch n'aura pas essayé avant!

Mr Petch, exportateur d'espoir dans le monde entier

Alors, voila la suite:

Le lendemain, ce fut le tour du père.

Mama avait prévenu son turbulent rejeton que le nouveau dynaste venait sur les terres. Mildidjou n’avait pas tardé à apprendre que ce dernier n’était autre que son père, le fameux dynaste au nom bient trop complexe pour pouvoir s'en souvenir. Mildi, aussitôt qu’il eût appris la nouvelle, décida de se cacher pour éviter les éventuelles foudres du dynaste. Il trouva un refuge confortable dans la porcherie où son père ne risquait pas de le trouver (notez bien ce détail !)

Ce que Mama et Mildi ignoraient était que le dynaste ne venait pas seulement faire une visite de courtoisie. La dernière tentative de Malékith pour vaincre les elfes s’étant soldé par un échec(on se demande bien pourquoi…), il devait d’urgence recomposer une armée en selectionnant tous les sujets du royaume en âge de combattre. Et il allait de soi que chez les elfes noirs, dix ans était largement suffisant pour partir en campagne.

Ainsi, lorsque le dynaste arriva, accompagné d’Igor, dans la jolie petite ferme, les oiseaux ne chantaient pas, un grand froid faisait plier les arbres morts, les fleurs avaient depuis longtemps déserté les plates-bandes de la ferme et un orage se préparait. Autant dire que, dans sa porcherie puante, Mildidjou ne se sentait pas très à l’aise.

Le père frappa à la porte juste au moment où un éclair retentit dans le ciel. Mama ouvrit la porte et vit les deux elfes sur le palier. Igor était le portrait craché de son père : même menton décidé, même allure hautaine, même caractère orgiaque, même si cela ne se voyait pas tout de suite.

- Nous voilà, fermière. Nous venons visiter ta ferme. Sers-nous à manger, je pourrais ainsi vérifier l’importance de ta ferme.

Mama, sans dire un mot, vida son garde-manger sur la table de bois. Igor commença à s’empiffrer de terrine de porc en gelée.

- Tu vis seule, ici ?

- Oui, bien sur. Je n’ai ni enfant ni mari, seulement mes vaches et mes cochons pour me tenir compagnie.

- D'accord, bon...On va sortir pour voir tout ça.

Le petit Igor dont la tête dépassait à peine de la table se mit à crier :

- Manger ! Pas fini !

Regardant d’un air atterré sa progéniture attardée, le dynaste soupira :

- Bon, mon fils veut s’assurer du bon maintien de votre ferme, il va emmener du travail à faire à la maison. Préparez-lui un grand sac de victuailles, tout ce que vous avez.

Et Mama commença à préparer le sac.

Pendant ce temps-là, un drame se jouait dans la porcherie. En effet, Mildidjou s’y trouvait et ce qui devait arriver arriva, Mihra vint nettoyer les auges comme tous les jours à cette heure précise. En voyant le garnement, son sang ne fit qu’un tour. Bien qu’elle eu la possibilité de le tuer d’un grand coup de râteau dans les côtes, elle imagina un plan plus machiavélique ( le râteau aurait été une bien meilleure solution, en fait…).

Comme le père de Mildi patientait actuellement dans le salon, elle décida de se venger en montrant le petit elfe à son père, qui serait sans doute très en colère. Prenant son courage à deux mains et son seau à deux anses, elle jeta Mildidjou dans ledit seau et se présenta ainsi dans le salon. D’un geste inspiré, elle versa le contenu du seau(qui n’était autre que Mildi, vous l’aurez compris) aux pieds du dynaste qui, il faut bien le dire, n’était pas très en forme ce jour-là. Pendant ce laps de temps, Igor avait englouti cinq cents grammes de terrine, un poulet entier, un gigot et dix verres de vin à 16°, millésime 2515(une excellente année pour le vin).

En voyant l’état de ses bottes toute neuves, tachées par le purin frais, le dynaste devint rouge de colère, il saisit Mihra à la gorge et lui cria :

- Qu’as-tu fait, pauvre folle, sais-tu seulement que ces bottes m’ont coûté un prix fou ?

Mama, qui arriva sur ces entrefaites, profita de la situation et glissa doucement :

- C’est une habitude chez elle, elle salit les bottes des gens au lieu de se présenter. Vous pouvez la garder, elle n’est pas très utile.

Le dynaste reposa la furie et dit :

- Très bien, je vais la garder. Elle subira un châtiment approprié.

Il était tellement en colère qu’il n’avait pas remarqué Mildidjou qui gesticulait péniblement sur le sol humide, se dépêchant de se réfugier dans la cuisine. Pendant ce temps-là, Igor avait fini la bouteille de grand cru et commencé l’engloutissement d’un lapin cru flottant dans son sang.

C’est ainsi que le père repartit, encore énervé par sa mésaventure.

Voila. Ce n'est pas très long mais c'est juste un entrainement. Merci de donner vos avis.

Mr Petch

Modifié par Mr Petch
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Bon, comme je l'ai dit, tu as mon autorisation (d'autant plus que tu respecte un peu (malgré une touche personnelle) l'esprit de la chose).

Ce que j'aurais changé:

Nafsjimtv (nom qui signifiait dans sa langue quelque chose comme « guerrier valeureux et grand commandeur de notre belle nation »).

donner un nom au dynaste? je sais que c'est dur de faire sans, mais je préférais: note: sans importance

Mildi, aussitôt qu’il eût appris la nouvelle, décida de se cacher pour éviter les éventuelles foudres du dynaste

Le père de Mildi adore ce dernier, et se jéterais en enfer plustôt que de reprocher quoique ce soit à son fils (il essaye de faire la même chose avec le deuxième, mais celui-ci n'étant qu'un morceau de lard sur patte, c'est plutôt bizarre): note: sans importance

dans la jolie petite ferme, les oiseaux ne chantaient pas, un grand froid faisait plier les arbres morts, les fleurs avaient depuis longtemps déserté les plates-bandes de la ferme et un orage se préparait. Autant dire que, dans sa porcherie puante, Mildidjou ne se sentait pas très à l’aise.

On sent ouvertement la critique! Ouais, je sais, c'est fait exprès, mais j'aimais bien raconter les choses normalement, même si elles paraissaient loufoques: note: bof, pas une grande importance...

- Nous voilà, Mama. Nous venons visiter ta ferme. Sers-nous à manger, je pourrais ainsi vérifier l’importance de ta ferme.

Je sais, j'ai appelé la fermière Mama, mais ça ne veut pas dire que tout le monde est copain avec... Le dynaste est fier, noble! Il ne s'adresse au bas-peuple qu'en le méprisant! : note: bof, dérangeant, sans plus!

- D’accord, dans ce cas je repars. J’ai vu que ta ferme était immense.
Mais... ce récit est sérieux... Pourquoi montrer la caricature à ce point! Tu peux la faire passer bien plus facilement autrement... Je crois que tu t'inspire trop largement d'Asurear(ce qui n'est pas une mauvaise chose!): note: un peu moins dans l'esprit, mais bon...
Voila. Ce n'est pas très long mais c'est juste un entrainement. Merci de donner vos avis.

Mr Petch

Je sais, t'es le seul concerné, mais quand on écrit Mildidjou, on ne le fait pas pour la gloire!: note: marrant! t'as plus d'audace que moi!

Ce que j'ai aimé:

- Manger ! Pas fini !

Regardant d’un air atterré sa progéniture attardée, le dynaste soupira :

- Bon, mon fils veut s’assurer du bon maintien de votre ferme

Génial! ça, c'est exactement le genre de truc que j'attendais de Igor! En plus, la première partie de la réponse du père va très bien (il veut relever l'honneur malgré tout!)

Bien qu’elle eu la possibilité de le tuer d’un grand coup de râteau dans les côtes, elle imagina un plan plus machiavélique ( le râteau aurait été une bien meilleure solution, en fait…).

Disons le tout de suite, maintenant, c'est moi qui suis légèrment offusqué de ce que tu fais de Mihra... Reste que c'est marrant et que, si c'est comme ça que tu l'envisages, ça me va très bien (ça évite le mélo-dramatique dans lequel j'étais plongé...)

Mama, qui arriva sur ces entrefaites, profita de la situation et glissa doucement :

- C’est une habitude chez elle, elle salit les bottes des gens au lieu de se présenter. Vous pouvez la garder, elle n’est pas très utile.

Génial, super bien placé! (t'as le sens de la répartie!)

Il était tellement en colère qu’il n’avait pas remarqué Mildidjou qui gesticulait péniblement sur le sol humide, se dépêchant de se réfugier dans la cuisine. Pendant ce temps-là, Igor avait fini la bouteille de grand cru et commencé l’engloutissement d’un lapin cru flottant dans son sang.

C’est ainsi que le père repartit, encore énervé par sa mésaventure.

Ohhhh yeees! ça, c'est dans l'esprit! T'es encore plus sadique que moi (je pensais bien que le père ne reconnaîtrait pas le fils, mais à ce point!!!¨, je le répète, j'adore!

Merci de donner vos avis

Bon, au moins, c'est bien tourné!

Donc: bilan: continue, tu fais mieux que moi!!!!!! Si tu es d'accord, je te condies le texte (dès que tu en a marre, tu le refile à quelqu'un d'autre, ou alors je reprends...)

Question... je pensais proposer à d'autres de te soutenir, mais je crois que tu réussi trop bien pour essayer, alors tant pis, compte pas sur moi pour leur demander ( tu te débrouille trop bien...)

Voilà, c'était Imperator, vraiment lassé de ne même pas pouvoir terminer ses textes et de voir que les autres sont mieux que lui...

Tellement lassé que j'ai écris un texte, mais il est tellement nul que je le mettrais jamais...(c'était Murear...)

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Bon bah, merci. Je deviens donc officiellement le nouveau père de Mildidjou! :clap:

Bon, maintenant, à propos de la nouvelle maison du rejeton:

donner un nom au dynaste? je sais que c'est dur de faire sans, mais je préférais: note: sans importance

C'est vrai, j'ai longtemps hésité et je voulais ton avis. Donc je change ça.

 

- Nous voilà, Mama. Nous venons visiter ta ferme. Sers-nous à manger, je pourrais ainsi vérifier l’importance de ta ferme. 

Je sais, j'ai appelé la fermière Mama, mais ça ne veut pas dire que tout le monde est copain avec... Le dynaste est fier, noble! Il ne s'adresse au bas-peuple qu'en le méprisant! : note: bof, dérangeant, sans plus!

Je vais bien changer ça, moi aussi je trouve ça dérangeant, mais bon, j'avais pas d'idée pour la nommer.

Mais... ce récit est sérieux... Pourquoi montrer la caricature à ce point! Tu peux la faire passer bien plus facilement autrement... Je crois que tu t'inspire trop largement d'Asurear(ce qui n'est pas une mauvaise chose!): note: un peu moins dans l'esprit, mais bon...

La aussi, je vais changer, après tout, ce n'est pas essentiel dans le récit. Juste un détail: je n'ai jamais lu Asurear(je vais y aller, quand même, histoire de voir)

QUOTE 

Voila. Ce n'est pas très long mais c'est juste un entrainement. Merci de donner vos avis.

Mr Petch

Je sais, t'es le seul concerné, mais quand on écrit Mildidjou, on ne le fait pas pour la gloire!: note: marrant! t'as plus d'audace que moi!

C'est pas de ma faute, j'ai eu une enfance difficile...Bon, je disais juste ça parce que j'étais pas sûr de moi, et que je voulais savoir ce que ça valais, et on juge toujours mal ses propres textes.

Donc voila, l'adoption s'est passée sans trop de problèmes. Les papiers sont signés et en bonne et due forme, l'enfant s'adapte bien dans sa nouvelle maison. Evidemment, il doit cohabiter avec des HL, le pauvre gamin... En résumé, je le prends pour le moment et si je rame trop, on change encore de proprio.

Sinon, Imperator, ne déprime pas :skull: . Moi, je t'aime bien! Bon courage!

Mr Petch

Modifié par Mr Petch
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Sinon, Imperator, ne déprime pas  . Moi, je t'aime bien! Bon courage!

Moi, déprimer :clap::skull: ! Mais qu'est-ce qui te fais penser ça? :D<_<

Je ne déprime pas <_<

Nan... <_<

D'abord :crying::skull::skull::skull::blink:

Pis zut... :ermm:

Allez, je me ressaisit, je me calme, je prends un mouchoire et je parle normalement...

Donc, ouais, t'es le nouveau père de Mildi...

Pour le nom de Mama, t'as qu'à prendre en compte le fait que ce Dynaste se veut hautain, et que donc il n'adressera la parole à Mama que comme à une sorte d'esclave... Donc, pas besoin de nom!

Sinon, le truc, quand je dis que ce texte est sérieux, c'est que je mettais un point d'honneur à ne pas ridiculiser les gens, mais à pousser les circonstances pour les faire agir... En fait, pour moi, il fallait que tout soit explicable, que toutes les réactions soient normales (pour Malékith, j'ai fait un écart...), etc...

Mais voilà, ça m'a mené à imaginer des trucs qui me poussent au suicide :wub: , donc...

Allez, bon courage...

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Voila donc la suite.

C’est ainsi que le père repartit, encore énervé par sa mésaventure.

Mais le départ inopiné de Mihra pour une destination inconnue eut des effets imprévus sur les aventures de Mildidjou. Au début, ce dernier n’était pas mécontent que la maudite furie ait débarrassée le plancher (sale) de la porcherie mais il était un peu déçu tout de même que son père ne l’eut pas reconnu. Il se consola dans l’assiette de soupe au chou-fleur que lui présentait Mama le soir même au dîner.

Il continua donc de vivre sa vie de fermier pendant encore deux ans. Un nouvel événement vint bouleverser sa vie déjà bien mouvementée. Ce jour-là, il se rendait au marché de la ville l plus proche, et il ignorait que son père, le dynaste de la région s’y trouvait justement. Dans les rues de la ville, devant le château, il vit Mihra. Il ne la reconnut pas, au départ, tant elle avait changé. Ses cheveux gras étaient devenus soyeux. Des bijoux ornaient son visage pâle et elle arborait des habits de reine elfe. D’une voix altière, en voyant le jeune garnement, elle déclara :

« Mais qui vois-je ? Le gamin ! Comment s’appelle-t-il déjà ? Rrogntdjuu, c’est ça ? »

Pour comprendre cette métamorphose, il faut revenir deux ans en arrière, dans le château du dynaste. La furie commença sa carrière dans les cachots où elle croupit pendant deux mois avec pour seule compagnie un nain unijambiste, unique survivant d’une razzia sur le vieux monde, dont le vocabulaire se réduisait à trois onomatopées significatives comme Mouais(l’accord), Beuh(le désaccord), Bof(l’indécision). Et cela jusqu’à ce qu’Igor, perdu dans les couloirs du château à la suite d’une partie de cache-cache, vint lui adresser la parole (si tant est que les borborygmes de l’enfant puissent être appelés des paroles) :

- T’es qui, toi ?

- Salut gamin, je suis une furie. Mihra. Toi tu es l’imbécile de rejeton de ton imbécile de père.

- Ah ouais !

- Qu’est-ce que tu fiches là, gamin ?

- Ah ouais !

- Il est stupide ou quoi ?

- Mouais, lui répondit le nain(qui s’appelait Bob) dans un demi-sommeil.

- Bon, vas-t’en, je suis pas d’humeur.

- Ah ouais !

- Mais il va partir l’ahuri ! s’emporta la furie.

- Ah ouais !

- Oh mon dieu ! Mais qu’il s’en aille !

- Ah ouais !

- Bof, répondit machinalement le nain.

N’y tenant plus, Mihra gifla dans un grand vacarme Bob qui résonna dans tout le couloir(le vacarme, pas Bob).

- Beuh !

Igor partit dans un grand rire idiot, ponctué de « Taper ! Taper ! » et d’applaudissements. La furie reprit ses esprits alors que le nain tentait de retrouver les siens. Igor riait toujours lorsque le garde arriva.

- C’est pas bientôt fini, ce boucan ? Ca va réveiller notre dynaste, il est en pleine orgie.

Mihra était dans une colère atroce, elle lança sans réfléchir :

- En pleine orgie, hein ! Je veux le voir tout de suite, votre dynaste, qu’il me sorte de ce cachot pourri !

- Tu veux le voir ? Bon bah, viens !

- Beuh, dit le nain qui n’avait toujours pas digéré la baffe.

Le garde riait dans sa barbe (qu’il n’avait pas, d’ailleurs) en pensant à la vengeance de son maître lorsqu’il verrait qu’une simple furie voulait lui tenir tête. Ils montèrent les marches jusqu’à la salle de banquet où festoyaient le dynaste et ses amis. Igor les suivait en criant « Taper ! Encore ! » et en tapant des mains. En arrivant dans la salle, Mihra se rendit compte de sa bêtise. Elle voulut repartir mais le garde insistait.

- Cette fille veut vous parler, ô grand dynaste !

- Très bien, répondit le susdit dynaste en ingurgitant une cuisse de poulet.

- Ben euh…balbutia Mihra. En fait non.

- Et c’est pour ça que tu me déranges !

C’est alors qu’Igor, courant vers son père en criant « Maman ! », trébucha sur une flaque de vin et atterrit au pied de son père, la tête la première dans la confiture de fraises. Le dynaste entra dans une colère noire. Il lança d’un ton sec :

- Mais qu’est-ce que j’ai fait à Khaine pour avoir un enfant pareil ? Mildidjou lui, au moins, n’était pas aussi attardé. Je donnerais n’importe quoi pour retrouve ce gamin. En attendant, amenez-moi mon épée, je vais exécuter moi-même cette impudente, ça me calmera.

On vint lui amener son épée. Le cerveau de Mihra réfléchissait à fond pour trouver une solution, quand l’idée la plus lumineuse du siècle lui vint :

- Mais moi, je sais où vit Mildidjou !

Tout le monde se tourna vers elle. Le dynaste demanda :

- Que dis-tu ?

- Je dis que je peux savoir où se cache votre aîné.

- Très bien, où alors ?

Mihra pensait très fort à la démarche à suivre. Si elle lâchait le nom de la ferme, le dynaste irait trouver Mildi, et ce dernier lui révélerai que c’était elle qui l’avait capturé. Donc, elle serait exécuté. Son esprit malin lui fit dire :

- Je ne suis pas sur…Mais je l’ai aperçu aux abords de la ville…J’ai oublié le nom du domaine où il se trouve…C’est vraiment fâcheux ! Peut-être que si vous m’aidiez à m’en souvenir.

- Je sors les pinces de torture, ô noble dynaste ?

Mihra frémit en se rendant compte que son argument se retournait contre elle. Heureusement, le dynaste ne fut pas aussi décidé. Il se dit intérieurement que de toute façon, elle allait mourir, et qu’elle était le seul lien qui le rapprochait de Mildi alors, magnanime, il déclara :

- Qu’on l’installe dans les plus beaux appartements. Elle sera traité comme une reine. Elle a deux ans pour me ramener mon fils, passé ces délais, je me verrais dans l’obligation d’utiliser…d’autres méthodes.

Et c’est ainsi que Mildidjou rencontra son ancienne kidnappeuse dans la rue, bien habillé et en pleine forme.

Bon, tu me diras Impe, que je laisse la part belle à mihra, mais que veux-tu, je l'adore tellement :clap: . Bon, je me calme et je me concentre pour la suite.

Mr Petch

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Bon, tu me diras Impe, que je laisse la part belle à mihra, mais que veux-tu, je l'adore tellement  .

Non, moi, je ne dis rien! Le rôle de l'hypocrite mensongpre qui trouve une combine pour s'en tirer lui va très bien... Pis t'en fais ce que tu veux...(moi, elle est même morte une fois, tu vois la différence(elle commençait à me courir...))

Bon, je me calme et je me concentre pour la suite.

Mr Petch

En fait, c'est moi qui me calme et qui va écouter la suite

À ce propos, je t'ais déjà dit à quel point je t'étais reconnaissant de continuer ce récit? Non... Ben alors:

:clap: MERCI, :skull: MERCI, :D MERCi!!!!! <_<<_<<_<

Pis encore merci! :crying:

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Si certainsmembres trouvent qu'ils ne se passent pas grand chose dans cette rubrique , ils n'ont qu'à lire cette aventure! Je m'apprêtais à faire ma critique sur les dernirs méfaits de Mildi, quand soudain je découvres... qu'imperator abandonne et que M Petch reprend le flambeau!

Inutile de dire que j'ai pas encore lu les nouveaux développements (mais je vais m'y attarder). Je voualis juste dire que les derniers textes étaient un peu moins bon. Ca passe trop vite, tu ne prend pas le temps d'exploiter à fond les possibilités offertes par tes rebondissements.

Je pense que ça vient de ton mode d'écriture et finalement cette expérience doit te pousser à essayer de construire un peu plus ton/tes histoire(s). Bref, tu as d'énormes facilités mais ce sont elles qui te jouent des tours en te permettant d'être peu rigoureux.

Mr Petch, à nous deux pour la prochaine fois! ^_^ Tache d'être à la hauteur de mes espérances (au vu de ton autre récit, je suis assez impatient de lire ça!)

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Je voualis juste dire que les derniers textes étaient un peu moins bon. Ca passe trop vite, tu ne prend pas le temps d'exploiter à fond les possibilités offertes par tes rebondissements.

Deux choses: oui, ça vient de ma méthode d'écriture; et deux, le problème, c'est que je m'étais fouré dans une m**de noire, et que j'ai eut un mal de gentil toutou pour me sortir de là... Pis, après, ça a vraiment commencé à plus aller...

C'est alors que j'ai abandonné... Et que Mr Petch a repris le flambeau!(l'ais-je déjà remércié pour ça?non! alors je le fais:

- Merci ^_^

- Merci :)

- Merci :clap:

- Mer... :D

- Me... :wink:

- M... :)

- ... :D

Et encore Merci! :wub:

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Moi aussi, Impe, je pourrais te remercier de m'avoir fourni un joli début. :) Si je n'avais pas été enthousismé par ton récit, je ne l'aurais pas continué. :clap::D:wink:

On va arreter là les autocongratulations, ça devient genant. ^_^

Mr Petch

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Allez! Dans la joie et la bonne humeur, voici le prochain épisode des aventures de Mildidjou. Spéciale dédicace à Imperator vers la fin. Je t'ai inscrit dans le récit. J'espère que ça te plaira.

Et c’est ainsi que Mildidjou rencontra son ancienne kidnappeuse dans la rue, bien habillé et en pleine forme.

« -Tu sais gamin, je suis heureuse de te voir !

L’engouement soudain de la furie pour Mildi venait d’une conversation qu’elle avait eu avec le dynaste le matin même. Une conversation…enfin…Pour faire simple, ledit dynaste lui avait demandé de ramener Mild aujourd’hui sinon…Et il y avait tant de puissance dans le sinon qu’elle s’était mise tout de suite en route. Et le hasard faisait que Mildidjou la rencontrait, comme ça, au milieu d’un chemin.

- Tu vas me suivre, gamin. J’ai besoin de toi.

- Ah non !

Mildidjou entra dans une colère noire (normal pour un elfe noir).

- J’en ai marre ! Tu m’as déjà kidnappé une fois et j’en ai assez de te suivre. J’ai trouvé une autre vie à la ferme, et je ne veux plus te voir.

Il serait reparti en courant si un obstacle ne s’était pas mis en travers de son chemin…et cette obstacle était Igor, droit comme un I au milieu de la route :

- Copain !

Il courut vers Mildi qui l’évita d’une agile pirouette, laissant son frère s’écrouler dans un chariot de chou-fleur.

- C’est qui lui ?

- Igor, ton frère, mais tu peux l’appeler l’ahuri, il répond aussi. N’est-ce pas, l’ahuri ?

- Ah ouais !

- Il est stupide ou quoi ?

- Bof, répondit Mihra que deux mois dans un cachot avait un peu bouleversé.

- Ah ben je vois…A ce que je comprends, je suis le seul héritier décent dans cette famille de cinglé…

- Ben oui...désolé.

- Bon bah...je sais pas...y aune recompense?

- Oui. Si tu veux, on fait cinquante cinquante.

- Je vais reflechir...

Mais pendant que Mihra et Mildi discutaient, quelque chose se tramait dans l’ombre. Quelque chose qui était plutôt disgracieux et méchant. Quelque chose qui s’appelait Shlariau. En effet, l’ennemi séculaire du jeune elfe noir le guettait dans l’ombre sombre d’une ruelle abandonnée.

« - Ainsi, Mildidjou ne veut pas revoir son père…voilà qui est intéressant. Je pourrais prendre sa place, j’ai un age proche et je suis aussi beau que lui…Avec une perruque rousse, je lui ressemblerais (ah oui…Mildidjou est roux)Un plan, vite ! Je deviendrais Mildidjou à la place de Mildidjou !

Des yeux, il chercha quelqu’un qui pourrait l’aider. Au hasard, il agrippa un nain qui passait par là en boitant.

- Eh toi, tu veux gagner rapidement beaucoup d’argent ?J’ai uen affaire pour toi, on fait cinquante cinquante.

- Mouais dit le nain. »

Et ils repartirent ensemble vers le château, le nain se disant qu’il pourrait se faire remplacer sa jambe manquante avec tout cet argent.

Le dynaste attendait dans sa chambre quand on vint frapper à sa porte. C’était Shlariau et Bob (ben oui, vous l’avez tous reconnu, c’est Bob le nain unijambiste qui s’est fait libérer après une amnistie générale.). Shlariau prit la parole :

« - Bonjour père ! Je suis Mildidjou, et j’ai été ramené à vous par ce nain.

- Mouais, dit Bob.

- Rrogntdjuu ! cria le père.

- Non, Mildidjou.

- Je sais, j’étais juste surpris. Alors c’est toi, mon petit Mildi ! Viens dire bonjour à papa !

Shlariau courut dans les bras de son père (enfin, du père de Mildi). Le dynaste, en serrant son fils (enfin, non, Shlariau), déclara :

- Que l’on m’amène sur le champ cette incapable de Mihra. Je savais bien que je n’aurais pas du me fier à elle. Et couvrez ce nain d’or !

Shlariau serra le dynaste en pensant qu’il venait de faire une bonne affaire. Le dynaste serra Shlariau en se disant que lui aussi, il venait de faire une bonne affaire : c’était un nain, et le couvrir d’or coûterait moins cher que si ç’avait été un elfe.

Le garde ramena Mihra auprès du dynaste. Sentant sa dernière heure arrivée, elle empoigna Mildi dans un élan désespéré et, en arrivant face au dynaste, s’écria :

- Maître ! J’ai retrouvé Mil…

Elle s’arrêta net en voyant le dynaste faire un câlin à un autre enfant. Puis, ce fut au tour du dynaste d’être surpris en voyant un second Mildi. Il réfléchit un instant, puis déclara posément :

- Que dis-tu Mihra ? J’ai ici le vrai Mildidjou ramené par ce nain.

- Mouais

- Comment ça ? s’écria Mihra (vous remarquez que les personnages crient beaucoup, si ça continue, ils vont avoir une extinction de voix). Ce nain est un menteur !

- Beuh

- Je me vois dans l’obligation de te tuer, chère Mihra, déclara le dynaste.

- Quoi ? Mais c’est vraim…reuh…reuh…reuh…ark….(qu’est-ce que je disais !)

Alors, tout le monde resta silencieux. Sauf Igor qui, passa sous les jambes de la furie, courut vers Shlariau.

- Copain !

Il le fit trébucher et renversa sa belle perruque rousse. En voyant cela, le dynaste comprit la supercherie. Il cria :

- Garde ! Envoyez-moi tout ça aux galères.

- Mais maître, si je peux me permettre…vous jetez peut-être votre fils aux galères…

- Et toi aussi aux galères ! »

Et oui, ce jour-là, la colère du dynaste fut énorme. Après ça, il est à noter qu’il se rendit compte que l’enfant ramené par Mihra était bel et bien son fils…De dépit, il quitta la vie de dynaste et alla se reposer à la campagne à planter des aubergines avec son fils, Igor, qui en raffolait (des aubergines).

Mais il était trop tard, car pendant ce temps, les cinq compagnons (Mildi, Mihra, Shlariau, Bob et le garde qui s'appelait Imperator) ramaient dans l’océan vers Ulthuan, dans un navire de guerre, le Kazdaal, qui partait bouter les hauts elfes hors de chez eux, ultime tentative d’un Malékith accablé par son récent échec et par le désistement inopiné de son plus grand dynaste.

Voyez l'habile tentative pour introduire enfin le sous-titre du récit"perdu sur Ulthuan" que l'on attendait depuis longtemps...

Mr Petch

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Mainteanant, je crois que le lien avec Asurear n'est plus à faire!

Bon, que l'on se comprenne, j'adore ce style, léger, farceur...

Seulement, on s'écarte un petit peu de l'esprit initial...

C'est un peu facile à dire, mais c'est un fait! Le burlesque est omniprésent, les blagues sont mises en avant etc...

De plus, la vraisemblance (même si elle était infîme) a été mise de côté!

Reste que ce texte est reposant, riant et marrant!

ça me change les idées tiens!

Et je veux voire comment tu vas te débrouiller pour que Mildidjou soit perdu sur Ulthuan, et surtout pour que la première phrase du récit ait un sens:

"Mildidjou avait froid... À vrai dire, il avait toujours eut froid..."

Ou quelque chose comme cela, je ne me souviens plus très bien...

Si le burlesque est trop mis en avant, cette phrase sera un non-sens...

Mais voilà, à part ça, c'est drôle! (ce qui est le but, j'imagines)

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Mais voilà, à part ça, c'est drôle! (ce qui est le but, j'imagines)

Ben oui...Désolé... ^_^ Je promets d'être plus serieux à l'avenir...Enfin, tant que ça fait marrer, ça peut pas faire de mal. En fait, pour tout te dire, j'ai écris comme je pensais que tu écrivais avant(en gros, je trouve ton début aussi burlesque que le mien). Bon, c'est pas grave.

"Mildidjou avait froid... À vrai dire, il avait toujours eut froid..."

J'ai bien une petite idée, pour ça, mais tu vas encore dire que c'est trop burlesque...Enfin bon, je m'excuse encore de perdre l'esprit initial, advienne que pourra...

Mr Petch

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Ehhhhh! Attends! J'ai dit que je trouvais que l'on s'ecartait légérement! J'ai pas dit que t'avais tout fichu en l'air!

Bien sûr que c'est du burlesque (Mildi, il doit d'abord faire rire), mais en fait, je pensais faire quelque chose qui soit plus poussé(Mildi doit aussi inspirer la pitié ou, je ne sais pas...). Mais en fait, je me suis contenté de donner des choses plausibles, mais toutefois délirantes (ce qui est étrange).

Pour le reste, la seule chose que je pourrais réellement te reprocher, c'est d'avoir mis le Dynaste hors-course...

C'est que ce type est un héros! (D'accord, il est pas fichu d'élever une vraie famille, mais à part ça...)

Sinon, ton texte est très bien! Si si, j'te jure!

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Voila la suite des aventures de Mildidjou. Bon, à mon avis, je m'éloigne de plus en plus de la ligne directrice de Impe... ^_^ Tant pis, j'ai pris la suite, je continuerais!

Quelque part dans l’océan…Une galère elfe noire vogue vers Ulthuan. Son capitaine, un soldat mystérieux du nom d’Inhotek qui refuse de raconter son passé scrute la mer de sa longue-vue.

« - Nous sommes en vue des côtes d’Ulthuan. Méfions-nous. Ces hauts elfes sont fourbes. Préparez les balistes à répétition.

- Très bien mon capitaine.

Le second donna les ordres nécessaires et revint s’asseoir près de son capitaine :

- Dites-moi, capitaine. C’est indiscret mais j’aimerai savoir de quel branche de l’armée vous venez.

- Tu veux pas ma date de naissance non plus ?

- Euh…non, mais.

- En fait je ne suis dans la marine que depuis 9 ans. J’ai du quitter prématurément Naggaroth pour des raisons…personnelles.

- Ah bon.

- Eh oui (soupir). Je peux te donner un conseil ?

- Allez-y.

- Ne fais jamais confiance à un espion.

- ? »

Et en effet, le navire approchait des côtes. Le vaillant capitaine d’approcha des galériens pour les sermonner :

« - En effet, nous approchons des côtes. Il faut maintenant que vous alliez vite. Très vite. Les hauts elfes vont nous tirer dessus depuis la falaise et, au mieux, il n’y aura pas de survivant. Donc je compte sur vous pour donner le meilleur de vous mêmes. Et n’oubliez…

Il s’arrêta net, les yeux fixés sur un des galériens. Car il venait de voir Mildidjou qui ramait au côté des autres. Après s’être remis de ses émotions, il continua en tremblant :

- Et n’oubliez pas…Vous travaillez pour le roi sorcier Malékith. Vous êtes mieux ici qu’à ses cotés…Au boulot ! »

Les fouets retentirent et le bateau s’approcha lentement des côtes.

«- Joli lancer Denerion ! En plein dans la voile !

Deux hauts elfes postés sur les côtes maniaient une imposante baliste. Un premier tir avait éventré la voile principale du Kazdaal qui tanguait dangereusement.

- A moi, maintenant !

Le deuxième elfe enclencha la baliste et le trait partit dans un horrible vacarme. Il vint frapper la coque du navire sur le flanc gauche. Une énorme brèche s’ouvrit, déstabilisant le navire.

- Bravo Aenor ! Mes leçons commencent à porter leurs fruits ! Essaye encore pour voir. »

Pendant ce temps-là, à bord du Kazdaal, les soldats commençaient à être effrayé. Le capitaine criait de toutes ses forces :

« - Ramez plus vite ! Si on réussit à accoster avant que le navire ne soit détruit, ce sera déjà bien. Souquez vers la…reuh…eurk…ralla…bup…

- Tiens, fit Mihra. Une extinction de voix. Ne vous en faites pas, j’ai eu ça aussi, ça ne dure qu’une journée.

- C’est étrange, Mihra, dit Mildidjou. Le visage du capitaine me rappelle étrangement quelqu’un.

- Moi aussi Mildi, mais je ne parviens pas à me souvenir.

- Bof dit le nain. »

Un véritable combat se livrait entre les deux elfes des falaises et le navire. De chaque côté fusaient les traits de balistes.

« - Je ne peux pas les atteindre, capitaine, ils sont trop petits.

- …

- Qu’est-ce que vous dites ? »

Mais dans une formidable manœuvre, le Kazdaal parvint à éviter le dernier trait et vint s’écraser sur le côte, s’encastrant dans des récifs.

« - On a réussi !s’écria Mildidjou

- Mouais ! dit le nain

- Super ! cria Mihra

- … ! dit Inhotek »

En quelques minutes, l’armée elfe noire était sortie de l’épave du bateau et se séchait sur la plage abandonnée. Les galériens avaient pu se libérer des chaînes et notre petit groupe marchait sur le sable fin et doux qui laissaient sous leurs pieds une agréable sensation de vacances et qui de par sa texture, chatouillait doucement les doigts de pieds fragiles de Mildi. Quel bonheur !

« - Qu’allons nous faire, maintenant ? demanda Mildidjou à ses amis.

- Bof.

- Eh bien, ma foi, commença Shlariau, je vous propose de chercher un navire et de repartir.

- Si je peux me permettre, intervint Imperator(le garde), notre armée est en train de partir de la plage. Nous n’avons qu’à la suivre et nous verrons bien.

- En plein territoire ennemi ? T’es pas fou ?

- Nous sommes de toute façon en plein territoire ennemi !

- Alors tout le monde est d’accord pour suivre l’armée ? demanda Mildi

- Mouais.

- Oui.

- Oui.

Mihra ne répondit pas. Il étala au sol une sympathique mare dégoûtante de…comment dire…de…de vomis disons.

- Eh bien, Mihra, qu’est-ce que tu as ?lui demanda Mildidjou. On s’est déjà présenté. Tu connais tout le monde, ici.(voyez la fine allusion la scène du début…)

- C’est la mer…le mal de mer…

- Moi, dit le garde, je prendrais ça pour un oui.

- Alors allons-y ! »

Et la petite troupe courut pour rattraper l’armée qui progressait déjà dans la forêt.

Mr Petch

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Ah, ils sont enfin sur Ulthuan! En plus, le débarquement est savoureux!

Je vais te dire, tu fais vraiment du bon boulot!

Gaffe peut-être avec Schlariau, il veut vraiment la peau de Mildi, et il tenterait de recontacter son maître... (même s'il devait en mourir?)

Bon, vraiment bien ce texte!

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Je suis inspiré par Mildi, en ce moment. Alors voila la suite. Bon, en attendant, faut que je me remette dans la malédiction de Paxtala, moi.

«- Cette forêt ne me dis rien qui vaille, déclara Mihra.

- Moi non plus, dit Mildi, mais que veux-tu, nous sommes coincés ici jusqu’à nouvel ordre.

- Tiens, où est Shlariau ?

- Bof.

- Je ne t’ai rien demandé à toi, Bob !

- Beuh !

- C’est pas lui le Bof, expliqua Mildi, c’est moi.

- Ah, pardon.

- Je crois que je l’ai vu monter en tête de colonne, intervint Imperator.

- Tiens, vous êtes encore là, vous ?

- Bien sur, je n’ai pas mes habits de soldats, je ne peux pas me mêler à eux.

- Evidemment ! »

La forêt qui les entourait était vraiment sombre. Sombre et silencieuse. Les arbres semblaient discuter entre eux car les branches bougeaient dans tous les sens alors qu’aucune trace de vent n’était perceptible. Un oiseau vint siffler sur la branche d’un if.

« - Stop ! cria Imperator.

- Qu’est-ce qu’il y a ?demanda Mildi en s’arrêtant brusquement.

- Ils nous épient. Ils sont cachés dans les arbres et ils nous épient.

- Qui ça ils ?

- Les elfes. Les guerriers fantômes. J’ai un sixième sens pour repérer les ennemis.

Le garde commença à avancer autour de lui en observant le moindre branchage, le moindre buisson. Puis, victorieusement, il dit :

- Là ! Regardez !

Il souleva du sol un bijou orné d’un rubis.

- Un joyau de Saphery !

- Et alors ? demanda Mihra.

- Et alors un elfe est passé par là il y a peu et il a laissé ça.

- Je ne vois pas ce qu’il y a d’extraordinaire, on est en Ulthuan quand même.

Imperator soupira en lui-même. Soudain, Bob le nain réagit violemment :

- Beuh !

- Qu’est-ce qu’il y a encore ?

- Je crois qu’il veux dire qu’on a perdu la troupe.

- Et merde ! s’emporta la furie. La faute à qui encore ? T’as un sixième sens pour te perdre en forêt, toi ! »

Le garde partit bouder dans un coin alors que les trois autres couraient sur le chemin pour rattraper l’armée.

Ils avaient pris beaucoup de retard et Mildi fut essoufflé lorsqu’il arriva à l’endroit où s’était arrêté l’armée d’elfes noirs. Leurs corps jonchaient harmonieusement le sol de la forêt, seul un mince filet de sang partant du cœur tachait leurs beaux habits noirs. Les yeux vides, le regard perdu, il étaient morts.

« - Alors ça ! s’écria Mildi.

- Beuh…

- Ils sont morts ?demanda Mihra.

- Non, ils prennent des cours de yoga !lança Imperator

- Nianiania…

- Un point partout !

- Bon, arrêtez de vous disputer, je veux comprendre.

- Ben y a rien à comprendre, répondit Imperator. Ils sont morts.

- Oui, mais comment et pourquoi ?

- Comment : avec une flèche elfique dans le cœur ; pourquoi : parce que les hauts elfes, à priori, ne nous aime pas trop.

- Et Shlariau et le capitaine ? Je ne vois pas leurs corps.

- C’est étrange en effet… »

Ils restèrent longtemps interloqués face aux cadavres frais. Jusqu’à ce que Mildi réagissent :

« - Dites-moi, s’il y a des elfes dans le coin, il faudrait peut-être mieux ne pas s’attarder…

- S’il y avait des elfes, le rassura Imperator, ça fait belle lurette que nous serions morts, le corps piqueté de délicates pointes de flèches !

- Dis-moi, tu en connais un paquet sur les hauts elfes, toi.

- Et pour cause, j’ai vécu toute mon enfance ici…je saurais les repérer rien qu’à l’odeur !

- Mauvaise pioche, jeune Morfenor !

La voix avait surgi des arbres derrière eux. Déjà Mihra et Bob étaient tenus en joue par deux archers elfiques. Celui qui devait être le chef s’avança en avant. Il dévisagea Mildidjou, d’abord, puis Imperator. D’une voix mielleuse, il annonça :

- Caledon de Saphery, commandeur elfe d’Ulthuan. Comme nous nous retrouvons, cher Morfenor ! C’est une drôle de surprise. Mais moi, je saurais te reconnaître n’importe où !

- Je m’appelle pas Morfenor, cria Mildi, je m’appelle Mildidjou !

- Tais-toi, nabiau, ce n’est pas à toi que je parle !

Mildidjou partit bouder dans un coin, entouré par deux archers qui discutaient :

- Calme-toi, Aenor ! Reste calme. Il faut que tu tendes bien la corde de l’arc sans la lâcher.

- Je sais, maître Denerion, mais c’est difficile. Mes doigts glissent et j’ai peur de lâcher la corde à tout moment !

- Mais non, mon petit Aenor, il faut que tu te calmes, surtout !

- Oui, c’est ça, calme…souffla Mildi qui commençait à s’inquiéter sérieusement.

Pendant ce temps, Imperator(qui s’appelait en réalité Morfenor) et Caledon discutaient :

- Que fais mon élève favori avec deux elfes et un nain dans cette forêt ?

- Ton élève favori ? Tu ne m’as jamais aimé, Caledon !

Imperator(enfin non, Morfenor, enfin… vous l’appelez comme vous voulez !) sortit une dague de sa poche. Les arcs se bandèrent encore plus autour de lui.

- Je ne t’ai jamais aimé ? Et bien si, Morfenor, et pour une bonne raison !

- Quoi donc ?

Tadadadadadadadada(suspens…)

- Je suis ton père !

- Quoi ?

- Feur, dit Mihra

- C’est pas le moment, lui murmura Mildidjou, les blagues minables

- Mais c’est impossible !

- Et si, je te raconterais ça dans ma tente. En attendant, emmenez les autres au campement, j’aimerai les interroger. »

Et la troupe partit, s’engouffrant encore plus dans l’obscurité obscure de l'obscurante forêt.

Mr Petch

Modifié par Mr Petch
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Ahou... ça se complexifie!

Le père de l'un qui se révèle pendant que l'autre... Mais le premier...

Trop compliqué, je vais me contenter de lire...

Non, sérieusement, c'est sympa! ça fait critique de série télé... Marrant! Allez, si t'es inspiré, faut continuer... (bon, je dois aussi admettre qu'encore plus de Paxtala, ça ne me gênerais pas, au contraire!)

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:D:lol: Magnifique,cette histoire que vous nous raconter,je l'ai lu d'une traite et je suis en extase :(

Je commence meme presque a etre en manque,le suspense est present car c'est toujours quelque chose presque d'un possible qui arrive donc on ne s'attend jamais a ce qui risque d'arriver a Mildi.

Je vous encourage et je pense que vous pourrier meme envoyer ce genre d'histoire(si vous en ecrive d'autre ) a VF.

^_^:D Bravo encore et continuer de nous faire :( rever

:)

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Voila la suite, bonne lecture!

Mihra, Bob et Mildi avaient été placés dans une grande pièce blanche sans fenêtre qui comportait une unique porte. Ils attendaient impatiemment :

« - On ne vas pas croupir ici pendant toute notre vie ! cria Mildi

- Soit on reste ici, soit on meure, gamin, lui répondit Mihra

- Beuh.

- T’es vachement négative. On peut trouver un moyen de sortir.

- Débrouille-toi tout seul, si tu veux, moi je préfère attendre.

- Bon. T’es avec moi, Bob ?

- Bof.

- Eh ben, c’est motivant d’être avec vous. Tant pis, quand je serai sorti, comptez par sur moi pour vous aider. »

Le petit elfe noir commença à observer partout autour de lui pour dénicher un éventuel point faible à la structure qui les entourait. C’était de la roche, de la roche solide et blanche. Après plusieurs tentatives infructueuses de la briser (sous les rires prononcés de Mihra), Mildi décida de passer à la vitesse supérieure. Dans le silence de la pièce s’éleva soudain un immense cri enfantin qui inonda toute la pièce comme un insupportable vacarme.

« - Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnn

- Tais-toi, gamin !

- Beuh !

Tout le monde se bouchait les oreilles quand la porte s’ouvrit sur la garde haut-elfe posté derrière la porte.

- C’est pas bientôt fini, ce vacarme ! »

Profitant de ce que la tête de l’elfe dépassait de la porte, Mihra, dans un formidable élan d’héroïsme, l’assommant à l’aide d’un violent coup de pied. Il tomba au sol, inconscient.

- Bravo Mihra ! Tu es la meilleure !

- Mouais !

- Euh…je remercie Mildi qui m’a aidé dans cette lourde tache par sa ruse formidable, je remercie Bob pour m’avoir supporté et puis aussi mes parents, sans qui je ne serais pas là, et Khaine, bien sur, faut pas l’oublier…et puis…

- Oui, c’est bon, ça va ! »

Ils s’échappèrent en silence de la grande pièce.

La voie était libre, dehors. Les trois compagnons avaient conclu un stratagème malin : Mihra avait pris l’armure du guerrier qui était à sa taille et menait par une chaîne les deux autres prisonniers. Ils pourraient ainsi passer inaperçus dans le campement. Ils étaient bientôt arrivés à l’orée de la forêt sans encombre quand un soldat vint passer et dit, en souriant à Mihra :

« - Salut toi ! Tu es nouvelle au camp !

- Euh…oui.

- Tu veux aller boire un coup dans ma tente. Laisse ces prisonniers. Ils ne sont pas importants ! Un pauvre gamin et un nain unijambiste ! Ne me dis pas que tu tiens à eux.

Le soldat se rapprochait ostensiblement de plus en plus de la pauvre Mihra. Mildi sauta sur l’occasion :

- Mais oui ! Tu ne tiens pas à nous ! Laisse nous partir.

Mihra voulait à cet instant précis mettre une baffe au soldat et partir en courant mais son séducteur la tenait à présent par la taille. Il détacha d’une main habile les chaînes de Mildi et Bob, qui s’enfuirent aussitôt en courant (enfin, façon de parler, disons en claudiquant pour Bob). Mihra, les regarda partir d’un air dépité alors que le soldat la menait par le bras.

Pendant ce temps, dans la tente du général Caledon, Morfenor contait son histoire : il avait été capturé lors d’un raid elfe noir alors qu’il n’avait pas dix ans et ramené à Naggaroth comme esclave. Il avait gravi les échelons (par des moyens inconnus : certains disaient que ces qualités de cuisinier l’avait aidé pour se faire bien voir du dynaste) et était devenu soldat. Mais c’était Caledon qui l’avait élevé, et il apprenait aussi que ce dernier était aussi son père, alors qu’il était marié à l’époque avec une autre femme que sa mère (ça va, vous suivez ?) et que Morfenor était donc un enfant illégitime ! Maintenant que Caledon le retrouvait, il était tellement heureux qu’il voulait le garder en Ulthuan.

« Et si tu veux, je libère tes amis, je suis tellement heureux ! »

Mais quelle n’avait pas été leur stupeur en voyant la prison vide et le garde assommé…Où était donc passé Mildidjou, Bob, et Mihra ?

Nous reviendrons sur le cas de Mihra après. Mildidjou et Bob s’étaient enfuis à travers la sombre forêt. Ils progressaient à présent sans trop savoir où aller.

« - Je crois qu’on est perdus, Bob !

- Beuh.

- Je ne retrouve plus le chemin, et toi ?

- Bof.

- On tourne à droite ?

- Bof.

- Super la conversation, avec toi !

- Mouais. »

Ils ne se doutaient pas que, à quelques mètres d’eux se trouvaient deux autres personnes, épiant leur moindre geste. Shlariau et le capitaine Inhotek.

« - Vous allez voir, maître, nous allons nous venger de cet être misérable ! Ce garnement qui nous a humiliés !

- …

- A trois on leur saute dessus ! Un !

- …

- Trois ! »

Les deux elfes surgirent des buissons sur leur victime. Mais cette dernière était plus agile qu’eux. Mildidjou se baissa instinctivement, Inhotek tomba à la renverse sur le sol pendant que Shlariau maintenait Bob en criant :

« - Je l’ai ! Je l’ai !

- Beuh !

- Mince, je me suis trompé ! »

Mildi avait largement eut le temps de s’enfuir dans la forêt sombre, hors du chemin. Shlariau enrageait.

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Bon, une semaine de repos et je reprends tout ça. Allez, bonne lecture.

Mildidjou se réfugia dans la forêt. Il avait peur. Et, cette fois encore, il avait froid. Il se sentait épié à tout moment par des créatures ignobles qui habitaient cette forêt. Il sentait la morsure du vent dans son cou et les cris des bêtes dans ses oreilles. Soudain, il entendit des bruits de sabots de chevaux. Il se plaça au bord du sentier et observa. Deux elfes montés sur deux magnifiques destriers argentés, tachetés de blancs, arrivait à son niveau.

« - Vois-tu Denerion, la chasse à l’elfe noir, c’est tout un art.

- Oui, maître Aenor.

- Il faut les sentir, ce sont nos ennemis jurés et nous pouvons sentir leur présence à des kilomètres à la ronde. Tiens…attends…je le sens.

- Mais maître, il se trouve peut-être à plusieurs kilomètres de distance !

- Non, l’odeur est forte. Il est tout proche. Tout proche.

L’elfe descendit de cheval. Il posa son pied au sol dans un grand bruit métallique. Mildi, caché derrière un buisson le regardait. Il tremblait de peur.

- Pas loin…où te caches-tu, petit ? Tu vois, Denerion, c’est tout un art, au feeling !

- Maître…

- Tais-toi, je dois me concentrer.

L’elfe avait les yeux fermés et le nez en avant. Mildi le fixait intensément.

- Maître…

- Tais-toi !

L’elfe approcha de Mildi. Il était juste au-dessus de lui.

- Je te tiens ! Sacripant !

Il s’apprêtait à le saisir de ses mains d’elfes quand il s’effondra au sol, inconscient. A la grande surprise de Mildidjou (et d’Aenor, a priori). Shlariau se trouvait sur le dos de l’elfe et le frappait de toutes ses forces en criant :

- Il est à moi ! Il est à moi ! Ne le touche pas ! Il est à moi !

Mildi compris vite la situation : Shlariau, Inhotek et Bob avait retrouvés sa piste et surpris l’elfe Denerion, le tenant en joue. Puis, voyant qu’Aenor voulait se saisir de Mildi, Shlariau, dans un élan de rage lui avait sauté dessus. Inhotek tentait à présent de retenir son pauvre élève rendu fou par la jalousie.

Mais cette fois, Mildi était à leur merci. Il se mit à courir dans la forêt mais il entendait derrière lui les pas précipités de Shlariau qui le poursuivait. Il arriva bientôt face à une falaise abrupte. Il jugea du regard le fond et se rendit compte qu’il donnait sur les rochers et qu’une chute serait mortelle. Il n’y avait plus d’issue. Shlariau arriva, un sourire mauvais aux lèvres.

« - Nous voilà Mildi…tu es à ma merci à présent. Tu ne peux plus t’enfuir.

En effet, il ne pouvait plus reculer et Shlariau avançait méchamment.

- Voilà…laisse toi faire…reste immobile, tu souffriras moins !

Shlariau se jeta comme un dingue sur le pauvre Mildi. Inhotek, suivit par Bob arrivait justement, essoufflé, au niveau de la falaise.

- …? cria le capitaine.

Car la folie de Shlariau l’avait poussé à commettre l’irréparable, en se jetant sur son adversaire, il avait trébuché et sauté dans la falaise, entraînant Mildi avec lui. Inhotek et Bob regardaient, effarés, ce spectacle.

- Beuh.

- …

Ils n’arrivaient pas à croire que les deux elfes noirs étaient morts, comme ça, se jetant du haut d’une falaise. Il voulurent aller voir mais derrière eux arrivaient déjà les cavaliers elfes.

- é eux ! criait Aenor. Y on ahahé pa uhi !

- Que dit-il, Denerion ? demanda le général Caledon

- Il dit que c’est eux, et qu’ils l’ont attaqués par surprise.

- Très bien ! Faites les prisonniers !

Les gardes hauts-elfes prirent Inhotek et Bob, les emmenant dans le campement .

En moins de deux, ils étaient attachés à un poteau. Le général les interrogeait.

- Alors, mes gaillards. Que faisiez vous ici ?

- …

- Bof.

- Vous allez répondre ? Sinon, je vous embroche !

- Beuh !

- …

- Vous n’avez vraiment rien à dire ?

- …

- Bof.

- C’est pas vrai… »

L’interrogatoire se termina rapidement, Caledon n’ayant pas pu tirer des informations de Bob et Inhotek. Mais pendant ce temps, que faisait Mihra ? Et Mildi était-il vraiment mort?

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Dis Petch quand est ce que tu commencera ton récit sur Tuanahok à part ce hors sujet bravo pour le récit de Mildi, surtout la fin du dernier texte, "La suite au prochain épisode!"

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