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Warhammer Forum

Les Exilés


DwarfKeeper

Messages recommandés

Ca déchiiire! :P

Ouhla la! Il s'en passe des choses! Qu'est ce qui lui arrive à Zamiel, j'ai pas souvenir qu'il ait recu un sort ou je sais quoi. :lol:

En tout cas, l'ensemble avance de manière très agréable, je dirais même plus:

C'est très prenant! C'est super! :zzz::good: Pourquoi j'écris pas comme ça? SI seulement mon intrigue était aussi haletante que la tienne. :mrgreen:

ENcore bravo!

Bon, une petite critique:

Mais eux aussi, eux aussi ces êtres à la puissance incommensurable, eux aussi étaient reliés par ces minces fils argentés.

Légère répétition, tu l'auras remarqué. :D

Bon, sinon le reste est exempt de reproches. :P ...Enfin, relis toi quand même, on trouve toujours quelque chose à modifier, surtout sur la façon de formuler les choses. ^_^

Ne te presses pas pour la suite, j'attendrai autant qu'il faut pour avoir un texte super! :D

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Oh d'ou j'ai pas répondu ? Pff allez je refais mon commantire !

Toujours aussi bien et sensass ! On est toujours dans le suspense ! Il commence à avoir les effets du poison donnant un peu plus de piquant à l'histoire !

Bah sinon j'essaie de trouver une critique pour t'aider à t'amliorer mais :mrgreen: parfait!

@+

-= Inxi =-

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Arf Karl est tombé sous la domination du chaos (scrogneugneu)

Je me demande tout de meme comment a-t-il pu faire tout cela (si c'est bien lui ?!?!); je veux dire tuer le représentant humain et nain de l'expédition alors qu'il n'ai qu'un ingénieur et ne sait pas ce battre...contrairement à eux; même par surprise je doute qu'il puisse se défaire des gardes et des 2?? :whistling:

Bon autrement j'adore toujours ton histoire. (normale qu'elle soit bien, c'est un nain qui rédige :blushing: )

Continue!!! :innocent::evilgrin::evilgrin:

Modifié par MorKai
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Eh bien : :whistling::innocent::evilgrin:

Texte vraiment intéréssant, on commence à percevoir les effet du blé, J'aime beaucoup la "vision" de Zamiel. Karl se révèle mais effectivement, il se bat trop bien pour un ingénieur. Surtout qu'ils ne les a pas prit par surprise : Ils avaient tirés leur armes. C'est un epu la seule reproche que je trouve donc j'attend la suite, masi prend ton temps pour qu'elle soit aussi bien que le reste.

-- Aenario --

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  • 4 semaines après...
Invité Thodric le brave

Mon grand dwarf je sais que tu as beaucoup de travail mais je te demande au noms de tout les fans des exilés un petit extrait juste pour nous remettre dans le bain .

Please au plus grand des seigneurs nains!!!!!

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salut à vous tous.

Pour le moment, malgré toute ma bonne volonté, je n'ai absolument pas le temps de continuer les exilés. Mais rassurez-vous ils seront terminés avant la fin septembre, donc ne désespérez pas!

Dwarf, je dis toujours ça mais chaque fois je résisté pas à en faire un autre bout... -_-

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Y a encore beaucoup de texte à finir ???

Un date précise ???

Je pinaille un peu mais il ne serait pas possible de faire un petit résumé avant la prochaine partie vu que ça fait déjà quelque temps que tu ne postes pas et que ma mémoire s' estompe sur ce qui s' était passé.

Je m' rappelle que Karl a buté le chef des rangers nains et un autre humain mais le reste :lol:

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  • 4 semaines après...

Grmmmblll... même plus d'excuses pour ne pas bosser. Grmmbblll...

Nota : le texte a été modifié selon les remarques d'inxi. Merci mon ch'ti sang froid! :)

« Par Grungni ! Où est Karl ? Où est-il ? Parle humain ! Mais parle donc ! »

Zamiel s’était littéralement jeté sur le pauvre soldat complètement exténué, le secouant sans aucun ménagement. Immédiatement, Kelethorn et quelques gardes se saisirent du jeune ingénieur nain pour tenter de le calmer.

Le visage de Zamiel était d’une pâleur extrême. Malgré tous les changements survenus dans l’attitude de l’ingénieur humain, le nain avait immédiatement réagi, car tel était le lien d’amitié qui les unissait : la simple idée qu’il eut pu survenir quelque chose au jeune exilé de Nuln lui était insupportable.

« Par Ulric, nain ! Laissez-le terminer son rapport ! Maître Kelethorn, calmez votre frère ! » La puissante voix du capitaine Hoffman retentit dans les entrepôts, comme le roulemen,t du tonnerre. Le calme revint dans la salle, Kelethorn parvenant à faire reculer son frère de quelques pas. Totalement épuisé et dérouté, l’estafette tenta de reprendre son souffle, soutenu par l’un de ses camarades.

« Soldat ! Est-ce ainsi que l’on fait son rapport à son supérieur ? » Le colossal capitaine fit de nouveau entendre sa voix, figeant l’ensemble de ses soldats dans un silence tout militaire. Rappelé à l’ordre par son chef, le jeune soldat se mit au garde à vous. Malgré la fatigue, la discipline militaire, conséquence d’années d’entraînements rigoureux, reprit le dessus.

« Mon capitaine. Il y a trois heures, la relève de la garde qui se rendait dans la salle de réception pour relever les soldats de faction ont constaté à leur entrée dans la pièce que celle-ci constituait un véritable charnier. Quatre corps ont été identifiés, dont certains avec difficultés. Le plus facile à reconnaître fut celui de l’ambassadeur nain, Zarack Snorrisson. Son arme avait été dégainée, mais il n’a apparemment pas eu le temps de l’utiliser. Nous avons ensuite pu reconnaître le corps des deux gardes de factions. Leur ventre avait de même été ouvert de part en part, mais seul leurs armures nous ont permis de les identifier rapidement : leurs visages avaient été comme pulvérisés. En revanche, le corps de capitaine Heindrich a été littéralement broyé. Seule son arme que nous avons retrouvé sous la table nous a permis de le reconnaître. Le reste de son corps était totalement… inindentifiable. » Le visage de l’estafette était aussi blanc que le tapis de neige qui recouvrait les ruelles de la cité. Bien des soldats présents serrèrent leurs armes, la colère et la stupeur se mêlant dans leurs regards. Beaucoup firent le signe de la comète à deux queues, pour repousser le mauvais sort. Il n’y a rien de plus superstitieux qu’un soldat, mais il est parfois préférable de mettre toutes les chances de son côté.

« Nous n’avons pas retrouvé le corps du frère du bourgmestre, ni aucune trace de sa présence. » Reprit le soldat. « Des recherches ont été lancées dans le domaine du burgmeister, puis dans la cité. J’ai été immédiatement envoyé à votre recherche, mais cela fais maintenant trois heures que je parcours la cité pour vous prévenir. »

Le capitaine Hoffman fronça les sourcils. La colère avait laissé place à une intense concentration. Tous semblaient perdu dans ce tourbillon d’évènements. Trop de choses insolites, trop de problèmes et de dangers survenaient tout d’un coup, jetant le doute et la confusion dans le cœur des hommes. Mais le colosse était un soldat, un vétéran expérimenté de nombreuses guerres qui ne comptait pas se laisser plus encore dépasser par les évènements.

« Quels sont les ordres de mon seigneur ?

- Le burgmeister Wissen von Steppendorf vous ordonne de le retrouver au plus vite dans sa demeure. Il vous ordonne aussi de reprendre vos fonctions de chef de la garnison, et ce en dépit des protestations du seigneur Lazarre et de ses amis. »

Un sourire fatigué se dessina sur le visage de l’estafette. Une telle nouvelle avait de quoi remettre du baume au cœur pour pas mal de soldats : il est toujours plus agréable d’être commandé par quelqu’un que l’on respecte et en qui on a confiance. Sans compter que l’on a moins de chance de se retrouver à suivre les ordres d’un incapable qui vous mène directement à la mort.

« Le burgmeister vous fais aussi savoir que la loi martiale vient d’être déclarée. Les derniers évènements survenus ici l’ont conforté dans son idée que la cité court un danger bien plus grave qu’un… simple siège. Il vous recommande de même d’écarter tout obstacle pouvant entraver votre mission. »

A ces derniers mots, le regard du soldat se porta imperceptiblement sur les deux nains. Le message était clair, et les deux frères échangèrent un long regard. Une fois cette affaire terminée, ils iraient dire un mot au frère de Karl. Enfin, Zamiel dirait un mot, car Kelethorn n’était pas d’humeur aux discussions et entrerait sûrement dans le vif du sujet. Hélas, cette allusion n’avait pas échappé non plus au reste de la troupe, et certains soldats avaient posé leurs mains sur leurs armes, en l’attente de l’ordre de leur chef.

« Je vois. Retournez voir le burgmeister, et faites lui savoir qu’il sera fais selon ses ordres, mais que je ne peux revenir immédiatement. L’obstacle qui nous gêne a réussi à s’esquiver, et je dois m’empresser de lui mettre la main dessus. Dites-lui aussi que je transmets mes plus sincères salutations aux membres du conseil, et les remercie de leur empressement à me confier de nouveau mon poste. »

La tension dans la pièce redescendit d’un cran. Les mains s’éloignèrent de leurs armes, et les deux frères se rassirent, sans quitter toutefois les humains des yeux.

« Très bien. Faites moi venir le lieutenant le plus vite possible. Caporal, je veux que quatre hommes restent en faction ici pour surveiller l’endroit. Maîtres nains, pourriez-vous… »

La voix du capitaine fut étouffée par l’ampleur de la détonation…

* * *

Franz Beckendorf fit signe à ses hommes d’avancer. Les ruelles glacées de la cité n’était par pour lui une gêne, ni même l’obscurité de la nuit. Des tourbillons de neige cachaient sa progression, tandis que le vent de plus en plus violent étouffait le moindre son. Pourtant, le capitaine-marchand savait parfaitement où il se trouvait, et ce qu’il devait faire. Quelques mètres devant lui se trouvait la muraille sud. C’était là. Là où il devrait frapper. Un dépôt de munitions pour l’artillerie de la cité se trouvait à cet endroit là. Certes, ce n’était pas le dépôt central destiné à ravitailler l’ensemble du train d’artillerie de la garnison. Non, ce dépôt devait juste permettre de tenir quelques heures, le temps que de nouveaux approvisionnements parviennent du centre de la cité. Mais la poudre entreposée là suffirait amplement.

Sans un mot, quelques ombres s’élancèrent aux côtés du capitaine marchand. Lui-même sortit de son couvert, couvrant la distance le séparant de la muraille en quelques secondes. Plusieurs mètres au-dessus de lui, les gardes de la cité surveillaient désespérément les abords de la cité, tenant de percer l’impénétrable mur blanc. Toute leur attention tournée vers l’extérieur des murs, ils en oubliaient que le danger pouvait aussi venir de l’intérieur.

Rapidement, Franz reprit sa progression, son épée à la main. La lame maudite brillait faiblement d’une lueur maléfique. Le fil de l’arme était parcouru de reflets changeants, des trames complexes de couleurs inconnues par l’homme dansaient et virevoltaient en un ballet éternel. Franz appréciait le contact de l’épée, mais savait qu’il serait bientôt temps de s’en séparer. Ce cadeau de son dieu n’était pour lui. Là aussi on lui avait menti. Mais qu’importe, s’il vivait.

Jaillissant au travers du mur de neige, les hommes de Franz se jetèrent vers les portes de la réserve de poudre. L’entrée en était gardée par une douzaine d’homme, la plupart occupés à leur jeu de dés.

En un instant, ce fut l’enfer. Le sergent commandant le petit détachement n’eut même pas le temps de récupérer sa mise lorsque sa tête lui fut ôtée des épaules. Les lames s’abattirent. Des vies s’éteignirent. Les épées des impériaux furent tirées, le fer fut croisé. Un jeune soldat au visage couvert de tâches de rousseur tenta de s’opposer à la déferlante de mort. Sa hallebarde fut coupée en deux par l’épée de Karl, qui vint se ficher dans la gorge de l’inconscient. L’âme du pauvre hère fut arrachée à son enveloppe charnelle, pour être aspirée par l’épée. La peur, la douleur, le désespoir, tous ces sentiments furent absorbés par l’arme démon avant d’être transférés à son porteur. Une nouvelle vague d’énergie parcourut le corps de Franz, alors qu’il se délectait de cette délicieuse sensation.

Ca et là, ses hommes semaient la mort. Plusieurs gardes supplièrent leurs assaillants de leur laisser la vie sauve, mais ils furent impitoyablement massacrés, sans autre forme de procès. Pourtant, un vétéran grisonnant, s’interposa entre un bourreau et sa victime. La lame de l’assaillant fut parée par le bouclier du vieux soldat. Ce dernier, le nom de d’Ulric au coin des lèvres, repoussa son opposant avant de lui écraser son marteau sur l’épaule.

Un bruit sec fit écho à cet exploit, alors que l’homme tombait à genoux, l’épaule brisée. Un second coup de marteau lui ôta proprement la vie, renvoyant l’âme de ce monstre vers son sombre maître, pour subir la damnation éternelle. Victoire éphémère : le vétéran fut abattu sans pitié par les sbires de Franz, et le sang coula de plus belle. Tous, vétérans comme jeunes soldats, furent passés par le fil de l’épée, et bientôt, le silence recouvrit de nouveau le macabre lieu. Pendant quelques secondes, le petit groupe d’assaillant se tint immobile, aux aguets. Aucun bruit, aucun cri d’alarme ne vint troubler le calme de la nuit. Personne ne les avait entendus. La cité était perdue.

Sans un mot, le capitaine marchand fit sauter la lourde chaîne bloquant la porte de la bâtisse, avant de s’engouffrer à l’intérieur. Sans hésitations, ses hommes le suivirent. Tout allait être consommé.

Modifié par DwarfKeeper
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roulemen,t

Faute de frappe. J'ai aussi un doute sur le dernier mot :) Sinon c'est tout pour la forme.

Pour le fond ma seule critique c'est qu'on a l'impression que l'escarmouche est terminé et puis tout de suite après tu reviens dessus !

Sinon, c'est du tout bon ! Bien de revoir dans la section ! Et on aimerait une suite bien plus rapide :)

@+

-= Inxi =-

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QUOTE 

roulemen,t

Faute de frappe. J'ai aussi un doute sur le dernier mot  Sinon c'est tout pour la forme.

Je remercie Word pour l'aide apportée par son correcteur orthographique. :D

Pour le fond ma seule critique c'est qu'on a l'impression que l'escarmouche est terminé et puis tout de suite après tu reviens dessus !

Euh... je suppose que tu parles de l'escarmouche de Franz. Mouais, après relecture je vois que ce n'est pas terrible-terrible. en même temps, va écrire avec tes parents et tes frangins qui hurlent derrière toi... (Rah... pourtant ce n'était qu'une rediff des Jo!!! :) Je vais changer ce passage dès demain. Va falloir que je réfléchisse à une meilleure tournure.

Sinon, c'est du tout bon ! Bien de revoir dans la section ! Et on aimerait une suite bien plus rapide

Merci. Mon activité estivale principale étant achevée (la gazette de la lumière pour ceux qui n'ont pas suivi... je vous recommande d'ailleurs d'aller y lire le dernier numéro, où le nain blanc a été interviewé en personne!!!! :) ) je puis reprendre mes délires habituels sur les exilés. Ils seront terminés fin septembre si mon planing marche bien.

Je cherche d'ailleurs un correcteur volontaire pour reprendre TOUS les chapitres précédents des exilés et y déceler fautes, coquilles, voir même contradictions fluffiques qui m'auraient echappé. Au fait, vous savez que j'ai mis plus de deux heures à me retapper tout mon fichu texte pour pouvoir me replonger dans le bain pour le terminer... qu'est ce que j'ai pu en écrire des c... avec ces exilés! :)

MégaloDwarf

Modifié par DwarfKeeper
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Je cherche d'ailleurs un correcteur volontaire pour reprendre TOUS les chapitres précédents des exilés et y déceler fautes, coquilles, voir même contradictions fluffiques qui m'auraient echappé. Au fait, vous savez que j'ai mis plus de deux heures à me retapper tout mon fichu texte pour pouvoir me replonger dans le bain pour le terminer... qu'est ce que j'ai pu en écrire des c... avec ces exilés!

Et bien, bonne chance pour en trouver un...

Je suis justement en train de tout relire (et oui, depuis le temps, certains éléments m'avaient échappés et, par acquis de conscience...), ben c'est plus de deux heures qu'il me faut.

Si tu veux, je peux essayer de tout fouiller, et je t'envoie les résultats par PM... Toutefois, j'avoue que j'apprécierais plus voir ce qui arrive à ces nains que j'avais laissé après une belle escarmouche contre du gob, si mes souvenirs sont bons, et que ça gâcherait un peu la lecture que de pister toute faute à chaque mot (sans compter qu'il faut être très fort en ortho/grammaire, ce qui n'est pas mon cas, car je me contente de trouver un synonime si je ne me rappelle plus de l'orthographe d'un mot. Bref, en une phrase comme en mille, si tu veux un coup de main, PM-moi (néologisme?) et je le ferais, sinon, je te conseille franchement de t'y mettre toi-même, car une chose est sûre, c'est que si l'on veut que les choses soient bien faites, il faut les faire soi-même....)

Bon. vu que je réponds, j'en profite aussi pour te dire que, comme tu l'auras compirs, je commenterais ton texte une fois que j'aurais tout relu (ça risque de prendre du temps, je ne peux me permettre d'y sacrifier un après-midi)...

Sur ce, Imperator, d'accord de t'aider dans cette relecture si tu lui envoies un PM (c'est psychologique, pour me dire que je dois vraiment le faire...).

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Invité Thodric le brave

Enfin le retour des exilés, toujours bien mené , et le suspense monte, monte.....

Mais que va t'il areivai à nos nains préféré.

Pour commenté, le texte depuis le début, un truc me parré bizarre le patriarche de nuln c'est fait tué , mais tu nous dit pratiquement rien dessus.

J'attend la suite avec impatience.

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Wouaw ! ca fait 3H que j'ai commencé a lire ton récit et je ne me suis même pas rendu compte du temps qui passait (quoique maintenant un peu :huh: ) tant il m'a passioné.

Superbe texte, agréable a lire et avec un style bien maîtrisé, vivement la suite (et fin ?)

Pour des commentaires sur le texte et éventuelles incohérences (a première vu j'en vois pas) je repasserai demain (enfin tout a l'heure :blink: ) après quelques heures de sommeil

Sgt Fougasse, fan des Exilés

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Je n'ai qu'un mot a dire :Bravo ! J'ai commencé a lire hier soir et j'ai finis ce soir et franchement je trouve ca superbe(bien qu'un peu trop sombre a mon gout)

Zamiel a vraiment pas de bol : exilés parmis les éxilés ,1 fréres mort et l'autre en sursis, 1 ami devenu chaotique, 1 rencontre avec un fourbe et chaotique(décidement !) et pour finir il est empoisené par Tzentch : joli bilan.... Je suis pas sur qu'il puisse encore avoir une situation pire mais bon pour ca je fais confiance a l'imagination de l'auteur :blink: .

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* * *

Herbert était transi de froid jusqu’au plus profond de ses os. Le faible chaleur du brasero n’arrivait pas à repousser les assauts implacables du vent du nord, et les meurtrières de la tour de guet ne pouvaient être bouchées par des morceaux de tissus, sous peine des pires sanctions. Frottant ses mains gelées l’une contre l’autre, le jeune conscrit attendit que son compagnon de veille, le sergent Léopold, lui passe la gourde d’alcool qui le réchaufferai. Peine perdue… Ce dernier, réputé pour être le pire salaud de tout le régiment agita avec un air désolé le récipient vide dans sa direction. Herbert grimaça de dépit, avant de se concentrer sur les faibles flammes du brasero. Jamais il n’avait connu un tel froid en cette saison. Il plaignait les pauvres types qui se trouvaient sur les murailles même, directement dans le vent. Les rares bourrasques qui pénétraient dans la tour quand la porte s’ouvrait suffisait à le décourager. Hélas pour lui, il savait que d’ici peu il devrait relever ses compagnons qui viendraient ici boire à sa santé. Maudite cité…

Les murs de pierre de la tour étaient particulièrement décourageant pour le jeune soldat. On était bien loin des glorieuses parades, des impressionnants défilés au milieu de foules en liesse qui vous lançaient des gerbes de fleur. Non. La seule chose qu’il y avait ici était les tours de gardes désespérants en compagnies d’un sergent haïs sur un mur balayé par la tempête…

Hélas pour Herbert, la porte de la tour s’ouvrit, laissant passer deux soldats apparemment exténués. Les gardes de faction.

« Hé sergent ! » Entama le premier de ceux-ci, un dénommé Wilfried. « L’heure de la relève est passée depuis un bon moment ! On en a marre de geler sur place dehors ! C’est à votre tour. »

Le sergent Léopold grogna en cherchant dans son sac une autre fiole d’alcool. Non seulement c’était le plus vache du régiment, mais il était en plus d’une fainéantise inégalée. Herbert se dit qu’à la ferme de ses parents, son père lui aurait tanné le dos s’il s’était comporté seulement à moitié comme son sergent. Quelle belle image de l’armée !

« Non c’est pas l’heure que je vous relève. Par contre c’est l’heure pour le petit. Et puis j’ai trop mal au ventre pour aller dehors… On devrait pendre le cuisinier… »

Herbert grinça des dents. Il ne l’avait pas vu venir.

« Sergent ! Vous connaissez les consignes ! On doit patrouiller par deux. Le lieutenant a été très clair là-dessus.

- Et moi je suis très clair là-dessus : ton tour de garde t’attends dehors. Alors sors d’ici et vite, sinon tu vas en baver. »

Sous les rires de ses compagnons d’arme, Herbert se leva de sa place. Saisissant sa lance, le jeune soldat sortit de la tour, non sans maudire la cité entière et son sergent en particulier. Des bourrasques d’un vent glacé balayaient sans répit les murailles de la ville. Une épaisse couche de neige craquait sous chacun de ses pas. Le froid mordant lui brûlait les mains et le visage, et son manteau suffisait à peine à conserver un peu de chaleur.

La neige et la nuit rendaient toute visibilité nulle. Tout était si calme. Qui aurait pu croire que la cité risquait de subir un siège d’ici quelques jours ? Herbert commença sa longue patrouille, longeant les créneaux de la muraille, s’arrêtant parfois pour tenter de percer du regard le voile de neige ou d’obscurité. D’ici deux heures il aurait retrouvé la protection de la tour, et la maigre chaleur du brasero. Tout plutôt que cette veille glaciale. Soudain, le jeune garde crut entendre un râlement. Il s’arrêta sur place, l’oreille tendue : les secondes s’égrenèrent. Lentement.

Seuls les bruits de la nuit parvenaient au garde transi. Herbert était pourtant sûr d’avoir entendu quelque chose provenant de l’intérieur des murs. « Sûrement un chat » se dit-il, peu convaincu lui-même. Le garde savait qu’il aurait dû aller vérifier. Mais la perspective de descendre et de remonter des marches gelées sans lumières ne l’enchantait guère. Et puis… pourquoi devrait-il faire des efforts lorsque son sergent s’enivrait bien à l’abri avec ses copains ? Son père aurait sûrement été furieux de son attitude, mais pour l’instant Herbert s’en fichait bien.

Reprenant sa ronde, le jeune soldat tenta vainement de lutter contre le froid et la neige. Le vent semblait souffler de plus en plus fort, et un véritable mur blanc se dressait face à lui. Herbert voyait à peine à quelques mètres, et chaque pas était plus difficile que le précédent alors que la muraille se trouvait envahie par un épais tapis immaculé. Chaque pas lui coûtait toujours plus d’énergie, et le sergent restait invisible. « Maudit soit-il »

Herbert se figea sur place. Cette fois-ci, il n’avait pas rêvé : il avait bien entendu un râle. Le soldat s’apprêta à appeler son supérieur, quand il fut soufflé par l’explosion.

* * *

La tête lui tournait. Il ne savait plus ou il était. Ouvrant les yeux, il vit le ciel tourner à toute vitesse. Des étoiles blanches dansaient devant son regard, et un bruit sourd continu martelait ses tympans. Ca y est, il se souvenait : il y avait eu une immense explosion. Il était tombé et… plus rien. Herbert tenta de se remettre debout : peine perdue, il put juste se mettre sur le ventre puis à quatre pattes. Tout tournait autours de lui : il ne savait même plus où était le haut et le bas. Et toujours cet agaçant bourdonnement.

Le jeune soldat finit par trouver les créneaux, auxquels il s’appuya. Il arrivait petit à petit à se reprendre, et réalisa soudain que la neige avait cessé de tomber : mieux, il y voyait comme en plein jour ! Son cœur se figea : il comprit soudain l’origine de cette luminosité : les réserves de poudre entreposées près des murailles avaient sauté, déclenchant un puissant incendie ! Pire, de là où il était, Herbert put voir qu’un pan des murailles avait été arraché par l’explosion, laissant une plaie béante dans l’enceinte de la cité. Mais pourquoi le sergent et les autres n’étaient-ils pas là !

Herbert tenta de calmer sa panique naissante. Prenant une profonde inspiration, il ferma les yeux pour essayer de stabiliser sa vue. Ses oreilles lui faisaient mal, et il sentait un liquide chaud couler le long de son cou. Portant une main gantée à son lobe, il comprit que ses oreilles étaient en train de saigner. Ce bourdonnement agaçant était en réalité ses tympans qui avaient du être crevé par la puissance de la détonation. Adressant une courte prière à Sigmar, Herbert s’appuya sur les créneaux pour se mettre debout. Plusieurs tentatives furent nécessaires, mais il y parvint enfin. Il regretta immédiatement d’y être arrivé : le rideau de neige disparu, le jeune conscrit put constater avec terreur que s’étendait devant la cité une marée verte en mouvement. Des milliers de gobelins, des centaines d’orques et des dizaines de trolls d’avançaient en courant vers la cité, poussant de grossières machines de siège et portant des forêts d’échelles. Le soldat compris alors ce qu’était la guerre. Lui qui n’avait jamais combattu su qu’il allait mourir. Sans même chercher sa lance qui avait chu en bas des murailles, Herbert se dirigea en titubant vers la tour pour appeler à l’aide ! Il devait faire sonner le tocsin, appeler des renforts… Le garde s’appuya de toutes ses forces sur la lourde porte pour l’ouvrir, avant de rouler à l’intérieur de la pièce, épuisé et terrifié. Il se retrouva nez à nez avec le visage grimaçant de Wilfried, figé pour l’éternité dans un rictus de terreur. Son visage était couvert de sang, et des lambeaux de son corps recouvraient le sol du poste de garde.

La peur donna à Herbert la force de reculer vers la sortie, mais il ne pouvait détourner son regard de la scène macabre qui se déroulait devant lui. Là, au milieu du sang de ses compagnons, le sergent Léopold enfonçait frénétiquement son épée dans les entrailles encore chaude du compagnon d’arme de Wilfried. Les pupilles du sergent avaient disparu, et ses yeux étaient maintenant d’un noir d’encre. Couvert du sang de la tête au pied, le sergent semblait être comme possédé par un démon, alors qu’il profanait le cadavre de son frère d’arme.

Lentement, le sergent releva la tête, apercevant Herbert, prostré dans un coin, près de la porte, incapable de bouger. Léopold se releva. Traînant derrière lui son épée frappée de l’emblème impérial. Le temps sembla se figer. Herbert n’eut pas la force de crier.

Modifié par DwarfKeeper
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J'adore cette tension que tu nous offre tout au long de ce texte! Le relire en entier aura été une immense satisfaction.

Je note au passage l'intensité avec laquelle tu parle des nains ("avec de vrais nains...", très juste) et comme tu apprécie tout particulièrement Tzentsh... En tout cas, je l'avais bien dit, il y a longtemps: ils sont tous corrompus.

Autant dire que dans les circonstances, ça s'annonce comme un gros massacre... Je crois que l'exil va prendre fin pour les deux derniers encore en vie.

Sans rentrer dans tout les détails, je dirais simplement que ton texte est excellent, procure beaucoup de plaisir à lire et est représentatif de l'ambiance de warhammer... (guerre, mort, désespoir...). C'est magistral!

La fin s'annonce des plus intéressante, et je l'attend de pied ferme... Je me demande toutefois si les héros (c'est à dire le bien) a fait tout ce qui était possible pour éviter la catastrophe... Je m'explique:

Afin de magnifier la puissance de la corruption, il aurait été intéressant que le bien fasse d'immense efforts et soit des plus intelligents pour contrer la menace, mais n'y arrive pas... ça donnerait une impression de fatalité qui pourrait (je laisse ça au conditionnel, car c'est tout à fait discutable) augmenter l'impression de fatalité déjà plutôt violente lorsqu'on voit les gobelins venir pour s'engouffrer dans les murs éventrés de la cité...

Enfin bref, ce n'est qu'une proposition, mais, au fond, je ne crois pas que tu aies encore besoin de conseils, ou que les miens puissent t'être utiles... C'est vraiment bien et je ne saurais vraiment l'améliorer...

Sur ce, Imperator, conquis.

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Vraiment vraiment bien !

Bon j'ai un seul repporche à faire sur la forme

long de son coup

Il va falloir récuperer le correcteur automtique du début de texte ! Va falloir le sortir de la cave celui là, non ? :'(

Sinon c'est vraiment vraiment ( exposant 10 ) bien raconté, tout les qualités y sont et aucun défaut !

@+

-= Inxiconquiaussi =-

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Wouaff!!! :angry: Sacré critiques! Merci beaucoup les gars, mais je n'en damandais pas tant! (vous avez bien reçu les chèques au fait?)

La sa commenceà devenir sérrieu.

Les impériaux sont trés mal......

T'as encore rien vu mon pauvre! :lol:

Je note au passage l'intensité avec laquelle tu parle des nains ("avec de vrais nains...", très juste) et comme tu apprécie tout particulièrement Tzentsh... En tout cas, je l'avais bien dit, il y a longtemps: ils sont tous corrompus.

J'adore les nains autant que je hais Tzeentch. Il était donc normal que je les décrive avec euh... là je trouve pas de mot pour exprimer. J'aime bien les mettre en scène tout simplement, chacun étant l'oposé magique de l'autre.

Sans rentrer dans tout les détails, je dirais simplement que ton texte est excellent, procure beaucoup de plaisir à lire et est représentatif de l'ambiance de warhammer... (guerre, mort, désespoir...). C'est magistral!

:D Suis ému.

La fin s'annonce des plus intéressante, et je l'attend de pied ferme... Je me demande toutefois si les héros (c'est à dire le bien) a fait tout ce qui était possible pour éviter la catastrophe... Je m'explique:

Afin de magnifier la puissance de la corruption, il aurait été intéressant que le bien fasse d'immense efforts et soit des plus intelligents pour contrer la menace, mais n'y arrive pas... ça donnerait une impression de fatalité qui pourrait (je laisse ça au conditionnel, car c'est tout à fait discutable) augmenter l'impression de fatalité déjà plutôt violente lorsqu'on voit les gobelins venir pour s'engouffrer dans les murs éventrés de la cité...

Cela aurait changé le récit du tout au tout. Je ne pourrais répondre à ce point qu'après avoir achevé le texte, sous peine de révéler déjà des éléments de fin.

Il va falloir récuperer le correcteur automtique du début de texte ! Va falloir le sortir de la cave celui là, non ?

:'( Va plutôt falloir que j'en achètes un nouveau à ce ryhtme... :D

Dwarf, le plus important, c'est que ça vous plaise. :D

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Bon, je vais faire comme tous le monde, texte super, bien raconté,… Ce que je trouve génial c'est que tu arrive à créé un personnage, sa psychologie, un peu son histoire et puis paf, il meure. Même si on commence à s'en douter (notamment avec le petit Herbert) ça donne de la pronfondeur à ton texte. Sinon, je me dis que finalement tout le monde arriverait à faire aussi bien. Non? Ah bon. Moi alors je fais aussi bien. Pas non plus? Bon si vous le dites, mais peut-être que si

Rurik, nain de mauvaise foi :'( (allez quand même jeter un coup d'oeuil ici (je sens que je vais me faire taper dessus par les modos, mais on fait ce qu'on peut pour être lu :lol: , tenez j'ai même poster mes textes sur WarFo:pour dire :D ) )

Modifié par Rurik Dankil
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