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Boromir du Gondor

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Tout ce qui a été posté par Boromir du Gondor

  1. Superbes figurines (surtout que Seigneur des Anneaux en Armée Uniques, c'est rare !). J'adore ta grande bête (magnifique la peau ), pourrais-tu me dire comment tu la peintes ? Et tes Orques du Morannon, même si mon frère (grand adepte en herbe du Mordor) utilise une couleur jaune sale pour la peau de tous ses Orques, cela fait un rendu plus uniforme et respecte en plus l'oeuvre de Tolkien, mais chacun fait ce qui lui plaît ! Un rouge un peu trop clair, mais si c'est ton choix. Pour le Roi-Sorcier, tu n'aurais pas fait un effet de l'épée enflammée qui se reflète sur son heaume par hasard ? J'adore aussi les socles ! La suite ! [size="3"]La suite ![/size] [size="4"]La suite ![/size] [size="5"]La suite ![/size] [size="6"]La suite ![/size]
  2. [size="2"]Bon, j'ignore si ce que je fais est de la nécromancie (je ne l'espère pas mais on ne sait jamais), mais je poste la suite de mon histoire et bonne lecture ! Publius Marcius Spinther, s'effondra lourdement au sol, écrasé par les émotions de la journée et par la construction du camp. En effet, malgré l'embuscade, les troupes romaines avaient toute de même construit un camp pour la nuit. La tâche n'avait pas étéaisé, car pendant que chaque premières, deuxième et troisième cohorte de chaque légion surveillaient les environs, toutes équipées, (environ 5 280 soldats mais moins à cause des pertes de la XIXème légion, soit un peu plus d'un tiers del'effectif total), les autres cohortes s'attelèrent alors à défricher le terrain choisi par les officiers. Puis les ingénieurs (des vétérans de l'armée) et un tribun délimitèrent les axes principaux, l'enceinte du camp, l'infirmerie… Puis, les soldats commencèrent (sauf les gardes) la construction du camp. Le sol fut égalisé. Le fossé fut creusé et la sur laterre accumulée, la palissade de bois fut installée, les logements desofficiers supérieurs, le quartier général, l'autel, la tribune, la chapelle aux enseignes et l'infirmerie sont rapidement montés a peu près au centre du camp. Deux routes perpendiculaires furent tracées. Dans les espaces qu'ellesdélimitent, civils et militaires plantèrent leurs tentes. « Hé Publius ! » Dit alors Corvus. - Quoi ? Grogna son camarade. - Si on allait voir nos amis de la première centurie de laXVIIIème ? Il y en a peut-être qui ont été blessé… » Les amis de la XVIIIème, étaient au départ, un ancien soldat de la XVIIème légion qui avaient été, chose exceptionnelle, muté,et quelques soldats de la XVIIIème, qui s'étaient lié d'amitié avec le muté. Marcius poussa un long soupir de lassitude mais se relevaquand même péniblement. « D'accord… Mais aide-moi d'abord à enlever cette fichue cotte de maille. » Son ami s'exécuta en silence. Une fois prêt ils s'éloignaient de leur tente qu'ils partageaient avec le reste du contubernium, lorsqu'ils entendirent un cri derrière eux. « Attendez ! On vient avecvous ! » C'était Mugillanus et un vieux vétéran d'une autrechambrée, Caïus Iulius Pavo. Les quatre soldats, à l'approche de tentes de la XVIIIème, furent saisis par les cris de douleurs de femmes endeuillées et par les lourds sanglots des soldats. « Bon sang ! S'exclama Mugillanus. C'est plus sévère que je ne le pensais ! - Tu as toujours été trop optimiste, Quintus. D'après ce que je sais,toute les cohortes et ailes auxiliaires seraient passées à l'ennemi, sauf trois. Et peut-être pas entièrement. - Lesquelles ? Demanda alors Marcius. - Un cohorte de Chattes, peut-être des Ubiens et une aile de Bataves. - Je reconnais ce centurion ! S'écria alors Mugillanus, coupant Pavo. C'est Marcus Papirius ! C'est la centurie de Vespillo et des autres ! » Les quatre soldats rejoignirent l'alignement detente de la centurie de Papirius. Mais là, ils ne trouvèrent qu'une douzaine de femmes qui pleuraient, s'arrachant les cheveux et déchirant leurs visages de leurs mainsen signe de grand deuil et des dizaines de soldats moroses et tristes, pétrissant, sans grande conviction des galettes, allumant un feu ou jouant aux dés mais sans plaisir. Un soldat se leva à leur approche. « Salut à vous. Dit-il tristement. - Salut à toi, Vespillo, répondit Mugillanus, mais pourquoi cet air sitriste ? » A cette question, l'homme, grand et maigre, déglutitavec peine, comme sur point de pleurer. Puis, dans un sinistre murmure, il dit : « Mon contubernium a été sévèrement touché, moiet Lucius l'Ancien sont les seuls survivant. Tous les autres sont morts. » Les quatre hommes en furent choqués. « Tous, vraiment ? demanda encore Mugillanus, tandis que Vespillo acquiesçait faiblement. - Ce… Ce n'est pas possible ! S'exclama alors Pavo. - Malheureusement si. Rétorqua sèchement Vespillo. - Centumalus ? - Oui. - Spurius aussi ? - Aussi. - Et Sextus Poetelius ? - Comme les autres. - Ambustus, Strabo et Barbula ? - Tous. - Jupiter Vengeur ! S'exclama alors Pavo, incrédule, en tombant à genoux. Pourquoi infliger cela à la plus pieuse des armées ? » Les cinq hommes restèrent un moment debout, incrédules par cette nouvelle, quand Vespillo dit soudain : « Je sais tout de même qui a tué Barbula et Spurius. C'est un ancien préfet d'aile. Ce félon s'appelle Caïus Iulius Arminius. Unsale Chérusque romanisé. - Vermine de Germains, grogna alors Corvus d'une voix sourde, on ne peut pas leur faire confiance. - Le chien ! Ajouta alors Pavo qui s'était relevé. Si on ne peutmême pas faire confiance à un Germain qui a passé la plus grande partie de sa vie à Rome et au service du principat, à qui peut-on faire confiance ? - Aux Germains qui ne se sont pas ralliés aux traîtres. » Répliqua violemment Marcius. Pavo haussa les épaules. « Ce n'est qu'une question de temps ! Si la fortune sourit aux Germains, ils se rallieront à leurs congénères. » Marcius répondit vivement : « Ne fais pas ton naïf, Pavo ! Les Bataves et les Ubiens savent très bien que se battre contre la République ne servirait à rien ! Ce n'est pas parce qu'une poignée de tribus de vantards et de querelleurs se révoltent qu'il faut généraliser ! » La réponse de Pavo fut cinglante : « Ecoute bien, jeunot ! Je suis dans l'armée depuis plus longtemps que toi et je connais bien les Germains ! Ces sauvages sont bien capables de tous s'allier pour nous renvoyer chez nous,avant de nous envahir à leur tour ! » Marcius allait répondre mais Vespillo l'en empêcha : « Silence ! Vous n'avez pas honte ? Qu'est ce que ça peut faire la fidélité des auxiliaires ? Ils en reste àpeine mille ! Tous les autres sont partis ! Qu'est ce que vous voulez que mille pauvres idiots fassent face aux hordes barbares ! Qu'ils s'en aillent ou qu'ils restent, moi je m'en fiche ! Mais regardez autour devous ! Regardez ces cadavres ! On est pas à l'entraînement ! Onest pas non plus dans une bataille ordinaire où l'on peut se replier si l'on est vaincu ! On va se faire massacrer ! On est coincé, on est pris, on est fichus ! » Quelques larmes glissèrent sur ses vieilles joues ridées et Mugillanus s'approcha pour le serrer dans ses bras : « T'inquiètes pas Vespillo. C'était qu'une petite embuscade et toi et les autres avaient pas eu de chance, mais tu verras, demain les Barbares n'attaqueront pas. C'était juste une poignée de rebelles et de traîtres. - T'as raison… Assentit son ami qui eut une pause puis reprit : Bon. Il faut aller au[i] praetorium [/i]maintenant. Le légat Quinctilius va donner des récompenses aux braves soldats et le centurion m'a dit que je recevrai une couronne civique. - Pourquoi, s'étonna Mugillanus, tu as sauvé un citoyen romain ? » Vespillo sourit et répondit : « Non. Deux mules c'est tout comme. Voyant l'incrédulité de Mugillanus et des autres, il reprit : Non, en vérité,comme l'armée à besoins de héros en ces temps difficiles, les officiers se sont dit que deux mules avec tout leur paquetage était très précieuses – ce qui n'est pas faux – ils ont donc décidé de transformer ces braves bêtes en un tribun que les Germains étaient en train d'enlever pour le torturer sans aucun doute. Il sourit. Cet exploit me vaudra sans doute de franchir un nouvel échelon dans la hiérarchie. - Chanceux va ! répondit Mugillanus, en souriant. Va te préparer alors.Tu mettras tes deux phalères et tes deux torques ? - Bien sûr ! Pour montrer quel soldat méritant je suis ! - On va dire ça… Et comment va Valeria ? Pas trop triste de la mort de Barbula ? » Valeria Calva était la compagne de Barbula. Elle était fille d'un soldat de la XVIIIème légion, un ami de Barbula. Elle appréciait son compagnon et lui avait donné déjà trois enfants, deux garçons etune fille mais la fille risquait de mourir de fièvre d'un jour à l'autre,n'ayant de que trois ans, elle était assez faible. Vespillo répondit tristement : « Elle est effondrée, comme tu le pense bien…il soupira et ajouta : Surtout avec la petite en danger de mort… Il eu une courte pause puis reprit : Bon. Il faut vraiment que je vous quitte pour que je m'équipe, avec la remise de récompenses… Salut à vous. - Salut à toi, Vespillo. » Répondirent les quatre soldats. Puis, ils se séparèrent. Soudain Mugillanus seretourna et héla son vieux camarade : « Hé, Vespillo ! Vous allez dormir que vous deux, Lucius et toi, alors ? » Vespillo lui répondit d'une voix empreinte detristesse : « Non ! Lucius est à l'infirmerie, il aété blessé à la jambe ! Je dormirai tout seul ! » Devant tant de malheurs, Marcius ne put s'empêcher de souffler « Pauvre homme… » Il fut assentit par Corvus : « Oui, c'est vraiment la misère… Quelle tristesse ! » Puis les quatre soldats regagnèrent leurs tentes respectives. Mugillanus, Corvus et Marcius était attendu avec impatience par quatre membre du contubernium. « Où est Cneus ? Demanda alors Marcius, voyant que c'était le seul qui manquait. - Il est partit manger avec le contubernium des joueurs de dé. » Lui répondit un autre soldat, nommé Quintus Antistius Merula. Marcius acquiesça. Ce contuberium un peu spécialétait composé de passionnés du dé. Dès que l'heure du repas était venu, Cneus Publilius filait les rejoindre, pour des parties où, la plupart du temps, ils ne pariaient pas beaucoup, voir pas, d'argent. Durant leur courte absence, les autres soldats du contubernium avaient pétri des galettes où ils avaient fourrés des olives (les rares qu'ils avaient encore !), des petits morceaux de fruits et de viande. Ils les faisaient maintenant cuire en les installant sous la braise du feu de camp. Elles seraient vite cuite. Pour agrémenter ce repas, les soldats avaient du vin celte de Pavo (ils mangeaient souvent avec le contubernium de Marcius avec deux autres vétérans car le leur était surtout composés de très jeunes soldats) qui lui avait couté trois as la mesure (il avait une jarre de trois mesures), du vin de Falerne de Antistius à cinq as la mesure (il avait deux jarres de deux mesures chacune), des saucisses fumées de porc et de bœuf, de Corvus, une bouillie de céréales et une autre de lentille et enfin, du porc salé. C'était déjà un bon repas, que l'on ne pouvait se permettre tous les jours. Mais ce jour-ci, les soldats avaient besoin de se réchauffer le cœur, de se rassurer car si certains vétérans avaient des amis dans la XVIIIème légion, tués lors de l'embuscade, tous étaient inquiets pour l'avenir. Le repas se passait bien. Le vin coulait, les conversations allaient bon train, mais elles étaient graves et empreintes d'inquiétude. Autour de la tente, les autres contubernium mangeaient eux aussi.Corvus échangea une saucisse contre du jambonneau. Mugillanus, Pavo et les deux vétérans du contubernium de Pavo parlaient de leurs amis morts, ressassant leurs souvenirs. Antistius et un autre soldat de son contubernium filèrent rejoindre Cneus Publilius et les joueurs de dés invétérés, mais la plupart des soldats restèrent près de leurs tentes à ressasser de sombres pensées, tout en fixant avec angoisse les grands arbres, rendus sombres et inquiétants par la nuit. Marcius, quant à lui vidait son outre de posca, sous l'œil sombre de Corvus qui passait le temps en lisant [i][u]LesOiseaux[/u][/i] d'Aristophane, une comédie particulièrement drôle qui changeait de l'humeur du moment. Puis, tous les légionnaires regagnèrent leurs tentes respectives après avoir éteint leurs feux. Tous, sauf les sentinelles (dont Corvus, qui prenait le premier quart), les tesserari (dont Mugillanus) de chaque centurie, chargés d'aller délivrer le mot de passe aux sentinelles et les soldats du contubernium des joueurs de dé invétérés qui continuaient leurs parties dans le noir, silencieusement. Cneus était parmi eux mais il arrivait toujours à regagner sa tente sans se faire prendre et sans réveiller les autres. C'était vraiment étrange, la dextérité avec lacquelle il échappait aux sentinelles et surtout, comment il faisait pour se glisser dans la tente, passer aux-dessus de corps endormis et s'alonger pour dormir, tout cela sans un bruit. On ne pouvait pas lui ôter ce talent, c'était certain. Malgré cela, lorsque l'obscurité touchait à son paroxysme, le camp était entièrement silencieux. Rien ne perçait les ténèbres nocturnes, sauf, parfois, l'aboiement d'un chien de garde pour réveiller une sentinelle endormie ou le crépitement d'un feux de bois qui réchauffaient les veilleurs et permettaiaient de mieux voir dans l'obscurité. Mais au centre du camp, tout était calme. On ne pouvait voir que la lumière dansante de feux ou la fumée, macabre noirceur, des bûchers funéraires des morts de ce jour. [/size][center][center][size="2"]*[/size][/center][/center][size="2"] Marcius se réveilla en sursaut, la tête lourde avec un mal de crâne atroce dû à la quantité de vin ingurgité la veille.. Une grosse goutte d'eu venait de s'écraser sur son visage. Il pesta doucement contre cette malchance et entendit la pluie tomber avec violence sur la tente. L'eau commençait à percer la toile. Il se serra un peu plus dans ces couvertures pour se rendormir mais une terrible envie d'uriner le saisit. Passant par-dessus un Corvus endormi, il sortit de son frêle abri de toile. Une fois au grand air, il fut saisit par le froid mordant et par la pluie glaciale de ce jour d'octobre. Il était vrai qu'il n'était qu'en tunique et en chaussettes. Marcius remarqua alors que l'aube allait, sans doute, bientôt se lever. Se glissant silencieusement derrière la tente et soulevant sa tunique, il laissa échapper un flot d'urine chaude sur laterre gelé. Sa besogne accomplie, il allait se glisser sous sa tente, lorsqu'il vit un sonneur de trompette surgir juste devant lui. « Oh, non ! Pas déjà ! »Gémit-il vainement. Mais, impitoyable, le sonneur sonna le réveil, réveillant, avec ses compagnons, le camp. « Mars Vengeur ! Jura alors Marcius,puis il s'écria : Debout là-dedans ! Vous n'avez pas entendu la sonnerie ? » Des plaintes étouffées lui répondirent, mais Cneus sortit finalement sa tête et dit : « Oh ! C'est toi ! J'ais cru que c'était ce cochon de Tudinatus… Puis, il se rendit compte de la pluie et s'exclama : Quelle temps ! » Marcius lui répondit avec un sourire amusé : « Quel douillet ! Allez, debout ! » Rapidement, tous les soldats furent sur pied. Marcius souffla alors à Corvus : « J'ai un horrible mal de crâne ! Et toi ? » Son ami lui rétorqua d'une voix dure : « Moi non. Mais si tu n'avais quasiment pas vidé ton outre de vin, tu ne serais pas dans un tel état ! » Son camarade le fixa durement mais ne répliqua pas et se tourna vers un légionnaire du nom de Sextus Cassius Domitius Messor : « Hé, Sextus Cassius ? - Oui ? répondit celui-ci. - Il était bien ton tour de garde ? » Domitius rit : « J'ai cru mourir de froid ! Et en plus, il pleut ! Non mais, vivement la retraite ! - Tu dis ça maintenant ! Mais tu verras, quand tu seras à deux doigts de la retraite, tu ne diras pas la même chose ! » Répliqua Mugillanus. Domitius rétorqua : « Ne t'inquiètes pas, Mugillanus… Je suivrai ton exemple et je rempilerai… Je ne pourrai pas me passer de toi si longtemps. » Mais Mugillanus répliqua : « Si tu crois te faire apprécier pour avoir une place dans mon testament, tu te trompe ! Je lègue tout à ma tombe ! - ça me dérange pas… Pilleur de tombe est un bon métier. » Rétorqua Domitius. Le vieux soldat le regarda avec amusement puis rentra sous la tente chercher son équipement. Une fois que tous les soldats du contubernium eurent fini de s'entraider pour mettre leur équipement, le camp fut démonté puis les soldats se placèrent en ordre de marche et les trois légions s'enfoncèrent dans les profondeurs de la forêt germanique, anxieux à l'idée de ce qu'ils allaient y trouver.[/size]
  3. Alors, alors... Il paraîtrait qu'on aurait le droit d'écrire des histoires historiques sur cet section, alors je me lance ! Voilà le début d'une petite histoire que j'ai concocté sur le désastre de Varus. J'espère que vous apprécierez.... [size="2"]L'armée romaine marchait lentement à travers les sombres et splendides forêts germaniques. Ce long serpent de fer et de bois avait quitté le camp de Tulifurdum près du fleuve de la Weser depuis plusieurs heures déjà et s'approchait de son point de destination : le vaste camp de Xanten, l'unes des enclaves de la civilisation romaine ou milieu de la civilisation germaine. Mais dans cette immense colonne de trente mille hommes, femmes et enfants intéressons nous à la XVIIème légion… Le légionnaire Publius Marcius Spinther grogna lorsque son pied buta contre une racine d'un grand chêne. Il manqua de tomber et ne se rattrapa qu'avec justesse. « Comment peut-on vivre dans un environnement pareil ! » Soupira-t-il. Marcius était assez grand pour un Romain. Il faisait bien un mètre soixante-quinze. Il avait la peau exceptionnellement blanche ce qui lui avait valu le surnom de Lanatus (laineux). Ses cheveux étaient bruns clairs et ses yeux verts. Toutes ses caractéristiques physiques faisaient qu'i lressemblait plus à un Germain qu'à un Romain de Rome… Il s'était engagé à dix-huit ans, poussé par ses parents qui désiraient voir l'avenir de leur fils aîné assuré. Ses deux autres frères, quant à eux, travaillerons sans doute dans le petit atelier de poterie de leur père, dans la ville de Caere. Marcius avait passé le conseil de révision pour pouvoir entrer dans la légion sans trop de problèmes : il était citoyen romain, savait parler, lire et écrire le latin, compter, faisait plus d'un mètre soixante-cinq, était en bonne forme physique, avait une bonne vue et son père ne faisait pas de métiers déshonorant (comme marchand d'esclave) et n'était pas un affranchi. Bref, il fut envoyer sans problème dans la XVII ème légion et on lui attribua un contubernium. Cela faisait maintenant quinze ans qu'il s'était engagé et il avait trente-trois ans. En quinze ans, il n'avait jamais changé d'unité mais avait augmenté en grade. Il était maintenant [i]librarius horreorum[/i], un sous-officier touchant une paie moitié plus grosse que les autres légionnaires qui devait se charger de comptabiliser l'approvisionnement en blé. Publius Marcius regarda la forêt avec angoisse. Il avait eu l'impression d'apercevoir une ombre à travers l'épais feuillage forestier. « Je plains les éclaireurs, lui souffla alors un soldat à ses côtés, il doivent avoir un sacré travail pour déblayer cette fichue forêt. » Marcius se tourna vers son camarade. Caïus Iulius Corvus Gallus était un Gaulois assez petit, mais tout de même dans les normes des légionnaires, brun et pourvu d'yeux d'une noirceur d'encre. Il venait de la tribu des Nervii, qui vivait en Gaule Belgique. Il n'était pas né citoyen romain, mais était pourvu de toutes les qualités physiques, morales et intellectuelles pour faire un excellent légionnaire, ce qui était assez difficile à trouver dans les classes moyennes. Il parlait et écrivait le latin parfaitement. Cette excellente éducation venait d'un vétéran romain installé dans la ville de Bagacum en territoire nervi qui avait épousé sa mère. Etant ancien centurion, ce vétéran avait envoyé une lettre de recommandation au princeps lui-même. Lettre appuyée par des notables régionaux et par le gouverneur de la province, un légat impérial de rang prétorien. Le vieux soldat avait dû verser de grosses sommes;aux notables locaux pour qu'il l'appuie mais son entreprise fut couronnée de succès. Corvus fut naturalisé romain et put porter le prénom et le nom du princeps Augustus (même si il aurait préféré celui de son protecteur) et devint client du princeps. Une fois légionnaire et citoyen romain, Corvus refusa qu'on l'appelle par son ancien nom celte, Acco, et ne le dit à aucun de ses sept camarades de tente et armé de toutes ses recommandations et de ses qualités personnelles, Corvus, même si il ne s'était engagé que depuis quatre ans (il avait vingt-trois ans) était destiné à une magnifique carrière dansl'armée pour finir sans doute, centurion d'une cohorte prétorienne si il n'avait pas été envoyé dans la funeste XVIIIème légion… Marcius acquiesça de la tête. Il tourna soudain la tête pour voir où se trouvait son centurion. Derrière-lui, où pouvait voir les six autres légionnaires de leur contubernium, ainsi que leurs deux valets d'armes dont l'un tenait une mule par la longe. Les deux mules étaient chargées du matériel trop encombrant pour que les légionnaires puissent le transporter : la tente, des outils… Quant aux soldats, ils transportaient sur leurs frêles épaules, leurs effets personnels, tablettes de cire, surplus de nourriture, solde, vêtements, bijoux… Sans oublier des objets moins appréciés tels que des outils et des casseroles. Et tout cela, enfourné dans un sac de cuir et ce dernier attaché à un bâton fourchu ([i]sarcina[/i]). Le centurion Marcus Scantius Hirrus Tudinatus étaità l'arrière de la colonne, en pleine discussion avec le centurion de la centurie qui suivait. Marcius en fut soulagé, car Scantius détestait que les hommes parlent durant la marche. Il trouvait que cela essoufflait inutilement ses soldats. Et, armé de cette excuse, Scantius avait pris la sale habitude de se glisser près des bavards pour leur assener un grand coup de son cep de vigne, symbole de sa charge. Ses coups, d'une grande vigueur, lui avait d'ailleurs valu le surnom de Tudinatus (marteau). Et pour ne pas éveiller les soupçons de ses victimes, il s'approchait d'elles le plus silencieusement possible, le visage caché par la capuche de son manteau et sa cotte de maille dépourvue des nombreuses décorations qu'il avait reçu. Il put alors souffler à Corvus : « J'espère que les rebelles ne poseront pas trop de problèmes… Quel fichu contretemps ! » Son camarade acquiesça vigoureusement et répondit : « Tu as raison… Mais je ne me fais pas trop de soucis… Dès qu'ils nous verront ils se jetterons au pied de notre cher légat Quinctilius et on pourra enfin rentrer hiberner ! Si ils existent, d'ailleurs… - Moi, le lendemain de notre arrivée au camp, après l'exercice, je file aux thermes ! - Je t'accompagnerai avec plaisir ! Corvus regarda en arrière, puis reprit. Et je pense que le vieux Mugillanus viendra aussi. » Puis ils reprirent leur marche silencieuse. Quintus Poetelius Mugillanus était le plus vieux de leur chambrée. Il attaquait sa vingt-sixième année de service en tant que [i]tesserarius[/i] (le soldat chargé de donner le mot de passe). Il recevait une double solde et était immunisé, comme Marcius, des corvées du camp, ce qu'il appréciait grandement, étant âgé de quarante-sept ans et déjà usé par la rudesse des exercices et des corvées et par un grand nombre de blessures. Marcius, pour faire passer le temps, fixa intensément son casque, qu'il avait suspendu à son coup grâce à des lacets de cuir. C'était un casque classique des légionnaires de l'époque augustéenne, de type Haguenau, en laiton, ce qui le faisait ressembler à un casque plaqué or. Il se composait de garde-joues de laiton, d'un couvre-nuque, encore assez court, d'une petite visière rivetée en forme de demi-lune, qui partait vers l'avant, pour renforcée le casque contre les coups. Marcius avait fait récemment changé les garde-joues, assez simple, pour les remplacés avec d'autres où, du côté gauche, le dieu Mars était représenter équipé à la grecque, et, du côté droit, le héros Enée, lui aussi équipé à la grecque. Il avait pu se payer ses nouvelles pièces grâce à sa solde supérieure. Sa cotte de maille ([i]lorica hamata[/i]), quant à elle, était faite d'anneaux de fer, courte, sans manche, retenue par des épaulières liserées de cuir, elles-mêmes, maintenue sur la poitrine par des crochets de fer. Dessous, il avait revêtu une cuirasse de cuir ([i]subarmalis[/i]) pour protéger les vêtements contre le frottement avec la cotte de maille, encore en dessous, il avait revêtu une tunique de laine grossière pour se protéger du froid et pour ne pas user ses meilleurs tuniques (à cette époque, le temps de tisser une tunique est équivalent à celui de souder une cotte de maille !). Cette tunique était retenue par une ceinture de cuir et les soldats la faisait blouser par dessus. Et en tout dernier, Marcius portait de courtes braies gauloises pour se protéger des rigueurs du climat germanique. Ces braies étaient tenues par une ceinture de corde. Et pour retenir la cotte de maille, Marcius portait le célèbre ceinturon militaire ([i]cingulum[/i]), puis un autre ceinturon le [i]balteus[/i]qui retenait le glaive et le poignard ([i]pugio[/i]).Le fourreau était en laiton et assez bien décoré. Quant au poignard il ne servait plus guère qu'à la parade. Le [i]cingulum [/i]supportait un tablier clouté de six longues lanières. Il était aussi équipé de deux javelots lourds ([i]pilum[/i]) et d'un bouclier ovale et lenticulaire aux couleurs de sa cohorte. Marcius portait un lourd manteau de laine pourvu d'une capuche qu'il avait rabattu sur sa tête. La plupart des soldats étaient équipés ainsi, même si quelque uns portaient une armure à plaque métallique ([i]lorica segmentata[/i]) qui commençait à se diffuser chez les légionnaires et les auxiliaires romains et d'autre la bonne vieille armure à écailles ([i]lorica squamanta[/i]). Marcius décrocha sa gourde de vin qu'il portait toujours attaché à sa ceinture et en but une longue gorgée. Corvus lui jeta un regard réprobateur mais ne dit rien. Soudain, le soldat reçu un violent coup sur le crâne qui lui fit échapper sa gourde. Il se retourna maladroitement, encombré par son équipement et étourdi par le coup reçu, le glaive à demi tiré. Face à lui se trouvait le centurion Tudinatus le visage empourpré par la colère. Voyant que Marcius était à deux doigts de sortir son glaive il s'exclama : « En plus de t'enivrer, tu voudrais pourfendre ton centurion, Spinther ? - N… Non ! Répondit celui-ci. Faut m'excuser centurion Scantius (Tudinatus était un nouveau, il venait d'une légion cantonnée en Illyrie, il n'était pas très familier avec la troupe), je croyais que se serait un Germain… - Un Germain ? Dans la colonne ? - Cet… Cette forêt est si mystérieuse…. » Avoua Marcius. Tudinatus allait répliquer lorsque le centurion de la centurie de derrière hurla : « Vous allez avancer, oui ? Je n'ai aucune envie de dormir ici ! Tudinatus se rendit alors compte que toute sa centurie s'était stoppée. « ça va ! Cria-t-il à l'adresse du plaignant. Avancez vous autres ! » Ordonna-t-il alors à ses hommes. Puis il se tourna vers Marcius qui reprenait sa marche : « Quant à toi, sache que ce que je déteste le plus après les bavards, c'est bien les ivrognes… » Il fila ensuite encourager l'arrière garde de sa centurie. Corvus souffla alors : « Il a raison. Tu bois trop. » Marcius lui jeta un regard mauvais mais se tut et dépassa son camarade. Et la longue marche à travers l'épaisse forêt se poursuivit. Trébuchant sur des racines, marchant dans de la boue, les légionnaires grognaient et se plaignaient. « Vivement le camp ! Soupira Mugillanus - Ouais ! Approuva un autre soldat de leur contubernium, nommé Cneus Publilius, le plus inculte et ignorant du contubernium. Y'en a marre de la forêt ! - Silence dans les rangs ! Hurla alors Tudinatus. Si c'est pour dire des idioties pareilles, tu peux te la fermer, Publilius ! Quand je pense qu'il y a eu un Publilius tribun de la plèbe… - C'était y a longtemps… Depuis une partie de ma famille c'est rattrapé. - Silence ! » Hurla de nouveau Tudinatus. Mais quelques rires se firent entendre dans la centurie et dans l'arrière garde de celle de devant. Tudinatus retourna alors en arrière garde de sa centurie, voir son valet d'armes, ses deux esclaves et son mulet. « Il a pas d'autre amis… » Murmura alors méchamment Publilius à l'oreille de Mugillanus. Celui-ci secoua la tête, en silence et rétorqua : « T'es bête, Cneus. C'est un brave gars notre centurion. » Mais un sourire flottait tout de même sur ses lèvres. Soudain à l'étonnement de tous, les légionnaires entendirent des échos de combat l'avant de la colonne. « Qu'est ce que… » Murmura doucement Tudinatus, troublé. L'étonnement général atteint alors son paroxysme quand les soldats entendirent les cors et trompettes sonner le rassemblement. « Par Jupiter Depulsor ! Jura alors lecenturion de la centurie de devant. Mais qu'est ce qu'il se passe là-bas ? [/size][center][center] [/center][/center] [center][center][size="2"]*[/size][/center][/center] [center][center] [/center][/center][size="2"] Le légionnaire Lucius Calvus Barbatus Barbula, de la première cohorte de la XVIIIe légion tomba lourdement en arrière, retenu de justesse par deux de ses camarades. Il s'était pris une hache de jet dans son armure à plaque métallique qu'il venait de faire fabriquer (pour expérimenter !). L'arme lui avait perforé la cuirasse de métal, celle de cuir, puis la tunique de laine, mais la blessure n'était pas profonde. Barbula regarda avec angoisse autour de lui. Des dizaines de Germains armés de haches, de lances, de javelots, de boucliers, de poignards mais rarement d'épées et vêtus de tuniques et de capes de laine, ou même, certains, torses nus, malgré le froid, se déversaient sur la colonne des légionnaires romains. Le soldat vit même des cavaliers et des fantassins auxiliaires romains, d'origine germanique, passés à l'ennemi mais reconnaissable à leurs casques, leurs cottes de maille, leurs armes et à leur mode de combat à la romaine. Barbula agrippa fermement la hache plantée dans son corps et l'arracha avec un cri de douleur. Il regarda autour de lui. Les membres de sa centurie, épuisés, par une longue marche en forêt, tombaient comme des mouches face aux puissants guerriers germaniques. L'homme essaya de dégainer son glaive, mais il reçut un coup de glaive par derrière, le blessant dans le dos. En tombant, il réussit à faire rouler son ennemi avec lui, l'entrainant au corps à corps. Mais son attaquant était trop fort. Avant de périr, il entrevu son bourreau. C'était un jeune homme, vêtu d'une cotte de maille bien faite, d'un casque à panache,comme un officier normal de l'armée romaine. Il avait un manteau, moitié bleu, moitié blanc, comme un officier normal. Il avait un glaive et un poignard reposant dans des fourreaux richement décorés, comme un officier normal. Maisce n'était pas un officier normal et le glaive s'abattit. Lucius Calvus Barbatus Barbula, soldat de la première cohorte de la XVIIIème légion était mort. Caïus Iulius Arminius, ancien préfet d'ailed'auxiliaires romains d'origine germanique et chef d'une coalition de quelques peuples germains se releva de son corps à corps et sans un regard pour sa victime il replongea dans la bataille. Voilà pour le début !!!! [/size]
  4. Pourquoi les gens n'aiment-ils pas la Russie ? On imagine toujours les Russes comme des touristes grossiers, des ivrognes invétérés, des mafieux sans vergogne, des pro-poutine ou des corrompus. Surtout avec tout ces films américains à la ... ! Mais je ne vais pas critiquer les américains, mon père l'est. Moi je vois la souffrance du peuple slave de Russie, avec ce fichu empire tsariste, cet Union Soviétique raté, on ne peut pas vraiment dire que les Russes ont eu la vie facile ! (surtout avec l'huluberlu Poutine au pouvoir). C'est vrai que le pouvoir est corrompu, que la Russie va mal, qu'il y a du bizutage dans l'armée, que si la population russe continue à régresser, il n'y aura plus un russe dans 50 ans, mais bon. Moi j'aime la Russie, et j'y crois. Après, je me fais peut-être des illusions... Mais bref ! Pour en revenir aux nouveautés ! Tu as raison GVH. Pourquoi Jackson respecterait-il les idées d'un auteur de fantasy alors que d'autres réalisateurs de péplums ([b]GLADIATOR ![/b] La peste soit de ce film !) ne respectent même pas la vérité historique (ni de près, ni de loin). He puis, si on met à part le côté fluffique, ils seront bien jolis ces guerriers de Dale ! Mais les guerriers d'Erebor ! Je ne les supporte pas ! Mais bon. Comme je l'ai déjà dit, une fois que je les aurais montés et peints, qu'ils deviendront mes petits chéris, je leur trouveraient des qualités, sans doute aucun.
  5. A dire vrai Spatz, tu aurais raison si il n'y avait que les physiques qui comptaient, mais c'est comme tout, il faut aussi voir l'"âme" [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]. L'âme... Les règles du jeu, l'ambiance... J'aime joueur, j'aime peindre, j'ai la convivialité du hobby, mais tudieu ! Se n'est pas ma faute si Peter Jackson et Games Worshop produisent des figurines n'ayant ni queue ni tête ! Quant bien même ! Ils pourraient quand même sortir des guerriers d'Erebor avec un peu plus de tenue, plus semblables aux Mornes Martels, par exemple. Et en plus, on ne peut pas dire, Monsieur Jackson n'en fait qu'à sa tête pour les physiques et pour les histoires ! Mais bon ! C'est comme tout, et je critique mais je ferais avec... Je me créerais une armée d'Erebor parce qu'ils ont des lances, et une armée de Dale parce que j'en ai besoin pour une campagne et que j'aime la Russie. En effet c'est comme tout... C'est comme les gens qui critiquent le système, le gouvernement, les banques, l'armée, la police... Mais qu'y ne font rien parce qu'on s'habitue, qu'on trouve des bons côtés et voilà. Je trouverais sans doute des bons côtés à ses guerriers d'Erebor quand je les aurais peints, mais pour l'instant ils ne m'inspirent vraiment pas...
  6. Je suis tout à fait déçu des nouvelles sorties ! Les guerriers d'Erebor ressemblent à des miliciens dépanaillés, rien à voir à ce qu'annonçait leur profil avec ce "engoncés dans des armures ouvragées". Ils ont des sales têtes, des sales lances, des sales boucliers octogonaux et pas ronds... Et en plus ils sont trop grands... Enfin ! Games Workshop pouvait pas faire autrement, étant donné qu'elle a utilisé le physique des guerriers d'Erebor pour les Mornes Martels... Thror aussi ne me plaît pas... Il fait trop bizarre, trop Warhammer Battle. Il n'a pas la simplicité des anciens nains. Dès que j'ai vu le film je ne l'ai pas aimé de tout façon. En plus son équipement n'a rien à voir avec celui donné sur son profil. C'est seulement le capitaine Morne Martel que j'aime bien. Il est simple, net et précis. Quant aux guerriers de Dale... Rien à dire, ils sont corrects, mais n'étant pas d'accord avec Peter Jackson sur leur ressemblance avec les Slaves (j'adore pourtant les Slaves, mais pas comme Depardieu), je ne les ai pas apprécié à leur juste valeur. M'enfin. En plus, si Games Workshop sort un nouveau livre de règles chaque année, me voilà pigeonné ! J'ai acheté celui-là... Avec la boîte de commencement en plus, je n'ai pas été très futé sur ce coup. Tant pis ! Reste à acheter chaque année la nouvelle boîte à commencement, ainsi va la vie. Quant à arrêter le hobby du Hobbit, je ne pense pas, tout mes amis font ça et j'aime vraiment (et en plus je ne connais pas d'autre jeux de figurines).
  7. J'ai modifié mes profils, même si, pour moi, le 4+ est tout à fait normal pour les Orques, indisciplinés ou pas, il reste qu'ils sont tous équipés d'arcs et, qu'à la longue, l'entraînement paye. Surtout qu'il s'agit d'une espèce lâche, d'où un certains intérêt à savoir tirer à l'arc pour abattre l'ennemi à distance, non ? Je ne pourrais plus poster pendant une semaine pour quelques petites choses , donc si quelqu'un me répond, qu'il ne s'étonne pas si je ne lui rend pas la pareil. Pour les Snagas, c'est différend, des gars qui sortent de leurs usines et n'ont jamais vus d'arcs de leurs vies, je pense que même le 5+ est trop bon pour eux.
  8. Mais, il est écrit que les cavaliers rohirrims partent, soit avec Eomer à la Porte Noire, soit défendre la Route de l'Ouest avec Elfhelm, et que seuls les blessés du Rohan restent à Minas Tirith ? : "[i]et Eomer cinq cent des Rohirrim qui n'avaient plus de cheveaux, mais qui étaient de bons guerriers, et lui même mènerait cinq cent de ses meilleurs cavaliers à cheval ; {...} Mais la force principale des Rohirrim qui demeuraient montés et en état de se battre, quelque trois mille sous le commandement d'Elfhelm, tiendraient la Route de l'Ouest contre l'ennemi qui se trouvait en Anòrien."[/i] [i] [/i] Envers et contre tout je continue ! : Livre V, chapitre I : [i]"Jirluin le Beau des Collines Vertes, venu de Pinnath Gelin avec trois cent hommes vêtus de vert."[/i] [i] [/i] Comme la souligné Peredhil, se sont donc des guerriers en livrée verte que commande Jirluin. Mes déductions : cotte de maille, tabard vert au dessus, épée, bouclier rond, peut-être casque et peut-être une arme d'hast (lance) ou une arme de jet (javelot). [u]L'Ethir :[/u] [u] [/u] [i]"Des pêcheurs de l'Ethir, une centaine ou davantage, prélevés sur les équipages des navires."[/i] [i] [/i] Mes déductions : les hommes de l'Ethir ne sont pas des guerriers, mais des marins, sans chef distinct. Ils sont peut-être tirés au sort sur les équipages (hypothèse). Pour moi, ils ne sont sans doute pas très bien équipés ni entraînés à la guerre, juste des rudes marins, mais peut-être qu'ils ont déjà combattu les gens d'Umbar, les endurcissant aux joies de la guerre ? Ils ne doivent pas porter d'armure, ou alors une cotte de maille de mauvaise facture, sans doute pas de casque, une épée ou tout arme de corps à corps, peut-être un bouclier, sans doute pas de arme d'hast. [u]Dol Amroth :[/u] [u] [/u] [i]"Et en dernier le plus fier, Imrahil, prince de Dol Amroth, parent du Seigneur, avec des étendards d'or portant son emblême du Navire et du Cygne d'argent, et une compagnie de chevaliers en grand arroi, montés sur des chevaux gris ; et derrière eux sept cent hommes d'armes, grand comme des seigneurs, aux yeux gris et aux cheveux bruns, chantant tandis qu'ils avançaient."[/i] [i] [/i] [i]"car, les premiers sur le champ de bataille, chevauchaient les chevaliers du cygne de Dol Amroth avec leur prince et son étendard bleu en tête.[/i] [i] - Amroth avec le Gondor ! crait-on. Amroth avec Faramir !"[/i] [i] [/i] [i]"- Le prince de Dol Amroth a le commandement en l'absence du Seigneur, dit Gandalf ; mais puisqu'il n'est pas ici, je dois décider moi-même."[/i] [i] [/i] [i]"Ils finirent par arriver devant le prince Imrahil, et Legolas le regarda et s'inclina profondément ; car il voyait que c'était assurément quelqu'un qui avait du sang d'elfe dans les veines.[/i] [i] - Salut, seigneur ! dit-il. Il y a longtemps que les gens de Nimrodel ont quitté les forêts de Lòrien, mais on peut encore voir que tous ne partirent pas du havre d'Amroth pour faire voile vers l'ouest."[/i] [i] [/i] [i]"Et à droite le prince Imrahil avec les hommes de Dol Amroth, grands et beaux,"[/i] [i] [/i] [i] [/i] Dol Amroth ! La principauté la plus puissante du Gondor, dont les princes sont de la même lignée que les intendants du Gondor. C'est une ville portuaire, d'où le bleu et le navire de leurs étendards. Les gens de Dol Amroth, en tout cas leur seigneur, descendraient d'elfes venus de Lorien mené par un certain Nimrodel ???? N'ayant lu que [u]Le Seigneur des Anneaux[/u], je ne m'épancherais pas davantage sur cette ascendance elfique. En tout cas, chevaliers comme piétons, les gens de Dol Amroth sont beaux, aux cheveux bruns et aux yeux gris, d'une beauté elfique si je puis me permettre... D'après moi, et comme la souligné Peredhil, les chevaliers de Dol Amroth ne sont pas des seigneurs possédants des terres, mais plutôt un rang militaire. Pour moi, les chevaliers du Cygne d'Argent sont des guerriers de la maison du prince, portant les insignes du prince, et pas des seigneurs indépendants (en plus, Dol Amroth n'est pas assez grand pour accueillir des centaines de chevaliers détenant des terres). Les hommes d'armes, sont, de mon point de vue, des guerriers de métier, comme nos sergents du Moyen Age, liés au prince, mais pas à ses chevaliers. Pour donner une image de mon idée, les chevaliers seraient des commandos et les hommes d'armes les simples soldats, tous dépendant du même chef, les commandos ne commandant pas les simples soldats. Ensuite, il est indubitable que les chevaliers de Dol Amroth sont doués d'un très grand courage, n'hésitant pas à se jeter en premier dans la mêlée au côté de leur prince. Les gens de Dol Amroth sont sans contexte des gens dotés d'un immense courage, d'une grande fierté et je ne doute pas de leurs valeurs martiales. Leur équipement : contrairement à Games Workshop et à Peter Jackson, je ne crois pas que les guerriers du Gondor portent plus qu'une cotte de maille comme armure. J'imagine donc les chevaliers de Dol Amroth armés d'une cotte de maille, d'une tunique à la livrée de leur seigneur, d'un casque, d'une lance de cavalerie et d'une bouclier cônique (si vous voyez de quoi je parle...) et bien sûr, de l'éternelle épée. Et les hommes d'arme d'une cotte de maille, d'un tabard à la livrée de Dol Amroth, d'un casque, d'un bouclier, d'une épée et d'une arme d'hast. Et voilà c'est fini ! Dol Amroth pour le Gondor ! Boromir pour le Gondor ! Et vive le Gondor ! En Gondor !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [i] [/i] [i] [/i]
  9. Pisteurs orques du Mordor (4 points) C F D A PV B 2/3+ 2 3 1 1 2 Équipements : Arc orques et arme de base (poignard) Règle Spéciale : Le flair du pisteur : Toute figurine dans un rayon de 14 pouces sont considérés comme vues par le pisteur, même si elles sont cachées à ses yeux. Agile comme des singes : Les pisteurs orques du Mordor n'ont aucun malus de mouvement lors de la phase de tir. Haine : Pareil que pour les Snagas. Armes empoisonnées : Pareil que pour les Snagas. Guerrier orque du Mordor (5 points) C F D A PV B 2/4+ 3 4 1 1 2 Équipements : Armure et armes de base (cimeterres et poignards) Options : Bannière............................................................ 25 points Cor de guerre.......................................................... 20 points Arc orque.............................................................. 1 point Lance.............................................................. 1 point Bouclier............................................................... 1 point Règles spéciales : Pareil que pour les pisteurs orques. J'ai préféré le 4+ en tir plutôt que l'arc orque gratuit, cela me convient mieux et me paraît moins "cheaté". Je n'ai pas rajouté les règles spéciales, je le ferais dans un petit moment (le temps de lire celles inventées par les membres les plus doués de ce forum).
  10. Certes, la cavalerie n'était pas le point fort de l'armée romaine du Haut Empire, mais il y en avait aussi, et les cavaliers avaient un meilleur statut que les fantassins. Les cavaliers légionnaires avaient un meilleur statut que les fantassins légionnaires, et les cavaliers auxiliaires avaient un meilleur statut que les fantassins auxiliaires. Ensuite, les Bataves sont un peuple germanique, mais a été un nom générique qu'on donné les Romains à leurs alliés germains. Et puis la garde prétorienne... C'est sans doute l'unité la mieux payée de l'Empire, mais pas forcément la mieux entraînée (et puis il y avait aussi des cavaliers dans la garde rapprochée des princeps, comme les equites singulares). Je viens de me rendre compte que je n'avais pas lu le message de Tricotos...[img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/shifty.gif[/img] Dire que les prétoriens sont des troupes de pacotille est immérité selon moi, mais il est vrai qu'il ne faut pas en faire des supersoldats, ils étaient la plupart du temps dans les alentours de Rome, et ne vivaient franchement pas à la dure. Autre chose, l'armée romaine de la fin de la République et du Haut Empire n'a jamais été standardisé. C'étaient les soldats qui payaient leur équipement et il n'y avait qu'un plan fixe, armure, casque, glaive, pilum ou lance, après tout dépendait de la bourse du soldat. Et puis, les armures n'étaient jamais pareils (cotte de maille la plupart du temps, armure à lames segmentées, armures d'écailles, ou armure hybride). A l'époque de Dioclétien, c'est là qu'est apparu les premières fabriques ou des casques et des armes étaient fabriqués en grand nombre. Au Bas Empire, la plupart des habitants de l'Empire sont des citoyens romains (édit de Caracalla en 212), à part quelques population marginales et les nouveaux immigrés germains. La cavalerie prend une place de plus en plus importante, éclipsant l'infanterie. Il y a maintenant, les clibanarii ou les cataphractaires, formant la cavalerie lourde. Légionnaires et auxiliaires se confondent en de petites unités de 500 à 2000 hommes, rien de très grands. Les Germains qui sont accueillis dans l'Empire, reçoivent le statut de fédérés, et donne un contingent de guerriers pour partir à la guerre. En effet, ils ne sont pas souvent parfaitement équipés, mais bon... Sur ce reprenons d'un pas vaillant ! Je m'incline pour que la garde de la citadelle ne soit pas la seule garnison, il y a incontestablement d'autres troupes, une milice et/ou des sergents comme en Lossarnach. Etant donné que Forlong dispose de deux mille guerriers, se n'est pas trop aventureux de penser que Denethor dispose d'au moins un millier de soldats, plus les rôdeurs de l'Ithilien, et les gardes frontières comme Ingold et ses hommes. Et aussi, je suis d'accord pour éliminer le casque pour les guerriers de Lossarnach. [u]Lamedon :[/u] [u] [/u] Livre V, chapitre I : [u] [/u] [i]"De Lamedon, quelques farouches montagnards sans capitaines."[/i] [i] [/i] Livre V, chapitre II : [i]"Seul Angborn, seigneur de Lamedon, eut le courage de nous attendre ; et Aragorn l'invita à rassembler ses hommes et à nous suivre ;"[/i] [i] [/i] Il y a un passage où il est dit que les Lamedoniens disposent de cavaliers mais je ne le retrouve pas. Alors, je ne sais pas pour vous, mais je trouve les guerriers de Lamedon de Games Workshop, avec leurs kilts écossais assez bizarres, Lamedon ne me faisant pas penser à l'Ecosse, loin de là. [u]J'imagine[/u] que la structure de Lamedon doit-être un peu comme les guerriers germains (pas de troupes de métier, on prend les armes quand on en a besoin). Pour l'équipement... Il doit-être assez sommaire, j'imagine. Une cotte de cuir, un bouclier et une arme de corps à corps (épées, haches, marteaux de guerre). Pas de casque, sans doute. Pour la cavalerie, tout compte fait, je ne pense pas qu'ils en aient beaucoup. Se doit-être des chevaux, genre normand ou de Frise, courts sur pattes, trapus, robustes et endurants. Voili, voilou... [i] [/i] [i] [/i]
  11. [font="Arial"]Pour commencer, j'aimerai dire que dans l'armée romaine, le cavalier avait un meilleur statut que les fantassins. Les cavaliers auxiliaires avaient un meilleur statut que les fantassins, et pareil pour les cavaliers légionnaires (120 par légion). Les fantassins devaient même s'occuper des chevaux des cavaliers ! (voir Yann le Bohec, [u]l'armée romaine sous le Haut Empire romain[/u] et [u]l'armée romaine sous le Bas Empire[/u]).Et pareil pour le début de la République. Les classes censitères les plus riches formaient la cavalerie, et les plus pauvres les fantassins légers (voirPierre Cosme, [u]l'armée romaine[/u]). Mais c'est vrai que lorsqu'on pense à l'armée romaine, on pense à ses rudes légionnaires, sans penser aux deux autres tiers de l'armée romaine, cavaliers et fantassins venus de tout les coins du Principat. [/font] [font="Arial"]Ensuite, personnellement, j'imagine les gens d'armes de Dol Amroth comme les sergents du Moyen Age : des guerriers issus des classes inférieures, mais entraînés spécialement pour se battre et défendre lademeure de leur seigneur, et non pas comme les écuyers des chevaliers.[/font] [font="Arial"]Ensuite, je vais suivre le conseil dePeredhil et tout reprendre depuis le début.[/font] [u][font="Arial"]Lossarnach : [/font][/u] [font="Arial"]Livre V, chapitre I :[/font] [i][font="Arial"]"En tête de file marchait un grandcheval membru, sur lequel était assis un homme aux larges épaules et à la vastepanse ; celui-ci était, et il avait la barbe grise, mais il n'en était pasmoins vêtu de mailles et casqué de noir, et il portait une longue et lourdelance. Derrière lui, marchait fièrement une colonne poussiéreuse d'hommes bienarmés et portant de grandes haches d'armes ; ils avaient le visage farouche, etils étaient plus courts et quelque peu plus basanés que tous ceux que Pippinavait vus en Gondor."[/font][/i] [i] [/i] [font="Arial"]Mes déductions : les guerriers de Lossarnach portent de grandes haches d'armes, comme les Housecarls danois, et sans doute une longue cotte de maille. D'après moi, l'équipement des guerriers de la Terredu Milieu est à rapprocher avec celles des guerriers du début du Moyen Age.Mais revenons à Lossarnach. Ils portent peut-être des casques à nasals,peut-être de couleur noir, comme leur seigneur, Forlong. Leurs chevaux sontpeut-être à l'image de ceux des Germains, court sur pattes, robustes et laids (d'après les critères latins). En tout et pour tout, je prendrait bien commebase pour des conversions l'image des peuples nordiques du début du Moyen Age.Lossarnach peut mobiliser jusqu'à deux mille guerriers, une assez grosse force tout de même, et est lié de forts liens avec la Cité Blanche (Bergil a un grand-père en Lossarnach). [/font] [u][font="Arial"]Le Val de Ringlò :[/font][/u] [font="Arial"]Livre V, chapitre I :[/font] [i][font="Arial"]"Les hommes du Val de Ringlò, derrièrele fils de leur seigneur, Dervorin, marchant à pied : trois cent."[/font][/i] [i] [/i] [font="Arial"]Mes déductions : le Val de Ringlò ne peut mobiliser une très grosse armée. Contrairement à Lossarnach ou Lamedon, Ringlò est loin du Mordor et du Harad et n'a pas besoin de garder ses soldats chezlui. Pourtant, seuls trois cent guerriers partent à Minas Tirith. Pas très bien décrits, j'imagine ces guerriers comme des soldats classiques du genre milieudu Moyen Age : pas très bien équipés, sauf quelques sergents, portant une cottede maille ou une simple cotte de cuir, un bouclier (peut-être rond...), uneépée et/ou une hache, et peut-être une arme d'hast. [/font] [font="Arial"][u]Minas Tirith :[/u][/font] [font="Arial"]Livre V, chapitre I :[/font] [font="Arial"][i]"Les Gardes de la porte étaient vêtus de noir et leurs heaumes avaient une forme étrange, hauts de fond avec de longs oreillons très ajustés à la figure, au-dessus desquels se voyaient les ailes blanches d'oiseaux de mer ; mais les casques étincelaient d'une flamme d'argent, car ils étaient en réalité faits de [/i]mithril[i], héritages de la gloire de jadis. Sur les surcots noirs étaient brodés un arbre en fleur d'un blanc de neige sous une couronne d'argent et des étoiles à nombreux rayons.[/i] [i]C'étaient la livrée des héritiers d'Elendil, et nul ne la portait plus dans tout le Gondor que les Gardes de la Citadelle devant la Cour de la Fontaine où l'Arbre Blanc avait autrefois poussé."[/i][/font] [font="Arial"][i]"Mandez aux capitaines qu'ils se présentent devant moi aussitôt que possible après que la troisième heure aura donné." [/i](Denethor)[/font] [font="Arial"][i]"Voici la manutention et la dépense de ma compagnie de la Garde," [/i](Beregond)[/font] [font="Arial"][i]"Je n'ai ni fonction, ni rang, ni seigneurie, n'étant qu'un simple homme d'arme de la Troisième Compagnie de la Citadelle. Mais, Maître Peregrin, n'être qu'un homme d'arme dans la Garde de la Tour de Gondor est considéré comme une dignité dans la Cité, et pareils hommes sont honorés dans la Cité." [/i](Beregond)[/font] [font="Arial"]Livre V, chapitre IV :[/font] [font="Arial"][i]"Sortant de l'obscurité derrière une petite compagnie de cavaliers, galopait tout ce qui restait de l'arrière garde. Une fois encore, les cavaliers se retournèrent aux abois pour faire face aux lignes de feu approchantes."[/i][/font] [font="Arial"]Alors, alors... Pour la garnison de Minas Tirith, j'ignore vraiment si il y a une autre force armée que la Garde de la Citadelle dans la Cité Blanche. Il y a au moins trois compagnies de gardes. Mettons qu'il y a 50 soldats par unité, environ, cela fait quand même au moins 250 gardes, au minimum. Ensuite, on peut penser qu'il y aurait une seule compagnie de gardes gardant la Cour de la Fontaine et portant l'emblême des descendants d'Elendil (après c'est une hypothèse). Il y a peut-être aussi une milice, sécurisant le reste de la ville, une milice bourgeoise peut-être, comme dans les villes du Moyen Age. Ensuite, le cas des cavaliers. Lors de la sortie de Faramir, se ne sont pas des chevaliers de Dol Amroth qui l'accompagnent, et imaginons que se ne soient pas des cavaliers des capitaines des Terres Exterieures. Je ne pense pas que se soit des Gardes montés, j'en doute fort. Faramir, lorsqu'il revient à Minas Tirith, est accompagné de cavaliers, sans doute ses rôdeurs à cheval. Je pense alors, que ces rôdeurs de l'Ithilien, pourraient aussi servir d'éclaireurs montés, ou que la noblesse de la Cité Blanche fournisse des chevaliers montés, ou même qu'il y ait une milice équestre. Mais bon, visiblement, les habitants de la Cité Blanche ne sont pas habitués à la vue des chevaux et la cavalerie n'est pas leur fort.[/font] [font="Arial"]C'est tout pour aujourd'hui.[/font]
  12. C'est justement le côté "bourrin" que je voulais faire apparaître dans le Roi-Sorcier, en effet, c'était surtout un profil pour les champs du Pelennor que je voulais crée, d'où cette version"terminator" du Roi-Sorcier. Je ne comptais pas qu'il puisse transformer ses points de Volonté en points de Destin, d'où la petite réserve de points de Destin que je lui est fournit. Si le coeur t'en dit, je te laisserais t'occuper volontiers de tout ses grands capitaines et mages, je préfère largement créer le profil de petit héros non nommés et de simples soldats. Pour la Bouche de Sauron, la fait qu'il est dit pratiquer la grande sorcellerie me suffise pour justifier une grosse réserve de points de Volonté, mais je répète que je te laisses volontiers t'occuper de ce genre de héros. J'ai un peu feuilleté le colossale travail des membres les plus érudits de l'univers "tolkiennien" de ce forum, mais je voulais d'abord développer une approche personnel, même si les règles spéciales de Deatshade, pour ne citer que lui, sont très intéressantes. Mais continuons, sur notre lancée. Conducteurs d'esclaves uruk (Orques) (40 points) [i]" À leur côté, deux des grands et féroces Uruks allaient et venaient en courant le long des rangs et faisaient claquer les lannières avec force cris."[/i] [i] [/i] [u]Le Seigneur des Anneaux[/u], Livre 6, Chapitre 2,[i] Le Pays de l'Ombre[/i], scène de l'enrôlement forcé de Frodon et Sam dans une troupe de Snagas [i]Les conducteurs d'esclaves sont choisis parmis les Uruk-haï de Sauron pour leurs cruautés, leurs mépris des autres races orquines et leurs grosses et terrifiantes voix. C'est en effet un mélange de tout cela, aidé par de nombreux coups de fouets, il est vrai, qui leur permettent de garder une certaine cohésion dans leurs troupes.[/i] [i] [/i] C F D A PV B P V D 4/4+ 5 5 1 1 4 1 0 0 Équipements : Armure, armes de base (cimeterres et poignards) et fouets. Règles Spéciales : Fouet : Il s'agit d'une arme de jet ayant une portée de 2 pouces et une force de 2. La brûlure du fouet : Toute figurine (pourvu qu'elle soit un Snaga du Mordor, un guerrier orque du Mordor ou un Uruk du Mordor) et situé à moins de 6 pouces du conducteur d'esclaves ont un bonus de plus un en bravoure (la présence d'un maniaque du fouet à quelques mètres de vous, vous donne immédiatement un soudaine poussée de courage). Sa voix, c'est la cadence : Le conducteur d'esclaves peut (uniquement si les figurine appartiennent aux classifications suivantes : Snaga du Mordor, guerrie orque du Mordor et enfin Uruk du Mordor, qu'elle se trouve à moins de 6 pouces de lui et qu'elle appartient à sa troupe de départ), pendant la phase de mouvement, déclaré une marche forcée, ce qui rajoute 3 pouces au mouvement de lui-même ainsi qu'aux figurines répondant à toutes les attentes dites plus haut. Haine : [i]Les Orques haïssent toutes espèces vivantes sur la terre, sentiment que leurs ennemis leur rendent bien. [/i]Par conséquent, un Orque peur relancer ses jets pour blesser ratés sur une figurine du Bien, mais les figurines du Bien relancent eux aussi leurs jets pour blesser sur les Orques. Armes empoisonnées :[i] Les Orques enduisent souvent leurs armes d'un poison mortel... [/i]Les Orques relancent leurs jets de dés pour blesser ayant fait un. Snagas du Mordor (3 points) [i]" C'était une bande de la plus petite espèce, enrôlés malgré eux dans les guerres du Seigneur Ténébreux ; leur seul désir était d'en finir avec la marche et d'échapper au fouet."[/i] [i] [/i] [i][u]Le Seigneur des Anneaux[/u], Livre 6, Chapitre 2,[i] Le Pays de l'Ombre[/i], scène de l'enrôlement forcé de Frodon et Sam dans une troupe de Snagas[/i] [i] [/i] [i]Les Snagas forment l'espèce d'Orques la plus misérables et la plus soumises qui puisse exister. Employés en Mordor comme ouvriers, réduits en esclavage, battus, sous-nourris, ces milliers de petites mains forment pourtant l'un des principales engrenages de la gigantesque usine qu'est le royaume de Sauron.[/i] [i] [/i] C F D A PV B 1/6+ 2 5 1 1 1 Équipements : Armure et armes de base (cimeterre et poignard). Options : Bannière.............................................................. 25 points Arc orque................................................................ 1 point lance.................................................................. 1 point Bouclier................................................................. 1 point Haine : [i]Les Orques haïssent toutes espèces vivantes sur la terre, sentiment que leurs ennemis leur rendent bien. [/i]Par conséquent, un Orque peur relancer ses jets pour blesser ratés sur une figurine du Bien, mais les figurines du Bien relancent eux aussi leurs jets pour blesser sur les Orques. Armes empoisonnées :[i] Les Orques enduisent souvent leurs armes d'un poison mortel... [/i]Les Orques relancent leurs jets de dés pour blesser ayant fait un. Flair : voir pisteurs orques plus bas. Voilà, voilà... Au fait, une question me vient, pourquoi garder le 5+ pour les orques ? Vu les discussions qu'il y a eu dans ton sujet sur les Orques, Peredhil, 4+ pour les Uruk-haï et les Lambdas (c'est bien comme cela que tu le dis ?), 6+ (ou 5+, j'ai peut-être été un peu dure) pour les Snagas, et enfin du 3+ pour les pisteurs orques me paraît beaucoup mieux.[i] [/i]
  13. [font="Arial"]Je poste quelques profils de héros (pourcommencer) soit parce que GW ne les a pas crée soit que je trouve leurs profilsGW peu en rapport avec le personnage du livre.[/font] [font="Arial"]Le Roi-Sorcier d' Angmar (200 points)[/font] [font="Arial"]Trouvant le profil GW totalement en dessousdu grand seigneur du Mal (premier serviteur et le plus puissant de Sauron,rappelons le) qu'est le Roi-Sorcier, je décide de poster un nouveau profil ( sivous le trouver injustifié, n'hésiter pas à me le dire).[/font] Déjà, quelques citations, pour commencer : [i]" Du naufrage s'éleva le Cavalier Noir, [u][b]grand et menaçant, la dominant de haut[/b][/u]. Avec un cri de haine qui mordait les oreilles comme un venin, il abattit sa masse d'armes. [b]Le bouclier d'Eowyn vola en éclats, et son bras fut brisé ; elle tomba à genoux. [/b]"[/i] [u] Le Seigneur des Anneaux[/u], Livre 6, Chapitre 5, [i]La Chevauchée des Rohirrim[/i], scène de la mort des deux rois (celui du Rohan et celui d'Angmar) Ce court extrait illustre bien la grande force et l'apparence de colosse du Roi-Sorcier, d'où la force 6. Les adjectifs du style [i]"puissant genou"[/i] mais surtout [i]"grandes[/i] (ou larges) [i]épaules"[/i] qui parsèment les descriptions du Roi-Sorcier ne font que m'affirmer la grande force du Seigneur des Nazgûl. [i]"Le Capitaine Noir se dressa alors sur ses étriers et cria d'une voix terrible, prononçant en quelque langue oubliée des mots de puissance et de terreur, de nature à briser les coeurs et les pierres."[/i] [u] Le Seigneur des Anneaux[/u], Livre 6, Chapitre 4, [i]Le Siège de Gondor[/i], scène de la fin de la Grande Porte de Minas Tirith [i]"Alors, le chef, qui était déjà au milieu du Gué, se dressa menaçant sur ses étriers et le va la main. Frodon fut frappé de mutisme. Il sentit sa langue se coller à son palais et son coeur battre à tout rompre. Son épée se brisa et tomba de sa main tremblante. Le cheval elfique se dressa et s'ébroua."[/i] [i][u] Le Seigneur des Anneaux[/u], Livre 1, Chapitre 12, Fuite vers le Gué, scène de la corruption de Frodon par les Nazgûl à la frontière de Foncombe[/i] [i]Et voilà pour justifier sa magie. [/i] [i] C F D A PV B P V D[/i] [i]7/4+ 6 8 3 3 6 3 16 3[/i] Équipement : Pareil que GW Options : Idem. Règles Spéciales : Idem. Pouvoirs Magiques : Idem. [i]J'ai baissé ces points de Volonté, car, en effet, il n'est pas décrit non plus comme un jeteur de sorts invétérés.[/i] La Bouche de Sauron (130 points) Je pense qu'en effet, le lieutenant de Barad Dûr et le seigneur de l'Ouest, si Sauron avait gagné, mérite plus que le minable profil de GW. [i]"[b][u]C'était le Lieutenant de la Tour de Barad-dûr, et son nom ne figure dans aucune histoire ; car lui-même l'avait oublié, et il dit : "Je suis la Bouche de Sauron".[/u][/b] Mais on disait que c'était un renégat, issu de la race de ceux que l'on nomme les Nùménoréens Noirs ; car ils établirent leur résidence en Terre du Milieu au cours des années de domination de Sauron et ils le vénéraient, étant férus de connaissance mauvaise. [b][u]Il entra au service de la Tour Sombre dès qu'elle se réléva, et sa ruse le fit monter de plus en plus haut dans la faveur du Seigneur ; il apprit la grande sorcellerie, et il connaissait une grande part de la pensée de Sauron ; [/u][/b]et il était plus cruel qu'un Orque. [/i] [i]"Ils contribueront toutefois à la reconstruction de l'Isengard qu'ils ont détruit sans motif ; celui-ci appartient à Sauron, et son lieutenant y résidera non pas Saroumane, [b][u]mais quelqu'un qui soit digne de confiance." [/u][/b][/i] [i]"Regardant le Messager dans les yeux, ils lurent sa pensée. [u][b]Le lieutenant serait lui-même, et il rassemblerait sous sa domination tout ce qui restait de l'Ouest ; il serait le tyran des habitants et eux ses esclaves."[/b][/u][/i] Voilà pour démontrer son importance. C F D A PV B P V D 6/4+ 4 7 2 2 5 2 14 2 Équipement : Pareil que GW. Options : Idem. Règles Spéciales : [b][u]La Voix de Sauron :[/u][/b] La portée de la règle [i]Tenez bon ![/i] de la Bouche de Sauron est de 12 pouces au lieu des 6 pouces habituels. Pouvoir magiques : Pareil que GW. Voilà, voilà...
  14. Pour tout dire Tiki, si j'ai manqué de rigueur, c'est que j'ai manqué de temps, je l'avoue. Je n'ai pas eu le temps (ou plutôt, non, je ne me suis pas laissé le temps) de créer un sujet parfait je le vois bien. J'avoue aussi avoir manqué de rigueur sur mes sources (j'ai pensé à mettre les chapitres, mais je n'ai pas eu le temps). Pour les citations, dites moi si il les faut encore et je les mettrai. Ensuite, pour le caractère des guerriers de Dol Amroth, c'est mon interprétation car : Livre V, chapitre I : "[i]Et derrière eux, sept cents hommes d'armes, grands comme des seigneurs, aux yeux gris et aux cheveux bruns, chantant tandis qu'ils avançaient."[/i] [i] [/i] Après, c'est mon interprétation... Mais donc, ce n'est pas tant leur caractère, qui m'intéresse, mais, comme le titre du sujet l'indique, leur équipement ! J'ai surtout ouvert ce sujet pour éclaircir le travail de tout les hobbyistes cherchant à recréer les guerriers de Longestran, les pêcheurs de l'Ethir ou des hommes du val de Ringlò ! Et parfois, comme les gens de Ringlò, Tolkien ne décrit presque rien d'eux (en tout cas dans le [u]Seigneur des Anneaux[/u], pour le reste je ne sais pas), et j'aurai aimé que les membres de ce forum partage leurs impressions sur les uniformes, la culture, de ses différents guerriers du Gondor. Livre V, chapitre I : "[i]Les hommes du Val de Ringlò derrière le fils de leur seigneur, Dervorin, marchant à pied : trois cent."[/i] [i] [/i] Voilà tout ce qu'on sait d'eux ! [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/dry.gif[/img]
  15. Bon. En fait, Tiki, se n'est pas vraiment un travail personnel de profils, mais c'est plutôt pour partager mes idées sur ce à quoi ressemble les guerriers gondoriens. D'accord pour les Bretonniens, si ils sont trop grands, se n'est pas la peine d'y penser. Ensuite, c'est vrai que Pinnath Gelin sont des plaines et collines, et pas des bois, mais je trouvais bizarre d'habiller des soldats en vert. Donc, d'après toi Peredhil, les hommes de Jirluin seraient des hommes d'armes biens armés, et non pas des rôdeurs ? Pour les hommes d'arme de Dol Amroth, je me suis très mal exprimés. Se ne sont pas des chevaliers, donc, bien sûr, ils ne sont pas nobles de titre. Je voulais dire qu'ils étaient... qu'ils étaient.... ben... beaux, courageux, entraînés, les fidèles serviteurs de Dol Amroth. Ce noble, voulait dire noble de coeur et d'esprit (en tout cas c'est la description que je me fais avec la description de Tolkien). Alors ! Pour les citations... Je n'en voyais pas l'intérêt, mais bon... Mes sources sont : le séjour de Frodon et Sam avec les rôdeurs de Faramir, l'arrivée de Gandalf et Pippin en Gondor, leur arrivée à Minas Tirith, l'arrivée des capitaines des Terres Exterieures à Minas Tirith et l'arrivée de la Compagnie Grise pour le combat entre les gens de Lamedon et d'Umbar (où il est dit que Angbor disposait de cavaliers, après je surinterprète peut-être...).
  16. [font="Arial"]J'aimerai ouvrir ici un sujet sur leséquipements que portent les capitaines des Terres Extérieures et de celles dela garde de Minas-Tirith. Ce sujet pourrait servir de tremplin à quiconque (comme moi dans quelque temps) voudrait se lancer dans des conversions de guerriers des Fiefs, comme ceux de Longestran, pas créer par Games Workshop.[/font] [font="Arial"]Je vais d'abord définir l'armée du Gondor à la toute fin du Troisième Age :[/font] [font="Arial"][u]Minas-Tirith :[/u] capitale du Gondor, elle est dirigée par l'intendant du Gondor Denethor. Il est secondé par des capitaines du Gondor, comme Ingold (capitaine chargé de la frontière). Les compagnies gondoriennes sont composées d'un nombre variable de soldats etd'armes (rôdeurs de l'Ithilien). D'autres compagnies seront décrites plus bas.[/font] [font="Arial"]Minas-Tirtih dispose aussi de chevaliers, ou alors, de soldats montés. La défense de la Citadelle de Minas-Tirtih est dédiée aux gardes de la Citadelle, défendant la porte de la Cour de la Fontaine. Ils sont armées d'un casque fait de mithril, haut, avec de longs protèges-joues bien ouvrées et des ailes d'oiseaux de mer au dessus de ces protèges joues (un peu comme les casques des chevaliers de Dol Amroth de Games Workshop). Ils portent aussi un tabard noir, avec l'insigne royale, un arbre blanc à sept branches (se sont les seuls ayant le droit de porter cet insigne, j'en déduis que les autres soldats portent seulement un tabard noir, voir d'une autre couleur). Ils ont sans une cotte de maille et une épée, mais à part le casque et le tabard, l'équipement n'est pas très bien décrit.[/font] [font="Arial"][u]L'Ithilien:[/u] c'est une région que l'on pourrait décrire comme un no'man's'land (pas sûr de l'orthographe) entre leGondor et Sauron. A cette époque, c'est à la compagnie de Faramir de se charger de sa défense, aidé par des guerriers comme Mablung ou Damrod. Son unité est composée de rôdeurs de l'Ihtilien, des hommes armés légèrements et discrets.Ils tendent des embuscades aux forces de l'Ennemi est disparaissent ensuitedans leur base, dans les cavernes d'Henneth Annûn. Ils sont recrutés dans les descendants des habitants de l'Ihilien, réfugiés en Gondor, chassés par la guerre de leur patrie.[/font] [font="Arial"][u]Dol Amroth :[/u] Dol Amroth est une région du Sud du Gondor, bordant la baie des Belfalas. Elle est dirigée par le prince Imrahil, un chevalier noble au coeur pur, parent avec la famille des Intendants. Son armée est composée de nobles chevaliers montés sur des chevaux gris. Ils sont composés de grands bruns, descendants d'elfes (en tout cas Imrahil). Leur étendard est un navire et un cygne d'argent. Les chevaliers sont accompagnés d'hommes d'armes, tout aussi noblesqu'eux. D'après cette description, j'ai fait cette hypothèse des plus plausibles : des chevaliers, répondant à l'appel de leur prince et emmenant avec eux leurs gens d'arme ou, vu la taille de Dol Amroth, le prince se constitue une garde de chevaliers et de gens d'arme, sans que ses chevaliers aient autorité sur les fantassins. Cette dernière hypothèse me paraît plus plausible, étant donné que tout les chevaliers portent l'étendard de leur prince.[/font] [font="Arial"][u]Longestran : [/u]Composés de bouviers, de chasseurs et de paysans, sommairement équipés, ont peut imaginer une sorte de troupaille paysanne, comme dans notre Moyen-Age, menée par les gardes de la maison de leur capitaine, Golasgil. Ce seigneur, regroupe sans doute des chevaliers et des sergents bien entraînés qui gardent sa demeure, et pour partir en guerre, il traîne avec lui une foule de miliciens et paysans mal équipés (J'ai pensé à des hommes d'armes bretonniens bien convertis).[/font] [font="Arial"][u]Le Val de Ringlò :[/u] commandé par le capitaine Dervorin, et sans doute exclusivement composé d'infanterie (même Dervorin va à pied), j'imagineles guerriers de Ringlò comme des rudes piétons, équipés de cottes de maille,de javelots, de boucliers ronds et de haches, partant en guerre sous la tutelle de leur chef.[/font] [u][font="Arial"]Lossarnach : [/font][/u][font="Arial"]commandés par le terrible Forlong, les guerriers de Lossarnach portentde lourdes haches à deux mains, ont la mine farouche et le teint basané. Personnellement, j'imagine ses guerriers portant une lourde cotte de maille etun casque à nasal. Etant donné que Forlong peut avoir deux mille soldats (ce qui n'est pas rien en Terre du Milieu), je pense que son armée est elles aussi divisée avec des capitaines. Lossarnach est une province sans doute très attachée à laCité Blanche, étant donné que de nombreux citoyens de la Cité (Beregond) ont dela famille proche là-bas. [/font] [font="Arial"][u]La Vallée de la Racine Noire :[/u] composée d'archers, cette troupe est commandée par le seigneur de la province, Duinhir et par ses deux fils, Duilïn et Derufïn. Eloignée du front, cette province ne produit pas des guerriers comme les rôdeurs de l'Ithilien, mais plutôt des chasseurs, d'après moi. Pour moi, les archers de la Racine Noire seraient des chasseurs maniant l'arc, peu nombreux, et conduit au front par la famille de leur seigneur, sans doute familier avec ses hommes (comme Faramir l'ait avec ses rôdeurs). [/font] [font="Arial"][u]L'Ethir :[/u] se sont des pêcheurs, pêchant sur des navires, et ils sont prélevés (peut-être par tirage au sort) sur chaque équipage pour être envoyé au combat. Ils ne doivent pas être bien équipés et n'ont pas de chef notable. Se sont sans doute de rudes marins, qui sont quand même prêts à partir au combat, mais je ne pense pas qu'ils soient très entraînés (des Corsaires d'Umbar seraient parfait comme base pour des conversions de pêcheurs de l'Ethir). [/font] [font="Arial"][u]Pinnath Gelin :[/u] Alors là, il y a un grand mystère sur ces soldats vêtus de vert et commandés par Jirluin le Beau des Collines Vertes. Sont-ils vêtus de vert pour se fondre dans le paysage, et sa rapprocherait des archers de la Racine Noire, ou serait-ce tout simplement que leur livrée est verte ? Je penche pour la première hypothèse, mais j'attends vos commentaires.[/font] [font="Arial"][u]Lamedon :[/u] cette troupe est composée de farouches montagnards, de redoutables guerriers, pas très bien équipés mais féroces et bien entraînés d'après moi. Ils comptent beaucoup de cavaliers en tout cas, et n'en sont pas dépourvus comme ceux de Lossarnach ou de Ringlò. Ils sont dirigés par Angbor, leur seigneur, un homme de grand courage et d'une bonne raison. Ils sont alliés aux pêcheurs du Lebennin et de l'Ethir pour repousser les Corsaires d'Umbar.[/font] [font="Arial"]D'après moi, étant donné que le Rohan, en tant normal peut réunir 12 000 cavaliers, je gage que le Gondor pourrait bien en réunir entre 15 et 20 000 guerriers (si il n'y avait pas eu Umbar et d'autre petits problèmes dû à la guerre). [/font] [font="Arial"]Voilà ! J'espère que ce sujet aidera tout ceux qui comme moi veulent créer des conversions des guerriers des Fiefs, ou même éclaircir certains points sur leur équipement.[/font]
  17. Entièrement d'accord avec les derniers messages. On voit bien que le SDA est le minuscule petit frère de Battle et 40K. Et même après la sortie du Hobbit, le SDA reste à la traîne. La preuve : les Mornes-Martels et les chevaliers de Fondcombe sont restés à peine une journée en gros titre sur la page d'accueil du site Games Workshop, avant de se faire remplacer par les nouveautés du Chaos, qui ne lui ont cédés la place qu'une journée. Et puis, l'engouement est bien moins grand qu'avec les sorties SDA, et c'est compréhensible ! Les nouveautés coûtent extrêmement cher, aussi cher que Battle ou 40K, la publicité bien moins grande que celles des Dark Angels ou des nouveaux guerriers du Chaos, et ce n'est pas une grosse nouveauté. Et en plus, les seuls forces du Bien disponibles durant bien longtemps, à part la compagnie de Thorïn dans la boîte à commencement, furent le Conseil Blanc à 60€ ! Et puis, le public n'est plus trop surpris, le Hobbit est vu comme un continuité du Seigneur des Anneaux. Et il ne faut pas se faire d'illusion. Dès que les trois films seront sortis au cinéma et en DVD, le grand public oubliera le Hobbit comme le fut le Seigneur des Anneaux, et Games Workshop reportera toute son attention sur Battle et 40K, laissant de nouveau dépérir le SDA. Mais à part tout ça, tout va bien ! C'était Boromir du Gondor, l'optimisme incarné ! [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/biggrin.gif[/img]
  18. Pas faux. C'est vrai que je n'avais plus pensé que seules les élites naines avec une force de 4. N'empêche ! D'après moi, les élites comme les Gardes de la Cour de la Fontaine devrait avoir une force de 4 (après c'est mon point de vue [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/shifty.gif[/img]). Mais, sacredieu ! J'aimerais bien ne pas payer 21 € pour les 4 ! Mais y a t-il seulement un revendeur à Dijon ou Talant ! Je vais faire se soir une recherche pour voir si certains sites (genre Leboncoin, Ebay, Price Master...) pourrait vendre des figurines a un prix plus respectable. Surtout avec les nouvelles réformes de prix. Je viens de visiter les sites concernés. Eh ben, c'est bien joli Internet, mais il faut savoir que je n'ai trouvé que des offres à au moins 80 €, des lots d'une figurine parfois déjà peinte, des boîtes de guerriers au même prix que Game Workshop (plus les frais de port) et un Mumakil à 400€... A part si je n'ai pas vu toutes les offres, ce qui me faudrait moi, c'est un revendeur ! Je vais me renseigner si il n'y en aurait pas un Dijon. Sur ce, [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img]
  19. Pourquoi pas des gardes de la Cour de la Fontaine, Eomer les aime beaucoup. Par contre, où trouver les boucliers, telle est la question... Car dans les boîtes des cavaliers de Minas-Tirith il n'y a pas de boucliers en plus. Il faudrait donc les fabriquer ? Ou prendre ceux d'Orques du Morannon ? (cherchez l'erreur...). Par contre, pour des élites à 10 points je les trouve minables. Ils n'ont qu'une force de 3 (les gardes de Khazad ont une force de 4), une faible bravoure et un petit combat. Et en plus, je n'aime pas leurs physiques ! Franchement, je trouve que Minas-Tirith n'a pas vraiment d'infanterie lourde d'élite rentable. Je n'ai pas pensé à des hommes d'arme de Dol Amroth, car je ne vois pas vraiment à quoi ils serviraient dans cette liste. Et puis, Eomer a très hâte d'avoir une armée potable et acheter des gens d'arme à 21 € les 4 ralongerai le temps d'attente... Mais c'est vrai qu'ils explosent vraiment sur le champ de bataille, se sont l'unes de mes figurines préférées.
  20. En fait, je me permet de répondre, connaissant les goûts d'Eomer, il aimerait une armée avec beaucoup de troupes de base et de petits héros. C'est pour ça que je pense que Boromir (un guerrier redoutable mais un mangeur de points ![img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]) n'est pas très adapté pour ses goûts... Ou pas tout compte fait, Eomer ayant un faible pour Boromir (je parle bien de mon ami et pas du vrai Eomer). Ta deuxième liste est vraiment pas mal. je l'aime bien mais que veux-tu dire avec 12 gardes de la Citadelle dont 6 avec lance ? Je ne comprends pas de quoi sont armés les autres (arcs longs ou... rien ?).
  21. En fait, les arcs des rangers c'est surtout parce qu'on ne peut pas faire autrement pour en avoir douze. Par contre, je vais ôter les arcs des guerriers M-T. C'est vrai qu'ils servent à rien grâce aux rangers. Quant aux archers de la Citadelle... Ben pourquoi pas. Six archers de force 3 ça peut être avantageux. C'est vrai que j'aime beaucoup cette liste. Les chevaliers de Minas-Tirith, bien moins chers que ceux de Dol Amroth de ma liste à moi, donnent quand même une impression de puissance. Et puis, c'est une armée assez nombreuse, mais pas trop quand même, elle pourra donc passer dans les tournois limités à 50 figurines.
  22. Alors, moi et Eomer avions eu l'idée de cette liste en 750 points : Troupe 1 1 capitaine de Minas-Tirith avec bouclier 12 guerriers de Minas-Tirith améliorés en gardiens de l'Ithilien (4 avec bouclier et lance, quatre avec arc, 3 avec arme de base et bouclier et 1 avec cor de guerre et bouclier) Troupe 2 : Damrod 12 rangers du Gondor améliorés en rangers de l'Ithilien (dont 4 avec lance) Troupe 3 : 1 chevalier de la Tour Blanche 6 gardes de la Citadelle 3 guerriers de Minas-Tirith (2 avec bouclier et lance et 1 avec bannière) Troupe 4 : Faramir à cheval et armure lourde 12 chevaliers de Minas-Tirith avec bouclier Total : 49 figurines En fait, j'ai surtout peur que si terrain difficile il y a, le capitaine M-T et Damrod soit les boulets de leurs compagnies. Se serait assez idiot de voir la compagnie en avant garde et le chef qui suit loin derrière (mais bon, c'est comme ça). Avec cette liste, il faudrait qu'Eomer achète Faramir, Damrod et les 6 gardes de la Citadelle. Pour l'instant ça ne pose pas de problème, j'ai moi-même ces figurines. Pour cet appel au secours pathétique, c'est parce que ce cher Eomer a été dur à convaincre d'arrêter d'acheter des troupes de base et d'acheter des héros pour commander ses soldats et j'ai pensé que les avis des membres de ce forum achèverait de le décider.
  23. Je suis tout à fait d'accord avec Figgaro57, prend de la troupaille avec des héros mastodontes et des monstres ! Avec un peu de combattants d'élite avec un grosse force et défense bénie, tu auras une armée parfaite (en tout cas vue par moi). Le Seigneur des Ombres est mon Nazgûl préféré et je le met dans toute mes armées du Mordor. Mets tes Gobelins d'un côté avec le SdO, et tes Uruks, mets les en réserve et attends quelques tours avant de les lancer. Explication stratégique : Je fais toujours cela lors d'une partie quand j'ai une armée en surnombre; j'envoie la piétaille en avant et laisse l'élite ne arrière, tu ne sauras pas en infériorité numérique vu que tu combattras des Elfes (alias les grands avaleurs de points), et quand tu verras la situation devenir critique, envoie tes Uruks sur un des flancs ennemies, je te jures que c'est bien !
  24. Désolé, je n'avais pas vu que c'était ta troupe d'archers. Je te conseilles alors d'éliminer la troupe d'Uglùk. Mais tu peux aussi laisser comme cela, c'est toujours une bonne liste, avec pas mal de figurines (dure exploit pour des Uruks!), bref tout ce que j'aime. C'était juste pour casser la monotonie et te prendre de la cavalerie. Sauron serait plus adéquat que Faramir...[img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/devil.gif[/img]
  25. Je savais déjà que les termes "Ourouk" et "Ourouk-Haï" étaient synonymes mais j'emploie le terme "Ourouk" pour ceux du Mordor, et "ourouk-Haï" pour ceux de l'Isengard, cela permet de ne pas confondre, c'était pour leurs apparences physiques que je parlais d'une différence. Pour le reste, tout les Orques n'ont-ils pas un arc ? En tout cas ceux des montagnes et d'Isengard. C'est sur qu'il est étrange que les Gobelins de la Moria soient uniformes et que les Orques du Mordor hétéroclites. Grishnakh devrait avoir une force 5, comme les autres capitaines ourouks d'ailleurs, non ? Je répète que Grishnak est un Ourouk, si tout les Orques avaient des longs bras, pourquoi Tolkien le préciserait dans une description physique ? C'est bien que les siens sont encore plus longs que ceux d'un Orque normal.Et il a d'ailleurs la même description que Shagrat, tient tête à Ouglouk et le traite comme son égal, capitaine ourouk à capitaine ourouk.
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