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Grand-Elwin

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Tout ce qui a été posté par Grand-Elwin

  1. AMA le légionnaire vétéran n'a pas de matériel usé/ l'air sale, etc. ça c'est un vice de la mode du "weathering", propre aux figurinistes fous 40kien. Au contraire, les bonhommes ont fait du butin au fur et à mesure, et ce sont probablement ceux qui ont les moyens d'avoir le meilleur équipement. La discipline romaine étant ce qu'elle est, faut aussi oublié l'aspect négligé, sauf conditions spéciales. Pareil pour les boucliers usés, cités plus haut. Un bouclier en bois s'use très vite: il ne tient, selon les restitutions, guère plus d'une poignée d'affrontements, un seul s'il est particulièrement violent... Après un tel combat le cerclage et l'umbo étaient démontés rapidement et remontés sur une nouvelle pièce de bois, pour préparer un éventuel nouvel affrontement. C'est en tout cas ce qu'il se passait chez les Gaulois, et comme le scutum romain utilise les mêmes matériaux... je ne vois pas de raison que cela ait fonctionné très differement. A moins bien sur que le régiment soit censé être representé après ou pendant un affrontement, auquel cas tout est possible.
  2. Bah, visuellement c'est effectivement assez tendu. Le mieux, AMHA, c'est de leur donner les insignes de la première centurie, traditionnellement composée des vétérans. ça pourrait passer par un marquage sur les boucliers, et sur les signifers. Sinon quelques trophées discrets sur une paire de figurines pourraient renforcer cet aspect, mais bon, ça serait à la marge.
  3. C'est clair qu'il y a pas grand chose à redire... Eventuellement une teinte plus brillante sur le "métal" des officiers pourraient les mettre en avant (comme le masque de ton signifer), et rappeler la mince couche d'argent qui était posé sur les armures pour éviter leurs oxydation (ou juste pour faire classe? Quelle bande de frimeurs ces Romains... tout ça pour aller mourir en Germanie... ).
  4. En fait il a l'air fondu dans la colle, comme s'il y avait trop de cette dernière. J'utilise moi aussi du "sable maison", mais ça donne pas cet effet. Je dilue beaucoup la PVA en revanche, c'est peut être ça? Tu ne peins pas l'ensemble?
  5. Bon, j'ai peint quelques pirates de plus depuis mes derniers post (capitaine humain et kaptain ork, notamment) mais j'ai pas pris mon APN donc... donc à la place voilà une bonne tartée de textes que j'avais commencé à écrire pour structurer un peu le projet, me donner des idées de conversions, et juste m'amuser. Februa II La première mention du système Februa dans les archives impériales remonte au trente quatrième millénaire. A ce moment la flotte du Rogue Trader Carion Febreus, de la maison Februa, émerge du warp à proximité d’un petit système. Un ensemble de trois planètes est occupé par plusieurs nations humaines développées, maitrisant avec excellence la navigation intra-système, mais encore ignorante de la propulsion Warp. Un magos explorator, qui accompagne Febreus, découvre avec horreur les conceptions scientifiques des locaux, totalement ignorant du culte du Dieu Machine et des rituels qui doivent accompagner tout acte technologique. Les nations de Februa sont déclarées Heretek, et une opération de police est lancée par Febreus, qui rebaptise le système à son nom. Les premiers combats mettent fin aux vues optimistes de l’Explorator et du Rogue Trader, les locaux n’hésitant pas à faire usage de leurs armes les plus mortelles sur leur propre sol. Plusieurs centaines de brigades de la Garde Impériale sont pulvérisées par le feu nucléaire. Carion est fort contrarié par la tournure des évènements. Il abandonne l’idée de prendre intact les principaux centres urbains et saturent les capitales ennemies de torpilles plasma, ne laissant de ces villes orgueilleuses que des tas de cendres et de chairs fumantes. Les dernières résistances s’écroulent, tandis que les institutions impériales s’installent à Magna Terra, l’ancien camp de base de l’armée d’invasion promue capitale du système. Carion impose aux Fébruens une restructuration de leur économie, déjà largement ébranlée par la guerre, en ordonnant la construction de plusieurs docks orbitaux. Le savoir faire des locaux en matière de construction spatiale sera ainsi mis à profit pour réparer les bâtiments de la flotte et compenser les pertes. Le Magos Explorator est joint à ce projet, en apportant sa maitrise des technologies warp d’une part, et en confisquant tout ce qu’il frappe du sceau l’Hereteknologie de l’autre. Les travaux de restauration de la flotte sont menés à bien, mais au prix d’efforts terribles pour les populations occupées. Le départ de Febreus est accueilli avec un certain soulagement par les locaux, alors que les premiers contacts commerciaux sont établis avec les plus proches systèmes impériaux. En 35K Februa est devenu un centre mineur du segment, produisant une faible quantité d’escorteurs et de transporteurs spatiaux intra systèmes. Bien que rallié à la Pax Imperia, il continue d’être secoué par de dangereuses tensions internes. Les descendants des Febreus continuent à régner sur le système, en occupant de manière héréditaire le poste de gouverneur. Maître des forces de défenses planétaires et de l’administration locale, ils ont joués discrètement en faveur de quelques hereteknologies des anciens Fébruens, qui permettent d’accélérer la production et de dégager de meilleurs profits. Cette politique l’oppose régulièrement à l’Adeptus Mecanicus, dont une colonie importante a été laissée sur place par le magos explorator, afin de maitriser les technologies utilisées dans les docks spatiaux et, en théorie, sur les planètes Februa I, II et III. L’activité est toutefois beaucoup trop importante sur ces dernières pour pouvoir faire autre chose qu’accorder ou retirer des licences d’exploitation mal contrôlées. En 36K une tempête warp éclate prêt du système, détournant la principale voie commerciale du secteur à plusieurs mois de navigation. L’économie locale s’écroule, les tensions sociales vont croissantes, jusqu'à éclater en plusieurs guerres civiles sanglantes. L’Administratum, perturbé par la tempête, vient réclamer la dîme impériale avec 10 ans de retard, avec tous les arriérés, et calculés sur les anciens chiffres de production de Februa. Non seulement le règlement est impossible dans les temps impartis, mais en plus l’administration impériale refuse toute négociation. Les autorités fébruennes se rassemblent alors pour un conseil extraordinaire. La situation semble insoluble : faut-il lever des impôts exceptionnels et finir pendus par la populace, ou déroger temporairement aux obligations impériales et finir exécutés ? Le gouverneur Carion XIII, en digne descendant de Rogue Trader, propose alors de réfléchir autrement : puisqu’il n’y a plus assez d’argent dans Februa, il faut aller le chercher ailleurs… La route commerciale passant maintenant beaucoup plus loin, de nouveaux systèmes doivent profiter de cette manne et « voler » ainsi ce qui revenait avant à Februa. Il ne sera donc que légitime de récupérer ce dû, par la force si nécessaire. La proposition choque au premier abord, mais les alternatives sont peu nombreuses. Le fabricator fébruéen lui-même finit par donner son accord. En effet son ordre a conservé d’anciens escorteurs par des moyens détournés, contre l’avis d’une autorité centrale auprès de laquelle le gouverneur n’hésiterait pas à le dénoncer, si jamais il venait à chuter. Ces antiques machines, laissées sur place pour réparation par Carion I, sont réarmées, leur profil habilement altérés et toute marque d’identification retirés. Au sol, les éminences grises de Carion se font fort de recruter discrètement parmi les nombreux déshérités des équipages suffisamment désespérés pour espérer gagner leur vie par le combat. Les trois escorteurs sont bientôt prêts et la première « course » lancée. Celle-ci ressemble fortement à une catastrophe : le premier bâtiment subit une avarie grave dès sa première journée de voyage et n’arrive même à quitter le système Februa. Les deux autres passent toutefois avec succès dans le Warp pour émerger prêt de la route Macharia IV où ils lancent plusieurs raids éclairs sur des convois marchands. La chance accompagne cette fois les Fébruéens, qui ramène en une seule prise de quoi payer plusieurs années d’arriérés de la dîme. Le conseil des puissants est plus que satisfait : non seulement il va sauver sa peau, mais en plus il peut espérer engranger quelques profits substantiels. La peur du risque commencent à s’effacer devant les rêves de richesse. La dîme payée les opérations continuent donc, les corsaires fébruens poussant le plus loin possible leurs opérations pour éviter d’être identifiés. Leurs résultats sont dignes de l’expression « hasard de la guerre ». Le « Cupide » subit régulièrement des avaries graves, essuyant de catastrophiques fluctuations du champ de Geller, des pluies de météorites ou des rencontres inopportunes avec la flotte impériale, qui lui assure une terrible réputation. Finir à son bord est la pire affectation que peuvent espérer les fébruens, tout du moins jusqu'à la bataille de Zür-Nash, en 37K. La « Vedette » engrange elle succès sur succès, arrachant même un nouvel escorteur des mains du Royaume du Sebarex. Ses hommes ne sont plus connus des autres corsaires fébruens que sous le surnom de « Chattards », qui expriment surtout envie et jalousie. Fuyant toute opposition militaire solide en partant dans l’espace warp, multipliant les opérations au-delà des territoires impériaux ou loin de Februa, les trois bâtiments arrivent tant bien que mal à écarter les soupçons. de leur monde d’origine La roue tourne lors de l’attaque du convoi transportant la dîme d’un système rival, Janus Imperator. Les autorités impériales, aiguillées par un gouverneur rival, a rempli les cargos de troupes de choc, prêtes à faire une petite surprise à des corsaires beaucoup trop audacieux. Un capitaine fébruen, Silar l’Œil-mort, vendu aux arbitrators, a promis d’attirer les trois bâtiments dans ce piège mortel. Il arrive à convaincre Carion XVI que l’attaque d’un convoi de dîme est chose faisable, en lui faisant miroiter l’impact que cela aura sur le système rival. Et c’est la fleur au fusil que les corsaires abordent des transports de troupes. Le terrible combat qui s’en suit ne leur laisse aucune chance. Silar découvre bien vite que les impériaux n’ont aucune intention de le laisser s’en sortir vivant. Dans un sursaut d’orgueil il déclenche la fusion des réacteurs de son bâtiment, provoquant la destruction de tous les vaisseaux en contact. La « Vedette » et son frère sont détruits sur le coup, provoquant la mort de plusieurs milliers de corsaires et d’impériaux. Le « Cupide » survit par miracle à cause de l’avarie de plusieurs de ses barges de débarquement qui l’ont tenu éloigné de la cible principale. Il passe aussitôt dans l’espace Warp et disparaît, ne laissant derrière lui aucun autre fébruéns vivant. Le gouverneur de Februa est catastrophé : non seulement il vient de perdre la moitié de sa « flotte secrète » mais en plus elle a été confrontée directement aux forces impériales. Il est temps de faire profil bas en attendant que l’orage passe. Le « Cupide » et son binôme, le « Minotaure », sont relégués sur une des lunes désertes du système Februa, leurs équipages dispersés, pour les plus chanceux d’entre eux. C’est la fin du premier âge corsaire de Februa. Les équipages Au fur et à mesure des affrontements, les corsaires de Februa ont développé leurs propres techniques de combat, notamment en matière d’abordage. Chaque matelot progresse d’une manière convenue d’une spécialité à une autre, suivant ses facilités personnelles, son expérience et la fratrie corsaire à laquelle il appartient. La première bordée est en général composée d’un mélange égal de jeunes recrues et de vétérans. Les recrues sont là pour éponger les pertes, alors que les vétérans leur montrent le chemin… Equipés de lourdes armures issues de l’armurerie de bord, les membres de la première bordée sont les premiers à monter sur le bord adverse, et doivent affronter un feu adverse nourri. Seuls les vétérans possèdent leurs propres armures, souvent bariolés de têtes de mort et de couleurs vives afin d’impressionner l’ennemi. Les recrues doivent se contenter d’un vieux matériel usé, portant souvent les traces des impacts qui ont tué leurs précédents propriétaires. Alors que la première bordée part à l’abordage, la seconde bordée est toute prête derrière elle à la suivre. Composé de marins ayant déjà vécu un abordage, elle est souvent équipée d’armes à feu à tir rapide, pour soutenir l’avancée de leurs frères en armures. Elle est en revanche faiblement protégée, afin de pouvoir profiter au plus vite des brèches dans le système ennemi. La troisième bordée doit finir toutes les poches de résistance et remporter l’assaut final. Souvent équipés de sabres, épées tronçonneuse et pistolets divers, elle comprend les membres les plus féroces de la confrérie, ou ceux ayant fait le vœu de carnage. Quelques équipes de spécialistes accompagnent chacun de ses assauts : Les Chalumeurs sont équipés de… chalumeaux, et parfois d’outils énergétiques ou de petits fuseurs. Ces équipes de secondes lignes doivent permettre de faire tomber rapidement les portes blindées que les abordés ne manquent jamais de faire tomber. On trouve aussi parfois parmi eux de dangereux hereteks, des êtres sans Foi ni Loi prêts à briser les esprits des portes à l’aide de d’électro-violeur. Ces hommes abjects sont bien sûr poursuivis en priorité par tous les membres de l’Adeptus Mechanicus. Les souris sont des commandos composés des mousses les plus prometteurs. Se glissant dans les conduits d’aérations, sur les faux plafonds ou les sub-coursives de câblages, ils guettent l’opportunité de se glisser derrière les lignes adverses, d’endommager les systèmes de défense du vaisseau ou de faire prisonnier les officiers. Equipés très légèrement, ils ne connaissent que la mort ou la gloire ! Enfin des équipes en combinaison spatiale sont parfois mise en place en réserve, au cas où l’ennemi décide de quelques actions désespérées et fassent le vide dans certains secteurs. Souvent les corsaires les plus âgés sont affectés à cette section, non seulement pour les ménager quelque peu mais aussi parce qu’ils sont de loin les plus expérimentés pour manipuler ces lourdes combinaisons. Enfin, avec toutes leurs prothèses, ce sont encore ceux qui souffrent le moins de brûlures en cas de fuite…
  6. Grand-Elwin

    illus fantasy

    Ces teintes jaunâtres et rouges ont des échos johnblanchesque.
  7. Je vote pour une representation de Bituit (on rigole pas!) sur son char d'argent, entourés de ses chiens de guerre et de ses bardes. Pis c'est de l'auvergnat, tout est bon là dedans.
  8. Oui-oui, je ne veux brûler personne en place publique, hein. J'avais surtout envie de monter qu'il existait une façon différente de voir les choses, notamment à travers une vision un peu plus V1, qu'effectivement j'affectionne. Sans qu'elle soit parfaite non plus, je suis bien d'accord...
  9. Non, j'effectue une comparaison. Dans le détail, c'est sur que c'est difficile à contrôler. Mais dès que tu considères qu'une planète a nécessairement une présence de l'AM sur son sol ( puisqu'ils vont accompagner les expéditions de colonisation ), il est logique d'en déduire que la gestion de la "science" leur est déléguée. Ok. Tu as un corps expéditionnaire qui arrive sur un monde développé de 7 milliards d'habitants. Tu as dans ton corps expéditionnaire deux mille bonhommes de l'AM. Comment tu mets au pas tout ça? Je pense qu'on oublie un peu trop facilement les fondamentaux de la V1: l'univers est immense, la présence impériale limitée aux hautes sphères, les zones marginales et les entorses au credo nombreuses. Quand j'effectue la comparaison avec l'Administratum, qui est l'avatar de l'institution énormissime 40kienne et kafkaienne, c'est pour montrer que même cet ensemble est très loin d'avoir les capacités d'assurer un contrôle aussi strict que celui que devrait réaliser l'AM s'il devait tout valider en matière de technologie. D'ou mes propositions pour un scénario alternatif. Car force est de constater que si on connait le pouvoir de l'AM sur Mars et les mondes forges (L'Etat dans l'Etat, ni plus ni moins), on ne sait pas vraiment comment il s'exerce à l'éxtérieur. Enfin si quelqu'un à des sources supplémentaires, je suis preneur. Je viens de re-regarder Taran en passant, et à part la validation des design d'armes par les maitres artisans, on ne trouve rien de direct (ou alors j'ai mal regardé?). EDIT: Otaku a développé les situations concrètes qui ne laissent d'autre choix qu'un contrôle "plus lâche" de la technologie dans l'Imperium, merci à lui :'()). L'AM c'est l'AFNOR+INPI au 41° millénaire
  10. La présence des autorités impériales sur un monde se limite souvent au gouverneur et à la présence de quelques administrateurs...une caserne d'arbites, quelques missionaires, et c'est parti pour longtemps, tant que la dîme est versé, et le psycker déporté... A partir de là si on considère que l'AM a elle les moyens de contrôler la production de tout objet technologique sur un million de monde, c'est qu'elle est de loin la plus puissante des institutions impériales. Aujourd'hui comment voudrais tu appliquer de tels réglements sur notre planète? les objets technologiques sont partout, sur tous les continents. Certes, nous n'avons pas le même rapport (supertistion, toussa toussa) avec ces objets, mais l'Imperium n'a pas non plus une culture unique. Enfin bon, c'est un sujet de diptérophilie massive et sauvage à finir slaneeshiser à mort, mais c'est un point du background qui ne me semble pas facilement défendable si on le regarde de trop prêt. Immensité de l'imperium + administration "fédérale" souvent lointaine ("payes ta taxe/tes régiments/tes psykers et on vous laisse tranquille pour le moment")= contrôle difficile de la technologie au détail. AMTHA, il faut considérer que les Schémas de construction standard sont ceux qui présentent les meilleurs rapport qualité/temps de construction, et que surtout ils sont les seuls à reçevoir l'aval de l'Administratum pour des achats d'institution impériales, à la fois pour des raisons de superstition mais aussi pour des raisons de standardisation du matériel (...qui facilite la logistique du monstre étatique). Mais... que pour autant rien n'empêche chaque "sub-civilisation" de l'Impérium de produire ses propres modèles de produits technologiques, plus ou moins avancés, plus ou moins contrôlés selon l'influence de l'AM et la force de la superstition 40Kienne sur ce monde. A Dark Heresy je partais de l'idée très personnelle que l'AM vendait des franchises/licences de production et avait de corps de contrôle pour vérifier que le schéma transmis était respecté. ça permet de limiter un peu les dégâts, niveau crédibilité, tout en favorisant des idées de scénarios (corruption de l'inspection, hereteknologie couvert par le gouverneur pour des raisons de rentabilité, etc.).
  11. Alors ces warlord, ça donne quoi à la peinture? Agréable? Sinon magnifiques régiments, comme à l'accoutumée. Je ne sais pas trop pourquoi, mais je flashe bien sur les socles de tes légionnaires. Peut être la petite touffe verte en plus, ou juste le charme de la segmentata. Mention spéciale au signifer, avec son masque argenté qui se dégage bien. Ah, pis 5 heures pour arriver à ce résultat...bon. Je peux retourner me coucher, je crois.
  12. Un travail de longue haleine, qui va remplir de joie bien des fans. Merci encore à toute l'équipe!
  13. Merci, il y a vraiment plein d'idées! Mon niveau en décor est très plan-plan, aussi je ne suis pas sûr que mes tentatives soient...euh...très télégéniques. J'ai produits quelques tronçons de rivières avec eau artificielle et argile, mais j'ai eu la grande *intelligence* de faire ça sur du carton plume, qui du coup à gondolé (un peu, ça reste utilisable).
  14. Et pour "l'impact" de la chute, comment gérer? Il faut sculpter? Mettre des fils de fer et recouvrir de fimo/GS ou quelque chose dans le genre? J'avoue que j'ai du mal à imaginer quelque chose qui ne fasse pas grossier. Merci en tout cas de l'idée du nylon, ça sonne bien.
  15. J'ai fait récemment des tronçons de rivière, et il y a un truc qui me titille, c'est comment faire une cascade. Bon, je marques ça du tac au tac, honnêtement je n'ai pas fait encore de recherche sur le sujet.
  16. Votre site en général est très instructif. Les matériaux sont simples, et tout ça est donc très accessible. Merci!
  17. Je n'utilise que de la Foundry pour mes antiques, et la différence de taille me saute aux yeux avec les modèles gw récents. Avec ton topo (merci!), je comprends pourquoi ça ne me fait pas cet effet avec les tiennes. En fait ton bataillon est bien en 25 mm, mais comme l'échelle est homogène pour tous et qu'on voit pas de gw actuel à côté, on ne perçoit pas cette différence. En tout cas de fort belles figs.
  18. Délire pour Foundry. Je suis tout de même un peu surpris, vu que la totalité des figs que j'ai de chez eux est sur une vraie échelle 25mm. Ces vieilles références GW font elles du 28mm?
  19. Fan du premier! La fig V1, plus le mousquet/laser avec lunette (très bien vu), et le coup de green stuff pour les cheveux, ça rend vraiment bien.
  20. Très chouette l'idée de la moto. On voit juste que l'arrière est beaucoup plus riveté que l'avant, mais bon, ça reste du détail qui sautera pas aux yeux une fois le tout peint.
  21. Un des axes de la rédaction du fluff 40K c'est de laisser de la place aux joueurs pour placer leurs propres créations. AMA il est inutile de chercher des indices dans le contexte, en espérant qu'ils eussent été rédigés pour éclairer les joueurs sur une vraie solution réfléchie par les concepteurs... rien n'a été prévu, tout simplement. Les deux légions perdues c'est: -une porte laissée ouverte pour de nouvelles créations, pour le staff (si jamais...) ou les joueurs. -un mystère trotro mystérieux pour ajouter à l'ambiance du trotro sombre univers 40K. Le reste c'est du confetti de fluff de fond de tiroir, qu'on aura du mal à tartiner assez large pour arriver à avoir quoi que ce soit de concret. A titre perso je trouve l'idée d'un retour de ces légions parfait pour une belle campagne épique de la fin du monde. ça me rappelle assez battletech d'ailleurs, où il y a une sorte de retour très similaire. Après c'est sûr que pour obtenir la bénédiction des fluffistes du forum il vaut mieux éviter de proposer des arguments d'histoire qui dépasse de plus d'un poil de cul de grox du Credo.
  22. Bel élan de green stuff! (que je ne maitrise pas pour ma part... :s). Je suis impatient de voir tout ça peint, pour harmoniser toutes ces pièces.
  23. Voilà une affaire qui avance. Les équipements des figs ont l'air de bien s'inclure à l'univers 40K (surtout l'espèce de lance plasma). Mais une fig type cadien serait bien à côté, pour qu'on voit la taille des haslefree. Je verrai un petit lavis de sepia sur le visage de la balafre, avec ensuite un petit éclaircissement. C'est rapide et c'est assez efficace.
  24. RRooo, j'aime beaucoup l'idée de ton char. Avec la peinture, ça lui donne une saveur EPIC/V2 très bienvenu (à mon gout en tout cas!). ça me fait aussi penser à un char soviet GMII (KV3 de mémoire). Comme j'ai un rhino qui traîne, je me demande si je ne vais pas lachement t'imiter. COmme le chariot a un blindage arrière un peu plus faible, je me demande en revanche s'il ne faudrait pas ouvrir/retirer la trappe arrière, mais en même temps ça demande aussi de refaire l'intérieur, et ça c'est beaucoup de boulot. :s
  25. Grand-Elwin

    [40k-Tau] Mes Tau

    Pour les jambes du motard, t'as quelque de tout prêt à coller (je ne connais pas trop la gamme tau) ou tu vas devoir bricoler quelque chose? Bonne idée que ces mo-tau, en tout cas.
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