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korelion

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Tout ce qui a été posté par korelion

  1. Allez, mettons que j'en serais, mais avec un doute quand même! Je mets Wilheim et Mokthar au courant Korelion
  2. korelion

    Dernier regard

    ben voilà, je m'absente 2 semaines, et on pose un texte? Bon, très bon passage, rien à redire la dessus. J'attend de les voir passer par les tunnels sous la cité de Loup! Bref, que du bonheur! Korelion PS : je n'ai pas utilisé mon frère, il s'est attaqué a toi tout seul! PS 2 : Vive les mercenaires PS 3 : Une ptite vodka Rhum? EDIT J'ai trouvé une Faille!!!! Héhé, Si tu fais allusion au sénéchal Loup Blanc qui trucida je ne sais quel seigneur von carstein, alors que tes vampires descendent tous en droite ligne d'un vampire originellement dragon de sang, il y a problème!! Yes, 1/0 balle au centre... Ha non 2/0 si je me souviens bien, la tête bouge de 10° et je crois qu'elle bouge de 100° :'( Ho Ho Ho Hola Korelion, Ultra Cynique
  3. Sombre Journée : Les Ténèbres sont proches... Longue était l’attente. Face aux yeux fiers mais néanmoins inquiets des soldats de Tir Amroth, une épaisse nasse brumeuse et poussiéreuse renvoyait des échos obscènes, signes fiévreux d’une maladie gangrenée propagée depuis le Pôle et son ancien Portail. Au centre de ses troupes, monté sur son fier destrier et protégé par un double rideau de valeureux nobles elfes, Kaëra scrutait sa ligne. Le mur millénaire qui ceignait la Citadelle n’avait jamais été pénétré sans autorisation, et ce n’était pas ces méprisables animaux passés sous le joug de Slaneesh qui aurait raison de la puissance elfique. Sur sa droite s’élevaient les Monts Lanis, leurs sombres bois résonnaient des cris rauques des terribles fauves de Chrace. Les féroces Lions Blancs, plus ou moins domptés et maîtrisés par ses dresseurs. De la forêt s’élevait aussi des aboiements sauvages et malsains, sans nul doute de redoutables bêtes drainés par les Nordiques. La Nature allait encore lutter contre ceux qui avait quitté sa voie pour la mutation et les combats entres les nobles fauves d’albâtres et les abominables rejetons de Slaneesh serait sûrement sans pitié et bestial. En lisière des bois, cachés par les ombres menaçantes des arbres, un peloton d’exécution n’attendait qu’un ordre pour faire pleuvoir la mort sur les ennemis des Asurs. Les sophistiquées balistes côtoyaient les archers, dans une sérénité propre aux porteurs de Mort. Puis, à partir du mur s’étendaient en une fine bande argentée les soldats de Theldis, mélangé hétéroclite de lances, de haches et d’arcs, dont les prouesses tant maritimes que terrestre imposaient le respect. Le noble Commodore leva d’ailleurs son épée en salut à Kaëra. Au centre, ceints par les gardes de Theldis et ses propres cavaliers, les guerriers de Tir Amroth, nombreux et entraînés, connaissant parfaitement les moindres recoins du mur de défense. Malgré sa faible hauteur, cet astucieux mélange de briques et de marbre blanc laissait place en de multiples endroits à de fines cavités. Leur agencement semblait aléatoire, mais pour avoir lui-même mené les entraînements de ses troupes, Kaëra savait à quel point il était facile de voir cette muraille sommaire se couvrir d’échardes mortelles et acérées, juste avant le contact avec l’ennemi, la pente douce et la faible hauteur du parapet invitant les fous qui oseraient s’en prendre à Tir Amroth à escalader et venir récolter une mort méritée. Mené par le mage Lenthari, ses soldats sauraient repousser les vagues meurtrières qui s’abattraient sur eux. Enfin, sur sa gauche, caché derrière une partie du mur d’enceinte volontairement laissé sans défense apparente, Morthaï et Althar restaient hors de vue avec les plus valeureux guerriers que pouvaient compter la citadelle. Moult vétérans et guerriers aguerris, preuxs cavaliers et soldats de Chrace. Une marée de haches et de lances, prêtes à se déchaîner sur l’océan de fureur qui lui faisait face. Kaëra lança un dernier regard sur la plaine. Le brouillard chaotique s’étendait, s’épandait dans la plaine. Seul un petit point lumineux précédait la sombre fureur sanguinaire. Le regard de Kaëra fut d’ailleurs attiré par cet éclat en mouvement, extrêmement rapide d’ailleurs. Il ne tarda pas à devenir visible et l’on pouvait enfin reconnaître le Prince Fildas. L’allure rapide de son coursier ne tarda pas à le mener à Kaëra. « Mon seigneur, les nouvelles sont mauvaises. » Le ton était très visiblement inquiet « Qu’est ce Fildas ? -Les éclaireurs se sont trompés, Sire, ils sont nombreux, très nombreux. -Combien exactement ? -Des milliers Sire Kaëra, des milliers. » Même le masque impassiblement hautain figé sur son visage ne pouvait masquer la peur imprimée dans l’esprit de Kaëra. voilou voiloi.... Promis, le rapport de bataille suivra.. Non je rigole, mais la bataille, faudra attendre une semaine! Korelion
  4. korelion

    Tan Ath

    Inadmissible! C'est honteux, pour la peine, vu tout ce que j'ai laissé passer comme faute, je jouerais super Uber soft contre le ptit Wilh' pour lui laisser une chance... Blague à part, je suis confus, j'ai tapé vite, pas fait le correcteur et voilà le résultat... Hem... je sais que les Répurgateurs ont mauvaise réputation mais s'ils commencent à massacrer les pèlerins... on parle de fendre la foule... pas de la pourfendre sleep.gif Ben là, c'estplus pour l'image tu vois, genre un "vaisseau" de militaires et répurgateurs pourfendant un "océan" de pélots. Et note qu'avec l'analogie avecl'océan, ça marche Pareil l'image, montrer le coté inéluctable de l'attaque du chaos, enfin bref si ça parait trop fou, je modifierais... Hum, désolé, mais je préfère laisser ainsi, même si ça peut paraitre bancal, je trouve que le cassage de rythme induit bien les évènements futur et permetrra une certaine linéarité avec la prochaine partie. Désolé, je suis fourbe, mais je le dirais pas avant un certain bout de temps Bon, je vous remercie tous pour m'avoir indiqué les quelques (nombreuses?) boulettes. Merci à tous, promis, j'vous fait le reste la semaine prochaine (si l'atmosphère lyonnaise ne m'a pas trop contaminé... ) Korelion PS : Notez que cette faute, comme pas mal d'autres en fait, ne sont pas prises en comptes par Word. Aurais-je inventé un nouveau pronom?
  5. korelion

    Tan Ath

    bon, désolé pour le retard, mais pas de PC la semaine, et obligé de le partager le week end, plus mettre une p'tite bache à ce bon vieux Wilheim (spéciale dédicace ) Bref, j'ai pas tapé autant que je voulais, mais avec un peu de chance, demain, jen ferais un peu plus. Allez bonne (et malheureusement trop courte) lecture Une écoeurante odeur de foi saturée d’encens pénétrait dans ses narines. A demi étouffée par l’obscurité, une chape de silence plongeait sur Klaus, dont la ridicule silhouette se prosternait dans l’immensité de la cathédrale, un point obscur éclairé par les puissants vitraux lumineux, perdu au milieu de l’ocre rougi qui teintait les titanesque murs de granit de l’Arche religieuse. Ainsi demeurait le Capitaine Répurgateur, isolé au milieu des chants tapis dans l’ombre, seul au milieu de sa Foi. Au dehors, Kurt se promenait le long des murs couverts de gargouilles démoniaques plus répugnantes les unes que les autres. Etant encore jeune, le farouche Lieutenant ne goûtait pas encore la méditation qu’inspirait le silence et ne voyait pas l’intérêt de manifester sa foi dans l’élévation de ces tours grises silencieuses. Sigmar ne pouvait sûrement se contenter de lancinantes prières hurlées avec déférence, seule l’action prévalait. C’est au cœur de ses actes que l’on prouve sa foi. Escorté par quelques soldats de foi dévoués, il patrouillait le long de la cathédrale tandis que son supérieur cherchait le repos de l’âme et le chemin Divin. Pourfendant la foule de pieux pèlerins se rendant auprès des moines du Saint Empereur Déifié, Kurt Helborg ne pouvait s’empêcher de s’étonner de la terreur qui martelait les visages, clouant sur les yeux un regard fiévreux et inquiet. La nouvelle était tombée, les troupes de l’Archi Traître venaient de prendre les premiers remparts du Nord, égrenant les solides murailles de soldats qui protégeaient le cœur de l’Empire. Perdus dans ses sombres pensées, Klaus Svarnigsson cherchait la rédemption et la Voie qui lui permettrait de détruire les Ténèbres qui s’abattaient sur le Cœur du pays du Loup. Son serment de détruire l’assassin qui hantait les rues lui rongeait l’esprit, ruinant toutes pensées rationnelles au profit d’une haine vengeresse. Seule la prière lui apportait encore le repos et la sérénité. Au milieu de l’Eglise, Sigmar se décida à montrer le chemin à son serviteur. Les portes latérales s’ouvrirent sur un Klaus déterminé, dont le lourd manteau de cuir noir, ceint par une écarlate bande de tissu, flottait sous l’appel d’air déclenché par sa sortie. Intrigué, Kurt vit son maître se diriger vers lui d’un pas décidé, rabrouant sans ménagement les pauvres fous qui osaient rester sur son passage. Arrivé au niveau de son lieutenant, Klaus ne prit pas le temps d’une explication, se contentant d’un vague : « Suivez moi Kurt. » Les rues défilaient au train d’enfer du carrosse. Dans la cabine, le regard sévère de Klaus imprimait une haine farouche sur son visage. Peu à peu, le tracé du chemin parcouru s’imprimait dans l’esprit de Kurt. Le couvent. Il ignorait encore pourquoi le Capitaine voulait y retourner, mais nul doute que cela était de la plus haute importance. A peine le carrosse arrêté, Klaus sauta et fila à pleine vitesse vers l’entrée. La lourde porte de chêne bardée de fer ne tarda pas à s’ouvrir sous les coups de boutoir de son poing enragé. Sans même saluer la sœur supérieure, il s’élança dans les méandres obscurs des corridors, traversant les allées de tentures à la gloire de Sigmar. Derrière lui, Kurt peinait à le suivre, malgré sa jeunesse. Enfin, le capitaine répurgateur s’arrêta devant une porte. Le tintement métallique de la clé dans la serrure rouillé résonna et se répercuta alentours. De même que le cri de rage de Klaus Svarnigsson. Kurt s’approcha. Devant lui s’étendait le bureau du Capitaine, empli de livres et de bougies, vestiges de nombreuses prières et méditations, ainsi que moult armes et engins de tortures. Rien ne manquait à ce capharnaüm d’acier et de vélin, hormis une arme simple et sans prétention, seul appât d’un prédateur urbain, appât disparu et retourné aux mains de son propriétaire. Perdu dans les égouts, éclairé par les minces filets de soleil perçant les fines grilles d’où s’écoulaient les puanteurs de Middenheim, Kérôme caressait l’étui de cuir dans lequel dormait son seul trésor. Son épée récupérée, il pouvait poursuivre maintenant son œuvre. Non sans avoir retrouvé son maître auparavant. De nouvelles indications lui seraient données. Quelques heures de vagabondages dans l’eau croupie mêlée de crasse, il finit par arriver au dehors, loin des murailles. Devant lui, bercée par une douce luminère apaisante, la plaine s’étendait, serpentant entre les lisières des bois de la Drakwald. Derrière lui, le phare de l’Empire, l’imprenable Middenheim projetait son ombre sur ses domaines. Mais un point retint son attention. Un mince filet de fumée blanche transparaissait dans le ciel azur. Son maître était proche.
  6. Juste une idée en passant. Pour ceux qui veulent lui voir donner un avantage sur l'armée, pourquoi ne pas lui rajouter le même effet qu'une grande bannière chez les démons? Ca me parait sympa et assez fluff, même si je ne connais pas le perso, le petit bout de texte donné semlblait aller dans ce sens Korelion, avant de dormir....
  7. korelion

    Dernier regard

    lol Bon désolé, mais a part du rhum ou de la vodka, je ne vois pâs comment mieux saluer ce passage certes court, mais très bon... Bref, à la tienne! Korelion, qui range un matelas dans un couloir ...
  8. korelion

    Tan Ath

    Manque de temps désolé... Semaine de partiel, bientot en stage donc pas de Pc à portée de main, rapport de Ptut à taper et a rendre pour la fin de la semaine, bref, complet... Mais promis, dès que je peux, je continue, vous inquiétez pas... Korelion
  9. Bon, les caracs : j'approuve les changements, ça me parait bien mieux. Par contre, pourquoi laisser une 3+ au chien? Les meilleurs monstres sont les dragons et eux seuls ont 3+ de sav ! Pour un gros chien comme Rex, je dirais 5+ non invulnérable, pas plus. L'invulnérable au tir, c'est sympa, j'aime bien, mais au close, je dirais pas plus de 5+ de sauvegarde d'armure. Ensuite toujours le même gros problème : Qui sont WHK et Hazaard? Des persos obligatories à prendre en sus, ton général...??? Bref, moi je veux bien qu'elle haïsse le perso qui tuera son amant ou son père, mais faudrait voir à mettre au moins leur profil... tout simplement parceque rex se déplace plus vite qu'Alkalfen. ainsi , l'unité d'Alaklfen peut charger pendant qu'elle envoit Rex défier un autre personnage (rex charge alors vers ce personnage! 18ps!) Mouais, soit, alors je trouve que le Attaque est un peu fort mais maintenant , avec le profil nouveau, ça devient plus tendu de tuer un perso avec Rex donc ok pour moi oui car il est le reflet animal d'Alkalfen c'est un peu la meme personne donc la meme psychologie...mais cela n'influt pas sur le reste de l'unité. Soit, mais met un petit test de panique pour l'unité : Rex rejoint une unité : ALkalfen doit fuir. Rex fuit aussi, mais l'unité, s'inquiète, voyant un féroce esprit animal prendre la fuite, elle sedemande ce qui peut se passer. D'ou test de panique. Ensuite, il reste un détail important. Qui peut jouer avec Alkalfen? Quelle armée? Et enfin, Qui sont WHK et Hazaard??? EDIT : pour répondre à quelqu'un, tu peux utiliser les boutons Quote, tout en haut du menu de réponse
  10. pas équilibrée et en plus beaucoup de défauts : -Qui sont WHK et Hazaard ? Bon, ensuite, gros point noir : profil Alors commencons par cette demoiselle je suis d'accord sur quasiement tout SAUF l'invulnérable 3+ totalement injkustifiée : L'explication est bidon, ou alors, tous mes hauts elfes ont invulnérable 2+ à la base Bref, ça ne va pas Ensuite, le molosse : trop fort, trop endurant, trop résistant et trop méchant A baisser : Cc/F/E/Pv/A/Svg Ha oui etle Cd, le test se fait toujours sur 2D6, alors augmente son Cd si tu veux, mais fais pas faire des test à 1D6 Arme magique : sympa et fluff, notamment le fait qu'elle ne puisse pas taper des elfes! J'aime bien Règles spéciales : ben trop compliqué et trop efficace Déjà, le molosse est trop costaud, en défi, il peut défourrailler pas mal de persos seul Ensuite, pourquoi envoyer un 3 attaques Force 5 alors qu'on peut envoyer un 3 attaque force 6 frappant en premier ? Bref, personne ne fera Attaque, sauf pour attaquer un sorcier qui aurait été protégé par le défi accepté par un champion... Et auquel cas, c'est trop méchant Ensuite, pourquoi on ne peut pas tirer sur le toutou? J'vois aucune raison! Et pour finir, la colle : ... Si Rex protège le général, mais que Alkapfen en fuite. Rex étant dans l'unité du général doit-il fuire aussi, comme indiqué par ?? Korelion, bon, y'a un peu de boulot, mais on devrait rendre ça jouable!
  11. Concernant le système en question, prenons le point suivant : un bon joueur 3 victoire, 30 pts, mais avec une liste nickel 15 pts, va tomber et 15 et pourra tomber contre un boeuf 2 victoire 20 pts 5 de compo.... Bon, je m'y connais pas trop en tournoi, mais faire 3 victoires avec 15/15 de compo, ça me parait bizarre, mais au cas ou, voila un cas ou lesystème tombe à l'eau. Sinon, je suis d'accord sur le principe pour éviter qu'un "bleu" ne tombe contre du boeuf mauvais, mais du boeuf qui lui fera mal. Korelion, ami de soir, bonsoir!
  12. korelion

    Dernier regard

    +1 avec Harald, je pense quand même qu'une armure en gromril même tout stylé qu'on puisse être, c'est costaud. Je rappelle qu'une armure en gromril c'est une cotte de maille, donc résistant aux armes tranchantes genre grosse armes, et une plate, résistantes au petits trucs genre stylet.... enfin bref, on sait très que tu n'aimes pas les brise fers
  13. korelion

    Dernier regard

    Quelques remarques déjà faites : le sol qui saute à coté du nécromant, à part avec une enclume, nul nain ne peut faire de la magie.... La bataille est un tantinet confuse, mais on arrivbe à suivre quand même. Sinon, je trouve les vampires un peu bourrins, surtout le fait que même sans grosse n'armes, ils pénètrent les grosses armures et cottes de mailles sans forcer.... (Faut il te rappeler un vampire tapant sur des nains sans arme lourde , et puis, les nains défendent un obstacle donc ) ) Sinon, c'est toujours aussi bien, et j'attend la suite, en attendant de taper la mienne...
  14. votez pour un refus de liste, parceque je prefère de loin à un truc où tout est crado, mais je comprend parfaitement les limitations imposées. Bref, un no limit why not... Par contre, question importante ? Full peint c'est bien ça? Korelion, défenseur de l'esprit nain Stéphanois
  15. korelion

    Les annales du marteau-monde

    Un condensé à haute concentration de conneries par phrases et par lignes qui fait que l'on n'a pas le temps de finir une anerie qu'on enchaine sur une autre ! Bref, on attend le summum de la débilité et on redemande ! bref, j'ai adoré la fin :'( Korelion, fan à vie ! Et au passage, qui cherche le dealer....
  16. korelion

    Dernier regard

    Ben voilà, on s'absente un peu et en v'là un qui reprend de l'avance ! Bon, ben je vais être obligé de ré-écrire.... Après ce passage non constructif, reprenons : Les descriptions et le style sont toujours aussi fantastiques! Rien à redire la dessus, maître, ke jeune padawan peut aller se coucher.... L'histoire avance quelques peu, on sent que la bataille ne va pas tarder et ler fait d'être au courant de la réelle nature des vampires nous plongent dans une angoisse et un suspens assez sympa, puisque l'on n'attend plus qu'une chose, que les vampires se révèlent au grand jour (enfin, pas tout à fait quand même ) Le caractère bougon du nain lambda transparait assez bien, et le fluff est respecté non pas à la lettre, mais pas loin.... La description des Vrises fers (puisque je suppose que c'est d'eux dont tu parles au début du texte...) est assez impressionnante et est mon passage préféré ! Pour tout dire, tu pourrais faire doper els ventes de Brises fers de GW dans les semaines (lol) Korelion ps : on sent tout le respect que tu éprouves pour les coffres forts :'(
  17. korelion

    Decaper

    Indispensable!! Mes doigts s'en souviennent encore. La soude attaque la peau et forme des trous, assez douloureux!! Concernant le destop, parfois, il n'enlève pas la sous-couche et les peintures trop platrées... Faites attention la dessus, c'est bien, mais pas ultime! De plus, le Destop Soudé dissous la colle cryanolate (comunément appelée Glue!!)... Ca peut aider ou pas, donc faites gaffe Korelion
  18. merci à tous m'apprendras à vouloir trop en écrire Bon, pour pus, je ne sais trop, le correcteur n'accepte ^pas "put", alors je l'ai suivi, mal m'en prit.... L'accord, mea culpa désolé Désolé, ^problème de copier coller, et à 11h du soir, j'avaius la flemme, ce sera chose faite incessament sous peu. Par contre, pour faillir, j'ai un doute, vu que tous els Elfes n'ont pas faillis, et qu'en plus, n'étant institué d'aucune mission, ins ne pouvaient avoir à faillir, j'hésite beaucoup. Flancher me parait mieux du point de vue du sens du mot. Ce à quoi je ne peux répondre que De rien, vu la qualité des Vents de Destins, cela me semblait nécessaire. Qui plus est, dans le sens ou je m'insire pas mal de ce texte, il me faut le signaler, au même titre que le style de Wilheim n'est pas pour rien dans la qualité de ce texte. (à ce propos, je te redemande l'âge de ton plus vieux vampire s'il te plait, j'en ai besoin ) Sur ce Korelion, qui s'en va éditer son précédent message EDIT : Texte edité et corrigé
  19. Allez allez, j'avais 3 heures à perdre ce soir, alors j'ai pondu dans les 2.5 pages Word, soit 2 fois plus conséquent que les autres passages.... Sombre Journée : L'obscurité s'approche... Le long de la plaine verdoyante balayée par les vents salins, l’Ost veillait tandis que la Soleil s’élevait haut dans les Cieux, poursuivant de sa céleste destinée les sombres nuages du Nord. Le long des murailles de pierre taillée, une ligne scintillante de mailles et de heaumes mêlés de plumes voletait dans le cliquetis silencieux de l’Ithilmar s’entrechoquant. Devant elle, une épaisse fumée noirâtre s’étendait, s’épandait telle une plaie souillée dans la vallée menant au contrefort rocher de la falaise. Devant cette muraille de reflets d’acier bleuté, la Citadelle de Tir Amroth, enrobée dans son habit de verdure jaunissant sous les assauts répétés des vents froidis par l’automne protégeait les abîmes et la petite passe à travers la falaise. La mince coupure bordée d’un talus de roc opalin serpentait le long du mur rocailleux, avant de venir s’heurter contre la jetée de bois et ses docks ornementés. Enfin, les rondins d’arbres bruns de la passerelle venaient s’échouer, escortés par un long corridor de bateaux, contre un pic rocheux soutenant une frêle statue d’Isha, ultime recours des marins d’Ulthuan avant d’affronter les tumultueux flots des Sept Mers. Dans son armure d’or, Kaëra contemplait la plaine, sa cape de Lion voletait le long des vents porteurs de biens tristes présages. A travers eux mugissaient les puissants mais redoutables zéphyrs, les huit prophètes du pouvoir que les Asurs maîtrisaient tant, mais qui ne restaient inféodés qu’à leurs obscurs géniteurs et maîtres. Mais en ce jour, l’un de ces terrifiants colporteurs de puissance rugissaient plus furieusement, alimentés par la rage et la colère de milliers d’âmes damnées et serviles, soumises entièrement à un tourbillon de plaisir et d’étreinte. Le noble Asur pouvait sentir le pouvoir de ceux qui vénèrent le Prince Noir, les horribles humains, qui dans leur soif d’ambition, succombaient au même péché auquel ses tristes cousins s’étaient adonnés sous l’égide du sombre Malékith. Le Vil Prince du Plaisir savait si bien conquérir les cœurs des mortels, vulgaires singes velus ou fiers fils d’Asuryan. Loin devant lui, un brouillard malsain faisait écho aux rumeurs aquatiques, empêchant le regard de pénétrer et cachant outrageusement les horreurs qui souillaient Gaya par leur abjecte présence. Mais cela ne pouvait entamer sa détermination. Rejoignant prestement son fidèle Nilarion, il l’enfourcha et se rendit aisément vers ses capitaines, portés par les longues foulées du diligent coursier, filant le long des rangées de soldats et de boucliers. Il ne lui fallut pas longtemps pour passer devant le muret qui protégeait Tir Amroth des horreurs extérieures, sur sa gauche défilait moult couleurs et reflets, ornant boucliers étendards et bannières, alors qu’à sa dextre, le nuage ténébreux s’approchait toujours plus, accompagnés par un triste vent porteurs d’écho maintenant audibles, amenant une lancinante et déroutante mélopée à la gloire de l’Obscur. Mais nul guerrier ne flanchait, résistait aux attraits comme aux appels, chacun, lance à la main fermait les yeux ou priait en silence, opposant une arrogance protectrice aux déchirures sonores qui les agressaient. Kaëra s’enorgueillit de sa garnison. Leur bravoure et leur loyauté sans faille au trône du Phénix leur avait déjà amené récompense et honneur, que ce soit face aux misérables avortons porteurs de barbes ou contre les déchus frères de Naggarythe. Mais en ce triste jour, il leur faudrait une nouvelle fois lutter contre les hérétiques adorateurs des Sombres Dieux, et du plus insidieux d’entre eux, celui qui su faire flancher même les Elfes. Arrivé auprès de ses lieutenants, Kaëra posa pied à terre. Nombres de nobles guerriers siégeaient là, cherchant le meilleur de sauver le plus de vies elfiques dans la victoire. Parmi eux se trouvait le Commodore Theldis, dont l’œil et l’arc acérés firent chuter plus d’une vie dans les abîmes de l’Enfer. Ses fiers habits de soies vertes parsemés de foulard gris portaient gracieusement la marque des Havres de Lothern et de l’Epervier Dalthor, qui devait ramener Kaëra et sa Dame en Yvresse. Non loin de lui, Lenthari et Althar plaisantaient, leurs longues robes cramoisies enveloppant des corps meurtris par les siècles d’études dans le dédale de la Blanche Tour. Althar notamment, s’illustrait par son aspect moribond qui arrachait sans cesse des cris de frayeurs aux servantes de Dame Luthien. Sous l’épais capuchon bordé de runes changeantes, des yeux pernicieux plongeait dans l’âme, scrutant tout mensonge et peur pour mieux les retourner contre son propriétaire. Kaëra avait déjà eut à subir cet interrogatoire secret et silencieux, et seul son prestige et son arrogance le sauvèrent du regard inquisiteur. Seul Lenthari semblait pouvoir s’accommoder des yeux d’Althar, et les deux mages discutaient couramment, riant parfois aux grands éclats. D’où il était, le noble maître de Tir Amroth comprit que la discussion allait bon train sur qui des deux mages lancerait le plus beau sort. Balayant du regard les autres vétérans, il put distinguer le perfide Morthaï, dont le titre de grand prince ne provenait que de longues et subtiles intrigues dont les cours d’Ulthuan semblaient de plus en plus friandes, malgré le désastre de la Déchirure. A ses cotés, l’austère Haut Prince Fildas dont l’armure lumineuse provenait des trésors amassés lors de la Guerre de la Barbe, où il s’illustra par une charge téméraire et pourtant glorieuse de ses compagnons heaumes d’argent contre tout un clan nain sortant de Karak Korgi, dont les ruines dévastées rappelaient à quiconque la puissance sacrée des Asurs. Fendant la foule de seigneurs dispersés, Kaëra se dirigea prestigieusement vers une mince table d’argent, sur laquelle figurait une carte de vélin léger. A son passage, tous se retournèrent et le suivirent, formant un rapide convoi cliquetant et scintillant. Enfin rassemblés, ils entourèrent le Seigneur de la Citadelle de regards, certes inquiet, mais néanmoins confiant. Cela n’était pas pour rassurer Kaëra, dont les dernières nouvelles l’avaient poussés à laisser sa garde de bûcherons chraçois au castel. « Allons, pourquoi tous ces sourires ? -Messire Kaëra, Theldis s’avança pour parler, nos éclaireurs ont pu rallier la ligne, et il semblerait que nous ayons surestimé le danger présent. -Combien ? -Moins de cinq cent d’après mes hommes, annonça Fildas. Et beaucoup en vulgaires tuniques de bêtes sauvages. Nous les broierons sans souci. » Il n’en fallut pas plus pour embraser le regard de Kaëra. « Commandeur Fildas ! Les nôtres croyaient eux aussi que nul nain ne pourrait pénétrer Tor Alessi. Voyez où trône la couronne désormais. J’exige plus de méfiance, les humains n’ont beau être que de stupides animaux, ils n’en restent pas moins des bêtes féroces aux combats, surtout ceux qui se sont tournés vers les ténèbres. » Un froid traversa l’assemblée, les regards joyeux se figèrent et un silence glacial s’installa. Le regard de glace de leur seigneur suffit à calmer l’ardeur des plus aguerris. Reprenant enfin la main sur son conseil de guerre, Kaëra laissa s’écouler une longue minute, avant de reprendre : « Passons maintenant aux ordres de combats. Combien sommes nous ? Où les miliciens sont-ils disposés ? Je veux que les archers soient impérativement fournis en carquois et que les balistes attendent mon ordre pour tirer. » Alors tout d'abord, petit hommage à un texte fort beau et dont la suite s'annonce au moins aussi bonne, les Vents de Destin d'Erdraug ( spéciale dédicace en début d'extrait ) Ensuite, je remercie chacun d'entre vous pour vos commentaires, même si je poste peu à chaque fois, au moins, c'est constant (tout du moins ces temps ci ) Pour finir, gros remerciements à mon maître, Wilheim (maître seulement pour l'écriture cekla va de soi, je ne cautionne pas toutes interprétations dérivant sur els scores ) Dont je reconnais m'être plus qu'inspiré et je m'excuse de ceci Sur ce, Korelion, elfe crevé, pas trop dormi, qui doit peindre 2 balistes dans la semaine et puis, 22h38, faut y aller Bonne nuit War-Forumien!
  20. Bon,j'avoue, c'est un peu limite,mais ça passe non? Alors, je m'explique : j'écris par petties doses en général, donc même en temps normal, mes textes se postent par petites quantités (histoire de ne pas mettre la charrue avant les boeufs....) Mais là, les deux derniers postages, sont encore plus courts pour 2 raisons La première, c'est qu'en début et fin de vacances, j'ais pas trop de temps, mais bien le gout d'écrire, donc texte court La deuzième, c'est pour le dernier extrait qui est plus que court, et je m'en excuse, mais vu que il y avait d"jà plusieurs personnes à me faire remarquer l'aspect un peu enchevtré du texte, j'ai préféré vite écrire ce petit passage afin de clarifier un peu, et d'ajouter le résumé en italique pour que personne ne se perde trop... Par contre, promis, le prochain passage sera plus que conséquent
  21. A priori, mes textes ne sont pas terès liés puisque nombreux semblent s'y perdre. Donc, j'ai vite pondu ça pour remédier à ce fouillis monumental... Bref, une petite suite pour essayer de ne pas trops e perdre... Où la Veille rejoint la Journée Au petit matin, Luthien s’éveilla avec les cris d’alarmes des sentinelles, annonçant un grand péril. La fidèle Nessa veillait déjà, une robe bleu pâle à la main. Prestement, la Dame Elfe se fit vêtir et s’élança telle une brise azur dans les méandres des escaliers finement sculptés. Les barreaux de marbres blancs soutenaient le souffle léger de la course de l’Elfe, suivie de près par Nessa. Les deux elfes ne tardèrent pas à arriver dans le salon de la citadelle dans lequel régnait une inquiétude prenante, fixée sur tous les visages. Au centre du dallage d’albâtre mêlé de pourpre, une grande table ciselée d’or avait été disposée. Autour s’affairaient moult soldats et capitaines, ceints d’armures travaillées et décorées. Tous s’inclinèrent à l’arrivée de Luthien. L’un d’eux s’avança immédiatement, un air sombre obscurcissant son visage. Il semblait pris d’une grande inquiétude, ses traits déformés par une peur sans nom, bien loin de la joie simple qui éclairait ses yeux dans le jardin, la veille. « Kaëra, mon tendre, que se passe-t-il ? Les cors d’alarmes ont résonnés et la garde s’active. -Luthien, le temps nous est compté. Les éclaireurs nous ont averti dans la nuit de l’arrivée de Mong Kheis vénérant l’Ennemie. Nos marins ont stoppés l’embarquement et nos miliciens se préparent. Je ne peux me permettre d’assurer ta sécurité, je te laisse sous la protection de Feltha, l’époux de Nessa et de ses Gardes Lions. » L’un des capitaines s’avança, une longue cape de fourrure blanche dépassant d’une de ses épaules. Sa longue hache ornementée heurta le sol tandis qu’il posait genou à terre devant Luthien. Un vague sourire éclaira le visage de Nessa, alors que Luthien retournait son salut au soldat. « Soit Kaëra, promet moi juste une prudence exemplaire. -Je le jure devant Khaine le vengeur. Maintenant, retourne dans ta tour, tu y seras en sécurité. » Luthien s’éloigna alors, suivie de près par Nessa qui jetait d’incessants regards émus vers Feltha. Derrière eux, la mélopée chantante des voix elfiques reprit, enchaînant de violents débats sur la stratégie à adopter, qui passerait malgré tout pour une berceuse enfantine aux oreilles non averties. De retour dans sa chambre, Luthien s’élança vers le balcon et son jardin encore fleuri. Une brume maritime s’avançait vers la Citadelle, portée par une brise gelée. La dame Elfe laissa Feltha placer ses soldats, les lourdes haches des natifs de Chrace tranchant meubles et sol pour mieux se préparer à un éventuel assaut. Elle s’avança vers son rosier noir, sa toute dernière création, son plus beau chef d’œuvre. Malgré le gel précoce de l’automne, malgré l’iode et le sel de la mer, les fleurs ne fanaient pas, étoffant le sinople des feuilles d’un tapis obscur de pétales cendres. Luthien se saisit d’une des fleurs, ses doigts tremblaient sous la peur de la journée qui s’annonçait. Non qu’elle ne doute de leur victoire, de simples humains ne pouvaient rivaliser avec la puissance des Asurs, mais nombres de vies, d’étoiles s’éteindraient dans le firnament en ce jour. Une sombre journée s’avançait sous les pâles rayons du Soleil. Voila, donc je précise, ceci n'est pas grand choses, mais c'est pour vite éviter que tout le monde ne se perde dans les méandres de mon cerveau enfumé Donc mettons les choses au clair : Luthien, et celui qui s'appelle Kaëra(je rappèle que nul nom n'est choisi au hasard ) était dans le jardin la veille, ils rentrent, Nessa prépare le bain. Le lendemain, comme marqué ci dessus, quelquechose ne va pas.... Ensuite, et comme marqué dans le premier extrait, visiblement, els elfes n'ont pas gagné, et les chaotiques de slannesh (et non des Druchiis....) ont fait des prisonniers (Luthien, Nessa et un soldat) Le général chaotique (Mokthar( spéciale dédicace )) tue le soldat dans la charrette, puis, s'en va vers ses troupes car quelquechose ne va pas non plus.... Bon, j'en ait peut être trop dit, mais je prefère que ce soit comme ça afin que personne ne se perde en route... Korelion EDIT : Déjà 1008 messages en moins de 9mois? Je floode ou pas?
  22. korelion

    Dernier regard

    Ben voilà, je pars 7 jours et on attaque une forteresse naine?! Bon, le style est toujours aussi bon, les fautes ont déjà été relevé (ce qui m'évite d'avoir à le faire....) Concernant la narration des vampires, c'est vrai que comme le dit Jorgar Heise, ce n'est pas vraiment en adéquation mais bon... Korelion ps : laquelle de tes vampires (féminines bien sur....) est la plus agée?
  23. Mais non, là c'est juste parceque j'avais pas trop le temps, je partais en vacances.... mais promis, entre 2 pistes, j'ai réfélchi à ce que je pouvais mettre après... Korelion, merci à tous au fait!
  24. Allez, je suis dans un bon jour, et je pars pour une semaine, alors une petite suite comme demandé! Les Songes Insinueux La brise s’insinuait en même temps que les deux elfes dans l’intérieur teinté de chaleur du palais, le courant d’air froid s’enroulant le long des tentures rouges, les emmenant et les envolant le long des murs. Le couple s’avançait prestigieusement, emplissant la salle d’une prestance affichée. Ils s’approchèrent de la cheminée d’albâtre, d’où une providentielle chaleur s’élevait des flammes dansantes, voletant vers les mains gelées, arrachant un sourire de bonheur à Luthien. Emergeant telle une ombre muette, Nessa glissa vers sa maîtresse mue par le devoir et la bienveillance. « Dame Luthien, dois je faire préparer votre bain ? » Surpris par l’apparition de Nessa, Luthien retira ses mains de l’âtre, saisissant instinctivement son châle bleuté en un réflexe de protection. « Ha, oui, Nessa, faîtes donc, j’arrive bientôt. » Tandis que sa servante s’esquivait dans les méandres du couloir, la Dame Elfe se tourna vers son galant, apposant sur lui une caresse du regard. « Allons Kaëra, pars donc. Demain, les flots bleus de la Mer nous ramèneront en Ulthuan. -Et nous retrouverons enfin le havre de paix d’Yvresse. Oui, cela ne saurait tarder. Bonne nuit Luthien, que Moraï Heg protège tes songes » Alors que le guerrier s’en allait dans les tintements métalliques si légers et pourtant caractéristiques de l’Ithilmar, Luthien s’approcha de la fenêtre. La bise glaciale du Nord s’abattait magistralement sur la silice fondue aux couleurs de la Citadelle. Du haut de sa chambre, la cour de la forteresse grouillait de soldats portants torches et flambeaux au milieu des ténèbres qui tombaient. Le ballet lumineux ainsi crée s’étendait du port en pierre taillée à l’enceinte de Tir Amroth, formant une mince ligne dorée dans le paysage. Arrimé comme un fragile cocon à sa branche, le fin épervier se laissait engraisser de caisses et d’amphores, fruits du commerce avec les primitives tribus humaines. Ainsi, une ribambelle de provisions et artefacts circulaient, tissus riches et soyeuses côtoyaient des peaux de bêtes et de monstres divers. L’elfe laissa le spectacle au dehors au profit de la chaleur qui s’épandait dans la pièce, agrémentée d’une délicate odeur de parfum de rose. Le bain semblait prêt. « Luthien » L’appel n’était guère plus audible qu’un murmure, mais le prénom prononcé avait fait vaciller la chambre et son univers. Elle se retourna, cherchant une cause à ce trouble de l’ordre des choses. « Luthien » Cette fois-ci, le nom semblait prononcé avec plus de vigueur dans la voix, comme un cri de détresse secouant les murs, les laissant prendre une inclinaison douteuse alors que les meubles se distordaient sous l’effet du cri déchirant. « Luthien, réveillez vous ! » La dame Elfe sursauta. Les cris n’étaient donc que ceux de Nessa, et la vue de sa servante apeurée au milieu du chariot démoniaque arracha un cri de panique à Luthien. « Par Asuryan le Tout Puissant. Désolée Nessa, je m’étais assoupie. Je songeais. Hier encore, tout était beau et froid, nous allions partir pour le Monde Dragon, et aujourd’hui, tout n’est que désespoir. » Voili, bon, pour ceux qui n'auraient pas saisi, parceque faut dire que je suis pas très clair, ni dans ma tête, ni dans le texte. le jardin tout ça, c'est du flash back ok? et accessoirement, les prénoms des personnages ne sont pas du tout choisi à la légère Korelion, intrigueur professionnel
  25. korelion

    Les annales du marteau-monde

    puisque l'auteur aretrouvé son dealer pour nous pondre des commentaires sur nous même plus que tordant, il trouvera bien un petit rail pour nous continuer ce texte non? Korelion
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