Aller au contenu
Warhammer Forum

Thalantir

Membres
  • Compteur de contenus

    397
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Thalantir

  1. Une petite partie de Bushido contre moi même pour changer durant mon congé paternité pour occuper les intervalles biberons / couches ^^. 70 riz histoire de tester certaines de mes dernières figurines. La version vidéo est disponible sur ma chaîne youtube. Si vous préférez le texte pur continuez ci-dessous. Le Scénario tiré est Ninki. Il y a 6 objectifs de départ : 2 amicaux, 2 hostiles, 2 neutres. Il est possible de prier sur les objectifs et d’en changer l’alignement. Il y a 3 points de victoire à gagner à la fin des tours 2, 4 et 6. Au tour 2 et 4 le point de victoire est accordé à celui disposant du plus grand nombre de points de scénarios via les prières sur les objectifs. A la fin du tour 6, le point de victoire est accordé au camp disposant du plus grand nombre d’idoles amicales. Le tour 1 est principalement consacré à du placement. Les Kahei se placent autour de l’objectif neutre au sud. L’alpha reste en retrait plus au sud encore. Kenzo et Yuii se positionnent près de leur objectif sud-est. Saburo et Akimoto se sont mis autour de l’idole nord-est des Ito tandis que Taisei protège leur flanc nord embusqué dans la forêt. En face, deux Kaihei ont entouré l’objectif neutre nord. La Vague prend l’initiative du tour 2 et Yusha s’avance sur l’objectif neutre nord. Il utilise son pouvoir Ki « Stimulation » pour permettre a un des Kaihei de manœuvrer les objectifs. Ce dernier en profitera pour prier. Le clan Ito ne peut s’y opposer puisqu’Akimoto étant impétueux il doit être joué en premier. Il va changer l’objectif amical en neutre et Saburo va y prier (prier sur un objectif neutre voire hostile rapporte plus de points de scénario que sur un amical) Kenzo lance un assaut sur un des Kaihei du sud, mais malgré sa supériorité en combat, l’agile animal utilise son trait Esquive pour faire un pas de côté défensif. Grâce à la présence de l’Alpha, les Kaihei disposent du trait Groupe qui leur permet de s’activer tous en même temps. Les deux au nord se jettent à la gorge de Taisei et le massacre après des jets de dés particulièrement efficaces. Les deux au sud attaquent Kenzo, mais cette fois c’est le samurai serpent qui leur échappe grâce à un pas de côté défensif. Tandis que Yusha prie à son tour sur l’objectif nord, Akimoto manque son crachat de venin sur le Kaihei le plus proche. Le Kaihei se jette sur l’homme serpent qui manque complètement sa défense et se fait tailler en pièces. En revanche l’attaque d’un Kahei au sud-est contre Yuii échoue. En riposte la naga trucide l’animal avec une attaque combo. Saburo préfère continuer de prier que de se lancer dans une mêlée. L’esclave quant à lui fait deux actions de prière sur l’objectif nord-ouest que lui et Yusha avait fait passer en hostile durant le tour 1. L’alpha tente d’éviscerer Yuii à présent épuisée, mais son attaque échoue et la naga fait un pas de côté défensif. A la fin du tour 2 la Vague Sauvage récolte 10 points de Scénario contre 9 pour le Clan Ito. La Vague Sauvage remporte donc le point de victoire du tour 2. Le tour 3 commence. Au début du tour 3, le clan Ito joue l’événement Sombres Secrets qui permet de potentiellement contrôler un ennemi (ici le Kaihei Alpha. Mais ce dernier réussit son test de Ki et résiste à la possession. La Vague a de nouveau l’initiative et le Kaihei au sud décide de s’éloigner de Kenzo. Toujours avec l’activation groupée, les Kaihei du nord-est attaquent Saburo mais ce dernier se défend très habilement et esquive le premier Kaihei en mettant tout en défense avant de riposter contre le second et le blesse grièvement en plus de l’empoisonner. Après une prière sur l’idole sud-est, Yuii tente d’attaquer l’Alpha. Mais son attaque tombe complètement à plat à cause du trait Esquive de la bête. N’ayant mis aucun dé en défense et la créature en ayant mis vicieusement un, Yuii perd 4 points de vie. Yusha s’avance et lance une nouvelle Stimulation sur un des Kaihei pour qu’il puisse interagir avec l’idole. Il lance ensuite une Inspiration sur le second Kaihei pour lui donner un dé de mêlée supplémentaire avant de s’avancer dans le dos de Kenzo et de le fouetter par surprise, lui enlevant 2 points de vie. Sachant que si le fouet de l’Oni blesse, la cible gagne le trait Couardise pour le tour, sachant que l’Oni cause la Peur (niveau 6) et la terreur (grâce à la Thématique de la liste des Alphas), Kenzo abandonne l’idée de riposter et va plutôt se diriger vers l’objectif Sud-ouest pour y prier. L’esclave ayant rempli sa mission, il fait une focalisation Ki, dans l’attente d’autres ordres. Le Kaihei inspiré attaque à son tour Saburo et parvient cette fois à le mordre, lui infligeant 2 points de vie. L’Alpha tente d’achever Yuii mais cette fois, il échoue et la naga fait un pas de côté dans le bois. Tour 4 Yusha décide d’utiliser la rage oni et attaque Saburo. Ce dernier rate son test de peur et est effrayé mais il parvient à esquiver tous les coups de l’Oni et à réussir sa sidestep defense. Kenzo dépense 2 points de Ki pour augmenter son mouvement et attaquer le Kaihei au sud, par surprise. Contre toute attente et toujours grâce à son trait Esquive, l’animal parvient à éviter les coups du samurai naga. Les Kaihei s’activent. Yusha inspire à nouveau l’un d’eux et celui-ci se jette sur Saburo toujours effrayé par la présence de l’Oni. Malgré deux dés en défense, l’homme serpent est pris en défaut par l’animal qui avec un succès de 4 et un douze sur son jet de blessure dévore son malheureux adversaire. Une nouvelle passe d’arme entre Yuii et l’Alpha Kaihei ne donne rien. Yusha retente un coup de fouet sur Kenzo qui est en mêlée avec un Kaihei. L’oni rate son coup cette fois-ci Kenzo frappe le Kaihei et le blesse pour 2 points de vie, en plus de lui causer 2 jetons poisons. Le combat fait toujours rage entre l’Alpha et Yuii, la deuxième passe d’arme ne voit à nouveau aucun vainqueur. A la fin de ce tour 4, la Vague Sauvage a marqué 11 points de scénario, contre 7 pour le clan Ito. Le point de victoire du tour 4 va donc à la Vague Sauvage qui mène désormais 2-0 sur l’ensemble de la partie. Yusha décide à nouveau d’utiliser la Rage Oni qui lui rapporte 2 points de Ki de plus. La Vague Sauvage prend à nouveau l’initiative et l’Oni charge Kenzo. Mais ce dernier utilise 2 point de Ki pour Cobra Strike et frapper en premier. Yusha dépense 3 Ki pour gagner un dé de mêlée mais au final e samourai serpent lui inflige 1 blessure et 1 jeton poison et en plus il réussi sa défense et fait un pas de côté loin de l’Oni. Il profite de sa position pour tourner l’objectif sud en amical en prévision du tour 6. Yuii décide de prendre des risques et met tout en attaque pour tenter de tuer l’Alpha. Elle n’obtient qu’un niveau de succès faible mais avec la combo attack, elle parvient à causer 2 blessures et à mettre deux jetons poisons. Pas assez pour tuer la bête cependant. L’Alpha avait mis un dé en attaque mais il a fait 1, Yuii évite la mort miraculeusement. Le combat continue ! Un nouveau round de combat à lieu entre Yuii et l’Alpha. La défense de l’Alpha est piteuse (2) mais l’attaque de Yuii faible (3). L’alpha subit encore 1 blessure et un jeton poison. En revanche, l’attaque de la bête transperce la défense de la Naga qui finit égorgée. Pendant ce temps, l’esclave repasse l’objectif nord en amical. Après avoir résisté à une seconde attaque de Yusha, Kenzo, épuisé, est pris par surprise par les Kaihei arrivés au secours de leur maître. Malgré une bonne défense, l’attaque du premier Kaihei est efficace et le jet de blessure est maximum et vient à bout du samouraï serpent. Le tour 6 sera rapide puisque la bande Ito a été anéantie. Yusha lance une stimulation sur un Kaihei. Qui file tourner l’idole sud-ouest en amicale. L’esclave fait de même pour celle du nord-ouest. L’Alpha va tourner l’idole sud-est. Mais il convulse et finit par succomber aux effets du poison. Yuii a eu sa revanche posthume ! A l’issue du tour 6, tous les objectifs sont en faveur de la Vague Sauvage qui remporte le point de victoire du Tour 6. La Vague Sauvage l’emporte donc 3 à 0.
  2. Excellent rapport de bataille. J'ai pas encore lu le bouquin mais le système a l'air à la fois, simple, fluide et fun.
  3. Dernièrement j'ai monté et peint intensivement du français pour les guerres napoléoniennes. Le but étant de pouvoir monter le IIIème corps de Davout. Je dispose déjà une force autrichienne conséquente pour la période, ne me restait donc que les français. C'est chose faite. Ce dimanche j'ai donc décidé de tester une première petite bataille en napoléonien. Nous avions déjà fait une bataille (Elchingen 1805) il y a plus d'un an de cela déjà et j'avoue avoir déjà oublié la plupart des règles spécifiques au napoléonien. En effet, je joue habituellement 18ème siècle (Guerre de Succession d'Espagne, Guerre de Succession d'Autriche, Guerre de Sept Ans) et les règles sont quand même différentes : primauté du feu et de la ligne, formations très limitées, cavalerie en retrait. Le jeu a tendance à être plus statique. En napoléonien, c'est très différent, ça bouge plus et il y a profusion de formations utilisables. Bref, cette partie avait pour but de réapprendre ce qui est pourtant la version vanilla de Black Powder. Il s'agit d'une bataille fictive, mais j'ai choisi de prendre pour base la bataille de Gunzburg en 1805, Simplement le cours d'eau au centre ne sera pas le Danube (car je n'avais pas envie que la partie se joue uniquement au centre de table à cause d'un élément infranchissable). Donc ici le cours d'eau est plus modeste et franchissable. Du coup on va l'appeler Grunzberg...Ça a le mérite d'être un affrontement à petite échelle et permet de prendre le temps de poser les règles tranquillement. En plus, les effectifs réduits m'ont permis d'aligner des régiments aux tailles recommandées (6 socles de 4 figs, alors qu'à la base j'ai opté pour des unités de 4 socles de 4figs pour avoir rapidement un pool important d'unités). Il faut reconnaître que ça rend mieux en termes d'effet et que c'est plus pratique pour la formation mixte (celle avec l'écran de tirailleurs devant) 1805, Bavière. Le corps du général Mack est en danger d'encerclement. Il a détaché le corps du Feldmarschall-Leutnant d'Aspre, pour tenir le pont stratégique de Grunzberg. L'Empereur Napoléon pour sa part a envoyé le détachement du général Mahler, composé des divisions Marcognet et Lallemand afin de prendre l'ouvrage aux autrichiens. Voici les ordres de bataille : Le déploiement Les français de la division Mahler traversent les bois. Leur objectif : prendre le pont stratégique de Grunzberg Le 3ème d'infanterie autrichien tient la ville, épaulé sur sa gauche par le 38ème d'infanterie. Les jaegers surveillent le flanc gauche autrichien. A droite sur la colline surplombant le village les batteries autrichiennes sont à pied d'œuvre, protégées par le 20ème d'infanterie les français traversent les bois. Le colonel Durand installe ses pièces, tandis que le général Mahler donne ses dernières instructions à Marcognet Les autrichiens ont été les premiers à réagir et les tirs de canons désorganisent le 27ème régiment français. tandis que l'infanterie descend doucement la colline. Le 25ème léger est lui aussi désorganisé par les tirs des jaegers autrichiens. En revanche, au centre, les grenadiers combinés donnent l'assaut sur Grunzberg. Malgré de lourdes pertes lors du tir de contrecharge, ils attaquent avec férocité et sont repoussés de justesse. Les batteries de Durand prennent pour cible le 38ème d'infanterie autrichien. Ce dernier s'était mis en ligne pour recevoir les français, mais la canonnade et les tirs des tirailleurs ébranlent les autrichiens. Avec le renfort des 50ème et 59ème régiments, les français poussent au centre. Ce pont doit être pris ! Les jaegers autrichiens continuent cependant leur harcèlement avec un succès certain. Tour 2.. Les renforts de cavalerie arrivent. Des cuirassiers au centre, Des chevaulégers à droite et à gauche. les autrichiens continuent de bombarder le 27ème de ligne. Grenadiers français et fantassins autrichiens continuent leur combat acharné. Les deux unités sont ébranlées mais aucune des deux ne lâche prise. La brigade d'infanterie autrichienne est cependant brisée dans l'affaire. Marcognet fait progresser ses hommes sous les tirs. Avisant la présence de cavaliers ennemis sur la colline, les artilleurs les prennent pour cible. Les autrichiens sont désorganisés par ces tirs. Les Jaegers sont également touchés par un tir de canon meurtrier qui vient à bout de leur moral et les conduit à la déroute. Déjà ébranlés, les autrichiens voient les français leur foncer dessus. Le tir de contrecharge cause peu de dégats, mais la ligne autrichienne tient bon. Au terme d'un troisième assaut, les autrichiens démoralisés abandonnent Grunzberg aux français. Sans infanterie le Feldmarschal-Leutnant d'Aspre ne peut les déloger. Si l'artillerie continue à faire feu, le reste de l'infanterie se replie. le 38ème d'infanterie autrichien se replie également en bon ordre. Les français investissent le village Poussée vers l'avant, l'artillerie française tire en contrebatterie pour faire taire son homologue autrichienne. Sans résultat. Alors que le 38ème autrichien bat en retraite brisé, le 59ème de ligne français se place en ligne et fait feu sur les cavaliers autrichiens pris au dépourvu qui sont désorganisés par la salve. Surgissant du village, les grenadiers français déjà durement éprouvés tentent de désorganiser l'artillerie autrichienne par des tirs de mousquets, mais sans succès. Les autrichiens, faisant preuve d'un remarquable sang-froid tournent leur pièces et déciment les grenadiers à la mitraille. La dernière batterie fait mouche sur le 27ème de ligne qui déroute à son tour. Le 25ème léger arrive en catastrophe pour tenter d'enlever les canons ennemis. Mais il est pris par un feu nourrit qui le cloue sur place avec de lourdes pertes. Sous le feu de l'infanterie française, les chevaulégers à gauche déroutent et s'enfuient. La droite autrichienne tient toujours. Une nouvelle salve de boulets vient à bout du 25ème léger qui s'enfuit. S'ensuit un duel d'artillerie tendu entre français et autrichiens que les soldats de l'empereur finissent par remporter en détruisant deux batteries. Le Feldmarschal-Leutnant d'Aspre ordonne la retraite. Le Général Mahler entre dans Grunzberg. Mission accomplie : le pont est aux mains des français.
  4. Encore une fois magnifique. Un régal.
  5. justement, y a que la musique d'ambiance et le texte, je parle pas.
  6. Merci messieurs ^^ Tu as bien fait de le sonoriser Miles, c'était un de mes "corona rapports" d'il y a deux semaines ou j'avais pas de voix. Pour tout dire j'y ai pas réfléchi, j'ai tendance a mélanger les termes sans m'en rendre compte. Nan tu rêves pas. A ce jour je suis un peu juste niveau figurines américaines, donc pour mon canon (imprimé en 3D par papa) j'ai pioché dans mes parachutistes restants pour faire les artilleurs; Et dans la boite US paras tu peux outre les têtes d'iroquois leur donner des machettes. xD
  7. Un autre rapport de bataille pour Bolt Action, contre moi même, opposant les allemands aux américains. Le rapport de bataille vidéo est disponible sur ma chaîne Youtube. Si vous préférez le texte pur, continuez ci-dessous. Septembre 1944. Les alliés progressent et les allemands se replient. Des éléments de la 3ème armée US commandé par le lieutenant Shelton sont envoyé prendre le pont stratégique de Mainmorte pour sécuriser le passage de la rivière Gargousse. Mais les allemands n'ont pas dit leur dernier mot : un peloton Waffen SS commandé par le sturmführer Grüber est affectée à la défense du pont. Cette opération d'arrière garde est vitale pour assurer la retraite en bon ordre de l'Axe et Grüber est bien décidé à ne pas laisser les américains s'emparer de l'ouvrage. les colonnes américaines s'avancent le long des routes sud et est. A l'est le camion transportant l'escouade alpha et le sherman au sud, la jeep tractant le 37mm, le halftrack de l'escouade betta, le sniper, l'escouade gamma et le lieutenant Shelton des parachutistes s'avancent à travers le bois. les allemands tiennent le pont Un sniper SS court s'embusquer dans le clocher de l'église. Le camion s'approche du pont. Les allemands réagissent vite. Un escouade de waffen SS embusquée sur la colline nord ouvre le feu et endmmage le véhicule. L'escouade doit débarquer d'urgence sous le feu ennemi. Un half track arrive du sud. Des renforts allemands sont appelés pour défendre le pont. L'unité située dans le Sdkfz sort s'abriter dans un jardin et un panzerfaust fuse vers le M3 américain mais le manque. Une autre escouade remonte la rue nord. Les paras sont accueillis par les tirs du sniper ss. Pendant que le sniper US tente en vain d'éliminer son homologue allemand, le lieutenant Shelton fait installer son 37mm sur une colline au sud. Réveillé en sursaut, le lieutenant Grüber arrive dans son kubelwagen et s'embusque dans une maison. L'observateur Dickinson commande un bombardement aérien de la colline au nord. Pendant ce temps, l’escouade gamma traverse la rivière pour prendre les allemands à revers. Le sergent Carson et son Sherman arrive pour soutenir l'escouade Alpha mais ses tirs échouent à provoquer autre chose que du stress aux allemands sur la colline. Tour 2 Les américains ouvrent le feu sur le Sdkfz et les waffen SS Les soldats allemands se mettent à couvert face aux obus du chars, mais ne subissent pas de pertes car ils sont bien retranchés. l'escouade Beta est sortie de son half-track et a pris position juste à côté du pont. Un tir du 37mm américain en plein dans le clocher, a raison du sniper ss. des renforts allemands arrivent sous la forme d'un Stug III qui ouvre le feu sur le half track ennemi mais le manque. Les paras US se glissent dans les jardins derrière les allemands tandis que le reste de l'infanterie arrive par le sud et sur le pont ! Le combat est violent, mais les américains se sont emparés du pont. Tour 3. Et là c'est le drame : le pilote débutant de l'USAAF confond américains et allemands. Il mitraille l'escouade beta sur le pont qui perd la moitié de ses hommes et il cause aussi la panique chez les autres unités décontenancées Après s'être fait insulté par radio par Dickinson suite à ce fiasco, le pilote, sans doute pour se faire pardonner, fait un demi tour et attaque cette fois le half-track allemand qui est détruit. Le stress gagne à leur tour les troupes allemandes proches. l'escouade gamma en profite pour prendre d'assaut le PC de Grüber. l'officier SS est pris par surprise et abattu. Le STUG riposte rapidement et explose le half track sur l'autre rive. Mais le 37mm américain situé sur la colline sud parvient à le toucher et à le décheniller d'un tir précis. Dickinson descend de sa colline et se refugie derrière une maison en ruine, proche du pont. l'escouade Alpha échange toujours des tirs avec les SS sur la colline nord. paniqué par l'avion et l'explosion du half-track, le sherman fait une marche arrière Sur la colline nord, les waffen SS décident de prendre du temps pour se rallier. Leurs camarades dans les jardins font de même. Et l'escouade SS de renfort qui attendait dans la rue au sud lance l'assaut contre la maison et venge son commandant. Les GIs de l'escouade gamma sont tous massacrés sans pitié à coups de mitraillettes et de mitrailleuses par ces fanatiques, sous les yeux de leurs camarades paras qui venaient d'investir la ruine voisine. Shelton et la compagnie beta ouvrent le feu pour repousser les waffen SS dans le jardin. Un des allemands est tué. Le Canon américain recharge et se prépare à tirer. Le lieutenant rappelle également la compagnie Alpha. Le pont étant désormais tenu, les paras et l'observateur Dickinson se placent en embuscade pour enrayer d’éventuelles contre-attaques. Sur la colline nord les allemands ouvrent le feu sur le pont et la compagnie Beta bien malmenée, abattant un américain. Le sniper manque la LMG allemande dans la maison. L'escouade SS dans la maison tue un autre GI de l'escouade Beta. Les allemands dans le jardin se sont ralliés et ont retrouvé leur instinct combattif. Ils décident de sortir de la défensive pour tenter de déloger les américains. Ils traversent la rivière en mitraillant l'escouade beta. Un panzerfaust prend pour cible le sherman mais le tir échoue. En riposte le canon de 37mm fait feu et un allemand est tué. Tour 5. Les parachutistes se préparent à une sortie des allemands retranchés dans la maison. Les waffen SS de l'autre côté de la rivière sont pris pour cible par les unités proches. Ils sont contraints de se mettre à couvert mais subissent de lourdes pertes. L'escouade de la colline nord vient à leur secours en mitraillant le pont, abattant un GI supplémentaire. Le STUG, toujours immobilisé, se rallie. L'autre escouade allemande tire depuis la maison mais les GIs, à couvert, ne subissent pas de perte supplémentaire. Tour 6 Plutôt que de rester à se faire tirer comme des lapins, les waffen SS du Rottenfüher Hartmann réussisent à surmonter leur stress (5 pins tout de même) et chargent le pont, abattant les deux derniers membres de l'escouade Beta et se posent sur l'ouvrage ! Il esquivent de peu un tir du sniper américain. Dans la foulée, le STUG touche le Sherman et l'immobilise à son tour. La mitrailleuse abat un soldat de l'escouade alpha. le canon antichar 37mm tente de riposter mais son tir est raté. L'escouade alpha lance l'assaut contre les waffen SS épuisés pour reprendre le pont. Contre toute attente, ces fanatiques enragés remportent le combat et tuent tous leurs adversaires ! Sentant que c'est le point de bascule, la seconde escouade SS du rottentführer Krammer sort hors de la maison et se place elle aussi sur le pont. Malgré les tirs d'embuscades des parachutistes et de l'observateur Dickinson, les pertes sont légères et les deux MG42 de l'escouade allemande ripostent, abattant un para. L'escouade sur la colline nord est toujours opérationnelle également. Ses tirs viennent à bout d'un autre parachutiste. Incapable de déloger les allemands du pont, le lieutenant Shelton ordonne le repli.
  8. Très intéressant comme jeu. J'aime beaucoup le concept et le contexte. J'ai pris le livre pour le lire par curiosité. Merci ^^
  9. corrigé. Ouh la tu vas avoir des maux de tête avec moi car c'est plutôt l'inverse ? Merci camarade ! Je suis content que ça t'intéresse. Ma chaîne est un fourre tout il y a un peu de tout, mais dernièrement je suis pas mal sur Bolt Action. En tous les cas j'espère que cela te plaira ?
  10. Ouh la non, je ne suis absolument pas un ayatollah de l'historicité dans les détails, je vais pas aussi loin. Non non, j'ai simplement suivi, sans chercher plus loin cet excellent tuto (Tige de coton-tiges, pique à brochette, allumettes et huile de coude ^^)
  11. Faudrait que j'essaye ça. Mais en partie c'est dur de résister à la perspective de défoncer le c.. d'un char xD Ouais bon, les japonais ont quelques avantages dans ces techniques ?
  12. Exactement, c'est pas mal de psychologie et d'interdiction de zone. Oui les équipes anti-char, je suis convaincu qu'il y a du potentiel sur ces situations, mais à chaque fois je foire le jet ou elles se font descendre. ?
  13. Pour les arbres je les avait acheté ICI dans la section train électrique de Conrad. Y avait promo, j'en ai bien assez du coup. C'était des paquets de 50 alors... Bonne idée, ça va tout de suite donner un sentiment de modernité tu verras. Pas besoin de fil, ça rend bien sans.* En effet avec les HE qui traînent les bâtiments c'est pas toujours un bon plan. En tout cas dans notre groupe, je ne trouve pas du tout que les gens en abusent. Si si, le tigre est déjà sorti deux fois dans mes rapports précédents. La première fois il n'a pas été très rentable. Il a juste sécurisé un point de victoire. Par contre sur la seconde il a bien fait ch... avec sa règle Tiger Fear. J'ai pas l'impression que les chars lourds soit le must de la rentabilité cependant. Mais je suppose que bien utilisé ça peut être une plaie car en pratique sans antichar approprié je vois pas comment gérer un gros truc comme ça sans le laisser simplement vivre sa vie sur la table et éviter de le feeder. Hélas je galère aussi avec les arbres en individuels. J'avais acheté des arbres en plastique souple prépeints dans feu une boutique de jdr à Colmar y a de ça 18 ans (pour battle à l'époque, le bon temps) et ils sont top pour l'individuel. Je les mets généralement sur un socle représentant les bordures de la forêt. Après ça rend pas ultra réaliste mais pour du KoW ou déquivalent c'est pratique. Par contre les Noch, ceux là j'ai dû faire le socle moi même et les résultats étaient assez mitigés : soit ça tombe, soit ça rend pas bien esthétiquement. Bref, j'ai pris le parti de tricher. J'ai fait des socles de plusieurs arbres collés et floqués que je pose sur des plus gros socles représentant les limites de forêts (y en a des petits et d'autres plus gros où on peut mettre plusieurs "groupes d'arbres". S'il faut rentrer des unités et que c'est casse pied, on enlève le groupe d'arbres et on pose directement les figs sur le socles de limites. Avantage : au moins ça tombe pas et c'est joli. De plus on a clairement les limites de la forêts dans les deux cas, pas de contestation) Inconvénient, quand le(des) groupes d'arbres sont enlevés c'est moche car du coup tout ou partie de la forêt disparait. Du coup, astuce de raccroc je replace mes arbres en plastique souple dans les endroits vides du socle pour simuler un peu la partie de forêt ^^.
  14. Dame chance, l'avais à la bonne : 1 sur les dés ^^ En fait lors de mes phases "modélisme" j'essaye souvent d'enrichir la table mais ça ne me parait jamais assez bien (mon modèle c'était la table de Custodes, mais j'arrive pas à avoir les même rendu avec ma grande table modulable - celle de la bataille de Gelato). Quand j'ai commencé l'historique, notamment avec mes grands formats Black Powder, je trouvais mes tables trop génériques, pas assez riches, j'ai donc notamment mis l'accent sur les petits éléments : poteaux, haies, murets, panneaux, buissons etc...). Pour Bolt, j'ai crée les bocages en suivant un tuto sur le net. Du coup, je me suis rendu compte que c'était de l'ordre du détail mais que ça ajoutait à l'immersion. idem pour les poteaux téléphoniques ou les maisons en papier avec les pub. C'est pas grand chose mais en vrai ça change tout. Tu les enlèves c'est une table qui pourrait être utilisée à Battle/Kow, tu les met et là c'est indéniablement une table WWII Initialement, j'avais pas d'idée de s'il fallait charger ou pas la table mais au début, avec peu de couverts c'était la fête des blindés donc on a eu tendance à mettre plein de décors. C'est certes plus compliqué de faire des pertes mais ça donne un côté micro-gestion du terrain qui fait que parfois on est comme dans un épisode de band of Brothers et je pense que c'est ce qu'on cherche quand on joue à ce jeu. Du reste, par convention avec les camarades et pour compenser, on joue les bocages en couvert léger (et non lourd) et les éléments isolés sont ignorés et considérés comme décoratifs. Avec quelques ajustements on peu donc avoir une belle table et une table jouable. Autrement elle a rien de spéciale. C'est un mat "recto/verso" forêt/désert de chez philibert avec pleins de décors dessus. J'ai pas de place chez moi pour des tables à thème fixes, donc je ne fais que du modulable.
  15. Techniquement juste 3 fois. Mais dans un combat réel sans doute plus ! ? Pour la petite histoire c'était le scénario "encerclés". Chaque unité ennemie détruite valait 1 point de victoire. A la fin du tour 6, les allemands gagnaient 6-4. Je tire le dé et j'obtiens un tour 7 (déjà du bol pour les british), là je tente les charges tous azimut qui permettent au paras de revenir à 6 - 6. Pour les allemands qui se situaient principalement au sud-est, il fallait détruire deux unités pour gagner (il faut 2pts d'écart sinon c'est égalité). Cavendish c'était techniquement le plus facile à atteindre. Eh ben il a tout esquivé ce con...
  16. Isolé pour cause de Covid, je me suis amusé à faire une partie en solo, qui fut très fun et dont j'ai décidé de faire un rapport. Pour le coup, ce sera un rapport plus narratif et sans ma voix (qui est un peu erraillée à l'heure actuelle), uniquement du texte. Le rapport vidéo est disponible sur ma chaîne Youtube. Si vous préférez le texte pur continuez ci-dessous. Un peu de background : Le lieutenant Cavendish de la 6th british airborne a été parachuté avec son unité en arrière des lignes ennemies. Leur mission consiste à tenir la localité d'Espraignant contre toute attaque ennemie en attendant les renforts. Le larguage ne s'est pas passé comme prévu et le peloton a été dispersé dans la nuit à travers le bocage. Au petit matin, Cavendish s'aperçoit qu'il est encore loin d'Espraignant. Mais les bruits de combats lui font dire que certains de ses gars sont déjà là bas et aux prises avec l'ennemi. Il fallait faire vite. *** Dès qu'il a été averti de la présence de parachutistes alliés à Espraignant sur ses arrières, le lieutenant Kreyder du 901ème régiment de Panzergrenadiers et son peloton ont été envoyés pour les déloger. Il dispose de l'assistance d'éléments de la 12ème division SS mais ne sais absolument pas quand ni où ces derniers allaient arriver. En attendant, il bénéficie du soutien bienvenu d'un Stug III de la Panzer Lehr. Les allemands approchent du pont . Tout semble calme. Les mortiers sont installés et le stug traverse le pont. Pas de signe des anglais. Le silence est soudain brisé par un tir venant de leur droite. Aux jumelles, le lieutenant Kreyder constate qu'il s'agit d'un sniper SS et qu'il semble avoir abattu une cible dans un jardin. Cela confirme que les anglais les attendent. Un autre tir lui répond venant du clocher. Un sniper allié semble avoir répondu au premier. Mais il a manqué sa cible. Les hommes du caporal Wilkins se préparent à l'attaque. le sniper Collins les a averti de l'arrivée d'une forte troupe allemande. Les allemands aussi ont un sniper, il vient de descendre leur équipe PIAT. Retranché dans une ruine, les anglais voient soudain arriver sur leurs arrière des waffen SS. Un échange de tirs furieux s'ensuit. La seconde escouade du caporal Lindon voit débarquer un half track dont débarquent des SS, la fusillade s'engage mais les anglais, plus nombreux, finissent par avoir raison des allemands. D'autant qu'une troisième escouade, celle du caporal Cole qui a été parachutée plus à au sud surgit du coin d'une maison pour prendre les ss en enfilade. Le stug ouvre le feu sur l'escouade de Wilkins qui se trouve en mauvaise posture. le reste de l'infanterie allemande avance. Les hommes de Wilkings sont à couvert et pris pour cible de partout. Leur observateur d'artillerie n'a pas le temps de commander une frappe qu'il meurt une balle dans la tête. Le sniper allemand est en forme. Le lieutenant Cavendish surgit sur la route est avec sa jeep et rassemble ses hommes pour porter secours à ses gars dans le village. Au passage, ils débusquent le sniper SS et le tue. Au sud-est les combats font rage et tournent à l'avantage des hommes de Cole et de Lindon. L'escouade SS est liquidée et leur half-track détruit à coups de grenades. Cavendish prend un risque. Il fonce le long de la route passe le croisement au nez et à la barbe du Stug et dévale la rue vers le sud pour rejoindre ses hommes. Mais il ignore que les SS ne sont pas loin. Le Stug expédie un obus et des tirs de mitrailleuse contre la seconde équipe PIAT qui meurt également. Les anglais n'ont plus d'antichar à l'exception de leur 6pdr à l'ouest qui n'arrive pas à toucher le char ennemi. La vickers qui a perdu 1 servant à cause des SS et des tirs des panzergrenadiers du pont s'est mise à couvert. Le mortier allemand manque de peu l'escouade Wilkins qui est en mauvaise posture dans sa ruine. L'untersturmführer Forel ordonne à ses hommes de liquider cette jeep. Ce qu'ils font à coup de grenades. Cavendish parvient à s'extraire indemne de la carcasse en flammes mais son garde du corps est mort. N'y tenant plus, les hommes de Wilkins surmontent leur stress et profitent de la diversion involontaire de leur officier pour se réfugier dans une maison de l'autre côté de la route. Malheureusement pour eux, le Stug descend la rue et tire sur leur immeuble. L'obus est particulièrement précis et meurtrier. La moitié de l'escouade y passe et le reste panique, sort de la maison et se fait cueillir par les allemands qui les abattent. Peu en veine jusqu'à présent le sniper Collins parvient à éliminer la MG42 de l'escouade allemande du pont. L'escouade du caporal Martin s'avance en tirant sur les panzergrenadiers qui se mettent à couvert. Les paras de Cole ouvrent le feu sur les waffen SS au sud, et en abattent deux, mais les fanatiques ne flanchent pas. Les hommes de Lindon s'avancent face au lieutenant Kreyder, abrité derrière une barrière et ne parviennent pas non plus à le tuer, seul son garde du corps succombe.. Dans la foulée, la seconde salve au sud manque les waffen ss qui se mettent à couvert à temps. L'escouade de Lindon se rapproche mais leurs tirs échoue liquider Kreyder qui s'est couché à temps derrière sa clôture. L'escouade de Martin avance vers le pont en tirant, les allemands restent abrités en panique. Depuis son clocher, Collins parvient à tuer l'untersturmführer Forel Mais la situation devient tendue au sud-est : Kreyder avec sang froid épaule son fusil et abat un para puis son escouade sort de la maison pour tirer à bout portant sur les anglais, aidé par le stug qui défonce la haie et mitraille à tout va. L'escouade Lindon est décimée. A ce moment, les pertes sont sévères des deux côtés mais les paras ont subis plus de pertes. Ils sont séparés de leurs camarades de l'ouest par les allemands et réduits à la défensive. Cavendish ordonne alors l'assaut contre les waffen SS. Lui même tente d'abattre Kreyder mais échoue. Les hommes de Cole chargent les waffen SS et un combat terrible s'ensuit. Les Stens s'avèrent utiles car c'est une vrai boucherie. Seul Cole s'en sort vivant et se cache derrière la maison. Les hommes de Martin tentent aussi leur chance en prenant d'assaut le pont mais ils sont plus chanceux, ils ne font qu'une bouchée de leurs adversaires paniqués. Kreyder et ses hommes ont repéré Cavendish.et ouvrent le feu sur lui. le lieutenant anglais parvient à s'en sortir en se cachant derrière le mur d'une maison. Le 6 pdr, le mortier et le sniper n'ont plus de cibles en vue. Reste le Stug qui défonce une barrière et tire à bout portant sur Cavendish... Qui s'en sort miraculeusement. Les deux camps ayant subit de lourdes pertes, décident de se replier , le combat a été meurtrier mais indécis.
  17. Eh bien tu t'es tapé un bon délire. Tu as joué avec des unités d'une figurines ? Je kiffe ? Maintenant on sait que c'est de famille Ce fut un combat acharné on dirait, mais je soupçonne à leur faciès rougeau que les hommes de l'IVG ont déjà bien tapé dans le stock du camion. Ce qui explique sans doute leurs performances.
  18. Merci ^^ En même temps quand on fait que des 6... Et pis il voulait venger ses amis. J'avoue. Et la figurine du camarade Hervé aide bien a en rajouter de ce côté.
  19. La suite des pérégrinations de notre dernier samedi. Si vous vous souvenez nous avions fait un Pike & Shotte l'après midi avec les camarades Hervé et Nicolas. Eh bien le soir nous avons enchaîné par un Bolt Action : Allemands vs Anglais et Américains avec les listes Normandie 1944 et 1000pts de chaque côté. Le rapport de bataille vidéo est disponible sur ma chaîne Youtube. Pour ceux qui préfèrent le texte, continuez ci-dessous. Nous avons tiré le scénario Démolition. Chaque camp doit placer sa base dans sa zone de déploiement. La base Allemande est située à l’ouest derrière une colline (le campement). Celle des alliés est à l’est (le radar) Le premier camp qui parvient à la fin d’un tour à prendre le contrôle de la base adverse (tout en conservant celui de la sienne) remporte la victoire. Hervé n'a mis aucune troupe en réserve. Pour ma part, j'ai conservé une escouade d'infanterie et mon Cromwell en réserve. 25 juin 1944, Normandie. L'untersturmführer Rheinhard a reçu l'ordre de lancer une contre-attaque autour du village de Gromanche afin de détruire la station radar alliée qui s'y trouve. Ce qu'il ignore, c'est qu'au même moment les lieutenants Davis et Robins des armées américaine et anglaise ont eu reçu l'ordre de sécuriser cette dernière en prenant le contrôle du camp des allemands derrière la colline de Tournesac. Peu avant l'aube, les rangers américains se sont avancés au plus près de la colline. Les deux camps se préparent à un assaut sans merci. Avec leur mouvement d’avant-garde, les rangers investissent une ruine à l’ouest. Les allemands sont retranchés sur la colline. La MG42 ouvre le feu sans trop de succès. Le lieutenant Davis amène ses troupes au pont Mais A l'Est les Waffen SS sont en embuscade le long de la route. Un mortier et une équipe de sniper se préparent à appuyer l’attaque. Rheinardt et un nombre important de SS sont derrière le petit bois. Ils ont bien l'intention de s'emparer de la station radar, défendue par une équipe de MMG et les observateurs aériens Billy et Jimmy Joël Le canon PAK40 révèle sa présence par un tir explosif qui tue deux GI. En réponse, l’observateur d’artillerie Gilson commande un bombardement de la colline. Comme d’habitude, cela mettra du temps à venir… Les rangers sont pris pour cible par le Panzer IV et la MG42. Heureusement les murs de leur abri résistent. Pour le moment. Les bleus qui manœuvrent la MMG parviennent à couvrir leurs camarades. Leurs tirs, couplés à ceux des rangers sont étonnamment précis et tous les servants de la MG42 sont tués sauf un, en sang, qui continue fanatiquement de tirer. Le lieutenant britannique Robins, ordonne à l'escouade du caporal Jenkins de se placer derrière la haie qui longe la route pour arrêter l'avance des SS qui viennent d'être repérés. En effet, les hommes de Rheinardt sortent de la forêt sous les tirs de la mitrailleuses américaine. Mais les deux MG42 de l'escouade allemande font rapidement taire leur vis à vis. Seul les frères Joël défendent la station radar. Il faut du renfort et vite ! Sur la colline les allemands s'agitent. Une escouade de la HEER s'avance à travers bois. Le panzer IV continue de faire feu sur les rangers mais ces derniers parviennent à s'abriter. N'ayant pas vu les SS, Billy et Jimmy commandent un assaut aérien contre le mortier allemand. Ce n'est que lorsqu'un char anglais cromwell déboule, s'arrête à leur hauteur et tire qu'ils comprennent que l'ennemi doit être proche. "Vite Billy, passe moi le fusil !" Les tirs du cromwell tuent deux allemands, pas de quoi stopper les troupes de Rheinardt. Les rangers sont en bien mauvaise posture : bien loin de pouvoir prendre le poste de commandement des allemands, ils sont désormais, en plus de la MG42 et du Panzer IV, pris pour cible par des fantassins depuis la colline boisée de Tournesac. Le lieutenant Davis arrive à la rivière avec l'escouade A et ouvre le feu sur le canon, dont les servants se mettent à l’abri derrière leur bouclier. Le stress généré suffira à les faire rater leur tir suivant. Derrière l'escouade A, une escouade britannique fait son apparition et sort du cimetière. Les Tommies sont cueillis à froid quand leur mitrailleuse est la cible d'un sniper allemand. Ce dernier est caché quelque part dans le village. L'aviation US arrive et mitraille le mortier allemand. Il y a cependant un servant survivant, mais le stress va le réduire au silence un moment. Dans la foulée, les hommes du caporal Bishop tirent à nouveau sur le pak40 et finissent pas tuer tous les servants. Pendant ce temps l'observateur d'artillerie Gilson et son comparse, après avoir commandé le bombardement de la colline, traversent en trombe la rue pour se mettre à l'abri devant une boutique. Ils ont vu où se cachait le sniper ennemi et sont bien décidés à aller le débusquer ! Derrière eux, les hommes de Jenkins qui étaient en embuscade ouvrent le feu sur les waffen SS au moment où ils sortent du bois mais ces derniers sont loin et les tirs sont peu efficaces. L'escouade anglaise, poussée par le lieutenant Robins, traverse le pont pour aller aider les rangers américains et tirer sur les allemands. Les soldats de la HEER accusent des pertes. Le Cromwell tente de ralentir l'avance des SS mais malgré ses tirs frénétiques, il y en a trop. Gilson donne l'assaut sur l'immeuble abritant le sniper, mais ce dernier les a bien vu venir. Il abat le garde du corps de l'observateur dans la rue avant d'accueillir ce dernier à coup de Luger. Après une brève fusillade dans la maison, l'observateur d'artillerie britannique s'effondre sans vie. Point de situation. Alors que Gilson pousse son dernier soupir, il a tout de même la (maigre) satisfaction d'entendre les premières explosions du bombardement qu'il a demandé. Ce dernier tombe à point nommé puisqu'il désorganise complètement les allemands en causant un stress intense à toutes les unités du secteur. D’ailleurs un obus de gros calibre tombe en plein dans l'escouade de la HEER causant la mort de 4 soldats. D'une rafale bien vénèr', le Cromwell vient à bout de la petite escouade de SS. Mais la grosse est toujours là et menace de prendre le radar. Billy et Jimmy commandent en urgence un bombardement sur cette dernière. L'escouade de Jenkins a quitté son abri en catastrophe et traversé le champ pour tenter d'arrêter les hommes de Rheinardt. Quand l'un d'entre eux s'effondre, une balle dans la tête. Ce foutu Sniper allemand s'était repositionné et leur mettait la pression. On ne l'a plus entendu depuis un moment mais finalement, le survivant du mortier allemand se rappelle au bon souvenir des américains. Un obus d'une précision chirurgicale traverse le plancher moisi de la ruine où les rangers sont abrités et explose en plein milieu de l'escouade, tuant tout le monde ! Rheinardt ordonne à ses hommes de faire un détour pour mitrailler les anglais qui se piquent de leur barrer le passage. Dans la fusillade Jenkins perd la moitié de son escouade. Mais ses gars tiennent bon et ne paniquent pas. Pendant ce temps à l'ouest la fumée du bombardement se dissipe et la seconde escouade britannique en profite pour monter à l'assaut des soldats de la Wehrmacht. Au terme d'un bref corps à corps, les allemands sont massacrés et les anglais entrent dans les bois. La route du Poste de Commandement allemand est ouverte. Sergent Gilson, votre bombardement a débloqué la situation ! Le stress du bombardement a obligé le Panzer IV à se rallier et a fait échouer le tir de la MG42. Du coup le lieutenant Davis entraîne également ses hommes à l'assaut de la colline. Une fois au sommet ils abattent le dernier servant de mitrailleuse allemand. Au grand soulagement de Billy et Jimmy, un nouvel avion fait son apparition et bombarde les SS qui se mettent à couvert. Ils perdent eux aussi la moitié de l'escouade. Mais la présence de leur inflexible commandant les maintient opérationnels. D'autant que le Cromwell ne parvient pas à les ajuster dans cette situation. Les hommes de Davis foncent prendre possession du campement allemand. Le Panzer IV tente bien de les abattre mais ils sont trop nombreux. Le fou au mortier refait mouche, cette fois dans le pack anglais sur la colline de Tournesac... et les tue tous, aussi. Sitôt les tirs du Cromwel effectués, l'Untersturmführer Rheinhardt ordonne à ses hommes de foncer tandis qu'il les couvre. Les SS fournissent un dernier effort et investissent la station radar et la font exploser à la grenade. Pendant ce temps, les hommes de Jenkins, trop stressés pour intervenir voient sortir de la forêt un allemand en uniforme noir bien énervé qui les mitraille sans pitié. Ils perdent un soldat supplémentaire sans parvenir à venir à bout de l'officier ennemi. Deux explosions se répondirent l'une à l'autre. Tandis qu'il repliait avec ses hommes, l'officier SS constata que son PC était détruit. De la même façon, le lieutenant Davis vit que la station radar était en flammes. Les deux camps avaient échoué et se replièrent plus en arrière de leurs lignes respectives. Un grand merci comme toujours à Nicolas et Hervé pour leur participation à cette excellente partie.
  20. Salut. En fait pour le coup il n'y a pas de contexte c'est une bataille totalement fictive. On a simplement utilisé le système de points donné dans le bouquin et on a monté les listes le jour même à l'ancienne. C'est vrai que j'aurais pu inventer un petit truc comme la dernière fois, mais j'ai pas eu d'inspiration.
  21. Ce samedi nous avons organisé deux multijoueurs avec les camarades Hervé et Nicolas. J'ai essayé d'ajouter un quatrième larron mais n'ai pas réussi, donc on a fait avec notre nombre impair. L'après midi c'était Pike & Shotte et le soir Bolt Action (qui fera l'objet d'un second rapport). Nous avons fait comme l'autre fois avec Nicolas, c'est à dire qu'on a monter les listes sur le moment à 600pts cette fois. Nous les avons pioché dans le supplément Devil's Playground. Nicolas a souhaité joué les Danois de Christian IV. Du coup Hervé et moi nous faisions deux contingents pour le parti catholique dans la période correspondante. Hervé jouera un contingent espagnol réparti en 2 battalias, tandis que je ferait un contingent bavarois de la Ligue Catholique. La version vidéo est disponible ici sur ma chaîne Youtube, si vous préférez le texte, continuez ci-dessous. Au matin, les armées de la Ligue Catholique et du Royaume d'Espagne affrontent les Danois près de Gänzebrücken. Derrière la colline à l'ouest, le contingent danois. En face d'eux, défendant un des ponts du village, l'infanterie espagnole. Au centre, face à Gänzebrücken, les alliés protestants allemands. En face d'eux, de l'autre côté de Gänzebrücken, le Tercio bavarois près à en découdre. A l'est des mousquetaires et des levées paysannes motivées appuyées par des dragons danois. En face, les catholique alignent leur cavalerie ainsi que deux pièces d'artillerie. Le tercio bavarois avance comme un seul homme avec la cavalerie espagnole. Les troupes d'assaut bavaroises investissent Gänzebrücken. Les premiers tirs catholiques font peu de dégâts. ... mais parviennent à désorganiser un régiment de piquiers allemands. Les danois sont pris au dépourvus et ne parviennent pas à se mettre en ordre de marche. Le second régiment de piquiers allemands décide de charger les mousquetaires bavarois. Mais non seulement ces derniers se défendent bien, mais en plus le nombre conséquent de soutiens dont ils disposent leur accorde la victoire. Les protestants refusent cependant de céder. Durant tout cette partie, ces gars là n'auront pas un étendard de lion pour rien ! Mousquetaires et troupes d'assaut n'ayant pas reçu l'ordre de mouvement à ce moment, tirent sur les troupes d'assaut bavaroises embusquées dans Gänzebrücken. le mortier catholique fait mouche sur les cuirassiers danois qui subissent leurs premières pertes. Toujours incroyablement réactifs, les soldats catholiques passent le pont pour bloquer l'accès du village. Alors qu'ils s'y pensaient à l'abris les troupes d'assaut bavaroises subissent un feu nourri et dévastateurs des tireurs protestants et de l'artillerie lourde. Les pertes sont telles que les bavarois déroutent et s'enfuient ! Point de situation à l'Est. Les levées paysannes sont embusquées dans la forêt Points de situation à l'Ouest La chaine de commandement catholique étant toujours d'une redoutable efficacité (Hervé comme moi, ne cessons d'obtenir "3 mouvements" sur nos ordres) les cuirassiers espagnols fondent sur les dragons protestant pris au dépourvus et les déroutent sans pitié.. Les arquebusiers à cheval espagnols tournent le flanc protestant et tirent sur les mousquetaires allemands, sans trop de résultats. L'artillerie catholique fait feu à son tour et parvient à peine à infliger une perte au canon ennemi. Résultats excellents en manoeuvre... médiocres en tir. En revanche, un des régiment de piquiers bavarois parvient à prendre le flanc des piquiers protestants au lion du Palatinat. Les espagnols se retranchent derrière un talus, attendant les danois de pied ferme. Les bavarois toujours bien soutenus et en supériorité remportent le combat. les palatins ébranlés et désorganisés reculent mais ne paniquent pas. La riposte protestante ne se fait pas attendre. Les levées paysannes, avec leurs pétoires et leurs armes de jet font feu sur les arquebusiers montés espagnols qui accusent le coup. En revanche les mousquetaires et les troupes d'assaut protestants ne bougent pas, se privant ainsi de l'occasion d'entrer dans Gänzebrücken. Toujours dans la plus totale confusion, les fantassins danois ne bougent pas. Les cavaliers, incapables de briser seul la battalia espagnole décident de contourner par la colline. Les combat font rage au centre. L'une des unités de mousquetaires bavarois est ébranlée par les tirs de l'artillerie et des mousquets protestants. Et ce déluge de tirs a une conséquence funeste sur le moral. Alors que les piquiers bavarois sont aux prises avec les palatins et que la victoire est proche. Le général en chef tente de rallier les mousquetaires mercenaires bavarois et échoue. Paniqués par les tirs, les hommes se rappellent ne pas avoir été correctement payés et décident de se retirer du combat ! La règle "mercenaire" vient de faire une victime... Alors que les mousquetaires reculent sous les vociférations du général qui les traite de lâches, les autres piquiers bavarois ne parviennent pas à atteindre les mousquetaires ennemis. L'artillerie n'obtient guère de résultat non plus. Pire encore, les mousquetaires du flanc est passent tirailleurs et chargent la milice paysanne dans la forêt... et échoue à battre ces bouseux sous équipés et sous-entraînés ! Profitant des hésitations de leurs ennemis, les épéistes espagnols investissent Gänzebrücken. Les espagnols à l'ouest voient que les fantassins ennemis font du sur place. Ils sont cependant inquiets d'être débordés et se replacent face à la colline. Retour à l'Est : les arquebusiers montés passent en tirailleur et chargent la seconde levée paysanne dans la forêt....et échoue aussi ! Ces paysans enragés se battent comme des beaux diables alors qu'ils sont déjà tous ebranlés en plus, c'est incroyable ! LA SUITE ICI
  22. Merci beaucoup ^^ Effectivement, je le fais autant que possible le texte + vidéos, mais parfois je manque de temps ou de motivation ? Content que ça plaise
  23. Rapport de la dernière partie entre mes Tengus et le Culte de Yurei dirigé par Nicolas.
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.