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Sire d'Epinette

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Tout ce qui a été posté par Sire d'Epinette

  1. Je répète bien : copyright Sire d'Epinette. Tant qu'à mettre le copyright Sire, je préfèrerais que tu donnes un prix inférieur à la levée paysanne. 3 points est un prix technique trop élevé : il y a des gob pour moins cher de profil supérieur... et avec un bouclier. 3 point la levée paysanne à poil c'est trop cher. 2 points par tête pour nos sous gueux sans bouclier serait un prix plus correct (rentabilité inférieure aux gob mais bon). 3 points si tu leur donne la lance ou le fléau de série. Quant à l'invention des levée paysanne, elle n'est pas de mon fait. Les bretonniens V4 (une liste d'armée genre horde sauvage de 1992 (environ)) incluaient des levées paysannes. Et puis je persiste à dire et à penser que les quêsteux ne devraient pas être 0-1 dans un ost du graal avec 3 arguments : C'est le désir et le devoir des questeux. La Dame utilise les outils qu'elle trouve. Et il faut bien mettre les questeux à l'épreuve pour voir qui seront ses champions.
  2. Un peu quand même si ! Tu dis toi même qu'on y apprend plein de trucs... Même si ça suffit pas. Mais j'ai dis d'abord apprendre à parler sur un forum. Et ça, il faut pratiquer et donc il faut un espace ouvert à la discussion... qui devrait être le forum armée et qui n'existe plus vraiment.
  3. Mais non on s'en moque pas. On parle et on s'attarde sur ce qui ne va pas... Le forum tactica ne va pas attirer de viande fraiche... Les débutants qui interviendront sur ce forum vont se faire houspiller… Avec raison, tactica n’est pas leur espace de discussion. Armée leur est largement fermé. Ils n’ont dès lors plus d’espace de discussion, d’aguerrissement. Bientôt la disparition du warfo faute de renouvellement... Le problème c'est la politique trop strict appliqué aussi à armée... qui interdit les erreurs et donc l'apprentissage (du forum d'abord, de whb dans une moindre mesure). Sire, qui veut de la place pour tous, pas forcément la même place mais de la place pour tous. PS, pour merci, la tactica "terminés" sont à la racine d'armée. Ils ne seront pas enterrés.
  4. Heuh Léonardo, tu n'es pas obligé de casser en partant ce que tu as créé. Je rejoins ton avis : le warfo va s'étioler mais que celà ne soit pas de notre fait. Part sans tout casser par anticipation. Laisse la responsabilité de leur politique à ceux qui la mène... . Bref, je te ferais le même conseil que pour les modo : si un sujet ne vous interresse pas, laissez le tranquille... ne fermez pas ou ne supprimez pas le sujet. Soyez tolérant. Contentez vous de laisser vivre -ou mourir- sans vous Sans le tuer vous même. Et pour toi, Léonardo, ça veut dire laisse le tactica mercenaire tel qu'il était début octobre... Sire, tolérant.
  5. Sire d'Epinette

    La Quête

    Goëlar de Lothern « Venez messire, il doit être par ici. Il se sera échoué, le temps cette nuit a été à la tempête.» Sire d’Epinette avait été prévenu au déjeuner par un pêcheur qu’un navire était venu s’échouer entre Nazarie et Gwéran. Sire d’Epinette avait ordonné à ses cavaliers de le suivre et la petite troupe était partie immédiatement. Il y avait tous les indices d’un naufrage. Des barriques et des débris flottaient ça et là. Ils y avaient tellement de rochers sur cette partie de la côte que le navire devait être brisé en mille morceaux… Une petite crique apparut bientôt. Elle avait un sol sableux et ne faisait que dix mètre de large. Et c’était ici que le navire était venu s’échouer… « Ce vaisseau a eu beaucoup de chance », expliqua la pêcheur. « Cette petite crique de sable est la seule que je connaisse sur des lieux de rivage. Le reste de la côte est sauvage et est constitué de roche acérée. Si le bateau avait rencontré les rochers environnant il aurait été déchiqueté… et son équipage avec. ». Le vaisseau était en difficulté et avait –entres autres avaries- perdu son mat. Néanmoins, la dévastation n’était pas totale. Sitôt que l’équipage aperçut le cavaliers bretonniens, il y eu un branle bas de combat. Il y eu quelques injonctions dans une langue inconnue et en quelques minutes, valides et blessés se regroupèrent, prêt à se défendre. Les cavaliers bretonniens montrèrent leur bannière : d’argent à croix de gueule à fleur de lys en chef de même. Les naufragés montrèrent leurs couleurs. D’argent à tête de dragon d’azur à vague de même. « Des elfes. » comprit le Sire. La chance n’était sans doute pas le seul facteur pour cet échouage favorable. Les marins s’étaient arrangés en ordre de bataille. Des lances étaient dressées au premier rang. Deux rangs d’archers étaient abrités derrière. Encore plus loin en arrière, il y avait les soldats blessés. Malgré leur faiblesses, ceux ci protégeaient quand même un peu l’arrière de la formation. Bien que les elfes se soient déployés au mieux de leurs maigres moyens, le Sire estimait qu’ils seraient vite balayés par une bonne charge. « Frère Gabriel, votre conseil ? » demanda le Sire. « Soyons charitable frère Erevan. Même si les elfes ont, par le passé, agressé des hommes, et que nos amis nains nous conseillent de nous méfier des elfes, ces naufragés ne nous ont pas fait de mal. Ils ont besoin d’aide… et nous ne risquons rien.» « Vous avez raison. » Sire d’Epinette descendit de son destrier, retira son heaume et s’avança main levée. Les elfes se détendirent un peu. Chaque soldat elfique était grand et élancé. De plus, les elfes portaient un heaume conique qui les grandissaient encore. Sans destrier, l’infanterie haut elfe était impressionnante. Sire se présenta : « Je suis Sire Erevan d’Epinette, sujet de Louen, Roi de Bretonnie, serviteur de la Dame et maître de ce lieu. A qui ai-je l’honneur.» Un silence lui répondît. Sire répéta son propos très lentement en essayant de s’aider de gestes. Le capitaine elfique lui répondit dans un langage harmonieux mais incompréhensible. Sire d’Epinette comprit qu’il avait affaire à un certain « Goëlard un Lothern », capitaine du bateau. Goëlard montrait son mat brisé. Sire ne comprenait pas un mot, mais il savait que Goëliard voulait réparer son bateau. Sire fit comprendre à Goëliard de le suivre et l’emmena en forêt, lui montrant des arbres. Goëliard désigna un chêne centenaire au cœur de la forêt. Il était droit et haut de trente mètres. C’était l’un des plus beaux de cette forêt. Sire d’Epinette prit une hache et commença à l’abattre. Il fût aidé par les bretonniens et l’arbre fût bientôt mis à terre. Elagué, le tronc fût débardé à l’aide de chevaux et transporté à grand peine auprès du navire elfique. Les elfes se mirent au travail. Sire observait les elfes qui reconstruisaient leur mât et réparaient les avaries moins graves. Sire avait demandé aux charpentiers de Nazarie de venir proposer leur aide. Mais les elfes étaient des constructeurs de bateau accomplis et la compétence du plus simple soldat elfique égalait celle des maîtres charpentiers bretonniens. Ces derniers profitèrent de la leçon… Goëliard montra ses tonneaux brisés. Sire d’Epinette comprit qu’il faudrait du ravitaillement. Sire d’Epinette envoya chercher des stocks de poissons. En quelques jours, le vaisseau elfique fût prêt à appareiller. Goéliard un Lothern parla amicalement au Sire et reprit la mer. « Nous nous sommes peut être fait des amis à peu de frais. » pensait le Sire. … Un mois plus tard, trois vaisseaux elfiques apparurent à au large de Nazarie. Sire reconnut la bannière de Goëliard un Lothern. Il ordonna de leur permettre d’entrer pacifiquement. Les navires accostèrent et le Sire reconnut le capitaine elfique. Il était accompagné d’un elfe lettré, qui connaissait le bretonnien et servît d’interprète. « Mon seigneur, Goëliard de Lothern vous remercie pour votre aide charitable. - Je suis enchanté d’avoir pût aider le seigneur de Lothern. » L’interprète rapporta ces paroles à Goëliard et les deux elfes éclatèrent de rire. « Non messire, nos usages ne sont pas les vôtres… Bien qu’étant de Lothern, Goéliard n’en est pas le seigneur. Goëlard est un capitaine de vaisseau dragon comme tant d’autre au sein de notre immense flotte. Lothern est dirigé par le haut roi Phénix, Finubar le voyageur… Pour vous remercier d’avoir sauver notre vaisseau dragon, le roi phénix vous propose ce bijou qui équivaut au prix du bateau. - Je suis honoré de votre présent, mais je ne crois pas qu’un arbre et quelques barriques de poissons vaillent un tel bijou. » Goëliard de Lothern poursuivit dans un bretonnien hésitant : « Et pour vous remercier de nous avoir sauver la vie de mon équipage et la mienne, je vous offre mon amitié. » - Je ne puis qu’accepter l’un et l’autre et vous remercie chaudement, vous et votre roi. » Sire d’Epinette regarda le bijou. C’était un rubis gros comme un œuf de poule. Il était cousu dans un bandeau de soie, enfiché avec des griffes d’or fin. Un serre tête magnifique… Il était si beau et si gros que les meilleurs orfèvres tiléens eux même n’auraient pu réaliser une telle merveille.. Sire d’Epinette estimait qu’il pourrait échanger une paire de canons contre ce bijou. D’un autre coté, un tel bijou ne pouvait pas rester caché dans un quelconque coffre à trésor… il faudrait l’arborer. C’était aussi un signe d’amitié dont l’ostentation flatterait les elfes, et un signe de richesse qui impressionnerait les hommes. Montrer ce bijou était un acte politique qui devait être. Sire d’Epinette n’en voulait pourtant pas pour lui. Diane n’était pas l’épouse du Seigneur de Nazarie, mais elle était la première Dame de Nazarie. Ce bijou devait lui revenir. Sire d’Epinette offrit le bijou à Diane… qui le mit à son front avec élégance. Goëliard parla en elfique et le traducteur expliqua : « Ce bijou, madame, vous sied à ravir. Il ne pouvait trouver meilleur écrin. » Tout le monde se congratula. Il y eut un banquet pour fêter cette amitié pleine de promesse. … La cloche d’alarme réveilla la ville. Les bretonniens gagnèrent leur abris, imités par leur hôtes elfiques. Goëliard fût informé que des morts vivants des mers bombardaient régulièrement la ville. Le bombardement durerait vingt minutes, puis le morts vivants n’auront plus de projectiles et repartiraient. Par l’intermédiaire de son traducteur, Goëliard demanda si les bretonniens avait prévu une riposte… et devant la réponse négative, il proposa de s’en charger. Les elfes gagnèrent leurs vaisseaux et se préparèrent à combattre les morts-vivants. Les vaisseaux dragons sortirent bientôt et se rangèrent en ligne de bataille, zigzagant sans cesse pour compliquer le tir des catapultes ennemies. Les trimères morts-vivantes étaient au nombre de six. Elles s’alignèrent face aux vaisseaux elfiques pour profiter au mieux de leur supériorité numérique. Les vaisseaux elfes s’approchèrent rapidement, tirant des traits de balistes… auxquels répondaient quelques rares rochers de catapultes… qui fort heureusement, rataient leur but. Bientôt, des nuages de flèches elfiques s’abattirent sur les bateaux morts vivants. Profitant d’une brusque bourrasque de vent, les vaisseaux elfes basculèrent vers la gauche. Les vaisseaux se suivaient maintenant une telle vitesse que les trimères mort-vivantes furent incapables de se réorganiser. Les elfes s’étaient joué des trimères et, abandonnant le front précédent, elles se présentaient maintenant sur le flanc des trimères : le rapport de force en était inversé : trois vaisseaux dragons elfiques affrontaient la même trimère… Les vaisseaux elfiques continuèrent leur assaut avec violence. Les balistes à répétition crachaient des volées de projectiles qui balayaient les ponts ennemis. Les morts-vivants, piètres tireurs comparés aux elfes et à un contre trois, n’arrivaient pas à répliquer efficacement. Un, puis deux ponts mort-vivants furent bientôt vidés de leur équipage. Une autre trimère fût éperonnée sur son flanc… la trimère était mortellement touchée, mais le vaisseau dragon avait été ralenti. Les deux vaisseaux elfiques continuèrent l’assaut. Les trimères essayaient de s’échapper maintenant. L’une d’elle fût attrapée, éperonnée. Quelques squelettes tentèrent de prendre d’assaut le bateau elfique. On s’y battît au corps à corps… Le dernier vaisseau ne voulait pas donner seul la chasse aux deux dernières trimères. Il patrouilla, gardant ses camarades. Finalement, les bateaux elfes se dégagèrent et allèrent couler une des trimères immobilisées. Puis, un vaisseau elfique aborda la dernière trimère pendant que les deux autres montaient la garde. L’ultime trimère fût ramenée à Nazarie. La victoire était totale. Les morts vivants des mers avaient perdus quatre de leur six trimères… et repartaient vaincues. Les bretonniens jubilaient car un coup terrible avait été porté à leurs ennemis… Les elfes furent accueillis en héros à Nazarie… Un nouveau banquet fût rapidement organisé. Généreux, et sûr de l’infériorité des trimères morts – vivants comparées aux vaisseaux dragons elfiques, Goëliard fît don de la trimère aux bretonniens. Sire conférait avec Goëliard. Il remercia Goëliard pour le châtiment des morts-vivants, et pour la trimère. Sire d’Epinette baptisa la trimère la Goëliard, le premier vaisseau de Nazarie. Pour l’instant, personne à Nazarie ne savait comment naviguer…. Mais ils y avaient des marins qualifiés en Bretonnie, à Brionne, à Bordeleaux ou à l’Anguille. Il suffisait de demander un équipage à Louen. Sire demandait à Goëliard s’il connaissait ces morts-vivants. D’où venaient ils et s’ils pouvaient être châtiés. « Ces morts-vivants sont des pirates à priori indépendants. Ils habitent une île au large de la Tilée. Ils se contentent de piller les ports et les navires peu défendus, principalement tiléens. Ils évitent habituellement de s’en prendre directement à nous. De part et d’autre nous sommes dans une sorte de neutralité… Bien sûr, nous ne les aimons pas, mais nous avons tellement à faire par ailleurs… Ces morts-vivants ne pouvaient pas savoir que nous étions vos hôtes...» Sire d’Epinette songeait qu’une flotte elfique serait une bonne protection… quant aux elfes… Plus il y songeait, plus il pensait que cela pouvait être une bonne idée. Sire osa : « Seigneur Goëliard, je songeais à quelque chose d’ambitieux. Votre Roi serait intéressé à disposer d’une base navale sur nos côtes ? - Il se pourrait bien. Qu’avez vous en tête, messire d’Epinette ? - Il se trouve que je suis seigneur de ce lieu et que je suis habilité à conférer tout ou parti de mes responsabilités à des vassaux que je peux librement choisir. Prêtez moi allégeance et je vous confie Nazarie ! » Goëliard pâlit et demanda, encore poli, en quoi cela consistait. Sire d’Epinette expliqua les droits et les devoirs du vassal et du suzerain, que ces échanges de serments impliquait. Sire décrivit aussi le cérémonial (cf chapitre Exode). Au cours de la description, Goëliard blêmissait de plus en plus. « Jamais je ne serais votre homme de main. Jamais je ne m’agenouillerais devant un humain. Je ne suis pas le seigneur de Lothern, mais je peux remonter sur cinq mille ans l’histoire de ma famille… jusqu’à l’époque où vos ancêtres étaient vêtus de peaux de bêtes et d’armes en pierre. Vous m’avez sauvé la vie, Sire d’Epinette et vous ne connaissez pas les hauts elfes d’Ultuhan. Aussi je vous pardonnerais pour cette fois cette provocation. Mesurez bien ma mansuétude, Sire bretonnien, car je vous avise que des guerres ont éclaté pour moins que ça. » Sire n’osa plus répondre et le banquet se poursuivit dans une atmosphère lourde. Sire demanda aux bouffons et aux ménestrels de venir égayer la soirée… mais Goëliard ne sourît pas ni ne fît aucun commentaire. Enfin cette pesante soirée s’acheva au soulagement de tous. Les elfes repartirent au matin. Sire raccompagna Goëliard et essaya de sauver ce qui pouvait l’être : « Vous êtes notre ami. Vous pouvez revenir quand vous le souhaitez, pour vous ravitailler, réparer des avaries ou même simplement pour nous rendre visite. ». Goëliard ne répondit pas et la flottille elfique repartît vers l’ouest.
  6. Pour faire une critique constructive (car il y a plein de gens que je connais personnellement et que j’aime bien parmi les administrateurs, JB, Zara,GG), je pense qu’il faut pouvoir discuter sur un forum sans formalisme monstrueux. Vous n’allez pas plier les gens à votre formalisme, vous allez vider le warfo de toutes interventions, celles que vous souhaitez interdire ET celles que vous souhaitez encourager. Organisez des forums ou sous forum « armée » plus sérieux et plus strict si vous le souhaitez (tactica, discussions sur le jeu, la racine d’armée) mais laissez le possibilité à d’autres de s’aguerrir sans tout de suite leur couper les ailes à travers un formalisme pointilleux, des fermetures et des avertissements. Si un post ne vous intéresse pas, ne le fermez pas mais ignorez le. Si un forum « liste d’armée » libre ne vous intéresse pas, (et c’est mon cas) n’y allez pas. Mais laissez les autres discuter, s’aguerrir et plus tard, parfois, certains ex-snot feront des interventions riches. Si le forum coûte des sous et si vous proposez cette modérations/restriction par soucis d'économie, demandez plutôt des cotisations à l’inscription avant de pouvoir poster ou répondre. Autre soucis, il y a certains sous forum vide (création et développement, scénario). Réunissez tous les créations et développements. Le sous forum manifestation aide aux orga, pourrait être à la racine du forum manifestion (actuellement vide). Sire, qui a été débutant à warhammer et sur les forums.
  7. Ecoutez un peu le génial tiléen. Faudrait retrouver un post de Lyondri où il se moquait d'une fédération de jeu d'histoire technocratique... On y est presque... Edit : Tiens j'ai retrouvé le post de Lyondri http://forum.warhammer-forum.com/index.php...191&hl=histoire Qui se lance dans le guide du parfait membre de warfo ? Sire, impertinent
  8. tir sur 2 rangs oui, c'est indispensable. On pourrait même faire tirer les rangs suivants à 50%. Exemple 20 GM en 4 rangs de 5 feraient 15 tirs. Reformation : non, c'est trop puissant. Espace réduit. Pourquoi pas... sympa et assez background. Inutile de préciser la suite.
  9. J'approuve tout ce que tu dis... (et je me répète aussi...)
  10. Je ne suis pas, jamais, de mauvaise foi. Et toi ? Je ne pense pas en démordre… sauf si je suis régulièrement battu face à des bret sans espoir de revanche victorieuse. Comment t’expliquer ? On va partir sur deux trucs pas trop durs où on va être d’accord… WHB est un jeu de stratégie. On a donc un plaisir intellectuel à trouver une solution. Il y a des modèles, des carac, des points d’armée, une équation à watt mille inconnues. Ca tu maîtrises bien. Je tâte aussi un peu à ce jeu là... avec moins de succès. La stratégie impériale raisonnablement gagnante (en gros choix des cibles, feu et défense des tireurs) sera différente d’une stratégie bretonnienne raisonnablement gagnante (en gros avance et charge !). La stratégie de tir est elle plus compliquée et nécessite elle un effort intellectuel plus grand qu’une stratégie offensive ? J’en doute mais bon, je te donne le bénéfice du doute. Mais j’y perd quand même en plaisir de jeu car je préfère quand même l’offensive… bien compromise avec des impériaux. Un deuxième aspect du jeu est que WHB est aussi un jeu de figurine... auquel on peut placer un plaisir esthétique. Les figurines ne sont pas les mêmes… je pourrais arguer que je préfère les beaux cimiers des bret aux rubans des impériaux… ou les destriers bretonniens aux impériaux... En fait, dans mon cas, ça ne compte pas. Je suis content de l’aspect de mes impériaux aussi. Donc je ne perd pas en plaisir "esthétique" à jouer mes impériaux. Sans doute parce que j’ai troqué ces lourdauds de destriers impériaux par des destriers bretonniens élancés… Le dernier aspect du jeu t’échappe sûrement (parce que tu t’en fout) c’est l’aspect historique, le background. Un plaisir historique, romancier, de rôliste quoi. S’identifier à un paladin bretonnien, téméraire, bravache, sans peur et sans reproche ou à un junker prussien -ou pire à un seigneur sorcier- et bien c’est pas la même limonade… Dans le premier rôle, le Sire d’Epinette est bien plus content. Mais ça, tu dois pas pouvoir comprendre.
  11. avec du bret non, la est toute la subtilité, essayez de faire plus fort que du full cav avec du bret.... J'admets bien volontier que les full cav sont -parfois- les plus puissants des bret... mais d'autres troupes bret ne sont pas débile pour autant (archers, monstres et forte magie, sergents dans une moindre mesure) Mais si les notes de compo sont relatives à la puissance des troupes choisies au sein de l'armée, le gars qui oserait jouer mercenaire sans un seul régiment de renom se prend d'entrée une tôle en compo. Car même les piquiers sont over abusé comparés à certains régiments de renom... me trompe-je ?
  12. Le jour où je serais battus par des bret sans perspective de victoire (hors gros coup de moule) même si je fais moins d’erreurs et quelque soit les modif apportés à l’armée que je jouerais. Le jour où je serais certain de gagner quelques soit l’armée en face et sa liste d’armée. A l’heure actuelle je ne suis « serein » que face aux nains. Je craints toutes les autres armées et en redoute certaines. Et j’ai peut être tort en étant serein face aux bains. Bref, je ne considère vrai que les démonstrations et non les incantations (du moins celles qui me heurtent…). On peut commencer la démonstration. Tu prends mes bret et que tu me bats quand tu veux… (si tu peux). C’est possible, GG l’a fait une fois. Je ne m’avoue pas définitivement vaincu pour autant avec des hommes bêtes face aux bret… car j’avais fait des erreurs... Tu auras le droit de jouer violent ou comme tu veux. Je t’opposerais des impériaux ou des hauts elfes comme j’aime. Tout pareil. J’aime affronter et jouer des armées mobiles Je pense qu’il y a pire, bien bien pire. Justement parce qu’il y a du mouvement des manœuvres et des CC. Tout à fait d’accord… Et puis reste la question de la compo / refus de liste juge la puissance de la liste ou le caractère chiant ou pas de l’armée. Procédé qui peux me gâcher une partie de mon plaisir (puisqu’on parle de caractère chiant sans en parler mais en parlant quand même…), tu en conviendras. Je suis plus dans le trip bretonnien que le trip impérial…
  13. Tout à fait d’accord avec tous tes propos. Tout à fait d’accord aussi… La je ne suis pas d’accord. Car à plusieurs, on ne décide pas forcément mieux que seul. Un acharné va emporter le morceau face à tous les autres sans avis ou plus tièdes… On va parfois défendre à plusieurs des points de vue avancés par une personne dans le passé… qu’on ne pense pas. Je pense par exemple à un tactica bret écrit collectivement qui défendait l’intérêt de la sainte bannière bien que la plupart des membres soient réservés (au mieux) à son égard… et aussi au sentiment anti-bretos qui sévit actuellement dans l’ouest. Mieux vaut un orga en chef qui décide tout tout seul… et qui l’assume. Comme ça, une erreur d’évaluation peut subvenir… mais ne va pas être reconduite dans tous les tournois régionaux... l’erreur reste isolée. Sire pour qui une opinion erronée, même largement partagée, reste une erreur.
  14. Sire d'Epinette

    La Quête

    Les trimères noires Il faisait froid, la lune était pleine et se reflétait dans la mer calme. Tout était quiet. Son seigneur ayant ordonné qu’on surveillât en permanence les murs de Nazarie, Gaston était de garde cette nuit là. Comme d’habitude, il grelottait et s’ennuyait, comptant les étoiles filantes. Mais ce soir ne serait pas comme les autres veilles : Gaston aperçut quelque chose sur l’océan. Il y avait peu de bateau, et jamais la nuit. C’était acquis maintenant, sous la pâle lumière de la lune, trois voiles noires venaient sur Nazarie. Gaston était un bon soldat. Il décida que la meilleure chose à faire était de … prévenir son supérieur. Hugues fût tiré de son sommeil, puis se fût le tour du Sire. Apercevant les voiles et leur cap –droit sur le port-, Sire d’Epinette décida de réveiller les archers. Il ordonna aussi d’allumer un feu pour éclairer les bannières de Nazarie… La discrétion n’était pas une habitude bretonnienne. Les trirèmes noires infléchirent leur cap. Ils délaissaient le port de Nazarie pour s’enfoncer sur la Grismérie, à l’intérieur des terres. Sire tentait de voir à qui ils avaient affaire. Etait-ce des humains, des elfes ? Pourquoi ne s’arrêtaient ils pas ? Le Sire s’adressa au capitaine des archers. « Robin, peux tu voir leurs couleurs ? » Robin répondît « Je ne vois nulle bannière, Sire. Mais je vois des crânes blancs. L’équipage de ses bateaux est constitué au moins pour partie de squelettes. ». Sire d’Epinette ne voyait rien. Mais Robin était capitaine des archers, il était censé avoir une bonne vue. « Tu en es certain, Robin ? - Oui messire, je vois des crânes blancs. - Alors lancez leur des flèches enflammées dès que vous penserez être à portée de tir. Des morts vivants se rendant à Moussillon ne peuvent que nous causer du tort..» La compagnie d’archer enflamma ses flèches et tira à portée extrême. Quelques flèches touchèrent le plus proche des bateaux. Une voile prît feu. A la lumière des flammes, le Sire vît avec soulagement les crânes blancs et les orbites vides de leur ennemis… La voile fût entièrement consumée, mais l’équipage squelettique maîtrisa l’incendie. Le bateau continua sa route à la rame, s’éloignant en toute hâte vers la Grismérie. Ce fût le premier acte de guerre entre Nazarie et les morts vivants. Quelques jours plus tard, les trois trimères repassèrent au large, voile remplacée. Les trimères prirent soin de s’éloigner au maximum de la côte occupée par les bretonniens. Les bretonniens furent donc incapables d’empêcher leurs ennemis de passer. Plusieurs mois plus tard, des trimères revinrent en grand nombre. Une bonne trentaine de navires vomirent des hordes de squelettes armés de lances ou d’arcs. Les squelettes débarquèrent à bonne distance et se dirigèrent sur Nazarie. Sire décida de rester dans un premier temps sous la protections des murailles mais les assaillants venaient avec un bélier. Malgré un déluge de projectiles en tout genre entraînant des pertes élevées, le bélier parvint à briser la porte. Mais Nazarie, même sans porte, n’était pas sans défense. Les assaillants furent bien reçus. Sire mena les chevaliers du Graal dans un assaut dévastateur. Le fer de lance extermina les squelettes qui avaient porté le bélier. Derrière les Graals, les chevaliers de la Quête sortirent aussi et choisirent les ennemis les plus proches qu’ils enfoncèrent de même. Puis ce fût au tour de deux unités de chevaliers errants… qui eurent le même succès. Les hommes d’arme avaient mission de garder la porte. Ils attendirent les morts vivants à la porte de la ville. Pendant ce temps, les archers à l’abri des remparts continuaient à arroser l’ennemi de flèches. Les quatre fers de lances s’enfonçaient facilement dans les hordes de squelette. Ils étaient à peine ralentis et traçaient leur route au milieu de leur ennemis. Mais les squelettes se relevaient derrière eux tout aussi rapidement… Les chevaliers errants s’étaient lancé dans la bataille avec leur enthousiasme coutumier… mais déjà, ils se fatiguaient et ralentissaient leur oeuvre de destruction. Le cheval de l’un d’eux fût blessé et le jeune errant tomba. « Ne vous arrêtez pas ! », ordonna le Sire. Des cavaliers à l’arrêt auraient été facilement encerclés et auraient perdu de leur efficacité… Les bretonniens abandonnèrent leur camarade bientôt cerné par des dizaines d’ennemis. Il disparut. « Rassemblement. On se bat ensemble, côte à côte. » ordonna le Sire. Les chevaliers expérimentés, Graal et Quête, tenaient les flancs tandis que les errants étaient au centre, moins exposé. Les fers de lance, désormais côte à côte, traçaient un unique mais large sillon dans les rangs ennemis. Mais sitôt détruits, les squelettes se relevaient… Qui faiblira le premier : les invocations ou les chevaliers ? Que deviendront les chevaliers lorsqu’ils seront trop épuisés pour avancer et continuer leur travail de destruction ? Robin, capitaine des archers, leva la tête et balaya du regard l’ensemble du champs de bataille. Il vît que les trimères s’étaient approchée et étaient maintenant à portée de tir. Plutôt que de continuer à cibler des squelettes qui se relevaient sans cesse, il ordonna à ses camarades de tirer des volées de traits enflammées sur les navires. Quatre d’entre eux prirent feu et les autres s’éloignèrent. Les archers avaient-ils tué les chefs morts vivants ? Ou la distance entre les nécromants et leur lieu d’invocation était elle trop grande ? Toujours est il que les squellettes tombés ne se relevaient plus à présent. Les chevaliers bretonniens reprirent courage et terminèrent leur besogne. Il ne restait bientôt plus qu’un tas d’ossement… et le cadavre d’un unique chevalier errant… Sire d’Epinette ordonna de brûler les restes de leur ennemis et félicita chacun pour sa conduite –et surtout les archers- avant d’aller prendre un repos mérité. Les morts vivants n’arrêtèrent pas là leurs incursions. S’ils ne tentèrent plus d’assaut terrestre, ils arrivaient parfois au large de Nazarie et bombardaient avec des catapultes. « Ne pourrions nous pas utiliser les barques des pêcheurs pour corriger ces malandrins ? » demanda un chevalier de la quête ? « Nous serions massacrés. Il nous faut endurer cette épreuve avec stoïcisme. » expliqua le Sire. A vrai dire, les dommages étaient acceptables. Lors des bombardements, les Nazariens se tenaient sous les ouvertures des portes. Ainsi, lorsqu’un mur s’effondrait, basculant d’un côte ou de l’autre, les hommes étaient indemnes. Il était rare que quelqu’un soit blessé. Les trimères noires épuisaient leurs projectiles et repartaient. S’ils causaient des dommages matériels, ils ne causaient pas de pertes humaines. Cela n’empêcha pas le Sire de chercher des solutions pour mettre un terme à ces campagnes de bombardement qui endommageaient la ville… et pour empêcher les morts vivants de remonter la Grismérie… Dans cet esprit, Sire d’Epinette proposa au capitaine d’un navire estalien de passage d’acheter un petit canon. Le capitaine estalien proposa un prix tel qu’il aurait très bien pu échanger le canon contre la ville entière… Sire d’Epinette fût ulcéré par cette proposition. Il chassa l’estalien sans ménagement en lui signifiant que lui et ses compatriotes seraient désormais traités en ennemis par Nazarie. La guerre contre les morts vivants était dans une impasse. Les bretonniens étaient les plus forts sur terre, et les morts vivants étaient invulnérables sur mer. Quels moyens aurait le Sire pour gagner aussi la guerre sur la mer ? Quoiqu’il en soit, le Sire n’oubliait pas sa mission principale : gagner l’intérieur des terres en direction de Moussillon. Mission qui n’était en rien compromise par ces turpitudes contre les morts vivants des mers…
  15. responsabilité écrasante. Mieux vaut laisser la Dame (le hasard) en décider.
  16. Moi j’aime bien un peu de rigueur et de critères même sur la compo. Je voudrais néanmoins réagir sur certains trucs. OK Je comprend mal pourquoi pénaliser un choix rare (ou autre) par principe. Seul compte l'abus et la multiplication. plusieurs fois le même choix rare doit être pénalisé… mais la force des armées ne tient pas toujours dans son choix rare. Et des graals, une banshee ou un homme harbre ça le fait bien dans leur armée resppective... Et même une ratling (ou deux) chez les skavens, c'est chouette aussi. J’écrirais plutôt un truc dans ce genre : 3-4. Répétition anormale d’un type d’unité (+ d’une fois le même choix rare, + de 1-2 fois le même choix spé, + de 2-3 fois le même choix de base (Ex : Goules, Enragés, Ratlings) (sur 5 points) 5. Je suis contre. Des effectifs faibles amèneront une répétition anormale d’un type d’unité que l'on peut lourdement et justement sanctionner. Et aligner 10 archers c’est déjà un bel effort… Enfin, certauins effectifs optimisé ne sont pas forcément les effectifs minimums (les infanteries de contact seraient AMHA mieux par 12, les fers de lance bret par 6) 6-7 OK Je rajouterais aussi un critère présence d’unité non rentables (sur 2 points). Exemple : des HA bret, des archers haut elfe, une garde maritime ou phénix, des rats ogres, guerrier du chaos, hallebardiers impériaux, etc…
  17. A propos du Graal. Je ne pense pas que l’objet coupe soit important dans la quête du Graal. Les chevaliers de la quête ne cherche pas l’objet « Graal », mais ils cherchent « la Dame ». Extrait du serment de la quête « Je me donne cœur corps et âme à la Dame que je cherche. ». Le Graal n’est assurément pas matériel (comme une coupe) le Graal est spirituel… Le Graal c’est peut être la foi... plus surement la connaissance… Enfin, toute la vérité ne doit pas forcément être révélée d’un coup. Le chevalier du Graal continue sa vie. C’est seulement à partir de ce moment que le chevalier du Graal côtoie régulièrement les damoiselles et que celles ci informent le vertueux guerrier, en cas de besoins, des réalités et des secrets du monde magique.
  18. Sire d'Epinette

    La Quête

    Prospérités Lettre de Sire Erevan d’Epinette à Sa Majesté Louen, Roi de Bretonnie, « Mon roi, cela fait maintenant deux ans que vous m’avez confié mission de bâtir des villes à proximité de Moussillon. J’ai le plaisir de vous annoncer que cette entreprise est bien engagée. Nous avons fondé deux colonies, Gwéran et Nazarie, et ces deux villes prospèrent en dépit de la guerre qui nous oppose à des mort-vivants... Guerre que je vous conterais prochainement. Pour l’heure, je vais vous rapporter notre expansion démographique et économique. Gwéran est une ville bâtie sur une colline entourée de marais. Lorsque nous sommes arrivés à Gwéran, les colons ont d’abord tenté de quérir leur pitance dans les marais. Les colons venait de Brière, un bourg de Lyonnesse, insalubre, que j’ai du faire évacuer. A ce propos, je vous prie de tenter de calmer Adélard le Duc de Lyonnesse, car, n’ayant pas été mis au courant de l’état désastreux de Brière, il pourrait me tenir rigueur. Les colons de Brière, donc, commencèrent à pêcher dans les marais. La mer pénétrant régulièrement dans leur marais à chaque marée haute, des poissons demeuraient prisonniers dans des creux à marée basse. Un colon a eu l’idée de construire des digues et des écluses qui, ouvertes et à marée haute permettent à l’eau de mer et aux poissons de pénétrer à l’intérieur du marais. A marée descendante, les écluses sont refermées. Ensuite, l’eau s’évapore et il ne reste plus qu’à ramasser le poisson piégé sans risque aucun... Mais une richesse encore plus grande résultât de cette initiative heureuse : l’eau s’évaporant, il demeurait du sel sur des lieues et des lieues. Vous n’êtes pas sans savoir que le sel a une valeur élevée, car il permet de conserver les aliments. Grâce au sel, Gwéran est aujourd’hui une ville riche. Elle envoie son sel à Nazarie et de là, le sel est exporté dans d’autres ports… tel Bordeleau en échange de vin. Il va sans dire que les gens de Gwéran, sous la conduite énergique de leur jeune seigneur, Martial de Gwéran, travaillent d’arrache pied pour améliorer les marais salants. J’en profite pour vous signaler que Martial, seigneur de Gwéran, demeure célibataire. Je vous saurais gré de lui trouver une noble épouse digne de lui. Nazarie est notre ville principale. C’est une ville dominant de vastes plaines. On y élève un peu de bétails et des chevaux. Mais Nazarie est d’abord un port. Nazarie est située à l’estuaire de la Grismérie, entre le fleuve et l’océan. Il y a des digues naturelles qui protègent le port de la houle la plus violente. Des berges et des quais sont aménagés. Nous avons construit une flottille de bateaux de pêche. Notre pitance quotidienne est constitué de poissons et de produits de la mer qui proviennent de l’océan et de la Grismerie. Nazarie est largement excédentaire en nourriture. J’ai ordonné la construction d’un grenier qui a été achevé il y a trois mois. Avec ce grenier qui améliore le stockage du poisson et le sel de Gwéran, nous avons des stocks élevés de nourriture et pouvons d’ors et déjà ravitailler nombre de gens, armés ou non. Le terrain entourant Nazarie à l’est et au nord est une vaste prairie propice aux charges de cavalerie. Malgré un terrain à priori avantageux pour nos armes, j’ai ordonné la construction de fortifications de pierre surveillant et la mer et la terre. Bien sûr, ces fortifications sont perfectibles –et je vous demande de nous envoyer des maçons qualifiés pour les améliorer encore- mais elles s’avèrent solides et nous ont donné pleines satisfactions pour cette guerre qui nous oppose à des morts vivants. Pressé par le temps, je vous conterais cette guerre plus tard, sachez seulement que nous nous en sortons bien et que Nazarie n’est pas en danger. Grâce aux quelques femmes de Lyonnesse, il y a des mariages et des naissances à Nazarie. » Sire d’Epinette se remémora le mariage de Diane de Lyonnesse et d’Arnaud de la Brière. Arnaud était d’abord venu, penaud, auprès du Sire. « Sire, j’ai un aveu pénible à vous faire. Bien que je sois d’ordinaire un homme d’honneur et de foi, j’ai bien malgré moi abusé de Diane… Un enfant, notre enfant, est en route m’assure t’elle. J’avais espéré la bénédiction d’Adélard de Lyonnesse, père de Diane… mais il me semble plus urgent de régulariser la situation. Accepteriez vous, messire d’Epinette, d’officier notre union ? » Sire sourit en pensant qu’Arnaud n’a pas dû abuser Diane contre sa volonté… Diane par contre… Quoiqu’il en soit, le silence était de rigueur… Sire pensait à sa propre épouse. Il avait eut lui aussi l’illusion de conquérir… C’était il y a plus de quarante ans… Le Sire avait alors, comme il se doit, récolté les confessions pré-nuptiales des épousés. Sire d’Epinette entendît d’abord Diane. Elle ne se livra pas et conserva son mystère. Ainsi, le véritable père de l’enfant à naître resterait pour l’heure une énigme. Arnaud était plus sincère, plus naïf et plus loquace. Il était encore jeune. Il essayait de bien faire et était écrasé par sa charge. Arnaud avouait volontiers le soulagement qu’il ressentait depuis que le Sire avait pris les affaires en main. Sire d’Epinette décida qu’Arnaud était un brave garçon, de bonne mentalité, et qu’il méritait une aide sincère. Sera t’il assez fort pour faire jeu égal avec Diane et la contenter ? Le Sire l’espérait. Sire d’Epinette maria les jeunes époux… et cela fût un beau mariage. L’enfant naquît quelques mois plus tard. Un garçon si blond qu’il en avait les cheveux blancs. « Tout le portrait de sa mère » s’étonnèrent les ventrières avec les félicitations de rigueur… Diane montra sa robustesse en fêtant ses relevailles à peine quatre jours après la naissance. Emu aux larmes par cet enfant, cette femme, ce bonheur qui étaient sien, Arnaud remercia chaudement le Sire : « Merci Messire, de m’avoir obligé à choisir la vie. » … Sire continua sa lettre au roi là où il l’avait laissé. « Grâce aux quelques femmes de Lyonnesse, il y a des mariages et des naissances à Nazarie. Mais les femmes sont en nombre insuffisant pour assurer la pérennité de nos colonies. Envoyez nous des femmes, orphelines ou aventurières. Dites leur que Nazarie et Gwéran sont peuplés de colons honnêtes, méritants et désireux de se marier. Dites leur aussi que la terre est ici gratuite pour ceux qui ont le courage de la travailler. Dites leur surtout qu’ici, même les plus humbles mangent à leur faim tous les jours. En dehors des femmes, envoyez nous des colons : d’abord des maçons, des charpentiers, des pêcheurs, mais aussi des paysans… si possible jeunes, en bonne santé et mariés. Le moment est venu de tenter un nouvel essor, de bâtir une nouvelle ville plus près de Moussillon. Il nous faut donc aussi des soldats. Des hommes d’armes et des archers, de jeunes chevaliers errants et des chevaliers de la quête. Cette fois, je pourrais nourrir et solder tous ces soldats sans ponctionner votre trésor royal grâce aux richesses tirées de mes villes. Je mènerais ce nouvel essor, cette prochaine conquête à l’intérieur des terres. Non pas parce tout est fait à Nazarie, ni que la gestion quotidienne du port me rebute- j’ai toujours adoré ce genre de tâche-. Je laisserais Nazarie à un jeune chevalier plein d’honneur et bien épaulé et me consacrerais à une nouvelle tâche plus ardue. Dans l'attente de votre soutien, je vous prie de croire, mon Roi, à mon plus profond respect. » Sire envoya cette missive telle quel. Il ne pouvait décemment pas avouer à son roi qu’il n’avait jamais aimé et qu’il en avait plus qu’assez de … manger du poisson.
  19. Parce que l'unité de cavalerie bénéficie du bonus de force de sa propre lance même un élan faible... n'est il pas ? (idem pour le char de son impact, et la plupart des bonus de charge (frappe en premier)). Autre argument : le jeu est découpé en phase pour faciliter la gestion du jeu. Mais en "réalité" la bataille est continue. Dernier argument il faut rechercher la simplicité du jeu. Mesurer la validité de la charge est déjà pénible... pas la peine de mesurer (et de pinailler) pour voir si plus ou moins de la moitié de la distance de charge est parcourue... Sire n'aime pas se prendre la tête.
  20. Je joue aussi les bret. Si je joue des HA (c’est pas certain), les miens porteront des lances. Car F5 ça tente bien... mais avec la CC de nos gueux, ils toucheront sur 4 ou 5+. Ensuite CC2 E3 et Sg 6, c’est bien trop fragile. Car enfin, on le paie le bouclier pour nos bouseux… Donc moi, je jouerais mes (éventuels) HA avec lance et bouc, pour qu’ils aient plus d’attaques (assez minable mais c'est que des gueux) et qu'ils bénéficient d'une honorable Sg de 5+. Pour l'arquebuse, il n'y aura que peu de tir. 10 arquebusiers sur 2 rangs, 5 tirs, entre les touches et les blessures, ça fera un peu plus d'1 chevalier lourd mort par salve (1.11 exactement en cas de tir à longue portée). Pas franchement négligeable mais pas fatal ou ultime non plus. Il faudra 18 arquebusiers pour tuer 2 chevaliers en moyenne lors de tirs à longue portée...
  21. Je change rien pour les armes lourdes. Le but c'est d'encourager/réévaluer ce ce qui est peu rentable et rare. L'arme lourde est assez jouée. Pour le dilemme hallebarde/lance/arme lourde, va voir en haut de cette page pour quelques argument à ce propos...
  22. Merci ! Je n'aime pas ta proposition pour la lance pour trois raisons : 1. Les règles doivent rester simples (bon d'accord on peut redire des choses sur mes propositions mais l'objectif est bien présent...) 2. la lance ne doit pas être la nouvelle arme absolue. +2 en force chargé par n'importe quoi, c'est très fort... pour le coût de la lance. Le coût dans les livres d'armée reste le même (+2 points l'option en général). 3. la pique existe dans l'armée mercenaire et elle est très cher (c'est 10 ou 11 points le piquier (un humain standard) lorsque son homologue lancier est à 7 points) donc faire un mix entre les deux n'est pas une bonne idée. Pique et lance sont bien deux armes différentes.
  23. Pour la pique, je verrais bien ça Pique (voir le post ci dessus), arquebuse légèrement modifiée.
  24. Je remet ici la modifications des armes que j’espère avec la V7… pour plus de réalisme, d’équité et de variété des listes d’armée. Warhammer V7, révision des armes (p91) Lance Les fantassins armés de lance combattent sur 2 rangs lorsqu’ils ne se déplacent pas. S’ils sont chargés par des troupes ayant un mouvement >=6, les lanciers gagnent +2 en Force lors du premier tour de corps à corps. La lance n’est utile que de front et reste compatible avec le bouclier. Nda : les lanciers de front deviennent redoutables lors des charges frontales de cavaliers, de chars et de monstres (ogres, minotaures, kroxigors, etc…) qui avaient tous la vie trop belle face à ces fantassins. Il va falloir que les cavaliers et les autres troupes rapides cherchent les flancs de ces unités... ou qu'ils en paient le prix. Hallebarde La hallebarde peut être utilisée comme une lance (idem ci-dessus sauf que le bouclier est alors incompatible) ou comme une arme lourde (+2 en force, frappe en dernier). Le joueur peut choisir l’utilisation de la hallebarde d’un tour à l’autre du même corps à corps. Arme à deux mains. Figurines à pied uniquement. Nda : Les hallebardiers pourront ainsi recevoir une charge de cavalerie comme des lanciers, puis décider de taper à l’arme lourde au second tour. C’est une utilisation assez conforme à l’historique… où les hallebardiers ont été l’infanterie lourde la plus efficace… avant d’être obsolète à cause des armes à feu. La hallebarde devient l’arme des infanteries les plus évoluées. Arme supplémentaire Toute figurine équipée d'arme supplémentaire obtient +2 attaques lorsqu'elle charge, +1 attaque le reste du temps. Arme à 2 mains. Figurines à pied uniquement. Nda : un petit bonus pas forcément réaliste, mais bénéfique pour une option coûteuse qui a besoin d'un coup de pouce afin d'être plus présent... et augmenter le dilemme arme lourde ou arme supplémentaire. Arcs court, arcs et arcs longs Les archers peuvent tirer sur 2 rangs. Nda : les archers historiques tiraient en cloche lorsque les arbalétriers et les arquebusiers ne tiraient qu'en tir tendu. Un peu d'aide aux archers pourraient faire revenir les archers en ligne sur nos tables. Arquebuse : Mouvement ou tir. Portée 60cm. F4. Ignore les sauvegardes d’armure. Chaque blessure enlève 2PV. Peuvent être déployés et demeurer sur 2 lignes. Seul la moitié des figurines tirent à chaque tour. Si les arquebusiers subissent des pertes, les pertes ne sont pas toutes prises du rang arrières, les arquebusiers réduisent leur front. Les arquebusiers peuvent occuper un bâtiment. Si les arquebusiers occupent une colline, ils peuvent être sur plus de 2 rangs. Dans les deux cas, seul la moitié des arquebusiers tirent à chaque tour. Pique Les piquiers combattent sur 4 rangs (3 s’ils chargent). Ils frappent en premier même s'ils sont chargés et même avant l'impact des chars. Si le char est détruit par les piquiers, l'impact du char s'applique quand même (l'épave du char s'écrase sur les piquiers...). Si les piquiers sont chargés par des troupes de mouvement >=6, les piquiers obtiennent en outre un bonus +2 en F. La pique n’est utilisable que de front et reste compatible avec un bouclier. Nda : les piquiers sont invincibles en corps à corps frontal. Il faudra les bombarder ou les attaquer par les flancs. P88 Combattre avec une arme de base et un bouclier. Seuls les fantassins spécialisés bénéficient de ce bonus. C'est-à-dire que le fantassin ne doit avoir que son arme de base, son bouclier et éventuellement une armure (des lanciers ou des arquebusiers ne bénéficient pas de ce bonus puisque l'arme de base n'est pas leur arme principale). De plus, il faut une certaine qualité de guerrier pour bénéficier de ce bonus. Il n’est disponible que pour les troupes dont le coût unitaire équipé est >=6 points / figurines. Baliste P124 Profils de la baliste. Portée 48 ps, F5-1 par rang, dommage D3, sg aucune Endurance de la machine : 5, 2 points de structure. La baliste est soumis aux incidents de tir. Le tableau d’incident de tir de la page 120 (incident de tir de la catapulte) s’applique lorsque le jet pour toucher donne 1 (après relance éventuelle de type ingénieur, rune, etc…). Nda : la baliste demeure une une redoutable tueuse de cavaleries, de monstre et de fantassins... mais a des faiblesses (moins fiable, moins résistante, moins perforante (F5)). Il sera en outre plus coûteux de faire une baliste naine anti-char.
  25. Mon paragraphe suivant expliquait justement que les troupes armés d’arme lourde qui seraient systématiquement remplacées par la hallebardes sont rarissimes (il s’agit uniquement ( ? ) des guerriers du chaos et gardes des cryptes avec arme lourde). A moins que tu contestes et exprimes l’opinion que gardes des cryptes et guerriers du chaos avec arme lourde sont très nombreuses… Sortir une arme un peu moins bien qu’un type d’arme déjà jamais joué… et ben ce sera encore moins joué… Ben justement, historiquement on a : Les archers à pied étaient très efficaces contre les cavaliers tireurs « donc légers »… et peu efficaces contre les cavaliers de contact (surtout les lourds). Et c’est la cas à battle. Par contre de l’infanterie spécialisées (lancier, piquiers, hallebardiers) repousse assez facilement la cavalerie… de face. Et là c’est pas vraiment le cas à battle. Après on peut dire que la réalité n’a rien à voir avec battle… mais pourquoi pas essayer de se rapprocher de la réalité ? Tout en sachant bien sûr que le jeu reste le plus important…
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