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Lord Paladin

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Tout ce qui a été posté par Lord Paladin

  1. Lord Paladin

    [Samedi] If

    Hum... très bonne explication d'un poème qui m'était inconnu et constitue un bel exemple de lettres d'outres manche. Merci Silv' ! Pal'
  2. La salle est remplie de containers, partout des dockers aux pantalons de toiles durs et aux muscles augmentés artificiellement se pressent pour transporter de lourds sacs de droites et de gauches. Les plaques de métal en mauvais état grincent alors que vous avancez vers le contremaître qui hurle ses ordres dans un étrange dialecte. Au bout de la passerelle, une porte à l'aspect élégant s'ouvre sur un monde d'un blanc immaculé, presque irréel. D'abord intimidé vous n'osez pas interrompre le cadre mais il finit par vous apercevoir et s'adresse à vous d'une voix tranquille : "Et bien, tu ne sais pas quoi faire ? Prends le sac blanc là bas et amène le sur l'embarcadère 36D." "C'est à dire, que, je suis pas docker monsieur !" bredouillez vous avec empressement. "Hum, c'est vrai. désolé avec tout ces préparatifs je suis débordés alors que voulez vous monsieur ? - Et bien, qu'est ce que vous préparez ici ? - Oh, tu es vraiment nouveau alors. On est sur le pont n°15 de la frégate RRX. Nous partons demain pour les 112 dimensions de l'espace des jeux et nous embarquons les dernières caisses avant de mettre les propulseurs vectorielles en fonctionnement. - RRX c'est pour ? - Rencontres Rôlistes de l'X, l'X c'est la maison mère, située dans l'Essonne, à Palaiseau pour être précis. Le départ est prévu pour le 2-3 avril mais dès que les techniciens auront finis de visser le panneau de contrôle vous pourrez réservez vos places et choisir vos portails sur le site. Enfin bref, tout ca pour te dire petit, si tu veux découvrir du jeu de rôle avec des centaines de fous rassemblés dans une trentaine de salles, un tournoi de battle, de magic, du mah jong, etc. Reserve ton week-end et reviens me voir dans une ou deux semaines... il devrait y avoir du nouveau." Pal'
  3. Lord Paladin

    Le bolter astartes

    Comme dit, au dessus, le principe même de Deathwatch c'est de jouer un MARINE (prononcer avec un accent anglais en hurlant et en sentant l'armure énergétique grincer tandis que l'on prends une pose plus à même de faire cracher les amplificateurs sonique). C'est à dire un humain, recruter parmi les plus puissants à qui tu as greffé un deuxième coeur, un troisième poumon, lui a fait prendre sa dose d'amphétamine divers avoir remplacer sa peau par une armure etc. Et équipé du meilleur équipement que tu puisse trouver dans l'Imperium. Alors oui, c'est gras ; et ça va décaniller du lamantin à grand coup de lance tronçonneuse à roquette. Donc c'est pas vraiment étonnant qu'un ork ne lui fasse pas mal. En fait, tu flippe quand tu tombe sur des bandes de genesteallers au contact ou autre truc vraiment crade ! (mais vraiment quoi) Les orks, c'est comme les oeufs, ca se gère à la douzaine. Ensuite si tu veux donner une autre ambiance à tes parties libre à toi, c'est toi le MJ, demande à tes joueurs aussi ce qu'ils cherchent (ben oui, ils sont la pour s'amuser et moi quand on me propose du DW, je me dis : Chouette, ce soir on mange du steak de Carnifex) mais s'ils sont d'accord avec toi, fonce, ce n'est pas un livre de règle qui doit te laisser enfermer. Adapte et surtout : fais toi plaisir. Pal'
  4. J'aime beaucoup ton poème et je trouve dommage que tu ne maîtrise pas encore les règles élémentaires de la poésie car c'est sur des détails bien futiles que ton poème perd sa force. La métrique approximative dû à une mauvaise connaissance des règles du "e" muet m'incite en particulier à la lecture de la première partie de cet ouvrage. Remarquablement utile à tout début, -- j'en ai toujours une version papier sous la main pour ma part. Ce que j'apprécie particulièrement c'est le choix d'un style approprié à la fois sinistre et mélancolique mais pas dépourvu d'espoir sur le jour présent. Le vocabulaire recherché et suggestif aide entre autre à plonger le lecteur dans ton univers en noir et blanc par les contrastes marqués. Cependant il reste encore quelque problème de rythme notamment de césure étrangement placée. Mais vraiment c'est un joli poème que tu nous offre là et avec un minimum de retravaille tu arriveras à beaucoup. N'hésite pas à nous demander des précisions et à nous offrir d'autre oeuvres. Pal'
  5. C'est étrange. autant j'aime beaucoup les images est les idées qui s'enroulent autour de tes poèmes, autant le rythme torturé ne me réussit pas du tout. Je n'arrive pas du tout à me laisser bercer par ce genre de sonorité si bien que je ne rentre pas dans l'atmosphère que tu cherches à créer. Dans le premier poème tout d'abord : le rejet entre les vers 3 & 4 est un bon exemple de ce que je n'arrives pas à suivre. Qui plus est ce vers là : "Et mon regard par mes excuses" semble un pied trop long ce qui accentue encore mon imperméabilité. Enfin le fin des poèmes ne me satisfait pas du tout rythmiquement. Je pense aussi que l'absence de ponctuation participe à cet état de fait. Mise à part le rythme impair qui me dérange un peu, notamment au niveau des vers 2, 7 & 10. (Je ne sais pas pourquoi ceux là en particulier, sans doute un problème de césure) le poème se tient déjà un peu plus correctement. Mention spéciale pour le sonnet en n-1, j’apprécie beaucoup l'idée. Pal'
  6. Lord Paladin

    Convention ECLIPSE Rennes

    Ecoute camarade, je vais essayer de bouger mon club pour qu'on y fasse une descente en belle et due forme afin de piller, de violer et de raser tout ce que l'on pourra. Plus sérieusement, ce n'est pas gagner car cela tombe durant nos partielles et le lendemain de notre soirée de gala (arf!) mais je vais essayer de venir et d'emmener du monde avec moi. See ya, paladin !
  7. Oui, enfin, achever le boulot avant de reprendre les cours, ca parait une bonne idée aussi. (surtout quand les cours du lundi risque de décaper le cerveau au démantibuleur dynamique d'ornithorynques). Bon allez, j'y retourne... Pal'
  8. Voila le fruit d'une de mes dernières insomnies, c'est énervant mais au moins c n'est pas complètement inutile de ne pas s'endormir... Lors soudainement, Comme en un rêve caché, Je vis un poème. L'idée fut saisie, Épinglée de quelques mots, Puis elle mourut. Voila, au passage je maudis tout les claviers du monde de ne pas comporter de "É" ni de "À". Pal'
  9. Bon avec un peu de retard (mais il en faut toujours), voici ma modeste participation à cette louable entreprise : Aujourd’hui pour notre traditionnelle critique du samedi, je vais tenter de redonner aux jeunes poètes le gout des formes complexes et des contraintes poétiques les plus sévères. L’on pourrait sans doute se contenter de citer les paroles de Paul Valèry : “Est poète celui auquel la difficulté inhérente à son art donne des idées, - et ne l’est pas celui auquel elle les retire.” Je ne peux cependant m’empêcher de vous faire partager l’œuvre d’un noble poète qui joignant le geste à la parole forgea ce poème : L'art Oui, l'œuvre sort plus belle D'une forme au travail Rebelle, Vers, marbre, onyx, émail. Point de contraintes fausses ! Mais que pour marcher droit Tu chausses, Muse, un cothurne étroit. Fi du rhythme commode, Comme un soulier trop grand, Du mode Que tout pied quitte et prend ! Statuaire, repousse L'argile que pétrit Le pouce Quand flotte ailleurs l'esprit : Lutte avec le carrare, Avec le paros dur Et rare, Gardiens du contour pur ; Emprunte à Syracuse Son bronze où fermement S'accuse Le trait fier et charmant ; D'une main délicate Poursuis dans un filon D'agate Le profil d'Apollon. Peintre, fuis l'aquarelle, Et fixe la couleur Trop frêle Au four de l'émailleur. Fais les sirènes bleues, Tordant de cent façons Leurs queues, Les monstres des blasons ; Dans son nimbe trilobe La Vierge et son Jésus, Le globe Avec la croix dessus. Tout passe. - L'art robuste Seul a l'éternité. Le buste Survit à la cité. Et la médaille austère Que trouve un laboureur Sous terre Révèle un empereur. Les dieux eux-mêmes meurent, Mais les vers souverains Demeurent Plus forts que les airains. Sculpte, lime, cisèle ; Que ton rêve flottant Se scelle Dans le bloc résistant ! Théophile Gautier bien sûr, dans Émaux et camées, 1852. Passons désormais quelques moments à analyser ce morceau de bravoure. Sur le fond, rien de bien nouveau. On peut séparer le poème en quatre parties d’égale longueur : la première (strophe 1 à 3) annonce le ton du poème en donnant l’importance des contraintes dans l’art poétique : « Point de contraintes fausses ! ». Si les règles sont si nombreuses, il faut en comprendre la raison avant de les rejeter. Elles servent en effet à structurer le rythme, et donc la pensée, à faciliter la lecture et à donner les règles du jeu. Mais le poète nous appelle à plus : « Fi du rhythme commode, » l’accent n’est plus mis ici sur les règles classiques jugées « commode », mais sur l’innovation, sur le bousculement de l’habitude. Il ne s’agit pourtant pas de tout remettre à plat comme le feront plus tard Bertrand ou Rimbaud, mais de s’enfermer dans des contraintes plus sévères encore. La seconde et la troisième partie de quatre strophes chacune prennent appui sur d’autres formes artistiques pour appuyer les paroles de l’auteur. Que ce soit le peintre ou le tailleur de pierre, chaque artiste doit pour créer une œuvre supérieure, se contraindre aux formes les plus complexes et les plus structurées. Les plus rebelles, car ce sont ces matériaux rudes et résistants qui traverseront les siècles pour témoigner de l’habileté de leur père. De même le peintre est invité à rivaliser d’habileté et à se frotter aux techniques les plus élaborés pour créer quelque chose de grand et de durable. Enfin, la dernière partie referme le poème en évoquant l’éternité de l’art – avec un petit parti pris pour celui des lettres – à travers toutes les œuvres humaines. Sur le plan de la forme, on ne peut que s’incliner devant le nombre de contraintes dont s’est chargé notre poète : Rythme complexe avec des quatrains de 6/6/2/6, alternance de rimes féminines et masculines, grande recherche dans la richesse des rimes puisque la plupart sont riches, et ce malgré la brièveté des vers. Tout semble concourir à enfermer le poète dans la difficulté et l’empêcher de développer sa pensée. Pourtant, c’est avec brio que Gautier forme son poème et parvient à mener jusqu’au bout sa démonstration. Le moule revêche donne une force toute particulière à ses paroles qui coulent littéralement comme un flot liquide, comme une statue aux formes parfaites. Rien n’arrête le lecteur qui se laisse porter par la chanson et balloter par ce rythme étrange. Du reste ce choix particulier dans sa forme fournit en premier plan une double mise en valeur : celle du dissylabe tout d’abord, qui de par sa dissymétrie d’avec les autres ne manque pas de frapper le lecteur, celle du dernier vers aussi qui se retrouve isolé et souligné. L’auteur s’en amuse et joue tantôt sur l’opposition de ces deux valeurs : « Sous terre/Révèle un empereur. » ou bien que leur union : « Demeurent/Plus forts que les airains. » Mais ce n’est pas tout, le vers précédent le dissylabe, bien que moins marqué acquiert lui aussi une certaine emphase et c’est d’une certaine manière le poème entier qui est mis en avant, qui frappe le lecteur, marque son esprit et résonne dans son ensemble par le simple choix de ce rythme peu commun. Voila, je vais désormais cesser de vous importuner avec mes pseudo analyses littéraires en espérant vous avoir donné l’envie à vous aussi de vous frotter aux contraintes les plus rocambolesques. Hell Palouf (Retour à la liste des chroniques)
  10. Désolé, j'ai complètement oublié à cause de mon jeu de rôle hier, je vous envoi ca dans dix minutes dès que je l'ai relu ! Pal'
  11. Lord Paladin

    Shadowrun

    Et plus important encore, shadowrun dispose en France d'une très bonne communauté active dans de nombreux évènements et toujours prête à répondre à vos questions, les shadowforums : http://www.shadowforums.com/forums/ Certains membres ont participés à l'élaboration des versions française de ce célèbre JdR et ils seront toujours heureux de vous incorporer à une partie, alors que vous soyez sur Paris, Toulouse ou Seattle, n'hésitez pas y faire un tour. Notamment le cyber espace (en haut à gauche), il recelle des trésors aussi bien pour les MJ que les PJ : archétypes de personnages clef en main, nombreux scénarios, aide de jeu, conseil pour la façon de jouer certains types de personnages, etc. Pal' qui masterise une campagne shadow c'est dernier temps parce que l'univers et l'un des meilleurs qui soit même s'il faut un peu de temps pour en percevoir toutes les subtilités.
  12. Mais tellement +1 quoi !!! Sinon, pour la samedi prochain, j'ai déjà fait le gros du boulot, me reste à corriger les fautes et les dernières retouches. Et oui, je suis en semaine de partielle, donc j'ai la flemme de réviser et je fais tout ce que je peux pour reculer l'échéance fatidique où je devrais ouvrir les polys de maths et de physique... Jusque là rien d'aberrant ! Pal'
  13. On a jamais trop de boulot, rappelons cette magnifique devise ornant le pull d'un de mes amis : "Dormir... mais c'est très mauvais !" Yep... merci bien parce que bon, c'est pas que le 'muel il est gentil avec ses chroniques digne des ouvrages de références m'enfin bon, j'ai connu des bières qui avait moins de pression que ça !!! Pal'
  14. C'est très bien, après j'en vois douze et je me démotive, je commente pas et je culpabilise ! Euh, pour ton poème, euh... je ne vois pas trop quoi dire d'autre. Je ne sais pas si c'est fait exprès mais... quoi ! Bref, reprenons nous ; le rythme est pas top et le fais que tu tord les phrases pour les faire rentrer dans la métrique ce qui n'est pas toujours des plus gracieux. Sur ce mon cerveau fond, les partielles d'informatique... ca pique ! <= et ca rime, je fais de la poésie... pardon ! Pal'
  15. Pas certain du résultat, il faut bien voir que Wushu est créé pour faire du cinématique et de la grande baston homérique ou les héros passent au travers d'armées entières grâce à la danse des sept dragons rugissants aprises dans le temple auprès d'un vieux maître aux long favoris et qui avait coutume de dire : "Combattre est un poème, pas d'erreur.". D'un autre côté, l'univers de warhammer est sombre, glauque, et franchement morbide. C'est un endroit où la mort attends tranquillement à l'angle de la rue et où le moindre jour peut signifier la grandeur mais le plus souvent la fin. Après, fait comme tu veux et si tu veux représenter un commando de la reiksguard venu purger un village, oui, ca peut le faire. Mais ce ne sont pas les règles les plus adaptées à l'univers à mon humble avis. Pal'
  16. Tout à fait d'accord avec toi pour conclure sur le sujet. D'une part, les personnages de bases des différents bouquins sont vraiment déséquilibrés et mettre un simple serviteur d'inquisiteur de seconde zone dans une équipe de la deathwatch... ben, il va un peu faire lavette. Alors certes hors combat il fera du bon boulot, et les SM s'ennuieront comme des rats morts, ou bien se sera l'inverse. Mais ils ne jouent pas dans le même tableau. Après avec un inquisiteur, pourquoi pas, mais ca reste complexe. Enfin pour les règles, on va faire simple, j'ai 28 bouquins de jeu de rôle dans ma chambre, dont l'édition brutale du Basic, et je les ai pas pris pour les illustrations ! Oui les règles servent, oui ca cadre et mieux ca définit un PJ et lui donne plus de corps, ca permet au joueurs de bien connaître ces limites et incorpore la tactique et un élément que l'on ne retrouverai jamais si on les supprimais. Mais franchement, il est souvent bon de rappeler aux gens qu'ils ne faut pas se laisser enfermer dedans au risque de se retrouver avec ce genre de questionnement. Et bon, on est terrifié quoi ! Pour conclure, je dirais que les règles dans le jeu de rôle, c'est comme en poésie ! C'est pas obligatoire, mais ca aide bien quand même. Pal'
  17. Ce qui en soit, n'est franchement pas le plus mauvais. Pour se faire la main, c'est génial, et de manière plus générale, je connais d'excellent poème qui se contente de décrire un paysage ou un aspect qui à première vue peut paraître très chiant et en fait, quand on y met du cœur, ca devient du très bon ! Pal'
  18. On s'est pas compris en fait, mon idée, c'est e faire jouer tout les joueurs au même jeu, en même temps. Juste que de temps en temps, on arrête les finasseries administratives de la suite de l'inquisiteur parce que bon, une fois qu'on a trouvé le QG on va pas mettre les mains dans le camboui hein ? Il y a des MARINES (prononcer en anglais, en hurlant, et avec le plus d'emphase et d'enthousiasme possible pour obtenir l'effet voulu) qui sont là pour ca. Et au lieu de dire aux PJ, ouai, ben vos hommes rase la villa. Tu leur fait incarner la mort sur patte, avec armure énergétique et bolter pour aller tataner de l'hérétique à la chainsword ; ca les défoules, il se mare bien à retrouver le type qui s'était foutu de la gueule de leur autre PJ et prenne un étrange plaisir à repeindre la salle au bolter lourd. Et puis on reprends comme avant. Le même schéma peut être répété de différente manière avec les différent supplément. Bon, je penses qu'il vaut mieux être en club pour ce genre de truc car l'intérêt d'acheter un bouquin pour quelques scénar est limité (alors que bon en club, ca reste un bon jeu et on est toujours content d'avoir du flouffe à feuilleter quand on s'ennuie). Pal'
  19. Merci Bloody, Si seulement ce pouvait être vrai ! Pour SoK, l'un de mes plus gros défaut et cela se remarque notamment quand j'écris de la prose, c'est que mes personnage parle comme je parlerai moi... et ce n'est absolument pas naturel. Je pense que ce que tu soulève dans le premier vers vient du même problème, pour moi c'est banal ; pas pour le reste du monde. Pour la répétition des figures, j'ai essayé de les écarter suffisamment, et d'une certaine manière c'est justement un rappel pour souligner un retour vers le passé tant béni. Mais j'y réfléchirai encore un peu. Quand aux rimes, oui j'ai du mal avec les "é" et les "è" (mais je ne suis pas normand, faudrait pas m'insulter non plus B) ) Bon Silverthornes : jà, si je met un titre c'est généralement pour en mettre un, le rapport est pas toujours génial. Dans l'ensemble le commentaire que tu fait est très juste, ce poème est une manière de décrire ma vie le plus fidèlement possible et j'ai parfois l'impression, quand je regarde derrière moi, de ne plus entendre les vieilles folies que me racontait le monde. Cela vient d'une part du fait que je me laisse enfouir sous un poids sans cesse plus grand de travaux divers et variés, mais aussi de changement sentimentaux, c'est vrai. C'est plus compliqué, j'ai moins de temps à leur consacrer et je le regrette parfois. Mais j'ai aussi tendance à vouloir m'investir pleinement dans ce que je fais, au moment ou je le fais, et cela demande de mettre à la porte beaucoup de choses (parfois c'est la "demoiselle endormie" ). Ou que je n'ai pas encore triomphé de moi même ; tout dépend du point de vue ! Ah et oui, j'ai beaucoup de mal avec la ponctuation, m'en va corriger cela ! Pour terminer enfin : Absolument pas, même si j'y consacre de moins en moins de temps, j'ai passé de délicieuses heures, les pieds dans les marais, l'œil dans la lunette et le nez dans le vent pour partir observer nos amis à plumes. Edit : Pour le problème de la montagne, j'ai failli avoir une attaque tant il y avait effectivement un problème (curieux que personne ne l'ai vu d'ailleurs mais passons) c'est corrigé. Pal'
  20. Vi, dans l'ensemble (je n'ai lu que la 2nd version) le poème est fluide et se laisse lire. Le rythme est lent, tranquille, sans heurts ni fracas ce qui n'est pas forcément un mal puisque cela colle parfaitement à l'image de lassitude que tu cherches à créer. Après c'est vrai que le tout manque de personnalité, le poème est dans l'ensemble assez plat et manque peut être d'un peu plus de toi même pour être vraiment réussi. Pal'
  21. Pas d'accord, ils sont plus faibles.... mais putain depuis quand on regarde les stats. Jeter les dès c'est mal. Ils ne sont pas là pour se mesurer aux cultes mais pour les trouver et les cerner, après on appel les chirugiens pour faire le boulot => Troupes de chocs de la garde, Adeptus Sororitas, etc. Pal'
  22. Lord Paladin

    Créations

    Purée... et dire que j'ai eu une seconde d'hésitation avant de me dire : "trafiquant d'arme, tiré des archétypes de SR4". Bon, ca veut déjà dire que tu as bien sur retranscrire l'original au moins. Je suis d'accord avec Snorri pour l'œil, quelque chose me choque et j'ai l'impression qu'elle à les yeux bridés de manière diagonales ce qui est très perturbant. Sinon le coup de crayon est vraiment bon. Pal'
  23. Lord Paladin

    Sans titre.

    Je m'inscris dans la droite ligne de mes camarades. Je trouve le fond très intéressant, l'idée excellente et le choix des figures le plus souvent bien mené. Seulement, le rythme fait cruellement défaut, d'une part parce que je suis un fanaschite de droite puritain rigoriste à tendance monodominante, comprends par là que j'ai plus l'habitude d'un rythme droit et dans les cordes les plus sévères de la poésie, notamment sur le "e" muet. Mais sincèrement : 3/3//2/4 3/2//2/3/3 (pardon, c'est trop tentant) Je crois que tout est dit !!! Il n'y a pas de rythme créé, dès les premières lignes, à un moment où tout va encore à peu près bien, ça claudique et ca cahote plus que de raison, (et bon, la suite j'ai du mal à lire parce que je prononce tout les "e" et que tout en ayant conscience que ce n'est pas ce que tu cherches, je n'ai pas le rythme que tu voulais créé dans la tête et donc, je ne saisis pas le moins du monde les "e" que tu voudrais éludés. Peut être qu'en chanson ca passerait mieux mais là, je peux pas ! Pal'
  24. Bon commençons facilement : Sans doute, mais pas consciemment ! Plus difficile maintenant : Mon cher Silverthorns, Ce n'est vraiment pas évident de répondre à un message écrit de la sorte, mais je vais tout de même m'y essayer, ne serait-ce que par devoir. Tout d'abord merci, malgré ce qui peut paraître ici mon humble existence n'est pas toujours aisée et c'est grande chance quand sur le chemin, on reçoit un flambeau de lumière tel que le message que tu viens d'écrire. Cela rassure, cela signifie que je n'avance pas dans le néant et que si la route demeure encore infinie avant de finalement devenir un homme, du moins ais-je l'impression de ne pas (trop) reculer. Ensuite, si tu crois en quelque chose, fais le tiens. Porte le, qu'importe ce que te dirons les autres, continue à avancer à travailler sans relâche. Parfois tu verra des gens déposer une fleur sur ta porte, et cela justifiera des journées entière passées à maudire ta vie (et je sais de quoi je parle). Enfin, je ne puis que te conseiller la lecture de celui qu'entre tous je considère comme le maître de la littérature fantastique : Dunsany. Pour ne citer que Lovecraft : "Dunsany n'est pas un poète, c'est plus que cela : il fait de chacun de ses lecteurs un poète." Pour ceux que l'anglais ne rebute pas, l'une des nouvelles les plus formidables de Dunsany N'oubliez jamais de rêver ! Pal'
  25. Lord Paladin

    Utopie

    Tiens, cela ressemble à de l'écriture automatique. Comme si une idée t'avait traversé l'esprit et y était resté pour courir un petit peu dans ta tête. C'est joli ma foi. Encore très faible, il faudrait recueillir cette flamme et la laisser grandir, lui donner du bois sec et dur, de la rime fixe pour l'exercer et faire une bonne flambée, après, on brulera des trucs plus amusant pour y mettre de la couleur (Strontium). Bref, je trouve cet essai plutôt réussi pour un poème en vers libre qui est pas ailleurs très ardu. Les rythmes sont effectivement chancelant notamment comme l'a souligné Ignit, la fin de la première strophe, et celle du poème. Mais sinon on se laisse porter par quelques images sympathiques. Peut être un peu plus de matière ne serait-elle pas de refus cependant. Pal'
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