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Wilheim Von Carstein

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Tout ce qui a été posté par Wilheim Von Carstein

  1. Hem... je ne voudrais pas jouer les emm***, mais il me semble qu'il faudrait sérieusement recommencer à penser à une date pour la rencontre, parce qu'on commence à prendre du retard et, en ce qui me concerne, les mois à venir vont être plutôt blindés. Relance du sujet, donc. A+
  2. Salut à tous, désolé pour le retard pris dans la rédaction de la suite et merci pour vos commentaires. Dans l'ordre : Iliaron : Bon, désolé, mais la suite ne va pas te plaire. Comme le montre le début du passage, je pensais faire une ellipse pour les combats mais, comme le montre la suite, je n'ai pu m'empêcher de faire une scène de fight (j'y peux rien, j'ai l'esprit de contradiction : quand on me dit "arrête les description", j'en fais et quand on me dit "pas de fight"... ). Il n'est cependant pas totalement inutile puisqu'il met l'accent sur une autre capacité des vampires. Le tournant de l'intrigue est pour bientôt, promis. L'expication des 10 viendra. Inxi et Gemini : voila la suite , merci pour vos corrections Korelion : je te conseille alors de relire le passage calmement, parce qu'il me semble que c'est plutôt clair. Enfin, en gros, Anastasia est la fille qui occupe les pensées de Joshua, celle qu'il a tuée la première nuit (tout le monde avait compris ou est-ce qu'il n'y a que Korelion qui a osé demander ) Note : le passage qui suit est assez violent... vous êtes prévenus Bonne lecture Chapitre 4 : Les spectres du passé Le bruit des bottes ferrées résonnait dans les ruelles obscures de la cité. Des cris retentissaient dans le dos des vampires, ponctués du cliquètement des armures. Quelque part, une cloche sonnait à la volée, faisant s’illuminer les fenêtres à croisillon au-dessus de leur tête tandis que les vampires se précipitaient vers les portes de la ville haute. Après avoir renversé la faible ligne de gardes qui leur barrait la route, ils s’étaient rués dans le jardin et s’étaient ouvert un sanglant passage dans la foule rassemblée devant la grille. Ils étaient passés tel le vent dans les blés fauchés, éparpillant gardes et curieux sans distinction, pourfendant la foule avant de disparaître dans les ténèbres, accompagnés par les cris de ceux qui n’avaient pas eu la chance de périr. La ville s’emplissait du bruit de l’alarme, Joshua percevait même le crépitement de sabots dans son dos. Devant lui, les autres vampires se précipitaient vers la sortie. Léonore et Anne semblaient voler au-dessus du sol, leur ample robe virevoltant au rythme de leurs longues et gracieuses enjambées. Mais le bruit des sabots les avait enveloppés désormais. Il s’était pressé de part et d’autre d’eux avant de les dépasser et semblait maintenant converger vers leur propre destination : les portes. La course effrénée dans les rues sombres n’avait duré qu’une poignée de minutes, et déjà les vampires étaient en vue de la place d’armes aux pieds des remparts. Des hommes en livrée bleue et blanche se pressaient sur le chemin de ronde ou sortaient des casernes situées sur les côtés. Les allées étroites entre les remparts et les baraquements de pierre vomissaient des cavaliers armés de longues épées qui luisaient d’un feu jaune à la lumière des torches. Les premiers claquements d’arbalète se firent entendre et une pluie d’étoiles sifflantes s’abattit autour des vampires. Une demi-douzaine de cavaliers éperonnèrent leur monture et se ruèrent sur le petit groupe tandis que toujours plus de soldats se massaient devant l’entrée du tunnel. A l’avant du groupe, Luther sembla soudain trébucher, s’effondrant en avant. Le son qu’entendit Joshua ne fut cependant pas celui d’un corps qui s’écroule mais le crissement de longues griffes sur la roche, ponctué par un grondement sourd. Le vampire fut masqué une fraction de seconde à la vue de Joshua et une masse hirsute de poils noirs presque aussi massive que le monstrueux Stryge que les vampires avaient combattu dans les catacombes se rua en avant. Portée par ses quatre membres puissants, la monstrueuse créature se rua vers les cavaliers, distançant les autres vampires. Son hurlement bestial trouva un écho dans le hennissement terrifié du cheval sur lequel il se jeta dans un bond gigantesque. L’humain tenta de lever sa lame mais fut balayé par la force de son attaquant. Monture et cavalier furent renversés par la violence de l’assaut et s’écroulèrent dans un chaos mouvant de membres équins, d’acier et de fourrure d’ébène. Il y eut un craquement humide et un bruit d’éclaboussure écœurant. L’un des cavaliers fit faire volte-face à sa monture et frappa la bête accroupie sur le corps de son camarade d’un ample coup de taille. La lame ne perça pas l’épaisse couche de poils mais la bête se retourna et Joshua put alors voir sa face. Elle avait l’aspect général d’une tête de loup, si ce n’est qu’elle était près de quatre fois plus imposante. La gueule puissante était garnie de dents aussi longues qu’un doigt et dégorgea un flot de sang carmin et de fragment d’os tandis que la langue pâle de la bête émergeait d’entre les crocs souillés. Le museau, long et fin, au-dessus de babines sombres et retroussées, était couvert de poils ras d’un gris argenté. Le pelage gris de ses joues frémissait tandis que la bête poussait un grondement menaçant et que ses yeux, puits de rage incandescents enfoncés dans les remous hirsutes de son faciès, les faisaient luire d’un éclat mordoré. Joshua put sentir la terreur de l’homme lorsque ces yeux, miroirs d’une haine infinie, se tournèrent vers lui. La créature se saisit de son bras avec une vitesse fulgurante et le tira, hurlant, au bas de sa selle. Refermant les griffes acérées de son autre main sur le bras encore libre du mortel, elle le souleva face à lui avant de l’écarteler à mains nues, déchirant sans peine son corps dans une fontaine de sang et de tripes. Elle poussa un long hurlement en jetant les restes inanimés au loin. Hypnotisé par le spectacle de cette incarnation de fureur pure, Joshua ne vit qu’au dernier instant le cavalier se jeter sur lui. Le destrier le heurta de plein fouet, l’envoyant rouler sur les pavés luisants. Heureusement pour lui, la lame de son cavalier ne fit que creuser une profonde estafilade dans son épaule, et les lourds sabots ferrés ne le piétinèrent pas. Agrippant fermement son épée, il fit une roulade sur le côté et se remit prestement sur ses pieds. A sa gauche, Hector abattait sa longue lame sur le cou d’un cavalier bloqué sous sa monture, après avoir tranché les pattes de cette dernière. Les autres cavaliers avaient été massacrés en quelques instants. Même celui qui avait renversé Joshua avait été intercepté quelques pas plus loin par Helena et Anne. Joshua reporta son regard sur le centre de la place juste à temps pour voir deux carreaux d’arbalète se ficher dans l’épaule gauche du monstrueux loup humanoïde, dressé sur ses pattes postérieures. Celui-ci desserra l’étreinte de sa patte droite, laissant s’écrouler une masse informe qui avait autrefois été la tête d’un hallebardier, avant de se ruer comme un possédé vers les remparts. Les autres vampires le suivirent, s’engouffrant dans le sillon de mort que creusait la bête et renversant ceux qui pensaient avoir plus de chances de survivre en les affrontant. Un mur de lances tremblant s’abaissa lorsque le monstre ne fut plus qu’à quelques mètres de la quinzaine d’hommes qui défendaient l’entrée du tunnel et Joshua douta que même la créature puisse le franchir. Alors que les soldats se préparaient au choc, la créature fit un bond prodigieux, atterrissant dans une gerbe d’entrailles, quelque quatre mètres plus haut, au milieu des arbalétriers paniqués. L’ébahissement passager des lanciers fut suffisant pour que les vampires se jettent sur eux, traversant le mur de lances désordonné pour répandre leur sang chaud sur les pavés. Le combat fut rapide et inégal. Gênés par l’allonge de leur arme, les mortels furent taillés en pièces et les rares survivants se débandèrent sous la pluie de corps désarticulés qui tombait des remparts. Ils ne rencontrèrent pas de résistance dans le tunnel, parvinrent sans encombres à la lourde poterne qu’ils avaient empruntée une heure plus tôt et se précipitèrent, le long de la chaussée, vers les ombres de la ville basse. Jetant un regard par-dessus son épaule, Joshua vit, au-dessus de lui, la gigantesque créature prendre appui sur un merlon avant de se jeter dans le vide, ses poils collés au corps par une gangue de sang poisseux. Elle sembla se dissoudre dans l’air pendant sa chute et, après une réception leste et une roulade gracieuse, Luther se releva, son éternel sourire sur les lèvres et un reste de lueur carnassière dans les yeux. A+
  3. Gniii, trois suites d'affilée : douloureux plaisir. Enfin, quoi qu'il en soit, leur lecture fut plaisante. La plupart des choses à dire l'ont déjà été (introduction trop rapide des nouveaux personnages). Je rajouterai un petit quelque chose, cependant, à propos de l'enfant. Il parle de sa mère, mais soit j'ai loupé quelque chose, soit elle passe à la trappe ensuite? Neldirage ne semble pas la rencontrer. J'ai donc un peu le même problème que Korelion. Sinon, je trouve que Neldirage est un tantinet optimiste : on lui dit qu'une horde de peau-vertes déboule, qu'ils ont au minimum des Trolls avec eux et des gros bestiaux volants et il espère les retenir deux jours avec 6 hommes??? Soit il a un plan de la mort, soit ils vont se retrouver enfoncés dans le gazon au bout de 5 minutes, soit les orques ne vont même pas faire attention à eux (7 hommes, mettons 30 flèches par homme, même s'ils tuent à chaque tir, ça fait pas lourd) Un peu sceptique, donc, pour le coup. Niveau fond, attention à une erreur qui revient : tu as tendance à mettre une deuxième personne de pluriel à la place d'un infinitif (surtout dans les dialogues) J'attends donc avec impatience de voir le super plan du héros (il va en avoir bien besoin, le pauvre) A+
  4. salut à tous et merci du temps que vous passez à lire et à commenter ce récit. Les corrections ont été apportées et comme je n'ai pas posté de suite la semaine dernière, celle-ci est un peu (un tout petit peu) plus consistante que d'habitude. Bonne lecture. Joshua fit quelques pas vers la fenêtre et jeta un regard dans le jardin par-dessus l’épaule de Léonore. Près du grand portail donnant sur la rue, au bout de l’allée de pierre volcanique sur laquelle ne soufflaient plus les bourrasques rougeoyantes, l’éclat jaunâtre de lampes à huile dansait dans la nuit, faisant luire un instant un casque poli ou le large fer d’une hallebarde. Les yeux de nuit du vampire n’avaient pourtant pas besoin de cet éclairage terne pour distinguer la foule de curieux et de gardes qui se pressait à l’entrée, ni les visages inquiets aux traits bouffis de sommeil qui apparaissaient dans l’encadrement des fenêtres des bâtisses voisines. Le malaise revint dans l’esprit de Joshua. Le bain de sang était inévitable. Ils allaient devoir se frayer un chemin sanglant à travers les gardes. « Quelle importance ? » Joshua tourna la tête lorsque la voix de Léonore brisa le silence, ponctué uniquement par le bruissement lointain que produisaient les recherches des vampires dans la tour. Son regard rencontra les deux yeux d’émeraude de sa sœur, dont l’habituelle froideur insondable était voilée par un soupçon d’étonnement. « Quelle importance, en effet. » Le visage d’Anastasia lui apparut un instant, pâle et froid, et sur ses traits se lisaient le calme éternel de la mort. Les lanternes oscillaient maintenant dans le jardin sombre et paisible, dansant un ballet silencieux, déployées en une longue ligne qui avançait prudemment. Tout cela aurait pu être si beau. Un pas lourd et mal assuré descendant l’escalier en colimaçon le tira de sa rêverie. Il lui sembla surprendre le même regard étrange que celui que Léonore venait de lui lancer dans les yeux de certains des autres vampires restés dans la bibliothèque, mais ils détournèrent eux aussi la tête vers la porte. Les sens surnaturels du vampire lui apprirent immédiatement que ce qui descendait les escaliers n’était plus vivant. Le son se rapprochait et fut bientôt suivi par des pas plus alertes. Un éclat de peine traversa les yeux de Joshua quand le chambranle de la petit porte vomit ce qu’il craignait. Le vieux magicien avança d’un pas traînant, le visage enflé par les contusions et baigné de sang coagulé qui s’était écoulé de sa joue crevée, le regard fixe et vitreux sous ses paupières lourdes. Sa robe était déchirée et roussie en plusieurs endroits. Une tache d’un rouge plus sombre que le reste maculait le haut déchiré de son abdomen. Ses bras pendaient le long du corps tandis qu’il passait entre les vampires et se dirigeait vers la porte arrachée du petit corridor. Les vampires apparurent à sa suite, apparemment indemnes. Luther terminait de nettoyer sa lame sur un fragment écarlate de la toge du mage tandis qu’Helena rangeait avec précaution des fioles au contenu coloré dans son sac. Manndred semblait dans un état second, son visage était fermé et ses yeux se perdaient dans le vide. Marcus, fermant la marche, tenait entre ses mains un livre à la fine reliure de bois marqueté, pour ce que Joshua put en voir avant que le Patriarche ne l’enferme dans un sac de toile sombre. Il se tourna alors vers ses disciples, un sourire glacial ornait son visage. « -Nous l’avons. Il est temps de partir d’ici. -Maître, la garde est là, l’informa Léonore. -Je sais, mais Manndred devrait avoir de quoi les distraire. » Un silence éphémère tomba sur la pièce avant d’être dissipé par le cognement sourd des pas du pantin de chair descendant la passerelle de bois. Les vampires allèrent se poster aux fenêtres, lançant depuis la sécurité des ténèbres des regards dans le jardin en contrebas. Une demi-douzaine de gardes s’était postée en ligne devant la façade principale du bâtiment tandis qu’au moins une dizaine d’autres se déployait autour des ailes. La peur emplissait l’air, procurant une sensation atavique de bien-être aux vampires. L’agitation au niveau des grilles attira le regard de Joshua. Le cordon de gardes qui empêchait les curieux de pénétrer dans le jardin s’ouvrit un instant, laissant pénétrer un nouveau groupe de gardes. A leur tête marchait celui qui semblait être le sergent de la garde, un homme corpulent dont le casque était orné d’une longue plume blanche qui ondulait tandis qu’il avançait à grands pas dans l’allée, faisant crisser la pierre sous ses bottes. Les gardes postés devant la porte se retournèrent avec nervosité à ce son. Alors que le sergent arrivait à leur niveau, la porte s’ouvrit avec un faible grincement. Des gardes levèrent leur lanterne pour éclairer la silhouette titubante qui venait à leur rencontre tandis que les autres se raidissaient. Le sergent s’avança : « Halte ! Qui va là ? -Qui… voulez vous… ce… soit ? » lui répondit une voix caverneuse et peu assurée. Joshua se retourna en entendant Manndred murmurer ces mêmes paroles. Ce dernier semblait toujours en transe et Joshua comprit alors la raison de son état. Ainsi Marcus espérait se débarrasser des gardes en leur envoyant un pantin mort-vivant. Le pari semblait risqué, mais que risquaient-ils, après tout. Joshua eut la confirmation de son hypothèse en voyant la mine renfrognée qu’affichait Luther. « Que s’est-il passé Messire ? reprit la voix traînante du sergent. -Expérience… mal tourné. Besoin d’aller… au temple de Shallya. -Le médecin de la garde est en route, Messire. Il sera là d’une minute à l’autre. Y avait-il quelqu’un d’autre avec vous ? -Je… » la voix s’étrangla et, du coin de la fenêtre où il était, Joshua ne put qu’entendre le mage tomber à genoux dans l’allée. Jetant un regard à Manndred, il vit que ce dernier chancelait, son visage désormais déformé par l’effort. « Encore un effort, Manndred, lui susurra Marcus. -Messire ! Vous deux, aidez-le ! Les autres, allez jeter un œil à l’intérieur ! » Un soupçon de panique était discernable dans le ton de l’homme tandis qu’il aboyait ses ordres. « Ils ne faut pas qu’ils entrent, Manndred, reprit Marcus. -Non ! Il ne faut… pas entrer, gémit la voix dans la cour, d… danger. Le sceau… le sceau a… été brisé. -Quel sceau ? De quoi parlez vous ? » Un hoquet suivi d’un long râle fut la seule réponse que l’homme obtint. Le bruit sourd d’une chute fit se retourner Joshua. Manndred était tombé à genoux, le corps parcouru de spasmes, les mains crispées sur le plancher. « Il y a quelque chose là-haut ! Investissez la place ! Pour Ulric, en avant ! » La voix du sergent donna le signal de l’hallali. Manndred releva la tête. La douleur disparaissait déjà de son visage mais le regard qu’il lança à Marcus était navré. Joshua vit du coin de l’œil le sourire de satisfaction se de Luther. A+ P.S.: pour les pronostics, pourquoi pas... et puis àa pourra peut être m'aider si je suis en panne d'inspiration.
  5. Salut, tout d'abord, je tiens à te féliciter pour la rapidité avec laquelle tes suites s'enchaînent. Le rendement est vraiment très bon et c'est toujours un plaisir pour moi de me plonger dans ton récit après une semaine de boulot. mon commentaire restera assez général, j'y reviendrais peut être plus tard. Au niveau des fautes, je laisse ça à plus compétent que moi. Au niveau du fond, l'intrigue avance et on sent qu'il va se passer des choses. Deux ou trois petites choses qui me gènent un peu quand même : *tout d'abord, je plussoie avec Kroxigor à propos de l'attitude de tes héros. Ils sont un tantinnet trop désinvoltes et sûrs d'eux, à mon avis, pour avoir une espérance de vie supérieure à pas grand chose quand les choses se corseront. *Ensuite, au niveau des personnages secondaires (le sergent et son lieutenant en particulier, mais c'est valable pour la plupart d'entre eux), ils me mettent un peu mal à l'aise dans le sens où ils sont un peu "plats". Ils passent de la méfiance à une confiance presque aveugle en l'espace de deux phrases et n'ont pas des comportements très "humain". Par exemple, je vois mal le lieutenant apprécier que les 5 compagnons plaisantent à propos des disparus. Bien sûr, il y a : mais ça me parrait franchement insuffisant, surtout quand ils commencent à déconner juste après en parlant d'aller chercher des brebis égarées. Je vois bien le lieutenant leur faire une réflexion, voire même les rappeler à l'ordre. Pour résumer ma pensé, tes persos secondaires me donnent malheureusement l'impression de PNJ dans les JDR sur ordi : ils sont juste là pour donner les quêtes et les infos, mais ils n'ont pas vraiment de substance. J'avoue que c'est un exercice difficile. Il faut savoir doser entre rapidité de la description (ce ne sont après tout que des persos secondaires) et profondeur des persos. Voila les défauts (assez mineurs, somme toute) sur lesquels je pense qu'il faudrait que tu te penches si tu as l'occasion de retravailler ton texte. En tout cas, ça reste toujours aussi intéressant. Peut-être n'aurais-tu pas du dévoiler la nature véritable du "danseur du Bal des Vingt Nuits", pour conserver un peu de suspens, dommage. Ca appelle une suite dès que possible, en tout cas. A+
  6. Hem, il semblerait que ma réponse à ton mail se soit perdue en route, Stercz. A priori, pas de problèmes pour moi non plus au niveau de la date, quelle qu'elle soit, mais comme j'ai déjà participé à la rencontre contre Tassin, je suis tout à fait prêt à laisser ma place. A+
  7. +1 avec les gens qui pensent qu'une CC élevée offre peu d'avantages (l'I, c'est plus discutable). Il est d'ailleurs étonnant de voir que, contrairement à F/E, où le jet entre deux valeurs identiques se fait à 4+ puis augmente ou diminue en même temps que la différence (3+ si la F est supérieure de 1 à l'E, etc.) tandis que, pour toucher, avoir une meilleure CC ne sert souvent qu'à toucher plus facilement et pas à se défendre. C'est peut être là que se situe le problème. On pourrait penser que la solution serait alors de suivre les mêmes lois pour toucher que pour blesser, mais cela poserait quelques problèmes aussi. Prenons l'exemple des monstres. Tout le monde à tendance à considérer que la CC représente l'habileté du combattant (enfin, moi oui, en tout cas ) au maniement des armes, mais dans le cas d'un gros monstre, cela n'a plus vraiment de sens : un Dragon HE a CC6, autant qu'un Maître des Epées, alors qu'il est censé être plus "pataud", dirais-je. Alors, bien sûr, le GBR nous dit que la CC représente aussi la férocité d'un monstre et c'est vrai que si on donne à la CC un rôle "défensif" (parer les coups), ça se tient ("Ouah!, j'ai paré le coup de griffe du dragon... en plus de m'arracher la tête, il m'explose le bras"). Si le maître des Epées ne peut que parer le coup, il est normal que le Dragon n'ai pas trop de mal à le toucher et inversement, qu'un soldat avec une CC de 4 ne touche pas un Dragon sur du 6 (parce qu'il est 'achement gros tout de même). Où cela nous mène-t-il? A l'idée un peu farfelue sans doute que les profils sont trop peu précis. Peu précis au niveau de l'échelle (de 1 à 10) et du nombre de caractéristiques. Bien sûr, il faut que le jeu reste simple et éviter des pléthores de règles. Je ne connais pas bien le système de jeu du seigneur des anneaux mais il me semble qu'il contient un point intéressant : la caractéristique de défense. Pourquoi ne pas ajouter une nouvelle caractéristique dans les profils, appelée défense ou esquive ou n'importe quoi d'approchant, tout en conservant la sauvegarde d'armure. L'idée serait alors de permettre à celui qui se fait taper dessus de choisir entre parer le coup et l'esquiver (ou au moins tenter ), comme on la retrouve dans beaucoup de jeu de rôles. Bien sur, certains vont me dire : "Mais Battle c'est un wargame." Juste, mais ça n'empêche pas qu'il englobe déjà moult points de règles permettant d'illuster certains comportement avec un certain réalisme (je pense en particulier à la stupidité et à la haine) et qu'il reste à mon avis possible d'augmenter encore un peu le réalisme sans nuire à la fluidité du jeu. Les asects offensifs et défensifs du combat pourraient ainsi être mieux séparés pour plus de réalisme ET d'équilibre. Ainsi, un nain aura une CC plutôt bonne (il est bien entrainé à manier son arme) mais une mauvaise défense/esquive (c'est un nain, il s'emmele dans sa barbe ), tout en pouvant compter sur sa lourde armure pour le protéger (sauvegarde d'armure). A contrario, un elfe aura une bonne CC (il se bat bien), une bonne défense (il esquive bien) mais une armure plus légère. Un disciple de Khorne aura une bonne CC mais une mauvaise défense (il ne prend pas la peine d'éviter les coups), de même pour un Dragon qui n'est pas franchement taillé pour l'esquive. Cela donnerait deux possibilités au joueur dont la figuine se fait taper dessus : *esquiver le coup : jet pour toucher "normal" en comparant CC de l'attaquant et défense/esquive du défenseur, puis jet pour blesser, puis sauvegarde d'armure (sans bonus de bouclier, voire même avec quelques malus) car l'esquive a tendance à faire baisser sa garde à celui qui la tente. *Laisser l'armure faire son boulot : jet pour toucher plus facile qu'à l'accoutumée (le défenseur n'essaye pas vraiment d'éviter le coup), puis jet pour blesser, puis sauvegarde d'armure. Cela permettrait d'avoir des elfes réellement difficiles à toucher mais faciles à couper en deux une fois qu'on a réussi à les toucher (exemple, un peu HS certes, pour les cinéphiles, le combat entre Marv la grosse brute et Kevin "l'elfe" dans Sin City) et des Nains qui laissent l'adversaire cogner sur leur casque pendant qu'ils jouent de la hache sur ses rotules. Ca pourrait avoir quelques conséquences amusantes qui plus est, genre "tu tapes mon gégé Nain avec ton épée qui brille? Bon, ben je laisse faire l'armure... ah... elle annule les sauvegardes? Oups!). Et, en ajoutant quelques règles (principalement des malus à l'esquive pour le port d'armure), ça permettrait je pense, de personnaliser un peu plus les armées tout en restaurant un certain équilibre. Si la question de base est un peu "plate" (je ne dis pas ça méchamment, mais l'Endurance de 3 des elfes part, à mon avis, d'un bon sentiment : donner du cachet et de la personnalité aux armées), le débat qui en découle est par contre tout à fait passionnant. A+
  8. Pas si sûr. Du point de vue strict des règles, il n'y a pas de différence. En effet, l'assassin peut être révélé au début du tour Skaven ou au début de n'importe quelle phase de corps à corps et : "Les assassins frappent toujours en premier lors du tour où ils sont révélés même contre un ennemi en charge" Bien sûr, la logique veut que ce soit l'effet de surprise de l'assassin qui sort de nulle part qui lui permette de frapper en premier, mais si on s'en tient aux règles pures et dures... De toute façon, c'est vraiment risqué, car même une nouveau-née Lahmianne a la même initiative (8) que l'assassin, donc même si la technique "je dévoile, je téléporte, je frappe en premier" fonctionne : 1/Ce n'est que contre les nouveaux-nées et les vampiresses qui n'ont pas innocence perdue (donc trop risqué d'envoyer l'assassin contre une comtesse, par exemple) 2/Si l'assassin ne gagne pas le jet de dés, il y a toutes les chances pour que les 3 attaques de F5 de la vampiresse lui fassent la peau. Et quand bien même, il faut déjà que la téléportation passe... Au final, le mieux est peut être d'envoyer un groupe de coureurs nocturnes sacrifiables pour "tester" (sacrifier 25 points pour s'assurer que l'assassin aura le temps de dégainer, le drame!) et de ne s'occuper des vampires qu'en dernier lieu (ou à distance) A+
  9. Salut à tous, non, vous ne rêvez pas, la dernière suite ne date même pas d'un mois et en voila déjà une nouvelle (on fait ce qu'on peut ) Avant celà, merci pour vos commentaire. Pour les pronostiques, je ne dis rien, ils sont pour moi plus une preuve de la clarté (relative) du récit. Plus en détails : Iliaron : merci, tes compliments me font très plaisir. Pour la longueur des passages, je crains de ne pas pouvoir faire tellement mieux si je veux pouvoir écrire une suite a peu près chaque week-end (bonnes résolutions, quand vous nous tenez ) Roujio : oui, en effet, ça fait toujours plaisir Inxi-Huinzi : désolé... j'le f'rais pu (cf si dessus)... ben quoi, on peut toujours réver,non? Korelion : merci. Pour tes interrogations quand aux capacités de mage de Joshua, il sait bel et bien lancer des sorts, comme tous les autres vampires (et comme tous les vampires devraient pouvoir le faire à Battle ) et le médaillon est plus qu'une simple breloque, comme l'a déjà montré son interaction avec le talisman de Sigmar (passage auquel je te renvoie en ce qui concerne les capacités frigorifiques dudit médaillon) Bonne idée pour le résumé, vu qu'apparemment ça fait défaut. D'ailleurs : Les vampires, au nombre de 9 désormais (Léa ayant trouvé sa fin ultime des mains du Stryge), ont pénétré dans Middenheim où se trouve la demeure du sorcier qui est censé détenir le codex elfique qui permettra aux mort-vivants de progresser dans leur quête de la Rose d'Or. Après s'être introduits dans la demeure dudit sorcier, les vampires ont dû l'affronter. Combat qui ne tourne pas à leur avantage jusqu'à l'arrivée de Joshua, resté "en réserve", qui parvient à traverser le mur de feu protecteur que le sorcier a élevé. La rencontre prend un tournant étrange quand, à la vue du sorcier, Joshua est pris d'étranges visions... « Joshua ? Joshua ! », la voix naquit dans les ténèbres, pressante, tirant la conscience du vampire hors des limbes. Il se sentit comme happé vers la surface d’un océan par les rets de la voix désincarnée. Son ouïe revint avant toute chose et c’est plongé dans les ténèbres qu’il entendit le bruit de piétinement, le crépitement des flammes et les coups sourds et puissants. Puis son corps se découpa, se dessina dans sa conscience. Toujours aveugle, il sentit le ferme soutien que lui apportait le mur contre lequel il s’était effondré, les vibrations qui le secouaient après chaque coup, et la poigne ferme d’une main délicate sur son épaule. Enfin il distingua, à travers le flou sanguin des larmes qui brouillaient sa vue, le beau visage d’Anne, penché sur lui, ses lèvres pâles murmurant son nom une dernière fois. La demoiselle éternelle retira sa main lorsque Johsua, avec un soupir, fit un mouvement pour se redresser contre le mur. Il essuya du revers de la main les larmes de sang qui perlaient dans ses yeux en finissant de reprendre ses esprits. Anne lui offrit sa main et l’aida à se relever. Tout d’abord pris d’un léger vertige, il parvint à garder son équilibre et, après avoir exprimé sa gratitude à Anne par un sourire qu’elle ne lui rendit pas, il jeta un regard circulaire dans la pièce. Ca et là, quelques flammes couraient encore sur les rayonnages ou s’élevaient du sol, mais l’imposant mur de feu avait disparu, et seul le plancher noirci et détrempé témoignait encore de la victoire de la glace sur le feu. Par-dessus l’épaule de son ange de ténèbres, Joshua vit Hector émerger de derrière le secrétaire calciné, guéri de ses brûlures par les arts sombres mais encore chancelant, soutenu par Helena et Léonore. Un nouveau coup attira son attention vers la petite porte, celle devant laquelle s’était tenu le sorcier quelques instants plus tôt, mais une éternité pour Joshua. Luther, dans un état de rage qui changeait son visage en un masque hideux, presque bestial, se ruait sur l’épaisse porte de bois, faisant trembler tout le mur à chacun de ses assauts. Derrière lui se tenait Marcus, impassible, dont la main pâle serrait sa longue lame noire. Elric et Manndred finissaient d’étouffer les flammes dans le corridor, s’assurant ainsi que leur retraite ne serait pas coupée. La porte finit par céder dans un craquement sec. « Manndred, Helena, suivez-moi. Toi aussi Luther. Les autres, restez là, ordonna Marcus. -Marcus, je… » Le regard que le Patriarche lui lança sembla pétrifier Joshua. Une étincelle de menace avait embrasé ses yeux d’acier pendant un bref instant, frappant le jeune vampire de tout le poids de l’autorité séculaire du seigneur de la nuit. Sans dire un mot, Marcus s’engouffra dans le petit escalier en colimaçon, suivi de ses trois disciples. Le bruit de leurs pas résonna un moment, le martèlement pesant des bottes ferrées de Luther couvrant presque le doux frottement des semelles de cuir souple des autres vampires tandis qu’ils s’élevaient vers la tour, dernier refuge du magicien. Alors qu’ils s’évanouissaient peu à peu, désormais presque inaudibles, ils cessèrent. La voix sifflante du Patriarche égrena alors les stances impies d’une invocation de décrépitude. Regroupés en demi-cercle autour de la petite porte, les vampires restés en arrière entendirent le chuintement aigu du bois en décomposition. Le son, désagréable, perdura un instant dans le silence de mort qui avait suivi la fin de l’invocation avant de s’éteindre. Il y eut un instant de silence absolu, pendant lequel le temps sembla se dilater à l’infini. Puis le grognement de Luther rompit le charme, tandis que la porte volait en éclats sous un coup puissant. Le bruit de course précipitée fut noyé dans un grondement de tonnerre. Des cris s’élevèrent, hurlements de douleur ou cris de guerre, mots de pouvoir et malédictions se fondirent en un brouhaha confus. Autour de Joshua, les vampires attendaient sans un mouvement, certains de l’issue du combat inégal qui se déroulait en haut. Il fut pris d’un malaise presque nauséeux en les regardant, monstres de glace et de ténèbres, insensibles au massacre dont les échos leurs parvenaient, attendant simplement sa fin inévitable et leur part du butin. Pendant ce qui sembla une éternité à Joshua, l’air fut empli du crépitement des flammes, des bruits de bousculade, de chutes pesantes, ponctués par des cris. Léonore se raidit soudainement, sembla tendre l’oreille pour discerner quelque chose par delà les bruits de lutte qui s’échappaient toujours de la cage d’escalier. Elle se dirigea avec une hâte gracieuse vers l’une des fenêtres brisées et, tandis que les dernières flammes mouraient dans la pièce en faisant jouer des ombres rougeoyantes dans ses cheveux et qu’un cri de désespoir mettait un terme à la macabre comédie qui se jouait dans la tour, jeta rapidement un regard dans les jardins. « Voilà la garde » dit-elle d’un ton égal. A+
  10. Salut, tout d'abord, la suite précédente (j'me comprends...) Je crois que je commence à cerner les petites choses qui me gènent un peu dans ton récit : les petits travers qui pourraient assez facilement être corrigés (du moins je suppose). Iliaron en a déjà relevé pas mal mais j'en ajouterai un : les ellipses. Dans ton esprit, je suppose qu'il est clair qu'il se passe un certain laps de temps entre les deux choses mais lire me fait, personnellement, un effet un peu bizarre. Le fait qu'il puisse tranquilement s'asseoir en plein milieu d'une bataille est déjà étrange en soi mais cette apposition de "faut que je fasse un break" et "allez, au charbon" est presque dérangeant. Il y a aussi des tournures trop orales ou déplacées dans la bouche de personnages somme toute assez médiévaux pour être placées dans un texte. Un exemple en serait (juste après le précédent) : Ce "en deux contre un" est assez inesthétique, je trouve, et pourrait facilement être remplacé par "ils se bataient à deux contre un" ou "les orques étaient deux fois plus nombreux", etc. Bien sûr c'est du pinaillage, bien sûr ça ne nuit que peu à la qualité de ton récit, qui contient de très bonnes choses, mais d'un autre côté, c'est tellement facile à corriger que je trouve vraiment dommage que cela subsiste, mais ça n'est , je le répète, que mon point de vue, n'est-ce pas Iliaron? Pour la deuxième partie, je rejoins ce qu'à dit Feurnard : développer la crainte qu'inspirent les homme-bêtes aux soldats impériaux. Même si le courage est une belle chose, je crois que peu d'hommes se jetteraient à nouveau à l'attaque d'un minotaure qui abat les arbres comme on brise une allumette, après s'être pris un coup de tronc d'arbre, sans parler de survivre au coup en question. Les émotions sont quelque chose de difficile à maîtriser (j'en sais quelque chose pour avoir lâchement contourné la difficulté avec mes vampires ), il est donc normal que ça coince un peu parfois, je ne peux donc que te conseiller de persévérer et de poser, à froid, un regard critique sur tes textes, en te demandant : qu'est-ce que je ressentirais à sa place dans ce cas là, cette conduite est-elle logique pour un être humain qui tient un tant soit peu à la vie? Tu as ce mérite d'essayer de t'immerger dans la peau des personnages, mais je ne pense pas que quatre années de service soient suffisantes pour pouvoir affronter des créatures aussi monstrueuses sans peur. Je peux sembler trop critique, mais qui aime bien châtie bien, non? A+
  11. Salut, un combat assez bien mené et agréable à lire. Une petite chose, cependant : que j'aie, au passage Ce passage est en contradiction totale avec le comportement des "vétérans" dans le passage précédent, où ils essayent de protéger Neldirage ou au moins de le guider de façon à ce qu'il ne se fasse pas tuer. Là, ils le laissent tomber (si l'orque est si petit, pourquoi ne pas le tuer... ils sont là pour ça pourtant) Donc, un combat agréable à lire, mais qui semble un peu forcé. Autre petit reproche, le retour de ta tournure "notre ami", "notre soldat", héritée des huit pattes du destin, qui me dérange toujours autant, mais c'est tout à fait subjectif. En résumé, c'est un bon passage mais je pense que tu devrais retravailler un peu le début (dire que Neldirage, absorbé par son combat, n'entend pas l'ordre donné aux humains de se replier sur les pentes de la vallée et qu'il se retrouve un peu seul ou quelque chose comme ça) J'attends la suite A+
  12. salut, tout d'abord, et pour commencer par la fin, je suppose que le bonus représente l'arch-némésis de ton jeune héros... (roulement de timbales) : LA POUTRE! En ce qui concerne le texte, à part quelques fautes de forme (rapidement détectées par Gemini Dragon), je ne vois pas de défauts particuliers. C'est agréable et facile à lire, un peu calme au départ mais on sent rapidement que de sombres nuages s'amoncèlent juste derrière l'horizon radieux d'une enfance plutôt calme. Bien que le but recherché (perfectionnement physique et acquisition de qualités de leader) soit assez évident, ta façon de le décrire est originale. Un bon point supplémentaire pour cela, donc. Je rejoins Iliaron à propos des noms des "volontaires". Il est à noter également que tu parles d'éducation au début de ton récit, or tu ne développe pas ce point par la suite (est-il lettré ou pas? ça me semble peu probable). Un dernier point, également, soit j'ai loupé quelque chose, soit tu passes un peu vite du statut de famille de paysans qui peine à joindre les deux bouts (j'exagère un peu) à celui de gérant d'entreprise, si petite soit elle. Mais bon, ces petites ombres ne sont que des broutilles... j'attends la suite avec impatience (et il me revient à l'esprit la bassesse avec laquelle j'ai laché les 8 pattes du Destin... je m'en vais corriger ça tout de suite :'( ) Encore bravo A+
  13. Salut à tous, les vacances étant arrivées (et avec elles, le temps pour écrire), voici une suite, très (voire très très) courte mais néanmoins importante, dans le sens où elle marque le tournant de l'intrigue et lève quelques zones d'ombre (si, si, je vous jure... relisez bien ) et qui, je l'espère, vous plaira. Désolé pour le laps de temps très important (quasiment 2 mois... c'est fou ce que le temps passe vite) depuis le dernier passage. J'essayerai d'avancer un maximum d'ici la fin des vacances. Mais assez de blabla, voila la bête : Sur le visage du vieux sorcier se lisait désormais une peine infinie, ses yeux s’emplirent de larmes et il fut secoué par ce que Joshua supposa être des sanglots. Un bruit de cavalcade au delà du mur de flammes tira les deux hommes de leur stupéfaction. Une voix froide et dure se mit à psalmodier une incantation rauque et les flammes commencèrent à perdre de leur intensité. Joshua était incapable de faire le moindre mouvement, il sentait son esprit se débattre, pris dans le filet étouffant de souvenirs restés trop longtemps enterrés. Le vieillard murmura, comme pour lui-même, des mots qui resteraient longtemps gravés dans l’esprit du vampire : « Ainsi vous êtes tombé, Joshua. Mais quel a été le destin d’Anastasia ? » A l’évocation ce nom, le deux fois né fut pris d’un vertige et vacilla en arrière, comme sous l’effet d’un coup. Il lui sembla distinguer un tintement métallique, lointain et assourdissant, étouffé et démultiplié à l’infini tandis que la garde de son épée glissait d’entre ses doigts privés de force. A nouveau, il lui sembla qu’il se détachait de la réalité, qu’il s’effaçait de la pièce en feu. Le froid spectral qui dévorait les flammes à sa droite s’estompait, les incantations sifflantes se mêlaient, se fondaient en un brouhaha dénué de sens, avant de disparaître elles aussi tandis qu’il était entraîné par une force irrésistible dans la gueule d’un néant tiède et apaisant. C’était la fin. Il allait finalement goûter au repos, loin des intrigues, des cauchemars de cette parodie de vie. Un sentiment de chute, vertigineux et puis le repos. Mais tel n’était pas sa destinée, et au lieu de l’oubli lénifiant du trépas, il fut assailli par une série de visions brèves et crues, dénuées de couleurs, qui percèrent son esprit des échardes brûlantes du souvenir. Il vit un froid bâtiment de pierre au milieu d’un cimetière, à moitié enterré et surmonté d’une coupole. La façade n’était percée que d’un large portail : deux piliers de pierre, l’un noir, l’autre blanc, surmontés d’un lourd linteaux de pierre. Une volée de marches se perdait dans l’obscurité. La vision se dissipa et fut remplacée par celle, lancinante, de la jeune femme. Anastasia… il le savait désormais, et il lui semblait qu’un voile venait de se lever sur le visage, jeune et pâle, encadré par ses courts cheveux, mouchetés ici et là d’une mèche plus claire qu’un vent invisible faisaient ondoyer. Ses yeux, tels des joyaux scintillants sertis au cœur de son visage angélique, semblaient perdus dans le vague, dans le lointain d’une rêverie profonde qui déposait sur son visage la beauté enivrante d’un ténu sourire mélancolique. Des profondeurs de son néant, Joshua voulut hurler lorsque la vision de son amour disparu s'estompa, faisant place au spectacle d’une vaste et sombre forêt qui défilait en contrebas comme si, porté par le vent, il volait tel un oiseau. L’éclat d’un fleuve ou les fumées d’un hameau se succédaient à un rythme effréné, tout comme les cycles jumeaux du soleil et de la lune, tandis qu’à l’horizon, de hautes montagnes enneigées semblaient fondre sur le vampire désincarné. La vision disparut dans un éclair blanc tandis que le soleil se levait une fois de plus derrière les pics acérés, lançant ses rayons ardents sur une vaste forêt de pins noirs nichée aux pieds des montagnes, sur un mausolée à moitié en ruines, sur la porte vermoulue qui donnait accès à ses entrailles obscures, sur la rose de métal qui en ornait le battant. Puis tout devint noir. N'hésitez pas à faire des pronostiques sur le passé de Joshua, ça me permettra de voir si ce que je raconte est à peu près clair A+
  14. Wilheim Von Carstein

    Tan Ath

    Salut, Pourrais-tu préciser stp? hé bien... on n'y croyait plus (moi en tout cas ). C'est à croire que tu avais des choses beaucoup plus importantes que continuer ton récit Bon, pour en revenir au récit en question, il est sympa d'avoir fait un petit résumé au début... ça aide. Au niveau de la longueur, pas de problèmes. Quelques problèmes de forme : "La distance le séparant..." ou "les mètres [...] diminuaient" Toute toute son âme réclamait deux mètres au niveau de la main, plutôt Sa lame fut dégainée, je suppose s'était élevée... menace cachée leur prétaient continuait de serrer Je ne vous permet pas me donnent idem derrière Kurt, qui se retourna ... (ponctuation) le visage ===> ne promettait puis il détourna le regard (ponctuation) Il manque un "passer" il se sentait le vieil du Prince un cri tuer vous ai-je pas rappelé Sinon, au niveau fond, c'est toujours très agréable à lire. Les descriptions sont riches mais pas surchargées, le suspens est maintenu. Une petite ombre au tableau cependant... Anaëlion semble bien vivre le comportement disons "emporté" de Kaëra à son encontre. Sinon, c'est que du bon. Vivement la suite! Va falloir que je me remette à Dernier Regard moi A+
  15. Ce tactica tombe plutôt bien, en ce qui me concerne, étant donné que je pense me bricoler une liste Eshin en vue d'un prochain tournoi. Au niveau de la forme, je n'ai pas grand chose à redire, si ce n'est que c'est très clair et bien expliqué... peut être un tantinet trop catégorique parfois. Comme tu l'as dit, à chacun sa façon de percevoir la partie, ses objectifs et son déroulement. Un ou deux points sur lesquels j'aimerai revenir : Comme le dit Aktair juste au-dessus, je trouve que les gloabdiers sont un choix à ne pas négliger, surtout dans les parties à petite échelle (moins de 2000 en général), voire même préférable à la triade dans certains cas, car moins chers et plus complémentaires du reste de l'armée (qui ne manque pas d'assassins mais d'ouvre-boîtes) Car assassiner les persos ne se fera pas toujours sans casse (je te trouve un tout petit peu optimiste sur ce point)... et même avec le bonus de 100 points, il faudra bien redresser la vapeur quand un assassin se fait rattraper dans sa fuite... et ça veut dire prendre les points où ils sont : dans les sacs à points en armure lourde. Deuxième chose : je pense que, contrairement à ce que tu préconises, il faut éviter de trop blinder au niveau options. C'est vrai que des coureurs d'égouts avec 2 armes empoisonnées et étoiles empoisonnées sont tentants mais ils deviennent ce qui est, AMHA, très risqué dans une liste Eshin : des sacs à points (vulnérables, qui plus est) Même si jouer avec des troupes spécialisées dans le corps à corps où le tir rend l'armée beaucoup moins flexible (et nécessite donc un contrôle presque total du terrain), cela permet de jouer sur la redondance d'unités peu chères mais qui, bien utilisées, ont un potentiel de nuisance presque équivalent à celui de troupes plus lourdement armées. Dernière chose : en moins de 2000 points, 2 sorciers et un assassin ou 2 assassins et un sorcier? Perso, je pencherai pour la deuxième solution (qui a cependant le gros désavantage d'être horriblement chère) avec un assassin étoilé et un avec lames suintantes et fumigènes (là encore, spécialisation au niveau des objectifs) En tout cas, encore bravo pour le travail effectué, qui m'a ouvert certaines perspectives. A+
  16. Bonsoir à tous, un petit débrief rapide, étant donné que tout a déjà été plus ou moins dit. Ma liste (dont je ne comprends toujours pas la note de compo d'ailleurs...) Gégé : nécro niveau 2, PAM et familier de sort Nécro niveau 2, PAM et Livre d'Arkhan NN DdS, 2 armes, armure lourde, bouclier, livre interdit 2*16 Skulls avec bannière et champion, lances 2*6 goules 2*5 loups 6 CN avec caparaçons, EMC et guerre 16 GdC avec boucliers et EMC Banshee Cyril et ses elfes noirs La partie commence plutôt bien, à priori, une unité de Skulls invoqués fait fuir la sorcière esseulée, après qu'un PAM l'ai sauvée de justesse d'un regard de Nagash, mais la bougresse se raliera un peu plus loin. La banshee crève les tympans de 5 des 6 harpies et la 6e s'enfuit au premier tour. Donc un début de partie plutôt pas mal. Et puis c'est le drame, je commence à être timoré, je n'arrive pas à me débarasser des ballistes, j'englue le noble sur char dans un pavé de Skulls qui font quand même un peu trop vite à mon goût, les Cavaliers Noirs font tourner en bourrique les Chevaliers qui, de dépit, finiront par aller s'écraser dans les exécuteurs où ils périront (pas réussi à faire charger les skulls invoqués sur leur flanc). Mon nécro se fait tuer au dernier tour par un cavalier noir qui charge irrésistible à travers la banshee (que j'avais placée là pour le protéger... mais un peu trop alignée) Un tas de bannières, la mort du gégé et plein de quarts de table donnent une large victoire à mon adversaire malgré le coup d'éclat des GdC sur la fin qui exterminent les lanciers et la sorcière Charles et ces CV La partie la plus honteuse de ma vie... je joue encore plus mal que lors de mes débuts (peut être pas, mais presque) offre mon gégé au deuxième tour... me dis qu'il serait raisonnable de s'arrêter là, mais décide de continuer pour ne pas priver el butcher d'une victoire bien méritée... et là, c'est tout le contraire qui se produit : une moule incroyable aux dés me fait remporter la partie... comme quoi, la vie est mal faite. Encore désolé Charles César et son Empire Que dire... bon, je pense que maintenant, je me souviendrai que les canons sont équipés de lunette de précision... ça m'a coûé un nécro au premier tour, ça marque. Sinon, même erreur que contre les EN, je me dis qu'il ne faut pas précipiter les choses et forcément, face à tous ces tirs, c'est pas une bonne idée. Au moins, à défaut d'offrir un challenge à mon adversaire, je crois que je l'ai bien fait rire par mes manoeuvres biscornues et assez osées (et malheureusement, sans grand résultat). J'essayerai de faire mieux la prochaine fois. Sur ce, à demain pour ceux qui vont à Greuh A+
  17. Diantre! J'avoue être assez éberlué... Elle est vraiment pas gentille ma liste? Ok, y'a deux magos avec le livre qui va bien mais les squelettes ont des lances et y'a même des gardes des cryptes. Enfin, je suppose que l'expérience ne laisse aucun doute sur le carcatère mérité de ma note (et c'est vrai que je peux difficilement râler avant d'avoir vu les autres). Bon, ben pour Stercz et Kaci, je suis désolé, mais comme il y a toutes les chances que je me fasse poutrer et aucune pour que ma note de peinture vole bien haut (l'inverse eut été préférable), va falloir que vous assuriez A demain, si la neige le veut bien :'( A+
  18. Personnellement ça ne me pose pas de problèmes. Le seul truc génant est que (je ne sais d'ailleurs pas pourquoi) les impériaux me mettent (un peu trop) en confiance... donc faudra pas vous étonner si je joue encore plus mal que d'habitude (quoi qu'il semble que je n'ai pas encore eu le plaisir d'affronter aucun d'entre vous) Sur ce, fin des parenthèses A samedi
  19. A priori, pas de problèmes pour le 26 pour moi, sauf assaut massif et inopiné de DM de Physique et autres joyeusetés... Hem, question par contre : le système de compo/refus de liste est sévère ou plutôt coulant? Parce que j'ai une liste rigolote que je vais étrenner à St-Etienne mais tout ceux à qui je la montre sont horrifiés A+
  20. Ben en fait, il me semble qu'on attend plus ou moins que vous fixiez une date pour savoir qui est dispo de notre côté... Faut voir avec Stercz pour confirmer mais il me semble que ce serait bon pour l'un ou l'autre week-end. A+
  21. Impossible, les lois de la non-vie m'immunisent doublement à la peur... Et puis d'abord, c'est pas moi mais le chef qui le dit : Parce que sinon, je suis toujours prêt à me faire dérouiller, surtout par le butcher (que je n'ai, j'y pense, jamais affronté d'ailleurs) Faudra juste s'arranger pour avoir au moins une voiture... A+
  22. Je suis partant, bien sûr, mais je suis prêt à céder ma place si d'autres ont envie d'y aller, étant donne que je vais déjà avoir le (douteux) privilège de me frotter aux représentants de Tassin lors du sus-nommé chtit tournoi stéphannois. Voila. A+
  23. Salut, tout d'abord : Pas de bol, j'aimerais bien qu'on en parle, justement. Je ne vois pas trop ce que tu veux dire. Ca n'a pas l'air de te plaire, mais le problème c'est que si tu regardes même le monde réel, tu as des étudiants, des ouvriers, des cadres, des militaires, etc., tout un tas de "profession" qui font un peu JdR. De là à dire que la vie c'est AD&D... D'accord, les "autres" vampires sont peu détaillés à ce stade là, mais le lecteur apprendra à les connaître en même temps que Joshua... Donc, vraiment, je ne suis pas sûr de cerner la cause de ton malaise... et ça m'embête pas mal... point de malaise, juste une pathétique tentative d'humour de ma part (mon plus gros défaut, l'humour, assurément...) le "(n'en parlons plus, par pitié...)" se rapportait aux résultats de Manndred et Helena qui ont l'air... douloureux... encore navré... Ok, j'avais pas compris ça comme ça (faut pas trop verser dans l'implicite ou le second degré... je ne suis plus, moi, après ) Pas bête du tout... je modifierai. Sinon, voila la suite, qui a mis très longtemps à venir, je vous l'accorde, et qui va vous laisser sur votre faim. J'en suis désolé (ou pas... ) Voila la bête, bonne lecture. Joshua se jeta instinctivement en arrière dans l’étroit corridor. Le projectile de feu arracha une partie du chambranle de la porte avant d’exploser contre le mur du couloir, projetant sur lui une pluie de débris incandescents. Heureusement, les flammes naissant sur ses vêtements furent étouffées par le froid glacial émanant de son pendentif. Il rampa en arrière, s’éloignant du brasier qui naissait déjà dans l’encadrement de la porte. Les cris s’élevaient toujours dans la bibliothèque mais il ne discernait rien de précis à travers le rideau de flammes. Rassemblant ses esprits et son courage, il se releva et dégaina son épée. Le mur de feu était trop large pour qu’il puisse espérer le traverser sans risques, aussi commença-t-il à psalmodier une incantation sifflante. Presque aussitôt, il sentit une présence hostile qui tentait de s’insinuer dans son esprit pour en briser la concentration. Elle était puissante mais diffuse, semblant provenir de nulle part et de partout à la fois, comme si la demeure elle-même s’opposait à lui. Des vagues de chaleur semblaient émaner des murs mêmes du corridor et la température s’élevait à mesure qu’il luttait. Il fallait cependant qu’il achève cette incantation. Saisissant son pendentif, il continua à égrener sa litanie, sa voix s’élevant en un crescendo douloureux. Des flammèches jaillirent sur les murs autour de lui. L’air se desséchait, s’emplissait de fumerolles, mais il poursuivit son incantation jusqu’à ce que, rugissant le dernier mot, il soit pris dans une sphère glaciale qui dévora les flammes et couvrit le sol d’une fine pellicule de givre. Chancelant sous l’effort, il fit quelques pas en direction de la porte, dissipant les flammes de son aura spectrale. Ayant retrouvé sa contenance après quelques instants, il se rua à l’intérieur de la bibliothèque, passant, indemne, à travers le mur de feu. Un rapide coup d’œil lui permit de constater que les vampires étaient lentement repoussés vers le mur est par un flot continu de projectiles incandescents qui balayait la salle d’un mur à l’autre. Luther avait dû se réfugier derrière l’étagère où se tenaient Manndred et Elric. Marcus peinait à achever son incantation sous la pluie d’échardes enflammées qui s’abattait sur Helena et lui. Raffermissant sa prise sur la garde de l’épée trouvée dans l’antre du Stryge, Joshua se précipita vers le mur de flammes blanches derrière lequel s’abritait le sorcier. Il entendit Marcus crier quelque chose mais ne parvint pas à saisir ses mots. L’air parut onduler lorsqu’une boule de feu frappa la sphère d’un bleu pâle qui entourait le vampire, mais le maléfice tint bon et Joshua plongea à travers le rideau ondoyant. La température redevint infernale lorsque l’aura de froid du tombeau céda finalement, mais Joshua avait alors franchi la barrière érigée par son adversaire. Celui-ci se tenait à quelques pas du vampire, apparemment indifférent à la fournaise qu’il avait provoqué malgré son embonpoint. Vêtu d’une longue et ample robe écarlate aux ourlets d’or sur laquelle tombaient en cascade ses cheveux frisés d’un brun sombre, le sorcier flamboyant toisait son adversaire de toute sa hauteur. Il avait dû être d’une carrure massive dans sa jeunesse, mais bien qu’il se tienne dressé dans une attitude fière et défiante, le temps avait voûté ses épaules. Il arborait une courte barbe soigneusement taillée en pointe, qui laissait entrevoir ses lèvres pâles. Son visage ridé était agité de tics nerveux tandis que ses yeux, tels deux soleils, brûlaient de la même flamme que celle qui se trouvait lovée dans sa main aux longs doigts osseux. Un étrange malaise s’était emparé de Joshua à la vue du visage du vieil homme. Pendant une fraction de seconde, il lui avait semblé que le brasier à sa droite avait disparu et que la lueur du soleil jouait sur les rayonnages. Au dehors, un oiseau faisait entendre un chant mélodieux. Le vieil homme était juché sur l’une des échelles de laiton, lui tournant le dos, et semblait chercher quelque chose dans les rayonnages. Et au pied de l’échelle se tenait la jeune femme qui hantait ses pensées, s’adressant au vieillard d’une voix pleine d’affection et, bien qu’il ne comprenne pas ce qu’elle disait, le simple son de cette voix emplit Joshua d’une douce mélancolie. Lorsqu’il reprit ses esprits, le sorcier vacillait. La flamme dans ses yeux était morte et il semblait foudroyé par l’étonnement. Ce fut avec peine qu’il bredouilla : « Vous !… C’est impossible ! » A+
  24. Salut à tous, Après presque 2 mois d'absence (c'est fou ce que le temps passe vite), j'ai enfin le temps de le prendre pour répondre à vos commentaires. Tout d'abord, merci à tous pour votre lecture (très attentive dans le cas de Gemini Dragon), en revenant au dernier passage, je me suis rendu compte de ce qui clochait. J'ai donc un peu tronqué les descriptions, ne gardant que l'essentiel (du moins, selon moi). Je souhaiterais avoir votre avis sur ces modifications. Ensuite, pour Gemini Dragon : Le récit n'a pas vraiment d'ancrage temporel et j'avoue ne pas avoir prêté attention aux (nombreuses) chronologies fournies par GW. Je reviendrai peut être là-dessus si besoin est. et pendant les huit ans où il n'était pas là, comment sa famille, qui peinait à survivre alors qu'il trimait, a-t-elle pu ...survivre ??? Tu as la dent dure (c'est ce qu'il faut). Je suppose qu'un écuyer gagne un peu mieux sa vie qu'un paysan de base d'où, sans leur permettre une vie confortable, la famille de Jean ne doit pas (trop) dépérir. Peut-être... cf un peu plus haut. il a prononcé son serment il y a 4 siècles, débuté sa quête il y a près de 7 siècles; le nécromancien a rencontré Jean et ils sont partis en quête il y a à peu près 9 siècles, Marcus n'est pas le nécromancien ??? le Nécromancien serait mort il y a environ 500 ans ??? (ou bien Marcus est bien le nécromancien, et le "7 siècles que ma quête a commencé" parle de sa quête sans Jean; ou alors le serment est la promesse, dans ce cas, pourquoi le décalage de 200 ans ???)) Très juste (je suis faché avec les dates, moi...) rectification effectuée : la phrase "l'histoire de l'ordre commence il y a près de 900 ans" a été remplacée par "[...]il y a près de 600 ans" Donc : *début de la quête nécro/von Carstein : -700 par rapport au moment où Marcus le raconte. *Mort du vC : -650, grosso-modo *Mort du DdS et rencontre nécro/Jean : -600 *mort de Jean : -400 *Constitution de l'Ordre : de -400 à 0 le nécromancien est donc bel et bien Marcus. Pas de bol, j'aimerais bien qu'on en parle, justement. Je ne vois pas trop ce que tu veux dire. Ca n'a pas l'air de te plaire, mais le problème c'est que si tu regardes même le monde réel, tu as des étudiants, des ouvriers, des cadres, des militaires, etc., tout un tas de "profession" qui font un peu JdR. De là à dire que la vie c'est AD&D... D'accord, les "autres" vampires sont peu détaillés à ce stade là, mais le lecteur apprendra à les connaître en même temps que Joshua... Donc, vraiment, je ne suis pas sûr de cerner la cause de ton malaise... et ça m'embête pas mal... D'un autre côté, c'est un peu le boss de l'Ordre... les caravanes, naines, font la navette entre la mine, naine, et l'Empire, c'est ça ??? dans ce cas, ne devraient-elles pas être en partance pour l'Empire ??? En fait, le mieux est d'écrire : "des caravanes naines passaient souvet par le village" car, comme elles font la navette, un coup elles sont en partance pour l'Empire, un autre elles sont en provenance de l'Empire... modification effectuée pourquoi ??? Parce que, dans une logique "les gens viennent du dessus", il semble plus logique de trouver des signes d'habitation à mesure que l'on se rapproche de la surface, non? Pour Jorgar : En fait, ce ne sont ni des zombies (trop voyants et trop c**), ni des nouveau-nés (qui auraient du mal à faire des recherche en plein jour) mais plutôt des humains liés à Marcus par le sang. Il me semble que dans le mythe du vampire, celui-ci peut *soit vider sa proie de son sang et la laisser mourir *soit la vider puis lui donner une goutte de son sang pour en faire un vampire *soit lui donner une goutte de sang (mais sans la vider) pour créer un lien maître-esclave fort, mais qui doit être maintenu par des "dons" de sang régulier. Ici, il s'agit du dernier cas : les brigands restent humains, donc ils consèrvent une certaine liberté de pensée mais sont d'une loyauté surnaturelle envers leur maître. Donc plus pratique, moins voyant... et commestible... Pour ce qui est de la suite, elle est en cours d'écriture et ne devrait pas tarder à arriver. Encore désolé pour l'énorme retard qui a été pris, j'espère que cela n'entravera pas trop votre lecture. A+
  25. Wilheim Von Carstein

    Répurgateurs

    Salut à toi, Je n'ai relevé qu'une erreur de forme : had tolet go off Au niveau fond... ,c'est beau. Le passage est déjà très bien comme ça, mais je pense que si tu veux l'améliorer, il pourraît être bon de te pencher un peu plus, tout d'abord sur les pensées puis sur les sentiments de Misha, car l'action est un peu trop rapide pour qu'on ait vraiment le temps de s'émouvoir vraiment. Ca fait peut être un peu cliché mais on a l'impression de regarder un bon film, mais sans aucun ralenti. L'action se déroule à vitesse normale, sans aucune distorsion du temps pour mettre l'accent sur les choses. Cela me semble particulièrement vrai pour la mort de Stephan, qui est très bien décrite mais à mon avis trop rapide et elle semble n'avoir que peu de conséquences sur Misha (qui a d'autres chats à fouetter, certes) Je pense (mais ça n'est que mon avis et on me critique parfois pour mes descriptions trop longues) que tu devrais intercaler un passage "sentimental" entre et Quelque chose du genre : "Misha was shocked and speechless as she saw the three men falling down and vanishing into the shadow of the street. It seemed that she had suddenly become deaf, she couldn't hear anything but the thud of her heart in her chest. She feeled like she was choking, she gasped for a breath as recollections assailed her [...] Yet she had to go on. She had to live to take care of the twins, to honour Stephan's last will... and to avenge him. She recovered when she saw the third man..." Bon courage pour la suite. A+
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