Aller au contenu
Warhammer Forum
  • advertisement_alt
  • advertisement_alt
  • advertisement_alt

Patatovitch

Membres
  • Compteur de contenus

    1 212
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Patatovitch

  1. Bon, je la sens pas trop cette histoire. Je m'explique. Voilà, alors, en fait, elle est déjà écrite mais pas tout à fait, disons que j'ai déjà une vingtaine de pages word mais je veux la reécrire car j'ai des problèmes de scénario. Mais, ce qui fait que je la sens pas trop, c'est que cette histoire s'attachera à décrire des gens normaux sur un monde impérial tout ce qu'il a de plus normal. Ici, il n'y aura pas (à priori) d'Inquisiteur, de Space Marines, de Champions du Chaos et de grandes batailles contre des monstres divers. L'intéret que je vois à une telle histoire est de décrire la vie quasi-normale de gens quasi normaux dans l'Imperium, l'humanité d'en bas, en somme, chose qu'on a un peu tendance à perdre de vue lorsqu'on joue à 40k. Oui mais, me direz vous, si on enlève la guerre et à l'univers ousqu'il n'y a que la guerre, il reste quoi de 40k ? Là je vous rassure, il y aura la guerre mais en toile de fond. Mais mes héros sont trop insignifiants pour en changer le cours. Mes héros aiment, détestent et cherchent simplement à vivre ou à survivre sur un monde de l'Imperium. Alors je me pose des questions : - Est-ce qu'une telle histoire vous interresse à priori ? - Est-ce qu'une telle histoire a sa place sur un tel forum ? Enfin, dernier avertissement, il est possible que ça traine un peu à longueur. [pub] Pour ceux qui ne connaitrait pas le monde de Taran voir sa description détaillée sur Taran [/pub] Prologue : Le Paradis Taran, 1903, soit 3 019 083/M41 dans le calendrier impérial standard. Le Paradis était une des nombreuses boites de nuit du Niveau –1 où la jeunesse universitaire du quartier des facultés de Meleagre I venait s’encanailler. Meleagre I était la plus grande ville universitaire de la planète. En fait, c’était la plus grande ville tout court, la capitale de la planète et le siège de toutes les organisations planétaires et extra-planétaires. L’immense Palais du Gouverneur, dont les tours pointaient à près d’une kilomètre d’altitude était la plus grande construction de ce secteur de la galaxie après la Grande Cathédrale sur Omphalia. Mais sur Taran, il était difficile de vraiment dissocier un bâtiment d’un autre. En effet, les villes étaient construites sous d’immenses dômes divisés en Niveaux. Vus de l’extérieur, les dômes montraient leurs surfaces grises et rugueuses seulement percés sur le haut d’ouverture de taille variable desquelles décollaient de temps à autre un appareil aérien. Cependant, le sommet des tours du Palais du Gouverneur dépassaient d’une bonne centaine de mètres les dômes les plus hauts. Autre chose surprenait, c’était le ballet incessant de navettes de marchandise entre l’astroport et les docks en orbite. Le quartier des facultés s’étendait sur une bonne partie du Niveau 0 (celui qui théoriquement était au niveau du sol) et –1. L’élite de la société taranaise y envoyait ses filles dès la sortie du lycée et ses garçons juste après leur service militaire. Ce quartier bouillonnait jour et nuit de sa jeunesse argentée. Il était assez maladroit de parler de jour et de nuit dans les villes taranaises car les dômes ne laissait pas filtrer la lumière du soleil. Le «jour» et la «nuit» était simulé tout à fait artificiellement grâce à l’éclairage. Enfin, dans la majorité des secteurs, la différence entre le jour et la nuit, n’était pas vraiment marquée. A cette heure tardive, le large sous-sol du Paradis était empli d’une large majorité de jeunes filles qui se déhanchaient au son de l’assourdissante musique. En temps normal, il y avait peu d’hommes sur Taran - à peine plus du tiers de la population. Ceux qui savaient, déclaraient que c’était du à une obscure déficience d’un chromosome qui faisait souvent mourir les garçons dans leur première année. Les prêcheurs ajoutaient que c’était les femmes étaient porteuses du mal. Et depuis des décennies, il y avait la guerre, loin d’ici sur une autre planète. Ils y allait tous, ou presque. La lumière stroboscopique et les flashs lumineux faisaient tourner la tête. Dans un coin d’ombre, assise seule à une table, elle sirotait sa bière en regardant vaguement la foule. Elle était une femme de taille moyenne et d’allure athlétique. D’un faux blond assez à la mode, sa coupe arrêtait ses cheveux juste au dessus des épaules. Le visage était complété par des yeux gris, légèrement fardés, un nez retroussé et des lèvres relativement fines soulignées d’une couleur qui n’était pas sans rappelée celle de l’iris. L’ensemble ne la rendait pas antipathique, un peu stricte peut-être. Une mince cicatrice partait du sourcil gauche et disparaissait dans le cuir chevelu. Ce soir, elle portait une jupe noire imitation cuir très courte et serrée qui s’ouvrait sur les cotés et un petit haut blanc moulant qui mettait en valeur sa poitrine. La musique ne lui déplaisait pas, mais elle n’avait pas envie de danser. Elle était vielle : bientôt 32 ans, facilement dix années de plus que la moyenne de la salle. Heureusement, elle n’avait pas lu son âge dans les regards qu’elle avait croisé. C’était ça le test. Il y a une éternité, avec ses amis, elle était une habituée. Comme eux, elle dansait alors. La musique était presque la même. Finalement, cette boite n’avait pas trop changé. Elle était toujours aussi moche. Ses murs lépreux m’en finissaient pas de perdre leur revêtement et les mêmes poutrelles métalliques rouillées décoraient le plafond bétonné. Les serveuses avaient le même déshabillé. Quelqu’un s’approcha : un homme. Elle se redressa et sourit. Un homme qui s’intéressait à elle… Elle sentit son cœur battre la chamade et le rouge qui lui montait aux joues. Il était jeune, pas trop mal bâti et vêtu d’un long manteau. Il semblait nerveux, lui aussi. Elle allait le saluer lorsqu’il écarta un pan de sa veste. « Hé, regarde un peu ce que j’ai... 3 cred’ la plaquette ». Un dealer... Elle redescendit brutalement sur terre. « Donne-moi les bleus, » s’entendit-elle dire. Elle tendit 3 crédits qu’il prit précipitamment. Il disparut ensuite dans la foule. Du Zyr-Frenzon de synthèse. Un puissant aphrodisiaque. Elle regarda longuement la plaquette de comprimés. Elle devinait à l’emballage que c’était du bas de gamme, de la production d’amateur. Elle avait entendu parler de ces étudiants de chimie qui complétait leurs revenus en produisant diverses drogues illicites. Enfin, un comprimé suffisait pour s’envoyer en l’air pendant plusieurs heures. Elle finit par ranger la plaquette dans son sac. Son regard fut ensuite attiré par une tache rouge dans la foule. Une jeune fille portait un ensemble écarlate brillant qui se reflétait particulièrement sous les projecteurs. Elle la regarda danser. Elle était belle, avec de fins cheveux bruns, presque noirs. Elle riait. Elle la suivit du regard longtemps, 5 ou 10 minutes peut-être. Elle semblait nimbée de lumière comme un de ces anges qui accueillent ceux qui sont morts pour l’Empereur dans les illustrations pieuses. Elle soupçonna que les bières qu’elle avait descendu favorisaient l’éblouissement de sa rétine. La fille disparut aussi soudainement qu’elle lui était apparu. Un ange au Paradis… Elle décida de s’en aller, il était tard déjà. Il fallait être à son poste demain. Foutue ville, foutue vie. Elle aurait du aller danser comme cette fille en rouge. Danser toute la nuit jusqu’à mourir de fatigue. Elle était maintenant allongée sur sa couchette dans son petit appartement du Niveau 0. Le ventilateur de l’air conditionné ronronnait doucement. Elle regardait en l’air, les yeux fixés sur un défaut du plafond. La table de nuit supportait une bouteille d’alcool presque vide. A coté, il y avait un badge de police au nom du Kinov Sophia, sergent. Sur la photographie une jeune femme en uniforme. La carte indiquait encore : « 207e Brigade Mobile d’Intervention et de Maintien de l’Ordre, affectée au Niveau 0. » La 207e BMIMO ou « 207e Bmo » dans le jargon. Les civils disaient plutôt « Brimo ». Le mot allait bien avec brimade. La police, quoi. A l’origine, c’était plutôt les Brigades Mobiles d’Intervention Taranaises une subdivision des Forces de Défense Planétaire. Le maintien de l’ordre ne s’était ajouté qu’ensuite, après les grandes émeutes de 1880… Le revêtement blanc du mur était presque masqué de photographies dans des cadres, toutes bien alignées. On y voyait des groupes de jeunes gens, la même femme souriante dans un uniforme bleu gris impeccable, des photos de promotions, etc. Dans d’autres cadres, il y avait des diplômes et deux médailles : l’une « Pour service exceptionnel » et une autre : « Dix années de loyaux services». Elle souleva sa main et la porta jusqu’au dessus de son visage. Là elle l’entrouvrit, un des petits comprimés bleus apparut. Il tomba dans sa bouche. Elle parut hésiter un instant puis l’avala. Conjugué à l’alcool, l’effet fut immédiat : ses muscles se contractèrent puis se relâchèrent brusquement. Elle sombra les yeux ouverts, la tête pleine d’images et de sensations. Elle respirait précipitamment et de grosses gouttes de sueurs perlaient sur son front. Le Zyr-Frenzon : le bonheur en cachet.
  2. Moi c'est les Fimir qui j'aimerais voir revenir. na. Monoligne. Ah non plus maintenant ! Patatovitch
  3. Slereah parle bien comme toujours lorsqu'il cause de Warp. De la lumière impériale s'entend. Je tiens à ajouter une chose. A 40k, il n'y a pas de voie médiane entre l'Imperium (une dictature féroce) et le chaos (des dégénérés à tentacules) à l'exception de quelques rares Senseï. Celà, c'est la faute à l'Imperium qui traque trop bien ces ennemis. Le Chaos représente l'alternative à l'Imperium (et à l'adoration de l'Empereur), il sait s'habiller d'intentions louables. Un rebelle, aussi bien intentionné soit-il, aura tot ou tard besoin d'alliés dans sa lutte. Et il ne pourra trouver des alliés que chez les culteux et autres déviants en devenant un lui même. Encore une fois c'est l'Imperium qui provoque celà. Les précheurs crient à qui veut l'entendre "qui n'est pas avec nous est contre nous !". Le commandement premier de la religion impériale est : soumets-toi à l'Imperium. Un insoumis est donc un hérétique de la même manière que le pire Champion du Chaos. Les Puissances du Chaos sont séduisantes. Khorne recrute chez les paramilitaires, Slaanesh chez ceux qui cherchent les sensations fortes (Bordage décrit bien dans les Guerriers du Silence, comment pourrait se présenter une orgie Slaaneshi), Tzeentch chez les intriguants et les comploteurs et Nurgle chez les pauvres qui n'ont pas reçu leur RMI. Patatovitch
  4. Patatovitch

    Fluff Necromunda

    Déjà va sur : http://www.confrontation.8k.com/ Tu auras une description de Necromunda vachement mieux et plus détaillée. Confrontation était l'ancêtre du jeu Necro. Sinon le début est traduit sur le site Taran section Background/Necromunda Patatovitch
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.