Aller au contenu
Warhammer Forum
  • advertisement_alt
  • advertisement_alt
  • advertisement_alt

sebastus

Membres
  • Compteur de contenus

    368
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par sebastus

  1. sebastus

    Un peu de désordre

    Bonjour cyrius ! Il me semble avoir déjà lu un de tes textes il y a quelques temps, je me trompe ? Mais bon, interessons nous à ce texte plutôt. Il est très agréable, relativement bien aérer, même si le manque d'informations, même s'il est volontaire, est relativement gênant selon moi. Le début est censé être accrocheur, pour qu'un maximum de lecteurs veuillent suivre l'intrigue, mais là on est dans le flou et ça peu en décourager certains. Autrement, il y a des problèmes parfois importants et qui gênent la lecture au niveau des temps. Tu utilises du passé composé, du passé simple, de l'imparfait et du présent, mais ils ne sont parfois pas à la bonne place, rendant les phrases lourdes et maladroites. Par exemple, la phrase "Le militaire a fini par se taire. Son supérieur a caressé sa grosse barbe grise bien entretenue, a jeté un oeil à la copie des scribes, puis a finalement congédié le troufion d'un geste." sonnerait bien mieux avec "Le militaire finit par se taire. Son supérieur caressa sa grosse barbe grise bien entretenue, jeta un oeil à la copie des scribes, puis congédia finalement le troufion d'un geste." Tout du moins c'est mon avis ^^ Autrement l'intrigue semble intéressante, je suivrai ce texte de près
  2. sebastus

    La menace venue du ciel

    Chapitre V Lazaelle lui raconta toute l’histoire, c’est-à-dire le résumé de son combat avec le mutant, et la découverte de Dominic. Comme elle l’avait prédit, ce fut un récit assez court, mais tout à fait intense. Sebastian l’écouta attentivement. Puis il répondit, l’air embêté, en désignant l’enfant : - On ne peut pas le garder avec nous. On part à l’assaut du palais du gouverneur, il va y avoir du sang et des tripes, et nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir un gosse qui traine dans nos pattes. Si nous faisions ça avec tous les réfugiés que l’on croise, on ne s’en sortirai pas ! - Tout’façon on est paumé, alors on va pas partir à l’assaut de grand-chose… bougonna Teer derrière lui. Le sergent boudait de façon tout à fait puéril depuis que le capitaine lui avait confisqué son détonateur. Le capitaine ouvrit la bouche, prêt à donner une répartie des plus cinglantes, puis la referma sagement. Se disputer avec ses hommes était la dernière chose à faire, et cela ne l’aiderait en rien à retrouver son chemin. Laissant Teer et sa mauvaise humeur, il appela son éclaireuse : - Laza, trouve nous un chemin vers le cen… Qu’est-ce qu’il y a gamin ? Je suis occupé là ! termina-t-il d’un ton sévère. Le coupant en plein milieu de sa phrase, Dominic s’était mis à tirer sur sa manche. A l’agressivité dans la voix du capitaine, il s’arrêta immédiatement, et rentra la tête dans les épaules. - Je… Euh… Je connais le… euh… chemin… Je peux vous guider… couina-t-il d’une voix hésitante. Sébastian se gratta la tête, réfléchissant quelques instants. Effectivement, il n’avait pas pensé à ça. Ce petit là avait vécu dans cette ruche, et à priori dans ce quartier, toute sa vie, aussi courte fut-elle. C’était la meilleure des cartes qu’on aurait pu lui donner. Finalement, ce petit n’allait pas être aussi inutile qu’il avait pu l’imaginer. Il interrogea Lazaelle du regard, mais cette dernière ce contenta de hausser les épaules. - Très bien fiston, passe devant. Seulement, sache que tu seras le premier à mourir si jamais on tombe dans une embuscade. C’était un avertissement à peine déguisé, juste au cas où. L’enfant déglutit difficilement, puis partit en tête, accompagnée de la jeune tête de lune du peloton. - Allez messieurs dames, on se bouge ! lança-t-il à ses compagnons d’infortune. Sovran, avec moi, branché votre radio sur le canal deux. Teer, vous… Teer enfin, cessez de bouder, c’est ridicule. De nouveau dans la course à la guerre, le peloton reprit son avance. *** Dominic les mena à travers les dédales de rues des quartiers du district Sud. Plusieurs fois, Lazaelle insista pour qu’ils s’arrêtent, persuadée qu’ils étaient perdus, mais l’enfant leur assurait que c’était le bon chemin, que c’étaient leurs cartes qui étaient fausses. Sébastian ne savait plus qui suivre… Son éclaireuse personnelle avait toute sa confiance, mais elle semblait vraiment perdue actuellement, tandis que le petit semblait savoir exactement où il allait. Ils n’étaient toujours pas tombés dans une embuscade, aussi laissa-t-il à l’enfant le bénéfice du doute. Et l’Empereur lui donna raison. L’utilisation de quelques raccourcis seulement connus par la plèbe, à savoir ici Dominic, leur permit de rattraper tous les retards qu’ils avaient pu accumuler lors de la journée. Avec une peine une dizaine de minutes de retard, le peloton déboucha sur la place du gouverneur, dominée par l’énorme palais. Sébastian soupira de soulagement. Finalement, peut être ne serait-il pas exécuté pour incompétence… Deux escadrons complets de leman russ se trouvait déjà sur place, avec plusieurs compagnies de gardes impériaux. Un périmètre de sécurité avait déjà été installé, la porte de palais était eventrée, et sans doute y avait-il déjà des combats à l’intérieur. Tout se déroulait comme prévu. Le peloton du capitaine était placée dans les premières réserves stratégiques. Dés que la première vague rencontrerait des difficultés, ils devraient partir à l’assaut. Cela leur laissait au moins quelques minutes de répit. Tandis que ses hommes refaisaient le plein de munitions prêt d’une chimère chargée de caisses d’armes, le capitaine Hague tapota la tête de l’enfant : - Bien joué fiston, fit-il. Et pour la première fois depuis qu’il l’avait croisé, Dominic se permit un petit sourire. *** - Teer, donnez moi ce détonateur ! - Jamais ! Il est à moi ! Morceaux de conversation au pied d’un mur. Voilà, chapitre un peu court et peut être un peu décevant (à vous de juger), il sert surtout de transition. Merci à tous pour vos commentaires ^^
  3. sebastus

    Les racines de l'hérésie

    Bonjour à toi ! Le texte que tu nous présentes là est, je dois l'avouer, très prenant. L'intrigue semble bien mené, malgré quelques maladresses par ci par là ^^ Tout d'abord, une petite faute énervante qui revient dans le texte : le mot psycher s'écrit psyker. Ce n'est pas vraiment une faute grave, mais comme tu l'utilises souvent dans le texte, cela finit par être un peu agançant Une chose qui me dérange un peu aussi, c'est le caractère un peu bancale de ton prologue. Je ne sais pas si c'est volontaire ou non, mais le flou est vraiment important au début. Pourquoi est-ce que l'inquisiteur est là ? Qu'est ce qui a nécessité spécialement sa présence, au lieu juste d'envoyer quelques subordonnés ? Qui a tué l'homme dans la maison, et pourquoi (a par le fait que ce soit un hérétique) ? Que faisait l'enfant ici ? Enfin, c'est mon humble avis... Un dernier petit détail, c'est que poster 2 chapitre plus le prologue d'un coup, c'est un peu long à lire ^^ Pour le bien de tes lecteurs, tu pourrais poster chapitre par chapitre, ca fera durer le plaisir. Voilà Bonne continuation !
  4. sebastus

    la lignée maudite

    Pour ma part, je trouve toujours ce texte très bien, à part quelques petites erreurs de ci de là ^^ Continue shasel !
  5. sebastus

    La menace venue du ciel

    Désolé de ne pas avoir posté de suite, j'avoue avoir un peu de mal à concilier ma terminale et l'écriture en gardant un peu de temps pour mes activités ordinaires. Peut être une suite pendant la toussaint, vu qu'il a l'air assez suivi ^^ Merci pour vos remarques !
  6. sebastus

    Récit(s) warhammer 40k

    Effectivement, un peu long comme première partie ^^ Tu aurais peut être pu le découper et le mettre sur plusieurs jours, mais soit. Pas de problèmes majeurs dans le texte, si ce n'est parfois la précision. Des fois, le texte est extrêmement méticulleux et précis. Forcément, on se dit que c'est bien, et on s'y habitue... Puis après, on se surprend à revenir un peu en arrière, parce qu'on ne sait pas qui parle, ou parce qu'on ne sait pas pourquoi le narrateur est à cet endroit précis ^^ C'est mon cas en tout cas, peut être est-ce juste parce que je suis fatigué ^^ Quelques fautes d'orthographe autrement, mais cela ne saute pas aux yeux. Continue comme ça, j'aime les histoires de zombies
  7. sebastus

    la lignée maudite

    Quelques incohérences au niveau de l'histoire effectivement, mais rares sont les textes (surtout les longs) à ne pas en accumuler quelques unes ^^ Pour ma part, je trouve le texte toujours aussi bien, et je suis la lecture régulièrement
  8. sebastus

    La menace venue du ciel

    Voilà la suite ^^ Désolé pour le retard, mais la vraie vie n'attend pas ! Chapitre IV Lazaelle pointa son fusil laser devant elle dans une posture très professionnelle. Elle avait entendu du bruit, elle en était sûre… Elle venait de descendre un mutant, peut être avait-il un petit copain ? Elle calma sa respiration, et se fit plus attentive aux bruits de la pièce… Là. Derrière cette porte. Une sorte de halètement, presque le souffle rauque d’un animal blessé. L’ouverture était fermée par une fine porte de métal, qui devait mener à une chambre ou un débarras. Poussant le battant en métal entrouvert, la lampe fixée sous son fusil éclaira un réduit encombré de vêtements et de vieux cartons. Et d’une forme. Son doigt se crispa sur la gâchette. La grâce de l’Empereur seule voulut qu’elle ne tira pas. Au milieu des loques poussières du placard, un enfant se tenait recroquevillé. Tout tremblant, ses paupières pâles se refermèrent tandis que le puissant faisceau lumineux l’encadrait de façon implacable. - Ne me tuez pas, gémit-il. Il avait l’air pitoyable ainsi. Malgré sa position fœtale, il ne devait pas être bien grand, avec la peau d’une pâleur maladive, des oripeaux qui couvraient maladroitement un corps sale, de la crasse de ses cheveux jusqu’au noir incrusté sous ses ongles. Ses cheveux devaient être noirs. Devaient seulement, car leur saleté empêchait de déterminer vraiment leur couleur originelle. Attristée par ce spectacle, elle baissa son arme et s’accroupit. Elle parla de sa voix douce, pas plus forte qu’un murmure : - Je ne te ferais pas de mal… Elle retira son casque, et le posa à terre. Ses longs cheveux bruns emmêlés ainsi libérés tombèrent sur ses épaules, encadrant son visage pâle de tête de lune. - Tu vois ? Je suis comme toi. Tu peux sortir de là, termina-t-elle en lui tendant la main. L’enfant la regarda, ses yeux bruns injectés de sang la transperçant de part en part. Il sembla la juger quelques instants, puis se leva difficilement, et sortit de sa cachette. Légèrement plus petit que la mittrienne, il tenait sur deux jambes fines qui semblaient peiner à supporter son poids. Il ne devait guère plus avoir de quatorze ans, quinze, tout au plus. Et à présent, il était orphelin, car l’homme (ou plutôt les restes de l’homme) présent dans la pièce devait être son père, tandis que le tas d’os à moitié rongé dans un coin de la pièce… Elle n’osait pas imaginer ce qu’il s’était passé ici. De toute manière, elle ne se faisait plus d’illusion, la guerre n’épargnait rien ni personne. Dans Sa garde, on perdait vite sa candeur à force de voir ce genre de tableau. Elle l’emmena dans le couloir, pour éloigner ce petit du macabre spectacle. Quoiqu’il n’était plus si petit à présent. Dans quelques années, il ferait un beau… Enfin une belle… Qu’était-il au juste ? Ses cheveux emmêlés rendaient difficile toute identification, ses traits étaient trop crasseux pour voir quoi que ce soit, tandis que les haillons informes qu’il avait sur le dos n’aidaient en rien à déterminer son sexe. Elle fit s’asseoir le gamin contre le mur, et celui-ci se laissa faire docilement. Se laissant glisser à ses côtés, elle tenta d’engager la conversation : - Je me nomme Lazaelle, mais tout le monde m’appelle Laza. Et toi… ? Seul le silence lui répondit. Le gosse tourna vers elle un regard éteint, le genre de regard qui en avait trop vu en trop peu de temps. Ses yeux injectés de rouge semblait indiqué qu’il avait pleurer. D’un côté, il semblait avoir assisté à la mort de ses parents, normal qu’il n’était guère causant… - Tu sais si tu ne veux pas parler, je comp… - Dominic, la coupa-t-il d’un ton rauque. Sa voix était exagérément grave, comme s’il avait la gorge enflée. Malgré cela, elle semblait légèrement fluette, comme s’il n’avait pas encore mué. - Bonjour Dominic… Et tu habites ici ? Sa question était maladroite, et elle le savait. Que ce soit sa maison ou pas, elle n’avait aucun besoin de lui rappeler ce qui s’était passé en ce lieu. D’ailleurs, l’enfant ne lui répondit pas. Il se contenta de fixer le vide d’un air absent, et resta silencieux malgré plusieurs tentatives de commencer une conversation. Elle resta quelques minutes ainsi, assise près du gosse, dans un silence de mort. Lazaelle pensa à la suite. Et après ? Qu’allait-elle pouvoir faire de ce gamin ? Elle ne pouvait pas le laisser ici, tout seul. Elle avait un cœur tout de même… Mais son peloton était en plein assaut. Ses camarades et elle ne pouvaient pas s’encombrer d’un mioche ! D’autant que celui là était à peine pubère, et surement loin de savoir tenir une arme. Pour ce qu’elle en savait, il était peut être contaminé par les hérétiques, ou quelque chose du genre… Cette décision ne lui revenait pas de toute façon. Si c’était le cas, elle aurait été tiraillée entre ses sentiments et son devoir. Elle entendit du bruit provenant de la rue. Des cris et des jurons. C’était ses camarades qui avaient fini par la rejoindre et ils étaient aussi discrets qu’un escadron de leman russ ! *** - Sovran, je croyais que vous saviez lire une carte ! - Je n’y peux rien capitaine ! se défendit le concerné, tournant et retournant frénétiquement des monceaux de cartes étalés au sol. - J’vais le faire sauter vot’ putain mur moi ! fit Teer au milieu de la dispute. - On ne se perd pas en plein assaut Sov’ ! Ca va jeter le déshonneur sur tout le régiment ! Vous voulez vraiment passer par le peloton d’exécution ? poursuivit le capitaine. - Hého, vous, filez moi vos tubes charges ! - On est au bon endroit pourtant, je sais lire une carte ! - Venez pas me dire ça, on est au milieu de nul part, dans un cul de sac ! s’énerva Sébastian. - Sauf votre respect… commença l’officier radio. - Alors le fil rouge sur le bouton rouge, et le fil vert… - Teer, lâchez ces explosifs ! Sovran, on est PERDUS ! - Non, on est exactement au bon endroit, fit une nouvelle voix au milieu du brouhaha. Sébastian se retourna, la main posée sur sa ceinture, serrant son arme de poing. Il soupira immédiatement en reconnaissant la jeune mittrienne. Celle-ci poursuivit : - On est exactement à l’endroit où on devrait être. Ce sont les cartes qui sont fausses, ou trop datées. Un long silence s’ensuivit, seulement troublé par les invectives furieuses du sergent Teer qui récoltait une quantité toujours plus grandes de matière explosive. Le capitaine en profita pour observer la femme. Ce fut lui qui brisa en premier le silence : - Lazaelle, je crois qu’il est grand temps de m’expliquer pourquoi tu es devenue verte, et pourquoi tu as un gosse collé à tes basques… Sa voix était trop dangereuse calme. Visiblement, toute cette histoire commençait à lui faire perdre son sang froid. Effectivement, l’éclaireuse était encore en grande partie couverte de sang de mutant, et Dominic avait jugé bon de rester en sa compagnie, la suivant de très près en observant son environnement avec des grands yeux effrayés. - C’est une longue histoire, dit-elle. Elle réfléchit quelques instants, puis se reprit en souriant : Non, enfaites ça va être très rapide à raconter ! *** La démolition, c’est ma mission ! Sergent Teer, au pied du mur.
  9. Toujours aussi sympathique. Et toujours des fautes d'orthographes, mais bon on note quand même tes efforts pour l'améliorer ^^ Fais attention aux terminaisons des verbes en -é ou en -er (je te conseille de revoir la règle de l'infinitif et du participe passé pour bien te corriger) Sinon l'histoire est toujours interessante, faut voir la suite
  10. sebastus

    la lignée maudite

    Je n'ai pas eu le temps de tout lire, mais cela me parait excellent pour l'instant ! Continue comme ça ^^
  11. Tout d'abord, bravo. Ton écriture s'est considérablement améliorée, et les fautes sont moins fréquentes et moins importantes. Toutes mes félicitations, c'est un premier pas qui rend le texte bien plus agréable ! Il y a encore de la marge avant un texte (presque) sans fautes, mais on note avec plaisir que tu fais des efforts ^^ Le texte en lui même est sympathique, avec un peu de suspense. Tu as aussi rajouté des descriptions, qui sont pas mal du tout (notamment la valkyrie crashée). Maintenant, le prochain pas va être de donner un peu de profondeur aux personnages. Il faut nous faire voir leurs pensées, leurs craintes et leurs bonheurs. Bien sûr, tu n'as pas à faire cela sur tout les personnages (ce serait un cauchemar d'informations d'informations !), mais sur les principaux, ce serait une bonne chose Je passe sur ce point, car même lorsqu'ils se rendent compte qu'ils n'ont pas pu sortir tout le monde et que des hommes ont finis brûler vifs, ils n'ont pas l'air très émus ^^ De même, pense à la ponctuation (surtout les points d'exclamations) pour donner vie à tes dialogues. Voilà, continue sur cette voie, tu progresses vite et c'est admirable PS : Ne te sens pas obligé d'écrire les titres en anglais. Après tout, nous sommes français et fiers de l'être !
  12. Les mêmes remarques que précédemment : - Orthographe à revoir, et ce de façon urgente, quoi que le dernier chapitre soit meilleur que les autres. L'utilisation d'un simple correcteur orthographique (Word, open office) t'évitera déjà les fautes les plus immondes, comme le verbe "fahir", qui s'écrit "faillir". - Ponctuation à corriger. C'est important car cela donne le rythme du texte. Comme conseil, comme M3mn0ch07, je te conseille de relire ton texte à haute voix - Pour l'écriture, je te conseille d'écrire les nombres en toute lettre. - Le texte va un peu vite. Il faudrait un peu de descriptions supplémentaires pour rajouter des détails (qui seraient loin d'être superflus). Le style encore ça va, il est assez agréable. Ce qui casse le texte et le rabaisse, c'est l'orthographe en majorité. Certaines fautes pourraient faire vomir un ork ! (Passer moi l'expression ^^) Cependant, si tu utilises word ou open office, cela t'évitera les plus grosses fautes, et rendra ainsi la lecture et le texte en général bien plus sympathique. Avec un petit effort, ton texte sera vite une petite perle dans la section, mais il va falloir s'en donner la peine ^^ PS : Outre les fautes, il y a une sévère erreur ici : 700 kilomètres en deux minutes si je comprends bien O.o ? La Valkyrie va vite, mais n'a pas une vitesse de 20000 km/h tout de même !
  13. sebastus

    Récit(s) warhammer 40k

    Très sympa comme texte ^^ Quoique la fin nous laisse un peu sur notre appétit, mais si tu continues à écrire on te pardonnera Simple remarque : pour aérer un peu plus ton texte, tu pourrais sauter des lignes de temps à autre. Là, c'est très monobloc (plus indigeste) et les dialogues ont tendance à se fondre trop dans le texte.
  14. sebastus

    La menace venue du ciel

    Avec la rentrée, la suite risque de tarder un peu, mais elle va arriver bientôt ^^ Merci à tous pour vos commentaires !
  15. sebastus

    La menace venue du ciel

    Chapitre III Lazaelle poursuivait son avance. Le mutant avait disparu de son champ de vision, mais elle en gardait encore des frissons. Elle ne connaissait rien au chaos, et elle s’en félicitait d’ailleurs. Elle tentait de chasser cette vision atroce de son esprit, récitant des psaumes protecteurs en espérant qu’Il l’entende. Elle longeait les murs d’une ancienne usine telle une ombre, un fantôme. Dans l’obscurité d’une petite échoppe un peu plus loin, elle vérifia son plan. Il devait y avoir une intersection dans une centaine de mètre, après un virage. Là bas, elle fouillerait les bâtiments aux alentours pour prévenir tous risques d’embuscade, et elle attendrait le reste de la colonne. Elle n’avait rencontré aucun ennemi jusque là, à part la silhouette lointaine d’un mutant, et tant mieux pour elle d’ailleurs. Mais le capitaine Hague avait raison, c’était inquiétant toute cette histoire. Elle reprit son avance, seulement il n’y avait nulle trace d’intersection devant elle. C’était même plutôt l’inverse : elle se trouvait dans un cul de sac ! Elle regarda à nouveau le schéma tactique que lui avait donné le capitaine. Impossible de se tromper… Elle était persuadée d’avoir pris le bon chemin, et elle se perdait rarement en général, surtout en pleine bataille. La réponse la plus plausible était que les cartes étaient tout simplement obsolètes. Maintenant, une question se posait : que faire ? En bon soldat, elle se dit tout d’abord qu’elle devait attendre ici qu’on lui communique d’autres ordres. Seulement, en explorant un peu, elle pourrait peut être trouver une autre issue… Alors qu’elle se questionnait sur la marche à suivre, elle entendit un bruit. Son premier reflexe fut de se jeter à couvert dans l’encadrement de la porte la plus proche. Elle attendit quelques secondes, limitant sa respiration pour tenter de mieux entendre. Un grattement, quelque part dans la tour d’habitation à sa droite. Serrant contre elle son fusil laser, elle décida d’aller voir ce qui se passait. Cela ne la rassurait pas vraiment, mais c’était son travail envers ses camarades et l’Empereur, aussi s’en acquitterait-elle avec les honneurs, dussent-ils être posthumes. Elle accrocha sa lampe torche au port de sa baïonnette, et entra dans le bâtiment. Il y faisait très noir faute d’éclairages, car tout ce quartier était privé de courant depuis le début de la guerre. Balayant les ténèbres avec sa lumière, elle trouva la cage d’escaliers et, enjambant les restes d’un vieux divan, elle commença son ascension. Elle ne nota rien de suspect au premier étage, mais le grattement se faisait plus fort, accompagné de couinements étranges. La source se trouvait surement au second palier. Il y eut un craquement, et un cri. Un cri d’humain, et un autre, plus étrange, à la limite de l’animal. N’écoutant que son courage, Lazaelle était à deux doigts de filer à l’eldar. Seulement, elle ne pouvait pas fuir ainsi, elle devait accomplir son devoir. Elle monta en petite foulée l’escalier qui menait au second étage. Comme pour la palier précédent, il y avait un long couloir avec des portes de part et d’autre qui menait aux logements d’anciens citoyens de l’Imperium. Une seule de ses portes était ouverte, éventrée pour être plus précis, et pendait encore mollement à ses gonds. Elle se mit à couvert près de l’ouverture, reprenant un peu son souffle, puis entra, fusil levé. La scène qu’elle vit aurait pu sortir tout droit de ses cauchemars. Au centre de cet appartement dévasté, il y avait le mutant qu’elle avait vu plus tôt, en train de festoyer avec les restes d’un homme qui ressemblait à présent plus à un sandwich pour alien qu’à autre chose. Ce monstre était horrible : accroupi près de son repas, il avait des jambes arquées, un crâne bulbeux étrangement allongé, et une deuxième paire de bras, terminés par des longues pinces, lui était sortie des épaules. Son corps semblait avoir été recouvert d’une épaisse carapace, car lorsque la mittrienne lui tira dans le dos, seule une large éraflure noire apparue sur la chitine blafarde. La bête se retourna vivement, et une langue démesurée sortit de la bouche aux crocs pointus, venant s’enrouler fermement autour du canon du fusil laser. L’éclaireuse resta agrippée à son arme (c’est-ce qu’on lui avait toujours appris à l’école militaire), mais sentait qu’elle commençait à lui glisser des mains. Elle tira deux coups supplémentaires en essayant de ne pas céder à la panique. Le premier toucha le mur du fond sans effet notable, mais le second laser toucha la créature à l’œil droit. Un glapissement inhumain envahi la pièce alors que le monstre rétractait sa langue en reculant, surpris et furieux. Il recula, et ses muscles se bandèrent tel ceux d’un félin près à bondir. Lazaelle posa un genoux à terre et régla la puissance de son arme sur le maximum. Elle ne pensait à rien d’autre sur l’instant présent qu’à sa survie, un sentiment fort humain. Alors que le mutant déployait et jambes et traversait la pièce d’un seul bond, elle tira un unique coup qui vida une bon quart de son chargeur d’un seul coup. Le laser fusa vers le monstre, le toucha dans ce qui aurait du être sa pommette et lui grilla une bonne partie du cerveau. Le corps sans vie poursuivit son vol, et atterrit dans un bruit mou sur la jeune femme qui venait de l’abattre. - Ca n’arrive qu’à moi… murmura-t-elle pour elle-même, fataliste, bloquée sous quatre-vingt kilos de mutant. Elle passa la minute suivante à tenter de se dégager du cadavre, le faisant glisser sur le côté. Elle parvint finalement à se relever difficilement, le gilet pare-balle recouvert de fluide corporel vert qui n’était surement pas le sien. L’odeur était suffisamment infecte pour lui donner la nausée. Quelle journée ! Alors qu’elle tentait de se nettoyer un peu en se frottant avec les rideaux de la fenêtre la plus proche (ce n’était pas comme s’ils servaient encore à quelqu’un !), elle vit qu’elle n’était toujours pas seule dans l’habitation. *** Le groupe de Sébastian fit jonction avec celui du sergent Teer à une intersection. Ce dernier vint faire son rapport. Lorsque le capitaine le vit approcher, il remarqua que l’homme était couvert de sang, et que ce n’était pas le sien (tout du moins dans sa majorité). - Sergent, une petite explication peut être ? fit-il en haussant un sourcil. - Oh, rien de plus qu’une petite rencontre fortuite… fit le concerné de manière très évasive. - Je vois. Combien ? - Une dizaine, environ deux cents mètres dans cette direction. Avisant un brancard au milieu du groupe, Sébastian poursuivit : - Pertes ? - Sunder est mort. On a deux blessés graves, et un léger… Il s’arrêta un instant et continua, d’un ton presque content. Aucun prisonniers. Hague hocha la tête, puis le renvoya avec ses hommes en tête de colonne. Aucun prisonniers… Les ordres étaient clairs, il fallait purger la ville, et tuer tout le monde. Aucune pitié n’était accordée aux hérétiques, si ce n’était celle d’abréger leurs souffrances. La colonne impériale poursuivait son avance dans la grande avenue, une grande rue d’au moins une dizaine de mètres de large et longue de plusieurs kilomètres, et qui n’était pourtant qu’une petite artère de l’immense cité ruche. Les pavés étaient jonchés de carcasses et de voitures d’honnêtes citoyens impériaux, à présent morts ou en fuite. Comment avaient-ils pu en arriver là ? C’étaient ces pourritures d’hérétiques, qui rongeaient Son empire comme un cancer, et qui ne cesserait que lorsque l’humanité serrait anéantie. Perdu dans ses pensées, il manqua de percuter un mur qui se dressait devant lui. Relevant le nez à temps, il se stoppa net. Implacable, un grand mur de pavés se dressait face à lui. Qu’est-ce que c’était encore ? Regardant autour de lui, il remarqua qu’il se trouvait dans un cul-de-sac. Pourtant, lui et ses hommes auraient dû se trouver devant une intersection ici ! Il appela son officier radio : - Sovran, apporte moi les cartes ! L’homme arriva en trottinant, son unité radio sautant sur son dos au rythme de ses petites foulées. Il approcha de son officier supérieur, déplia une carte stratégique du quartier, et commença à l’examiner silencieusement. Il jetait de rapides coups d’œil autour de lui, cherchant le noms des rues. Finalement, il se tourna vers Sébastian : - Mon colonel, je viens de regarder les cartes, je pense que c’est officiel à présent. - Quoi donc ? - On est paumé, mon colonel ! *** Capitaine, les choses ne sont pas toujours telles que l’on peut le croire. Katherine, campement.
  16. sebastus

    La menace venue du ciel

    Chapitre II L’assaut poursuivait son cours, et pour l’instant tout se passait comme le prévoyaient les tacticiens impériaux, ce qui était plutôt une bonne chose à vrai dire. La résistance se faisait féroce dans certaines zones, et les combats se déroulaient rues après rues, pièces après pièces, mètres après mètres. L’appui blindé faisait en général taire toute opposition, les hérétiques n’étant que très peu armés face au marteau de l’empereur. Des quartiers entiers étaient pulvérisés par les obus, puis aplanis par les chenilles de ces monstres, dieux et machines. Sur les flancs du peloton de nos héros progressait de façon parallèle une petite escouade d’une douzaine d’hommes. Il s’agissait du sergent Teer et de ses camarades, qui remontaient en petite foulée un boulevard désespérément vide. Tous portaient le treillis bleu tigré noir des régiments scélusiens, visiblement taillés pour le combat urbain. Le gouvernement de Scelus, à savoir le gouverneur planétaire Duin, avait convenablement équipé ses soldats… Chaque homme et femme du régiment portait avec lui tout ce dont il pourrait éventuellement avoir besoin dans son paquetage dorsal, du guide du fantassin impérial si traditionnel aux tubes charges (si explosifs). Le meilleur ami du soldat provenait aussi de Scelus, un fusil laser impérial suivant fidèlement les plans millénaires de l’Imperium. Il avait une crosse en métal peu confortable, mais une puissance ajustable et une cadence de tir appréciable en mode automatique. Il était teint d’une couleur grise passe partout, avec une magnifique Aquila d’argent chromé entre le canon et le chargeur. Où pouvait bien se trouver l’ennemi ? Une chose était sûre, si le sergent ne trouvait pas quelque chose sur lequel se défouler, il allait finir par péter son câble, et ce de façon très rapide. On ne pouvait pas vraiment dire que c’était un homme patient, et il avait besoin de temps à autre de libérer ses instincts de tueur, presque de psychopathe. Pas vraiment un homme recommandable… Pourtant, il était très sympathique la plupart du temps. Un paradoxe qui pouvait parfois mettre mal à l’aise ! Il fallait faire constamment attention à ses propos avec un tel personnage, qui pouvait partir d’un seul coup de coup dans un délire frénétique. Un bon guerrier, à la santé mentale fragile. Un garde impériale en somme… Malgré ses états de service tout à fait respectables et ses prouesses au combat, il n’avait jamais pu dépasser le grade de sergent à cause de cela. Heureusement, il allait pouvoir calmé ses pulsions très bientôt, il le savait. Au détour d’une rue, ils tombèrent sur une groupe de combattants ennemis. Les deux camps, d’abord surpris, se jetèrent l’un contre l’autre dans une frénésie guerrière, directement au corps à corps. Teer poussa un cri entre l’exultation et la rage en abattant une machette longue comme un bras sur le casque d’un adversaire (subtil, n’est-ce pas ?). Il ne se souciait plus vraiment de ce qu’il tuait, faisant juste attention à ne pas taper ce qui portait les couleurs de son régiment. Enfin pour ce dernier point, il essayait, une bavure était si vite arrivée… Près de lui, le soldat Sunder fut éventré sauvagement par ce qui ressemblait à une longue baïonnette. Le sergent dégaina son pistolet à canon court, un vieux modèle automatique à munitions solides qui avait connu des jours meilleurs, et tira à bout portant plusieurs balles dans le ventre de l’agresseur, qui trépassa aussi sec dans une gerbe de sang vert. Un tir de laser lui brûla la cuisse, mais il en fallait bien plus pour arrêter un telle machine de mort. A ce niveau là, il avait presque plus d’adrénaline que de sang dans les veines ! - Renvoyez ces enfoirés dans le waaaaaarp ! hurla-t-il à pleins poumons. *** Plusieurs centaines de mètres et des poussières plus à leur gauche, la colonne du capitaine Sébastian poursuivait son avance. Ils ne savaient rien du combat sanglant auquel participait le sergent Teer et ses hommes. Ils se contentaient d’avancer, sans résistance apparente… Chose étrange d’ailleurs. Ils avaient rencontré la plus féroce résistance au début de l’assaut, puis ici, plus rien. Il ne les avait pas déjà tous tuer tout de même ? Il savait que le secteur dans lequel ils se trouvaient serait peu défendu, mais tout de même… Son éclaireuse personnelle, le soldat Elber Lazaelle, se trouvait au devant de la colonne. A elle le charmant devoir d’ouvrir la voie aux autres… Elle s’en acquittait pourtant avec tous les honneurs. Jeune femme d’à peine 23 ans, elle était petite et maigre, avec une épaisse tignasse noire qui gagnerait à être convenablement coiffée. Ellen'était pas Scélusienne, au contraire de la majorité du régiment . Elle était née sur une petite lune qui orbitait autour de Scélus. Répondant du charmant nom de Mittri, elle était parfaitement habitable en dépit de quelques particularités. Entre autre, la rotation du système solaire faisait que cette lune était dans l’ombre de Scélus plus des trois quarts du temps. Sans doute était-ce pour cela que ses habitants avaient tous une peau pâle, et des yeux bleus qui voyaient extrêmement bien dans la nuit. Mittri était très peu peuplée. Sa population était essentiellement composée de mineurs, et ne dépassait pas plusieurs dizaines de milliers d’habitants. La vie n’était pas facile là bas. Outre le manque de soleil qui causait de nombreuses dépressions, les mines de la lune renfermaient des monstres peu commodes (et cela sans aucun euphémisme). Des fois, ils sortaient même de leurs grottes le soir, lorsque la nourriture se faisait rare. On les nommait les tzals, et leur menace était sous estimée par le gouvernement. Certes, il y avait quelques morts de temps en temps, mais cela ne gênait pas tant que ça l’extraction des minerais. Toute cette histoire ne valait pas vraiment le coup qu’on envoi des troupes sur place… Au bout d’un moment, les fréquentes purges qu’ils tentaient étant infructueuses, les habitants apprirent tout simplement à « disparaitre » lorsque le besoin s’en faisait sentir, comme des fantômes. Ceci expliquait sans doute pourquoi les rares mittriens engagés dans la garde ou dans les FDP étaient placés officiellement dans le rôle d’éclaireurs (après avoir vérifié un minimum leurs capacités bien sûr). Peu social, ils restaient en général en marge des autres soldats du régiment, et devenaient vite le bouc-émissaire du régiment du fait de leur isolement. On les surnommait peu affectueusement les « têtes de lune ». Lazaelle était la tête de lune officielle du troisième peloton du second régiment. L’adaptation avait été difficile au début, et elle avait bien failli jeter l’éponge. Heureusement, les soldats sous le commandement de Sébastian n’étaient pas si méchants, et elle avait fini par gagner leur respect. Finalement, elle se trouvait bien ici, elle avait même quelques amis, elle qui était d’un naturel plus que timide. Bien sûr, il y avait quelques raclures qui continuait de l’emmerder, mais elle faisait parti de la Garde, elle savait se protéger seule. Quand les choses dégénéraient trop, le capitaine Hague intervenait, et il rétablissait toujours l’ordre. Il avait quelque chose en plus dans la voix, ce qu’on appelle le charisme sans doute, et tous finissaient par obéir. Ce dernier vint à la hauteur de l‘éclaireuse, lui tendant un schéma tactique de la ville sur papier fin. - Je n’aime pas ça, Laza. Il n’y a pas d’ennemis… Pars en avant, et regarde s’il y a des embuscades, tu veux bien ? Tiens, prend cette carte. Elle prit dans ses doigts pâles le papier qu’il lui tendait, et partit en avant sans un mot, répondant par un simple hochement de tête. Aimant bien la taquiner sur sa timidité, il lui fit un clin d’œil malicieux, et sourit en la voyant rougir. Elle devança rapidement ses camarades, progressant rapidement mais de façon prudente dans les rues dévastées de la cité. Les dégâts étaient toutefois moins importants ici que dans d’autres quartiers qu’ils avaient traversés. La plupart des murs étaient même encore debout, même si ce n’était pas le cas des fenêtres. Elle avait progressé d’un peu plus de cinq cents mètres lorsqu’elle aperçut une forme un peu plus loin dans la rue. Un ennemi surement, car seul le troisième peloton attaquait par ce côté, et ses camarades étaient tous derrière elle… Elle tira une petite longue vue de son sac, et regarda à nouveau la silhouette. Elle écarquilla les yeux quand elle la vit en détails. La jeune femme sortit l’Aquilla en argent accrochée à une chaine qu’elle avait à son coup, et l’embrassa pieusement. - L’Empereur nous protège… murmura-t-elle. *** Qu’est-ce qu’on a buté comme hérétique ce jour là. Sergent Teer, campement. Je vous remercie de vos réponses ^^ C'est agréable de savoir que notre travail est suivi, et très encourageant ! Juste en passant, le fait que la plus grande partie du texte soit en italique vous dérange-t-il ? Elanion, pourquoi dis-tu que le texte semble un peu anarchique ? Je pense voir ce que tu veux dire (a savoir que les différentes parties/paragraphes manque de liaisons logiques, ce qui fait qu'on à l'impression de sauté du coq à l'âne), mais j'ai du mal à le voir dans le texte. Peut être pourrais-tu developpé ton propos pour que je puisse arrangé ce défaut ? Mon seul est de m'améliorer (et de vous offrir une bonne lecture, bien entendu ^^)
  17. sebastus

    La menace venue du ciel

    PS : désolé pour le double post ! Malgré le manque de réponses, je poste tout de même la suite. Vous ne croyez pas vous débarasser de moi si facilement non ? ^^ Chapitre I Cela faisait huit heures à présent que l’assaut avait été lancé. Depuis les positions impériales du district Nord de la cité ruche, plus de sept milles gardes impériaux avec leur appui blindé avaient enfoncé les lignes de hérétiques avec la violence si caractéristique du marteau de l’empereur. Deux régiments complets de la garde, le IIIe et VIIe scélusien, avec les lourds leman russ des usines de Gryphonne IV, lancés au travers des rues dans des combats urbains qui s’annonçaient déjà des plus sanglants. Il remontait la rue Le capitaine Hague, Sébastian de son petit nom, avait fêté son 42e anniversaire le 645.723, M41 bien sûr. Plutôt grand, car il dépassait le mètre quatre-vingt, c’était un homme d’une carrure tout à fait normal. Il était un homme parmi d’autre, tout à fait banal. Bien sûr, il avait quelques unes de petites spécialités qui le différenciaient malgré tout, mais elle n’était guère à son avantage, que ce soit ses cheveux qui commençaient à se parsemer d’un gris précoce, ou bien la vilaine cicatrice qui lui courait le long de la joue droite. Il se souciait guère de son physique, se contentant seulement de s’entretenir et d’avoir l’air présentable pour ses supérieurs. De toutes façons, depuis son enrôlement dans la garde, il n’y avait plus beaucoup de filles qui auraient pu s’intéresser à lui… Il avait été nommé capitaine dans la garde impériale dés son enrôlement, près de dix ans plus tôt, en l’honneur de six années passées dans les forces de défenses planétaires, d’un dossier exemplaire et, il fallait bien l’avouer, d’un peu de pistonnage. Comme si on pouvait devenir officier sur un coup de chance… Il fallait mettre toutes les chances de votre côté lorsque vous tentiez le coup. Pourtant, il avait prouvé qu’il méritait ses galons aux cours des combats. Très bon meneur d’homme, charismatique et très social, il faisait en sorte qu’on se plaise dans son peloton, et se faisait respecter sans jamais devoir hausser la voix, ou tout du moins très rarement. Il menait ses soldats avec hargne et détermination, et avait même quelques succès significatifs qui lui avait valu de belles médailles… Ses camarades l‘entouraient. Il commandait un peloton de près de quarante soldats. La plupart le suivait depuis des années maintenant… Il y avait régulièrement des nouveaux venant des autres escouades, pour remplacer les pertes. Sébastian faisait ce qu’il pouvait pour les intégrer au reste du groupe, mais ces petits bleubites étaient à la place de camarades tombés au combat, et les voir le rendait nostalgique. Ils lui rappelaient pendant un certain temps ces amis qui jamais ne reviendraient. Puis le temps faisait son office, et les souvenirs s’estompaient. Il n’y avait pas vraiment de place pour ça dans les armées de l’Empereur. - Sergent, allez vérifier le bâtiment à droite, et essayez de le traverser pour prendre une rue parallèle. Je veux qu’on couvre le maximum de terrain possible. Lanier Teer s’éloigna avec une douzaine d’hommes, qui entrèrent dans les entrailles d’une ancienne boutique de vêtements. Il les vit sécuriser le rez-de-chaussée avec minutie, mais aucun ennemi n’y était embusqué. Sébastian n’aimait pas trop ça. Les hérétiques étaient organisés, et savaient lâcher du terrain pour se regrouper et mieux se défendre. Il ne s’agissait pas de fanatiques avec l’écume aux lèvres, incapables de tenir correctement une arme. La plupart savaient se battre assez correctement, l’Empereur seul savait pourquoi. L’explication la plus plausible était sans doute que, comme il s’agissait de la cité ruche la plus grande de la planète, il y avait les troupes d’élites du chaos. Des anciens membres des forces de défenses planétaires sans doute. La résistance dans les autres villes étaient beaucoup moins féroces d’après les rapports. Evidemment, c’était à eux de se taper ce que l’ennemi avait de mieux… L’officier radio Sovran traversa les rangs et remonta jusqu’à Sébastian. - Capitaine ! Le colonel sur la 3 ! Le concerné saisit le combiné qu’on lui tendait. Bien sûr, il avait une oreillette, mais elle ne pouvait servir qu’au communication courte portée. Les bâtiments de la ruche étaient bien trop épais, aussi la coordination entre les différents pelotons se faisait par radio longue portée. De lourdes radios qu’un soldat devait trimballer sur son dos au travers des balles et des obus… Mais il s’agissait d’objet indispensables à la stratégie globale. - Colonel ? Oui, mon Colonel. Oui. Je… Non, mon colonel. On est… Il déplia la carte sur le dos de l’officier radio (ils sont multifonctionnels ces hommes là !). Sébastian était toujours étonné à quel point il était difficile d’utiliser une carte tactique et un téléphone en même temps… - On est entre le repère 1/157 et 2/157. On continue à avancer mon colonel ? On a des unités sur le flanc ? Non, mon colonel, je ne suis pas un « péteux » et je « ne fais pas dans mon froc », je n’ai pas envie d’avancer avec les flancs à découverts… Il était toujours surpris de découvrir à quel point le langage du colonel Coppice pouvait être fleuri parfois ! - Comment ça on est en retard sur les autres ? Mais… Oui, mon colonel. On se dépêche. Il coupa la communication, puis répartit rapidement ses ordres. La colonne impériale reprit son avance le long de la rue. *** Par l’Empereur, qu’est-ce que c’est que ces choses ? Lazaelle, district sud.
  18. sebastus

    Les archives impériales

    Identification : Sebastus Grade : Capitaine (sisi !) Récits : --> La menace venue du ciel (en cours) (A compléter)
  19. Bonjour messieurs, bonjour mesdames (pour les rares qui me liront ^^). Même si je ne suis pas nouveau sur le forum, c'est bien la première fois que je viens poster dans cette section, et j'espère que ma contribution vous sera agréable. Je ne verse pas vraiment dans l'original en vous racontant l'histoire d'un régiment de la garde, mais j'espère tout de même vous surprendre un peu ^^ Préface 1 ; Tarissa L’immense fronton de pierre sous lequel il se trouvait se désagrégea sous un tir d’obus dans un grondement assourdissant. Il perdit brièvement son sens de l’équilibre alors que le sol tremblait, et se retrouva à quatre pattes dans la poussière. Continuer à avancer, continuer à avancer… Malgré ses oreilles qui tintaient suite à cette explosion si proche, il pouvait entendre des bruits autour de lui. Les cris de ses camarades. Les hurlements gutturaux de leurs ennemis. Les obus qui tombaient presque aléatoirement sur ce champ de bataille, causant terreur et destruction. Un bruit de mort… car dans ce futur que nous connaissons si bien, vous et moi, dans ce futur si sombre… Il n’y a que la guerre. Sébastian Hague serra piteusement son fusil laser contre lui, et continua de ramper jusqu’à l’abri le plus proche. Enfin, abri… Tout était relatif. Un simple muret de pierre à moitié écroulé, derrière lequel quelques humains se refugiaient en baissant la tête. Les lasers et les munitions solides fusaient tout autour d’eux, heurtant leur maigre protection dans un crépitement de brique et de pierre. - Mon Capitaine ! hurla une voix dans le bruit assourdissant. Sébastian releva la tête, puis se releva précipitamment pour progresser plus vite, courbant le dos. Quelques secondes plus tard, il était à l’abri, à côté d’un jeune homme petit aux épaules carrées et eux cheveux bruns cachés par un casque. - Du calme sergent Teer… je suis là, répondit l’officier, essoufflé Notre héros s’adossa au muret avec précaution, prenant bien soin de ne pas laisser dépasser sa tête ou une quelconque autre partie de son corps. Ils étaient cinq de son unité près de lui. Où pouvaient bien être les autres ? Il n’en savait fichtrement rien. A vrai dire, il avait d’autres choses en tête pour l’instant. Sauver sa peau, entre autre, car mort il ne pourrait rien pour ses camarades. Leur position faisait l’objet d’un feu nourri, forçant les gardes impériaux à rester blottis à couvert. - Bon, on va pas s’enraciner là toute la journée ! se plaignit le sergent, en criant pour couvrir les explosions. Alors que la situation paraissait bloquée, un mur s’effondra à une dizaine de mètres de leur position. La seconde suivante, un leman russ d’une couleur rouge agressive tacheté de noir traversa les ruines à leur droite et s’avança dans un grondement titanesque. Il s’agissait d’un des véhicules du XIVe régiment blindé lourd de Gryphonne IV, qui soutenait leur poussée d’infanterie. Le monstre de cinquante-deux tonnes d’acier poursuivit sa course tout droit en crachant la mort, et écrasa la position des hérétiques en moins d’une minute. La situation tournait à leur avantage. - Allez les gars, derrière le tank ! exhorta le capitaine. *** On nous avait briefé avant l’arrivée sur la planète. Sous secteur Gryphonne, à la frange de l’Ultima Segmentum, dans notre petit coin encore sauvage de la galaxie. Encore une fourberie du Chaos, l’Empereur nous en préserve, et les hérétiques avaient pris quelques unes des grandes villes de la capitale du sous secteur. Putain, toute notre économie et celle des planètes environnantes dépendait de Tarissa. C'était la plaque tournante du commerce spatiale dans cette région déserte. Heureusement, la planète n’est pas tombée entièrement, et a pu donné l’alerte. Ils ont mobilisé vingt-quatre régiments, dont trois de chez nous, des Scélusiens purs et durs, vétérans dans les FDP. On avait tous connus not’ lot de combat. Il faut dire que les orks sont nombreux par ici. Il y avait aussi trois régiments blindés de la planète voisine de Tarissa, Gryphonne IV j’crois bien. L’opération où ils nous avaient collés s’appelait « libérer la cité ruche ». Hein ? Oui, je sais, ils ont beaucoup d’imagination les tacticiens chez nous. On a perdu de braves gars dans ces saloperies de rues… Sergent Teer, quartier général. Voilà, j'espère que ce petit prologue vous aura plu, bien qu'il soit un peu court. La suite sera plus longue, rassurez-vous, ceci est juste une petite mise en jambe, pour avoir quelques avis extérieurs pour pouvoir corriger la suite au plus vite ^^ Voilà, je suis ouvert à tout les avis et toutes les suggestions, du moment que ce soit constructif bien sûr.
  20. ma liste a quelque peu changée (grâce a la gentillesse de l'organisateur qui a bien voul que je modifie lorsque j'ai pas pu acheter les figurines qui me manquaient) Ces changements renforcent ma cavalerie, qui sera j'espere l'élément fatal de ma force j'ai donc maintenant : éomer monté et 1 capitaine monté avec 2 gardes royaux et 11 cavaliers (3 javelots) soit 15 cavaliers ! et eowyn, un capitaine avec 2 garde royaux et 40 guerriers (14 javelots, 13 archers et 13 guerriers) Suite a vos conseils, (enfin aux conseils de rohirrims !) voici ma tactique : ma cavalerie sera a entre 20cm et 30cm de mon bloc d'infanterie, avec pour objectifs de detruire la cavalerie ennemie (si elle comporte 6 unités ou moins) et/ou prendre l'infanterie ennemie par l'arriere ou de s'en prendre a un groupe d'archers rester a l'arriere pour ensuite arriver sur les arrieres de l'ennemi. mon bloc d'infanterie, guerriers en première ligne, archers en seconde, javelots en 3e et garde royaux et héros en dernier avancera 14cm par tour jusqu'a pouvoir effectuer des tirs direct sur l'ennemi, alors on avance a 7cm pour pouvoir tirer et on forme 2 blocs avec les javelotiers sur les flancs du bloc principal qui se chargeront des flancs ennemis. Mon capitaine (+ peut etre eowyn) et les gardes royaux seront tout le temps avec le bloc principal pour qu'elle tienne bon. Selon l'ennemi ils seront peut etre envoyé sur les flancs pour les démolir plus rapidement. Certes, mon plan tiendra sans doute pas la route durant la bataille, et des choses changeront. J'espere pouvoir m'adapter rapidement durant les aléas de la partie ! Par contre, j'ai horriblement peur des archers adverses qui pourraient massacrer ma fragile cavalerie ! Auriez-vous des astuces pour protéger sa cavalerie des arcs ? De plus, si je tombe sur une catapulte avec troll du mordor, que puis-je faire ? Seb, tant de questions et si peu de temps...
  21. J'aimerai que les vétérans du rohan me conseillent, dans le cadre du tournoi champion éternel en 750pts voici donc ma liste (au passage, juste pour donner l'idée des figurines que j'aurais) éomer monté, avec 11 cavaliers (dont 3 javelots) et un capitaine monté et un garde royal monté eowyn (armure bouclier) avec un capitaine a pied, 6 gardes royaux avec javelots et 36 guerriers du rohan (12 guerriers, 12 archers et 12 javelotiers) Les premieres parties seront à objectifs fixes (normalement) : C'est à dire tuer le plus d'ennemis possibles en objectif pricipal, et capturer un décor ou bâtiment en objectif secondaire : le but des premieres parties est de récolter le plus de point en remplissant les objectifs ! Je compte me déployé comme ceci : GGGGGGGGGGGGGG AAAAAAAAAAAAAAAA JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ RRR-------CE------RRR G = guerrier A = archer J = javelotier R = garde royal C = capitaine E = eowyn Que pensez-vous de ma tactique ? Auriez-vous des conseils a me donner ? Des faiblesses à faire remarquer ? Merci d'avance ! Seb, un peu d'aide ne fait pas de mal
  22. C'est un avion ? c'est un oiseau ? non c'est... SEBASTUS et oui, sebastus revient sur le warfo, pousser par une détermination incroyable (doublé malheureusement d'une fainéantise sans bornes !) Evidemment, je pense que la section création et développement est ma mère (adoptive...) donc je chérirais sans doute, je survellerai avec attention tout projet présenté ici (attention a ce que vous écrivez, un regard pesant sera sur vous ) Afin d'éviter de faire un post eniter de hors sujet, commentons un peu se profil Tiens donc Karna ! Et oui, j'en connais quelqu'uns qui ont du tomber amoureux des figurines (ne vous inquiétez pas, moi aussi ! j'ai honte d'ailleurs car je devrais préferer le rohan...) Effectivement, le profil tourne autour de la règle spéciale, un tant soit peu surpuissante a mon goût (et aux gouts de certains autres d'après les postes) C'est vrai que ce profil serait à réservé pour des scénarios, mais même pour des scénarios c'est trop puissant. De plus je suis sûr qu'il serait interessant d'essayer ce profil en combat habituel... Au lieu de faire enfuir les figurines dans un rayon de 14 cm, je propose qu'il fasse comme les anciennes règles de bravoure (V3 non ?) en gros : - Toutes figurines dans un rayon de X centimètres autour du dîmlokhi qui rate son test de bravoure (a effectuer au début du tour, mais apres les déplacements par élans héroïques)(les figurines au corps a corps non pas à effectuer ce test) doit s'enfuir a l'opposé du dîmlokhi de tout son mouvement. Si il y a un quelconque élément de décors sur le chemin, l'homme cherchera d'abord à passer a travers (barrières, haies, terrain difficile), s'il ne peux pas il cherchera alors a la contourner. mmm... Alors qu'en pensez-vous ? est ce une bonne idée ou suis-je bon pour la maison de retraite ? "Seb, le retour"(déconseillé au moins de 13 ans)
  23. dans cette optique, voici un truc pas mal (enfin je pense) la formation sérrée dans un peloton d'infanterie, on prend le chef de peloton et on lui donne une honorifica imperialis, donc il aura cmd 9, on prend un commissaire dans l'escouade +1 cmd (donc 10) et formation sérrée +1 (donc 11 !) avec la radio toutes l'armée en bénéficie (y compris celle a l'autre bout du champ de bataille ! plus pratique pour apocalypse ou les parties avec grande table). Il suffit de planquer cette unité de commandement, et paf ! sa a fait des chocapics... euh non et paf, toute les unités ont 11 de commandement et on a une armée quasiment indémoralisable !
  24. sebastus

    Série photo 23

    moi j'aime bien les elfes sylvestres (comme quoi des figurines moches peuvent devenir belles par la peinture...) j'adore surtout le diorama de beren et luthien a ce propos quelqu'un sait quelle figurine a été utilisée pour la femme du diorama ?
  25. Moi aussi je trouve que se serait sympa de partager et 3 (pour faire un podium) et les 3 gagnats s'arrange pour savoir qui prend quoi (genre le 1er peut prendre la moitier de la valeur total des figurines de la boite, le second 1 tiers...) seb, dés que j'ai un peu de temps, je poste ! promis (meu non je croise pas les doigts dans le dos...)
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.