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korelion

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Tout ce qui a été posté par korelion

  1. Destop Au pouvoir!! Ce sera tout pour aujourdh'ui! Korelion, qui pense que l'occaz', de toute façons, vient de GW au départ, donc....
  2. Tu peux le mettre ici s'il n'est pas trop long, sinon, autant faire un lien dans le post ici et poster le Background dans Récit Fantastique. Promis je répondrais là bas! Korelion, squatteur de Récit
  3. Pas besoin, suffit d'habiter dans la plaine, à 30 km de saint étienne, qui est loin d'être une ville de fêtes (sauf les jours de match! Allez Les Verts!) Hélas, trois fois hélas, c'est un minimum et mêm maintenant, une douce utopie,mais là n'est pas le sujet Commel'a dit Gobbo le Rouge, même et malheureusement surtout, dans les étudiants bouersiers, il y a des fumeurs (et trop souvent gros fumeurs, bon sang, arrête donc de fumer toutes ces m.....! ) quand à sortir, oui, tout le monde ne sort pas, moi et mes potes on n'est paslesplus pauvres du monde d'accord, mais tu trouveras beaucoup,mais alors beaucoup de monde qui appartient soit eu fumeurs, soit aux bringueurs dans les étudiants, même de classe sociale pas aisée.... Même pas surpris! Et encore, j'ai fait allusion au clope, mais y'en a pour qui y'a aussi le shit. Et là aussi, ça douille! Pourtant, les rasta demon lycée meprenaient pour un barge quand ils regardaient le prix des boiites de régiment (qui à l'époque étaient à 160 francs...) Korelion
  4. Mort de rire ! Et ça : C'est quoi alors? Bon, ben oui, je dois avouer que j'ai voulu faire un peu pareil, et y'a apas diore, le jeune (enfin, plus vieux, mais bon...) Padawan n'a pas (et loin s'en faut!) attteint le niveua du Maître... Bref, merci bien pour le compliment, venant de toi, ça vaut lourd! Heu pas du tout compris ce que tu voulais dire là? tu peux préciser Ne t'inquiète pas, si tu relis attentivement le dernier passage (notamment sur le nuage de fumée.... ) tu comprendras vite ce qui adviendra des Slaneeshis... Korelion, voleur de Copyrigth de pseudo....
  5. korelion

    Dernier regard

    Comme quoi, suffisait de demander... Bon, ben l'action s'enchaine, logiquement et assez bien, même si après l'intermède sigmarite, la monotonie du voyage surprend Un point de détail bizarre, tu ne nous avais pas encore parlé de ces jarres de sang? Par contre, j'aime bien l'introduction de ce rêve (qui accessoirement, te permet de renouer avec ton style préféré, la description...) Bref, l'intrigue se noue encore et encore. Sinon, toujours aussi bien, pas grand chose à redire si ce n'est sur la courtitude du texte (la moindre blague vaseuse serait sancrtionné d'un coup de hache.... ) Bref, que du bonheur Korelion, a ton tour! ps : Alors, je fais quoi des zombie set des rats, je laisse Sky s'en occuper ? Promis, je te les amènes vendredi
  6. Et bien non, oas forcément, puisque dans une unité de plus nde 5 figurines, il est insnipable.... Mais bon, là n'est pas le sujet.. Je pense aque maintenant, ça parait moins bourrin, faudrait plus que le tester sur la table et faire le background Korelion
  7. korelion

    Dernier regard

    Alors mon Willou, tu t'endors sur tes rosiers.... oups, lauriers ( ) Bref, petit up pour un texte, parce qu'il le vaut bien Korelion Au fait, j('ai un champion skaven et un bouclier et une zombie qui dorme chez moi, je fais quoi, je les revends?
  8. Ouf, j'ai eu peur ! Le Feu d'enfer ne fait pas d'attaques enflammées.... Donc exit les princes dragons surbourrins (un moment, j'ai cru être passé à coté de quelquechose d'énorme:! ) Comme tu l'as dit Bon, on est d'accord la dessus, reste que l'épée pour un simple fils de Duc même pas héritier, reste un peu trop costaude! Il est fils de Duc mais mercenaire donc sans attaches... Alors pas de grosses fournissures, ni en hommes, ni en matériel! je pense qu'on ne vas épiloguer plus longtemps sur le Chevalier de Sinople (trè_s beau d'ailleurs ) son gros inconvénient par rapport à ton Richard est qu'il ne peut pas rejoindre d'unité (sauf erreur de ma part, je n'ai pas eu bien le temps de voir les règles dudit chevalier....) Korelion, allez, plus qu'à se mettre sur le prix de l'armure et de l'épée et on est bon
  9. Désolé, pas d'accord, un cavalier léger, ça veut dire, léger, et donc, pas la grosse n'armure à bandes qui est loin d'être ce qu'il y a de plus leger. Pour moi, je lui donne 4+ grand max, mais pas mieux. Concernant le cheval, le problème est qu'il est quasi aussi fort que celui de Tyrion, donc problème, Malhandir est le meilleur de tout les chevaus, et le dernier des siens, donc pas d'autres coursiers aussi bon. En baissant la force on devrait arriver à quelquechose de mieux Korelion
  10. Désolé, je n'ai pas pris le temps de tout lire, mais un point m'a fait sauté au plafond et m'a imposé cette réponse rapide Vraiment ? J'ai fait le calcul avec des potes qui fument (et pas énormément encore, ils se sont calmés. Le paquet de clope est maintenant à quasi 5€. Ils fument leur paquets par semaine, voire le 1.5 ou 2 , mais comptant un paquet 4 semaines = 4*5 = 20 € Et c'est halucinant le nombre de gens qui fument ne fut ce qu'un paquet par semaine, alors pour le luxe d'avoir 20/30 euros à passer dans le mois tu repasseras . La question n'est pas dans le luxe d'avoir 20/30 euros à claquer par mois, en étant réaliste, beaucoup de monde a ce luxe, ne serait ce que les fumeurs. Je passerais sur ceux qui font au moins 2 virées en boites par mois souvent avec une bouteille (soit, rappelons le 70 € pour 6 personne environ par là ou j'habite) Comme quoi, rien que dans les étudiants lycéens, nombreuxx sont ceux qui ont ce luxe "rare" de claquer 30 € par mois. La grosse différence entre le hobbyiste et le fumeur/fétard (souvent les 2 ) c'est que le hobby consiste souvent en un seul gros achat par moix, voire tous els 2 mois, ce quie st plus impresionnant que 5 € par jour ou 10 € par week end! Accesoirement, je suis hobbyiste, fétard avec des pass privilèges ou des entrées gratos avant minuit, et quand je vois ems potes hurler devant mes courses chez GW, je leur demande le prix du paquet.... La question n'est donc pas d'avoir le luxe, mais de se dire que claquer 5€ par semaine, c'est pareil que 20 par mois, sauf que tes 20 par mois, ils durent plus longtemps ..... Korelion, si tout les étudiants français fumeurs se mettaient à GW, GW france deviendrait la succursale la plus importante d'Europe....
  11. Un peu trop bourrin pour le cout en point D'une réduis les tirs de l'arc, bien trop fort! De deux, un cavalier légér, ça reste un cavalier léger, donc sav à pas plus de 4+... Ensuite, la règle du cheval est sympa, assez brute puisque peu peuvent lancer la vie, mais très fluff et marrante... Pour finir, baisse un peu le profil du cheval et ce sera bon pour moi! Korelion
  12. Dois pas jouer avec les même dés alors... Certes, mais même une machine de guerre protegée (genre sur une colline ) part avec +1 déjà... et rare sont les machines de guerre sans une petite unités pour aider (genre arquebusiers nains ou choses du genre....) Mea culpa pour archaon, mais bon, ke principe est le même avec Galrauch et autreshéros sur monstres... Sinon déjà comme ça, ça passera mieux, la règle est mieux et moins bourrine, quand aux choix, ils sont plus adaptés ! Je me répéte, rentable mais fragile, il est vulnérable face à 2 ou 3 petites listes, mais l plupart du temps, pour 400 points, lui et son unité seront excellents ! Alors oui, c'est sur que face à une liste gob full fanatique, il va souffrir, mais avec tes règles, rien n'emp^che d'envoyer quelques pégases suicides et laisser les fantiques faire leur oeuvre chez l'ennemi, tandis que Richard s'occupe des gros trucs genre géant et autres... Pour les suggestions, d'accord avec Neo Sinister
  13. Seulement contre les attaques magiques! Parceque t'en connais beaucoup des choses qui tiennent face à 2 feu d'enfer?? A part des éthérés je vois pas, alors pour la comparaison tu repasseras... Oui mais lui, il meurt avec larésolution de combat.... Mouais, et encore t'es super généreux je trouve Et c'est bien ça le problème, c'est que l'on a le choix! donc plus rentable!!! Encore heureux Attend, parcequ'en plus, il ne prend qu'un choix de héros? Mais sérieusement, est ce que tu te mets à la place de l'adversaire ? Tu as un héros qui peut quitter ou rejoindre une des unités volantes les plus bourrines qui soient, le héros à lui seul ne vaut rien et met archaon Ko en un round de combat et ça pour un choix de héros et de rare ? Même la Faucheuse de Gob, pourtant 2* moins cher est surement moins rentable! Prend un joueur nain qui aligne cette unité, mais l'adversaire ne peut que pleurer! Tiens, j'avais même pas fait gaffe à ça, le comble de la porcasserie.... Franchement, ça part d'un bon sentiment, les foig sont belles oui, mais là, moi, c'est simple, je refuse de jouer contre, et même de jouer avec tellement le perso est rentable, fragile, mais super rentable....
  14. Et si Rien que l'adversaire devant relancer ses jets pour toucher réussis, ça vaut 75 points! Comptons, environ, 25 points pour les jets pour toucher, et 25 pour blesser Donc 75 pourt les jets pour toucher et mettons 25 pour blesser A cela, 30 points d'invulnérable 5+, 15 points parceque en plus, c'est une armure lourde et que tu as le choix, et on a 195 Mettons que j'y sois aller fort, et retranchons 50 points, on reste quand même à 145 point!! Ensuite, ben il est surpuissant et super pas cher, vraiment, toi, personnellemenrt, tu jouerais contre un perso pareil? Korelion
  15. Suite de Sombre Journée, au coucher du soleil Luthien caressa lentement les cheveux d’or de Nessa. La mort d’un Elfe était toujours un évènement douloureux, mais si celui-ci était l’être aimé, aucun mot ou geste ne pouvait traduire la souffrance qui pouvait saisir l’Asur. Une fine et délicate brume attristée apparaissait aux contour de ses yeux, enveloppant le bleu ceint de nacre d’une mer de compassion et de regrets. Petit à petit, les sanglots irréguliers et discontinus qui s’emparaient de l’Elfe autrefois radieuse projetaient le mince cerceau d’eau vers l’extérieur, cherchant à repousser la tristesse humide alors que son esprit luttait pour les garder, éviter qu’elles ne s’en aillent. Les larmes finirent par se laisser guider par la peau, s’écoulant maintenant le long des joues blafardes, blanchies par la peur. Contre elle, Nessa n’osait ni ne pouvait se retenir, évacuant à chaudes larmes la souffrance qui la possédait. Ses doigts se crispaient sur la robe de soie pastel de Luthien, cherchant un maigre réconfort dans la douleur de ses articulations. Une idée fixe commençait à l’imprégner, étreignant son âme comme les bras de Luthien contre elle. Ses yeux se replongèrent sur les menues tâches de sang éparpillées sur le sol, vite recouvertes par les immondices vivantes qui hantaient la carriole. Les démons se plantaient sans peur contre les échardes métalliques qui parsemaient le sol, derniers vestiges de la flamme d’Asur qui s’était éteinte devant elle. La haine la submergea, emplissant son cœur de noirs sentiments, d’envie de violence et de colère. Au nom du panthéon entier, le serviteur des Dieux Noirs payera pour la mort de son amant. Sur son destrier, le guerrier en armure noire portait d’une main ferme le corps de l’elfe. L’allure rapide et sournoise de la bête chevauchée lui fit se frayer un chemin dans le train de prisonniers. Certains portaient encore les cottes de plates métalliques et silencieuses qui les avaient protégés dans la bataille. Mais les petites lamelles de Mithril si étincelantes et brillantes auparavant rougeoyaient maintenant sous les tâches de sang brunies par la coagulation, leur frottement régulier entravé par les monceaux de terres et de chairs projetées. Passant auprès de l’un d’entre eux, le guerrier lui décocha un grand coup de gantelet dans le visage, lacérant la peau fragile de l’elfe sous les lames d’acier qui protégeaient sa main. Un sourire sadique le submergea alors que l’Asur lui lançait un regard des plus noirs. Le guerrier s’éloigna et jeta le corps inanimé de sa victime à travers les tentures ocre et mauve qui camouflaient l’un des chariots. Les runes obscènes apposées sur les tissus écorchaient les yeux, et nul prisonnier ne pouvait voir le corps de leur défunt camarade voler dans les voiles sombres, arrachant l’un d’entre eux et exposant à la Soleil un chevalet sombre cerné de fines volutes d’air brûlant. « Seigneur Mokthar, les éclaireurs indiquent une fumée au Nord » Le guerrier se retourna vers le soldat qui l’avait interpellé, son regard s’embrasa sous la colère. « Bien, soldat, fais mener les vétérans à l’avant-garde. » Dans la masse informe et grouillante de prisonniers, un elfe en manteau sombre s’approchant de son camarade mutilé par le gantelet d’acier. Vérifiant que nul ne pouvait l’observer, il posa sa main sur la blessure et murmura d’inaudibles paroles. Instantanément, les griffures douloureuses s’évanouirent, laissant de nouveau place à la beauté du visage elfique. « Merci Lenthari » Voilaà, A+, bonne nuit a tous et bonne lecture, si vous êtes encore debout
  16. korelion

    Tan Ath

    Voili voilou, avec un peu (beaucoup de retard), la suite des aventures.... Du haut de sa fenêtre, Kulgar contemplait son jardin, illuminé par les rayons faiblard de Morsliebb. Le pouvoir montait en lui, tel un tourbillon de satisfaction. Sur son secrétaire, un parchemin plié par la joie malsain qui l’occupait trônait fièrement, porteur de bonnes nouvelles. Ses doigts enserrèrent la chevalière mauve qui ornait son index, seule preuve invisible du coté sombre qui s’emparait de lui, lentement et insidieusement. Sur le vélin, de fines lettres courbées, d’une écriture rapide mais distinguées, signalait la mort abominable du Sieur Merwinn, décédé lors de l’évasion d’une bande de fous furieux échappés de l’asile de Sigmar. Le président regretté de la Confrérie de l’Harmonie venait de mourir et la place ainsi libérée ne saurait vite tarder à être disputée. Et pour évincer ses adversaires, il lui faudrait vite convoquer les autres membres. Une ombre attira son attention, la fugitive sensation que quelque chose pénétrait son domaine. Les yeux plissés, il s’efforça de trouver la cause de cette inquiétude exagérée. Puis, un léger mouvement dans les arbustes. Son sang ne fit qu’un tour, le projetant de l’état d’extase à l’angoisse la plus grande. Son instinct lui hurlait de crier, d’aller chercher la milice. Mais au fond de lui, une voix lui susurrait de s’en occuper seul, de ne pas faire venir encore une fois les imbéciles de fidèles du faux Dieu. Reprenant son calme, il se re-concentra sur l’intrus. Celui-ci semblait manifestement vouloir rentrer dans la maison. Et bien soit, qu’il tente. Kulgar sortit de son salon, saisissant au passage le sabre fin de Tilée qui ornait son vestibule, tel un trophée chèrement acquis. Sa main en caressa le fil, accrochant et ripant sur les aspérités. Bizarrement, il semblait très confiant alors que jamais encore, il n’avait eu à manier l’arme. L’escalier en colimaçon l’amena au rez-de-chaussée. Ses pas se firent discrets mais audible, cherchant à couvrir le silence de cette sensation imposante que quelqu’un d’autre était là. Derrière la porte, le bruit d’un fil de fer dans la serrure. Kulgar raffermit son emprise sur la poignée. Elle lui semblait taillé pour lui, la moindre forme du lacet de cuir protégeant l’acier s’insérait dans sa paume comme de l’eau pure, couvrant le contact froid par un délicat frottement de la chair contre le cuir. La sensation d’angoisse le quittait peu à peu, pour laisser place à un bonheur extatique. A tout moment, l’intrus pouvait forcer la porte et risquer de l’embrocher ou le tuer. Mais Kulgar n’en avait cure. Comme si ce moment lui semblait important. De l’autre coté de la porte, Kérôme s’activait. Nul n’avait pu le surprendre, mais il lui fallait faire vite. Son maître ne saurait tarder d’arriver et le contacter en pleine ville risquerait de causer quelques ennuis. Enfin, un bruit rauque et métallique se répandit dans le jardin, emplissait la rue déserte d’un vacarme pourtant inaudible, mais qui fit se crisper Kérôme. Après que le bruit ne se soit enfin tu, il posa la main sur la lourde porte ferrée. Il n’eut que le temps de se fendre devant le point de métal lancé à pleine vitesse. Kulgar venait de se tendre, manquant de transpercer Kérôme sur le champ. A peine remis, celui-ci se releva, esquivant les coups mortels que lui envoyait son adversaire. Kérôme n’avait que le temps de bondir sur les cotés pour éviter le sabre. Sans armes et encore blessé, il n’avait aucune chance. Il ne trouverait le salut que dans la fuite. Tout en se baissant devant le revers ascendant de son adversaire, il s’élança vers l’escalier. Montant las marches quatre à quatre, il arriverait bientôt dans le salon où il trouverait son épée bien aimée… Derrière lui, un cri de rage et de colère le poursuivit, avant que le bruit de pas ne fasse écho au sien. Kulgar pouvait presque apercevoir l’ombre qu’il suivait. Il savait qu’une fois en haut, sa frustration pourrait être libérée sur ce voleur ou quoi que ce soit, puisqu’il n’aurait alors aucune échappatoire. Plus que quelques marches et enfin, il pourrait goûter à un bonheur qui lui semblait impensable : tuer. Enfin, il arriva. Sa proie était là, immobile, sur les genoux. Kérôme était affalé là, sur le sol. Il sentait derrière lui le souffle de son agresseur, mais il ne voulait même pas se battre. Rien. Aucune trace de son arme. Le seul souvenir qu’il avait de son amour avait disparu. Le désespoir et l’abandon s’emparèrent de lui, après tout, pourquoi lutter encore. La seule chose qui comptait encore dans sa vie déchirée en lambeaux venait de s’évanouir, telle un cruel mirage d’espoir dans l’abîme de noirceur qui enveloppait ce monde. Dans sa tête, les pensées s’embrumaient, se mêlaient et se croisaient tandis que Kulgar levait son arme. Une silhouette féminine transperçait la brume qui l’étouffait illuminant le brouillard d’abandon qui le submergeait d’un amour infini et sans limite. La femme lui apparut de plus en plus distinctement, émergeant de ses souvenirs comme la réponse à son cri de souffrance. Tu ne dois pas te laisser aller. Je te l’ai dit. Je serais toujours avec toi. La brume se dissipa dans son esprit, emmenant dans sa débâcle les ténèbres et les doutes, ses paupières se rouvrirent sur le monde, laissant la lumière inonder son cœur de ce qu’il fallait faire. La survie et l’instinct reprirent le dessus. Même si son arme avait disparu, elle ne pouvait signifier la fin de tout. L’épée n’était en fin de compte qu’une image de sa quête, et les images, bien qu’une et unique, se refont. Armé de cette certitude, sa main agrippa le pied de la chaise devant lui, et avant même que Kulgar ne réalise ce qui se passait, le siège en chêne noble lui fracassa la mâchoire, broyant les os sous l’impact. Une longue ligne vermeille s’élança dans les airs, avant de retomber lourdement sur le sol. Puis vint un autre coup, à l’abdomen. Le dossier se brisa sous l’impact, projetant le maître des lieux au sol. Libéré du poids du dossier de la chaise, Kérôme fit s’abattre une pluie de coups, plus violents et désespérés les uns que les autres, laissant la sauvagerie animale ancrée dans le cœur de chaque homme croître en puissance, alors qu’il rouait son adversaire de coups sous les hurlements de douleur de Kulgar. Au dehors, les cris d’alarme de la milice middenheimenne et des voisins affolés avaient finis par prendre le dessus dans l’oreille de Kérôme sur le vacarme sonore qu’il créait tel un artiste. L’humanité et l’intelligence se rendirent de nouveau maître du corps, et la peur de se faire re-capturer le saisit. Laissant choir la chaise brisée qui lui servit d’arme, il cracha un regard méprisant sur sa victime. Un faible scintillement mauve attira son attention, et força son instinct à réprimer quelques peu sa fuite. Inquiet, il porta la main à l’annulaire de Kulgar, attiré par le pâle écho lumineux rosé. Il retourna légèrement la paume de sa victime. Une rage indicible s’imprima sur son visage tandis que son regard horrifié se portait à la chevalière lumineuse. La marque de l’Ennemie. La bague portait la bague de l’Ennemie, et les yeux pervers de Kulgar face à cette scène ne faisant que le terrifier plus. Il resta figé là un moment, empli par l’horreur de sa découverte. Seuls les bruits de pas dans l’escalier réussirent à la faire se lever et prendre la fuite. Ses pas précipités le menèrent hors du six Hildarf Strasse, sous la menace du rire sadique de Kulgar van Henig qui résonnait comme de cruels poignards incandescents dans con cœur.
  17. Ne t'inquiète pas, chaque mot à son sens, mais je ne lacherais rien avant d'avoir fini certaines choses. :'( Bon, ben plus long je sais pas si ça le sera, mais en tout cas, voici la suite.... Sombre Journée, au coucher du Soleil A l’intérieur de la chariote de fortune, les corps des trois prisonniers se laissaient aller à l’abandon. Ereintés et meurtris, aucun d’eux n’osait lutter contre les mouvements violents et continuels que leur imposait le sol dur et irrégulier. L’un d’entre eux trouva néanmoins de relever la tête. Autour de lui, ses deux compagnons gisaient, quasi morts. Son regard fiévreux se porta ensuite sur le chariot qui les emmenait vers un endroit inconnu, un avenir incertain et une lente agonie. Autour d’eux, une cour de serpents et d’animaux distordus courait le long des poutres de bois noir qui constituait leur transport, des démons infernaux luttant contre de vils scorpions venimeux, de terribles couleuvres s’étendant le long des flancs d’un chien sauvage. Sur les montants, diverses armes et trophées macabres ornant des boucliers empreint d’une couleur rose pâle terriblement attirante. Sur chaque écu, le même symbole obscène revenait, tel une mélopée fracassante, entourée ici par des lambeaux de peaux arrachés à même le corps, sur un autre, des ferrures dorées s’enlaçaient en une rune maléfique. Au dessus d’eux, le ciel leur était masqué par un lourd voile mauve qui ne laissait passer que de brûlants rayons de soleil à travers quelques trous et déchirures. Un bruit violent vint le tirer son observation. Une ombre imposante écrasa le prisonnier elfe de sa noirceur. Ses yeux fatigués se plissèrent pour tenter de pénétrer l’oppression qui l’étouffait. Au dessus de l’un des corps qui peuplaient son carrosse, comme il aimait à l’appeler, le guerrier sourit intérieurement, des flammes exultèrent dans ses yeux, dansant au rythme de son sadisme. Son armure noire s’articula autour de son corps, tandis qu’il s’abaissait vers l’elfe qui tentait vainement de percer le regard de feu du guerrier. Un cahot le secoua, le forçant à s’accroupir dans le chariot. Posant genoux à terre, il se plaça face au soleil, exposant les runes diaboliques de son armure ornementée au soleil. Un rictus mauvais traversa son visage, invisible à l’elfe derrière le lourd heaume noir qui recouvrait sa tête. Autour d’eux, les deux autres prisonniers ne réagissaient pas, trop meurtris pour bouger. Le gant de cuir du guerrier s’approcha lentement du cou de l’elfe, sans se brusquer pour mieux profiter de l’instant. L’elfe voyait à présent. Le guerrier tendait sa main vers lui. N’écoutant que son instinct, la main de l’elfe se lança à la ceinture du guerrier, saisit aisément le manche de la dague et se fendit en direction de la gorge de son adversaire. Le métal de l’arme crissa sur l’armure, rongeant le noir acier de ses barbèles hérissées, éclatant en milles échines de feu noir, projetant autour du cou du guerrier de mortelles échardes sombres. Quelques unes s’élancèrent vers l’elfe prisonnier, transperçant ses chairs, laissant un mince filet de sang vermeil s’écouler le long de son bras. Certaines des épines métalliques s’infiltrèrent dans les failles de l’armure, arrachant un profond râle de bonheur au guerrier. Les yeux flamboyants du guerrier s’allumèrent de la flamme de l’extase sous la douleur des fragments de la lame qui pénétrait en lui, lacérant la peau. Une profonde folie meurtrière montait en lui, sous l’effet de la douleur et de la souffrance. Sa main s’élança vers la gorge de l’elfe et se hissant avec une aisance déconcertante, il souleva le corps de son prisonnier. Dans le chariot, l’un des prisonniers se retourna. Son visage masqué par l’ombre de la tenture auparavant apparut au jour lorsqu’elle voulut se jeter contre leur persécuteur, mais sa compagne la retint d’un bras ferme et décidé. « Ne fais pas ça ! Nul ne peut le sauver désormais. -Je le dois pourtant, susurra Nessa -Ce sera pure folie. Prie Asuryan pour son âme. C’est la seule chose qui puisse encore être sauvé.» Le guerrier portait l’elfe à bout de bras. Ses doigts enserraient sa gorge, sentant chacun des battements de cœur, de plus en plus lents et imperceptibles. La sensation qui le saisissant faisait contre écho au decrescendo du rythme de l’elfe, la mélopée porteuse de vie se noyait en tentant de passer au travers du piège formé par la serre puissante du guerrier, s’écoulant de moins en moins bien, luttant pour accomplir son rôle. La flamme au fond des yeux de l’Asur s’étouffait au même rythme que le battement. Les deux mains de l’elfe empoignaient le gant de cuir, la fragilité de leur prise était compensée par l’effort inhumain qu’appliquaient les doigts sur le cuir, les articulations blanchissant sous la contrainte. Plus la poigne de fer se resserrait, plus les mains, fines et pâles luttaient pour tenter de repousser la marée insidieuse qui bloquait le souffle de vie. L’elfe suffoquait, ses efforts s’avéraient vains. Mais il ne lâchait rien, il lançait ses dernières forces dans la bataille. Même s’il se savait perdu, son instinct ne pouvait se résoudre à abandonner. Le guerrier profitait du moment, s’efforçant de contenir la rage combative qui lui hurlait de pousser la pression sur le maigre cou. Mais son esprit réclamait cette sensation de toute puissance, ce moment béni où la vie d’un homme ne tenait plus qu’à un fil, fil qu’il possédait dans la main, et qu’un simple geste de sa part pouvait faire rompre. Tel un équilibriste, il lui fallait lutter pour ne pas tomber trop vite et perdre ce sentiment d’extase, refréner l’instinct au profit de l’esprit. Et en profiter pour prier son Dieu, dont la célébration ne pouvait être mieux accomplis que dans ces moments là. Dans sa tête, les sentiments vrillaient le guerrier, le portait en une félicité qui lui fallait refréner pour pouvoir mieux en profiter encore. Un craquement sonore se répercuta dans la chariote, craquement plus répugnant par son sens que par son bruit. Un dernier râle s’exhuma de l’elfe, auquel les cris de douleur de ses compagnes d’agonie firent écho, repris par le hurlement de satisfaction inhumain qui s’échappa du guerrier. Il resta ainsi plusieurs secondes, comme pour ne pas rompre l’enchantement dont il semblait bénéficier et se nourrir. Puis, quand les cris de souffrance se furent tus, quand le corps sans vie eut fini de tomber sur le chariot pour reprendre son rythme ballotant d’auparavant, il se retourna vers les deux femmes en pleurs. Encore sous le charme de la mort de l’elfe, le guerrier sembla hypnotisé par les robes pastels constellées de boue et de cendres qui se chevauchaient, s’entremêlaient en un tourbillon de couleurs et de bras alors que la plus jeune des elfes, Nessa s’était jetée dans les bras de l’autre, ses cheveux d’or recouvrant la robe azur qui l’étreignait pour mieux la protéger. L’étincelle de sauvagerie dans les yeux du guerrier s’affaiblissait, laissant place à un rictus carnassier que nul ne pouvait observer. Une pensée lugubre à l’esprit, il quitta le chariot, laissant les deux femmes elfes à leur douleur. Bonne lecture et a+ Korelion ps : Oui, je sais, le style de Whileim von Carstein m'a beaucoup inspiré (pour ceux qui l'ont lu, les autres, allez donc lire Dernier Regard ça vaut le détour! ) Donc désolé Whil', j'ai un peu pompé le style, mais commeon dit, ça prouve que c'est excellent!
  18. Merci à tous. Voici la suite... Veille de Deuil Le jardin se faisait sombre au fur et à mesure que la Soleil se couchait dans le lointain. Le pommier de Cathay lançait ses dernières fleurs à l’assaut des brumes automnales qui l’assaillaient. Les fines volutes de vapeur qui s’écoulaient des cieux, portés par le froid ambiant enserraient pétales, protecteurs de la répétition de la vie naturelle qui s’échapperaient de leur enceinte pour s’inscrire dans le cycle perpétuel de la vie. La main froide et blanche approchait lentement des fleurs, comme d’un animal craintif ou fragile. Les gestes, lents et graciles, n’étaient altérés que par le léger frémissement des doigts, étreints par une danse bien involontaire imposée par la Nuit tombante. Mais petit à petit, les phalanges glacées tendaient vers leur but, épousant la forme naturelle des pétales roses sans les toucher, mais en les frôlant presque. Puis, le contact se fit réellement, le frémissement de la fine soie colorée sur les doigts provoquant un léger frisson. « Vois le jour qui s’achève. Il emporte avec lui les dernières chaleurs qui échauffaient encore les fleurs colorées de mon jardin. » La voix mélodieuse s’écoulait des lèvres mi fermées de l’elfe, qui tremblait sous la brise légère et pourtant glacée qui pénétrait sous sa robe de soie fine. La silhouette derrière elle n’osait briser le silence qui venait de s’imposer, de peur de casser en même temps ce moment de rêve. « Pourtant, regarde cette fleur. Elle combat encore le froid du Nord, sans aucun espoir pour elle-même. Toute plante, tout arbre sait qu’il ne peut lutter face au froid imposé par le grand Nord, mais la Nature est ainsi. Elle se battra jusqu’au bout pour prolonger l’espoir, puis mourra pour renaître à nouveau, plus belle et plus grandiose que jamais. » L’elfe se retourna vers la silhouette, masquée par les reflets bleutés de la lune dans les branches du jardin. Autour des deux êtres, le jardin s’endormait paisiblement, frappé par le sommeil traître de la nuit, qui en ce glacial soir d’automne, risquait de le détruire pour un temps. Enfin, la silhouette s’avança, pénétrant sous la lumière crépusculaire de la nuit naissante. Les écailles de Mithril réfléchissaient le bleu de la lune, tandis que la fine cape s’enroulait et se dérobait sous le vent du Nord, formant de sempiternels tourbillons qui hypnotisaient la vue sous les carmines courbures mouvantes. Ses mains abandonnèrent le pommeau d’or ciselé qui les accaparait pour venir se poser sur les bras d’albâtre de l’Elfe devant lui. Les volutes de vapeur qui sortaient de sa bouche tel les flammes expulsées par les dragons de l’Echine de Vaul portaient elle la chaleur de la flamme éternelle qui étreignait et habitait les nobles Asurs. « Vois Luthien, vois cette fleur. Elle va peut être disparaître, mais l’arbre qui l’a engendré restera là aussi longtemps que la Nature lui accordera ses grâces. Si la Nature le veut bien, rien n’est périssable. Certaines choses sont immortelles. » Luthien se retourna, laissant choir la fleur qu’elle tenait au creux de ses paumes, tel un trésor, plus précieux que l’Or et l’Argent. Ses mains embrassèrent celle du soldat, et au contact de ses dernières, se réchauffèrent lentement, diffusant un sentiment bienheureux de bonheur confus. Ses yeux d’azur plongèrent leur regard dans celui du soldat. « Allons Luthien, il nous faut rentrer. Il fait bien assez froid sous ce vent. Rentrons. -Oui, tu as raison. Je n’ai que trop traîné. Mais cela m’a toujours apaisé, et je ne peux m’empêcher d’admirer le jardin. Yvresse me manque terriblement. Quand rentrons nous? La mer semble m’appeler irrésistiblement et ta mission ne saurait être prolongée. -Bientôt mon amour, bientôt. Il ne reste plus qu’à amarrer le vaisseau»
  19. korelion

    Tan Ath

    Désolé, j'ai toujours confondu l'emplacement du e dans le nom. Effectivement, je parlais de Aenarion, le premier Roi Phénix. Accesoirement, Aenarion est mort après la bataille qui vit la création du Vortex Magique. Les Elfes sont effectivement immortels. Quand à Malékith, il se dope à la magie noire et à l'immortalité elfique.
  20. korelion

    Dernier regard

    Et bien, c'est toujours aussi bien ! Pas vu de fautes énormes et pas cherché les petites, rien à redire sur le fond qui est toujours aussi bien, quand à la forme, ben comme d'hab, tu maitrisie. Que du bon ! Korelion, la suite!
  21. korelion

    Adoption

    Texte sympa, avec des personnages bien présents. reste que ça fait ujn peu court, mais que c'est déjà bien alléchant ! La suite! ps : Pas trouvé les références.... Korelion
  22. korelion

    Tan Ath

    Réponse à Otaji : pour Hoëth, effectivement, j'avais toujours cru qu'il n'y avait pas de h, mea culpa. Le héros elfe qui arracha l'épée de Khaine de son trône pour le plus grand malheur des Asurs, puisque cela entraina la Déchirure, et même si à court terme, cela les sauva des démons et du chaos, le prix à payer fut lourd. Pour plusd e renseignement, envoie moi un MP, je ferais quelquechose de plus conséquent Maintenant, la suite: Bon, même moi je commence à m’y perdre, alors on résume : Kérôme : Assassin, ex ingénieur, il s’est fait capturer par les Répurgateurs, mais leur a échappé en libérant les fous qui se trouvant dans le couvent où il était enfermé. Actuellement, il est quelque part dans Middenheim… Klaus Svarniggson : Capitaine Répurgateur réputé, il mène la chasse à Kérôme. Il a eu un accrochage avec l’un de ses amis, le Capitaine des Chevaliers Panthères, Rhenard. Cependant, le soldat aidera le Répurgateur dans sa recherche. Kurt Dietrich : Lieutenant Répurgateur, second de Klaus… Il a été blessé par Kérôme, mais s’est rétabli. Kulgar van Henig : notable de Middenheim, résidant au 6 Hilldarf Strasse, il faisait partie des mécènes de la Confrérie de l’Harmonie. Il découvrit la véritable nature de cette Confrérie, mais est marqué par le Prince Noir, et cherche à prendre le contrôle de la Confrérie. Igor : Ancien serviteur de Kulgar, il s’est échappé pour échapper à la dénonciation de son maître. Mais il porte un lourd fardeau qu’il n’a révélé à personne, lui offrant le savoir à un certain prix. Il a tué Merwinn, l’ancien maître de la Confrérie Anaëlion : Commandeur de l’Ost qui part soutenir Middenheim. Il prend très mal la présence du Commandeur Kaëra. Kaëra : Commandeur elfe. Il est envoyé par la Tour Blanche dans le cadre d’une mission qui ne concerne que lui. Chapitre 2 : Les pièces avancent…. L’ombre furtive longeait les murs, lançant des coups d’oeils discrets dans son dos. Au coin, il tourna sur sa gauche. Devant lui, une profonde artère pavée menait droit à une lourde porte ferrée, protégée par une épaisse grille. Une dernière hésitation, un moment de doute. Puis il s’avança vers la lumière. Le premier pas amena son pied dans le halo lumineux de la Morsliebb. Puis, un deuxième pas mena son corps en vue, sa tête restant encore cachée. Un bruit attira son attention, provoquant une crise de panique. Il se jeta contre le mur. Un ivrogne beuglait des injures aux cieux, tout en traînant sa carcasse en direction de Kérôme. Sa main se porta prestement à la ceinture, y cherchant un réconfort au contact de la garde de l’épée, mais plus rien ne s’y trouvait. Le dépit et la rage s’emparèrent de lui. Par tous les Dieux, son épée n’était plus là! Kérôme jeta un dernier regard vers la porte, synonyme d’un espoir de liberté avorté, tout ça par la présence d’un ivrogne fort peu discret. Mais il ne pouvait en aucune manière laisser son arme ici. Dépité, il se retourna et remonta la ruelle sombre qui l’avait amené aux portes de la liberté. Hilldarf Strasse résonnait du bruit des bottes des miliciens qui patrouillaient comme à l’accoutumée. Nonchalamment, ils passèrent devant le numéro six, n’éclairant la porte de chêne que d’un rapide coup de torche. Puis, bifurquant sur la gauche, ils poursuivirent leur route, illuminant leur passage d’une lueur blafarde et lointaine. Sortant de la pénombre qui le recouvrait, Kérôme s’extirpa de la frondaison qui l’avait caché aux yeux des miliciens. Projetant un regard inquiété aux alentours, il s’approcha lentement de l’épaisse porte, la serrure ferrée lui renvoyant son regard froid et clôt. Observant le mur, il n’y decela aucune faille. Ce long et haut mur semblait infranchissable, et par là même, il lui ploquait tout espoir de récupérer son arme, sa seule et unique épée, forgée de ses mains. Elle n’était pas des plus belles ou des plus puissantes, mais son charme résidait dans le talent et l’amour qui avait motivé sa naissance. Elle semblait bien vulgaire à première vue, mais en réalité, elle était parfaitement équilibrée. Et surtout, elle portait tropd e souvenirs en elle pour qu'il se permette de la laisser dans les mains d'autrui. Après en avoir fait le tour du mur d'enceinte, Kérôme cessa sa recherche. Vouloir pénétrer parle mur semblait impossible, alors il fallait passer par un autre chemin. Observant les toits, il dénicha ce qu'il souhaitait. Un balcon de la maison d'en face, trop avancé, donnait sur le terrain du six Hilldarf Strasse. Rapidement, il s'avança vers la porte de la maison. _________________ Ce soir, les soldats de garde à Bochenfels, Zundap, Wolfenburg, Ferlagen et Kurst se tournèrent tous simultanément vers le Nord. Chacun d'entre eux, dans le froid de leur chemin de ronde observait la maléfique lueur sombre qui illuminait la route du Sud, avalant l'espoir sur son passage. Les vents amenaient les cris de désespoir des démons, reprenant les litanies sombres dédiées aux Dieux de l'Entropie. Chaque homme sur les remparts des forteresses du Nord adressa une prière à Sigmar. Les jours seraient longs, longs et bientôt trop courts... Et oui, on tourne la page, l'action est lancée, et le rythme va peut être bien s'accentuer... Comme le disait un vieillard sur les remparts : Dorénavant "l'échiquier est en place. Les pièces avancent..." Korelion, sadique parcequ'il a encore mis moins d'une page de texte
  23. Heu, gros doute : le polyrstyrène extrudé, c'est celui avec des boules ou le poly d'isolation?... Parceque je pensais à du plystyrèen d'isolation (donc pas de petites boules qui partent en miettes) mais qui reste super fragile... Testé et désapprouvé : le fait que ce ne soit pas réellement lié, ça fait qu'au moindre coup sur les cotés, ça s'abîme. En jetant un coup d'oeil sur le RU de mon IUT, j'ai remarqué qu'ils avaient mis une sorte de résine sur l'agglo, afin qu'il soit bien lisse (oui, un autre problème de l'agglo, c'est qu'il est très discontinu....) et plus solide, à tester si vous le souhaitez et si vous voyez ce qu'on peut mettre comme résine (ou truc du genre : l'aspect faisait penser à un e sorte de résine transparente ...) Korelion, contreplaqué powaaa
  24. korelion

    La maitresse de la douleur

    Et bien, au début, en ne voyant que le premier post, j'étais assez surpris, mais les chapitres s'enchaine bien et augmentent le volume de lecture, ouvrant plus de perspectives à cet historique. Bref continue! Korelion
  25. Je vous rrapèle que vous pouvez quitter le jeu et partir avec les gains du premier palier, ou alors utilisez un Joker... Désolé, je suis super tordu, mais, je te renvoie à ça : Korelion, adepte de Tzeentch (un peu...)
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