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Sire d'Epinette

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Tout ce qui a été posté par Sire d'Epinette

  1. Juste pour dire que je suis d'accord avec tout ce que dit Ser Eddard Mais bon, faut pas detester les bretonniens pour comprendre
  2. Le seigneur bretonnien sur hippogriffe Je le joue systématiquement dès 2000 points Mes raisons sont les suivantes : La beauté de la figurine Avoir un jeu plus varié (un seigneur sur hyppogriffe occupe le coût de deux gros fers de lances ou trois ou quatre petits, les bret sans hyppo je trouve ça plutôt chiant à jouer) La terreur si utile face à certains ennemis (hommes bêtes et skaven surtout) et l’immunité à la terreur. Me permettre de ne pas mettre trop de perso dans le même panier à point (il me semble aisé de battre ou au moins tenir en échec un fer de lance, même avec perso) Et surtout sa mobilité. J’insiste sur le critère de mobilité… car le seigneur bretonnien, selon son équipement et indépendamment de sa monture, peut être outillé pour mener à bien de nombreuses missions spécialisées : anti cavalerie lourde, anti monstre, anti perso, blindé, unité d’appui mi lourde et -relativement- économique. Et l’hyppogriffe lui permet d’être là où il faut pour mener à bien sa mission là où un destrier exigerait la bonne volonté de l’adversaire… Stratégiquement, la présence de ce volant lourd empêche aussi un adversaire d’occuper trop de terrain lors de son avance du premier tour… ou d’accepter d’en payer le prix. Enfin, les bretos profitent tout de même assez largement du cd du général sur gros monstres… puisqu’ils sont plutôt cavaliers (à la différence de mes impériaux ou de mes peaux vertes). Contrer les gros monstres en face Avec l’Empire, je tire simplement dessus avec des tirs lourds (canon, canon à répétition, arquebuses) et de la magie. Même procédé avec les orques. Avec les bret, je règle ça au CC. Bien sûr, mes archers tentent bien de lancer quelques volées… mais je n’attends pas mes gueux pour tuer les gros monstres ennemis. C’est juste pour agacer et mettre un peu la pression. Une (ou deux) bonne charge de fer de lance fait le job… Ou un bon duel de gros monstres (avec la bénédiction et des OM ou/et des vertus adaptés, le bret part avec un avantage…). Pour des gros monstres « lâches » qui refusent le contact (gardien des secrets, Belakor) c’est plus compliqué. Là le gars ne viendra pas au close… Je procède en deux vagues. Une première vague (les fers de lances les plus puissants et la GB) va agresser l’ennemi. La deuxième vague (des fers plus petits et le seigneur sur hyppo si aucune cible n’était dispo au 1er tour) est en arrière. La deuxième vague dégagera la première vague si elle est agressée… ou tentera de charger et de retenir le gros monstre « lâche » le temps que d’autres forces bret revienne à le rescousse. Je n’ai jamais affronté de très gros monstres (dragons, démons majeurs combattants…). Je les redoute et leur garde une attention particulière en attendant de les rencontrer.
  3. Oui : les formations normales sont aussi accessibles aux chevaliers bret. Néanmoins, si tu veux déborder, il me semble qu'il faut recouvrir complétement le front. Dans ton exemple, ça donnerait plutôt ceci Au départ : 1er tour de CC © © © © © © © © © E E E E E E E E E E E E E E E Avec bonus de rang de 2 pour les chevaliers, de 2 pour l'ennemi Tentative de débordement, 2ème tour de CC © © © © © © © © © __E E E E E __E E E E E __E E E E E avec aucun bonus de rang pour les bret et bonus de rang de 2 pour l'ennemi débordement réussi, 3ème tour de CC © © © © © © © E E E E E © __E E E E E © __E E E E E avec bonus de débordement de flanc pour les bret Ta formation est possible si tu charges un char (qui fait la largeur de 2 chevaliers en front) ou avec plusieurs unités de bret.
  4. Sire d'Epinette

    La Quête

    Bataille à Moussillon L’armée de Nazarie s’est établie sur une de île dessinée par la Grismérie au cœur de la ville de Moussillon… une île appelée Beaulieu. Depuis son arrivée, l’armée bretonnienne patrouille l’île Beaulieu de long en large. L’île fait quatre kilomètres de long sur un de large. L’île est systématiquement nettoyée de ses occupants. Des dizaines de goules ont été débusquées, exterminées sans pitié. Les goules ont pris l’habitude de fuir les bretonniens maintenant… sitôt découvertes, elles ne cherchent plus à combattre et fuient… Préférant se jeter à l’eau plutôt que d’affronter les épées bretonniennes… Sire trouvait cet établissement facile, trop facile. « Enfin, tout va pour le mieux », pensait-il. Fidèle à ses habitudes, Sire d’Epinette ordonne la construction de fortifications. Les matériaux proviennent des ruines des bâtiments locaux. Moussillon est un immense cloaque, parsemées de ruines obscures et suintantes… et Beaulieu ne fait malheureusement pas exception. Un terrain accidenté par les ruines n’est pas à l’avantage de la chevalerie bretonnienne… au contraire d’un terrain plat et dégagé… Tout en bâtissant des fortifications, les ruines de Moussillon sont systématiquement rasées, le terrain est aplani, pour le rendre favorable à la chevalerie. Ce travail de terrassier suscite des tensions. Les chevaliers sont plus habitués à l’épée qu’à la truelle… Les chevaliers de la quête, en particulier, montrent de plus en plus de réticence à œuvrer sous la conduite de maçons. Ils s’en plaignent amèrement au Sire : « Les gueux nous commandent. Nous sommes venus ici nous battre.». Les Sire explique qu’ici, seule la compétence compte. Avant de combattre, il faut fortifier ses arrières. Néanmoins, les chevaliers de la quête les plus turbulents sont affectés à des tâches militaires : les patrouilles dans l’île Beaulieu, la protection des travailleurs -les ruines étant souvent habitées par des goules ou d’énormes chauves souris- et la reconnaissance à Moussillon. C’est ainsi que les bretonniens arrivent au château des Ducs de Moussillon. Trouver le château n’a pas été difficile… C’est une construction énorme, élevée, massive, de pierres grises. Des douves emplies de brumes, entourent le château. Des tours massives, de pierres noires ceinturent la place forte. De multiples bâtiments dans la cour dépassent des épaisses murailles. Au centre, trône le donjon, fermé et colossal. Un drapeau déchiré flotte encore au dessus du donjon. La bannière rappelle vaguement celle de Maldred Moussillon : de sable à une fleur de lys d’or à filière de même. Mais la fleur de lys apparaît tordue, torturée, encore plus menaçante que de coutume…. Ainsi ce passent les jours à Beaulieu : la journée, les bretonniens se fortifient, maçonnent et patrouillent durant le jour. La nuit, les bretonniens se terrent dans leurs abris. Car Moussillon n’est pas sans danger, bien des gardes disparaissent la nuit… Mais chaque jour, Sire d’Epinette a la satisfaction de voir les bretonniens, mieux protégés, plus forts et plus nombreux. Car chaque jour, l’armée se renforce. L’exemplaire réussite de Martial de Gwéran attire nombre de chevaliers errants. Ce chevalier, autrefois fils puîné de petite noblesse sans terre et sans richesse comme il en existe des milliers en Bretonnie, est aujourd’hui seigneur d’une ville prospère et, comble de l’honneur, parent du roi par alliance… En effet, le roi Louen, soucieux de marquer son intérêt, son engagement et son soutien à cette reconquête de Moussillon, a donné une de ses petites filles en mariage au seigneur de Gwéran… Le bruit courre en Bretonnie que l’armée de Nazarie est entrée à Moussillon. Des dizaines de pèlerins et de chevaliers de la quête désireux de participer à cette noble cause arrivent chaque jour. Fort de ces attraits et parfaitement ravitaillée par le poisson de Nazarie, l’armée du Sire croit continuellement et est aujourd’hui d’une puissance formidable... Ce matin, le château de Moussillon parait particulièrement attirant. Quelle gloire, quel honneur pour ceux qui prendront le château !!! Le bruit court dans l’armée, propagé par des pèlerins récemment arrivés : « Moussillon est à nous. » Cette conviction est partagée par tous, nobles et manants. Le Sire se laisse lui aussi griser par tant d’enthousiasme… et par la fabuleuse force de son armée. Chacun pressent que le château de Moussillon est mûr, prêt à tomber, offert aux preux bretonniens… il suffit de le prendre… L’armée de Nazarie se rassemble et se regroupe au pied du château. Aujourd’hui, les bretonniens ont laissé leurs truelles et ont fourbi leurs épées et leurs lances. A la porte –close_ du château de Moussillon, Sire d’Epinette fait proclamer sa lettre de mission de Louen, qui le désigne, au nom du roi de Bretonnie, comme possesseur légitime de Moussillon. Un silence lui répond… La certitude du bon droit accroît la ferveur des bretonniens. Un bruit court chez les pèlerins : il suffit de faire à genoux, trois fois le tour du château pour qu’il s’ouvre. Avec ferveur, pèlerins, archers, hommes d’arme et chevaliers s’exécutent… Le pont-levis de Moussillon ne s’abaisse pourtant pas. Un pèlerin, Pierre, remarque une fissure dans la muraille. « Regardez ! Cette fissure dans la muraille est une invite. Il suffit de grimper par là pour entrer. » déclare t’il à la cantonade. Joignant le geste à la parole, le pèlerin abandonne son bouclier et commence son escalade. Tous les pèlerins lui emboîtent le pas en plasmodiant des prières à la Dame. « Vont il réussir à ouvrir le pont-levis ? » se demande le Sire. D’un coté, il pressent que Moussillon s’offre… de l’autre sa raison lui crie que cela n’est pas possible… la conquête de Moussillon ne peut être aussi facile. S’il en était ainsi, les bretonniens auraient reconquis la ville depuis longtemps… Des chevaliers de la quête descendent de leur monture et s’apprêtent à suivre les pèlerins. « Restez à vos postes, à cheval près du pont-levis et attendez qu’il s’ouvre pour pénétrer dans la place. Vous chargerez ensuite avec moi. » ordonna le Sire. Les chevaliers de la quête maugréent quelque peu… mais la perspective d’être les premiers cavaliers à pénétrer dans la place les rassure. Ils obéissent. Des hommes d’arme entament à leur tour la montée de leur propre chef… par un gros lierre cette fois, que le Sire, malgré son attention, n’avait pas vu. Le Sire veut à la fois les retenir et les laisser monter. Les retenir car sa raison lui crie que cette invitation est un piège. Les laisser monter car le château ne peut que tomber et que les pèlerins ont sans doute besoin d’aide. Quelle confusion ! Le château avale les piétons bretonniens. Tous les pèlerins sont dans la place maintenant. D’autres hommes d’armes s’apprêtent à monter à la suite des pèlerins. Un homme tombe, puis un autre. Les hommes d’armes s’entraident les uns montant sur les épaules des autres. C’est curieux, car aucun pèlerin n’a eu autant de mal. La fissure ne se serait elle pas refermée ? Quelques hommes arrivent néanmoins au sommet. « Restez ici. » ordonna le Sire, de plus en plus méfiant. Environs une centaine de soldats sont entrés dans la place maintenant… et le pont-levis ne s’ouvre toujours pas. Les bretonniens attendent, troublés. Aucune trace de la centaine de grimpeurs, aucun bruit, rien, un silence de mort couvre cette grande masse d’homme. « Au nom de Louen, ouvrez » ordonne le Sire aux pierres grises. Les bretonniens attendent encore une heure, immobiles. « Nous levons le camps et repartons. Moussillon ne s’offrira pas ainsi. Nous reprenons notre garde à Beaulieu.» conclut le Sire d’Epinette. C’est dans un silence de mort que l’armée repart, déçue et acceptant la perte d’une centaine de piétons.
  5. Sire d'Epinette

    La Quête

    Le conseil de Nazarie Arnaud de la Brière arriva le dernier, en retard de quelques minutes : des problèmes de circulation dit t’il en s’excusant. Sire d’Epinette avait convoqué le conseil de Nazarie. Celui ci était composé de lui même, Duc et seigneur de Nazarie, d’Arnaud de la Brière, de sa Dame, Diane de Lyonesse qui prenait une part importante du fardeau de la gestion quotidienne de Nazarie, de Martial de Gwéran, seigneur de sa ville et de Gabriel de Soncarl chevalier du Graal et compagnon du Sire. « Je vous ai réunis ici pour trouver une solution à nos problèmes. Je vous résume la situation. Depuis plusieurs semaines, il n’est question à Nazarie que de conflits de voisinage, de querelles sur la possessions de terres, de dégâts occasionnés par des animaux, et d’incidents de circulation, de disputes continuelles et j’en passe … Cela alors même que nos greniers sont plein, que nous sommes en sécurité et que des immigrants, attirés par notre prospérité, arrivent chaque jour dans notre cité. » Gabriel de Soncarl s’exprima le premier : « Les bretonniens sont solidaires et disciplinés en temps de dangers. Mais ils se chamaillent maintenant pour des raisons futiles… » Diane continua « La cause de ces désordres multiples est simplement due la surpopulation à Nazarie… L’appel à Louen a été entendu. Des centaines de bretonniens émigrent chaque semaine dans cette ville. Nazarie compte maintenant plus de dix mille habitants… » Sire objecta : « Mais dix mille habitants, ce n’est rien. Comparez avec les autres ports du vieux monde. Et certaines villes impériales, comme Altorf ou Nuln, accueillent une population plusieurs dizaines de fois supérieurs en nombre… » Diane continua « Les bretonniens récemment arrivé dans Nazarie ne sont pas des pêcheurs. Ils sont paysans et viennent avec leur cheptel. Les chevaliers viennent avec leur chevaux. Chaque immigré emmène avec lui sa ménagerie. Pour chaque humain, il y a ainsi deux ou trois gros animaux, bovin ou équidé… sans compter les innombrables poulets, cochons, chiens… qui tentent de glaner leur nourriture dans les rues sales de Nazarie. Nazarie est surpeuplée. Et tous les problèmes viennent de là. » « Que proposez vous Diane ? » « Il faut interdire le bétail dans Nazarie même. Il faut bien prendre conscience que Nazarie est un port. Nazarie doit être peuplée non pas de paysans, mais de pêcheurs, de marchands, de marins et d’artisans. Les citadins n’ont nul besoin de vaches et de cochons. » Le Sire n’était pas convaincu par cette explication. Pour lui, le bétail était une richesse. Considérer cet abondance de richesse comme un problème n’était pas –du moins pas pour le moment- dans son schéma mental. « Quelle est la situation à Gwéran ? » s’enquerra le Sire. Martial répondit : « La situation est bonne. Les marais salants fonctionnent à plein. La demande est forte, le peuple heureux. » « Pourriez vous accueillir d’autres colons ? - Nous pouvons accueillir des colons… mais, Gwéran et ses alentours ne peuvent accueillir que peu de bétail, ma terre ne s’y prête pas. Je crois messire, que Diane a raison. Pour accueillir du monde, il faut interdire les vaches et les cochons dans les villes. » « Arnaud, votre conseil ? » Arnaud était pris entre deux loyautés : sa femme ou son suzerain. Il se rangea du coté de son épouse… « Puisque vous le pensez tous, nous interdirons Nazarie au bétail. « Ce n’est pas tout Sire. » continua Diane. « Les poules qui circulent librement sont également facteur de crasses, de saleté, de désordre. - Les poules aussi ? Pourquoi pas les lapins pendant que vous y êtes… » Diane garda le silence… un silence qui confirmait que les lapins domestiques entraient bien eux aussi dans le champ d’interdiction… « Mais en cas de tempête qui interdirait la pêche, que mangerons nous ? » continua le Sire. Le Sire était furieux. Comme 95% des bretonniens, c’était un campagnard. Il avait toujours vécu entouré de vaches, de cochons, de chevaux… Des poules picoraient fréquemment à sa table… il dormait avec des chiens... Les animaux domestiques était pour lui synonyme d’opulence. Leur vue, leur bruit, leur odeur rassuraient le Sire… Se priver de toute cette richesse… Non, décidément, il n’était pas fait pour la ville. Pourtant, il pensait que Diane avait –encore mais cette fois contre lui- raison. Et cela le rendait furieux. « Arnaud, vous avez reconnu les alentours. Où établir des nouvelles colonies, des colonies rurales pour accueillir le bétail, les paysans et … les chevaliers de Nazarie ? « Entre Gwéran et Nazarie, il y a peu de terres favorables, ainsi que l’a dit le seigneur de Gwéran. Au sud est, il y a des marais insalubres. La terre est favorable à l’est de Nazarie. Il y a bien des marais ça et là, mais de larges territoires peuvent être colonisé jusqu’à Moussillon. Il y a une bande de terre riche dans laquelle la Grismérie pose ses alluvions. Une colline surplombe cette vaste plaine sur des lieues et permet la vue sur la plaine de loin en loin de Moussillon jusqu’aux faubourgs de Nazarie. Cette barrière permet de voir Nazarie de très loin. Au sud de la Grismérie, il y a de bonnes terres et parfois des marais. Il y a même un lac qui accelérerait grandement notre établissement sur ces terres. C’est un lieu tout à fait favorable… » « Et à Moussillon ? » questionna le Sire. « Moussillon semble vide et plein de ruine. On ne peut évidemment pas y accueillir de bétails... Mousillon est bâtie de part et d’autres de la Grismérie. Il y a des îles à cheval sur les deux rives… Ces îles sont moins urbanisées que les rives nord et sud. Elles constituent des beaux lieux relativement sécurisées pour y établir une base militaire… » Le Sire reprit la parole. « J’interdirais les vaches et les cochons dans la ville mais je laisserais notre peuple disposer de poules et de lapins. Nous allons coloniser d’autres terres. Arnaud, me prêteriez vous allégeance cette fois ? » Arnaud se souvenait de son échec à Brière. Sa vie basculait vers plus de responsabilité et cela l’affolait. Il sentit que Diane lui prenait la main, à son côté. Elle était sa femme, avec lui pour cette tâche comme en toutes les autres... Ce soutien le rassurait. Arnaud se lança. « Oui messire. Je suis prêt aujourd’hui à assumer des responsabilités. Vous serez donc seigneur de Nazarie, Arnaud.» continua le Sire. « Nous délaisserons pour temps le sud de la Grismérie, car l’armée de Nazarie doit être capable d’intervenir dans toutes les colonies… et le fleuve est un obstacle majeur. Nous coloniserons toutes les terres entre Moussillon et Nazarie, et nous bâtirons des forts sur la barrière qui domine le lit de la Grismerie. - Allons nous disperser l’armée dans chacun de ses forts ? » demanda frère Gabriel. « Non. Nous garnirons les places fortes de piétons, mais l’armée restera assemblée en un seul point. Nous présence militaire sera concentrée au plus près de Moussillon… Peut être même jusqu’à ces « beaux lieux » qu’Arnaud a repéré à Moussillon même. Notre armée devra fixer nos ennemis de Moussillon le plus loin possible à l’est pour la prospérité de nos établissements. Après les défaites qu’ils ont subi sur terre et sur mer, je doute fort que les morts-vivants des mers reviennent nous agresser à Nazarie. Nous mettrons néanmoins en place un système d’alarme qui appellera l’armée en cas de besoin. Ce conseil est terminé. Demain, vous me prêterez allégeance en place publique Arnaud. Je promulguerais l’interdiction du bétail à Nazarie et endosserais l’impopularité de cette mesure. Pour que nos paysans gardent espoirs, que nous conservions notre mode de vie et que notre présence s’enracine en ces terres, j’annoncerais la colonisation de nouvelles villes… Je prendrais la tête de l’armée de Nazarie pour protéger cette nouvelle progression. Ma dernière décision pour Nazarie sera de vous nommer seigneur et protecteur de Nazarie. » Sire continua : « Ayez bien à l’esprit l’importance de votre tâche à Nazarie, Arnaud. Nazarie n’est pas seulement notre ville principale. Nazarie est notre mère nourricière en ces terres. Nazarie est le cordon ombilical qui nous relie à Louen. Nazarie est la clé de Moussillon. Toutes nos autres villes, toutes nos armées peuvent être perdues. Mais Nazarie doit être tenue à tout prix et contre tous nos ennemis. Est-ce bien clair Arnaud ? » C’est à la suite de ce conseil que les bretonniens fondèrent, au nord du grand fleuve, trois villes fortifiées sur la barrière entre Nazarie et Moussillon : Pontcastel, Sauvenay et Mondeluc. Ils établirent à Moussillon même une base militaire qu’ils appelèrent Beaulieu. A Beaulieu, la vraie guerre commença.
  6. J’aime bien ta génération et répartition des dés. C’est une bonne idée qui semble équilibrer les vents magique tout en encourageant le camp fort en magie. OK pour phase 1 et 2. Phase 3 : Je pense qu’il faut que l’attaquant parle en premier ET en dernier. Car dans ce cas, c’est l’attaquant qui choisit les sorts qui passent… et cela encourage les sorts généralement inutile mais parfois décisifs qui font la différence dans une bataille par la qualité d’un sort (et non par l’avalanche de sorts identique comme aujourd’hui en V6). En plus, je ne voit pas vraiment l’intérêt de lancer ou contrer avec des gros mago. Je propose cette modification : Il n’y a plus de limite au dés utilisables par niveau du sorcier. L’attaquant alimente un sort en dé, éventuellement avec une pierre de pouvoir ou autre (les dés sont dépensés mais sans les lancer). Le défenseur peut - utiliser un parchemin de dissipation - en rester là - utiliser des dés de dissipation pour contrer… il en dépense le nombre qu’il veut. Si le défenseur utilise un pam le sort est automatiquement dissipé, les dés attaquants sont dépensés. Si le défenseur en reste là, l’attaquant lance ses dés pour voir si le sort passe. (Il ne peut pas renforcer son sort) Si le défenseur décide de contrer, l’attaquant peut renforcer son sort en doublant son nombre de dé. Ensuite chacun lance les dés dépensés. Le sort passe ou pas. Pourquoi doubler ? Pour que l’attaquant choisissent les sorts à passer Pour que l’attaquant risque le fiasco. Pour que le défenseur puisse quand même mettre le paquet sur une dissip. Subtilité : Le score de l’attaquant est augmenté de la différence (niveau de magie attaquant - niveau de magie défenseur). J’aime bien tes fiasco, rebonds, tueurs de sort… Tu autorise beaucoup trop de dés conservés. Un seul par sorcier.
  7. Non, car ils perdent leur bonus +1 en sg pour troupe monté. Donc la sg des chevaliers classique ne change pas, mais les cavaliers qui n'ont pas de bouclier perdent de la sg. Ce qui changent avec une sg plus faible qu'aujourd'hui : les cavaliers légers, les chevaliers de la quête qui utilisent l'arme lourde, et surtout les perso sur dada sans bouc (seigneurs/héros avec fléau ou arme lourde, grande bannière (sg 4+ plutôt que 3+ avec armure lourde et dest cap)).
  8. Dis donc toi, avec ton soucis tout coûte cher, tu serais pas un peu rappiat ? L’arme supplémentaire est une arme aujourd’hui franchement délaissée. Je passe sur les guerriers du chaos qui sont à la rue quelque soit leur équipement… Mais l’arme supp peut équiper d’autres troupes qui pourraient être des porteurs d’arme supp et qui ne le sont pas… L’arme supplémentaire est possible chez les orques… Elle est abandonnée malgré les figurines de la boîte de base (l’orque passe de 5 à 7 points, ce qui est une grosse augmentation de coût, et perd le bonus kipkoup pour gagner une attaque). L’arme supplémentaire est quasi absente chez les unités de monstres (ogres, minotaure) qui pullulent mais prennent systématiquement l’arme lourde. Idem pour les perso à pied… Un coup de pouce est nécessaire à cet arme en terme de jeu… pour que nous, joueurs, prenions le temps de réfléchir à nos équipements… et que le jeu soit plus diversifié en terme de troupes jouées. +1A en charge est il suffisant pour réhabilité cette arme délaissée ? Peut être, peut être pas. Et ainsi, on aurait un choix de troupe épineux : les soldats armés d’arme supp seront toujours balayés contre la cavalerie loudre, la cavalerie lourde serait mis en échec par les lanciers et les hallebardiers, lesquels seront à leur tour éléiminer par les fantassins équipés d'arme supp. Le choix est difficile et la bataille intéressante car il y a toujours un cas où l’arme jouée est intéressante.
  9. Le canon blesse plus facile (F10), a une plus longue portée, tire sur 360°, peut tirer à mitraille, snippe … Je veux diversifier le jeu. Donc différentier l’arquebuse de l’arbalète, rendre le rendu visuel des régiments d’arquebusiers plus sympa (2 rangs) et occasionnellement, créer des armes anti chevaliers. Mais je ne veux surtout pas handicaper les arquebusiers face aux monstres et aux chars, bien trop présents également à mon goût. Le point capital que tu sembles négliger est que seul un arquebusier « Sire » sur 2 tire à chaque tour. Donc le volume de tir initial des arquebusiers « sire » est deux fois moindre que les actuels. 1,33 exactement. Et la nouvelle version fait exactement le même dégât : pour 96 points, tu as 12 arquebusiers « Sire » en 2 rangs de 6, 6 qui tirent à chaque tour, 2 qui touchent (à LP), 1,33 qui blessent… exactement comme la version actuelle. Mais le régiment de 12 arquebusiers est visuellement plus attirant et tactiquement plus intéressant (6*2 est bien plus économique en place que 12*1). Je gage que 5 chevaliers impériaux (5*23=115 points) perdront contre 14 arquebusiers « Sire » (8*14=112 points) en assaut frontal. Les arquebusiers protégeront donc une partie du champs de bataille contre la cavalerie lourde… mais il sera intéressant de les contourner. Ta baliste à répétition a une portée deux fois plus importante : elle menace bien plus de terrain que les arquebusiers. La baliste à répétition peut tirer sur 360°… Les arquebusiers peuvent être dans le vent en ne plaçant rien devant. La baliste à répétition est impossible à éviter ou contourner. Reste qu’elle ne tient pas le terrain… Meilleure au tir contre la cavalerie à 1+ de sg, aussi bonne au tir contre les cavaleries lourde à 2+ de Sg, moins au tir bonne contre tout ce qui a 1PV et une sg d’armure jusqu’à 3+ (tireurs, infanterie, cavalerie moyenne et légère…) : l’absence de sg ne compense pas le volume de tir 2 fois moindre. Les arquebusiers sont cependant plus forts en CC (normalement, ils auront un bonus de rang) et moins encombrant. Contre les volants, j’ai calculé un peu avant qu’il fallait une salve de 24 pour tuer un chevalier pégase à découvert… non béni. En fait il faut une salve de 29 arquebusiers pour tuer un chevalier pégase béni à longue portée… bonne contre les volants la nouvelle arquebuse t’es sûr ?
  10. Sur les arquebuses, le tortueux (et bizarre ?) cheminement intellectuel du Sire (et donc arguments en faveur de cette arquebuse...). Au départ, l’idée pas de sg et un tir sur 2 n’est pas de moi mais de maetions. Et comme on est dans une optique réhabilitons les armes anti-cavalerie lourde, essayons d'explorer cette piste... Réfléchissons…Parce que quand même, pas de sg est puissant, et la formation sur 2 rangs des arquebusier est visuellement attirante et tactiquement intéressante… Un tir sur 2 des arquebuses de la V4, c'était pas top mais ... Intéressant… Voilà une arme visuellement attractive, anti-cavalerie lourde, d’un intérêt tactique présent, qui est du coup très différentente de l'arbalète et qui a des faiblesses (ce sera très intéressant de les engager dans un duel de tirs (pas mouvement et tir, ½ tir, la sg n’influe pas dans les duels de tireurs)) Reste que l’arquebuse qui un tir sur 2 perd beaucoup de puissance contre les chars et les monstres (qui n’ont pas beaucoup de sg et ne sont pas plus vulnérable)… puisque 2 fois moins d’arquebusiers tirent. Or les arquebusiers étaient déjà faible contre ces ennemis et ces derniers sont trop puissants (mon but est de diminuer aussi monstres et chars, qui sont AMHA plus rentables que les chevaliers). Allez, double blessure pour les arquebuse qui redeviennent aussi bons qu’avant contre les chars et les monstres (2 fois moins de tir mais les tirs ont 2 fois plus d’effet ça revient au même). Ces doubles blessures n’interviennent pas contre les autres troupes (cavaleries, infanteries, tireurs) la voilà la bonne idée... Et en fait, les arquebusiers sont même meilleurs qu’avant contre les monstres et les chars (en gros ce qui a plusieurs PV) aussi… ils feront le même dégât à distance mais seront sur 2 rangs (donc bonus de rang et moins d’encombrement…) Notons que cette version de l'arquebuse fait perdre de la puissance aux arquebuses si elle tire sur des éléments peu protégés et à 1 PV (chien, loup, tireur, infanterie à Sg <4,, tireurs...) PS pour saga : c’est 8 points un arquebusier impérial…
  11. Peut être que si. Les archers ne font rien (ou presque) à la cavalerie lourde et aux chars. On est d’accord. Si des armes anti-cavalerie lourde apparaissent en nombre (nouveaux lanciers, arquebusier, hallebardier, personnages combattants bien équipé) et si les armées anti-infanterie sont réduites (chars, magie actuelle composée de nbx projectiles magique revue), les joueurs vont s’adapter, user moins de chevaliers et plus d’infanterie/arquebusiers… et là les archers vont entrer dans un second temps dans la danse pour éliminer ses ennemis des cavaliers... nouvelles adaptation des listes dans un 3ème temps... En outre, les archers en ligne (donc pas les archers impériaux) sont directement améliorés, puisqu’ils pourront tirer sur 2 rangs. Peut être ces archers auront des bannières… 1 rang, une bannière, peut être la PU, les archers (et les arquebusiers) seront peut être apte à repousser les petites unités de 5-6 chevaliers sans bannière. Celà ne concerne pas les archers impériaux (puisqu’ils sont tirailleurs) mais les archers en ligne hauts elfes, bret, kemri, O&G et es. Les joueurs convertissent leur arquebusiers nains pour bénéficier d’une sg 4+ au CC. Si la sg obtenue au CC n’est que de 5+, peut être ne prendront ils pas cette peine. Car les figurines d’arquebusiers sont plus jolie sans bouclier (enfin, c’est mon goût), et que le bouclier est payant dans la liste d’armée. Eviter d’acheter ce bouclier permet d’économiser quelques points d’armées. Bien vu. Je ferais pareil avec mes impériaux (que je prendrais sans bouclier pour qu’ils soient moins chers et pour le background). Mais pour mes homme d’arme bret, je privilégierais la lance à la hallebarde. car le bouclier est inclus et parce que le soldats bretonnien est bien plus faible que l’impérial (CC2, Cd5, pas de détachement). parce ce que Ténacité, armure et Cd plus élevé, ce n’est pas la même infanterie. Ils ne sont pas en concurrence. Des détachements d’hallerbadiers ? Ce serait très impérial… Cela dit, il n’est pas certain qu’il soit de l’intérêt des généraux impériaux de remplacer tous les détachements impériaux par des hallebardiers. Les détachement de FC demeurent bien valables, avec 3A CC3 F3 par tête en contrecharge (l’arme supp a été amélioré aussi), contre 1A CC3 F5 de l’hallebardier. Et l’épéiste en détachement reste valable du fait de sa haute CC et sg qui permet de ne pas pénaliser une unité mère costaude (épésite ou joueur d’épée) ou/et de conserver longtemps le bonus attaque de flanc. Si tu maintiens que les détachement d’hallebardier sont toujours les plus forts, et que de nombreux impériaux répondent de même, j’aurais échoué à rééquilibrer les armes d’infanteries. Mais moi, qui suis un optimisateur patenté, en plus d'un impérial du premier jour, je ne pas LE type de détachement à conseiller absolument dans tous les cas... Choix rare très encombré ou choix spé. Il faut donner la meilleure arme (hallebarde> arme lourde) aux meilleurs soldats. F ou sg élevées. Cruel dilemme pour un skaven… Ca va pas changer la face des armées skavens. Ou alors en mieux. Pourquoi le sujet est si long ? Car il faut souvent répéter la même chose… C’est exactement ce que je veux. Faire plus de place à l’infanterie, aux personnages combattants, ne pas rendre les choix d’équipement et de troupes évident. Au détriment de la cavalerie, des chars, des monstres et de la magie (mais celle ci est traitée dans un autre post). cf argument baliste Sire p1
  12. Toi non plus tu n'es pas dans ma tête pour savoir ce qui me fait plaisir... Puisque tu as un avis, ça doit t'interresser. Je préfère les armées optimisées et background : jouer et affronter des bret bien bret (ce qui veut dire des cavaliers, des héros et un peu de support), des hordes d'O&G et de skavens (ouais, même avec 2-3 ratling et des lances feu). Le but était de vivre des histoires crédibles de bataille : les bretonniens du Sire d'Epinette repoussent l'invasion des peaux vertes.... La V6 et ses catégories base spé rare a été une bénédiction puisque les troupes de base avaient enfin une grande place. Et tu sais quoi, ça ne m'a même pas rendu mes armées injouables (je jouais déjà des hallebardiers impériaux, des chevaliers bret du royaume ou errant en V5 moi mooossieu... et j'arrivais à gagner... des fois). La limite au background, l'efficacité : si une troupe est quasi-indispensable au background mais est débile en terme de rentabilité (je pense aux archers hauts elfes): tant pis pour elle... on la jouera à la prochaine version. Et le problème est que le refus de liste en vigueur ne s'appuit pas sur la cohérence des listes en terme de background, mais sur la puissance réelle ou supposée des listes et autres concepts. Je sais, je fais rire beaucoup de monde avec mon background... c'est mon opinion et je la partage.
  13. Je ne reviens pas sur le reste. On est à peu près d’accord sur nos propos... Une vérité incontournable qui s’appuit sur une analyse de la phrase et sur MON ressenti subjectif. Et tu n’es pas dans ma tête pour affirmer que c’est faux. Reprenons ma phrase soit disant « faux faux faux archi faux » : « J’aime pas ça. » C’est ma tête à moi, mon goût, je ne vois pas comment pourrais tu prétendre que c’est faux. C’est vrai. « Ca force à jouer d’une certaine façon. » Là aussi, c’est vrai. Avant, on pouvait jouer comme on aime –par exemple, jouer l’armée bretonnienne avec beaucoup de chevaliers-. Et avec le refus de liste sévère, on ne peut pas mettre –dans certains cas sévères- plus de chevaliers que dans une armée impériale, chaotique ou elfique... « Ce qui peut gâcher certains plaisirs sans forcément en créer d’autres. » Le plaisir du Sire d’Epinette (exemple que je connais), est diminué s’il ne peut jouer bret comme il le souhaite. Cela ne m’ en crée pas d’autres car je n’a pas envie de voir -au moins en tournoi- qui des hommes d’armes bret ou des archers elfes et le moins mauvais. Certains plaisirs (ici le mien) est gâché sans forcément en créer d’autres (ces autres plaisirs pourraient être pour d’autres affronter des troupes molles comme des archers hauts elfes). Dans mon cas : un refus de liste sévère gâche une partie de mon plaisir sans en créer d’autres. J’ai trouvé un exemple de plaisir gâché non compensé. Et je te prie de croire que je suis de bonne foi. J’ai trouvé UN exemple où cette phrase est vraie. Ma phrase n’est donc pas « faux faux faux archi faux » Après je répète, j’en aurais quand même du plaisir… à jouer empire ou orque. Mais moins qu’avec mes bretos chéris... Donc les orga s’embêtent avec des refus sévère, se mettent la pression pour accepter des listes de puissance égale pour tous, tout ça pour le plaisir des joueurs… Mais au final, malgré tous ces efforts, le plaisir est moindre pour certains joueurs. Je ne dois pas être le seul.
  14. Faux. Les cavaliers qui vont au contact sont forts contre les tireurs à découvert. Ce qui a causé la perte des chevaliers, ce sont les fortifications des archers allié aux flèches. Pas les flèches seules. Et à battle c’est pareil. Si des archers sont à découvert, ils vont se faire hacher par des cavaliers moyens ou lourds. Si tu mets une grosse unité d’archers (nombreuse et avec bannière) retranchée dans un bâtiment, des chevaliers auront toutes les peines du monde à les déloger. Tutut seuls les spécialistes épéistes ont le grand bouclier (donc sg à 4+, les arquebusiers nains avec armure légère et bouclier auront 5+ de sg. Je gage qu’avec mes propositions, les nains ne prendront plus la peine de gâcher le visuel de leurs figurines avec des boucliers… 6+de sg. Relis le sujet et en particulier le premier post. J’y ai écrit un résumé. Moi je n’ai pas mon livre sous la main… mais j’apprendrais quelque chose. Je suis sûr que les cavaliers (socles 2.5*5cm) sont qualifiés de taille humaine (il me semble qu'on en parle au moins dans la rubrique géant du livre d’armée O&G). Donc tu as raison seulement si la taille des socles des unités tirailleurs est précisée dans le livre rouge… et qu’il y est mentionné 2*2 ou 2.5*2.5 cm… Tu n’as pas compris le cahier des charges. Pour la peine, relis tout. J’ai déjà argumenté là dessus… sans forcément convaincre. Relis tout stp. La hallebarde utilisée comme une lance interdit le bouclier. Une sg 5+ (lancier avec armure légère et bouclier) ou 6+ (hallebardier avec armure légère) change beaucoup la donne face à pas mal d’ennemi. Il serait stupide de prendre une hallebarde pour l’utiliser systématiquement comme une lance. La lance reste intéressante dans bien des situations, même si on peut prendre la hallebarde. Reste que la hallebarde est supérieure à l’arme lourde. Mais la hallebarde n’est pas accessible à tous (troupes montées, soldats trop frustre ou élitistes) donc l’arme lourde restera présente. Et à moins d’exemples nouveaux et précis qui n’auraient pas encore été évoqués, seuls les guerriers du chaos et les gardes des cryptes avec armes lourdes auront intérêt à remplacer systématiquement leurs armes lourdes par des hallebardes. Ce qui ne change pas la face du monde de Warhammer… et ne vaut pas une diminution de la hallebarde (qui n’a pas la place qu’elle mérite aujourd’hui)
  15. Il existe une prédominance de la cavalerie lourde. Pourquoi ne pas proposer des armes anti-cavalerie lourde. Justement, les armées à poudre noires ont sonné le glas de la chevalerie… car un simple paysan avec une arquebuse et 3 mois d’expérience pouvait percer l’armure d’un chevalier renommé (Bayard fût tué par une arquebuse, non ?). Ensuite, il ne faut pas oublier que le jeu gagne à n’être pas trop compliqué. Nous avons vu avec la V6 qu’un malus en sg de –2 ne suffit pas à inquiéter les chevaliers. Si le malus en sg est de –3, ça suffira certainement pas... et ça compliquera le jeu. Perso, ça m’énerve de prendre quelques secondes pour calculer la sg quand mes chevaliers se font blesser par des jezzails. Plus de sg ne change pas trop les choses et accélère les parties… pour plus de temps à consacré à la phase de déplacement ou de parties. Les arquebusiers seront efficaces contre les chevaliers… et les archers inefficaces contre les chevaliers. Mais les archers seront efficaces contre les troupes peu résistantes et particulièrement les arquebusiers. Car un duel arquebusiers archers se solde par la victoire des archers : le volume de tir est deux fois plus important pour les archers, la sg n’a pratiquement aucune influence entre tireurs. Donc les archers ne sont pas inutiles : ils élimineront les tireurs. Et le beau jeu consistera à éliminer les arquebusiers ennemis avec les archers, et d’envoyer ses chevaliers sur les archers ennemis. Ce malus s’applique –1 pour toucher les tirailleurs vient de la difficulté pour toucher une unité dispersée… Car tirer sur une unité en rang serré est bien plus facile. On vise l’unité et non le soldat. Ce malus tirailleur est dans les règles, s’applique toujours et est AMHA justifié pour toutes les unités de volants... Parenthèses : je préférais quand les cavaliers isolés en bénéficiait, on pouvait se risquer à jouer des petits héros combattant isolés. Plus maintenant... mais c’est le parti pris anti-perso et pro troupe de la V6 après les abus de perso des versions précédentes… Donc les arquebusiers touchent comme j’ai dit… et il faut bien une salve de 24 pour tuer un chevalier pégase à longue portée… ce qui n’en fait pas une unité anti-volant (et c'est heureux). Je ne connais pas encore les règles du nouveau livre nain. Normalement, rien le duel arquebuse/géant n’est en rien impacté par mes propositions. L’arquebuse Sire touche et blesse autant que l’arquebuse V6. La sauvegarde d’armure n’a pas d’impact contre un géant. L’arquebuse Sire inflige inflige double blessure mais il en faut 2 fois plus infliger le même nombre de tir. La seule différence est que les arquebusiers Sire occuperont moins de place et seront sur 2 rangs… formation plus conforme à l’historique, et plus esthétique sur une table (selon mon goût…) Je te renvoie p6 où j’ai déjà argumenté sur ce problème hallebarde arme lourde. La concurrence hallebarde/arme lourde ne concerne que les gardes des cryptes et les guerriers du chaos avec arme lourde… des troupes finalement très rares. Un faux problème.
  16. Je te prie de croire, Lapin, que ce que je dis est d’une véracité incontournable… au moins pour mon cas à moi. Je n’ai aucun plaisir à jouer des hommes d’armes ou une machine de guerre avec mes bret. -Bon, disons nettement moins de plaisirs...- C’est vrai. Mais je préfère que ce soit mes adversaires qui m’enseignent, par leur victoire, que mon armée est mal construite et qu’il me manque telle unité pour vaincre leur armée. Bref, que ce soit mes adversaires qui me forcent à innover. A contrario, si des nouvelles règles ou des restrictions de tournois écrites vétoïsent, tel ou tel élément, c'est facile de s'adapter. Mes adversaires sont brimés aussi. Mais je n’ai pas de plaisir non plus si mon adversaire sort des gardes maritimes ou des gardes phénix (à la limite, je trouve ça vexant !… Je préfère de loin qu’on respecte mes talents de général…). Je n’éprouve pas non plus de volonté de challenge à faire mieux avec moins bien (faut dire que j’échoue déjà la plupart du temps avec le max…). Je n’ai pas fait le tour. J’ai encore faim de batailles compétitives et disputées, de victoires et si possible de podium. Je dirais que l’effet indirect, c’est une pression monstrueuse sur l’orga jugé responsable des listes. Car enfin, l’orga est responsable des listes refusées et donc des listes acceptées. Si des restrictions sont écrites elles engagent les orga sur le règlements du tournois, mais elles dégagent les organisateurs des listes : toutes les listes respectant les règles de base et les restrictions du tournoi sont alignables. Aux joueurs de se couvrir en connaissance et conséquence... Des restrictions écrites permettent d’éliminer ces éléments. B) Pourquoi privilégier les notes de compo / poule grossiers : Car l’effet bénéfique des poules / notes de compo est déjà là avec les niveaux grossiers (pour mémoire : 1. On joue comme on aime avec des adversaires en rapport. 2. Rapidité du tournois). Car le risque d’erreur (ou même simple différence d’appréciation entre orga ou joueurs) est bien plus important (selon, le bon principe « on n’a pas mal aux pied des autres », l’« abus » de gobelin fanatiques ne sera pas aussi évident pour un CV éthéré que pour un bret.). Car les orga s’exposent plus –et trop- avec des niveaux fins. Les orga jugent plus bourrins Grodur qui a 1/20 que Blastor qui a 2/20… Un ami de Grodur va pigner « Grodur est moins bourrin que Blastor… » et Blastor peut être vexé... Avec des notes grossières 1, 2 ou 3 /3, Blastor et Grodur ne pignent pas avec leurs 1/3 pointés. Bien sûr vous avez des épaules solides à Nantes et pouvez passer outre ces jérémiades… mais sont elles réellement utiles et/ou plaisantes toutes ces discussions sans fin sur la compo/poules fines ? Un autre inconvénient des poule/compo fine, est que les orga se donnent (ou se font donner) la responsabilité de l’intérêt des parties… Encore une responsabilité écrasante dont il serait sain -et facile- de se décharger sur les joueurs… et sur le hazard. Mon conseil amis orga : déchargez vous de ces responsabilités (compo/poule fine et intérêt des parties). Ces responsabilités doivent revenir aux joueurs et au hazard. Simplifiez vous le tournoi. Soyez les organisateurs, les arbitres et pas des assistantes socialudiques. (Copyright Sire d’Epinette) Les joueurs doivent assumer la responsabilité de leur liste d’armée. De son adéquation contre toutes les armées adverses possibles, et même de l’intérêt des parties qu’ils pourront faire avec. Et donc il faut revenir aux restrictions écrites et non au refus de listes sans critères affichés. Sire d’Epinette qui argumente
  17. Hummm j’aime bien ce que tu dis Messie… et en particulier Pour essayer de faire carton plein, je vais reprendre tes reserves... histoire d’essayer de les balayer Portée de l’arquebuse : je parle en cm, quand j’écris 60 cm, c’est 24 ps. Donc moins qu’un canon ou une baliste. Je ne change pas la portée de l’arquebuse actuel. Une blessure d’arquebuse tue un volant. Mais il faut auparavant tirer toucher et blesser. Prenons des arquebusiers qui tireraient sur des chevaliers pégases à longue portée sur terrain dégagé. Touche à 6 (tirailleur et longue portée), blesse à 4+. Ensuite, le chevalier pégase perd ses 2 PV. Il faut donc 12 tir d’arquebusiers. Mais comme un seul arquebusiers sur 2 tire, il faut donc le tir de 24 arquebusiers (par exemple, 12 sur 2 rangs) pour tuer UN chevalier pégase. Est trop puissant ? Je ne le crois pas… N’oublie pas que les volants sont tirailleurs… et que les arquebusiers sont de piètres tireurs.
  18. Ahhh le refus de liste sévère… j’aime pas ça… Ca force à jouer d’une certaine façon… ce qui peut gâcher certains plaisirs sans forcément en créer d’autres... Enfin, je t’enverrais la liste de mes fig, et tu me feras une liste non refusée… On ne saurait pas être joueur plus docile et ça ira plus vite. bonne compèt alors que les orga ont une telle pression sur les listes qu’ils ont autorisés ou refusés et que les joueurs voient leur lattitude de listes sévèrement réprimée… pas évident ce concept pour ma personne… Ca c’est clair, il y aura de la nouvelleté… Et tu sais quoi, ça marcherait aussi pour les notes de compo grossiers. Et donc pour des notes de compo intervenant dans le classement et arrangeant une ronde suisse (à même palmarès de victoire, les joueurs affrontent des compo les plus proches possibles). Par exemple, si tu notes la compo de 1 2 ou 3, il y aura peu de pignage… Là, on retrouve le gars qui vote no limit quand les restrictions échouent à atteindre la perfection… Ne jette pas le bébé avec l’eau du bain. Les poules sont faites à la base pour 1- Faire jouer ensemble des adversaires d’esprit semblables 2- accélérer les parties en tournoi En acceptant la moindre efficacité du classement du tournoi. N’oublie pas l’objectif 1 sous prétexte que l’art est difficile et l’objectif trop ambitieux. Les poules de niveaux parfaites n’existent pas… mais des poules de niveaux grossiers rendraient les parties moins inégales que des poules parfaitement aléatoires. De même des restrictions empêchant tous les abus possibles n’existent pas. Mais des restrictions imparfaites empêchent plus d’abus que le jeu no limit...
  19. Solution moyenne et "idéale" que je clâme depuis longtemps : Des poules alétoires dans des niveaux de listes grossiers. Exemple, tu identifies pas trop finement quelques niveaux de listes. Et tu tires au sorts les adversaires au sein de ces niveaux. Intérêts : Des poules rapides M. Pyrophore n'affronte pas M garde maritime (celui qui joue l'unité, pas la liste SoC ...). Et last but not least, pas de pinaillages fins (poule 1, 2, 3, 4 ou 5 c'est pareil, c'est le hazard, fini le ouin, machin n'a rien à faire en poule 4, il devrait être en 2). Désavantage : toujours pas de classement pertinent, comme pour toutes les poules...
  20. Ha ces hauts elfes, ils sont tous uniques et élitistes, dur de faire des catégories spé et rare… Les choix étaient difficiles… entre les balistes, les aigles, leurs 3 infanteries d’élites, les chars, les princes dragons, les patrouilleurs, les gerriers fantômes et les mercenaires… les choix limités sont surpeuplés. Dire que y’en a des qui veulent y mettre en plus les heaumes d’Ag… Les balistes sont sûrement assez communes… aussi communes en tout cas que les canons impériaux. Mais si les concepteurs les avaient mis en choix spé non doublé, toutes les élites elfes en aurait pâti. En choix spé doublé, les balistes auraient été trop disponible. Je trouve que du point de vue spé / rare, l’auteur s’en est bien tiré avec son choix baliste = rare MAIS doublé. Je te remercie de mettre à part les bret… néanmoins, ta proposition scelle le glas des heaumes d’argent (chars et prince dragon sont préférables… et il n’y a que 4 choix spé possibles à 2000 … je parle même pas des choix rares) et pour l’Empire… le choix sera terrible entre les machines de guerre, la chevalerie et les pistoliers… tant pis pour les joueurs d’épées). Donc non, pas bon du tout cette idée… A la limite extrême il faudrait privilégier le statut intermédiaire entre base et spé : choix de base ne comptant pas dans le nombre minimum d’unité de base à prendre. Ainsi, si ce statut était adopté pour la cavalerie lourde chez l’Empire et chez les elfes, on forcerait pour ces armées 3 unités d’infanterie ou de tireurs, seuls choix de base à 2000 points… sans interdire les heaumes d’argent (pour les elfes) ou les canons (pour l’Empire). Cela dit, c’est hors champs. Car nous divaguons ici clairement sur de nouveaux livres d’armées… et donc pas sur les règles génériques V7 mais les livres de la V7… un plan à 10 ans. Donc à coût en points d’armée, répartition base spé rare constant et donnés, essayons de rendre les diverses troupes aussi rentables en points d’armée que possible (vaste programme…) Bon essayons de corriger les inégalités de rentabilités actuelles… par de moins grandes
  21. Non, trop compliqué. Et l'armure (en particulier l'armure légère des fantassins) ne servirait vraiment à rien.
  22. Les catégories base / spéciale / rare ne sont pas là pour équilibrer les listes, mais pour que les listes d'armées soient conformes aux background. Donc il faut discuter background et esprit des armées avant de parler base / spécial / rare. De mauvais choix de catégories donneraient (donnent) des armées bizarres pour le background (full char homme bête, par exemple). Ce qui équilibre la puissance des listes sont les profils / capacité / coûts des troupes. Un truc vraiment équilibré ne devrait pas gêné les parties, ni en base, ni en spé ou rare. Ceci dit, plus la troupe est disponible, plus son équilibrage (au sens rentabilité des points d'armées) est important. Car la troupe est d'autant moins présente -donc éventuellement d'autant moins déséquilibrante- qu'elle est rare. Donc une erreur de conception d'un choix rare (Malakai par exemple) est bien moins dommageable qu'une erreur de conception d'un choix plus disponible (par exemple en base les chars homme-bête, et les ratlings). Car on ne peut prendre qu'une malakai... et bénéficier qu'une seule fois de son excellent rapport qualité / prix. Alors qu'on peut prendre 12 chars hommes bêtes (on bénéficie 12 fois de l'excellent rapport qualité / prix)... En résumant équilibrages force des armées : on parle des capacités / profils / points d'armée des troupes équilibrage catégorie base / spé / rare (et base 1+, base ne comptant pas dans les choix de base, choix spé ou rare doublés, choix 0-1), on parle background. Et si tout est techniquement équilibré, on se fout des catégories / base / spé / rare.
  23. Je propose des attaques (avec un jet de CC normal) au lieu des touches d'impact automatique, bien trop pénalisant pour l'élite.
  24. J'ai édité le premier post... et mis un résumé de ce que je crois être les meilleures propositions de ce long post... Made in Sire land
  25. Autre effet pervers : les unités en ligne ont les même malus que les tirailleurs (n'annule pas les rangs)... sans les avantages... de mouvement justement.
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