Elladan, Seigneur Elfe Posté(e) le 15 avril 2004 Partager Posté(e) le 15 avril 2004 Pitié maître... ( elladan, elfe de Slaanesh qui sait que la flatterie sa marche. Allez on croise les doigts.) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alith Anar Posté(e) le 23 avril 2004 Partager Posté(e) le 23 avril 2004 Beuh et les Orques alors ??? ET les snots ! Alleeeeeeeeez, vite! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Khaela Posté(e) le 26 avril 2004 Partager Posté(e) le 26 avril 2004 Tu crois franchement qu'avec le pseudo que tu as et la manière dont tu t'exprimes, je vais accéder à tes désirs Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Aenario Posté(e) le 26 avril 2004 Partager Posté(e) le 26 avril 2004 J'aime bien le tourant que prend ce post, après nous avoir expliqué comment les warhammerien sont éduqué, tu tentes de nous éduquer nous même, félicitation. -- Aenario -- [Khaela : On ne tire pas la langue ] Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Seth Posté(e) le 26 avril 2004 Partager Posté(e) le 26 avril 2004 Ô Grand Seigneur et Maître. Accède a nos humble espoirs! Illumine nos misérable vie de Ta lumière, je T'en prie, ne nous laisse pas perde espoir de trouver la voie. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Khaela Posté(e) le 3 juin 2004 Partager Posté(e) le 3 juin 2004 Bon pour info, le Chaos est en cours de ré-écriture... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Khaela Posté(e) le 1 juillet 2004 Partager Posté(e) le 1 juillet 2004 (modifié) Tiens j'ai eu envie de me faire plaisir... Vous me direz si cela vous rappelle quelque chose... ---- Chaos Uzulk courait dans la steppe, l’herbe courte et rase, lui chatouillait les chevilles, sa plante de pied cornée ne sentant plus depuis longtemps le chatouillement des herbes ou le piquant des ronces. Toujours riant, il se dirigeait vers la yourte du chamane. Celui-ci allait être ravi, il lui avait trouvé les herbes qui manquaient pour son incantation. A cette pensée, il tourna le regard vers le nord. La bas au loin, le ciel se parait de couleurs chatoyantes sans cesse changeantes. Du bleu cobalt, les nuages passaient au pourpre avant de prendre une teinte dorée. Uzulk s’inclina et récita la prière : « Salut à vous O puissances éternelles, Puissiez-vous apporter gloire et puissance à la tribu ! Que vos quatre bénédictions rejaillissent sur nous et que jamais notre foi puisse faiblir ! » Reprenant son chemin, il arriva à la yourte en peau de bête. Le bois du feu se consumait doucement, une bouilloire chantant doucement sur le bord de celui-ci. Se doutant que le vieil homme était resté à l’intérieur, Uzulk s’assit et prenant le seau d’eau commença à laver les herbes. Une main puissante souleva la peau fermant la yourte. Sous l’effet de l’émotion, Uzulk se releva et regarda le puissant guerrier en armure noire aux runes de sang qui lui faisait face. Un élu pensa t-il. Un guerrier béni des dieux. C’était aussi ce qu’il voulait devenir. Il regarda celui-ci prendre un parchemin, lire quelque chose. Uzulk attendait ce que ce seigneur allait lui dire … La lame siffla dans l’air décapitant l’adolescent. La tête roula tandis que le corps tomba sur le seau qui se renversa. Indifférent, le guerrier rengaina son épée et reprit le parchemin. Tout le haut de celui-ci était blanc tandis que le bas était rempli d’une écriture serrée. Il relut la dernière phrase qui disparut du parchemin au fur et à mesure qu’il la lisait… « Quand perdue yourte trouvera, Vieux et jeune tu sacrifieras… » Le guerrier roula le parchemin, entra de nouveau dans la yourte et alla se coucher. Tot le lendemain, il reprit le chemin du nord. Après trois semaines de voyage sous un ciel aux tonalités déroutantes et changeantes, il fit de nouveau face à l’obélisque. Celui-ci était parsemé de runes, hiéroglyphes et autres symboles et langages. Il chercha sur sa surface quelque chose et poussa un soupir de soulagement en retrouvant son nom. Celui-ci était inscrit dans la pierre noire. Passant sa main sur son nom, il sentit la pierre vibrer de l’intérieur. Son nom se mit à briller tandis que les lignes en dessous s’illuminaient… Elles s’enflammaient les unes après les autres, l’avant dernière disait : « Quand perdue yourte trouvera, Vieux et jeune tu sacrifieras…. ». Le trait de feu descendit encore une fois et s’immobilisa sur ces mots : « Jeune est la fleur de lys au Monstre marin, A tes désirs plie la jusqu’au matin… » Le guerrier posa le parchemin sur cette ligne et les mots s’inscrirent sur celui-ci. La pierre sembla frémir et le minéral reprit son aspect premier. Il s’assit et se mit à réfléchir. Au matin sa résolution était prise, lui qui avait toujours eu un faible pour Tzeench ne choisirai pas sa voie, il hésitait encore entre grand père Nurgle et Khorne. Machinalement il jeta un dernier regard sur l’obélisque. Il se figea en constatant que la dernière ligne brillait d’un éclat changeant. Les couleurs semblaient aller d’un rouge sanglant à un vert maladif. Il s’approcha et lut les nouvelles instructions. Il recula et traça un cercle, entoura celui-ci de nombreuses inscriptions et prépara les offrandes d’encens et les ingrédients du rituel qu’il venait d’apprendre. Il se plaça au milieu du cercle et lança l’incantation dans un langue qu’il ne connaissait pas. Le monde sembla se troubler autour de lui, puis le sens de l’incantation lui apparut : « O toi changeur des mondes, puisque je te renie, éloigne-moi à jamais de celui-ci » Il regarda autour de lui. Il était maintenant dans une plaine à l’herbe orange. Ce qui ressemblait à une armée de mutants lui faisait face. Ils avaient parfois des écailles, des ailes ou une fourrure, mais ils étaient plus humains que lui. Il regarda intéressé sa main aux longues lames de rasoirs, vis les piques et lames ornant son corps de trois mètres et eu un sourire. Il n’allait faire d’eux qu’une bouchée, il vit ses frères autour de lui. Son sentiment de puissance était absolu. Puis il vit la silhouette au premier rang. Cet humain avait l’air normal mais son regard semblait ne pas le lâcher. La jeune femme derrière lui avait également l’air redoutable mais le guerrier du premier rang fit fondre ses certitudes. Il entendit alors loin au fond de son âme une petite voix ricanante tel un cri de corbeau qui lui susurra : « Je te présente ta Némésis, il s’appelle Fedmahn Kassad ». Le guerrier du Chaos su alors que sa vie était arrivée à son terme... Modifié le 1 juillet 2004 par Khaela Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Warzazatt Posté(e) le 1 juillet 2004 Partager Posté(e) le 1 juillet 2004 Pas mal! Vraiment bien même! Divertissant...C'est l'adjectif adapté. J'adore ce genre de textes courts! Un autre! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 1 juillet 2004 Partager Posté(e) le 1 juillet 2004 Bon le guerrier roula le J'aime pas bien ce début de phrase Sinon il y a pas à dire c'est beaucoup mieux ! @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Aenario Posté(e) le 1 juillet 2004 Partager Posté(e) le 1 juillet 2004 D'accord avec Inxi. Plutot ""Bon", se dit le guerrier en roulant ..." Sinon, oui je suis d'accord, il est bien mieux que le précédant. Félicitation. -- Aenario -- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Khaela Posté(e) le 1 juillet 2004 Partager Posté(e) le 1 juillet 2004 Entièrement d'accord. D'ailleurs je l'ai modifié... Maintenant pour les adeptes, un personnage excellent d'un roman tout aussi excellent est cité dans ce texte... alors de quel roman s'agit-il ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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