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Invité Khaela

Messages recommandés

Invité Aenario

J'adore, vraiment superbe. Tu as su prendre le défaut / qualité de chaque race qui convenait le mieux à tes pulsions sadiques :innocent: .

C'est du grand art, ceux des elfes(EN/HE) étaient superbe, encore une fois bravo.

50€ sur les ES

-Aenario, elfe marin joueur-

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Invité Sklash

Très bien les skavens ! :innocent: C'est exactement le genre de retournement de situation qui doit arriver. :clap: Par contre on lance difficilement une boule d'énergie de malepierre... La malepierre étant une matière, elle n'est pas faite d'énergie. Une boule d'énergie malsaine serait mieux.

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Invité Aenario

Je crois que sa veut dire ue boule d'énergie générée par la malepierre, mais je ne suis pas sure.

-- Aenario, elfe marin qui voudrait savoir si il a gagné son paris --

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Invité Khaela

Elfes sylvains

Alith laissa la mésange se poser sur lui. Il resta immobile, imperturbable. Ses jambes douloureuses à force de rester dans la même position, sa gorge séchée par les longues heures d’attente. La mésange sautilla sur son épaule puis commença à chanter, fêtant le soleil haut dans le ciel. Alith fixait de ses yeux l’horizon par delà l’orée de la forêt. La mésange finit par s’envoler tandis que le soleil orangé baissait sur l’horizon. Le froid mordit ses membres tandis que la lune montait dans le ciel. Alith avait maintenant fermé les yeux, observant par l’écoute les bruissements des feuilles, les frous frous des écureuils dans le tapis de feuille. Alith ouvrait régulièrement les yeux afin de garder sa vigilance. Son père l’avait prévenu :

« A partir du deuxième jour, ton attention sera moindre et la nuit, tes yeux fermés ne te défendront pas des assauts du sommeil. Point n’ai-je besoin de te rappeler que s’endormir est une cause d’élimination directe de cette épreuve. »

Alith continua sa garde ; il voulait que son père soit fier de lui. Celui-ci l’avait élevé dans le culte de la forêt et lui avait appris le maniement de l’arc. Sa mère lui avait appris à se servir des plantes et lorsqu’on lui avait demandé à l’âge où il devait choisir sa voie, il avait demandé à servir comme son père dans le corps d’élite des ombres de la forêt. Ce corps redoutable qui défendait la forêt comme nul autre, invisible, frappant de ses flèches et piégeant les étrangers. Mais avant, il devait passer l’épreuve d’endurance qui déterminait si un elfe était apte à cette noble tâche ou non. Et c’est ainsi qu’il s’était retrouvé ici, guettant depuis maintenant deux jours.

Peu après l’aube, il entendit des aboiements de chiens au loin. Il se dit que le seigneur bretonnien devait chasser lorsqu’il vit une jeune humaine apparaître au loin.

Elle était jeune et sa fine silhouette était proche de celle d’une elfe. Elle courait à perdre haleine, ses beaux cheveux soyeux flottants derrière elle. Alith la regarda passer la borne en pierre marquant la limite du territoire des bretonniens. Il voyait maintenant ses grands yeux, comparables à ceux d’une biche et qui jetaient parfois des regards nerveux derrière elle.

Un groupe d’hommes tirés par des chiens passa le fait de la colline et dévalèrent rapidement celle-ci. Ils semblaient hargneux et agressifs. Alith banda son arc et encocha une flèche. Les hommes arrivèrent devant la borne et s’arrêtèrent pour reprendre leur souffle. Alith regarda l’orée de la forêt et vit la jeune femme entrer sous les branchages. Sa jeune poitrine se soulevait au rythme de sa respiration. Alith vit les hommes d’armes se lever. Il leva son arc puis visa. Son premier trait fut fatal à sa cible. La jeune femme s’écroula, le cœur transpercé tandis qu’au loin, les hommes repartaient déçus vers le château.

Rangeant son arc, Alith repris sa garde. Il lui restait encore deux jours avant que l’épreuve ne s’achève.

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Et bien Aenario a gagne, il a bien devinne ou tu lui a fait le plaisir de faire ce texte.

En tant qu'elfe sylvain j'aime vraiment ce texte que je trouve vraiment dans l'esprit.

Il me parait different des autres, non pas parce que la race est differente mais parce qu'il ne montre pas la faiblesse de la race et parce qu'il est a mon gout tout a fait dans la visoin des ES, il respecte leur "way of life". Il ne se souci pas de la fille qui ne presente aucun dange mais des homme d'arme qui eux le sont et qui franchisse la limite.

Donc un grand bravo :D8-s

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Invité Aenario

Yeah j'ai gagné. Merci Khaela.

Félicitation pour ce texte. J'ai pas tout compris au message de Kyryu alors peut-être que je vais dire la même chose. Ils tuent la femme qui est rentrée mais épargne les hommes d'armes qui restent à l'extérieur.

-- Aenario, Ainsi donc toute les races ont leurs faiblesses --

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Invité Khaela

Exact...

Pour les paris, sachez que les ES sont passés devant les bretonniens au dernier moment. J'ai écris le texte de ceux-ci mais incapable de trouver quelque chose à la fin qui me plaisait, il est passé aux oubliettes et hop un texte sur les ES...

Non les hommes d'armes n'ont pas franchi la limite, relis bien ... la fille elle ... :D

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Invité Black_Shark

Alors là! je ne peut te dire que bravo! 8-s^_^

J'adore trop se text! Il est tout à fait dans l'esprit des ES.

Se que j'aime bien c'est qu'on ne sais pas trop qui l'elfe va attaquer. (moi en tout cas je pensais qu'il allait attaquer les hommes d'armes) On ne sais ça qu'à la fin.

Mais j'ai adoré!

Mais mon préféré reste celui de EN.

Allez savoir pourquoi... :D

Modifié par Black_Shark
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Alors si j'ai bien compris la fille reste en vie et rentre dans la foret mais un des homme d'arme se retrouve avec une fleche dans le corp avant de traverser la "frontiere" :P:P

Modifié par Kyryu
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Invité Black_Shark

Je ne vois pas le garçon ...

La grande soeur peut être ?   

Là je comprend plus rien.

je parleais du text sur les EN.

Mais bon c'est pas grave...

Encore bravo pour tout les texts! :P

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Invité Aenario

Réponse à Kyryu : Si mes modestes yeux et mon encore plus modeste cerveau ne me trompe pas. Non, ce n'est pas sa. L'elfe tue l'humaine parcequ'elle est rentrée mais épargne les autres parcequ'ils restent à l'extérieur de la lothern. Les autres hommes s'arrete car ils voient la fille mourir.

Réponse au requin noir : dnas les memes conditions, C'st bien dans le texte EN (elfe noir) qu'il y a une grande soeur (celle qui prend des poses dénudée dans un mirroir :P ). Et un jeune garçon, la focalisation est sur lui.

-- Aenario, Il faudrait que Khaela départage --

Modifié par Aenario
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Oui la grande soeur qui pourrait etre interressant emais peut etre un peu trop EN donc tres dangereuse. :P

Pour les ES, chame on me, mais sa ne change en rien a mon commentaire, sauf la fin ou finalement ce texte ressemble bien aux autres :-x:P

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C'est elfes... quelle que soit leurs origines, on ne peut pas attendre la moindre pitié de leur part! C'est... excellent! :P Du pur sylvain. Donc il manque les bretonniens, les comtes vampire (après tout, pourquoi pas la naissance d'un jeune vampire... ou du moins sa renaissance) les nains du chaos, les halflings, les orques et gobs et... je crois que c'est tout. allez Khaela, au suivant!

DwarfKeeper, je parie que tu n'as pas encore lu les exilés toi!

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Invité Khaela

Bretonnie

Guillaume pesta et esquiva la patte qui le visait. Lançant un regard peu amène à la rousse, il poussa la croupe de celle-ci et se rassit sur son tabouret. La vache continuait de mastiquer tranquillement une touffe de foin. Guillaume se pencha et recommença à traire la vache.

Une demi heure plus tard, Guillaume ressortit de l’étable, un seau de lait à chaque main. Il se dirigea vers les cuisines. Il entendit son nom. Geoffroy courait vers lui et s’arreta en le regardant l’air embeté.

« Ils viennent d’arriver, tu ne peux pas venir ? »

« Tu connais Mathilde ! Si jamais je n’amène pas le lait à temps, je peux dire adieu au diner ! »

Devant l’air accablé de son ami, Geoffroy n’insista pas et reparti en courant.

L’arrivée du comte dans le village pour la foire était un spectacle en lui-même. Avec ses pages, les chariots, les hommes d’armes pour ne pas citer le comte lui-même, la caravane valait le meilleur spectable que les forains qui passaient parfois étaient capable de donner.

Guillaume regarda ces hommes et haussa les épaules. Comme tout le monde, il savait pourquoi le comte était venu. Ce n’était pas pour baisser la taille, la gabelle ou tout autre taxe qui lui permettait de mener grand train, mais bien pour vérifier par lui-même si les rumeurs concernant un monstre rodant dans ses vertes forêts étaient bien réelles. Guillaume savait que les rumeurs concernant la vieille forêt étaient vraies. Il avait vu des traces qu’il ne connaissait pas un jour où il s’y était aventuré. Il avait toujours voulu savoir ce qui ce cachait derrières ces empreintes, mais en tant que vassal, il n’était pas armé. Il avait donc du attendre. Voyant le comte descendre de cheval, il lui vint une idée…

Le froid était vif et le comte allait au petit trot dans la brume matinale. Le soleil commençait tout juste à se lever et n’arrivait pas à percer le coton qui entourait le noble bretonnien. Il était parti il y a une demi heure de l’auberge endormie, laissant dans sa couche une paysanne accorte et peu farouche qui avait réchauffé avec entrain la literie de son seigneur et un aubergiste endormi qui avait failli lui bruler la soupe matinale. Car le comte n’aimait pas partir la panse vide et ce bol de soupe épaisse avec les croutons de pain allait lui permettre de cheminer un bon moment mais surtout lui tenait chaud au ventre ce moment même.

Le sourire du comte se figea. Là bas, une silhouette s’était détachée des premiers arbres de la vieille forêt. Il tira son épée tout en mettant son cheval au pas. La silhouette avança vers lui. Il ne s’agissait pas d’un monstre car elle avait forme et taille humaine. Puis la distance diminuant, les détails apparurent et il reconnut un bejaune du village qu’il venait de quitter.

« Que fais tu céant ? »

« Je vous attendais Seigneur, je sais où se cache le dragon. » répondit Guillaume.

« Ce ne sont donc point là sotteries et racontars d’ivrognes ? »

« Nenni, nenni, noble seigneur. »

« Conduis moi donc…. »

Les deux hommes entrèrent dans la forêt…

- - -

Guillaume laissa échapper un cri. La tête de la vouivre avait manqué de peu la tête du comte et bien que celui-ci avait frappé le monstre, le coup n’avait pu percer les épaisses écailles, le bras du noble fatigué par le combat qui durait. La créature attaqua de nouveau, renversant le comte. Celui-ci était condamné, le reptile ramenant son cou en arrière afin que le coup décisif soit plus puissant.

Guillaume repoussa sa peur et commença à gesticuler en poussant de grands cris. La vouivre tourna la tête et envisagea l’étrange créature qui la narguait. La plus grande était à terre et ne bougeait plus. Elle décida donc de changer de cible.

Guillaume bondit derrière le tronc d’arbre le plus proche qui frémit sous l’impact de la tête de la vouivre. Il était terrifié. Il se demandait ce qu’il lui avait pris de provoquer le monstre. Il voulait aider le comte et maintenant il risquait de mourir pour un homme qu’il ne connaissait même pas. Coincé derrière son arbre, il se demandait quand il allait mourir lorsque la voix du comte se fit entendre :

« Regarde moi, monstre sorti des enfers, ose affronter un serviteur de la Dame ! »

La vouivre se retourna et regarda la première de ses proies qui s’était remise debout. Elle attaqua et cette fois la proie n’esquiva pas. Elle sentit le goût du sang dans sa bouche et su que cette fois son ennemi était mort.

Guillaume vit le ver géant se détendre et décapiter le comte. Il vit celui-ci se tourner vers lui avant de ralentir, puis s’effondrer. Il avait entendu dire que certains monstres et les peaux vertes étaient parfois tellement bêtes qu’ils mettaient du temps à comprendre qu’ils étaient morts. Mais jusqu’à présent il ne l’avait jamais cru. Une fois que les convulsions de la vouivre se calmèrent, il avança jusqu’à la tête et arracha l’épée du comte du crâne de la bête. Il regarda l’épée tachée de sang et décida de la ramener au village. Il allait quitter la clairière lorsqu’il entendi un couinement sortir d’un buisson. Ecartant les feuilles avec la lame, il découvit un œuf d’une teinte verte, brisé sur le coté. De l’ouverture sorti une tête de jeune vouivre. Guillaume leva la lame et le cri se tut. Très fier, Guillaume se dit qu’il avait tué une vouivre.

Tandis qu’il cheminait dans la vieille forêt, il commença à se dire que personne ne savait qui avait tué la vouivre. Qui irait donc le contredire s’il disait que c’est lui qui l’avait tué après que le comte fut tombé au combat ?

- - -

Le vieux seigneur comte Guillaume se mourrait. Il était seigneur depuis plus de cinquante ans. Il était de basse extraction mais avait épousé la fille du comte précédent après avoir tué la vouivre qui terrorisait alors ces terres. Il avait vécu heureux et longtemps même si parfois il reprenait la route en tant que simple chevalier, laissant la gestion du domaine à sa femme adorée. Lorsqu’elle mourut, il sembla s’effondrer et la vie se retirer de lui.

Lorsqu’il expira, ces derniers mots s’adressèrent au portrait de sa femme qu’il regardait.

« Toi seule savait… »

Personne ne les compris.

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Invité Aenario

Le texte est plus long, mais cela n'en alterne pas la beauté. Le style est très bon ( comme d'ab). Cela ne cadre pas avec l'idée de l'honneur bretoniens que je me faisais. Peut-être que seul les nobles ont de l'honneur :P .

Il n'en reste plus beaucoup : les O&G; les semi-hommes, les RDT et les CV.

-- Aenario, il n'y a aucune reiason particulière sur le fait que je me souvienne de la soeur :P --

Modifié par Aenario
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Invité Khaela

Je n'ai pas dit qu'il n'en a pas eu ... en tout cas il était mal partit... après chacun imagine ce qu'il veut :P

Mais il est vrai que les règles sont plutôt le fait des nobles. Bien sur, il arrive que des individus venant des serfs arrivent à s'élever, mais ne nous berçont pas trop d'illusions sur la société bretonnienne... :P

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Invité Khaela

Halflings

Goodfeet et Goodeye les deux frères se regardaient par-dessus la table. L’ambiance était électrique. Les poings serrés, l’œil fulminant, ils se jaugeaient. Posé sur la table l’enjeu :

Le fond de la soupière où il restait un fond de soupe. A peu près une louche, pas plus, et tout ce qui avait tendance à tomber au fond d’une soupière. Il y avait donc là des lardons, quelques lamelles de champignon et flottant ci et là, quelques croûtons dorés et ailés à souhait.

Le silence était tombé d’un seul coup lorsque les deux frères avaient compris qu’un seul d’entre eux pourrait finir la soupière. Il n’y avait en général pas de problèmes, ils pouvaient reprendre un cinquième bol de soupe si ils en avaient envie, mais l’arrivée intempestive de leur grand père avait bouleversé les rations généreuses que leur servait leur mère.

Seuls dans la pièce la chose aurait pu mal tourner si leur grand père, Happyfeet, et leur mère, Pretteye, n’étaient rentré. Rien qu’à les voir, les deux adultes comprirent la situation.

Le grand père, disposant du droit des anciens décida que le fond de la soupière lui revenait de plein droit. A cette nouvelle, Goodfeet éclata en sanglots et alla se réfugier dans les larges jupons de sa mère. Ne pipant mot, Goodeye se leva et alla bouder dans un coin de la cuisine.

Las des pleurs de son petit fils, Happyfeet demanda à leur mère de lui faire une omelette aux champignons qu’il partagerait avec son petit fils pour accompagner le fond de soupe. Les sanglots de Goodfeet se muèrent en une supplique geignarde.

« Je veux pleins de champignons dans mon omelette…. »

La mère vida le tiroir de la cuisine mais la quantité était insuffisante. Goodeye décida de l’aider et se porta volontaire pour aller chercher ce qu’il manquait dans la grange. Il revint bientôt portant les précieux champignons et après les avoir lavés, les éminça lui-même.

Sa mère qui battait les œufs le regarda d’un air attendrit. Elle lui laissa donc la poêle afin qu’il fasse l’omelette lui-même.

L’omelette fut cuite en un tour de main et fut bientôt posé sur la table.

La maman fière des efforts de Goodeye lui demanda de s’asseoir lorsque la voix du grand père se fit entendre :

« Non ce sont les feets qui mangent. Il a fait pleurer mon filleul et il y aurait à voir qu’il ose partager notre collation. Pour aller chercher les champignons, il faut être alerte et avoir de bons pieds, comme nous les feets et non pas comme vous autres bons à rien de eyes, tout juste bons à rester à la maison. »

A cette nouvelle Goodeye explosa en sanglots et partit en courant dans sa chambre sous l’œil attristé de sa mère qui ne pouvait rien dire étant une eye.

Arrivé dans sa chambre, Goodeye se jeta sur son lit et sanglota quelques minutes puis ayant un rapide coup d’œil dans la direction de la cuisine… il alla ouvrir la fenêtre de sa chambre.

« Bon pied peut être, mais pour trier des champignons, il faut avoir bon œil… je vous souhaite bon appétit les feets… »

et il lança les épluchures caractéristiques des amanites dans la rivière qui passait plus bas.

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